J’espionne mes parents (fiction écrite en 01.2011).
Récit érotique écrit par Le Matou libertin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-09-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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J’espionne mes parents (fiction écrite en 01.2011).
Dès que je suis entrée dans l’adolescence, ma libido a commencé à travailler et lorsque j’étais sous la douche mes mains partaient presque chaque fois à la découverte de mon corps. Quand mes seins ont commencé à se développer, je massais les pointes à peine turgescentes et c’est à ce moment que j’ai découvert que ce doux massage me donnait des sensations et que du liquide s’écoulait de ma chatte quand je le pénétrais de deux doigts...
Puis mes premières règles sont apparues au cours de ma quinzième année. Ma mère, consciente des transformations de mon corps, a achevé de me donner les informations voulues sur la sexualité des filles et des garçons. Elle me recommanda la prudence en me disant que lorsque le moment serait venu, elle me conduirait chez le médecin pour qu’il me prescrive une pilule contraceptive. Elle ne voulait pas que comme elle, je me retrouve enceinte à 18 ans d’un garçon qui ne voudrait que s’amuser avec moi !
Je n’étais pas trop attirée par les garçons, donc cela ne me posait pas de problème. Je savais que des filles de ma classe avaient entre elles des relations saphiques. Cela ne m’intéressait pas plus que çà. Les caresses que je me prodiguais suffisaient à me satisfaire.
Au lycée, je poursuivais sagement mes études et j’obtenais d’excellents résultats. Nettement plus jeune que mon frère et ma sœur ainés qui avaient déjà quitté le nid familial, je vivais avec mes parents qui, à près de 50 ans, étaient amoureux comme au premier jour. Cependant, devant moi, ils n’avaient jamais d’attitude équivoque. Ils échangeaient de légers baisers mais comme cela était habituel, je ne trouvais rien de choquant.
Au printemps dernier, je me trouvais dans ma chambre où je révisais en vue d’un devoir sur table devant avoir lieu le surlendemain, en fait une épreuve du bac blanc. Il devait être un peu plus de 23 heures quand j’ai entendu des bruits inhabituels dans la chambre de mes parents qui est contigüe.
J’ai coupé le son de la radio qui diffusait en sourdine et j’ai prêté l’oreille. J’ai entendu ma mère pousser des soupirs comme ceux que j’étouffe lorsque je me caresse. En même temps j’entendais le sommier grincer en rythme. J’ai tout de suite compris que mes parents étaient en train de faire l’amour, d’autant que j’entendais assez distinctement ma mère encourager mon père :• Oui ! C’est bon ! Continues comme çà ! Baise-moi bien ! Fort ! Enfonce ta queue jusqu’au fond !
Jusqu’à présent, je ne les avais jamais entendus ou je n’avais pas fait attention. Le balcon dessert les trois chambres donnant sur la façade de la maison. Je suis sortie par la porte fenêtre et discrètement, je me suis approchée de celle donnant dans la chambre de mes parents qui était entrouverte. Dans le clair obscur de la pièce uniquement éclairée par la lampe du cabinet de toilette, j’ai découvert ma mère à genoux, le buste allongé devant elle et les bras reposant sur la tête de lit.
Je voyais ses seins se balancer doucement au rythme de la copulation de mon père qui avait ses hanches collées contre les fesses de ma mère. De ses mains puissantes il enserrait sa taille. Je découvrais leurs corps pour la première fois dans leur nudité intégrale.
Je connaissais le torse puissant et musclé de mon père et les seins ronds et généreux de ma mère toujours masqués par le soutien gorge de son maillot de bain lorsque nous étions à la mer. Là je distinguais le sexe de mon père qui pistonnait la chatte de sa femme avec ardeur. Les aréoles des seins de ma mère avaient un téton saillant gros comme une noisette. Il est vrai qu’elle avait nourri ses trois enfants au sein pendant de longs mois. Ce n’était pas extraordinaire.
Il m’était arrivé de regarder des gravures ou des photos licencieuses dans des revues échangées entre camarades, mais jamais je n’avais surpris ou vu un couple de cette manière. J’étais étonnée par la taille imposante du sexe de mon père, long et gros. Je sentais une douce chaleur au niveau de mon ventre, les bourgeons de mes seins étaient douloureux tant j’étais excitée.
Je ne portais qu’un long sweet-shirt qui me servait de chemise de nuit. Tout naturellement une main est remontée sous mon vêtement pour venir masser mes seins, qui avec les années avaient pris de l’ampleur. De l’autre je pénétrais ma chatte de deux doigts en faisant coulisser l’index et l’auriculaire sur mes lèvres intimes. J’étais littéralement inondée de mouille. De ma cachette, je n’entendais plus rien mais quel spectacle !
Soudain, j’ai vu mon père ouvrir la bouche comme s’il criait. Il est sorti de ma mère et son sexe a craché des jets puissants de sperme qui sont allés s’écraser sur les reins de ma mère qui a joui en même temps en portant sa main droite au niveau de son entrejambe. Ma jouissance a éclaté quelques secondes plus tard.
