J'ai Pervertie ma collègue - l'évolution 3
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-08-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'ai Pervertie ma collègue - l'évolution 3
Ce vendredi soir, Line est convié à passer le week-end chez moi. Les bases sont posées et acceptées. Elle arrive donc à 20h30. Fannie l’accueil et vérifie qu’elle respecte bien les règles. Elle entre nue et nous la préparons. Nous commençons pas lui poser les deux tatouages. Line reste debout, nous lui apposons le premier sur le sein droit, je tamponne abondamment d’encre. Le résultat de ce tatouage est satisfaisant. Nous passons au deuxième, cette fois c’est Fannie qui pose l’encre.
-regarde Fred, c’est pas mal je trouve.
Le résultat est également correct. Nous laissons sécher l’ensemble et l’esclave va être à notre service. Une heure plus tard, on sonne à la porte.
-c’est pour toi Line, c’est le livreur de pizza.
-mais je ne vais pas ouvrir comme ça ?
-bien sûr que si, aller dépêche-toi un peu, nous avons faim.
Line va ouvrir la porte. Le livreur la découvre, les yeux ébahis, balbutiant.
-eeeuuuuhhh, bon.. bon… bonjour, je je je…vous devez 35€.
Fannie se mêle à l’échange.
-bonjour, ne soyez pas surpris ou gêné, tenez voilà les 35€, cette chipie adore se monter depuis qu’elle a ces tatouages, tourne toi qu’il puisse voir celui de derrière.
Fannie aide Line à se tourner.
-jolie, vous ne trouvez pas ?
-oui, certainement, surprenant, mais pas mal, au revoir à bientôt.
Line revient, un peu penaude.
-c’est un bon début Fred, qu’en penses-tu ?
-oui très bien, très bon début. Dînons.
Line nous sert à table et se joint à nous pour déguster notre pizza.
Une heure plus tard, nous reprenons l’évolution de l’esclave. Nous nous dirigeons vers la chambre réservée pour l’éducation de Line. Fannie prend les choses en mains. Elle allonge Line dos sur le lit et plonge dans son entre-jambe. Elle hume, lèche et titille le clitoris de Line. En moins de 5 minutes, l’esclave convulse libérant un orgasme.
-la salope, elle a déjà jouit-oui Fred, alors son intimité est très odorante, elle ne mouille pas, elle lâche carrément un jus visqueux, gluant, en plus il y a tellement longtemps qu’elle n’a rien fait qu’elle part en quelques minutes. Elle devrait plaire, mon chéri.
-oui, mieux que ça même.
-allez à toiJe présente ma queue à l’esclave, elle avale mon membre et commence à sucer. Ce n’est pas une experte de la fellation, encore une. Je donne quelques directives pour qu’elle améliore sa façon de sucer une queue, d’honorer un homme avec la bouche. Je présente ma queue à l’entrée de son intimité et me faufile dans ce sexe inconnu. Après quelques allez retour dans ce conduit, le constat est sans appel. Ce sexe est large et tellement humide que je ne ressents pas grand-chose dans cette acte. Une chatte trop serrée, ça peut être gênant, mais une chatte trop large ce n’est pas mieux. J’insiste dans le pourfendage de ce sexe, mais n’en tire pas vraiment de plaisir. Je décide de me retirer. Fannie est là, elle observe, triture les seins, tire les poils pubiens de Line. En me retirant, je constate effectivement que ma queue est recouverte d’une substance blanche, épaisse et gluante, l’esclave à une cyprine différente de beaucoup de femme. Je décide de coller mon nœud devant la rosette de Line et force l’entrée. Sans trop forcée, le cul s’ouvre, laissant passer ma queue. La pénétration est facilitée par cette mouille que l’intimité de l’esclave a laissée sur ma bite. Je commence à me mouvez dans ce conduit anal, conduit bien plus agréable à utiliser que son sexe, digne d’une bonne chatte. Fannie profite de mon retrait du sexe de Line pour venir attraper et tirer fortement sur les lèvres intimes.
