J'étais en minijupe quand l'ami de mon mari m’a fait ça

Récit érotique écrit par GM34280 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 27 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de GM34280 ont reçu un total de 153 157 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 2 626 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
J'étais en minijupe quand l'ami de mon mari m’a fait ça
Certaines nuits sont ainsi. Elles révèlent comment un simple plan peut échapper à tout contrôle. Cette nuit-là était précisément l'une de ces nuits où David a déclaré.
"Je veux que tu sois magnifique ce soir."
Nous étions trois couple à travailler dans la même société. Carl et Alex, Lise et Anthony, et David, mon mari, et moi, Émilie. Nous faisions souvent la fête le week-end, et je dois dire que ça ma saoulait. Ce voir toute la semaine, et en plus le week-end. J’aurai bien aimé de temps en temps, les passer avec David, seul, lui annoncer que nous attendions un heureux évènement. Mais bon, c’était la tradition.
Cependant, j’aurai dû comprendre que ce serait une soirée différente, mais ne le savais
J'aurais dû comprendre que ce serait une soirée plus qu’ordinaire, mais je ne le savais
pas, ou peut-être que je ne le voulais pas, car à la fin de cette nuit-là, tout ce que je pensais savoir sur moi-même, mes émotions et la direction que j'allais prendre dans ma vie allait tout changer à jamais.
Debout devant le miroir, ajustant ma courte jupe et mon chemisier, je me suis regardée une dernière foi, et me trouvais extrêmement belle, audacieuse. Mes longs cheveux lâchés tombaient en cascade sur mes épaules, et le rouge à lèvres carmin donnait un effet brillant à mes lèvres. David tomba d’admiration en me voyant ainsi vêtue.
- Ouah...tu es magnifique ma chérie...dois-je m’inquiéter ce soir ?
- Idiot, lui dis-je en lui caressant la joue...tu sais que c’est toi que j’aime.
Il se tenait à mes côtés, plus élégant que jamais dans son costume et me répéta encore que j’étais superbe. Mon amie Alex, se penchant pour me déposer un doux baiser dans mon cou, ajoutant que l'approbation dans ses yeux m'a donné un peu plus confiance. Ce soir, ça allait être inoubliable...Inoubliable, peut-être avait-il raison, mais ce que David entendait par inoubliable et ce que j'en viendrai à définir plus tard étaient deux choses totalement différentes.
Anthony et Carl étaient des amis d'enfance de David. Depuis l'arrivée de Lise et Alex, nous avions tous les six essayé d'organiser des rencontres de groupe. Mais celle-ci était différente. Je me souvenais à quel point David était insouciant avec eux, comment il riait et plaisantait. Maintenant ils étaient tous adultes, avec des responsabilités dans leur mariage, bientôt plus pour David qui allait être père, mais le lien entre eux n'avait pas disparu.
Rien qu'a entendre le nom d'Anthony provoquait un étrange malaise, son charisme était
écrasant. Anthony n'était pas quelqu'un qu'on pouvait oublier après l'avoir rencontré. Sa grande silhouette, ses traits marqués et ses yeux qui semblaient toujours garder un secret, dégageait une aura très dangereux, même avec Lise à ses côtés.
La présence d'Anthony avait le pouvoir de changer l'atmosphère d'une pièce et ce soir, j'étais sur le point de respirer cette atmosphère. Lorsque nous nous sommes croisés à l'extérieur du bar, j'ai senti son regard sur moi dès qu'il m'a aperçu. Lise était élégamment accroché à son bras, mais ses yeux perçants me scrutaient. Je me suis redressé et j'ai souris, essayant de calmer les battements de mon cœur.
- Émilie tu es magnifique, a murmuré Anthony d'une voix plus douce que d'habitude. Ses yeux ont brièvement dérivé vers mes jambes juste assez longtemps pour me faire sentir mal à l'aise, même avec David juste à côté de moi.
- Merci, répondis-je en essayant de garder ma voix stable.
Lise rit légèrement à quelque chose que Carl avait dit, mais l'attention d'Anthony ne
se détourna jamais de moi, alors que nous rassemblions nos boissons et prenions place. Carl et Alex étaient plongé dans une conversation animée, leur rire résonnant par-dessus la musique. David était juste à côté de moi, absorbé par les histoires, inconscient du fait que l'attention d'Anthony était fixée sur moi.
Anthony, assis à proximité, ne m'avait pas quitté des yeux une seconde. Le silence entre nous semblait plus fort que les rires qui nous entouraient, comme une tension que seul nous deux pouvions ressentir.
Ce malaise en moi devenait de plus en plus fort. L'intérêt qu'Anthony me porter, était presque palpable. Quand je bougeais légèrement, croisant les jambes en ajustant ma posture, je remarquais comment ses yeux suivaient chacun de mes mouvements. Je réalisais que c'était une vague de chaleur qui traversait mon corps, et ce n'était pas seulement de l'inconfort, c'était autre chose. Le frisson d'être au bord de l’interdit.
- Tu es inhabituellement calme Émilie, dit Anthony en prenant une gorgée de son verre,
Je me souviens que tu étais beaucoup plus bavarde, poursuivit-il de sa vox taquine.
- Parfois, c'est agréable de juste écouter, ai-je répondu.
Le léger sourire narquois sur ses lèvres m'a fait comprendre qu'il savait que je perdais le contrôle du jeu. David s'est levé pour saluer quelqu'un qu'il reconnaissait à une autre table, me laissant assise là. Presque instantanément, Anthony s'est rapproché de moi, son épaule effleurant la mienne. Je pouvais sentir son souffle chaud sur ma peau.
- Tu es absolument magnifique ce soir Émilie, murmura-t-il d'une voix basse et intime, tout en me tendant un verre.
Dans mon état, j’aurais dû le refuser, mais le voir si près de moi, si insistant, était à la fois excitant et troublant. Mon cœur battait la chamade et tout ce que je pouvais dire était « merci » mais au fond de moi, je savais que la proximité d'Anthony n'était pas innocente. A ce moment-là, j'ai senti que tout dans cette nuit commençait à changer, le regard d'Anthony, ses mots, sa proximité m'attirait tout en me donnant l'impression d'être au bord de quelque chose de dangereux.
Cette nuit-là, j'ai réalisé qu'elle allait être beaucoup plus longue que prévu. Certaines nuits ne sont pas que des nuits, ce sont des tournants, des moments où tout change.
