J'AI PERVERTIS MA COLLEGUE N°5
Récit érotique écrit par Dresser [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2016 dans la catégorie Dominants et dominés
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J'AI PERVERTIS MA COLLEGUE N°5
Ce jeudi-là, Fannie m’informe que son mec part le week-end a la pêche et me demande si je suis libre pour que nous puissions passer du temps ensemble. Du temps, oui, mais ai-je envie de le passer avec elle ?
Malgré mon questionnement, je lui dis que oui je peux me libérer du temps et que de toute façon elle à rendez-vous chez Amina pour rafraîchir sa coupe, je veille à ce que cela soit fait régulièrement.
Le vendredi, Fannie me dit que ce soir elle sort avec des copines, mais que dés demain elle est disponible pour me voir. Ce qu’elle n’a pas compris, c’est que c’est a elle d’être à ma disposition et non à moi, alors je lui dis simplement que c’est copines c’est une chose, mais que moi je suis prioritaire face à ces amies. Je lui téléphone en interne.
-mais tu abuses, j’ai le droit de voir mes amies quand même.
-oui bien sûr, mais c’est à toi de te conformer à mon planning et non l’inverse. Tu as accepté les règles.
-je sais, mais si on se voit samedi et dimanche je serais à toi et disponible.
-bah ! non, ce soir tu viens dormir chez moi, alors tes copines, ok mais tu rappliques chez moi après.
-d’accord, mais quelques soit l’heure ?
-au plus tard tu seras chez moi à 1 heure. Chaque 10 minutes de dépasser une punition tu seras infligé.
-quoi ? Tu délires ou quoi et quoi comme punition ? Je rêve…
-10 premières minutes une fessée. Les 10 autres une semaine sans porter de petite culotte. Les 10 autres te balader nue dans ma rue. Les 10 autres tu verras bien. Comme tu le vois c’est progressif.
-les 20 premières minutes ça va encore, mais après je suis inquiète, tu deviens dur, tu vas faire quoi après ?
-écoute Fannie, ça toujours été le deal, alors tu connais ma réponse.
-je serais chez toi pour 1 heure promis.
-ok à ce soir alors.
Le soir, à 1 heure 04 Fannie était derrière ma porte. Je la fais patienter.
-c’est qui ?
-c’est moi Fannie, arrête de faire l’idiot.
-tu as 4 minutes de retard, alors punition.
-oui si tu veux.
-tu te déshabilles sur mon palier, nu je te veux.
-tu es chiant, bon ok je le fais.
J’ouvre la porte Fannie est nue sur mon palier, j’allume la lumière pour mieux la voir.
-non éteins, tu es fou on pourrait me voir.
-t’inquiète à cette heure tout le monde dors.
Je la fais entrer, laisse ma porte d’entrée ouverte et fais agenouiller Fannie.
-ça c’est pour le doit d’entrée.
Je prends ma queue et la présente à la bouche. Fannie hésite à la prendre, alors je force un peu et elle avale mon membre. Je la sens toute émoustillé de devoir me sucer alors que n’importe qui peut passer devant mon palier. Elle s’applique divinement à me procurer un plaisir, cherchant certainement à aller vite afin de vite clore cet épisode d’exhibition, alors moi je prolonge, et prolonge, sortant ma queue, lui claquant les joues avec, lui pinçant les tétons de temps à autre. Je lui prends la tête avec mes deux mains et donne le rythme de la pipe que Fannie réalise, allant par moment profondément pour mon plaisir de mâle dominant. Quelques minutes plus tard je lâche mon jus dans la bouche de ma bourgeoise et l’oblige à tout avaler et à me nettoyer la queue.
-bon tu peux entrer, tu vas à la douche et au lit, nous verrons le reste demain.
Le samedi matin réveil à 8h00. Fannie est la première cliente d’Amina. Au moment où elle s’apprête à sortir, je la stoppe.
-attends, je vérifie que tu n’as pas de culotte. Bien Fannie, par contre je vais devoir m’occuper des poils.
-quoi, ça ne vas pas ?
-si si t’inquiète. Tu diras à Amina de tondre plus court cette fois.
-plus court ? Mais c’est déjà court.
-bon ok je vais l’appeler.
-non dis-moi ce que tu veux.
-pas plus long que 3mm et un carré un peu plus court. Ok et comme ça tu seras parfaite.
