J'ai Pervertie ma collègue -24-
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'ai Pervertie ma collègue -24-
Maele me téléphone au bureau, prétextant un besoin urgent de me parler. Pour réponse, je lui propose de venir au bureau. A son arrivée, Fannie est en réunion.
-alors Maele, que puis-je pour toi ?
-la vidéo que Fannie m’a fait voir il y a deux semaines, m’a perturbé. Comment as-tu pu faire ce qu’elle a subit ?
-comment ça, je ne comprends pas ?
-elle a été dans l’extrême, tu vois ce que je veux dire.
-bah ! non, je comprends rien Maele.
-tu as laissé Fannie avoir cette relation sans protection, tu es malade.
-je te rassure Maele, ces hommes ont été triés et leur état de santé vérifié, je ne suis pas malade pour faire prendre des risques à ma petite bourgeoise soumise. Rire-ah ! je savais pas Fred, je suis bête, désolé d’avoir pensée que….
-tu es là juste pour ça ? ou il a autre chose que tu voulais me parler ?
-non, non.
-ok, Maele, viens avec moi.
J’amène Maele dans mon repère, le local archives.
-mais on fait quoi ici ?
Je la rapproche de moi.
-ta copine est une petite salope, mais surtout ma salope, elle a adoré ce moment où elle a été remplie au jus. Comme je suis sûr que tu es toute excité, je vais m’occuper de toi.
Je commence à caresser ses seins à travers ses vêtements, une main se dirigeant vers son entrecuisse.
-non je n’ai pas le temps Fred, je dois…-ok on va faire ça rapide alors.
Je la plaque contre la table déjà utilisée avec Fannie. Je lui descends son pantalon, sa petite culotte en coton et mes doigts commencent à la pénétrer. Maele ne présente aucune résistance, bien au contraire, son intimité est mouillée. Je sors ma queue et la pénètre sans attendre. Je laboure cette chatte rapidement. Maele geint rapidement.
-tu avais une grosse envie ?
-hein hein, ouiii-ton cocu de mari n’a toujours pas réalisé qu’il avait une belle femmeElle ne répond rien, sinon ses gémissements. En moins de 10 minutes Maele à jouie, je termine en lui remplissant sa culotte de mon jus.
-allez remets là, ça te rappellera que tu viens de te faire prendre.
-tu es vraiment vicieux Fred.
-tu aimes de toute façon, aller je dois retourner au bureau.
En arrivant à mon bureau, Fannie m’y attendait.
-tu étais ou ?
-Maele est passé me voir.
-elle voulait quoi ? je ne l’ai pas vu.
-elle croyait que je t’avais fait prendre des risques lors du plan du sexe shop.
-Ah oui ! et tu en a profiter pour la prendre.
-oui tu t’en doute.
-la petite salope, elle m’avait promis de ne rien faire sans que je ne sois là.
-ah, c’est une femme Fannie.
-oui, mais je vais régler cela, crois-moi.
Fannie repart dans son bureau, un peu contrariée.
Le soir même, elle téléphone à Maele.
-Salut, tu es passée au bureau il parait ?
-oui ma chérie, je sais, Fred m’a baisée, mais c’est la dernière fois, j’ai rencontré quelqu’un depuis deux semaines.
-ooohh ! c’est génial Maele, mais tu as quand même profité de mon maitre.
-oui, je voulais une dernière fois goûter à ces moments d’humiliation, de possession. Tu ne m’en veux pas ?
-non, tu envisage de quitter ton mari ?
-je ne sais pas encore, c’est trop frais, mais grâce à vous, j’ai eu le courage de regarder autre part, nous nous verrons certainement dans pas longtemps ma chérie, tu sais combien tu comptes pour moi.
-oui, nous avons un sacré passé. J’attends de tes nouvelles alors.
-oui ne t’inquiète pas.
Fanny me raconte cet évènement non prévue.
-c’est normal Fannie, elle mérite mieux que son mari alcoolique. Tu vas bien me trouver une autre copine toi.
-une copine non, mais j’ai ma petite idée, laisse-moi du temps mon chéri, je vais te ramener une perle qui devrais te, nous, nous plaire.
-ok no souci, mais en attendant tu vas devoir assurer.