Assise au bar, l'éclairage tamisé et le bourdonnement constant des conversations et des rires commençaient à me peser. David et Carl étaient perdus dans leur blague nostalgique, tandis qu'Anthony, assis à une autre table ne cessait de me jeter des regards. Il y avait quelque chose dans son regard, une profondeur qui semblait me piéger, chaque fois que je voulais l'éviter. Mais en même temps, je réalisais à quel point ce jeu tacite entre nous m'attirait,
Que ressentais-je envers lui ? C'était mal mais indéniablement séduisant. J'ai pris une grande inspiration en essayant de me concentrer sur mon verre, mais même pendant qu'Anthony riait à quelque chose que David avait dit, je pouvais sentir ses yeux s'attarder sur moi. Cela m'a déstabilisé. Tout le monde était là si proche et pourtant je me sentais isolée, exposée d'une manière que je ne pouvais pas expliquer.
David s'est penché à un moment donné, me demandant si je m'amusais. J'ai forcé un sourire en répondant « bien sûr », mais il n'avait aucune idée que j'avais l'esprit ailleurs. Quand il a rejoint Carl et Lise, Anthony n'a pas perdu un instant pour se glisser sur le siège à côté de moi.
- Tu es encore plus belle sous ces lumières tamisées, murmura-t-il.
Sa voix était si profonde et douce, que j'ai momentanément oublié comment respirer.
A cet instant, j'ai compris exactement ce qu'il essayait de faire.
- Anthony, dis-je la voix tremblante, pas ici, tout le monde est là, ce n'est pas le moment. Mais il a juste souri calme et sûr de lui. Que voulait dire le « pas ici ».
- Personne ne remarquera rien, je suis un professionnel, a-t-il dit comme si c'était un jeu qu'il maîtrisait déjà.
Puis, sous la table, sa main s'est posée légèrement sur ma cuisse, remontant dangereusement sous ma courte jupe. Mon cœur battait si fort lorsqu’il a écarté mon string, et insérer un doigt dans ma chatte, si fort que j'étais sur qu'il pouvait l'entendre. Le bruit environnant, les rires et les bavardages s'estompaient. Tout ce que je pouvais entendre était la voix d'Anthony et le chaos en moi. J'avais besoin de m'éloigner pour respirer.
Je me suis levée et me suis dirigée vers un endroit plus calme, près des toilettes. Mais Anthony ne m'a pas laissé m'échapper. Il m'a suivi alors que j'atteignais le Hall étroit. J'ai soudainement senti son souffle chaud dans ma nuque.
- Tu n'as pas besoin de courir, murmura-t-il d'une voix douce mais chargée, je veux juste te dire quelque chose.
Je me suis retourné pour lui faire face, et nos yeux se sont croisés. L'intensité de son regard m'a laissé complètement sans défense.
- C'est difficile de cacher ce que je ressens pour toi, a-t-il dit, sa voix lourde du poids de tous ce qui n'avait pas été dit.
- Anthony, ce n'est pas bien, répondis-je. Je suis mariée...à David.
Mais mon ton m'a trahi. Il était teinté de culpabilité et d'un désir que je ne pouvais nier. Anthony a lentement tendu la main, effleurant ma joue.
- Peut-être que ce n'est pas bien, dit-il doucement, mais c'est réel.
J'ai réalisé que je ne voulais plus me retenir quand il a prononcé ces mots. Les lèvres d'Anthony ont lentement rencontré les miennes. Il fit un petit pas en arrière ses yeux rivés sur les miens.
- Veux-tu venir chez moi ce soir, demanda-t-il d'un ton calme mais totalement confiant, on peut continuer à boire un verre bien sûr, mais plus important encore, on peut finir cette entretien.
Il était impossible de ne pas saisir le sens de ces mots. J'ai baissé la tête et suis retournée rejoindre les autres sans rien dire. Mon cœur battait fort, mes mains tremblaient. Comment allait se passer le reste de la soirée. Cette connexion avec Anthony, aussi mauvaise qu'elle paraissait s'était complètement emparé de moi.
Nous étions tous en train de nous détendre vraiment, surtout David et les autres qui étaient assez éméchés, à peine en contrôle. Quand la pièce est brièvement devenue silencieuse, Anthony a saisi l'occasion. Il a posé son verre sur la table s'est levé et a sourit à tout le monde.
- C'est l'heure de fermeture ici, mais aucun d'entre nous ne veut que la nuit se termine n'est-ce pas ? A-t-il dit d'une voix ferme et confiante. Continuons chez moi, à la maison d'été, nous pouvons tous traîner dans un endroit plus calme et garder cette nuit vivante
Tout le monde a immédiatement applaudi à l'idée, même un David ivre a crié.
- Ouais, la maison d'été serait génial.
Lise et Alex ont commencé à applaudir comme des folles, en signe d'approbation. J’ai jeté un coup d'œil à Anthony, il me regardait droit dans les yeux. A ce moment-là, j'ai eu le sentiment que le plan de la maison d'été était vraiment destiné à quelqu'un d'autre.
Puis Anthony a dit avec un sourire
- Entassons-nous dans nos voitures et allons-y, rendons cette nuit inoubliable.
Une fois arrivé à la maison d'été, tout s'est mis en place comme Anthony l'avait prévu. L'immense salon moderne a immédiatement attiré l'attention de tout le monde. Anthony a mis de la musique et a désigné une table chargée de bouteilles de vin.
- Allez continuons la fête a-t-il dit.
David, Carl et les autres se sont affalés sur les canapés, visiblement épuisés par l'alcool, et semblait complètement à l'ouest. Tout le monde riait et plaisantait tandis que Lise et Alex s'accrochaient l'une à l'autre en chantant. Anthony était totalement sobre, moi, oubliant mon état, était un peu éméchée. Anthony s'est approché et m’a demandé.
- Émilie, tu t'amuses ? Dit-il sans même essayer de cacher son regard.
J'ai tenté d'éviter ses yeux.
- Ouais, c'est génial, ai-je répondu, ma tension dans ma voix l'incitant à se rapprocher. Ma tête a commencé à tourner, l'alcool me donnait le vertige. J'ai posé mon verre sur la table et me suis dirigée vers David.
- Je crois que j'ai besoin d'une pause pipi, ai-je murmuré d'une voix basse, tremblante, toute cette boisson me perturbe l'estomac, j'ai besoin d’évacuer un peu.