Un peu honteuse d’avoir épié ainsi mes parents, je suis rentrée dans ma chambre pour me coucher aussitôt. Mais quelle nuit j’ai passé ! Au petit matin, je me suis réveillée dans un lit aux draps totalement dévastés, chiffonnés dans tous les sens et une folle envie de me masturber me tenaillait. Avant de quitter la chaleur du lit et de me lever, je me suis caressée jusqu’à la jouissance.
Depuis, chaque fois que j’entends des bruits dans la chambre de mes parents, dès que je sais qu’ils sont annonciateurs d’une partie de jambes en l’air, je me précipite sur le balcon pour les espionner.
C’est ainsi que j’ai découvert différentes positions et pratiques comme le cunnilingus et la fellation. Je les ai même vus faire l’amour assis dans un fauteuil. Mon père avait le dos contre le dossier. Ma mère lui tournait le dos, les pieds en appui sur ses cuisses, elle montait et descendait sur la queue dressée. Je la voyais distinctement entrer et sortir de la vulve de ma mère.
Pour retenir ma mère, mon père avait les mains plaquées sur les seins et pinçait doucement les bourgeons entre ses doigts. Mes parents semblent cependant avoir une certaine prédilection pour la levrette ! Je ne l’ai su que très récemment. Ce soir là, il faisait encore très chaud car l’été approchait. La porte-fenêtre de la chambre de mes parents était entrouverte et j’ai entendu ma mère dire :• Encule-moi ! Fais-moi jouir du cul ! Tu sais que j’aime !
Je ne pouvais pas très bien voir ce qui se passait sur le lit conjugal. J’ai vu mon père se reculer, aller chercher un tube dans la table de nuit, injecter du produit puis prendre sa bite dans la main pour la placer au bon endroit après l’avoir couverte d’un préservatif. D’une seule poussée, il a investi le pertuis étroit de ma mère et tous les deux n’ont pas tardé à jouir.
Bien évidemment, à chaque fois je me caresse jusqu’à la jouissance en les regardant. Une fois dans mon lit entièrement nue, je pénètre ma chatte avec une mini bombe de laque pour jouir une nouvelle fois. Au début, j’utilisais le manche d’une brosse à cheveux mais il n’était pas assez gros pour bien me satisfaire.
Les soirées de veille à épier mes parents ne m’ont pas empêchée de décrocher mon bac avec mention. Je me prépare à aller passer trois semaines avec mes parents au bord de mer en Vendée. Pendant que je serai à l’école de voile, je sais qu’ils iront à la Pointe de l’Aiguillon où se trouve une plage naturiste.
Je les regarde désormais avec un autre œil, consciente que la sexualité n’est pas sale comme certaines de mes camarades le prétendent. Et peut-être, si je trouve un garçon plaisant qui le fasse la cour, je perdrai ma virginité toute relative au creux des dunes.
J’ai hâte de franchir ce pas ! J’y suis prête !
Puis mes premières règles sont apparues au cours de ma quinzième année. Ma mère, consciente des transformations de mon corps, a achevé de me donner les informations voulues sur la sexualité des filles et des garçons. Elle me recommanda la prudence en me disant que lorsque le moment serait venu, elle me conduirait chez le médecin pour qu’il me prescrive une pilule contraceptive. Elle ne voulait pas que comme elle, je me retrouve enceinte à 18 ans d’un garçon qui ne voudrait que s’amuser avec moi !
Je n’étais pas trop attirée par les garçons, donc cela ne me posait pas de problème. Je savais que des filles de ma classe avaient entre elles des relations saphiques. Cela ne m’intéressait pas plus que çà. Les caresses que je me prodiguais suffisaient à me satisfaire.
Au lycée, je poursuivais sagement mes études et j’obtenais d’excellents résultats. Nettement plus jeune que mon frère et ma sœur ainés qui avaient déjà quitté le nid familial, je vivais avec mes parents qui, à près de 50 ans, étaient amoureux comme au premier jour. Cependant, devant moi, ils n’avaient jamais d’attitude équivoque. Ils échangeaient de légers baisers mais comme cela était habituel, je ne trouvais rien de choquant.
Au printemps dernier, je me trouvais dans ma chambre où je révisais en vue d’un devoir sur table devant avoir lieu le surlendemain, en fait une épreuve du bac blanc. Il devait être un peu plus de 23 heures quand j’ai entendu des bruits inhabituels dans la chambre de mes parents qui est contigüe.
J’ai coupé le son de la radio qui diffusait en sourdine et j’ai prêté l’oreille. J’ai entendu ma mère pousser des soupirs comme ceux que j’étouffe lorsque je me caresse. En même temps j’entendais le sommier grincer en rythme. J’ai tout de suite compris que mes parents étaient en train de faire l’amour, d’autant que j’entendais assez distinctement ma mère encourager mon père :• Oui ! C’est bon ! Continues comme çà ! Baise-moi bien ! Fort ! Enfonce ta queue jusqu’au fond !