-ooohhhhhhhh-tu aimes ça te faire maltraiter les lèvres Ma soumise tire et tire lentement, mais elle tire, soutirant des râles de Line. Je sens son anus s’ouvrir à chaque passage en elle.
-là au moins c’est bon-pourquoi là Fred ?
-le conduit de sa chatte est énorme, je ne sens rien tellement elle décharge de jus.
-Alors encule là bien cette chienne, mon chériNous continuons tous les deux à abuser de l’esclave, qui ne refuse rien, au contraire, elle apprécie grandement.
-aaaahhhhh !! ooohhhh ! putain c’est booonnnn ! oohh………-tu aimes te faire défoncer le cul salope, tu es une jouisseuse du cul-oouiiiiiiii, puuttaaiiiiiinnnnnn c’est bonnnnnn, oooooohLine part dans sa jouissance après plus de 20 minutes de limage intensif de son cul. Quelques minutes plus tard, je me retire et me vide sur son pubis. Fannie toute contente, étale mon jus sur les poils de Line.
-tiens petite pute, lèche le jus de monsieurLine contrainte par Fannie, lèche et suce les doigts.
-et moi mon chérie ?
-si nous allions faire un tour au bois, que Line fasse connaissance avec tout ça.
-ok, si tu veux, mais tu me donne le droit de me faire prendre alors ?
-oui Fannie, évidementNous voilà partis en direction de notre lieu de rencontre. Il est déjà tard, et ce soir il y a personne, pas une voiture, pas âme qui vive. Fannie, un peu déçue, prend Line par les cheveux.
-bon, et bien je me rattraperais demainDe retour chez moi, la soirée s’arrête.
Le lendemain, la journée démarre simplement. L’esclave nue comme obligé et nous vaquons à nos occupations. Line, elle fait un peu de ménage, quelques tâches ménagères que Fannie lui a confiées.
-alors Fred, c’est quoi le programme de cette journée ?
-Line termine ces tâches, ensuite j’aimerais qu’elle soit mise au pilori pour continuer l’élongation de ces lèvres et de ces mamelles, ça tu t’en occupes Fannie, je dois terminer ce dossier, vers 17h00 nous irons sur une aire de repos, elle va apprendre à pomper des queues notre charmante esclave.
-hum ! Jolie programme.
La tête dans mon dossier un peu ardu, j’entends ma soumise maltraiter Line. Je constate que Fannie se prend vraiment au jeu, qu’elle aime jouer la maitresse, qu’elle a envie de faire et voir cette femme tomber dans une sorte de lâcher prise, de pseudo avilissement désiré par l’esclave. Le temps passant vite, Fannie m’interpelle.
-chéri tu as bientôt terminé ? il va falloir penser à se préparer.
-ah oui, déjà ! ok , ok. Tu mes la robe noir à Line, celle qui laisse les seins à la vue de tous et qui est ras la touffe.
30 minutes plus tard nous voilà en route pour une aire de repos ou généralement il y a beaucoup de routiers. Durant le trajet, j’informe Line de ce qu’elle va vivre. Sa réponse est sans regret.
-je suis là pour faire ce que vous avez décidé pour moi. J’ai signé pour être votre esclave, à vous et à Fannie, alors je ne peux qu’accepter ce qui va arriver. J’assume mon état.
-c’est bien, nous ferons une esclave de toi, n’est-ce pas Fred-je pense que oui.
Nous arrivons aux abords de l’aire, je cherche le lieu ou est stationné le plus de camion. C’est une aire de très grand passage de routier, donc nous devrions avoir le choix. Effectivement, le nombre de camionneur est important, le choix va être rude. Ma soumise Fannie décide de prendre les choses en mains.
-attends, je vais prospecter FredFannie me surprend, elle a énormément évolué au fil de ces années, puisque cela doit faire presque deux ans que j’ai pris Fannie dans mon escarcelle, avec un résultat plus que convenable. Mais je pense que Line va dépasser très largement Fannie. Cette esclave est soumise et prête à être rabaisser et vivre les sévices que doit subir une femme ayant décidé de vivre son état de femme appartenant à des dominateurs. L’avenir nous donnera-t-il raison ?