-parfaite, pour qui, pour toi.
-parfaite pour moi et parfaite pour être à ma disposition.
-c’est tout ce que tu veux, que je sois comme tu veux, juste ça.
-et oui.
Fannie quitte mon appartement.
A son retour, une bonne heure plus tard Fannie sonne, je lui ouvre et découvre un changement dans sa coiffure.
-j’espère que ça va te plaire ce changement. Amina me l’a conseillé et m’a dit que cela devrait te plaire, alors j’ai osé sans te demander ton avis.
Je ne dis rien et je vérifie la tonte de la nuque est des côtés, ma main vient masser l’ensemble.
-tu as eu raison d’accepter ce changement. La frange droite te va très bien et le reste est bien court, je n’ai rien à dire, tu marques un bon point.
-oh merci…
Fannie me saute au coup et me serre dans ses bras, tellement elle contente de mes paroles et ma satisfaction.
-bon puisque je n’ai rien à redire, je t’emmène déjeuner, mais avant je vais m’occuper de tes poils.
-ouiiiiii.
Direction la chambre, elle remonte ses jambes m’offrant son intimité. Je prends ma tondeuse, la règle à 12mm et commence à égaliser toute cette touffe, un petit coup de rasoir sur les côtés et Fannie est à ma convenance.
-j’ai constaté que tu es bien mouillé, alors tu vas porter l’œuf pour notre sortie.
Et je lui introduis l’objet. Direction un petit restaurant que je connais bien au bord de l’eau, il fait beau nous allons en profiter pour se faire du bien avec le soleil.
Nous nous installons à une table et le serveur que je connais bien arrive.
-bonjour, vous voulez un apéritif ?
-oui sert nous un cocktail maison bien frais.
Pendant le déjeuner nous discutons avec Fannie, étant une pipelette les sujets ne manquent pas et aujourd’hui je la trouve particulièrement agréable, pourquoi ? Je ne sais pas. A la fin du plat je démarre l’œuf en mode doux, puis progressivement j’augmente la puissance. Fannie commence à se dandiner sur sa chaise.
-arrête.., s’est pas cool tu vas me donner des envies.
-ah ! Mais dit dont tu commencerais pas un peu à apprécié ces moments particulier ?
-si, plus ça va plus j’apprécie, tu le sais bien sinon je ne serais pas là voyons.
-et ton mec dans tout ça ?
-eh bien il est là où il est, moi il me laisse seul, sa pêche ne m’intéresse pas vraiment. Toi tu sais me donner l’envie, de l’intérêt, alors lui pour le week je l’oubli.
- tu ne vas pas te séparer de lui ?
-j’en suis pas là pour le moment.
Le serveur arrive, j’augmente l’œuf vibrant. Fannie se redresse sur sa chaise, gênée par rapport au serveur. Nous prenons le dessert et durant ce moment je joue avec l’œuf, mettant Fannie en excitation.
-bon, un gage Fannie.
-quoi ?
-oui, le serveur a vu que tu te trémoussais sur ta chaise. Tu vas aller au toilette et il te rejoindra, tu vas le branler et juste ça.
-mais !
-juste une branlette pour le soulager.
-tu te rends compte de ce que tu me demande, je ne suis pas une putain quand même.
-une putain non, c’est pour ça que tu vas juste le branler, mais ma salope de bourgeoise, tu le sais, alors va au toilette et je t’en dirais peut-être un peu plus après.
Fannie me regarde et se lève.
15 minutes plus tard, elle est de retour.
-alors tu l’as fait juter ?
-oui.
-et c’est tout ? Raconte.
-qu’est-ce tu veux que je raconte ? je l’ai branlé, il a jouis.
-bon nous aurons le dessert gratos, merci Fannie.
Elle me regarde.
-ah oui, ça pour avoir juste le dessert gratuit.
-ça te plait pas tout ça ?
-si justement, c’est un problème.
-mais non, il n’y a pas de problème, allez viens on bouge.
Je règle l’addition au serveur qui sourit à Fannie.
J’emmène Fannie à une expo d’un jeune peintre ou elle fait connaissance de certaines personnes faisant partie de mon cercle. Nous continuons l’après-midi avec la visite d’une petite galerie qui expose sur l’art et l’érotisme.
