J’ai pervertie ma collègue, Le Japon -4-

- Par l'auteur HDS Dresser -
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : J’ai pervertie ma collègue, Le Japon -4- Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-10-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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J’ai pervertie ma collègue, Le Japon -4-
La situation au Japon est quelques peut tendu, les tensions économique du moment commence à mettre notre entreprise en effervescence, envisageant de nous rapatrier en France dans les 6 mois. Pour pouvoir convaincre ma direction du non fondé de ce choix, je suis rentré au pays pour apporter la preuve de la très bonne rentabilité de nos choix du moment et futur. Je pars pour une semaine au pays. Ne souhaitant pas laisser Fannie seule, mais ne pouvant la convier à m’accompagner, je décide de la confier à Abi et Adrian. Nos Anglais ont immédiatement dit OUI.
Pour mon séjour, je loge à l’hôtel. Maele est venu me prendre à l’aéroport et me propose de diner chez elle. Durant le trajet, nous échangeons sur divers sujets. Maele est toujours avec le même homme et ont décidés pour le moment de garder leurs résidences respectives, trouvant cela plus stimulant. Nous dînons et vers 22h, avant que je décide de rentrer à l’hôtel, Maeva arrive. A ce moment, Maele m’informe qu’elle nous laisse, devant rejoindre son amoureux chez lui.
-ne t’inquiète pas, Fred, Maeva te raccompagnera à l’hôtel.
Me voici en tête avec Maeva qui semble très contente de me voir. Elle papote à n’en plus finir. Fatigué par le voyage, je demande à rentrer. Le lendemain soir, Maeva me téléphone, me proposant de prendre un verre dans un bar branché. Ok, pour moi, la journée ayant été compliqué cela me permettra de décompresser. Nous nous retrouvons tous les deux. Rapidement elle commence à me parler de Fannie, disant qu’elle avait appris sa transformation.
-Fred tu as des photos de Fannie ?
-oui, pourquoi ?
-fais-moi voir comment elle estJe sors mon portable et lui montre différentes facette de ma chienne aujourd’hui.
-ouuaaaaah, carrémentElle reste sans voix.
-je suis sûr que tu as des vidéos ?
-oui sur mon PC, tu veux voir, c’est ça ?
-rentrons, pour voir.
-et Maele ?
-oh t’inquiété, ce soir elle n’est pas là, elle dort chez son amoureux.
Arrivée chez Maele, je sélectionne une vidéo pour Maeva. Ses yeux me se lève pas de l’écran, fasciné par la scène qu’elle découvre.
-eh bien…Sur ses mots, elle prend ma main et la pose sur son entrejambe.
-je suis toute humide, vérifieEffectivement, sous sa robe, sa petite culotte est très humide. Un doigts passe outre la culotte et trouve les poils de l’intimité dégoulinant de mouille. Direction sa chambre ou elle me fait découvrir son environnement. Rapidement elle est nue devant moi et sans perdre de temps prend ma queue en bouche et me suce. Elle me dévore la queue et me lèche les couilles, les caressants. Elle s’allonge sur son lit et écarte les cuisses ouvrant son intimité luisant de cyprine.
-viens, prend moi, viteUn préservatif et ma queue plonge dans ce conduit dilaté et très humide. Je la besogne, sortant, entrant, l’excès de mouille coule le long de son périnée, terminant dans le sillon de ses fesses.
-je mouille trop, je sens….
-tu là veux dans la rondelle salope, pas de soucisJe me présente devant la rondelle, pousse légèrement son entrée. Elle se dilate rapidement avalant ma queue. Je m’active en elle.
-oh oui, prend moi comme si j’étais FannieDe temps à autre je la fesse obtenant des « oui encore », Maeva est manifestement devenue une petite salope, elle redemande encore la fessée.
-pince mes seins, tire dessus…, je veux savoir ce que ça faitJe tire autant que possible ses mamelles, même si ses seins sont vraiment petit, voire inexistant, je tire.
-aiieee ! ça m’excite, encore, t’arrêtes pas, t’arrêtes pasJe pousse ma queue au plus profond de son cul, venant taper en même temps ses fesses rougie par mes mains.
- branle-toi en même temps, tu vas jouir comme une folle-quoi ? mais !
-vas-y je te dis, allerUne de ses mains vient titiller le petit bouton. L’excitation est décupelée.
-ah ! ah ! ah, huummm, ah ! je……-vas petite pute jouis, aller jouis, que je t’entendeQuelques minutes plus tard, Maeva crie son plaisir. Je me retire et décharge sur sa toison brune. Maeva reste inactive quelques minutes.
-oh ! jamais j’ai pris tant de plaisir, j’arrive même pas à bougerJe quitte Maeva. Les trois soirs restant avant mon départ pour le Japon, Maeva est venue me voir dans ma chambre d’hôtel et chaque soir je l’ai sodomisé pour son plus grand plaisir.
