Je ne l'ai pas fait pour les diplomes ....
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-08-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Je ne l'ai pas fait pour les diplomes ....
Ça c’est passé un mois avant la fin de l’année, juste avant mes dix huit ans, au retour d’un weekend, dans le pensionnat pour jeunes filles réputé, ou je finissais mes études, certaines filles réussissaient brillamment tous leurs examens, malgré de grosses lacunes …
- Mademoiselle Martinez veuillez vous présenter au bureau de monsieur le directeur immédiatement s’il vous plait
- Ah ? que se passe-t-il ?
- Vous le saurez rapidement …
Intriguée je vérifie ma tenue, lisse ma jupe plissée, vérifie le bon positionnement de mes bonnets de soutien-gorge, recoiffe mes cheveux et monte au troisième étage chez monsieur Antonin…toc-toc …
- Entrez !
- Bonjour monsieur le directeur, vous m’avez fait demander ?
Cet homme de soixante ans environ, le regard perçant derrière de petites lunettes rondes le rendait encore plus vicieux, ça lui valait le surnom de renard des sables, il m’attend les mains derrière le dos, l’air grave, les rideaux tirés entretiennent une certaine pénombre dans la pièce, j’ai pensé que c’était pour maintenir la fraicheur
- Approchez-vous Anita…je vais aller droit au but, vous êtes très bien notée par les professeurs et le personnel, cependant …
- Que se passe-t-il ?
- LAISSEZ-MOI PARLER ! voilà, durant le weekend, nous avons étés obligés de pénétrer dans votre chambre pour y effectuer des réparations urgentes, et voici ce qui est tombé de votre placard… est- ce bien a vous ?
- Oui ! c’est mon journal intime !
J’ai cru défaillir, je savais ce que ce livre contenait, je suis passée du blanc au rouge pivoine …
- Vous reconnaissez donc que tout ce qui est inscrit est de votre main ?
- Heeeuuuuu … oui ……
- Je prends une page au hasard, voyons … ‘ lundi 14 février, Didier me manque, hier je voulais tenir son sexe entre mes mains car je n’en ai jamais vu en vrai, j’aurais voulu qu’il me baise pour la st valentin, cela aurait été ma première fois, mais nous ne savions pas ou aller, en écrivant ces mot j’ai une main dans ma petite culotte et frotte mon clitoris tout gonflé‘ … doit-je continuer ? … une autre page ? … ‘ je suis nue sur mon lit et je frotte le manche de ma brosse à cheveux sur ma vulve afin de ne pas me déflorer … etc. etc. ! avez-vous quelque chose à dire ? faites vous cela souvent mademoiselle Anita ?
- Oui …
- Je n’ai pas entendu !
- OUI ! OUI ! OUI !
- Vous avouez donc être obsédée par le plaisir sexuel ? bien, je vais prendre les mesures nécessaires concernant votre expulsion
En lisant ces mots la voix de ce vieux pervers a changé, comment me sortir de là ? Il n’y a qu’une solution, je prends mon visage entre les mains et pleure … ou du moins, l’imite bien … de chaudes larmes, agitant en même temps mon corps de tremblements nerveux
L’homme se déplace de derrière son bureau et vient vers moi, ou plutôt derrière moi, ses mains décharnées et ses doigts secs se crispent sur mes épaules, il meure d’envie de me caresser franchement, je sens son souffle court et brulant sur ma nuque
- Allons ! Allons mon petit, ne vous mettez pas dans un état pareil, mais vous conviendrez que je dois faire un exemple
- Je n’ai aucune excuse …
- Peut-être pouvons-nous parler ?
- Parler de quoi ?
- C’est vrai ? vous n’avez jamais vu de sexe d’homme ?
- Jamais ….
- Vous allez avoir dix huit ans, vous êtes en âge de savoir certaines chose de la vie, vous me comprenez ?
- Non…
- Faites un effort que diable !
Le directeur vient de coller son ventre sur mes reins, c’est à peine si je ressens un semblant d’érection
- Ah oui je crois deviner …expliquez moi mieux …
- Lisez-moi encore quelques passages de votre journal intime …
- Celle-ci ? : ‘ je suis toute mouillée, ma copine Armelle vient de me raconter un après midi dans un champ de blé avec son copain et un de ses amis, ils l’ont allongée sur une couverture, pendant que son copain l’embrassait l’autre glissait une main dans son corsage, elle n’a pas protesté lorsqu’ils l’ont déshabillée entièrement….