Le téléphone de Fannie sonne, elle regarde l’identifiant.
-c’est R.
-répond.
-allo ! salut
-………..
-oui j’ai vu Sandrine et Elodie.
Pendant sa conversation je déclenche l’œuf vibrant. Elle me regarde, je lui réponds avec un grand sourire, mais je ne m’arrête pas bien au contraire. Elle se tortille sous l’effet des vibrations.
-quoi, ce soir, euh oui je serais à l’appartement biensûr.à tout à l’heure.
-il y a un problème ?
-il va me rappeler ce soir chez moi, je n’ai pas géré là.
-vers quelle heure ?
-il ne sait pas, là où il est-il n’a pas de réseau, il m’a dit pas avant 21 h.
-ok, alors ce soir on dine chez toi.
-pas le choix je crois.
La journée se termine, direction son chez elle. Fannie nous prépare un petit dîner, simple mais agréable en bouche. Le temps passe et le téléphone sonne, c’est son mec.
Fannie se positionne à une fenêtre parce qu’il fait relativement chaud, j’entre en action. Je commence à lui caresser les seins à travers ses vêtements, mes mains vont vers son intimité pour activer son clitoris. Je lui retire l’œuf et deux doigts le remplacent. Fannie me regarde avec des yeux écartillé, cherchant à me repousser. Je la plaque à la fenêtre, tête à l’extérieur, relève sa jupe et la pénètre.
-oui oui je suis là, et tu as pris quoi ?
-…………
Je décroche son soutien-gorge et malaxe, pince ses tétons tout en m’activant en elle. Fannie à un peu de mal à se concentrer sur la conversation avec son mec, en plus la conversation dure.
-non au courrier pas de colis, ca va arriver lundi.
-………
Je décide d’être sans pitié. Je mouille un doigt et lui pénètre l’anus.
-aaahhhhh ! non rien, juste je me suis cogné dans la table.
-……
Allez, un deuxième doigt dans son fondement. Fannie commence à perdre le fil de la conversation. J’accélère mes vas et viens dans les deux trous tout en lui soufflant à l’oreille des mots.
-alors petite salope, c’est bon la double, en plus ton mec est au bout du fil, imagine si il savait. Imagine s’il savait que tu étais avec ma queue dans la chatte et deux doigts dans le cul, imagine s’il savait que j’allais te remplir de mon jus.
-quoi ? Non je n’entends pas bien, ça doit être la chaleur qui….
-c’est ça petite salope, c’est la chaleur que tu as dans tes trous surtout.
Fannie est en train de se mélanger dans la communication avec R, mais elle gère tant bien que mal et lui ne se rend compte de rien. La respiration de Fannie est plus forte, elle s’accélère et pourtant il ne se rend compte de rien.
-bon je te laisse, je dois… a demain.
Elle raccroche.
-salaud, tu es un salaud. Tu attends qu’il téléphone pour me faire ça.
-et oui, je te possède pendant que tu parles à ton cocu de mec.
-ne dis pas ça.
-je possède la bourgeoise, tu es à moi petite salope.
-ouiiii, encore plus vite
-et ton mec il sent rien, il comprend rien, sa nana se fait sauter en direct et lui il est à la pêche.
-je suis ta salope oui tu as raison, R est cocu et je m’en moque, prends moi fait moi jouir.
-ça t’a excité d’être au tél avec lui pendant que….
-salaud je suis à toi, oui, oui c’est vrai, je vais jouiiirrr.
Je la pénètre profondément avec mes doigts et Fannie part dans un plaisir manifesté verbalement ce qui me fait me libérer en elle.
-oh merde tout le monde m’a entendu à la fenêtre.
-oui et je crois que des passants t’on bien vu.
-non arrête, la honte, je suis complètement folle. Tu me fais faire du grand n’importe quoi là.
-tu vis juste des moments intense, profites en pour vivre ces moments d’exhibition et de soumission sans te poser de questions.
-Oui mais là je débloque complètement même si c’est vrai, c’est agréable et que je prends vraiment gout à vivre ça.
-viens me lécher la queue.
Fannie ne se fait pas prier et l’effet escompté est là, je repars à bander. J’allonge Fannie sur la table et la pénètre, pataugeant dans mon jus. Quelques allers retours et je me présente devant son cul et sans forcer je la prends.
-appel ton mec et dis-lui que tu te fais prendre par le cul.