Durant cette semaine, Abi m’a fait part de que Fannie était docile. Elle était à ces ordres pour son plus grand plaisir. Cependant, un soir, elle a vue Fannie avec un homme. Elle les a suivi et elle suppose que ma chère soumise à eu une relation intime avec un autre homme. Mon retour devra clarifier cette suspicion. Le lendemain, je suis de retour au Japon. Ma société nous a donné un an pour obtenir des bénéfices à la hauteur du dossier que je leurs aient présenté.
Fannie m’accueil comme une femme amoureuse. Le premier jour, décalage horaire oblige, je me repose. Dès le deuxième jour je commence à cuisiner Fannie sur cet éventuel homme. Rapidement, j’ai compris qu’il y avait un petit problème. Sans avouer, Fannie tente de noyer le poisson, je décide donc de faire venir Abi.
-Fannie, puisque tu refuses de me dire réellement ce qui c’est passé, je pense qu’Abi va te convaincre de dire la vérité.
-oui ! Fannie je t’ai vu jeudi dernier avec un homme, avec lequel tu es allé dans un appartement. Tu y a passé un certain temps.
Fannie, prise au dépourvue, tente de se justifier.
-mais non, enfin, c’était juste …. Que…..il voulait me montrer….
-suffit Fannie, tu as couché avec cet homme, n’est-ce pas ?
Honteuse, Fannie reconnait cette escapade.
-bon, je vais donc prendre des sanctions. Je vais réfléchir et tu sauras ce que j’ai décidé.
Fannie, tente tout ce qu’elle peut pour se faire pardonner, je ne cède pas. Durant deux jours, la communication avec ma salope de femme a été réduite au plus strict minimum. Mes échangent avec Abi ont forcément été fructueux. J’avais déjà bien retournée la situation dans tous les sens et des décisions avaient été très sérieusement envisagées.
Le jour de l’exposé des punitions est arrivé. Fannie, Abi, Adrian et moi-même nous retrouvons au restaurant. Autour d’une table ronde, je fais part des décisions.
-Fannie, ne pensant pas que tu puisses agir comme ça dans mon dos, tu imagines que ta punition va être cinglante. Mais avant, je te laisse la possibilité de t’expliquer enfin. Nous t’écoutons.
-j’ai fait une bêtise Fred, cet homme m’avait vue dans le sexshop et voulait tout raconter au bureau, j’ai été prise de panique et j’ai accepté de me livrer à lui. J’ai fait cela, pensant que tu serais en accord. J’étais sûr que tu m’aurais dit de le faire.
-ok, mais tu aurais dû me demander avant, donc la sanction reste inchangée. Je n’ai pas envie de partager ma vie avec une salope comme toi. Tout devait être fait avec mon consentement et rien dans mon dos, hors tu as franchis la ligne. Pour cela tu vas être dressée par un maitre qui a l’habitude de ce genre de femme. Tu peux dire non, dans ce cas, tu peux rentrer en France et m’oublier. Que décides-tu ?
-je ne sais pas, je ne veux pas te perdre tu le sais, mais que va-t-il m’arriver ?
-Ca tu verras lorsque tu seras chez cet homme, c’est oui ou c’est non.
Fannie, embarrassé, dit oui du bout des lèvres. Dès le week-end suivant, je dépose Fannie chez cet homme habitant à environ 100 kms de chez nous.
A partir de ce moment, Fannie vous raconte ce qu’elle a subit durant 10 jours.
A mon arrivée, une femme japonaise m’a prise en main. Une jolie femme à la chevelure mi-long très brune, un jolie visage et de plus une femme très douce. Cette femme m’a fait découvrir le lieu ou je vais devoir vivre durant ces quelques jours. Je suis rapidement mise nue, ne devant vivre que dans ce plus simple état. La femme découvre mon corps, ses mains me caressent les seins, les fesses. Je pense que je lui plais. J’apprends que le maitre me verra le lendemain, mais en attendant je suis à la disposition de cette femme. Je suis amené dans une douche ou mes mains sont attachées au mur. Je suis alors lavé au jet d’eau, un jet d’eau froide, comme un vulgaire animal. Je suis restée ainsi environ 15 minutes, toutes les parties de mon corps ont été frappé par ce jet d’eau qui par moment paraissait glacé. Détachée, je me suis allongée sur une table pour subir un lissage parfait de mon corps. Même si j’étais bien entretenue, le maitre des lieux impose cet acte. Pour finaliser ce rasage, un baume a été appliqué sur mon intimité, un baume qui très vite a commencé à me chauffer, me chauffé le sexe, et ma rondelle. Je commence à m’inquiéter, mais cette femme me fait comprendre que c’est tout à fait normal. Très vite, cette chaleur me donne envie, envie d’avoir un homme en moi, envie de sentir une queue me prendre, mais rien. Je suis conduite dans ma cellule, un endroit simple, un lit, une table, un coin pour les toilettes et rien d’autre. Un plateau repas m’attendait sur la table. J’ai été poussée dans cette pièce et la porte se ferme. Je mange, ce repas plutôt agréable au palet. Mes envies de sexe sont toujours présentes alors je décide de me masturber pour assouvir mon envie. Mes doigts caresse mon clitoris, entre dans mon sexe, je cherche à jouir. Je triture mes lèvres intimes, me pénètre pour assouvir l’envie