David a essayé de se lever du canapé, mais il était trop ivre. Il m'a fait un geste vague en disant "Je vais te montrer Émilie." Puis a failli s'écraser sans même faire un pas.
Anthony est intervenu immédiatement, calme, totalement en contrôle comme toujours.
- David, reste là, je vais aider Émilie, a-t-il dit doucement en me prenant le bras.
Il s'est tourné vers les autres et a ajouté.
- Les gars, j’ai préparer la terrasse pour vous, l'air est frais, la nuit claire, finissons la nuit là-haut..
Anthony utilisait cela comme excuse pour m'entraîner à l'étage. Sa main a saisi mon bras et m'a guidé, faisant battre mon cœur à tout rompre.
Nos pas résonnaient dans les escaliers, et en moi un tourbillon d'anxiété et d'excitation s'entrechoquait. J'avais parfaitement compris ce qu'Anthony voulait dire, mais le plus étrange, c'est que je ne faisais rien pour l'arrêter. Lorsque nous avons atteint le dernier étage, nous nous sommes arrêtés devant une grande porte, l'avons ouverte et sommes entrés. Je jetais un coup d'œil rapide à la chambre. Anthony est arrivé derrière moi a fermé la porte en silence et s'est arrêté une seconde. Ses yeux se sont fixés sur les miens, comme s'il essayait de lire chaque émotion que je cachais.
La pièce était silencieuse à l'exception de notre respiration. Nous savions tous les deux ce qui allait se passer, mais nous attendions que quelque chose déclenche. Anthony fit un pas en avant et posa ses mains sur ma taille. Son contact était doux, mais je pouvais sentir cette attraction irrésistible sous la surface.
- Émilie, dit-il d'une voix basse et profonde, je peux voir ce que tu veux vraiment, c'est là, dans tes yeux, il n'y a aucune raison de le nier.
J'ai essayé de dire quelque chose, mais les mots sont restés coincés dans ma gorge.
Quand ces mains chaudes m'ont attiré plus près, mon cœur s'est emballé.
A la seconde où ses lèvres ont touché les miennes, j'ai eu l'impression que le temps s'arrêtait. Ce baiser était comme une vague libérant tout ce que j'avais refoulé, passionné et intense. La précipitation et la peur de se faire prendre se sont affronté en moi, renversant toutes mes défenses.
Alors que les mains d'Anthony parcouraient mon corps doucement mais fermement, j'ai totalement perdu le contrôle. J'ai tendu le bras, posé mes mains sur ses larges épaules avide de sa chaleur. Un petit halètement s'est échappé de mes lèvres, preuve de la force de son contact sur moi. Tout s'est accéléré si vite que je n'avais plus de prise sur la situation. Ses mains tremblantes ont commencé à défaire les boutons de ma chemise, et quand elle a glissé au sol, la façon dont les yeux d'Antony errait sur moi m'a fait frissonner. J'ai ensuite cherché la fermeture éclaire de ma jupe, sentant son regard me brûler tout le temps.
Ses yeux m'ont rendu plus audacieuse. Je me suis laissée tomber sur le lit, entièrement nue. Quand Anthony s'est penché vers moi, mes yeux se sont fixés sur son visage. A l'intérieur de moi, j'ai ressenti un mélange de solitude et de culpabilité, d'un côté et une excitation incontrôlable, de l'autre. Son contact a réveillé une chaleur dans mon corps que je n'avais pas ressenti depuis longtemps.
A ce moment-là, il n'y avait que nous deux au monde, pas de David, pas de grossesse, pas de rire venant d'en bas, juste nous et l'attraction interdite entre nous. Anthony s’est penché sur moi, passant ses mains dans mes cheveux, puis plaçant une main sur ma taille, il a lentement écarté mes cuisses et m’a pénétrée après s’être protégé.
- Ce soir, c'est juste toi et moi, a-t-il soufflé d'une voix douce mais ferme.
Mon cœur battait la chamade et la passion ainsi que l'excitation que je ressentais avait
atteint leur paroxysme. Je sentais une queue énorme s’agitait en moi. Anthony se précipitait aussi, essayant de ne pas se faire attraper. C'était la première fois que je faisais quelque chose d'aussi risqué et interdit.
J'étais incroyablement excitée, me sentant complètement différente. Peu de temps après, mon corps tout entier tremblait, se tendait, se perdait sans un terrible orgasme. J'avais presque l'impression de m'évanouir à ce moment-là. La nature interdite de cela
n'a fait qu'intensifier l'attraction entre nous.
En bas, à quelques mètres, David et les autres étaient là, mais même le poids de ce danger ne pouvait pas nous arrêter. Nous avons continué, plusieurs fois, j'avais l'impression que je pourrais tomber amoureuse d'Anthony à ce moment là. De près, Anthony se sentait si différent et soudain, j'ai dit que nous devions nous dépêcher.
- Anthony, c'est génial, mais devons arrêter ça.
Anthony avec sa manière sûre de lui a répondu.
- Ne t'inquiète pas Émilie, ça ira.
Nous avons continué, franchissant cette fois tous les interdits, tout ce que j’avais toujours refusé à David. Peu de temps après, nous avons tous les deux cédés. Nous étions essoufflés et rouges. Je pouvais voir nos deux corps et nous étions tous les deux extrêmement excités. Je ramassais mes vêtements à la hâte, encore à bout de souffle.
Quand j’ai enfin réalisé mon acte, mon cœur battait fort, comme sur le point d'exploser. La culpabilité peut-être. Je me suis tourné vers Anthony, sentis une larme sur ma joue.
- Maintenant descends et assure-toi que tout va bien. Je te rejoindrai sur la terrasse
Anthony hocha la tête avec un regard rassurant.
- Bien sûr Émilie, j'ai la situation sous contrôle, je t'attendrai a-t-il dit.
Il y avait ce calme dans sa voix qui m'a un peu apaisé, mais ses yeux portaient toujours l'écho de ce que nous avions fait ce soir-là. Je me suis dirigée vers la salle de bain et
j'ai pris une profonde inspiration à la seconde où j'ai fermé la porte. J'ai aperçu mon reflet dans le miroir, mes joues étaient rouges et les cernes aux yeux montraient encore l'impact de tout ce qui s'était passé ce soir-là.
Ce soir resterait un secret, mais la poussée de ce sentiment interdit et de la trahison résonnait encore en moi. Au moment où je me suis ressaisie et suis sortie sur la terrasse, tout monde riait et buvait toujours. Anthony se tenait sur le côté en attendant, mais j'ai fait comme si de rien n'était et je suis allée m'asseoir à côté de David. J'ai levé mon verre vers lui en souriant.