-arrête, t’es nul
-comme tu veux, c’est dommage s’aurait pu être marrant.
Je la prends profondément, son plaisir est de nouveau présent et je décide de prendre mon plaisir seul. Je m’active dans son fondement, mais Fannie part d’un coup et jouis rapidement, je continu mon vas et viens, mon plaisir monte. Je me retire et me libère sur sa toison.
-là je suis morte.
-oui nous avons mérité de dormir.
-tu veux dormir ici ?
-oui.
-ok je vais à la douche alors.
-non, tu ne te laves pas, tu gardes mon jus, je veux que tu déposes mon jus dans ton lit.
-mais je suis poisseuse et puis R rentre demain.
-justement, il rentre demain je veux laisser ma trace pour toi dans ton lit. Lui on s’en fou.
-mais….
-il n’y a pas de mais Fannie, je te possède même jusque dans ton lit.
-je crois que je n’ai pas le choix, alors tu as encore gagné, comme d’habitude.
-tu as le choix, mais tu aimes ce que je t’impose.
-hum !
Nous nous couchons.
Le lendemain matin nous sommes réveillés par le téléphone, Fannie répond.
-allo ! Oh !bonjour ma chérie.
-……..
Je profite de cet appel pour aller chercher les croissants. A mon retour Fannie m’attend.
-alors c’était qui au tél ?
-une copine qui voulait passer me voir.
-tu lui as dit oui ?
-bah non.
-pourquoi ?
-tu es là, personne ne sait pour toi.
-ça aurait pu être sympa avec une autre femme.
-quoi ? Tu déconnes là j’espère. Ne me dit pas que tu as envie d’aller voir une autre femme, je suis là moi.
-tu es là oui, mais nous ne sommes pas ensemble.
-je suis quoi pour toi, j’ai vraiment l’impression que tu te fou de moi, j’en ai marre. Prends tes affaires et tu parts.
Sans rien dire, je pars. Moins d’une heure après mon départ elle me téléphone, je ne lui réponds pas. A plusieurs reprise elle me téléphone, m’envoi des sms, je ne réponds à rien. Au travail j’échange à minima avec elle. Cette situation à durer quelques jours, puis un moment je me suis décidé à lui répondre. Je passerai sur ce moment, bien évidemment Fannie est revenue vers moi et je dirai encore plus docile qu’auparavant.
Malgré mon questionnement, je lui dis que oui je peux me libérer du temps et que de toute façon elle à rendez-vous chez Amina pour rafraîchir sa coupe, je veille à ce que cela soit fait régulièrement.
Le vendredi, Fannie me dit que ce soir elle sort avec des copines, mais que dés demain elle est disponible pour me voir. Ce qu’elle n’a pas compris, c’est que c’est a elle d’être à ma disposition et non à moi, alors je lui dis simplement que c’est copines c’est une chose, mais que moi je suis prioritaire face à ces amies. Je lui téléphone en interne.
-mais tu abuses, j’ai le droit de voir mes amies quand même.
-oui bien sûr, mais c’est à toi de te conformer à mon planning et non l’inverse. Tu as accepté les règles.
-je sais, mais si on se voit samedi et dimanche je serais à toi et disponible.
-bah ! non, ce soir tu viens dormir chez moi, alors tes copines, ok mais tu rappliques chez moi après.
-d’accord, mais quelques soit l’heure ?
-au plus tard tu seras chez moi à 1 heure. Chaque 10 minutes de dépasser une punition tu seras infligé.
-quoi ? Tu délires ou quoi et quoi comme punition ? Je rêve…
-10 premières minutes une fessée. Les 10 autres une semaine sans porter de petite culotte. Les 10 autres te balader nue dans ma rue. Les 10 autres tu verras bien. Comme tu le vois c’est progressif.
-les 20 premières minutes ça va encore, mais après je suis inquiète, tu deviens dur, tu vas faire quoi après ?
-écoute Fannie, ça toujours été le deal, alors tu connais ma réponse.
-je serais chez toi pour 1 heure promis.
-ok à ce soir alors.
Le soir, à 1 heure 04 Fannie était derrière ma porte. Je la fais patienter.
-c’est qui ?
-c’est moi Fannie, arrête de faire l’idiot.
-tu as 4 minutes de retard, alors punition.
