Jeux d'eau - histoire érotique

Jeux d'eau

J'ai fréquenté pendant quelques années une jeune femme qui adorait ce qu'elle appelait
les jeux d'eau . Petit à petit elle m'a entraîné dans son envie . Tout d'abord
lorsqu'elle allait uriner elle ne fermait jamais la porte des toilettes . Puis elle se
mit à m'adresser la parole pendant qu'elle pissait et je devais pour pouvoir
l'entendre et lui répondre me tenir auprès d'elle . Elle m'a demandé aussi d'avoir le
plaisir de me regarder uriner . Ensuite elle a insisté , surtout lors d'érections
matinales , de tenir elle-même ma queue pour diriger le jet dans la cuvette . Elle
tenait même à le faire lorsqu'à l'extérieur j'arrosai le tronc des arbres . Elle
aimait se placer sur mon coté , passer une main entre mes jambes empoigner mes bourses
par dessous et de l'autre , par devant , diriger mon jet . Elle insistait pour que je
la regarde soit de devant lorsqu'elle s’accroupissait dans la campagne pour se
soulager , soit de derrière pour profiter de son cul . Sous prétexte d'un besoin très
pressant elle n'hésitait pas à le faire en présence de mes collègues de travail qui
étaient souvent invités dans notre maison de campagne . Sans aucune pudeur et même
avec plaisir elle exhibait sa fente dégoulinante devant tous . Nombreux sont ceux qui
appréciaient sa prestation et m'en ont reparlé par la suite , se remémorant la vision
de sa moule , l'attente du jet , l'ouverture de sa fente ourlée de poils blonds puis
le jaillissement du liquide jaunâtre qu'elle expulsait par intermittence entre ses
lèvres béantes , sans retenue , au regard de tous .
Elle faisait une vraie fixation non déplaisante sur la miction.
Elle appréciait beaucoup que je me couche dans la baignoire . Elle me chevauchait
alors à hauteur de la taille et se laissait aller à uriner sur mon torse . Elle aurait
bien voulu le faire dans ma bouche mais je n'ai jamais accepté . Par contre j'adorai
voir sa moule palpiter à quelques centimètres de mes yeux , ses nymphes finir par
s'ouvrir , un liquide chaud en jaillir et se répandre sur ma poitrine .
Elle aimait aussi lorsque dans la baignoire je me couchai , s'enfiler sur ma bite et
uriner sur moi . Sa pisse ruisselait le long de mon mât qu'elle avait pris soin de ne
faire pénétrer qu'à demi pour bien voir son liquide s'écouler , s'épandre sur ma
toison pubienne , suivre mon périnée , me mouiller le cul . Pour avoir une meilleure
vue de mes couilles arrosées , fréquemment elle s'empalait en me tournant le dos .Elle
fermait la bonde d'écoulement pour que mes fesses baignent dans son jus . Son extase
atteignait son point culminant lorsque sous ses mouvements copulatoires j'éjaculai
mêlant ma semence à sa pisse et que mon ventre , mes couilles étaient inondés de ces
liquides .
Souvent lorsque j'avais ma bite enfoncée profondément dans son con elle me demandait
d'uriner , de remplir son vagin . Ce jet puissant la mettait dans un état d'extase
indescriptible et je finissais là encore pour lui envoyer tout mon foutre qui se
mêlait à mon urine . Elle ne se retenait plus et se mettait à pisser elle aussi mêlant
nos secrétions . Heureusement que nous étions dans la baignoire ! Quoique plusieurs
fois elle voulut le même type de rapport en pleine campagne mais là encore pas de
soucis le sol absorbait tout . J'en arrive à penser qu'elle aurait aimé être surprise
par un ou plusieurs promeneurs dans cette scabreuse situation .
Quelques fois , nue elle s'accroupissait , à genoux , me tournant le dos , écartant se
fesses dodues , me demandait « vas-y pisse moi dans la raie « . Un peu réticent les
premières fois je pris plaisir ensuite à voir mon urine jaillir contre sa rondelle ,
ruisseler le long de la fente , inonder son périnée et s'écouler au sol à partir de
ses lèvres vaginales congestionnées par son plaisir . On aurait pu croire que c'était
elle qui pissait , plusieurs fois d'ailleurs elle l'a fait sans retenue en même temps
que moi sous l'effet de sa jouissance . Quelques fois mon jet mal dirigé s’écrasait un
peu trop haut sur sa raie , s'étalait sur son dos et s'écoulait jusqu'au sol par la
pointe de ses nichons . Cela ne lui déplaisait pas !
Elle m'a aussi demandé lorsque je la sodomisai de ne pas hésiter à lui pisser dans les
boyaux . Puis me tournant le dos , à demi-accroupie , jambes écartées , genoux
légèrement pliés pour que je puisse bien l'observer , rejeter le mélange de mes
sécrétions par des contractions de son sphincter en petits jets successifs .
Lors d'une chaude soirée passée avec un de mes amis , comme je ne voulais pas lui
pisser dans la bouche , elle lui a demandé de le faire . Sans hésitations il a
chevauché la poitrine de mon amie allongée au sol , son urine à jaillit remplissant la
bouche largement ouverte dans une attente gourmande puis il a plongé sa bite au fond
de la gorge consentante . Elle ne bougeait pas mais enserra la verge de ses lèvres et
c'est lui par des mouvements de va et vient qui s'est masturbé dedans jusqu'à cracher
sa semence tout au fond . Excité je l'ai écarté et c'est ma queue qui a pénétré cet
orifice accueillant pour rapidement la remplir à mon tour . Ne pouvant plus respirer ,
à demi-asphyxiée , ne pouvant tout avaler elle s'est tournée sur le coté pour
recracher le trop plein . Mon copain insatiable en a profité pour l'enculer sans
préavis ! Elle était aux anges et nous fit promettre de remettre ça une prochaine fois
.
Ce qui fut fait quelques jours plus tard . Mais cette fois elle eut trois mâles à sa
disposition . Je leur avais expliqué le penchant de mon amie et ils étaient partants .
J’étais couché au sol pénétrant son vagin , l'ami précédent lui mis sa queue dans la
bouche , l'autre jusqu'à la garde dans le cul . Inutile de signaler que lors de cette
soirée nous avions bu force bières et que nos vessies étaient prêtes à exploser .
Aussi il ne fallut pas longtemps pour que nos bites expulsent par leur méat tout ce
liquide accumulé dans ses trois orifices . Fait remarquable nous nous vidâmes
pratiquement tous trois en même temps , urines puis spermes ! Dois-je décrire
l'orgasme qui la saisit ? J'en suis bien incapable avec mes pauvres mots mais ses
râles , les contorsions , les soubresauts de son corps parlaient pour elle . Nous
avions bien du mal à rester plantés en elle . Lorsqu'elle repris ses esprits et que sa
bouche fut libérée elle nous avoua n'avoir jamais ressenti un tel séisme . Nous
occupions toujours son anus et sa chatte , le troisième avait réussi à se glisser sur
mon ventre pour lui lécher un clitoris très proéminent sans se préoccuper des liquides
dans lesquels nous baignions , tout en écoutant ses commentaires donnés en mots très
crus .
Quelques semaines plus tard notre relation se terminait . Elle a préféré s'éclater
avec l'ami qui n'avait pas hésité à lui pisser dans la gueule ! Il ne s’embarrassait
pas de mes principes et de plus avait une bite et une vessie plus grande que mes
propres organes ! Parfois en y repensant je regrette cette jeune femme sans tabou .