- Finissons la nuit ensemble, ai-je dit.
David ivre mes heureux, hocha la tête et leva son verre vers moi.
Cette nuit-là, j'ai bu inconsciemment, mais pas jusqu'à être saoule, mon était en me le permettait pas. Je me suis blottie contre David et je me suis assoupi, mon esprit débordant encore de ces moments. Le poids et l'excitation de ce qui s'était passé n'arrêtait pas de résonner en moi, mais je ressentais une certaine culpabilité, une erreur. Sur un coup de désir j’avais trompé mon mari. Pire, en rentrant ce soir là, je me refusais à lui.
Le lendemain, comme à son habitude, David se rendit au bureau. Quant à moi, je préférai prendre un jour de congé, pour éviter le regard d’Anthony. Je voulais effacer cette nuit. Je décidais de passer la journée chez mes parents.
Je rentrais vers dix sept heures. David arriva quelques minutes plus tard.
- Bonjour mon, chéri lui dis-je, en l'embrassant. Désolé pour cette buit, j'étais épuisée.
- Tu t'es peut-être trop donnée à Antony, répondit-il froidement.
Mon sang se glaça. Savait-il. Je pris une profonde inspiration.
- Quoi...tu fais allusion à quoi là...que je t'aurai trompé avec Antony ?
- Ne me prends pas pour un con, j'étais peur-être ivre, mais pas au point de ne pas voir ce qui se passait dans mon dos. Je vais te poser quelques questions. Si tu ne réponds pas dès la première, il n'y aura pas de deuxième, je quitte cette maison.
- Ben vas-y, dis-je sûre de moi.
- Montres-moi ton téléphone, dit-il.
- Hors de questions...c'est personnel, privé.
- Très bien, dit-il en se levant et se dirigeant vers la porte, c'était la première question.
J'étais prise au piège, et allait perdre David, l'homme de ma vie. J'enfouis mon visage dans mes mains, tandis qu'il posait sa main sur la poignée.
- Attends David...s'il te plaît, viens t'asseoir, dis-je en poussant le téléphone.
Il le dévouilla et lu les messages à haute voix.
" Quelle soirée Emile...torride...je n'imaginais pas un tel tempérammant chez toi. Es-tu en manques? Es-tu mal baisée? Tu penses qu'on peu se revoit dans la semaine ?
" Non Antkony, c'était une erreur, je suis mariée et j'aime mon mari. Je ne sais pourquoi je me suis donnée à toi, l'alcool est certainement responsable, et tu as profité de ma vulnaribilité. "
" Pourtant, t'as aimé , nest-ce pas"
" Je suis une femme, oui j'avoue avoir pris du plaisir, mais David m'en donne beaucoup plus. Aujourd'ui, j'allais lui annoncer qu'il allait être papa. S'il te plaît, ne me contacte plus.
Je m'écroulais, en larmes, tandis que le visage de David restait figé de surprise.
- Depuis combien de temps cela dure-t-il ?
- C'était la première fois, dis-je en larmes, je te le jure chéri, uniquement ce soir là.
Je lui demandais comment avait-il découvert ma trahison.
- Anthony parle trop Emilie. Carl est un expert en informatique. Anthomy avait prévu de finir chez lui, savait qu'il t'emmènerait dans son lit. Alors il a installé une mini caméra dans sa chambre. Pendant que tu te faisais baiser, lui te suivait, en direct. Puis il m'a envoiyé la video. Tu veux voir?
Anthony avait bien planifiait son coup, il avait tout maniguancé à mon insu, m'avais fait boire alors que je devais pas, et moi comme une conne, j'ai plongé dans son piège.
Les image sont sans équivoques, ma relation torride avec Anthony apparait sur l'écran, les mots, les position, les interdit. David veut tout savoir. Il me demande si je l'ai sucé, avalé, s'il m'a sodomisé. Je cachais mon visage dans mes mains et avouais.
- Oui...désolé...j'ai fait touf ça...je ne savais pas ce que je faisais...
- Et combien de fois as-tu jouis?
- S'i te plait David...je ne sais pas, puis voyant son regard...trois, quatre fois peut-être.
- Voila ce que tu vas faire, tu vas l'appeler et lui dire ce que je dicterais.
- Pourquoi ça...que vas-tu faire, dis-je inquiète, alors qu'il me désiganis le téléphone.
J'appelais Anyhony.
Tout heureux de m'entendre. Il me dit qu'il savait que je ne pourrai me passer de lui après cette nuit tumultueuse. Mais sa voix se tû quand je lui dis que David était près de moi, et savais tout.
- Je te le passe.
- Alors enfoiré, fier de toi.
J'entendais Anthony répondre d'un air arrogant.
" Putain, comme elle baise ta femme, ça doit la changer de se faire sodomiser par un vrai mâle, elle t'a dit combien de fois je l'ai faite crier...et pas une seule fois ton nom"
- Tant mieux pour toi, c'était pour te dire que j'ai une video de vôtre relation. Dans un quart d'heure, ta femme va la recevoir, et demain, ce sera le directeur...ça te va?
La ligne s'interrompit. Je suppliais David de ne pas faire ça, qu'ils avaient une petite fille, et que ça allait briser leur couple.
- Ecoutes Emilie, tu crois qu'il n'a pas brisé le nôtre, et avec ta participation en plus. Avez-vous pensais que vous brisiez le nôtre couple pendant qu'il te baisait, fallait y penser avant, et maintenant, ily a un enfant au milieu de tout ce que tu as jeté.
- S'il te plaît David, ne me repousse pas, j'ai fait une erreur, mais je vais consacrer ma vie pour réparer, auprès de toi.
- Je vais y réfléchir, pour l'enfant. Dans un premier temps, du efface Anthony de tes contacts, et tu dépose ta démission dès demain...ou c'est fini. A toi de choisir
Dans ma tête, le choix était tout fait, c'est avec David et nôtre enfant que je voulais, passer ma vie. J'acceptais toutes les conditions que David m'imposait.
Quelques mois plus tard, Jérémy est arrivé. Mais malgré ça, nôtre couple eut du mal à fonctionner comme avant. Il a fallu l'arrivée un an et demi plus tard de Lucy, pour former le couple que j'avais failli briser. Je t'aime David, l'amour de ma vie...