Fannie revient quelques minutes plus tard.
-c’est bon mon chéri, j’ai au moins quatre routiers qui veulent se libérer.
-très bien, allons dans les toilette hommes, il fait encore jour, soyons quand même vigilant.
Trois hommes nous suivent dans le local. L’esclave s’accroupie et commence à tâter les queues qui se présentent à elle. Une première est sucée par Line. Cette dernière doit parfaire sa façon de sucer. L’homme, qui est allemand, s’exprime pour faire comprendre à Line ce qu’il veut. Bon gré, malgré, la compréhension s’installe et l’esclave accomplit parfaitement sa mission de pipeuse de queue. Les deux autres routiers asticote leurs queues, dans l’attente de prendre place dans la bouche de la suçeuse. Fannie profite de ce moment pour relever les cheveux de Line, les attaches et laisse apparaitre les cheveux tondus. L’allemand la prend par la nuque et donne la cadence pour sa pipe, cherchant à réaliser une bonne gorge profonde. L’esclave, de ce côté n’est pas au top, elle s’étouffe et rejette la demande. Il n’insiste pas, mais accélère la cadence, sort sa queue et vient déverser son foutre sur le visage de l’esclave. Avant que Line ne prenne une prochaine bite en bouche, ma soumise essuie avec ses doigts les verres des lunettes de Line, ces derniers étant couvert de jus blanchâtre. Fannie nettoie ses doigts sur la nuque tondue de Line.
Le second, a une petite queue, touffue. L’esclave Line, le prend en bouche, ce qui permet au membre de bien se développer. L’homme ne bouge pas et laisse Line réaliser sa pipe. Ces mains caressent les cheveux tondues de l’esclave, mais ne font que cela. La pipe dure et dure. L’homme profite au maximum de cette bouche bien chaude qui lui administre une fellation, a croire qu’il ne jouira pas. Sans mentir, 20 minutes au moins de pompage ininterrompue, Line commence à fatiguer. L’homme se retire d’un coup et asperge le menton et les seins de jets de jus puissants et abondants.
Le troisième immédiatement prend place dans le fourreau buccal ankylosé de l’esclave. Lui, il est expressif et rapide, il est là juste pour se vidanger. Il sort sa queue, gifle les joues, entre de nouveau et ainsi de suite. Une de ces mains vient pincer un sein. Il décharge direct sur les seins de Line.
-peu mieux faire, dit-il en partant.
Durant ce temps, d’autres routiers sont là. Nous leur demandons quelques minutes pour que l’esclave soulage sa mâchoire et de Fannie la rendre un peu plus présentable pour les suivants.
-j’ai de la place dans ma remorque, elle est vide, il y aurait moins d’odeur….
Je valide ce choix. A l’extérieur la nuit commence à tomber. Fannie tire son esclave par le collier de retenue et nous suivons le routier. Line traverse le parking à la vue de tous les hommes qui sont présents sur le parking. Certains la siffle, d’autres applaudisses. Arrivée au camion, nous grimpons dans la remorque, dans laquelle une sorte de matelas jonche le sol. L’esclave s’y pose à genoux. Un attroupement se forme devant la remorque. Les pipes s’enchaînent à tour de rôle. Certains ne visite même pas la bouche de Line, il se branle et jute sur elle. A un moment, je vois que notre esclave fatigue.
-Fannie, on remballe, ça suffit pour cette fois, je pense qu’elle à suffisamment pomper pour ce soir.
-oh crois-tu mon chéri ? tu sais une petite salope comme ça, je ne sais pas si elle a des limites. Elle veut jouer l’esclave , la petite pute soumise…-NON ! stop pour ce soir. Tu lui reproches quoi ? elle t’as fait quoi ? pour que tu veuilles, que tu sois aussi dur avec elle ?
-Oh Fred, ce n’est pas le lieu ni le moment pour en parler. Ok partons.
Nous esquivons rapidement, laissant certains routiers grognant qu’il n’avait pas eu le droit de vidanger.
