Joyce est 'enfin' revenue
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-02-2015 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Joyce est 'enfin' revenue
Je n’en reviens encore pas ! ‘Elle’ vient de me téléphoner pour la première fois depuis un an… ‘Elle’ c’est Joyce, celle qui devait devenir ma femme
Aujourd’hui elle m’appelle parce qu'elle est en panne de voiture sur un parking d’un motel, et, apparemment son mari, puisqu’elle s’est mariée depuis notre rupture par défit ou dépit ! ne sais pas qu’elle est là et elle ne tient pas a ce qu’il soit au courant, alors Joyce compte sur moi pour la dépanner discrètement …
Avec cette fille c’était sublime de faire l’amour, le sexe était une drogue pour elle et j’étais son fournisseur attitré, son corps est un violon sur lequel mes doigts, ma langue, ma verge servaient d’archer, j’en tirais des sons de jouissances inhumains
Alors pourquoi avoir quittée une telle fée ? Voici l’explication, un jour je reçois un message sur mon portable : – rejoint moi vite sous le pont de chemin de fer, j’ai trop envie - … c’est bien la première fois qu’elle me donnait rendez vous dans un endroit retiré alors que nous avions des lit confortables a disposition …je veux en avoir le cœur net, je m’y rends donc sans répondre
Deux voitures sont discrètement stationnées, la sienne et celle de julien, mon meilleur pote … ? je m’avance sur le petit chemin sans faire de bruit et là je la vois adossée a une pile de pont, dépoitraillée jusqu’à la taille, les seins a l’air puisqu’elle n’a jamais porté de soutient gorge, qui ne servirait a rien pour supporter une poitrine irréprochable, une jambe relevée très haut, et devinez qui tient cette jambe ? Mon pote qui la baise allégrement, debout, a grands coups de bite, effondré je repars sans me faire voir après avoir fait tout de même un cliché du couple illégitime, j’ai simplement envoyé un sms de rupture accompagné de la photo explicite…. Nous ne nous somment jamais revus
Joyce, mon amour, la femme de ma vie, pourquoi m’avoir fait ça ? Celle qu’un rien faisait jouir, la sensualité lui sortais par tous les pores de la peau, depuis ses lobes d’oreilles lorsque je lui mordillais et enfonçais ma langue au plus profond de son pavillon, a ses orteils que je suçais avec ferveur, en n’oubliant évidement aucunes zones sensibles de son corps, seins, nombril, aines, dessous de genoux et j’en oublie surement, la chatte ? Elle y passait en dernier une fois qu’elle était chaude comme la braise !
Nous faisions ensembles ce que beaucoup de couple n’osent pas pratiquer… je vais vous en révéler quelques détails au risque de vous choquer ….
Ce n’était pas des fellations qu’elle pratiquait sur moi, c’était une véritable avaleuse de sabre, elle ingurgitait mes vingt deux centimètres entièrement, ses lèvres et ses dents collés contre mon pubis, son menton sur mes testicules, elle aspirait littéralement ma verge, aussi elle profitait rarement du goût de mon sperme qui fusait directement dans son œsophage, a l’inverse elle savait me faire venir dans son palais et me le faire boire aussitôt lors d’un baiser passionné
Joyce connaissait aussi la technique pour me faire décharger sans me masturber ou me sucer, simplement a l’aide de deux doigts profondément enfoncés dans mon rectum, elle massait ma prostate jusqu'à éjaculation, le résultat était rapide, souvent je n’avais pas le temps d’être totalement en érection, elle léchait ma semence éparpillée par paquets sur mon ventre, j’adorais ça !
Sans être fétichistes, nous aimions la chaleur de l’urine sur nos corps, nous pratiquions quelquefois cela après avoir fait l’amour pour se nettoyer mutuellement elle, a cheval au dessus de moi, m’arrosait copieusement du mélange épais de nos jus, de la queue au visage, moi, pour lui rendre la politesse j’enfonçais ma queue a moitié bandée, car, raide aucuns hommes ne peut pisser, j’arrosais son vagin, lui prodiguant un lavement jouissif
Aujourd’hui elle oser me téléphoner pour la sortir d’un mauvais pas, des tas de souvenirs remontent a la surface, j’ai envie de savoir si elle a changé physiquement alors tant pis pour ma fierté, je me précipite sur ce maudit parking …mini jupe, top court, je reconnaitrais sa silhouette élancée a cinq cent mètres, elle fait nerveusement les cents pas
- Bonjour Joyce …
- Bonjour Nicos, excuse-moi de t’avoir téléphoné mais je ne connais personne d’autre que toi qui puisse m’aider …
- Bien sûr, je suis le con de service … ceci dit, tu es toujours très belle …
- Tu es toujours aussi élégant …
- Bon, trêve de baliverne qu’y a-t-il ?