"Je veux que tu sois magnifique ce soir."
Nous étions trois couple à travailler dans la même société. Carl et Alex, Lise et Anthony, et David, mon mari, et moi, Émilie. Nous faisions souvent la fête le week-end, et je dois dire que ça ma saoulait. Ce voir toute la semaine, et en plus le week-end. J’aurai bien aimé de temps en temps, les passer avec David, seul, lui annoncer que nous attendions un heureux évènement. Mais bon, c’était la tradition.
Cependant, j’aurai dû comprendre que ce serait une soirée différente, mais ne le savais
J'aurais dû comprendre que ce serait une soirée plus qu’ordinaire, mais je ne le savais
pas, ou peut-être que je ne le voulais pas, car à la fin de cette nuit-là, tout ce que je pensais savoir sur moi-même, mes émotions et la direction que j'allais prendre dans ma vie allait tout changer à jamais.
Debout devant le miroir, ajustant ma courte jupe et mon chemisier, je me suis regardée une dernière foi, et me trouvais extrêmement belle, audacieuse. Mes longs cheveux lâchés tombaient en cascade sur mes épaules, et le rouge à lèvres carmin donnait un effet brillant à mes lèvres. David tomba d’admiration en me voyant ainsi vêtue.
- Ouah...tu es magnifique ma chérie...dois-je m’inquiéter ce soir ?
- Idiot, lui dis-je en lui caressant la joue...tu sais que c’est toi que j’aime.
Il se tenait à mes côtés, plus élégant que jamais dans son costume et me répéta encore que j’étais superbe. Mon amie Alex, se penchant pour me déposer un doux baiser dans mon cou, ajoutant que l'approbation dans ses yeux m'a donné un peu plus confiance. Ce soir, ça allait être inoubliable...Inoubliable, peut-être avait-il raison, mais ce que David entendait par inoubliable et ce que j'en viendrai à définir plus tard étaient deux choses totalement différentes.
Anthony et Carl étaient des amis d'enfance de David. Depuis l'arrivée de Lise et Alex, nous avions tous les six essayé d'organiser des rencontres de groupe. Mais celle-ci était différente. Je me souvenais à quel point David était insouciant avec eux, comment il riait et plaisantait. Maintenant ils étaient tous adultes, avec des responsabilités dans leur mariage, bientôt plus pour David qui allait être père, mais le lien entre eux n'avait pas disparu.
Rien qu'a entendre le nom d'Anthony provoquait un étrange malaise, son charisme était
écrasant. Anthony n'était pas quelqu'un qu'on pouvait oublier après l'avoir rencontré. Sa grande silhouette, ses traits marqués et ses yeux qui semblaient toujours garder un secret, dégageait une aura très dangereux, même avec Lise à ses côtés.
La présence d'Anthony avait le pouvoir de changer l'atmosphère d'une pièce et ce soir, j'étais sur le point de respirer cette atmosphère. Lorsque nous nous sommes croisés à l'extérieur du bar, j'ai senti son regard sur moi dès qu'il m'a aperçu. Lise était élégamment accroché à son bras, mais ses yeux perçants me scrutaient. Je me suis redressé et j'ai souris, essayant de calmer les battements de mon cœur.
- Émilie tu es magnifique, a murmuré Anthony d'une voix plus douce que d'habitude. Ses yeux ont brièvement dérivé vers mes jambes juste assez longtemps pour me faire sentir mal à l'aise, même avec David juste à côté de moi.
- Merci, répondis-je en essayant de garder ma voix stable.
Lise rit légèrement à quelque chose que Carl avait dit, mais l'attention d'Anthony ne
se détourna jamais de moi, alors que nous rassemblions nos boissons et prenions place. Carl et Alex étaient plongé dans une conversation animée, leur rire résonnant par-dessus la musique. David était juste à côté de moi, absorbé par les histoires, inconscient du fait que l'attention d'Anthony était fixée sur moi.
Anthony, assis à proximité, ne m'avait pas quitté des yeux une seconde. Le silence entre nous semblait plus fort que les rires qui nous entouraient, comme une tension que seul nous deux pouvions ressentir.
Ce malaise en moi devenait de plus en plus fort. L'intérêt qu'Anthony me porter, était presque palpable. Quand je bougeais légèrement, croisant les jambes en ajustant ma posture, je remarquais comment ses yeux suivaient chacun de mes mouvements. Je réalisais que c'était une vague de chaleur qui traversait mon corps, et ce n'était pas seulement de l'inconfort, c'était autre chose. Le frisson d'être au bord de l’interdit.
- Tu es inhabituellement calme Émilie, dit Anthony en prenant une gorgée de son verre,
Je me souviens que tu étais beaucoup plus bavarde, poursuivit-il de sa vox taquine.
- Parfois, c'est agréable de juste écouter, ai-je répondu.
Le léger sourire narquois sur ses lèvres m'a fait comprendre qu'il savait que je perdais le contrôle du jeu. David s'est levé pour saluer quelqu'un qu'il reconnaissait à une autre table, me laissant assise là. Presque instantanément, Anthony s'est rapproché de moi, son épaule effleurant la mienne. Je pouvais sentir son souffle chaud sur ma peau.
- Tu es absolument magnifique ce soir Émilie, murmura-t-il d'une voix basse et intime, tout en me tendant un verre.
Dans mon état, j’aurais dû le refuser, mais le voir si près de moi, si insistant, était à la fois excitant et troublant. Mon cœur battait la chamade et tout ce que je pouvais dire était « merci » mais au fond de moi, je savais que la proximité d'Anthony n'était pas innocente. A ce moment-là, j'ai senti que tout dans cette nuit commençait à changer, le regard d'Anthony, ses mots, sa proximité m'attirait tout en me donnant l'impression d'être au bord de quelque chose de dangereux.
Cette nuit-là, j'ai réalisé qu'elle allait être beaucoup plus longue que prévu. Certaines nuits ne sont pas que des nuits, ce sont des tournants, des moments où tout change.
Assise au bar, l'éclairage tamisé et le bourdonnement constant des conversations et des rires commençaient à me peser. David et Carl étaient perdus dans leur blague nostalgique, tandis qu'Anthony, assis à une autre table ne cessait de me jeter des regards. Il y avait quelque chose dans son regard, une profondeur qui semblait me piéger, chaque fois que je voulais l'éviter. Mais en même temps, je réalisais à quel point ce jeu tacite entre nous m'attirait,
Que ressentais-je envers lui ? C'était mal mais indéniablement séduisant. J'ai pris une grande inspiration en essayant de me concentrer sur mon verre, mais même pendant qu'Anthony riait à quelque chose que David avait dit, je pouvais sentir ses yeux s'attarder sur moi. Cela m'a déstabilisé. Tout le monde était là si proche et pourtant je me sentais isolée, exposée d'une manière que je ne pouvais pas expliquer.
