je console ma belle-mère
Récit érotique écrit par Romansexy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 12 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 7.7
- • L'ensemble des récits érotiques de Romansexy ont reçu un total de 400 120 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-05-2012 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 56 642 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
je console ma belle-mère
ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS
A 79 ans ma belle-mère Camille vient de perdre son mari. Assis à côté d’elle dans le
canapé je tente de la réconforter mais cela fait longtemps que j’ai envie d’elle et
l’occasion est trop belle. Je lui propose un café que j’agrémente de 3 somnifères. Dix
minutes plus tard elle dort profondément. Je lui caresse la joue : pas de réaction. Je
me penche sur elle et l’embrasse sur la bouche. Camille reste inerte. Ma langue se
glisse entre ses lèvres et passe sur ses dents. Je lui caresse la cuisse et retrousse
sa robe.
Hummm, depuis le temps que je rêve de te faire l’amour… lui murmure-je à l’oreille.
Il est sûr que vue ainsi, pour un œil extérieur, elle n’a rien d’attirant : mi-bas,
culotte de grand-mère, 79 ans, ridée, mais pour moi, tout cela ajouté au fait qu’elle
soit la mère de mon épouse m’excite.
Je passe ma main dans sa culotte et lui caresse le pubis. Mes doigts glissent sur sa
fente et s’introduisent entre les lèvres de son sexe tandis que je continue à
l’embrasser sur la bouche.
Doucement, je fais descendre sa culotte le long de ses jambes maigres. Je lui écarte
les cuisses. Sa chatte est un appel irrésistible. Je me déculotte et m’agenouille
entre ses cuisses. Sans peine, mon gland pénètre sa chatte tiède. Mon pénis entier est
avalé. Je la tiens par les fesses et commence un lent va et vient. Elle est bien
étroite comme je le présentais. Quel dommage que j’ai du la droguer. Malgré cela elle
gémit et râle sous mes coups de boutoir.
Je lui déboutonne sa robe, soulève son soutien-gorge : hummm ces tout petits seins… je
les lui pelote… je l’allonge sur le canapé et m’allonge sur elle pour reprendre ma
pénétration. Il ne me faut pas longtemps pour éjaculer. a peine ai-je inondé le vagin
de ma belle-mère que je le regrette : il faut que je fasse disparaitre ce sperme avant
son réveil. J’enfouis la tête entre ses cuisses et la lèche profondément pour aspirer
le maximum de sperme. Un petit coup de mouchoir et la voilà toute propre.
Je la rhabille, me reculotte et reprends place innocemment à ses côtés.
Camille émerge doucement mais se sent chancelante. Je l’accompagne jusqu’à sa chambre
comme un gendre attentionné et l’aide à se mettre en chemise de nuit avant de la
mettre au lit. Elle me remercie et s’excuse du mal qu’elle me donne. Pour toute
réponse je lui donne un tendre baiser en lui affirmant que c’est tout naturel.
Camille s’endort. Je l’embrasse une dernière fois, lui caresse les seins et me retire.
Maintenant que j’ai goûté à ma belle-mère endormie il va falloir y goûter éveillée…
L’occasion se présente bientôt :
Camille ayant besoin d’aide pour démonter le lit médicalisé, elle me demande de passer
chez elle.
Tandis que je travaille au démontage, accroupie à côté de moi elle me demande soudain
:
- Daniel, que s’est-il passé l’autre jour ?
Je feints l’étonnement.
- Comment cela ?
- Il me semble m’être endormie rapidement et j’ai fait des rêves bizarres.
- Bizarres comment ?
- Ca me gêne un peu… je me demande si ce sont des rêves ou si…
- C’était des rêves agréables ?
- Oui mais… ce n’est rien, oublie !
- Non, raconte, tu m’intrigues.
- …
- Allez !
- Et bien… j’ai cru que tu me touchais.
- Dans ton rêve ?
- Dans mon rêve ou… je ne sais pas.
- Et tu aimais ?
- Oublie, je n’aurais pas dû t’en parler, je suis sotte.
- Si tu as aimé il ne faut pas en avoir honte Camille.