- Mon taco ne démarre plus
- Quel dommage ! c’était avant ou après ‘le motel’ ?
- Ahhhhh, je vois ce que tu veux dire…. ‘il’ n’est pas venu ….
- Merde ! tu ne t’es même pas faite tirée ??
- Ne te force pas à être vulgaire
- Ouvre-moi le capot et essaie de démarrer …
- Rien ne s’allume
- Je vais vérifier la batterie
La femme vient s’accouder sur l’aile sur l’aile opposée, les bras croisés sous ses seins nus les font remonter a quasiment jaillir du corsage, ils semblent toujours aussi fermes, du coup j’en lâche mon portable qui glisse sous la voiture, il est là prés de la roue …je dois me coucher sur le dos pour pouvoir le saisir , mais en face il y a aussi deux jambes, terminées par deux cuisses pleines, bien ouvertes, Joyce s’est accroupie, elle ne porte pas de culotte, ses poils pubiens sont aussi bien entretenus qu’il y a un an... ils laissent voir le trait fendu de ses lèvres fines
- Tu trouve ton portable ?
- Euuuuhhh…. non …. oui je le vois, je n’ai qu’à tendre la main
Qu’est-ce qui me prend de tendre le bras vers sa fourche ? Personne aux alentours ne peux deviner ce qui se passe sous cette voiture, c’est à peine si elle frémit lorsque j’entre en contact avec l’intérieur de sa cuisse brulante, au lieu de se retirer elle s’avance a toucher la carrosserie, mes doigts effleurent sa vulve, Joyce lâche un miaulement de satisfaction
- RRRROOOOOOUUUUMMMMM !! va-y enfonce les….ouuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii
- Tu mouille toujours autant salope !
- Oui tu as raison je suis une salope, je reconnais que j’ai eu tors de te tromper avec julien, je t’en supplie ne retire pas tes doigts de ma chatte, branle moi, fait moi jouir ici
Je l’astique énergiquement, sans complaisance, à la dure, comme autrefois l’orgasme la terrasse en une minute, un rond mouillé tache l’asphalte
- C’est toi qui as réservé la chambre ?
- Oui, tu veux qu’ont y aille ?
- Tu parais être en manque, je te préviens, si nous y allons je vais te faire payer cher ton infidélité
En chemin je la questionne sur ce rendez vous manqué …
- Avec qui fait tu cocu ton mari cette fois ? Qui est le poseur de lapin ?
- Personne, c’est toi que j’attendais …julien baise comme un pied, le rendez vous sous le pont de chemin de fer t’était réellement destiné, mais par inadvertance il est aussi parvenu a julien, il était là avant toi et il a su trouver mon point faible...
- Qui est ?
- Tu le connais pour l’avoir pratiqué des centaines de fois, sans crier gare, il m’a directement mis la main au cul et m’a touchée la chatte, comme j’étais sans culotte ses doigts ont vite débusqué mon clitoris, et tu sais comme moi qu’une fois mon bouton décalotté c’est fini, il faut que je baise, ça duré seulement trois minutes, il baise comme un lapin
- Pourquoi l’avoir épousé ?
- Pour te faire enrager et que tu viennes me tirer des griffes de ce con, mais ta fierté a dit non …
- Sur le lit je vais savoir si tu mens …déshabille toi avant d’entrer dans la chambre
- Ça va être vite fait, regarde …
La chambre donne sur le parking, n’importe qui peut la voir prendre son temps pour baisser sa jupe et faire passer le top par-dessus sa tête, nue comme un ver, les deux mains sur les hanches, elle me toise
- Alors ? Je suis une miquette ?