de plaisir. Je termine par jouir, mais la sensation de manque d’un membre masculin en moi est toujours présent. Je crois que je me suis masturbé au moins deux fois de plus dans la nuit, à moitié dans le brouillard, entre mi sommeil et éveille. Le lendemain, la japonaise vient me chercher et me dirige vers une pièce ou je suis assise sur un matelas. Un homme apparait, me fixant et parlant à la femme qui me traduit en anglais, qui me traduit le minimum de mots, me laissant dans une certaine incompréhension. La femme me retire tous mes piercings. Je suis attaché par les bras en l’air à une chaine, mes pieds touchant juste le sol. Je reçois un coup de fouet sur les fesses, l’homme dans mon dos frappe sans se retenir. La femme compte à haute voie, me fixant droit dans les yeux. Entre chaque coup, le temps m’a paru interminable. J’ai reçu 30 coups sur les fesses et le dos. Ils m’ont posé une barre aux pied pour écarter mes jambes, les bras toujours tirés vers le haut. L’homme m’a posé une cloche sur chaque seins reliés à un boitier. J’ai sentis une vibration, une succion, une aspiration de mes seins, de mes tétons. Au début douce, mais très vite les choses se sont accélérées, commençant à ressentir une situation étrange, à la limite de la douleur. Ils me regardaient tous les deux. Ensuite l’homme m’a posé une cloche sur le sexe, actionnant une pompe, aspirant mes lèvres, je sens une dilatation de mon sexe, sans douleur, mais encore une fois une sensation étrange. Je suis resté comme cela je ne sais pas combien de temps. La fatigue se faisant sentir, l’homme à tirer vers le haut la chaîne, afin que je ne me fléchisse pas. Mes seins commencent à être douloureux, mon sexe gonflé me pique, tous les matins j’ai eu le droit au même traitement. Selon la japonaise je suis resté ainsi pas loin d’une heure trente. Ensuite j’ai été conduite dans ma cellule, le temps d’une pose. Après ma collation, j’ai été conduite dans une salle, allongé sur une table gynécologique. L’homme s’est empressé de réaliser un lavement anal. Je n’avais jamais réalisé cela. Il m’a remplie à plusieurs reprises, m’obligeant à conserver le liquide le plus longtemps, j’ai connu la honte et la douleur. N’ayant pas de repère, je ne sais pas combien de temps cet acte a duré, mais ils ont pris un plaisir à m’humilier de la sorte. Le soir, avant de m’enfermer pour la nuit, la femme est venue me poser un gode dans le fondement et me masser le sexe avec une crème afin de la rendre plus douce, certainement. Dans la nuit, j’ai été à demi réveillé par une vibration en moi, c’est le gode qui vibre. Au début doucement, puis les vibrations s’accélères. Forcément cela a déclenché en moi une envie évidente. J’ai entendu la porte s’ouvrir, une lueur lointaine éclairait les autres pièces. La japonaise est venue poser son sexe sur ma bouche et m’a contrainte à la lécher, mais aussi à lui nettoyer le sexe. Ce sexe était à la fois mouillé de cyprine, mais également de la semence d’un homme. Par moment ces doigts venaient me masturber vigoureusement le bouton, arrêtant pour éviter que je jouisse. Le gode vibrant toujours en action dans mon fondement. A un moment, les vibrations se sont accélérées et je n’ai pu retenir mon plaisir étouffé par ce sexe féminin. La femme est partie, me laissant, m’interdisant de retirer le gode qui s’est arrêté. Durant la nuit, la femme est revenue me voir au moins quatre fois dans les mêmes conditions, obtenant le même résultat. Toutes les nuits ont été identiques. Ne dormant peu, j’ai vite sentie de la fatigue. Certains jours, je suis attaché sur un lit, jambe bien écarté, un gode fixé sur une barre et l’ensemble relié à une machine qui me pénétrait à la vitesse que l’homme avait décidé. Sans pitié, j’ai été prise par cette machine durant de long moment, obtenant de moi pas un, mais de nombreux moment de plaisir. J’ai jouie à ne plus pouvoir, par moment le gode était changé et remplacé par un gode de taille très importante qui me dilatait littéralement le sexe. Le plaisir pouvait par moment devenir à la limite de la douleur, voir douloureux, mais ce n’est pas pour autant que mes bourreaux ont arrêté, non loin de là. J’ai même crue que j’allais finir par être écoeuré par le sexe, à n’en plus vouloir. La Japonaise m’a clairement dit que cela me passerait l’envie de tromper mon homme. Je crois qu’elle avait raison. Les 10 jours ont été rythmés de la sorte. Que dois-je déduire de cette expérience ? J’ai été encore une fois bien humiliée, j’ai bien compris que je ne devais pas recommencer,au risque de vivre une punition encore bien plus avilissante. Fred m’a fait devenir une chose, sa chose. Finalement j’en suis satisfaite et peu importe ce que pensent les gens.
Lorsque Fannie est rentrée à la maison, elle a obtenu le pardon, mais elle m’a surtout demandé pardon, jurant de ne plus voir un homme sans mon autorisation.

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