- Tu te rends compte ?!
- Oui, mais ton rêve est très flatteur pour moi.
- Tu es sûr que je rêvais ? j’en doute.
- Tu en doute mais tu as aimé.
- Oui.
Je m’approche de ma belle-mère et l’embrasse tendrement sur les lèvres.
- Daniel ! murmure-t-elle sur un ton de reproche.
Je l’enlace plus étroitement et l’embrasse à nouveau.
- Tu aimes Camille ?
- Il ne faut pas !
- Tu aimes ?
- … oui.
Je la renverse sur la moquette et sans cesser de l’embrasser je passe ma main sur sa
cuisse et retrousse sa robe. Je lui masse la chatte par-dessus son slip, remonte sur
son ventre, redescends en prenant soin de glisser sous l’élastique du slip pour
enfouir mes doigts dans sa toison pubienne.
Ma belle-mère serre les cuisses et proteste mollement.
J’écarte son slip et la lèche longuement. Je lui enfonce les doigts dans sa chatte
trempée.
- Doucement Daniel.
- J’ai trop envie de toi.
J’ouvre ma braguette, je sors ma queue et me couche entre les cuisses de la vieille
femme. Son slip rapidement écarté je lui enfonce ma bite bien dure dans la chatte. Je
la besogne furieusement. Elle gémit, se plaint de ma brutalité mais ne cherche pas à
s’y soustraire.
- Je vais te baiser salope !
- Daniel ! non ! doucement !
Ses protestations m’excitent et je redouble d’ardeur. Je lui défonce sa vieille chatte
trempée et je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer.
Quelques coups de reins, un arrêt, je me mets bien au fond, ça y est, je lui ai tout
craché dans son vagin étroit.
J’en sors et contemple mon sperme couler sur sa vulve et tremper son slip.
- Daniel, je ne te savais pas comme ça !
Je m’allonge contre elle et l’embrasse tendrement.
- Maintenant je vais être tendre ma chérie…
- Tu m’as fait peur Daniel !
- Ça t’a excitée.
- Oui, c’est vrai.
- Suce-moi Camille !
Ma belle-mère se penche sur mon sexe mou et s’emploie à lui redonner vie.
Camille promène sa langue un peu partout dans les plis et replis de ma verge. Elle
aime sentir le relief en contournant avec la langue le gland qui se présente à elle.
Titiller avec la langue dure, tourner autour, sucer cette peau qu’elle fait monter sur
sa langue.
Elle goûte un peu à cette petite mouille qui sort et l'aspire, elle se retire en
laissant un petit filet relier le sexe à sa bouche, il s'étire se casse et elle sent
ce petit peu de liquide refroidi.
Elle suce lentement en alternant avec les mains les caresses aux couilles, aux
cuisses, au ventre, aux fesses et parfois titille tout doucement l'anus. Couché sur le
dos et les cuisses bien ouvertes la vieille femme me lèche tout.
Un peu avec la main, un peu avec la bouche elle sent mon excitation monter et de plus
en plus souvent je remue des hanches et je durcis ma bite bien chaude.
Elle reste comme ça assez longtemps et sent le plaisir monter, car on le sent très
bien venir avant même que je gémisse.
Elle sait que j’ai envie de laisser couler ma décharge dans sa bouche, mais elle fait
attention car elle n'aime pas tout prendre et vite avaler. Elle préfère en prendre
qu'une partie et la garder un peu pour en profiter.
- J’ai envie d'en avoir en bouche et sur les lèvres.
Je décharge dans sa bouche.
- Embrasse mes lèvres poisseuses Daniel !
Je m’exécute. Nous partageons mon sperme.
Je la regarde.
- Hummm, Camille, rien ne vaut l’expérience.
- N’est-ce pas ? pas mal pour une vieille !
- Pas mal du tout…
Et elle reprend ma queue en bouche pour avaler le reste du sperme qu’elle avait réussi
à conserver sur le gland.
En experte, elle me nettoie la verge, la caresse l’embrasse.
- Un bel instrument comme ça, il faut en prendre soin. Me dit-elle d’un air
coquin.
