J'AI PERVERTIE MA COLLEGUE -17- - histoire érotique

J’ai entendu parler d’un nouvel endroit pour s’exhiber.
Ce jeudi soir, Fannie termine sa journée vers 17h00, le lendemain elle est en RTT. A son départ du bureau, elle vient me communiquer quelques informations sur un dossier.
-ce soir tu n’as rien de prévu, je passe te prendre vers 19h30, tu mets ta robe blanche seins nu avec un imperméable par-dessus.
-non je n’ai rien de programmé, très bien, je serai prête. Tu restes dîner à la maison après ?
-si tu es parfaite, pourquoi pas.
-je le serai.
Fannie quitte la société.
19h30, je suis en bas de chez ma soumise. Elle arrive et monte dans la voiture. Je vérifie sa tenue. Elle a bien mise sa robe seins nus que je lui ai achetée il y a quelques mois. Une robe moulante, très courte ou les seins sont libre. Direction vers ce nouveau lieu à découvrir. En persévérant je trouve enfin l’endroit. Je place la voiture sur un semblant de parking et demande à ma soumise de retirer son imperméable et je l’installe à l’arrière de la voiture, robe relevé, laissant la vue sur son sexe à la toison taillé et ses seins à disposition. Commence à se rapproché deux couples. Ils approchent timidement, la fenêtre arrière est ouverte. Une femme prend la parole.
-je peux toucher ?
-elle est là pour ça oui, bien sûr.
La femme, environ 50 ans, s’approche de la voiture, pénètre une main dans la voiture et commence à tâter les seins de miss Fanny, tirant sur les mamelons. Puis sa main glisse vers l’entrejambe et caresse gentiment le sexe.
-je souhaite qu’elle suce mon homme, là maintenant, devant moi c’est possible ?
-sans problème, allez la suceuse, au travail.
La femme sort le membre de son homme et Fannie s’approche pour le prendre en bouche. Il est mou mais le reste pas très longtemps. La femme prend l’arrière de la tête de Fannie et donne les mouvements pour la pipe, l’obligeant à prendre cette queue en fond de gorge. Ma chienne se retrouve à sucer une queue de taille honorable, la femme donnant quelques conseille pour que la fellation soit parfaite pour son mari. Elle descend le pantalon de son homme et malaxe les couilles pendant la pipe. L’homme apprécie ce traitement. La femme semble prendre du plaisir, car elle se caresse à travers son chemisier les seins.
-aller, suce mon homme petite garce, il adore se faire sucer par une inconnue.
La main qui caresse les couilles de l’homme disparaît entre les fesses et elle le pénètre d’un doigt.
-mon chérie tu vas jouir n’est-ce pas, cette salope va te faire sortir ton jus.
-oui ma chérie, je sens que ça vient, ça monte, oui continuLa femme sent que son homme va laisser partir son plaisir. Elle retire le sexe de son mari de la bouche de Fannie, s’accroupie, ouvre son chemisier, rapproche la queue de ses seins et l’homme se vide sur les mamelles de sa femme.
-merci pour votre gentillesse, votre femme est adorable, nous venons très souvent ici, alors si vous revenez, pourquoi pas recommencer.
-si ma soumise et non ma femme a été à la hauteur, pourquoi pas.
-au revoir à bientôt j’espère.
Une petite dizaine de minutes plus tard un second couple arrive et nous accoste direct.
-nous vous avons regardez avec ceux qui viennent de partir, très intéressant, ont peux également essayer madame ?
La femme assez belle, brune avec un carré court, à tous casser 35 ans, l’homme semble plus âgé.
-elle est à vous.
-vraiment, à nous, hum alors nous allons bien nous amuser avec.
La femme baisse le pantalon et le boxer de l’homme. Nous découvrons qu’il porte une cage de chasteté. Cette dernière lui est retirée.