-oui si tu veux.
-tu te déshabilles sur mon palier, nu je te veux.
-tu es chiant, bon ok je le fais.
J’ouvre la porte Fannie est nue sur mon palier, j’allume la lumière pour mieux la voir.
-non éteins, tu es fou on pourrait me voir.
-t’inquiète à cette heure tout le monde dors.
Je la fais entrer, laisse ma porte d’entrée ouverte et fais agenouiller Fannie.
-ça c’est pour le doit d’entrée.
Je prends ma queue et la présente à la bouche. Fannie hésite à la prendre, alors je force un peu et elle avale mon membre. Je la sens toute émoustillé de devoir me sucer alors que n’importe qui peut passer devant mon palier. Elle s’applique divinement à me procurer un plaisir, cherchant certainement à aller vite afin de vite clore cet épisode d’exhibition, alors moi je prolonge, et prolonge, sortant ma queue, lui claquant les joues avec, lui pinçant les tétons de temps à autre. Je lui prends la tête avec mes deux mains et donne le rythme de la pipe que Fannie réalise, allant par moment profondément pour mon plaisir de mâle dominant. Quelques minutes plus tard je lâche mon jus dans la bouche de ma bourgeoise et l’oblige à tout avaler et à me nettoyer la queue.
-bon tu peux entrer, tu vas à la douche et au lit, nous verrons le reste demain.
Le samedi matin réveil à 8h00. Fannie est la première cliente d’Amina. Au moment où elle s’apprête à sortir, je la stoppe.
-attends, je vérifie que tu n’as pas de culotte. Bien Fannie, par contre je vais devoir m’occuper des poils.
-quoi, ça ne vas pas ?
-si si t’inquiète. Tu diras à Amina de tondre plus court cette fois.
-plus court ? Mais c’est déjà court.
-bon ok je vais l’appeler.
-non dis-moi ce que tu veux.
-pas plus long que 3mm et un carré un peu plus court. Ok et comme ça tu seras parfaite.
-parfaite, pour qui, pour toi.
-parfaite pour moi et parfaite pour être à ma disposition.
-c’est tout ce que tu veux, que je sois comme tu veux, juste ça.
-et oui.
Fannie quitte mon appartement.
A son retour, une bonne heure plus tard Fannie sonne, je lui ouvre et découvre un changement dans sa coiffure.
-j’espère que ça va te plaire ce changement. Amina me l’a conseillé et m’a dit que cela devrait te plaire, alors j’ai osé sans te demander ton avis.
Je ne dis rien et je vérifie la tonte de la nuque est des côtés, ma main vient masser l’ensemble.
-tu as eu raison d’accepter ce changement. La frange droite te va très bien et le reste est bien court, je n’ai rien à dire, tu marques un bon point.
-oh merci…
Fannie me saute au coup et me serre dans ses bras, tellement elle contente de mes paroles et ma satisfaction.
-bon puisque je n’ai rien à redire, je t’emmène déjeuner, mais avant je vais m’occuper de tes poils.
-ouiiiiii.
Direction la chambre, elle remonte ses jambes m’offrant son intimité. Je prends ma tondeuse, la règle à 12mm et commence à égaliser toute cette touffe, un petit coup de rasoir sur les côtés et Fannie est à ma convenance.
-j’ai constaté que tu es bien mouillé, alors tu vas porter l’œuf pour notre sortie.
Et je lui introduis l’objet. Direction un petit restaurant que je connais bien au bord de l’eau, il fait beau nous allons en profiter pour se faire du bien avec le soleil.
Nous nous installons à une table et le serveur que je connais bien arrive.
-bonjour, vous voulez un apéritif ?
-oui sert nous un cocktail maison bien frais.
Pendant le déjeuner nous discutons avec Fannie, étant une pipelette les sujets ne manquent pas et aujourd’hui je la trouve particulièrement agréable, pourquoi ? Je ne sais pas. A la fin du plat je démarre l’œuf en mode doux, puis progressivement j’augmente la puissance. Fannie commence à se dandiner sur sa chaise.
-arrête.., s’est pas cool tu vas me donner des envies.
-ah ! Mais dit dont tu commencerais pas un peu à apprécié ces moments particulier ?
-si, plus ça va plus j’apprécie, tu le sais bien sinon je ne serais pas là voyons.