-c’est-à-dire ?
-bah ! je vais te tondre comme l’autre fois, déjà pour commencer, ensuite, nous irons faire un tour chez mon épicier du coin et nous finirons au bois.
-mais tu ne me tonds pas totalement ?
-non, t’inquiète je garde ça pour un peu plus tard, allez installes toi sur cette chaise.
Ma soumise s’exécute sans rien dire, un peu songeuse. Rapidement, je lui tonds les cheveux pour la remettre au statut de chienne soumise, comme elle aime tant. Je profite de ce moment pour commencer à raccourcir la longueur de ces cheveux, sans qu’elle ne s’en rende réellement compte. Un millimètre plus court, elle ne verra rien. Une fois terminé, Fannie part se doucher, avant que nous ne sortions diner. Compte tenu de sa coupe, il est vrai que certaines personnes se retournent ou la regarde étrangement. Au restaurant pas de problème, juste un moment de détente avant de jouer. En sortant du restaurant vers 22h00, l’épicerie que nous pouvons apercevoir est encore ouvert, alors direction l’épicier. Lorsque que nous entrons, l’homme est semble-t-il seul. Immédiatement, il reconnait Fannie et lui fait un sourire.
-qui je peux pour toi madame ?
-je cherche des préservatifs.
-viens, suit moi c’est là, tu vois. Monsieur avec toi ?
-oui oui, c’est mon chéri.
-aaahhh et ton chéri, il veut quoi.
-je crois qu’il souhaite que je vous masturbe monsieur l’épicier.
-ya pas de soucis, viens derrière, ma femme elle dort déjà, pas comme l’autre fois.
-votre femme je m’en moque, je fais juste ce que l’on me dit.
-bien bien ça, il a raison ton monsieur.
Derrière le rideau, l’épicier est adossé au mur, Fannie descend son pantalon et sort sa queue déjà bien dure. Elle asticote cette queue qui ne demande qu’à juter, l’épicier lâche des mots en arabe, certainement pas très jolie pour Fannie, mais peu importe, c’est ma chienne soumise. Il essaie de se faire sucer la queue, mais en vain, ma soumise n’a pas été autoriser à pomper ce dard. Il sort les seins de la robe de Fannie pour les malaxer, pincer les tétons. Fannie semble se faire un malin plaisir à faire durer la masturbation, s’arrêtant pour lui malaxer les couilles, les serrer et reprendre la masturbation. A un moment, l’épicier se raidit, sa queue gicle son jus sur les seins de la femme qui le branle jusqu’à la dernière goutte. Fannie s’essuie rapidement, me rejoint et nous laissons l’homme.
En voiture, direction le bois des rencontres. Arrivée sur les lieux, il a pas mal de voiture, ce qui résume à dire pas mal de monde. Je gare la voiture. A ma demande, Fannie retire sa robe pour être nue et à disposition. Je passe ma main sur son intimité, le constat est sans appel, elle a envie d’être prise. Très peu de temps est nécessaire pour voir s’approcher des hommes et découvrir ma chienne nue, jambes écartées, ouvrant sa chatte orné d’anneaux aux mains qui souhaitent toucher. Plusieurs mains sont venues voir et caresser le sexe de ma soumise.
-elle fait ?
-ce soir elle suce et vous pouvez lâcher sur elle.
Je fais sortir Fannie de la voiture. Elle se met accroupie et commence à gober les queues présentent. Le premier est un homme dodu avec une petite queue. Elle le suce quelques minutes avant que cette dernière ne lui gicle sur les seins. La deuxième, c’est un homme d’une quarantaine d’année, une queue bien bandé, l’homme prend la tête de Fannie et donne le rythme des allers retours. Il s’active avec virulence, la soumise bave, ne respirant que par le nez, la bouche étant pleine.
-vas-y suce salope, ah ! ouais vas-y…Fannie semble donner satisfaction à cet homme qui est résistant. Après 15 minutes d’un traitement sans relâche, l’homme se retire de la bouche de la soumise.