De retour chez moi, la suceuse va à la douche, accompagnée de Fannie. 20 minutes plus tard, mes deux femmes reviennent.
-Fred, j’ai pris sur moi de lui raser la chatte, une esclave n’a pas besoin d’être poilue et c’est mieux pour elle.
-je vois que tu prends plaisir avec cette esclave et tu prends des initiatives.
-oui j’avoue, ça me plait bien.
-n’oublies pas tu restes ma bourgeoise soumise Fannie et que tu ne devrais pas décider sans me concerter-Oui oui mon amour, je suis bien et resterai bien à toi, mais un peu d’évolution ne me déplait pas.
-pas sans m’en parler, alors nous allons pouvoir envisager ta tonte je pense.
-déjà, pourquoi ? pour venger Line ?
-oui, peut-être, à toi de juger-bon à une condition-ok vas-y dis-tu me fais en deux fois, la première tu me tonds sans sabot uniquement l’arrière et les côtés et un petit peu, pas trop, pour faire quelques chose d’homogène. J’ai besoin de me faire à ma nouvelle tête aussi.
-bah ! non, tu m’es soumise alors ça se fera en une fois et a ma façon. Tu profites bien de Line et en plus tu ne lui fais pas de cadeaux, alors pourquoi devrais-je m’adapté ?
-je suis ta chérie, soumise et fidèle certes, mais ta chérie, tu pourrais avoir un peu de gentillesse envers moi.
-ma chérie ?, oui peut-être, mais en premier ma chienne soumise, c’est par et comme ça que tu es là, avec moi.
-pas faux, bon tu as encore gagné Fred.
-normal, je suis le Maitre, ne l’oublie jamais. Bon le lit pour tous.
Dimanche petit débrif sur le samedi devant un petit-déjeuner préparé et servit par l’esclave. Nous parlons de nos prochaines vacances à Line. Nous l’informons que nous partons 10 jours au Sénégal. Nous proposons à l’esclave de nous accompagner durant ce séjour, l’informant du coût du séjour, mais surtout de la disponibilité aux mêmes dates.
-pour le prix, je devrais pouvoir me débrouiller, mais s’il n’y a pas de place ?
-tu resteras en France, que veux-tu, à l’impossible nul n’est tenu.
-mais non Fred, je vais m’occuper de ça dès lundi, je vais tout faire pour qu’elle voyage avec nous.
A SUIVRE…….
-regarde Fred, c’est pas mal je trouve.
Le résultat est également correct. Nous laissons sécher l’ensemble et l’esclave va être à notre service. Une heure plus tard, on sonne à la porte.
-c’est pour toi Line, c’est le livreur de pizza.
-mais je ne vais pas ouvrir comme ça ?
-bien sûr que si, aller dépêche-toi un peu, nous avons faim.
Line va ouvrir la porte. Le livreur la découvre, les yeux ébahis, balbutiant.
-eeeuuuuhhh, bon.. bon… bonjour, je je je…vous devez 35€.
Fannie se mêle à l’échange.
-bonjour, ne soyez pas surpris ou gêné, tenez voilà les 35€, cette chipie adore se monter depuis qu’elle a ces tatouages, tourne toi qu’il puisse voir celui de derrière.
Fannie aide Line à se tourner.
-jolie, vous ne trouvez pas ?
-oui, certainement, surprenant, mais pas mal, au revoir à bientôt.
Line revient, un peu penaude.
-c’est un bon début Fred, qu’en penses-tu ?
-oui très bien, très bon début. Dînons.
Line nous sert à table et se joint à nous pour déguster notre pizza.
Une heure plus tard, nous reprenons l’évolution de l’esclave. Nous nous dirigeons vers la chambre réservée pour l’éducation de Line. Fannie prend les choses en mains. Elle allonge Line dos sur le lit et plonge dans son entre-jambe. Elle hume, lèche et titille le clitoris de Line. En moins de 5 minutes, l’esclave convulse libérant un orgasme.