Je l’embrasse longuement. Nous avons du temps devant nous et je suis sûr qu’elle a
beaucoup à m’apprendre…
A 79 ans ma belle-mère Camille vient de perdre son mari. Assis à côté d’elle dans le
canapé je tente de la réconforter mais cela fait longtemps que j’ai envie d’elle et
l’occasion est trop belle. Je lui propose un café que j’agrémente de 3 somnifères. Dix
minutes plus tard elle dort profondément. Je lui caresse la joue : pas de réaction. Je
me penche sur elle et l’embrasse sur la bouche. Camille reste inerte. Ma langue se
glisse entre ses lèvres et passe sur ses dents. Je lui caresse la cuisse et retrousse
sa robe.
Hummm, depuis le temps que je rêve de te faire l’amour… lui murmure-je à l’oreille.
Il est sûr que vue ainsi, pour un œil extérieur, elle n’a rien d’attirant : mi-bas,
culotte de grand-mère, 79 ans, ridée, mais pour moi, tout cela ajouté au fait qu’elle
soit la mère de mon épouse m’excite.
Je passe ma main dans sa culotte et lui caresse le pubis. Mes doigts glissent sur sa
fente et s’introduisent entre les lèvres de son sexe tandis que je continue à
l’embrasser sur la bouche.
Doucement, je fais descendre sa culotte le long de ses jambes maigres. Je lui écarte
les cuisses. Sa chatte est un appel irrésistible. Je me déculotte et m’agenouille
entre ses cuisses. Sans peine, mon gland pénètre sa chatte tiède. Mon pénis entier est
avalé. Je la tiens par les fesses et commence un lent va et vient. Elle est bien
étroite comme je le présentais. Quel dommage que j’ai du la droguer. Malgré cela elle
gémit et râle sous mes coups de boutoir.
Je lui déboutonne sa robe, soulève son soutien-gorge : hummm ces tout petits seins… je
les lui pelote… je l’allonge sur le canapé et m’allonge sur elle pour reprendre ma
pénétration. Il ne me faut pas longtemps pour éjaculer. a peine ai-je inondé le vagin
de ma belle-mère que je le regrette : il faut que je fasse disparaitre ce sperme avant
son réveil. J’enfouis la tête entre ses cuisses et la lèche profondément pour aspirer
le maximum de sperme. Un petit coup de mouchoir et la voilà toute propre.
Je la rhabille, me reculotte et reprends place innocemment à ses côtés.
Camille émerge doucement mais se sent chancelante. Je l’accompagne jusqu’à sa chambre
comme un gendre attentionné et l’aide à se mettre en chemise de nuit avant de la
mettre au lit. Elle me remercie et s’excuse du mal qu’elle me donne. Pour toute
réponse je lui donne un tendre baiser en lui affirmant que c’est tout naturel.
Camille s’endort. Je l’embrasse une dernière fois, lui caresse les seins et me retire.
Maintenant que j’ai goûté à ma belle-mère endormie il va falloir y goûter éveillée…
L’occasion se présente bientôt :
Camille ayant besoin d’aide pour démonter le lit médicalisé, elle me demande de passer
chez elle.
Tandis que je travaille au démontage, accroupie à côté de moi elle me demande soudain
:
- Daniel, que s’est-il passé l’autre jour ?
Je feints l’étonnement.
- Comment cela ?
- Il me semble m’être endormie rapidement et j’ai fait des rêves bizarres.
- Bizarres comment ?
- Ca me gêne un peu… je me demande si ce sont des rêves ou si…
- C’était des rêves agréables ?
- Oui mais… ce n’est rien, oublie !
- Non, raconte, tu m’intrigues.
- …
- Allez !
- Et bien… j’ai cru que tu me touchais.
- Dans ton rêve ?
- Dans mon rêve ou… je ne sais pas.
- Et tu aimais ?
- Oublie, je n’aurais pas dû t’en parler, je suis sotte.
- Si tu as aimé il ne faut pas en avoir honte Camille.
- Tu te rends compte ?!
- Oui, mais ton rêve est très flatteur pour moi.
- Tu es sûr que je rêvais ? j’en doute.