-penche ta tête pétasse, je vais te foutre du shampoingL’homme décharge abondamment son jus sur le crâne, l’étalant avec sa queue. Un troisième se présente, accompagné d’une femme. L’homme présente sa queue à Fannie qui prend en bouche ce membre à l’extrémité plutôt bien développé, alors que le reste de la queue est fin. Il se laisse porter par la fellation de la soumise qui s’applique au mieux pour donner satisfaction. La femme regarde, sa poitrine est libérée, laissant apparaitre des seins assez généreux. L’homme triture les seins de sa compagne pendant que Fannie goulument suce sa queue. Il traite sa compagne comme une chose.
-allez ma pute, lèche moi ce jus qui orne ce crâne rasé, je ne veux plus voir une trace.
La femme se penche et sa langue nettoie le liquide épais, elle ne laisse pas une miette.
-termine par les seins, il reste quelques traces.
La femme passe sa tête entre l’homme et les seins de Fannie et nettoie tout ce qui reste de la première décharge que ma soumise à subit.
-c’est bien la pute, a genoux à côté de cette pompeuse de bites, ouvra ta bouche et tire la langue.
L’homme termine quelques vas et viens dans la bouche de Fannie, il se retire et pose sa queue sur la langue de sa compagne en se branlant et gicle 5 bon jets de foutre.
-avale moi ça et n’en perd pas une goutte.
La femme avale tout, sans rien dire, prenant garde de ne pas perdre une seule goutte et lui nettoie le nœud. Le couple repart, satisfait, bras dessus, bras dessous. Ce spectacle a provoqué un attroupement de trois hommes autour de Fannie. Ces derniers ne souhaite pas utiliser la bouche de la soumise, mais seulement se soulager sur elle.
-ok les gars, alors moi je vais la fourrer ma chienne.
Fannie s’allonge à l’arrière de la voiture, tête dehors. Je pénètre son intimité, bien évidemment humide et m’active en elle. Les trois hommes continus de se branler devant nous. Fannie, gémit sans pudeur, attrapant au passage les couilles des branleurs pour les malaxer. Tout le monde a envie de se lâcher et de jouir, moi le premier. Ca fait plus d’une heure que nous sommes ici et je me vide dans cette chatte qui palpite. Les hommes se libèrent sur le visage de ma soumise, recouvrant le front et les joues de jus blanchâtre.
De retour chez moi, Fannie prend une douche.
A partir de ce jour, un tournant important s’opère.
-alors Maele, que puis-je pour toi ?
-la vidéo que Fannie m’a fait voir il y a deux semaines, m’a perturbé. Comment as-tu pu faire ce qu’elle a subit ?
-comment ça, je ne comprends pas ?
-elle a été dans l’extrême, tu vois ce que je veux dire.
-bah ! non, je comprends rien Maele.
-tu as laissé Fannie avoir cette relation sans protection, tu es malade.
-je te rassure Maele, ces hommes ont été triés et leur état de santé vérifié, je ne suis pas malade pour faire prendre des risques à ma petite bourgeoise soumise. Rire-ah ! je savais pas Fred, je suis bête, désolé d’avoir pensée que….
-tu es là juste pour ça ? ou il a autre chose que tu voulais me parler ?
-non, non.
-ok, Maele, viens avec moi.
J’amène Maele dans mon repère, le local archives.
-mais on fait quoi ici ?
Je la rapproche de moi.
-ta copine est une petite salope, mais surtout ma salope, elle a adoré ce moment où elle a été remplie au jus. Comme je suis sûr que tu es toute excité, je vais m’occuper de toi.
Je commence à caresser ses seins à travers ses vêtements, une main se dirigeant vers son entrecuisse.
-non je n’ai pas le temps Fred, je dois…-ok on va faire ça rapide alors.
Je la plaque contre la table déjà utilisée avec Fannie. Je lui descends son pantalon, sa petite culotte en coton et mes doigts commencent à la pénétrer. Maele ne présente aucune résistance, bien au contraire, son intimité est mouillée. Je sors ma queue et la pénètre sans attendre. Je laboure cette chatte rapidement. Maele geint rapidement.
-tu avais une grosse envie ?
-hein hein, ouiii-ton cocu de mari n’a toujours pas réalisé qu’il avait une belle femmeElle ne répond rien, sinon ses gémissements. En moins de 10 minutes Maele à jouie, je termine en lui remplissant sa culotte de mon jus.
