Je lui dois tout ... - histoire érotique

Après trois ans de lutte, a dix sept ans j’ai échappé par miracle à une longue maladie qui m’a privé de mon adolescence
Aujourd’hui j’ai dix huit ans, mes cheveux ont repoussé je me suis reconstruit moralement et physiquement, maintenant ont me dit beau gosse mais je ne connais rien aux filles, ce qui me rassurait c’est les réflexions rigolotes des infirmières lorsqu’elles me faisaient la toilette intime aux pires moments

- Les filles auront de quoi se régaler avec un engin pareil

Je leur faisais confiance sur leur jugement, elles savent de quoi elles parlent ces femmes !
Il y a aussi ma belle-sœur Lili de vingt -trois ans qui venait me voir des après midi entiers a l’hôpital, mariée depuis deux ans a mon frère âgé de vingt- quatre ans
J’aimais son physique d’où émanait un érotisme terrible, son franc- parler et aussi les parties cachées de son corps qu’elles me dévoilaient furtivement de temps en temps dans l’intimité de ma chambre a un lit, je suis sûr que c’était volontaire et qu’elle ne cachait rien à mon frère, a ce sujet elle m’a avoué qu’il l’envoyait me voir pour me redonner goût a la vie, souvent elle se penchais vers moi , son décolleté laissait voir deux beaux seins bien ronds, libres de toutes entraves, un fois qu’elle étais assise sur mon lit j’ai vu furtivement des boucles blondes entre ses cuisse ouvertes
Depuis que je suis rentré à la maison, elle continue à venir me voir pour me taquiner

- Alors Yoann ? Quand est-ce que tu nous présentes une fille ?
- J’ai pris du retard dans ce domaine, j’en connais bien une qui me plait et qui me fait des sourires, mais je n’ose pas l’aborder
- Justement avec ton frère, nous en avons parlé, il est d’accord pour que je te donne un ou deux ‘cours accélérés’ !
- C'est-à-dire ?
- Ne nous voilons pas la face, tu es vierge ?
- Je ne sais même pas comment embrasser ou caresser superficiellement une fille
- C’est là que je peux intervenir, donne moi ta main ….. Palpe mon sein … va y franchement ! Voilà comme ça, pas trop fort, que ressens-tu ?
- Beeeeennnnnn … c’est doux, moelleux … ça prend bien la forme de la main …
- C’est tout ce que ça te fait ?
- Non, … j’ai une érection …
- Bien ! Retient -toi, approche, enlaces moi, n’ai pas peur de me coller, ta queue ne va pas traverser le tissu ! approche tes lèvres des miennes … entrouvre la bouche, je suis ta belle -sœur donc tu va simplement effleurer ma langue avec la tienne, si j’étais une autre fille tu lui enfoncerais carrément dans la bouche en échangeant vos salive, ta main doit continuer à me peloter … huuummm c’est vrais que tu bande dur !
- Tu va me faire tacher mon slip !
- Ta mère sera heureuse de le découvrir, ne lui dit pas que c’est ma faute surtout !
- Ça fait drôle se serrer une fille contre soit
- Ça va te faire encore plus drôle, imagines toi être avec la fille que tu convoites, laisse ta main descendre sur mon ventre, je vais m’écarter un peu de toi en écartant les jambes ….Touche ma minette mais seulement par -dessus ma robe, je suis ta belle-sœur ! Tu sens le renflement ?
- Oui …
- Là, c’est le mont de vénus, descend juste un peu … ici, c’est les lèvres de ma chatte
- C’est souple…..
- Malaxe les bien avec ta paume … Hooouuuua tu fais rouler mon clitoris ! je vais mouiller !
- Mouiller ?
- La chatte recrache une substance lubrifiante pour permettre au pénis de coulisser dans le vagin sans l’irriter, bien séparons- nous et reprenons : tu rencontres une fille qui te plait et a qui tu plais, refait les mêmes gestes que nous venons de faire ….
- Je l’enlace et je pose ma bouche sur la sienne, je mets une main sur un sein, je la pelote doucement et longuement en l’embrassant, elle ne refuse pas alors je descends ma main entre ses cuisses, si elle les écarte, c’est qu’elle veut se faire toucher la chatte
- Jusque -là ça va … que fait-tu ensuite ?
- Je cherche son clitoris du bout des doigts, il est tout gonflé …
- Rhhhhooooooo salaud ! Tu me rentres le slip dans la chatte ! Arrête je vais jouir ! c’est assez pour aujourd’hui
- Et les préliminaires ?
- Pour la première fois ne va pas t’embarquer dans des trucs que tu ne maitrises pas
- Si elle veut baiser, je dois lui dire que je suis puceau ?
- Ça peut être un atout pour la décider à coucher, les filles sont sensibles à ce genre de chose
- Que me conseilles-tu pour l’emballer ? Cinéma ? Parc ? Nature ?
- Fais lui sentir que tu veux être seul avec elle et laisses là décider du lieu
- Ok, je vais me lancer demain !
- Tient moi au courant, qui sait ? Peut-être irons-nous plus loin tous les deux si ton frère est d’accord
- Je te raconte tout, c’est d’accord, merci pour cette charmante leçon Lili
- Tout le plaisir a été pour moi ! Aller va te caresser tu es sous pression !