David s'est penché à un moment donné, me demandant si je m'amusais. J'ai forcé un sourire en répondant « bien sûr », mais il n'avait aucune idée que j'avais l'esprit ailleurs. Quand il a rejoint Carl et Lise, Anthony n'a pas perdu un instant pour se glisser sur le siège à côté de moi.
- Tu es encore plus belle sous ces lumières tamisées, murmura-t-il.
Sa voix était si profonde et douce, que j'ai momentanément oublié comment respirer.
A cet instant, j'ai compris exactement ce qu'il essayait de faire.
- Anthony, dis-je la voix tremblante, pas ici, tout le monde est là, ce n'est pas le moment. Mais il a juste souri calme et sûr de lui. Que voulait dire le « pas ici ».
- Personne ne remarquera rien, je suis un professionnel, a-t-il dit comme si c'était un jeu qu'il maîtrisait déjà.
Puis, sous la table, sa main s'est posée légèrement sur ma cuisse, remontant dangereusement sous ma courte jupe. Mon cœur battait si fort lorsqu’il a écarté mon string, et insérer un doigt dans ma chatte, si fort que j'étais sur qu'il pouvait l'entendre. Le bruit environnant, les rires et les bavardages s'estompaient. Tout ce que je pouvais entendre était la voix d'Anthony et le chaos en moi. J'avais besoin de m'éloigner pour respirer.
Je me suis levée et me suis dirigée vers un endroit plus calme, près des toilettes. Mais Anthony ne m'a pas laissé m'échapper. Il m'a suivi alors que j'atteignais le Hall étroit. J'ai soudainement senti son souffle chaud dans ma nuque.
- Tu n'as pas besoin de courir, murmura-t-il d'une voix douce mais chargée, je veux juste te dire quelque chose.
Je me suis retourné pour lui faire face, et nos yeux se sont croisés. L'intensité de son regard m'a laissé complètement sans défense.
- C'est difficile de cacher ce que je ressens pour toi, a-t-il dit, sa voix lourde du poids de tous ce qui n'avait pas été dit.
- Anthony, ce n'est pas bien, répondis-je. Je suis mariée...à David.
Mais mon ton m'a trahi. Il était teinté de culpabilité et d'un désir que je ne pouvais nier. Anthony a lentement tendu la main, effleurant ma joue.
- Peut-être que ce n'est pas bien, dit-il doucement, mais c'est réel.
J'ai réalisé que je ne voulais plus me retenir quand il a prononcé ces mots. Les lèvres d'Anthony ont lentement rencontré les miennes. Il fit un petit pas en arrière ses yeux rivés sur les miens.
- Veux-tu venir chez moi ce soir, demanda-t-il d'un ton calme mais totalement confiant, on peut continuer à boire un verre bien sûr, mais plus important encore, on peut finir cette entretien.
Il était impossible de ne pas saisir le sens de ces mots. J'ai baissé la tête et suis retournée rejoindre les autres sans rien dire. Mon cœur battait fort, mes mains tremblaient. Comment allait se passer le reste de la soirée. Cette connexion avec Anthony, aussi mauvaise qu'elle paraissait s'était complètement emparé de moi.
Nous étions tous en train de nous détendre vraiment, surtout David et les autres qui étaient assez éméchés, à peine en contrôle. Quand la pièce est brièvement devenue silencieuse, Anthony a saisi l'occasion. Il a posé son verre sur la table s'est levé et a sourit à tout le monde.
- C'est l'heure de fermeture ici, mais aucun d'entre nous ne veut que la nuit se termine n'est-ce pas ? A-t-il dit d'une voix ferme et confiante. Continuons chez moi, à la maison d'été, nous pouvons tous traîner dans un endroit plus calme et garder cette nuit vivante
Tout le monde a immédiatement applaudi à l'idée, même un David ivre a crié.
- Ouais, la maison d'été serait génial.
Lise et Alex ont commencé à applaudir comme des folles, en signe d'approbation. J’ai jeté un coup d'œil à Anthony, il me regardait droit dans les yeux. A ce moment-là, j'ai eu le sentiment que le plan de la maison d'été était vraiment destiné à quelqu'un d'autre.
Puis Anthony a dit avec un sourire
- Entassons-nous dans nos voitures et allons-y, rendons cette nuit inoubliable.
Une fois arrivé à la maison d'été, tout s'est mis en place comme Anthony l'avait prévu. L'immense salon moderne a immédiatement attiré l'attention de tout le monde. Anthony a mis de la musique et a désigné une table chargée de bouteilles de vin.
- Allez continuons la fête a-t-il dit.
David, Carl et les autres se sont affalés sur les canapés, visiblement épuisés par l'alcool, et semblait complètement à l'ouest. Tout le monde riait et plaisantait tandis que Lise et Alex s'accrochaient l'une à l'autre en chantant. Anthony était totalement sobre, moi, oubliant mon état, était un peu éméchée. Anthony s'est approché et m’a demandé.
- Émilie, tu t'amuses ? Dit-il sans même essayer de cacher son regard.
J'ai tenté d'éviter ses yeux.
- Ouais, c'est génial, ai-je répondu, ma tension dans ma voix l'incitant à se rapprocher. Ma tête a commencé à tourner, l'alcool me donnait le vertige. J'ai posé mon verre sur la table et me suis dirigée vers David.
- Je crois que j'ai besoin d'une pause pipi, ai-je murmuré d'une voix basse, tremblante, toute cette boisson me perturbe l'estomac, j'ai besoin d’évacuer un peu.
David a essayé de se lever du canapé, mais il était trop ivre. Il m'a fait un geste vague en disant "Je vais te montrer Émilie." Puis a failli s'écraser sans même faire un pas.
Anthony est intervenu immédiatement, calme, totalement en contrôle comme toujours.
- David, reste là, je vais aider Émilie, a-t-il dit doucement en me prenant le bras.
Il s'est tourné vers les autres et a ajouté.
- Les gars, j’ai préparer la terrasse pour vous, l'air est frais, la nuit claire, finissons la nuit là-haut..