-allez remets là, ça te rappellera que tu viens de te faire prendre.
-tu es vraiment vicieux Fred.
-tu aimes de toute façon, aller je dois retourner au bureau.
En arrivant à mon bureau, Fannie m’y attendait.
-tu étais ou ?
-Maele est passé me voir.
-elle voulait quoi ? je ne l’ai pas vu.
-elle croyait que je t’avais fait prendre des risques lors du plan du sexe shop.
-Ah oui ! et tu en a profiter pour la prendre.
-oui tu t’en doute.
-la petite salope, elle m’avait promis de ne rien faire sans que je ne sois là.
-ah, c’est une femme Fannie.
-oui, mais je vais régler cela, crois-moi.
Fannie repart dans son bureau, un peu contrariée.
Le soir même, elle téléphone à Maele.
-Salut, tu es passée au bureau il parait ?
-oui ma chérie, je sais, Fred m’a baisée, mais c’est la dernière fois, j’ai rencontré quelqu’un depuis deux semaines.
-ooohh ! c’est génial Maele, mais tu as quand même profité de mon maitre.
-oui, je voulais une dernière fois goûter à ces moments d’humiliation, de possession. Tu ne m’en veux pas ?
-non, tu envisage de quitter ton mari ?
-je ne sais pas encore, c’est trop frais, mais grâce à vous, j’ai eu le courage de regarder autre part, nous nous verrons certainement dans pas longtemps ma chérie, tu sais combien tu comptes pour moi.
-oui, nous avons un sacré passé. J’attends de tes nouvelles alors.
-oui ne t’inquiète pas.
Fanny me raconte cet évènement non prévue.
-c’est normal Fannie, elle mérite mieux que son mari alcoolique. Tu vas bien me trouver une autre copine toi.
-une copine non, mais j’ai ma petite idée, laisse-moi du temps mon chéri, je vais te ramener une perle qui devrais te, nous, nous plaire.
-ok no souci, mais en attendant tu vas devoir assurer.
-c’est-à-dire ?
-bah ! je vais te tondre comme l’autre fois, déjà pour commencer, ensuite, nous irons faire un tour chez mon épicier du coin et nous finirons au bois.
-mais tu ne me tonds pas totalement ?
-non, t’inquiète je garde ça pour un peu plus tard, allez installes toi sur cette chaise.
Ma soumise s’exécute sans rien dire, un peu songeuse. Rapidement, je lui tonds les cheveux pour la remettre au statut de chienne soumise, comme elle aime tant. Je profite de ce moment pour commencer à raccourcir la longueur de ces cheveux, sans qu’elle ne s’en rende réellement compte. Un millimètre plus court, elle ne verra rien. Une fois terminé, Fannie part se doucher, avant que nous ne sortions diner. Compte tenu de sa coupe, il est vrai que certaines personnes se retournent ou la regarde étrangement. Au restaurant pas de problème, juste un moment de détente avant de jouer. En sortant du restaurant vers 22h00, l’épicerie que nous pouvons apercevoir est encore ouvert, alors direction l’épicier. Lorsque que nous entrons, l’homme est semble-t-il seul. Immédiatement, il reconnait Fannie et lui fait un sourire.
-qui je peux pour toi madame ?
-je cherche des préservatifs.
-viens, suit moi c’est là, tu vois. Monsieur avec toi ?
-oui oui, c’est mon chéri.
-aaahhh et ton chéri, il veut quoi.
-je crois qu’il souhaite que je vous masturbe monsieur l’épicier.
-ya pas de soucis, viens derrière, ma femme elle dort déjà, pas comme l’autre fois.
-votre femme je m’en moque, je fais juste ce que l’on me dit.
-bien bien ça, il a raison ton monsieur.
Derrière le rideau, l’épicier est adossé au mur, Fannie descend son pantalon et sort sa queue déjà bien dure. Elle asticote cette queue qui ne demande qu’à juter, l’épicier lâche des mots en arabe, certainement pas très jolie pour Fannie, mais peu importe, c’est ma chienne soumise. Il essaie de se faire sucer la queue, mais en vain, ma soumise n’a pas été autoriser à pomper ce dard. Il sort les seins de la robe de Fannie pour les malaxer, pincer les tétons. Fannie semble se faire un malin plaisir à faire durer la masturbation, s’arrêtant pour lui malaxer les couilles, les serrer et reprendre la masturbation. A un moment, l’épicier se raidit, sa queue gicle son jus sur les seins de la femme qui le branle jusqu’à la dernière goutte. Fannie s’essuie rapidement, me rejoint et nous laissons l’homme.