- Continue je t’en supplie !
Les mains de cet affreux pervers glissent sur mes bras nus à hauteur de mes seins qui sont gonflés par le désir, une bosse ridicule se frotte sans hésiter sur moi, pourquoi si sa présence me répugne ma petite culotte se mouille-t-elle ?
- ‘Ensuite j’en ai pris un dans ma bouche tandis que l’autre léchait mes seins durcis par…
- Ils sont durs les tiens ??
- Je … je ne sais pas ….
- Laisse-moi les toucher …
- Mais !
- Ne refuse pas sinon ! … Haaaaaaaaaaaaa c’est beau la jeunesse mais … je vais jouir ? ooooooohhhhhhhhhhhhnooooooonnnnnnnnn
Après m’avoir trituré les seins à me faire mal, il me repousse presque violemment, c’est fini ? Finalement, je m’en tire à bon compte, je constate une large tache humide sur sa braguette, au moment ou je vais prendre mon journal intime, il se manifeste encore
- Ah non ! je le garde jusqu'à la fin de l’année scolaire, ce n’est pas terminé pour toi, mais tu ne le regretteras pas ….en sortant d’ici tu va voir mademoiselle Jeanne a l’infirmerie
- Mais je ne suis pas malade ?
- Ne discute pas, et va-y immédiatement
Sans répliquer je vais à l’infirmerie ….
- Ah, Anita, je t’attendais, ôte ta petite culotte, retrousse ta jupe et allonge toi sur la table d’examen j’arrive
Ôter ma culotte ? Que me veut-elle ? De toute façon il vaut mieux qu’elle ne la voit pas aussi trempée …la revoilà, un bol a la main et un rasoir dans l’autre ….
- ‘Il’ n’aime pas les poils alors je dois te raser, tu sors de chez lui ? je le vois a tes petites lèvres brillante de mouille
- Que me veut-il ?
- Je ne peux rien dire, mais tu le sauras très vite, écarte les cuisses …tu es une belle petite blonde, j’adore …. Ne bouge pas sinon je risque de te couper
A coups de lames, je vois ma toison bouclée disparaitre, emprisonnée dans la mousse du bol
- Relève bien les jambes afin que je te fasse aussi autour de l’anus, après je vérifierais que tu es bien vierge de partout
- Mais je le suis mademoiselle Jeanne !
- Teu-Teu-Teu ! je dois en être sûre, voilà, je vais passer une serviette mouillée et une crème pour apaiser lez feu du rasoir
Ses doigts experts massent ma vulve et mon mont de vénus que je n’avais jamais vu glabre depuis que j’étais petite ! Petit à petit ses gestes se fond doux, caressant, un doigt ouvre ma fente
- Muuuummmm, tu es remplie de cyprine, laisse-toi faire, j’inspecte ta virginité …
Je n’ose pas protester lorsque sa bouche se colle à ma moule, sa langue s’enfonce dans mon vagin … que ça fait du biiiieeeeeeennnnnnnnnnnn …. Malgré moi mes reins décollent de la table pour m’offrir totalement à cette caresse, je savais que quelques filles la pratiquait entre-elles, et dont elles vantaient les bienfaits, voyant ma décontraction elle s’acharne sur mon entre jambes qui pisse véritablement ma mouille, un doigt inquisiteur fouille mon anus, c’en est trop, un orgasme puissant comme jamais me terrasse
- Bravo ! Quelle fougue ! Monsieur Antonin va se régaler
- Il va me …. ????????
- Te baiser ? non ! pas lui, il est quasi impuissant, sa quéquette est trop courte, il préfère mater
- Si ce n’est pas lui, c’est qui ??
- Quelqu’un que tu connais bien, vous lui avez même décerné un surnom qui colle a sa réputation, mais tu verras ce soir, je serais présente pour te préparer, va maintenant, remet ta culotte, sinon tu va en semer partout ! et avale ça avant de partir
- Qu’est-ce c’est ?
- Une pilule contraceptive pardi ! tu veux te retrouver avec un polichinelle dans le tiroir ? avec la quantité de foutre qu’il va t’injecter tu n’y coupe pas !