Anthony utilisait cela comme excuse pour m'entraîner à l'étage. Sa main a saisi mon bras et m'a guidé, faisant battre mon cœur à tout rompre.
Nos pas résonnaient dans les escaliers, et en moi un tourbillon d'anxiété et d'excitation s'entrechoquait. J'avais parfaitement compris ce qu'Anthony voulait dire, mais le plus étrange, c'est que je ne faisais rien pour l'arrêter. Lorsque nous avons atteint le dernier étage, nous nous sommes arrêtés devant une grande porte, l'avons ouverte et sommes entrés. Je jetais un coup d'œil rapide à la chambre. Anthony est arrivé derrière moi a fermé la porte en silence et s'est arrêté une seconde. Ses yeux se sont fixés sur les miens, comme s'il essayait de lire chaque émotion que je cachais.
La pièce était silencieuse à l'exception de notre respiration. Nous savions tous les deux ce qui allait se passer, mais nous attendions que quelque chose déclenche. Anthony fit un pas en avant et posa ses mains sur ma taille. Son contact était doux, mais je pouvais sentir cette attraction irrésistible sous la surface.
- Émilie, dit-il d'une voix basse et profonde, je peux voir ce que tu veux vraiment, c'est là, dans tes yeux, il n'y a aucune raison de le nier.
J'ai essayé de dire quelque chose, mais les mots sont restés coincés dans ma gorge.
Quand ces mains chaudes m'ont attiré plus près, mon cœur s'est emballé.
A la seconde où ses lèvres ont touché les miennes, j'ai eu l'impression que le temps s'arrêtait. Ce baiser était comme une vague libérant tout ce que j'avais refoulé, passionné et intense. La précipitation et la peur de se faire prendre se sont affronté en moi, renversant toutes mes défenses.
Alors que les mains d'Anthony parcouraient mon corps doucement mais fermement, j'ai totalement perdu le contrôle. J'ai tendu le bras, posé mes mains sur ses larges épaules avide de sa chaleur. Un petit halètement s'est échappé de mes lèvres, preuve de la force de son contact sur moi. Tout s'est accéléré si vite que je n'avais plus de prise sur la situation. Ses mains tremblantes ont commencé à défaire les boutons de ma chemise, et quand elle a glissé au sol, la façon dont les yeux d'Antony errait sur moi m'a fait frissonner. J'ai ensuite cherché la fermeture éclaire de ma jupe, sentant son regard me brûler tout le temps.
Ses yeux m'ont rendu plus audacieuse. Je me suis laissée tomber sur le lit, entièrement nue. Quand Anthony s'est penché vers moi, mes yeux se sont fixés sur son visage. A l'intérieur de moi, j'ai ressenti un mélange de solitude et de culpabilité, d'un côté et une excitation incontrôlable, de l'autre. Son contact a réveillé une chaleur dans mon corps que je n'avais pas ressenti depuis longtemps.
A ce moment-là, il n'y avait que nous deux au monde, pas de David, pas de grossesse, pas de rire venant d'en bas, juste nous et l'attraction interdite entre nous. Anthony s’est penché sur moi, passant ses mains dans mes cheveux, puis plaçant une main sur ma taille, il a lentement écarté mes cuisses et m’a pénétrée après s’être protégé.
- Ce soir, c'est juste toi et moi, a-t-il soufflé d'une voix douce mais ferme.
Mon cœur battait la chamade et la passion ainsi que l'excitation que je ressentais avait
atteint leur paroxysme. Je sentais une queue énorme s’agitait en moi. Anthony se précipitait aussi, essayant de ne pas se faire attraper. C'était la première fois que je faisais quelque chose d'aussi risqué et interdit.
J'étais incroyablement excitée, me sentant complètement différente. Peu de temps après, mon corps tout entier tremblait, se tendait, se perdait sans un terrible orgasme. J'avais presque l'impression de m'évanouir à ce moment-là. La nature interdite de cela
n'a fait qu'intensifier l'attraction entre nous.
En bas, à quelques mètres, David et les autres étaient là, mais même le poids de ce danger ne pouvait pas nous arrêter. Nous avons continué, plusieurs fois, j'avais l'impression que je pourrais tomber amoureuse d'Anthony à ce moment là. De près, Anthony se sentait si différent et soudain, j'ai dit que nous devions nous dépêcher.
- Anthony, c'est génial, mais devons arrêter ça.
Anthony avec sa manière sûre de lui a répondu.
- Ne t'inquiète pas Émilie, ça ira.
Nous avons continué, franchissant cette fois tous les interdits, tout ce que j’avais toujours refusé à David. Peu de temps après, nous avons tous les deux cédés. Nous étions essoufflés et rouges. Je pouvais voir nos deux corps et nous étions tous les deux extrêmement excités. Je ramassais mes vêtements à la hâte, encore à bout de souffle.
Quand j’ai enfin réalisé mon acte, mon cœur battait fort, comme sur le point d'exploser. La culpabilité peut-être. Je me suis tourné vers Anthony, sentis une larme sur ma joue.
- Maintenant descends et assure-toi que tout va bien. Je te rejoindrai sur la terrasse
Anthony hocha la tête avec un regard rassurant.
- Bien sûr Émilie, j'ai la situation sous contrôle, je t'attendrai a-t-il dit.
Il y avait ce calme dans sa voix qui m'a un peu apaisé, mais ses yeux portaient toujours l'écho de ce que nous avions fait ce soir-là. Je me suis dirigée vers la salle de bain et
j'ai pris une profonde inspiration à la seconde où j'ai fermé la porte. J'ai aperçu mon reflet dans le miroir, mes joues étaient rouges et les cernes aux yeux montraient encore l'impact de tout ce qui s'était passé ce soir-là.
Ce soir resterait un secret, mais la poussée de ce sentiment interdit et de la trahison résonnait encore en moi. Au moment où je me suis ressaisie et suis sortie sur la terrasse, tout monde riait et buvait toujours. Anthony se tenait sur le côté en attendant, mais j'ai fait comme si de rien n'était et je suis allée m'asseoir à côté de David. J'ai levé mon verre vers lui en souriant.
- Finissons la nuit ensemble, ai-je dit.
David ivre mes heureux, hocha la tête et leva son verre vers moi.