-il y a plusieurs semaines qu’il n’a pas utilisée cette chose pour jouir, alors il va être rapide pour vidanger, n’en soyez pas offusquée. La femme branle un peu son homme et demande à Fannie de le sucer. Très vite sa queue, assez moyenne durcit. En un rien de temps pour le dire, l’homme se retire et éjacule sa semence sur le sol.
-vous voyez, je vous l’avais dit, incapable de se contrôler.
La femme repose la cage sur le sexe de l’homme.
-maintenant à moi, c’est possible.
-oui oui.
La femme lève sa robe et retire sa culotte de dentelle. Oh surprise ! ce n’est pas une femme, mais un homme, un transgenre ou autre…. Mais au visage féminin et avec une vrai poitrine qu’elle libère devant nous. L’homme s’approche d’elle et prend la queue en bouche, pendant ce temps, la femme branle et doigte le sexe de ma soumise. La queue est fine avec par contre un nœud assez gros.
-je peux avoir plus ? J’aimerais bien la posséder.
-avec protection c’est possible.
Elle sort un préservatif de son sac. Fannie sort de la voiture, se retourne, s’appuie sur la banquette arrière de la voiture et présente son sexe à l’inconnue. Elle se fait sucer avec le préservatif par son homme et vient prendre ma chienne.
-oh qu’elle est bien chaude celle-là.
La trans, laboure avec tact l’intimité de Fannie, j’en suis moi-même surpris. Il la baise avec distinction. Son homme est là, debout à regarder ma soumise se faire prendre. La scène est hors du commun. Cette shemale est endurante, il sort, reprend profondément ma chienne sur toute la longueur depuis plus de 20 minutes. Fannie râle de plaisir à chaque fois qu’il entre en elle.
-c’est une sacré salope ta femme, j’aime ça.
Fannie n’est pas ma femme, mais je ne réponds rien, pourquoi faire, c’est inutile, laissons la croire ce qu’elle veut. Elle accélère ses mouvements, accélère encore, soulevant les fesses de ma chienne et elle jouisse ensemble, Fannie et elle parte dans un plaisir.
-toi j’aimerais te revoir. Dite moi, cher ami, j’organise de temps à autre des soirées, si ça vous dit, j’aimerais bien vous y convier. Je vous laisse ma carte avec mon téléphone.
-a voir, pourquoi pas.
Elle se réajuste, retire la capote pleine de son jus.
-Justement samedi soir il y a une petit séance, appelez-moi, j’aimerais que vous soyez-là.
Après ce moment intéressant, nous partons, retour chez Fannie pour dîner. Fannie me dit avoir bien aimé ce moment assez insolite, notamment avec le deuxième couple. A partir de là, dès le lendemain, je téléphone à cette femme.
Après un échange agréable, nous avons rendez-vous le samedi après-midi, chez elle. Elle s’appelle Virginie. Le jour J, nous arrivons à l’adresse donnée. Virginie nous ouvre.
-que je suis contente que vous soyez venu, venez je vais vous présenter à des amis.
Nous sommes présentés à l’assemblé présent dans cette maison. Son homme, lui est de service pour alimenter les boissons et petit encas qui sont distribués, il ne nous est présenté que comme le larbin de l’assemblée. Nous avons beaucoup d’échange avec Virginie qui cherche à nous connaître. Nous apprenons que le larbin est en fait un patron d’entreprise, qu’ils sont ensemble depuis deux ans et que Virginie s’appelle Vincent et est une femme depuis 5 ans.
-mes amis, voici notre nouvelle participante. Pour une première fois parmi nous, je suggère à ces messieurs de pratiquer notre séance de bienvenue et vous mesdames, regarder ou faite vous plaisir entre vous.
J’étais au courant de ce qu’il allait se passer. Virginie fait assoir Fannie sur un tabouret de bar, remonte la jupe pour libérer l’accès à l’intimité, puis décide de retirer la jupe. Elle Libère les seins laissant le chemisier ouvert.
-messieurs à vous.