-et ton mec dans tout ça ?
-eh bien il est là où il est, moi il me laisse seul, sa pêche ne m’intéresse pas vraiment. Toi tu sais me donner l’envie, de l’intérêt, alors lui pour le week je l’oubli.
- tu ne vas pas te séparer de lui ?
-j’en suis pas là pour le moment.
Le serveur arrive, j’augmente l’œuf vibrant. Fannie se redresse sur sa chaise, gênée par rapport au serveur. Nous prenons le dessert et durant ce moment je joue avec l’œuf, mettant Fannie en excitation.
-bon, un gage Fannie.
-quoi ?
-oui, le serveur a vu que tu te trémoussais sur ta chaise. Tu vas aller au toilette et il te rejoindra, tu vas le branler et juste ça.
-mais !
-juste une branlette pour le soulager.
-tu te rends compte de ce que tu me demande, je ne suis pas une putain quand même.
-une putain non, c’est pour ça que tu vas juste le branler, mais ma salope de bourgeoise, tu le sais, alors va au toilette et je t’en dirais peut-être un peu plus après.
Fannie me regarde et se lève.
15 minutes plus tard, elle est de retour.
-alors tu l’as fait juter ?
-oui.
-et c’est tout ? Raconte.
-qu’est-ce tu veux que je raconte ? je l’ai branlé, il a jouis.
-bon nous aurons le dessert gratos, merci Fannie.
Elle me regarde.
-ah oui, ça pour avoir juste le dessert gratuit.
-ça te plait pas tout ça ?
-si justement, c’est un problème.
-mais non, il n’y a pas de problème, allez viens on bouge.
Je règle l’addition au serveur qui sourit à Fannie.
J’emmène Fannie à une expo d’un jeune peintre ou elle fait connaissance de certaines personnes faisant partie de mon cercle. Nous continuons l’après-midi avec la visite d’une petite galerie qui expose sur l’art et l’érotisme.
Le téléphone de Fannie sonne, elle regarde l’identifiant.
-c’est R.
-répond.
-allo ! salut
-………..
-oui j’ai vu Sandrine et Elodie.
Pendant sa conversation je déclenche l’œuf vibrant. Elle me regarde, je lui réponds avec un grand sourire, mais je ne m’arrête pas bien au contraire. Elle se tortille sous l’effet des vibrations.
-quoi, ce soir, euh oui je serais à l’appartement biensûr.à tout à l’heure.
-il y a un problème ?
-il va me rappeler ce soir chez moi, je n’ai pas géré là.
-vers quelle heure ?
-il ne sait pas, là où il est-il n’a pas de réseau, il m’a dit pas avant 21 h.
-ok, alors ce soir on dine chez toi.
-pas le choix je crois.
La journée se termine, direction son chez elle. Fannie nous prépare un petit dîner, simple mais agréable en bouche. Le temps passe et le téléphone sonne, c’est son mec.
Fannie se positionne à une fenêtre parce qu’il fait relativement chaud, j’entre en action. Je commence à lui caresser les seins à travers ses vêtements, mes mains vont vers son intimité pour activer son clitoris. Je lui retire l’œuf et deux doigts le remplacent. Fannie me regarde avec des yeux écartillé, cherchant à me repousser. Je la plaque à la fenêtre, tête à l’extérieur, relève sa jupe et la pénètre.
-oui oui je suis là, et tu as pris quoi ?
-…………
Je décroche son soutien-gorge et malaxe, pince ses tétons tout en m’activant en elle. Fannie à un peu de mal à se concentrer sur la conversation avec son mec, en plus la conversation dure.
-non au courrier pas de colis, ca va arriver lundi.
-………
Je décide d’être sans pitié. Je mouille un doigt et lui pénètre l’anus.
-aaahhhhh ! non rien, juste je me suis cogné dans la table.
-……
Allez, un deuxième doigt dans son fondement. Fannie commence à perdre le fil de la conversation. J’accélère mes vas et viens dans les deux trous tout en lui soufflant à l’oreille des mots.
-alors petite salope, c’est bon la double, en plus ton mec est au bout du fil, imagine si il savait. Imagine s’il savait que tu étais avec ma queue dans la chatte et deux doigts dans le cul, imagine s’il savait que j’allais te remplir de mon jus.
-quoi ? Non je n’entends pas bien, ça doit être la chaleur qui….