C’est à peine si mes jambes me portent, j’ai beau fouiller dans ma mémoire je ne vois personne qui correspond a …. Non ? Charles ? Le jardinier ? Éléphant-man ? Des filles l’ont vu pisser sur un tronc d’arbre, et, au lieu de la secouer pour faire tomber la dernière goutte il se la frappait a deux mains sur l’arbre, un monstre, une force de la nature, tien, le voilà justement, il attend devant ma porte de chambre…
A SUIVRE ……
- Mademoiselle Martinez veuillez vous présenter au bureau de monsieur le directeur immédiatement s’il vous plait
- Ah ? que se passe-t-il ?
- Vous le saurez rapidement …
Intriguée je vérifie ma tenue, lisse ma jupe plissée, vérifie le bon positionnement de mes bonnets de soutien-gorge, recoiffe mes cheveux et monte au troisième étage chez monsieur Antonin…toc-toc …
- Entrez !
- Bonjour monsieur le directeur, vous m’avez fait demander ?
Cet homme de soixante ans environ, le regard perçant derrière de petites lunettes rondes le rendait encore plus vicieux, ça lui valait le surnom de renard des sables, il m’attend les mains derrière le dos, l’air grave, les rideaux tirés entretiennent une certaine pénombre dans la pièce, j’ai pensé que c’était pour maintenir la fraicheur
- Approchez-vous Anita…je vais aller droit au but, vous êtes très bien notée par les professeurs et le personnel, cependant …
- Que se passe-t-il ?
- LAISSEZ-MOI PARLER ! voilà, durant le weekend, nous avons étés obligés de pénétrer dans votre chambre pour y effectuer des réparations urgentes, et voici ce qui est tombé de votre placard… est- ce bien a vous ?
- Oui ! c’est mon journal intime !
J’ai cru défaillir, je savais ce que ce livre contenait, je suis passée du blanc au rouge pivoine …
- Vous reconnaissez donc que tout ce qui est inscrit est de votre main ?
- Heeeuuuuu … oui ……
- Je prends une page au hasard, voyons … ‘ lundi 14 février, Didier me manque, hier je voulais tenir son sexe entre mes mains car je n’en ai jamais vu en vrai, j’aurais voulu qu’il me baise pour la st valentin, cela aurait été ma première fois, mais nous ne savions pas ou aller, en écrivant ces mot j’ai une main dans ma petite culotte et frotte mon clitoris tout gonflé‘ … doit-je continuer ? … une autre page ? … ‘ je suis nue sur mon lit et je frotte le manche de ma brosse à cheveux sur ma vulve afin de ne pas me déflorer … etc. etc. ! avez-vous quelque chose à dire ? faites vous cela souvent mademoiselle Anita ?
- Oui …
- Je n’ai pas entendu !
- OUI ! OUI ! OUI !
- Vous avouez donc être obsédée par le plaisir sexuel ? bien, je vais prendre les mesures nécessaires concernant votre expulsion
En lisant ces mots la voix de ce vieux pervers a changé, comment me sortir de là ? Il n’y a qu’une solution, je prends mon visage entre les mains et pleure … ou du moins, l’imite bien … de chaudes larmes, agitant en même temps mon corps de tremblements nerveux
L’homme se déplace de derrière son bureau et vient vers moi, ou plutôt derrière moi, ses mains décharnées et ses doigts secs se crispent sur mes épaules, il meure d’envie de me caresser franchement, je sens son souffle court et brulant sur ma nuque
- Allons ! Allons mon petit, ne vous mettez pas dans un état pareil, mais vous conviendrez que je dois faire un exemple
- Je n’ai aucune excuse …
- Peut-être pouvons-nous parler ?
- Parler de quoi ?
- C’est vrai ? vous n’avez jamais vu de sexe d’homme ?
- Jamais ….
- Vous allez avoir dix huit ans, vous êtes en âge de savoir certaines chose de la vie, vous me comprenez ?
- Non…
- Faites un effort que diable !
Le directeur vient de coller son ventre sur mes reins, c’est à peine si je ressens un semblant d’érection
- Ah oui je crois deviner …expliquez moi mieux …
- Lisez-moi encore quelques passages de votre journal intime …
- Celle-ci ? : ‘ je suis toute mouillée, ma copine Armelle vient de me raconter un après midi dans un champ de blé avec son copain et un de ses amis, ils l’ont allongée sur une couverture, pendant que son copain l’embrassait l’autre glissait une main dans son corsage, elle n’a pas protesté lorsqu’ils l’ont déshabillée entièrement….
- Continue je t’en supplie !
Les mains de cet affreux pervers glissent sur mes bras nus à hauteur de mes seins qui sont gonflés par le désir, une bosse ridicule se frotte sans hésiter sur moi, pourquoi si sa présence me répugne ma petite culotte se mouille-t-elle ?