Les hommes s’approche de ma chienne, lui caresse les seins, le sexe, mais sans insister lourdement. Un des hommes approche sa queue de l’intimité de Fannie, il la pénètre juste du bout de son gland et réalise de petit va et vient, entre, sort, se masturbe, caresse le pubis avec son membre durant de longues minutes. Il se masturbe encore plus et vient déposer son jus sur les poils de la chienne Fannie. Immédiatement un autre homme prend le relais, même opération, même stimulation avec une durée de la séance sensiblement identique au premier. Il jouit d’une semence liquide sur le pubis de Fannie. Ils sont 12 hommes à se succéder, à faire le même rituel et à se vidanger sur le pubis maintenant poilue de ma soumise. Après ces 12 passages, le pubis de cette salope, ne ressemble à rien, il est maculé de sauce blanchâtre, liquide ou épai. Elle est laissée là au vu de tous, englué dans le sperme. Certaines personnes prennent des photos, d’autre visionne la vidéo de leur mari se soulageant sur ma chienne.
-le larbin, vient faire une toilette à la belle.
L’homme de Virginie toilette le pubis de Fannie avec des lingettes, décapant toutes traces de jus.
-mes amis, deuxième passage pour vous messieurs, mesdames vous pouvez vous occupez de ces seins, ils sont petits, mais bon il n’y a que ça.
Les femmes viennent tripoter les seins de Fannie et uniquement les seins. Ca tire, roule, pince les mamelles qui s’érigent sous les attouchements. Les hommes font la queue, le membre déjà en l’air, se masturbant. Un premier arrive, une des femmes le branle lentement et lui fait expulser sa semence sur le bas ventre de ma chienne, un jus liquide qui coule rapidement sur le pubis. Les autres femmes, à tour de rôle font de même avec la queue qui se présente devant Fannie. Une fois les 12 hommes vidés, Fannie est emmenée par Virginie dans la salle de bain pour prendre une douche. Nous nous quittons tous quelles heures plus tard.
Fannie me propose de monter chez elle. Ni une, ni deux nous voilà dans l’appartement.
-alors tu as aimé cet après-midi ?
Le téléphone de Fannie sonne, elle répond.
-c’était Maëlle, nous sommes invités pour son anniversaire, samedi prochain, chez elle.
-ah oui et que veux-tu que j’aille faire à cet anniv ?
-m’accompagner simplement, être à mes côté pour montrer que je suis à toi-ah oui ? alors ça veut dire que je t’impose une tenue ? donc une tenue provocante-bah non ! je connais tous ses amies, je peux pas faire ça -nous allons trouver un compromis ne t’inquiète pas.
-Fred, tu vas pas me mettre en situation trop compliqué ?
-non juste ce qu’il faut, pas plus. Bon, après une journée comme ça j’ai mérité un cadeau.
Je prends Fannie par la main et nous nous dirigeons dans la chambre. Je la mets nue, l’allonge sur le lit et viens placer ma langue dans son intimité pour lui tirailler le bouton. Pendant ce travaille de gonflement du bouton, mes doigts tire sur les deux anneaux qui ornent ses lèvres du sexe, écartant ainsi l’ouverture du sexe de cette bourgeoise. Sous mes coups de langue, cette femme que j’ai toujours souhaité humilier, dominer me demande de la prendre. Je la prends, mon sexe est bien dur, cette journée a été excitante. Je ramone cette chatte qui en redemande encore.
-oui ! vas y encore Fred, encore, putain fais-moi jouir, ça fait trop longtemps que j’ai envie, oh oui…ah ah, toute l’après-midi ils m’ont poussée à l’excitation, alors donne-moi ce plaisir, dooonneee Fannie lâche rapidement sa jouissance, je ne tarde pas non plus à inonder son intimité.
-oui Fred, ton jus, encore, j’en veux encore, remplie ma chatte, ouuiiiiFannie se repose un peu, mon téléphone bip, c’est un message de Maëlle. « vivement samedi que je puisse…. j’ai hâte de voir ma Fannie, fais la belle Fred »