- Salope tu me fais bander, entre !
- Si tu veux que je te suce comme avant, fou-toi à poil !
En moins de temps qu’il faut pour le dire je suis aussi nu qu’elle, le sang bat dans ma verge tendue à me faire mal, depuis un an c’est la paume de ma main enduite de lubrifiant qui me sert de vagin, aussi, même si ça ne doit pas durer je veux profiter au maximum de son corps, les yeux gourmands de Joyce fixent ma queue , elle s’agenouille au bord du lit , debout je lui fais face, bien campé sur mes jambes , le bassin cambré en avant, elle saisi ma bite, ouvre la bouche autant qu’elle peut, je m’introduit aisément, pose une main derrière sa tête et la force a avaler, surprise elle essaie de me repousser
- lâche ma queue, laisse moi faire …apparemment tu as perdu l’habitude, il a une quéquette si minable que ça ton mec ?
- huuuummm-huuuummm
Implacablement ma queue s’enfonce dans sa gorge, elle hoquette, rougi, des larmes coulent de ses beaux yeux en amande qui me regardent et me disent : Fait comme tu veux, je ne reculerais pas ! Une salive épaisse suinte aux commissures de ses lèvres, ça y est, je suis dans sa gorge, je la laisse s’habituer au diamètre, elle respire fort par le nez, je lâche sa tête, elle se recule légèrement pour mieux se poignarder avec mon membre, puisque mes mains sont libres je vais tâter sa poitrine et fais rouler ses tétons hyper- allongés entre mes doigts
Joyce se trémousse, elle prend autant de plaisir a cet exercice qu’autrefois, je ne me fais pas sucer, je baise sa luette
- C’est bon hein ? Tu te souviens ce que tu faisais en me pompant ? Comment occupais-tu tes doigts ?
Pas besoin d’en dire davantage, sa main s’aventure entre ses jambes, sans doute pour prélever de la mouille, je sépare mes pieds autant que possible, deux doigt fins tournent autour de mon anus avant de trouver le centre de l’anneau et de s’y enfoncer par petites touches alternatives
Ma prostate est sollicitée, l’effet n’est pas spectaculaire en tant que plaisir mais ma verge sait en reconnaitre les bienfaits, comme Joyce ne peut pas concilier les deux actions je reprends sa tête dans ma main et plonge ma queue dans son gosier a un rythme soutenu, la double caresse m’amène rapidement a la jouissance, après deux grosses contractions de mon membre mon sperme est projeté au-delà de ses amygdales, ses joues gonflent, elle rougit, rugit mais accepte mon offrande, satisfais et vidé je me retire, elle s’essuie la bouche du dos de la main en souriant
- Tu n’as pas changé, tu es toujours un bon mâle
- Je vais te le prouver si tu te mets à quatre pattes
- Que vas-tu me faire ?
- Te prendre le p’tit trou et te pisser dans le cul avant que je ne débande trop
- Tu ne me l’as jamais fait par là !
- Justement !
- Ça ne risque rien ?
- Pour le savoir il faut essayer
- Je veux être ta chienne, alors va-y encule moi
- Julien te prend par là ?
- Il voudrait bien mais je refuse, avec toi ce n’est pas pareil, je suis ta chose
La vue indécente qu’elle m’offre me fais rebander, je dois penser a ce qui c’est passé sous le pont pour faire retomber la pression…il y a un an, sous le pont Julien devait être enfoncé profondément dans son ventre, il a tâté ses nichons, son foutre a souillé sa chatte a jamais, l’avait-elle sucé avant ?
Ça y est ça marche ! J’ai la bonne rigidité pour l’emmancher, elle essaie de se dégager mais je la maintiens vissée sur mon ventre, ma vessie est pleine, je dois me concentrer un bon moment avant que ma pisse veuille bien sortir, au début c’est seulement quelques gouttes, puis c’est le déluge, autour de mon gland la pression de son boyau se relâche
- OOOOOHHHHH ! Que c’est boooooooooooonnnnnnnnnnnn mon amour ! C’est meilleur que dans la chatte ! Va-y donne moi toute ton urine !
- Je rêve ? tu m’as appelés ‘mon amour ‘ ?
- Je suis a toi, je ne rentre pas ‘chez lui’, emmène moi chez nous !!!!
