J'ai Pervertie ma collègue - l'évolution 5

- Par l'auteur HDS Dresser -
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J'ai Pervertie ma collègue - l'évolution 5 Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-10-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'ai Pervertie ma collègue - l'évolution 5
**Merci pour vos encouragements. D’autres se plaignent de non réponse de ma part, mais pour cela j’ai besoin de votre mail, alors avant de grogner, pensez à laisser un mail.**
Fannie arrive seule chez moi pour prendre connaissance de la suite la concernant. Très détaché, je lui fais part de la nouvelle règle.
-compte tenu de ton attitude, les règles changent. Je vais te fermer ton intimité pour une durée illimitée, pas de rapport avant 1, 2 3 mois ou voir plus. Tu vas te raser entièrement le sexe, je ne veux plus un poil à cet endroit. Ton cul sera plugger par un rosebud 24/24. J’ai transféré le contrat de Line vers un autre dominateur, je ne peux pas être à te mater et instruire l’esclave. Elle a validé ce transfert. J’ai dû rater quelques choses te concernant, tu vas donc être éduqué à la dure, je te préviens.
Fannie, le regard fixant le sol ne dit rien, elle accepte la punition. Je pose la chaîne qui ferme son sexe à toute introduction et verrouille avec le cadenas. Je tire les poils du pubis.
-ca je n’en veux plus, ce soir tu rases.
Elle m’ouvre son cul en écartant les fesses, j’enduit le rosebud de gel et pénètre sa rondelle.
-tu gardes ça en continu, tu l’enlèves pour faire tes besoins et sous la douche, ensuite retour dans ton fondement. Pour le reste tu verras.
-ouui Fred, j’ai compris, je ferai ce que tu as dit.
-alors tu files chez toi ce soir et tu reviens demain la touffe tondu à blanc, tu resteras ici durant cette période.
Au bureau, je viens d’être informé qu’un poste d’archiviste a été créé et que je serais le responsable. La personne a déjà été recrutée et est en poste depuis une semaine. Donc je m’occupe de cette personne en plus de toutes les tâches déjà sous ma responsabilité, enfin bref, nous sommes tous dans ces conditions de travail compliqués. J’ai un peu délaissé cette personne. Je fais sa connaissance deux semaines après sa prise de poste. C’est une femme de 25 ans, petite, brune, mince, joli visage, elle se prénom Maeva, d’origine portugaise. Je fais un point avec elle et lui donne quelques lignes directives. Rapidement le retour de certains de mes collègues n’est pas très bon la concernant. Je décide donc d’aller la voir dans son local.
-alors Maeva, ça se passe bien ?
-oui monsieur, je me débrouille.
-le problème est que j’ai des plaintes vous concernant, il parait que vous ne faites pas votre job.
-ah bon ! ah mais si monsieur, je fais ce que vous m’avez dit, je vous assure, je ne comprends pas.
-bon, bon soyez plus vigilante.
-oui, merci monsieur.
Après cet entretien quelque chose me dit que je ne sens pas cette personne. mais bon, tant que je n’ai pas d’autre retour négatif je laisse couler. Le lendemain je reçois un appel de Maele, et oui elle est de retour, même si j’avais quelques infos par Fannie.
-salut Fred-salut Maele, de retour ?
-oui oui, alors tu as repris ma Fannie chérie en main, je peux te dire que même si elle l’a mauvaise, elle est très heureuse de savoir qu’elle est redevenu ta soumise ultime. Quant à moi je divorce, j’ai trouvé Loic qui est très coquin, bon pas autant que toi, mais c’est déjà bien.
-tu devrais me le présenter, je lui donnerais des tuyaux-c’est prévu Fred, c’est prévu. Je t’appelle parce tu as une jeune fille sous ta responsabilité, aux archives-oui effectivement, mais comment tu sais ça ?
-ah ah !! Fred, Maeva est ma petite sœur et elle m’a dit que tu l’avais un peu réprimandé sur son travail.
-ta sœur ? que le monde est petit-elle a eu de la chance pour ce poste et j’aimerais bien que tu prennes soin d’elle.
-je vais pas jouer la nounou…-non Fred, pas la nounou, juste qu’elle est fragile, elle se fait plaqué dès qu’ils ont eu ce qu’ils veulent, elle est un peu largué, alors prends la en charge. J’aimerais que tu lui fasses découvrir le monde que tu connais, tu sais ce que tu as commencé à me faire découvrir, je n’ai pas besoin de te faire un dessin.