-la salope, elle a déjà jouit-oui Fred, alors son intimité est très odorante, elle ne mouille pas, elle lâche carrément un jus visqueux, gluant, en plus il y a tellement longtemps qu’elle n’a rien fait qu’elle part en quelques minutes. Elle devrait plaire, mon chéri.
-oui, mieux que ça même.
-allez à toiJe présente ma queue à l’esclave, elle avale mon membre et commence à sucer. Ce n’est pas une experte de la fellation, encore une. Je donne quelques directives pour qu’elle améliore sa façon de sucer une queue, d’honorer un homme avec la bouche. Je présente ma queue à l’entrée de son intimité et me faufile dans ce sexe inconnu. Après quelques allez retour dans ce conduit, le constat est sans appel. Ce sexe est large et tellement humide que je ne ressents pas grand-chose dans cette acte. Une chatte trop serrée, ça peut être gênant, mais une chatte trop large ce n’est pas mieux. J’insiste dans le pourfendage de ce sexe, mais n’en tire pas vraiment de plaisir. Je décide de me retirer. Fannie est là, elle observe, triture les seins, tire les poils pubiens de Line. En me retirant, je constate effectivement que ma queue est recouverte d’une substance blanche, épaisse et gluante, l’esclave à une cyprine différente de beaucoup de femme. Je décide de coller mon nœud devant la rosette de Line et force l’entrée. Sans trop forcée, le cul s’ouvre, laissant passer ma queue. La pénétration est facilitée par cette mouille que l’intimité de l’esclave a laissée sur ma bite. Je commence à me mouvez dans ce conduit anal, conduit bien plus agréable à utiliser que son sexe, digne d’une bonne chatte. Fannie profite de mon retrait du sexe de Line pour venir attraper et tirer fortement sur les lèvres intimes.
-ooohhhhhhhh-tu aimes ça te faire maltraiter les lèvres Ma soumise tire et tire lentement, mais elle tire, soutirant des râles de Line. Je sens son anus s’ouvrir à chaque passage en elle.
-là au moins c’est bon-pourquoi là Fred ?
-le conduit de sa chatte est énorme, je ne sens rien tellement elle décharge de jus.
-Alors encule là bien cette chienne, mon chériNous continuons tous les deux à abuser de l’esclave, qui ne refuse rien, au contraire, elle apprécie grandement.
-aaaahhhhh !! ooohhhh ! putain c’est booonnnn ! oohh………-tu aimes te faire défoncer le cul salope, tu es une jouisseuse du cul-oouiiiiiiii, puuttaaiiiiiinnnnnn c’est bonnnnnn, oooooohLine part dans sa jouissance après plus de 20 minutes de limage intensif de son cul. Quelques minutes plus tard, je me retire et me vide sur son pubis. Fannie toute contente, étale mon jus sur les poils de Line.
-tiens petite pute, lèche le jus de monsieurLine contrainte par Fannie, lèche et suce les doigts.
-et moi mon chérie ?
-si nous allions faire un tour au bois, que Line fasse connaissance avec tout ça.
-ok, si tu veux, mais tu me donne le droit de me faire prendre alors ?
-oui Fannie, évidementNous voilà partis en direction de notre lieu de rencontre. Il est déjà tard, et ce soir il y a personne, pas une voiture, pas âme qui vive. Fannie, un peu déçue, prend Line par les cheveux.
-bon, et bien je me rattraperais demainDe retour chez moi, la soirée s’arrête.
Le lendemain, la journée démarre simplement. L’esclave nue comme obligé et nous vaquons à nos occupations. Line, elle fait un peu de ménage, quelques tâches ménagères que Fannie lui a confiées.
-alors Fred, c’est quoi le programme de cette journée ?
-Line termine ces tâches, ensuite j’aimerais qu’elle soit mise au pilori pour continuer l’élongation de ces lèvres et de ces mamelles, ça tu t’en occupes Fannie, je dois terminer ce dossier, vers 17h00 nous irons sur une aire de repos, elle va apprendre à pomper des queues notre charmante esclave.
-hum ! Jolie programme.