- ‘Ensuite j’en ai pris un dans ma bouche tandis que l’autre léchait mes seins durcis par…
- Ils sont durs les tiens ??
- Je … je ne sais pas ….
- Laisse-moi les toucher …
- Mais !
- Ne refuse pas sinon ! … Haaaaaaaaaaaaa c’est beau la jeunesse mais … je vais jouir ? ooooooohhhhhhhhhhhhnooooooonnnnnnnnn
Après m’avoir trituré les seins à me faire mal, il me repousse presque violemment, c’est fini ? Finalement, je m’en tire à bon compte, je constate une large tache humide sur sa braguette, au moment ou je vais prendre mon journal intime, il se manifeste encore
- Ah non ! je le garde jusqu'à la fin de l’année scolaire, ce n’est pas terminé pour toi, mais tu ne le regretteras pas ….en sortant d’ici tu va voir mademoiselle Jeanne a l’infirmerie
- Mais je ne suis pas malade ?
- Ne discute pas, et va-y immédiatement
Sans répliquer je vais à l’infirmerie ….
- Ah, Anita, je t’attendais, ôte ta petite culotte, retrousse ta jupe et allonge toi sur la table d’examen j’arrive
Ôter ma culotte ? Que me veut-elle ? De toute façon il vaut mieux qu’elle ne la voit pas aussi trempée …la revoilà, un bol a la main et un rasoir dans l’autre ….
- ‘Il’ n’aime pas les poils alors je dois te raser, tu sors de chez lui ? je le vois a tes petites lèvres brillante de mouille
- Que me veut-il ?
- Je ne peux rien dire, mais tu le sauras très vite, écarte les cuisses …tu es une belle petite blonde, j’adore …. Ne bouge pas sinon je risque de te couper
A coups de lames, je vois ma toison bouclée disparaitre, emprisonnée dans la mousse du bol
- Relève bien les jambes afin que je te fasse aussi autour de l’anus, après je vérifierais que tu es bien vierge de partout
- Mais je le suis mademoiselle Jeanne !
- Teu-Teu-Teu ! je dois en être sûre, voilà, je vais passer une serviette mouillée et une crème pour apaiser lez feu du rasoir
Ses doigts experts massent ma vulve et mon mont de vénus que je n’avais jamais vu glabre depuis que j’étais petite ! Petit à petit ses gestes se fond doux, caressant, un doigt ouvre ma fente
- Muuuummmm, tu es remplie de cyprine, laisse-toi faire, j’inspecte ta virginité …
Je n’ose pas protester lorsque sa bouche se colle à ma moule, sa langue s’enfonce dans mon vagin … que ça fait du biiiieeeeeeennnnnnnnnnnn …. Malgré moi mes reins décollent de la table pour m’offrir totalement à cette caresse, je savais que quelques filles la pratiquait entre-elles, et dont elles vantaient les bienfaits, voyant ma décontraction elle s’acharne sur mon entre jambes qui pisse véritablement ma mouille, un doigt inquisiteur fouille mon anus, c’en est trop, un orgasme puissant comme jamais me terrasse
- Bravo ! Quelle fougue ! Monsieur Antonin va se régaler
- Il va me …. ????????
- Te baiser ? non ! pas lui, il est quasi impuissant, sa quéquette est trop courte, il préfère mater
- Si ce n’est pas lui, c’est qui ??
- Quelqu’un que tu connais bien, vous lui avez même décerné un surnom qui colle a sa réputation, mais tu verras ce soir, je serais présente pour te préparer, va maintenant, remet ta culotte, sinon tu va en semer partout ! et avale ça avant de partir
- Qu’est-ce c’est ?
- Une pilule contraceptive pardi ! tu veux te retrouver avec un polichinelle dans le tiroir ? avec la quantité de foutre qu’il va t’injecter tu n’y coupe pas !
C’est à peine si mes jambes me portent, j’ai beau fouiller dans ma mémoire je ne vois personne qui correspond a …. Non ? Charles ? Le jardinier ? Éléphant-man ? Des filles l’ont vu pisser sur un tronc d’arbre, et, au lieu de la secouer pour faire tomber la dernière goutte il se la frappait a deux mains sur l’arbre, un monstre, une force de la nature, tien, le voilà justement, il attend devant ma porte de chambre…
A SUIVRE ……
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