Aujourd’hui elle m’appelle parce qu'elle est en panne de voiture sur un parking d’un motel, et, apparemment son mari, puisqu’elle s’est mariée depuis notre rupture par défit ou dépit ! ne sais pas qu’elle est là et elle ne tient pas a ce qu’il soit au courant, alors Joyce compte sur moi pour la dépanner discrètement …
Avec cette fille c’était sublime de faire l’amour, le sexe était une drogue pour elle et j’étais son fournisseur attitré, son corps est un violon sur lequel mes doigts, ma langue, ma verge servaient d’archer, j’en tirais des sons de jouissances inhumains
Alors pourquoi avoir quittée une telle fée ? Voici l’explication, un jour je reçois un message sur mon portable : – rejoint moi vite sous le pont de chemin de fer, j’ai trop envie - … c’est bien la première fois qu’elle me donnait rendez vous dans un endroit retiré alors que nous avions des lit confortables a disposition …je veux en avoir le cœur net, je m’y rends donc sans répondre
Deux voitures sont discrètement stationnées, la sienne et celle de julien, mon meilleur pote … ? je m’avance sur le petit chemin sans faire de bruit et là je la vois adossée a une pile de pont, dépoitraillée jusqu’à la taille, les seins a l’air puisqu’elle n’a jamais porté de soutient gorge, qui ne servirait a rien pour supporter une poitrine irréprochable, une jambe relevée très haut, et devinez qui tient cette jambe ? Mon pote qui la baise allégrement, debout, a grands coups de bite, effondré je repars sans me faire voir après avoir fait tout de même un cliché du couple illégitime, j’ai simplement envoyé un sms de rupture accompagné de la photo explicite…. Nous ne nous somment jamais revus
Joyce, mon amour, la femme de ma vie, pourquoi m’avoir fait ça ? Celle qu’un rien faisait jouir, la sensualité lui sortais par tous les pores de la peau, depuis ses lobes d’oreilles lorsque je lui mordillais et enfonçais ma langue au plus profond de son pavillon, a ses orteils que je suçais avec ferveur, en n’oubliant évidement aucunes zones sensibles de son corps, seins, nombril, aines, dessous de genoux et j’en oublie surement, la chatte ? Elle y passait en dernier une fois qu’elle était chaude comme la braise !
Nous faisions ensembles ce que beaucoup de couple n’osent pas pratiquer… je vais vous en révéler quelques détails au risque de vous choquer ….
Ce n’était pas des fellations qu’elle pratiquait sur moi, c’était une véritable avaleuse de sabre, elle ingurgitait mes vingt deux centimètres entièrement, ses lèvres et ses dents collés contre mon pubis, son menton sur mes testicules, elle aspirait littéralement ma verge, aussi elle profitait rarement du goût de mon sperme qui fusait directement dans son œsophage, a l’inverse elle savait me faire venir dans son palais et me le faire boire aussitôt lors d’un baiser passionné
Joyce connaissait aussi la technique pour me faire décharger sans me masturber ou me sucer, simplement a l’aide de deux doigts profondément enfoncés dans mon rectum, elle massait ma prostate jusqu'à éjaculation, le résultat était rapide, souvent je n’avais pas le temps d’être totalement en érection, elle léchait ma semence éparpillée par paquets sur mon ventre, j’adorais ça !
Sans être fétichistes, nous aimions la chaleur de l’urine sur nos corps, nous pratiquions quelquefois cela après avoir fait l’amour pour se nettoyer mutuellement elle, a cheval au dessus de moi, m’arrosait copieusement du mélange épais de nos jus, de la queue au visage, moi, pour lui rendre la politesse j’enfonçais ma queue a moitié bandée, car, raide aucuns hommes ne peut pisser, j’arrosais son vagin, lui prodiguant un lavement jouissif
Aujourd’hui elle oser me téléphoner pour la sortir d’un mauvais pas, des tas de souvenirs remontent a la surface, j’ai envie de savoir si elle a changé physiquement alors tant pis pour ma fierté, je me précipite sur ce maudit parking …mini jupe, top court, je reconnaitrais sa silhouette élancée a cinq cent mètres, elle fait nerveusement les cents pas
- Bonjour Joyce …
- Bonjour Nicos, excuse-moi de t’avoir téléphoné mais je ne connais personne d’autre que toi qui puisse m’aider …
- Bien sûr, je suis le con de service … ceci dit, tu es toujours très belle …
- Tu es toujours aussi élégant …
- Bon, trêve de baliverne qu’y a-t-il ?