-mais Maele, je ne la connais pas et puis elle n’a peut-être pas envie de ça, tu es trop forte sur ce coup-là.
-Fred, t’inquiète pas, si je te parle de ça, c’est que je sais que tu peux y aller, je sais que je peux te faire confiance Fred, allez prend là en charge.
-bon, vu ton insistance je vais voir, en souvenir des bons moments.
-merci à toi Fred et dresses bien ma Fannie, elle attend beaucoup. BisesBon, voilà encore du taff.
Quelques jours plus tard, je vais voir Maeva aux archives, pour obtenir un dossier. En entrant, pas un bruit, j’avance délicatement au fond du local, là où est situé le bureau. Maeva est assise et regarde un film sur l’ordinateur, les écouteurs dans les oreilles. Je découvre qu’elle regarde un film porno. Je lui tape sur l’épaule, stupeur lorsqu’elle me voit.
-alors Maeva, vous faite quoi devant ce film ? Il aurait fallu penser à fermer la porte du local.
Elle devient rouge pivoine, ne sachant quoi dire.
-oui que voulez-vous me dire ?
-heu !!! Et bien… enfin, je suis désolé monsieur, c’est pas ce que vous croyez-bien sûr que non, vous matez un film de cul, juste pour vous occuper. C’est un motif de licenciement.
-oh non, je sais j’ai fait une bêtise, mais bon voilà, je ne le ferai plus, je vous assure.
-je passe vous voir ce soir chez vous, nous en reparlerons-pardons, mais ce n’est pas possible, je ne vois pas pourquoi vous viendriez chez moi.
-mais Maeva, simplement pour discuter et te prendre en main, je crois que ta sœur t’a parlé.
Long silence.
-ah c’est vous-c’est moi quoi ?
-Maele m’a dit que je devais vous trouver et que vous sauriez me prendre en main, mais je n’étais pas trop partante, les mecs sont tous des salauds.
-tu ne m’as pas cherché-si si mais je ne pensais pas que c’était vous monsieur.
-bon stop a la parlotte, ce soir 18h00 chez toi, compris.
-si vous pensez que c’est nécessaire.
-à ce soir.
Le soir je me présente chez elle. Elle m’ouvre et je découvre un studio mal rangé et pas forcément nickel.
-tu vis dans ce bordel, ce taudis-heu !!! Oui, enfin j’ai pas eu le temps de ranger et nettoyer.
-bien sûr, les mêmes réponses qu’au bureau. Bon je vais être direct. Je dois te prendre en main et tu ais ok avec ça ?
-je sais pas vraiment, je suis pas sûr de vouloir faire ça, en fait j’ai…-tu veux ou tu ne veux pas ? Tu veux alors tu te fous nue que je vois ce que tu as à me proposer, tu ne veux pas, je repars et les choses reprenne leur cours normal.
-j’ai déjà ma soumise à gérer, alors je veux bien rendre service à Maele, mais encore faut-il que tu le souhaites.
-vous voulez bien me parler de cette femme monsieur, ça m’aidera peut-être à décider.
-non, cela ne t’appartient pas. Donc je reparsJe me dirige vers la sortie, Maeva me rattrape et pose sa main sur mon épaule.
-non rester, je vais me découvrir à vous, parce que ma sœur me l’a conseillé.
Maeva retire ses vêtements, puis ses dessous. Je découvre une femme maigre, des seins petits, voire inexistant, des fesse sans intérêt et un pubis très poilu.
-hum ! Tu ne corresponds pas vraiment à mes critères, tu es aussi poilu entre les cuisses ?
Elle répond du bout des lèvres « oui »-eh bien une vrai portugaise alors et je suis censé faire quoi avec toi franchement. Bon allonge toi que j’inspecte l’intimité.
Maeva s’allonge lentement. Je lui ouvre les cuisses et découvre effectivement un sexe poilu, cachant ses lèvres intimes. Je m’approche et une odeur se dégage.
-tu as tellement mouillé devant ton film de cul que t’as la chatte qui sent la salope en chaleur, retourne toi, fait voir ton cul.
Je l’aide à se retourner et lui demande d’écarter les fesses.
-bon là ce n’est pas mieux, voire pire. Non seulement ta mouille a coulée, mais en plus ton cul n’est pas propre. Tu es vraiment une crade Maeva, alors on va gérer ça croit-moi.
Je la fais assoir dans son canapé, je sors ma queue et lui présente.