Dés le lendemain j’ai cherché à rencontrer Anita, la fille avec qui j’aimerais perdre mon pucelage … le soir même je vais chez Lili pour tout lui raconter …. À mon attitude elle a tout de suite deviné qu’il s’était passé quelque chose

- HOOO ! Toi tu n’es plus vierge, je me trompe ?
- NON ! Je l’ai fait !
- Raconte vite ….
- J’ai fait en sorte de rencontrer Anita ‘ par hasard’, je lui ai offert un café, ravie, elle a tout de suite accepté, j’ai posé ma main sur la sienne elle ne l’a pas retirée, mon genou s’est collé au siens, elle a accentué la pression, nous avons beaucoup parlé, elle était au courant de ma maladie passée et avait l’air désolé que je n’ai pas eu une adolescence ‘ normale ‘ autrement dit elle se doutait que je n’avais connu aucune fille
- Très bon début ! Et après ?
- J’avais très envie d’être seul avec elle pour la caresser alors je l’ai invitée au cinéma
- Pour le premier pelotage une salle obscure c’est l’idéal !
- Sauf qu’elle n’était pas d’accord ….
- Mince ?
- Anita m’a regardé dans les yeux et m’a dit … ‘allons plutôt dans le bois …’
- Hoooouuuu raconte vite !!!!!!!
- Main dans la main nous avons pris le petit chemin, je l’ai prise par la taille sa chaleur se communiquait a moi, je bandais déjà a moitié
- Tu m’étonnes !! Moi je mouille déjà !
- Lorsque nous avons étés assez isolés elle s’est laissée tomber sur la mousse, sa jupe a remonté mais elle ne l’a pas rabattue, j’apercevais sa petite culotte vert pomme, elle respirait fort, sa poitrine se soulevait très haut sous son corsage, je me suis assis prés d’elle … je l’ai renversée sur le sol, ma bouche s’est collée a la sienne, comme tu m’as appris, ses lèvres se sont entrouvertes sa langue est entrée dans ma bouche, maladroitement je l’ai imitée, elle m’a montré comment rouler un patin , ça s’est transformé en un baisé torride , ma main s’est posée naturellement sur un sein , Anita a gémi et s’est alanguie dans mes bras , j’ai retiré le corsage de sa jupe et j’ai caressée sa peau nue et brulante, mes doigts ont dégagés un sein du bonnet bien rempli, elle a la même poitrine que toi !
- Elle se laissait peloter ?
- Bien sûr ! Anita devenait très nerveuse, par peur qu’elle ne veuille tout stopper j’ai abandonné ses seins pour poser ma main sur son genou et j’ai remonté ver la fourche brulante, au fur et à mesure ses cuisses s’écartaient sans que je ne les forces, je bandais comme une bête, j’avais peur de décharger dans mon froc !
- Pas grave a ton âge tu rebandes aussitôt ! Tu lui as mis la main au cul ?
- J’ai remonté entre ses cuisses jusqu’à toucher sa petite culotte, j’ai cru qu’elle avait fait pipi tellement c’était mouillé
- Si tu veux touche la mienne, elle est à tordre maintenant !