- Mon taco ne démarre plus
- Quel dommage ! c’était avant ou après ‘le motel’ ?
- Ahhhhh, je vois ce que tu veux dire…. ‘il’ n’est pas venu ….
- Merde ! tu ne t’es même pas faite tirée ??
- Ne te force pas à être vulgaire
- Ouvre-moi le capot et essaie de démarrer …
- Rien ne s’allume
- Je vais vérifier la batterie
La femme vient s’accouder sur l’aile sur l’aile opposée, les bras croisés sous ses seins nus les font remonter a quasiment jaillir du corsage, ils semblent toujours aussi fermes, du coup j’en lâche mon portable qui glisse sous la voiture, il est là prés de la roue …je dois me coucher sur le dos pour pouvoir le saisir , mais en face il y a aussi deux jambes, terminées par deux cuisses pleines, bien ouvertes, Joyce s’est accroupie, elle ne porte pas de culotte, ses poils pubiens sont aussi bien entretenus qu’il y a un an... ils laissent voir le trait fendu de ses lèvres fines
- Tu trouve ton portable ?
- Euuuuhhh…. non …. oui je le vois, je n’ai qu’à tendre la main
Qu’est-ce qui me prend de tendre le bras vers sa fourche ? Personne aux alentours ne peux deviner ce qui se passe sous cette voiture, c’est à peine si elle frémit lorsque j’entre en contact avec l’intérieur de sa cuisse brulante, au lieu de se retirer elle s’avance a toucher la carrosserie, mes doigts effleurent sa vulve, Joyce lâche un miaulement de satisfaction
- RRRROOOOOOUUUUMMMMM !! va-y enfonce les….ouuuuuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiii
- Tu mouille toujours autant salope !
- Oui tu as raison je suis une salope, je reconnais que j’ai eu tors de te tromper avec julien, je t’en supplie ne retire pas tes doigts de ma chatte, branle moi, fait moi jouir ici
Je l’astique énergiquement, sans complaisance, à la dure, comme autrefois l’orgasme la terrasse en une minute, un rond mouillé tache l’asphalte
- C’est toi qui as réservé la chambre ?
- Oui, tu veux qu’ont y aille ?
- Tu parais être en manque, je te préviens, si nous y allons je vais te faire payer cher ton infidélité
En chemin je la questionne sur ce rendez vous manqué …
- Avec qui fait tu cocu ton mari cette fois ? Qui est le poseur de lapin ?
- Personne, c’est toi que j’attendais …julien baise comme un pied, le rendez vous sous le pont de chemin de fer t’était réellement destiné, mais par inadvertance il est aussi parvenu a julien, il était là avant toi et il a su trouver mon point faible...
- Qui est ?
- Tu le connais pour l’avoir pratiqué des centaines de fois, sans crier gare, il m’a directement mis la main au cul et m’a touchée la chatte, comme j’étais sans culotte ses doigts ont vite débusqué mon clitoris, et tu sais comme moi qu’une fois mon bouton décalotté c’est fini, il faut que je baise, ça duré seulement trois minutes, il baise comme un lapin
- Pourquoi l’avoir épousé ?
- Pour te faire enrager et que tu viennes me tirer des griffes de ce con, mais ta fierté a dit non …
- Sur le lit je vais savoir si tu mens …déshabille toi avant d’entrer dans la chambre
- Ça va être vite fait, regarde …
La chambre donne sur le parking, n’importe qui peut la voir prendre son temps pour baisser sa jupe et faire passer le top par-dessus sa tête, nue comme un ver, les deux mains sur les hanches, elle me toise
- Alors ? Je suis une miquette ?
- Salope tu me fais bander, entre !
- Si tu veux que je te suce comme avant, fou-toi à poil !