-fais voir comment tu suces un mec.
Pour la pipe, Maeva est plutôt pas mal, elle sait jouer avec sa langue, ce qui est agréable. Je ne trouve rien à redire sur sa façon de sucer une queue. Après de longue pénétration buccale, qui font baver Maeva, je décide d’exploiter son intimité. Elle s’allonge, je lui écarte les cuisses. Ma queue munit d’une capote se présente dans cette forêt vierge de poils. Je la pénètre sans grande précaution, par chance elle est mouillée mais serrée. Je commence mes vas et vient dans cette intimité inconnu. Maeva ne s’exprime pas. Sa tête va et vient de droite à gauche, mais rien de plus, pas de paroles, rien, nada. Je n’ai pas l’habitude de ce genre de femme, la femme silencieuse qui ne partage pas son plaisir. Mais prend-elle du plaisir ? Je me pose la question, cependant elle lubrifie, signifiant quand même qu’elle n’est pas insensible dans l’acte. Je me bouge dans ce sexe, cherchant mon plaisir, au moins le mien. A un moment, une de ses mains attrape sa touffe de poils et tire dessus, moi continuant à labourer cette chatte. Ne sentant rien de particulier chez elle, je décide de changer d’orifice. Je la retourne, relève ses fesses et me présente à sa rondelle. Maeva me tend un tube de lubrifiant. J’enduis ma queue et commence la pénétration. Qui dit gel, dit habitué à la sodomie. Le conduit s’ouvre sous mes coups de queue, Maeva toujours silencieuse. Je la pénètre profondément, alternant sortie et entrée. Je constate alors que le conduit n’est pas particulièrement propre, ce dont je me doutais, vu l’ état de la raie culière, mais peu importe, je la sodomise encore et encore. Je vois sa main de nouveau attraper ses poils. Mon plaisir commence à être au maximum. Je me retire de se cul, enlève la capote et lui fait tirer la langue. Je me branle et décharge sur la langue de Maeva qui avale mon jus. J’empoigne sa longue chevelure et essuie ma queue avec.
-tu n’es pas très expressive, on sait même pas si tu as pris plaisir ou pas Petite mine, me regardant avec ses yeux verts.
-oui c’était très bon monsieur, je dois avouer que j’ai jouis deux fois, ma sœur avait raison vous êtes, vous avez de l’expérience.
-tu jouis en silence alors, c’est chiant-je suis discrète oui, c’est vrai-et ton cul merdeux comme ça, ça ne te dérange pas ? ou tu aimes ça, avec les odeurs peut-être ?
-J’ai honte, mais oui j’aime comme ça.
-ohh ! Pas de soucis, j’ai ma soumise qui est punie pour un certain temps pas de sexe pour elle, alors cela tombe bien que tu me serves de vidangeuse, et si tu aimes les odeurs ok, je ne me laverais pas pour la prochaine fois, crois-moi. Pour le reste je m’en fou. Aller offre moi un bon café.
Nous discutons durant plus de 30 minutes. A un moment elle s’approche un peu plus de moi, je la prends par le bras.
-ma queue à encore envie, suce là.
Elle me regarde, surprise, prend un temps de réflexion et se baisse pour gober ma bite, qui rapidement reprend sa forme, prête à ramoner de nouveau. D’ailleurs je ne perds pas de temps avec la pipe, je plaque Maeva face sur un meuble et pénètre son intimité. Je décide de la prendre sans protection et je démarre une intense pénétration. Je n’ai toujours aucun son de sa part. Je profite pour fesser ces fesses plutôt sèches, un grand dommage pour moi. Elle ne réagit que très peu à ça. Ses seins, n’en parlons pas, petits seins, petite tétine, sans grand intérêt. Je me retire de sa chatte et la prend par le cul. Même si ce n’est pas super propre, je la ramone profondément, cherchant à jouir seul, pour moi et pas pour elle. Je vois sa main disparaitre entre ses cuisses. Je suppose qu’elle attrape sa touffe de poils, ce qui bizarrement a pour effet sur moi de faire monter rapidement le plaisir. Je crache mon jus dans son fondement. Une fois retiré, je me dirige vers la bouche. Maeva me retient, s’accroupie et gobe ma queue pour la nettoyer.
En rentrant chez moi, ou Fannie m’attendait, je lui raconte l’intégralité du moment, histoire de l’exciter, juste de bien l’exciter. Elle boit mes paroles et constate que cette femme n’est pas un danger pour elle.

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