-c’est ça petite salope, c’est la chaleur que tu as dans tes trous surtout.
Fannie est en train de se mélanger dans la communication avec R, mais elle gère tant bien que mal et lui ne se rend compte de rien. La respiration de Fannie est plus forte, elle s’accélère et pourtant il ne se rend compte de rien.
-bon je te laisse, je dois… a demain.
Elle raccroche.
-salaud, tu es un salaud. Tu attends qu’il téléphone pour me faire ça.
-et oui, je te possède pendant que tu parles à ton cocu de mec.
-ne dis pas ça.
-je possède la bourgeoise, tu es à moi petite salope.
-ouiiii, encore plus vite
-et ton mec il sent rien, il comprend rien, sa nana se fait sauter en direct et lui il est à la pêche.
-je suis ta salope oui tu as raison, R est cocu et je m’en moque, prends moi fait moi jouir.
-ça t’a excité d’être au tél avec lui pendant que….
-salaud je suis à toi, oui, oui c’est vrai, je vais jouiiirrr.
Je la pénètre profondément avec mes doigts et Fannie part dans un plaisir manifesté verbalement ce qui me fait me libérer en elle.
-oh merde tout le monde m’a entendu à la fenêtre.
-oui et je crois que des passants t’on bien vu.
-non arrête, la honte, je suis complètement folle. Tu me fais faire du grand n’importe quoi là.
-tu vis juste des moments intense, profites en pour vivre ces moments d’exhibition et de soumission sans te poser de questions.
-Oui mais là je débloque complètement même si c’est vrai, c’est agréable et que je prends vraiment gout à vivre ça.
-viens me lécher la queue.
Fannie ne se fait pas prier et l’effet escompté est là, je repars à bander. J’allonge Fannie sur la table et la pénètre, pataugeant dans mon jus. Quelques allers retours et je me présente devant son cul et sans forcer je la prends.
-appel ton mec et dis-lui que tu te fais prendre par le cul.
-arrête, t’es nul
-comme tu veux, c’est dommage s’aurait pu être marrant.
Je la prends profondément, son plaisir est de nouveau présent et je décide de prendre mon plaisir seul. Je m’active dans son fondement, mais Fannie part d’un coup et jouis rapidement, je continu mon vas et viens, mon plaisir monte. Je me retire et me libère sur sa toison.
-là je suis morte.
-oui nous avons mérité de dormir.
-tu veux dormir ici ?
-oui.
-ok je vais à la douche alors.
-non, tu ne te laves pas, tu gardes mon jus, je veux que tu déposes mon jus dans ton lit.
-mais je suis poisseuse et puis R rentre demain.
-justement, il rentre demain je veux laisser ma trace pour toi dans ton lit. Lui on s’en fou.
-mais….
-il n’y a pas de mais Fannie, je te possède même jusque dans ton lit.
-je crois que je n’ai pas le choix, alors tu as encore gagné, comme d’habitude.
-tu as le choix, mais tu aimes ce que je t’impose.
-hum !
Nous nous couchons.
Le lendemain matin nous sommes réveillés par le téléphone, Fannie répond.
-allo ! Oh !bonjour ma chérie.
-……..
Je profite de cet appel pour aller chercher les croissants. A mon retour Fannie m’attend.
-alors c’était qui au tél ?
-une copine qui voulait passer me voir.
-tu lui as dit oui ?
-bah non.
-pourquoi ?
-tu es là, personne ne sait pour toi.
-ça aurait pu être sympa avec une autre femme.
-quoi ? Tu déconnes là j’espère. Ne me dit pas que tu as envie d’aller voir une autre femme, je suis là moi.
-tu es là oui, mais nous ne sommes pas ensemble.
-je suis quoi pour toi, j’ai vraiment l’impression que tu te fou de moi, j’en ai marre. Prends tes affaires et tu parts.
Sans rien dire, je pars. Moins d’une heure après mon départ elle me téléphone, je ne lui réponds pas. A plusieurs reprise elle me téléphone, m’envoi des sms, je ne réponds à rien. Au travail j’échange à minima avec elle. Cette situation à durer quelques jours, puis un moment je me suis décidé à lui répondre. Je passerai sur ce moment, bien évidemment Fannie est revenue vers moi et je dirai encore plus docile qu’auparavant.
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