La tête dans mon dossier un peu ardu, j’entends ma soumise maltraiter Line. Je constate que Fannie se prend vraiment au jeu, qu’elle aime jouer la maitresse, qu’elle a envie de faire et voir cette femme tomber dans une sorte de lâcher prise, de pseudo avilissement désiré par l’esclave. Le temps passant vite, Fannie m’interpelle.
-chéri tu as bientôt terminé ? il va falloir penser à se préparer.
-ah oui, déjà ! ok , ok. Tu mes la robe noir à Line, celle qui laisse les seins à la vue de tous et qui est ras la touffe.
30 minutes plus tard nous voilà en route pour une aire de repos ou généralement il y a beaucoup de routiers. Durant le trajet, j’informe Line de ce qu’elle va vivre. Sa réponse est sans regret.
-je suis là pour faire ce que vous avez décidé pour moi. J’ai signé pour être votre esclave, à vous et à Fannie, alors je ne peux qu’accepter ce qui va arriver. J’assume mon état.
-c’est bien, nous ferons une esclave de toi, n’est-ce pas Fred-je pense que oui.
Nous arrivons aux abords de l’aire, je cherche le lieu ou est stationné le plus de camion. C’est une aire de très grand passage de routier, donc nous devrions avoir le choix. Effectivement, le nombre de camionneur est important, le choix va être rude. Ma soumise Fannie décide de prendre les choses en mains.
-attends, je vais prospecter FredFannie me surprend, elle a énormément évolué au fil de ces années, puisque cela doit faire presque deux ans que j’ai pris Fannie dans mon escarcelle, avec un résultat plus que convenable. Mais je pense que Line va dépasser très largement Fannie. Cette esclave est soumise et prête à être rabaisser et vivre les sévices que doit subir une femme ayant décidé de vivre son état de femme appartenant à des dominateurs. L’avenir nous donnera-t-il raison ?
Fannie revient quelques minutes plus tard.
-c’est bon mon chéri, j’ai au moins quatre routiers qui veulent se libérer.
-très bien, allons dans les toilette hommes, il fait encore jour, soyons quand même vigilant.
Trois hommes nous suivent dans le local. L’esclave s’accroupie et commence à tâter les queues qui se présentent à elle. Une première est sucée par Line. Cette dernière doit parfaire sa façon de sucer. L’homme, qui est allemand, s’exprime pour faire comprendre à Line ce qu’il veut. Bon gré, malgré, la compréhension s’installe et l’esclave accomplit parfaitement sa mission de pipeuse de queue. Les deux autres routiers asticote leurs queues, dans l’attente de prendre place dans la bouche de la suçeuse. Fannie profite de ce moment pour relever les cheveux de Line, les attaches et laisse apparaitre les cheveux tondus. L’allemand la prend par la nuque et donne la cadence pour sa pipe, cherchant à réaliser une bonne gorge profonde. L’esclave, de ce côté n’est pas au top, elle s’étouffe et rejette la demande. Il n’insiste pas, mais accélère la cadence, sort sa queue et vient déverser son foutre sur le visage de l’esclave. Avant que Line ne prenne une prochaine bite en bouche, ma soumise essuie avec ses doigts les verres des lunettes de Line, ces derniers étant couvert de jus blanchâtre. Fannie nettoie ses doigts sur la nuque tondue de Line.
Le second, a une petite queue, touffue. L’esclave Line, le prend en bouche, ce qui permet au membre de bien se développer. L’homme ne bouge pas et laisse Line réaliser sa pipe. Ces mains caressent les cheveux tondues de l’esclave, mais ne font que cela. La pipe dure et dure. L’homme profite au maximum de cette bouche bien chaude qui lui administre une fellation, a croire qu’il ne jouira pas. Sans mentir, 20 minutes au moins de pompage ininterrompue, Line commence à fatiguer. L’homme se retire d’un coup et asperge le menton et les seins de jets de jus puissants et abondants.
Le troisième immédiatement prend place dans le fourreau buccal ankylosé de l’esclave. Lui, il est expressif et rapide, il est là juste pour se vidanger. Il sort sa queue, gifle les joues, entre de nouveau et ainsi de suite. Une de ces mains vient pincer un sein. Il décharge direct sur les seins de Line.