- Tu en doute mais tu as aimé.
- Oui.
Je m’approche de ma belle-mère et l’embrasse tendrement sur les lèvres.
- Daniel ! murmure-t-elle sur un ton de reproche.
Je l’enlace plus étroitement et l’embrasse à nouveau.
- Tu aimes Camille ?
- Il ne faut pas !
- Tu aimes ?
- … oui.
Je la renverse sur la moquette et sans cesser de l’embrasser je passe ma main sur sa
cuisse et retrousse sa robe. Je lui masse la chatte par-dessus son slip, remonte sur
son ventre, redescends en prenant soin de glisser sous l’élastique du slip pour
enfouir mes doigts dans sa toison pubienne.
Ma belle-mère serre les cuisses et proteste mollement.
J’écarte son slip et la lèche longuement. Je lui enfonce les doigts dans sa chatte
trempée.
- Doucement Daniel.
- J’ai trop envie de toi.
J’ouvre ma braguette, je sors ma queue et me couche entre les cuisses de la vieille
femme. Son slip rapidement écarté je lui enfonce ma bite bien dure dans la chatte. Je
la besogne furieusement. Elle gémit, se plaint de ma brutalité mais ne cherche pas à
s’y soustraire.
- Je vais te baiser salope !
- Daniel ! non ! doucement !
Ses protestations m’excitent et je redouble d’ardeur. Je lui défonce sa vieille chatte
trempée et je sens que je ne vais pas tarder à éjaculer.
Quelques coups de reins, un arrêt, je me mets bien au fond, ça y est, je lui ai tout
craché dans son vagin étroit.
J’en sors et contemple mon sperme couler sur sa vulve et tremper son slip.
- Daniel, je ne te savais pas comme ça !
Je m’allonge contre elle et l’embrasse tendrement.
- Maintenant je vais être tendre ma chérie…
- Tu m’as fait peur Daniel !
- Ça t’a excitée.
- Oui, c’est vrai.
- Suce-moi Camille !
Ma belle-mère se penche sur mon sexe mou et s’emploie à lui redonner vie.
Camille promène sa langue un peu partout dans les plis et replis de ma verge. Elle
aime sentir le relief en contournant avec la langue le gland qui se présente à elle.
Titiller avec la langue dure, tourner autour, sucer cette peau qu’elle fait monter sur
sa langue.
Elle goûte un peu à cette petite mouille qui sort et l'aspire, elle se retire en
laissant un petit filet relier le sexe à sa bouche, il s'étire se casse et elle sent
ce petit peu de liquide refroidi.
Elle suce lentement en alternant avec les mains les caresses aux couilles, aux
cuisses, au ventre, aux fesses et parfois titille tout doucement l'anus. Couché sur le
dos et les cuisses bien ouvertes la vieille femme me lèche tout.
Un peu avec la main, un peu avec la bouche elle sent mon excitation monter et de plus
en plus souvent je remue des hanches et je durcis ma bite bien chaude.
Elle reste comme ça assez longtemps et sent le plaisir monter, car on le sent très
bien venir avant même que je gémisse.
Elle sait que j’ai envie de laisser couler ma décharge dans sa bouche, mais elle fait
attention car elle n'aime pas tout prendre et vite avaler. Elle préfère en prendre
qu'une partie et la garder un peu pour en profiter.
- J’ai envie d'en avoir en bouche et sur les lèvres.
Je décharge dans sa bouche.
- Embrasse mes lèvres poisseuses Daniel !
Je m’exécute. Nous partageons mon sperme.
Je la regarde.
- Hummm, Camille, rien ne vaut l’expérience.
- N’est-ce pas ? pas mal pour une vieille !
- Pas mal du tout…
Et elle reprend ma queue en bouche pour avaler le reste du sperme qu’elle avait réussi
à conserver sur le gland.
En experte, elle me nettoie la verge, la caresse l’embrasse.
- Un bel instrument comme ça, il faut en prendre soin. Me dit-elle d’un air
coquin.
Je l’embrasse longuement. Nous avons du temps devant nous et je suis sûr qu’elle a
beaucoup à m’apprendre…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Romansexy
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...