En voiture, direction le bois des rencontres. Arrivée sur les lieux, il a pas mal de voiture, ce qui résume à dire pas mal de monde. Je gare la voiture. A ma demande, Fannie retire sa robe pour être nue et à disposition. Je passe ma main sur son intimité, le constat est sans appel, elle a envie d’être prise. Très peu de temps est nécessaire pour voir s’approcher des hommes et découvrir ma chienne nue, jambes écartées, ouvrant sa chatte orné d’anneaux aux mains qui souhaitent toucher. Plusieurs mains sont venues voir et caresser le sexe de ma soumise.
-elle fait ?
-ce soir elle suce et vous pouvez lâcher sur elle.
Je fais sortir Fannie de la voiture. Elle se met accroupie et commence à gober les queues présentent. Le premier est un homme dodu avec une petite queue. Elle le suce quelques minutes avant que cette dernière ne lui gicle sur les seins. La deuxième, c’est un homme d’une quarantaine d’année, une queue bien bandé, l’homme prend la tête de Fannie et donne le rythme des allers retours. Il s’active avec virulence, la soumise bave, ne respirant que par le nez, la bouche étant pleine.
-vas-y suce salope, ah ! ouais vas-y…Fannie semble donner satisfaction à cet homme qui est résistant. Après 15 minutes d’un traitement sans relâche, l’homme se retire de la bouche de la soumise.
-penche ta tête pétasse, je vais te foutre du shampoingL’homme décharge abondamment son jus sur le crâne, l’étalant avec sa queue. Un troisième se présente, accompagné d’une femme. L’homme présente sa queue à Fannie qui prend en bouche ce membre à l’extrémité plutôt bien développé, alors que le reste de la queue est fin. Il se laisse porter par la fellation de la soumise qui s’applique au mieux pour donner satisfaction. La femme regarde, sa poitrine est libérée, laissant apparaitre des seins assez généreux. L’homme triture les seins de sa compagne pendant que Fannie goulument suce sa queue. Il traite sa compagne comme une chose.
-allez ma pute, lèche moi ce jus qui orne ce crâne rasé, je ne veux plus voir une trace.
La femme se penche et sa langue nettoie le liquide épais, elle ne laisse pas une miette.
-termine par les seins, il reste quelques traces.
La femme passe sa tête entre l’homme et les seins de Fannie et nettoie tout ce qui reste de la première décharge que ma soumise à subit.
-c’est bien la pute, a genoux à côté de cette pompeuse de bites, ouvra ta bouche et tire la langue.
L’homme termine quelques vas et viens dans la bouche de Fannie, il se retire et pose sa queue sur la langue de sa compagne en se branlant et gicle 5 bon jets de foutre.
-avale moi ça et n’en perd pas une goutte.
La femme avale tout, sans rien dire, prenant garde de ne pas perdre une seule goutte et lui nettoie le nœud. Le couple repart, satisfait, bras dessus, bras dessous. Ce spectacle a provoqué un attroupement de trois hommes autour de Fannie. Ces derniers ne souhaite pas utiliser la bouche de la soumise, mais seulement se soulager sur elle.
-ok les gars, alors moi je vais la fourrer ma chienne.
Fannie s’allonge à l’arrière de la voiture, tête dehors. Je pénètre son intimité, bien évidemment humide et m’active en elle. Les trois hommes continus de se branler devant nous. Fannie, gémit sans pudeur, attrapant au passage les couilles des branleurs pour les malaxer. Tout le monde a envie de se lâcher et de jouir, moi le premier. Ca fait plus d’une heure que nous sommes ici et je me vide dans cette chatte qui palpite. Les hommes se libèrent sur le visage de ma soumise, recouvrant le front et les joues de jus blanchâtre.
De retour chez moi, Fannie prend une douche.
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