-peu mieux faire, dit-il en partant.
Durant ce temps, d’autres routiers sont là. Nous leur demandons quelques minutes pour que l’esclave soulage sa mâchoire et de Fannie la rendre un peu plus présentable pour les suivants.
-j’ai de la place dans ma remorque, elle est vide, il y aurait moins d’odeur….
Je valide ce choix. A l’extérieur la nuit commence à tomber. Fannie tire son esclave par le collier de retenue et nous suivons le routier. Line traverse le parking à la vue de tous les hommes qui sont présents sur le parking. Certains la siffle, d’autres applaudisses. Arrivée au camion, nous grimpons dans la remorque, dans laquelle une sorte de matelas jonche le sol. L’esclave s’y pose à genoux. Un attroupement se forme devant la remorque. Les pipes s’enchaînent à tour de rôle. Certains ne visite même pas la bouche de Line, il se branle et jute sur elle. A un moment, je vois que notre esclave fatigue.
-Fannie, on remballe, ça suffit pour cette fois, je pense qu’elle à suffisamment pomper pour ce soir.
-oh crois-tu mon chéri ? tu sais une petite salope comme ça, je ne sais pas si elle a des limites. Elle veut jouer l’esclave , la petite pute soumise…-NON ! stop pour ce soir. Tu lui reproches quoi ? elle t’as fait quoi ? pour que tu veuilles, que tu sois aussi dur avec elle ?
-Oh Fred, ce n’est pas le lieu ni le moment pour en parler. Ok partons.
Nous esquivons rapidement, laissant certains routiers grognant qu’il n’avait pas eu le droit de vidanger.
De retour chez moi, la suceuse va à la douche, accompagnée de Fannie. 20 minutes plus tard, mes deux femmes reviennent.
-Fred, j’ai pris sur moi de lui raser la chatte, une esclave n’a pas besoin d’être poilue et c’est mieux pour elle.
-je vois que tu prends plaisir avec cette esclave et tu prends des initiatives.
-oui j’avoue, ça me plait bien.
-n’oublies pas tu restes ma bourgeoise soumise Fannie et que tu ne devrais pas décider sans me concerter-Oui oui mon amour, je suis bien et resterai bien à toi, mais un peu d’évolution ne me déplait pas.
-pas sans m’en parler, alors nous allons pouvoir envisager ta tonte je pense.
-déjà, pourquoi ? pour venger Line ?
-oui, peut-être, à toi de juger-bon à une condition-ok vas-y dis-tu me fais en deux fois, la première tu me tonds sans sabot uniquement l’arrière et les côtés et un petit peu, pas trop, pour faire quelques chose d’homogène. J’ai besoin de me faire à ma nouvelle tête aussi.
-bah ! non, tu m’es soumise alors ça se fera en une fois et a ma façon. Tu profites bien de Line et en plus tu ne lui fais pas de cadeaux, alors pourquoi devrais-je m’adapté ?
-je suis ta chérie, soumise et fidèle certes, mais ta chérie, tu pourrais avoir un peu de gentillesse envers moi.
-ma chérie ?, oui peut-être, mais en premier ma chienne soumise, c’est par et comme ça que tu es là, avec moi.
-pas faux, bon tu as encore gagné Fred.
-normal, je suis le Maitre, ne l’oublie jamais. Bon le lit pour tous.
Dimanche petit débrif sur le samedi devant un petit-déjeuner préparé et servit par l’esclave. Nous parlons de nos prochaines vacances à Line. Nous l’informons que nous partons 10 jours au Sénégal. Nous proposons à l’esclave de nous accompagner durant ce séjour, l’informant du coût du séjour, mais surtout de la disponibilité aux mêmes dates.
-pour le prix, je devrais pouvoir me débrouiller, mais s’il n’y a pas de place ?
-tu resteras en France, que veux-tu, à l’impossible nul n’est tenu.
-mais non Fred, je vais m’occuper de ça dès lundi, je vais tout faire pour qu’elle voyage avec nous.
A SUIVRE…….
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