Cette nuit-là, j'ai bu inconsciemment, mais pas jusqu'à être saoule, mon était en me le permettait pas. Je me suis blottie contre David et je me suis assoupi, mon esprit débordant encore de ces moments. Le poids et l'excitation de ce qui s'était passé n'arrêtait pas de résonner en moi, mais je ressentais une certaine culpabilité, une erreur. Sur un coup de désir j’avais trompé mon mari. Pire, en rentrant ce soir là, je me refusais à lui.
Le lendemain, comme à son habitude, David se rendit au bureau. Quant à moi, je préférai prendre un jour de congé, pour éviter le regard d’Anthony. Je voulais effacer cette nuit. Je décidais de passer la journée chez mes parents.
Je rentrais vers dix sept heures. David arriva quelques minutes plus tard.
- Bonjour mon, chéri lui dis-je, en l'embrassant. Désolé pour cette buit, j'étais épuisée.
- Tu t'es peut-être trop donnée à Antony, répondit-il froidement.
Mon sang se glaça. Savait-il. Je pris une profonde inspiration.
- Quoi...tu fais allusion à quoi là...que je t'aurai trompé avec Antony ?
- Ne me prends pas pour un con, j'étais peur-être ivre, mais pas au point de ne pas voir ce qui se passait dans mon dos. Je vais te poser quelques questions. Si tu ne réponds pas dès la première, il n'y aura pas de deuxième, je quitte cette maison.
- Ben vas-y, dis-je sûre de moi.
- Montres-moi ton téléphone, dit-il.
- Hors de questions...c'est personnel, privé.
- Très bien, dit-il en se levant et se dirigeant vers la porte, c'était la première question.
J'étais prise au piège, et allait perdre David, l'homme de ma vie. J'enfouis mon visage dans mes mains, tandis qu'il posait sa main sur la poignée.
- Attends David...s'il te plaît, viens t'asseoir, dis-je en poussant le téléphone.
Il le dévouilla et lu les messages à haute voix.
" Quelle soirée Emile...torride...je n'imaginais pas un tel tempérammant chez toi. Es-tu en manques? Es-tu mal baisée? Tu penses qu'on peu se revoit dans la semaine ?
" Non Antkony, c'était une erreur, je suis mariée et j'aime mon mari. Je ne sais pourquoi je me suis donnée à toi, l'alcool est certainement responsable, et tu as profité de ma vulnaribilité. "
" Pourtant, t'as aimé , nest-ce pas"
" Je suis une femme, oui j'avoue avoir pris du plaisir, mais David m'en donne beaucoup plus. Aujourd'ui, j'allais lui annoncer qu'il allait être papa. S'il te plaît, ne me contacte plus.
Je m'écroulais, en larmes, tandis que le visage de David restait figé de surprise.
- Depuis combien de temps cela dure-t-il ?
- C'était la première fois, dis-je en larmes, je te le jure chéri, uniquement ce soir là.
Je lui demandais comment avait-il découvert ma trahison.
- Anthony parle trop Emilie. Carl est un expert en informatique. Anthomy avait prévu de finir chez lui, savait qu'il t'emmènerait dans son lit. Alors il a installé une mini caméra dans sa chambre. Pendant que tu te faisais baiser, lui te suivait, en direct. Puis il m'a envoiyé la video. Tu veux voir?
Anthony avait bien planifiait son coup, il avait tout maniguancé à mon insu, m'avais fait boire alors que je devais pas, et moi comme une conne, j'ai plongé dans son piège.
Les image sont sans équivoques, ma relation torride avec Anthony apparait sur l'écran, les mots, les position, les interdit. David veut tout savoir. Il me demande si je l'ai sucé, avalé, s'il m'a sodomisé. Je cachais mon visage dans mes mains et avouais.
- Oui...désolé...j'ai fait touf ça...je ne savais pas ce que je faisais...
- Et combien de fois as-tu jouis?
- S'i te plait David...je ne sais pas, puis voyant son regard...trois, quatre fois peut-être.
- Voila ce que tu vas faire, tu vas l'appeler et lui dire ce que je dicterais.
- Pourquoi ça...que vas-tu faire, dis-je inquiète, alors qu'il me désiganis le téléphone.
J'appelais Anyhony.
Tout heureux de m'entendre. Il me dit qu'il savait que je ne pourrai me passer de lui après cette nuit tumultueuse. Mais sa voix se tû quand je lui dis que David était près de moi, et savais tout.
- Je te le passe.
- Alors enfoiré, fier de toi.
J'entendais Anthony répondre d'un air arrogant.
" Putain, comme elle baise ta femme, ça doit la changer de se faire sodomiser par un vrai mâle, elle t'a dit combien de fois je l'ai faite crier...et pas une seule fois ton nom"
- Tant mieux pour toi, c'était pour te dire que j'ai une video de vôtre relation. Dans un quart d'heure, ta femme va la recevoir, et demain, ce sera le directeur...ça te va?
La ligne s'interrompit. Je suppliais David de ne pas faire ça, qu'ils avaient une petite fille, et que ça allait briser leur couple.
- Ecoutes Emilie, tu crois qu'il n'a pas brisé le nôtre, et avec ta participation en plus. Avez-vous pensais que vous brisiez le nôtre couple pendant qu'il te baisait, fallait y penser avant, et maintenant, ily a un enfant au milieu de tout ce que tu as jeté.
- S'il te plaît David, ne me repousse pas, j'ai fait une erreur, mais je vais consacrer ma vie pour réparer, auprès de toi.
- Je vais y réfléchir, pour l'enfant. Dans un premier temps, du efface Anthony de tes contacts, et tu dépose ta démission dès demain...ou c'est fini. A toi de choisir
Dans ma tête, le choix était tout fait, c'est avec David et nôtre enfant que je voulais, passer ma vie. J'acceptais toutes les conditions que David m'imposait.
Quelques mois plus tard, Jérémy est arrivé. Mais malgré ça, nôtre couple eut du mal à fonctionner comme avant. Il a fallu l'arrivée un an et demi plus tard de Lucy, pour former le couple que j'avais failli briser. Je t'aime David, l'amour de ma vie...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par GM34280
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Sans parler de la prise de risque de niquer sans capotes, la femme est complétement conne avec des excuses en bois.
Le mec aurait du divorcé au vu de la prise de risque et de la trahison.
Décidément ça oui vos mecs ont reperdu leurs couilles en route.
Le mec aurait du divorcé au vu de la prise de risque et de la trahison.
Décidément ça oui vos mecs ont reperdu leurs couilles en route.