Jusqu’à présent, je ne les avais jamais entendus ou je n’avais pas fait attention. Le balcon dessert les trois chambres donnant sur la façade de la maison. Je suis sortie par la porte fenêtre et discrètement, je me suis approchée de celle donnant dans la chambre de mes parents qui était entrouverte. Dans le clair obscur de la pièce uniquement éclairée par la lampe du cabinet de toilette, j’ai découvert ma mère à genoux, le buste allongé devant elle et les bras reposant sur la tête de lit.
Je voyais ses seins se balancer doucement au rythme de la copulation de mon père qui avait ses hanches collées contre les fesses de ma mère. De ses mains puissantes il enserrait sa taille. Je découvrais leurs corps pour la première fois dans leur nudité intégrale.
Je connaissais le torse puissant et musclé de mon père et les seins ronds et généreux de ma mère toujours masqués par le soutien gorge de son maillot de bain lorsque nous étions à la mer. Là je distinguais le sexe de mon père qui pistonnait la chatte de sa femme avec ardeur. Les aréoles des seins de ma mère avaient un téton saillant gros comme une noisette. Il est vrai qu’elle avait nourri ses trois enfants au sein pendant de longs mois. Ce n’était pas extraordinaire.
Il m’était arrivé de regarder des gravures ou des photos licencieuses dans des revues échangées entre camarades, mais jamais je n’avais surpris ou vu un couple de cette manière. J’étais étonnée par la taille imposante du sexe de mon père, long et gros. Je sentais une douce chaleur au niveau de mon ventre, les bourgeons de mes seins étaient douloureux tant j’étais excitée.
Je ne portais qu’un long sweet-shirt qui me servait de chemise de nuit. Tout naturellement une main est remontée sous mon vêtement pour venir masser mes seins, qui avec les années avaient pris de l’ampleur. De l’autre je pénétrais ma chatte de deux doigts en faisant coulisser l’index et l’auriculaire sur mes lèvres intimes. J’étais littéralement inondée de mouille. De ma cachette, je n’entendais plus rien mais quel spectacle !
Soudain, j’ai vu mon père ouvrir la bouche comme s’il criait. Il est sorti de ma mère et son sexe a craché des jets puissants de sperme qui sont allés s’écraser sur les reins de ma mère qui a joui en même temps en portant sa main droite au niveau de son entrejambe. Ma jouissance a éclaté quelques secondes plus tard.
Un peu honteuse d’avoir épié ainsi mes parents, je suis rentrée dans ma chambre pour me coucher aussitôt. Mais quelle nuit j’ai passé ! Au petit matin, je me suis réveillée dans un lit aux draps totalement dévastés, chiffonnés dans tous les sens et une folle envie de me masturber me tenaillait. Avant de quitter la chaleur du lit et de me lever, je me suis caressée jusqu’à la jouissance.
Depuis, chaque fois que j’entends des bruits dans la chambre de mes parents, dès que je sais qu’ils sont annonciateurs d’une partie de jambes en l’air, je me précipite sur le balcon pour les espionner.
C’est ainsi que j’ai découvert différentes positions et pratiques comme le cunnilingus et la fellation. Je les ai même vus faire l’amour assis dans un fauteuil. Mon père avait le dos contre le dossier. Ma mère lui tournait le dos, les pieds en appui sur ses cuisses, elle montait et descendait sur la queue dressée. Je la voyais distinctement entrer et sortir de la vulve de ma mère.
Pour retenir ma mère, mon père avait les mains plaquées sur les seins et pinçait doucement les bourgeons entre ses doigts. Mes parents semblent cependant avoir une certaine prédilection pour la levrette ! Je ne l’ai su que très récemment. Ce soir là, il faisait encore très chaud car l’été approchait. La porte-fenêtre de la chambre de mes parents était entrouverte et j’ai entendu ma mère dire :• Encule-moi ! Fais-moi jouir du cul ! Tu sais que j’aime !
Je ne pouvais pas très bien voir ce qui se passait sur le lit conjugal. J’ai vu mon père se reculer, aller chercher un tube dans la table de nuit, injecter du produit puis prendre sa bite dans la main pour la placer au bon endroit après l’avoir couverte d’un préservatif. D’une seule poussée, il a investi le pertuis étroit de ma mère et tous les deux n’ont pas tardé à jouir.
Bien évidemment, à chaque fois je me caresse jusqu’à la jouissance en les regardant. Une fois dans mon lit entièrement nue, je pénètre ma chatte avec une mini bombe de laque pour jouir une nouvelle fois. Au début, j’utilisais le manche d’une brosse à cheveux mais il n’était pas assez gros pour bien me satisfaire.
Les soirées de veille à épier mes parents ne m’ont pas empêchée de décrocher mon bac avec mention. Je me prépare à aller passer trois semaines avec mes parents au bord de mer en Vendée. Pendant que je serai à l’école de voile, je sais qu’ils iront à la Pointe de l’Aiguillon où se trouve une plage naturiste.
Je les regarde désormais avec un autre œil, consciente que la sexualité n’est pas sale comme certaines de mes camarades le prétendent. Et peut-être, si je trouve un garçon plaisant qui le fasse la cour, je perdrai ma virginité toute relative au creux des dunes.
J’ai hâte de franchir ce pas ! J’y suis prête !
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