- Je vérifierais tout à l’heure ! Comme tu m’as fait voir j’ai massé ses lèvres par-dessus sa culotte ça glissait terriblement, elle se tortillait d’impatience alors j’ai tiré le bord du slip sur un coté, elle m’a mordu la langue en hurlant quand mon doigt s’est enfoncé dans son minou, c’était bizarre comme impression, brulant, gluant, étroit, sans fond, j’en ai déduit qu’elle l’avait déjà fait ça m’a rassuré , Anita a tiré sur la fermeture de ma braguette , sa main est entrée dans mon slip tellement tendu qu’elle n’arrivait pas à attraper ma queue , alors j’ai pris une décision , je l’ai lâchée, me suis relevé et j’ai tout quitté, elle a rit très fort en voyant ma queue tendue comme un arc et m’a imité
- Vous vous êtes foutus à poil ?
- Carrément ! Après je me suis allongé sur elle, sans peser de tout mon poids bien sûr !
- Tu permets que je passe un doigt dans ma culotte ? Je ne tiens plus !
- Va-y branle- toi, je vais aussi sortir ma queue, elle est trop coincée ça fait mal ! Ma queue posée sur sa fente donnait des coups, à nouveau pris par un long baiser, elle a passé une main entre nous deux pour s’emparer de ma bitte en me disant...
- Baise-moi Yoann, au diable les préliminaires, nous les ferons plus tard, je te nettoierais la verge dés qu’elle sortira flasque de mon ventre et tu me mangeras la vulve
- Ça me paraissait fou de manger nos propres sécrétions ! Son vagin cherchait à étrangler ma queue dans son ventre, elle le serrait, je ne sais comment, toujours est-il que j’ai déchargé sans bouger, Anita s’en est rendu compte
- C’n’est pas grave, c’est normal tes hormones sont au plus haut maintenant, c’est à toi de me limer la chatte, je ne bouge plus baise moi comme tu en as envie
- Elle a relevé les jambes très hautes, j’ai mis mes mains sous son cul et je l’ai pilonnée le plus vite que je pouvais, ça faisait des bruits bizarres dans sa moule détrempée, comme tu le fais faire à la tienne avec tes doigts en ce moment ! Elle s’et mise à geindre sans discontinuer, j’ai cru que je lui faisais mal mais si je ralentissais c’est elle qui donnait des coups de reins, je n’arrivais plus à la tenir sous moi, au bout d’un long moment j’ai déchargé une nouvelle fois, lorsque nos nous somment ‘décollés,’ le mot est juste ! Nos poils étaient englués, elle en avait partout à l’intérieur des cuisses
- Tu lui as bouffé la chatte ?
- Non, je n’ai pas pu, c’était trop marécageux, par contre elle m’a sucé et tout avalé, ça m’a fait un bien fou !
- Et maintenant ? Tu lécherais une chatte qui n’a en elle que son propre jus ?
- Ça oui, j’aimerais bien gouter
- Alors vient entre mes cuisses !

À ma grande surprise Lili s’est renversée en ouvrant ses cuisses, son slip viré sur un coté laisse voir une chatte aux lèvres luisantes, ourlées de poils bien taillés, je me suis jeté comme un affamé sur son berlingot en oubliant que c’était ma belle-sœur, elle m’a guidé en me tenant la tête et ajoutant : mets un doigt dans ma chatte et aspire mon clito ou encore: enfonce un doigt dans mon anus et ta langue comme une bitte dans mon con, s’en est trop je me relève et la queue a la main me jette sur elle

- HAAAAAAA ! Met là moi à fond, j’ai la permission de ton frère...