En moins de temps qu’il faut pour le dire je suis aussi nu qu’elle, le sang bat dans ma verge tendue à me faire mal, depuis un an c’est la paume de ma main enduite de lubrifiant qui me sert de vagin, aussi, même si ça ne doit pas durer je veux profiter au maximum de son corps, les yeux gourmands de Joyce fixent ma queue , elle s’agenouille au bord du lit , debout je lui fais face, bien campé sur mes jambes , le bassin cambré en avant, elle saisi ma bite, ouvre la bouche autant qu’elle peut, je m’introduit aisément, pose une main derrière sa tête et la force a avaler, surprise elle essaie de me repousser
- lâche ma queue, laisse moi faire …apparemment tu as perdu l’habitude, il a une quéquette si minable que ça ton mec ?
- huuuummm-huuuummm
Implacablement ma queue s’enfonce dans sa gorge, elle hoquette, rougi, des larmes coulent de ses beaux yeux en amande qui me regardent et me disent : Fait comme tu veux, je ne reculerais pas ! Une salive épaisse suinte aux commissures de ses lèvres, ça y est, je suis dans sa gorge, je la laisse s’habituer au diamètre, elle respire fort par le nez, je lâche sa tête, elle se recule légèrement pour mieux se poignarder avec mon membre, puisque mes mains sont libres je vais tâter sa poitrine et fais rouler ses tétons hyper- allongés entre mes doigts
Joyce se trémousse, elle prend autant de plaisir a cet exercice qu’autrefois, je ne me fais pas sucer, je baise sa luette
- C’est bon hein ? Tu te souviens ce que tu faisais en me pompant ? Comment occupais-tu tes doigts ?
Pas besoin d’en dire davantage, sa main s’aventure entre ses jambes, sans doute pour prélever de la mouille, je sépare mes pieds autant que possible, deux doigt fins tournent autour de mon anus avant de trouver le centre de l’anneau et de s’y enfoncer par petites touches alternatives
Ma prostate est sollicitée, l’effet n’est pas spectaculaire en tant que plaisir mais ma verge sait en reconnaitre les bienfaits, comme Joyce ne peut pas concilier les deux actions je reprends sa tête dans ma main et plonge ma queue dans son gosier a un rythme soutenu, la double caresse m’amène rapidement a la jouissance, après deux grosses contractions de mon membre mon sperme est projeté au-delà de ses amygdales, ses joues gonflent, elle rougit, rugit mais accepte mon offrande, satisfais et vidé je me retire, elle s’essuie la bouche du dos de la main en souriant
- Tu n’as pas changé, tu es toujours un bon mâle
- Je vais te le prouver si tu te mets à quatre pattes
- Que vas-tu me faire ?
- Te prendre le p’tit trou et te pisser dans le cul avant que je ne débande trop
- Tu ne me l’as jamais fait par là !
- Justement !
- Ça ne risque rien ?
- Pour le savoir il faut essayer
- Je veux être ta chienne, alors va-y encule moi
- Julien te prend par là ?
- Il voudrait bien mais je refuse, avec toi ce n’est pas pareil, je suis ta chose
La vue indécente qu’elle m’offre me fais rebander, je dois penser a ce qui c’est passé sous le pont pour faire retomber la pression…il y a un an, sous le pont Julien devait être enfoncé profondément dans son ventre, il a tâté ses nichons, son foutre a souillé sa chatte a jamais, l’avait-elle sucé avant ?
Ça y est ça marche ! J’ai la bonne rigidité pour l’emmancher, elle essaie de se dégager mais je la maintiens vissée sur mon ventre, ma vessie est pleine, je dois me concentrer un bon moment avant que ma pisse veuille bien sortir, au début c’est seulement quelques gouttes, puis c’est le déluge, autour de mon gland la pression de son boyau se relâche
- OOOOOHHHHH ! Que c’est boooooooooooonnnnnnnnnnnn mon amour ! C’est meilleur que dans la chatte ! Va-y donne moi toute ton urine !
- Je rêve ? tu m’as appelés ‘mon amour ‘ ?
- Je suis a toi, je ne rentre pas ‘chez lui’, emmène moi chez nous !!!!
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
a suivre vite
merci
merci
Georges, comme bien souvent à la lecture de tes récits, immanquablement mon string en est la victime collatérale.
merci de me régaler ainsi.
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