Katherine 3
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-05-2014 dans la catégorie Dominants et dominés
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Katherine 3
La sonnerie retentissante du réveil me tira de mon someil en sursaut. On était le lundi de la rentrée des classes, après les vacances de Pâques. Dés que je réalisai ce qui m'attendait aujourd'hui, je devins fébrile. Je m'habillai à la hâte, engloutissai rapidement mon petit déjeuner, et me hatai d'aller au lycée. Mon impatience ne faiblit pas de toute la journée, bien au contraire elle grandissait d'heure en heure. Car le soir même, après le lycée, j'avais rendez vous avec Katherine. J'avais rencontré Katherine lors d'une soirée, et le lendemain nous avions eu une mémorable partie de jambes en l'air. Nous nous étions revus plusieurs fois depuis, et chacun de ces moments passés avec elle avait été un pur délice. Katherine était incroyablement sexy, avec ses longs cheveux noirs, ses yeux noisettes et son regard de braise, sans oublier son corps parfait : sa superbe chute de rein, sa poitrine généreuse et ses fesses sublimes. Outre cela Katherine était une vraie allumeuse avec son caractère provocant et aguicheur, en bref, c'était la fille la plus sexy de l'univers, tant physiquement que par son caractère. Ajoutez à cela que je ne l'avais pas vu de toutes les vacances de Pâques, et vous comprendrez que j'étais fébrile à l'idée de la revoir.
J'étais impatient de revoir Katherine pour une autre raison : Katherine avait un penchant assez prononcé pour la domination. Elle aimait user de son charme avec moi pour me mettre dans l'embarras et avoir le contrôle de la situation. Au lit, elle aimait être au dessus de moi et me chevaucher. Lors de notre deuxième rencontre, elle avait même été jusqu'à me menotter. Alors si j'étais impatient de la revoir, c'est parce que je voulais prendre ma revanche : au cours des vacances de Pâques, j'avais eu à deux reprises une aventure, avec d'autres filles. Au cours de ces deux aventures, j'avais à chaque fois pris le dessus sur ma partenaire et j'avais adoré ça. J'avais donc envie de faire la même chose avec Katherine. J'avais envie que cette fois ci ce soit moi qui mène la danse, j'avais envie de la dominer, j'avais envie de me sentir maître de la situation, j'avais envie de la voir subir mes assauts, de la voir se tortiller de plaisir, j'avais envie de la prendre en levrette et de remettre enfin cette allumeuse à sa place.
Impatient comme j'étais, la journée passa lentement, mais lorsqu'à 16h les cours finirent enfin, je me hâtai d'aller sur le parking devant mon lycée, là où Katherine et moi devions nous retrouver. Un quart d'heure plus tard, Katherine n'était toujours pas là. Comme elle n'était pas dans le même lycée que moi, je ne m'inquiétais pas trop, mais au bout de 20 minutes d'attente, je fus pris d'un affreux soupçon : et si Katherine ne venait pas ? Cela fasait plus d'une demi heure que j'attendais, lorsque soudain j'entendis un grand bruit de moteur, je n'y prétai d'abord pas attention, pensant que c'était juste un chauffard, mais le bruit se rapprocha, et soudain un scooter se gara dans le parking avec un atroce bruit de crissement de pneus. Le chauffard retira son casque, et je vis que c'était en fait une chauffarde : c'était Katherine.
Elle était encore plus sexy que d'habitude, avec sa blouse en cuir, et son jean, qui moulaient son corps de façon indécente. Elle me sourit, avec son sourire ravageur et avec son doigt me fit signe d'avancer.
Comme hypnotisé, je me dirigeai vers elle, me retennant de courrir. puis je repris mes esprits et lui dis :
"Tu conduis comme une dingue !"
"Moi aussi tu m'as manqué mon grand, dit elle sans répondre à mon accusation sur sa conduite"
"T'as passé de bonnes vacance ? Lui demandai je, comprenant qu'essayer de l'engueler ne servirait à rien"
"Ouais c'était génial ! Répondit elle ! Tu montes à l'arrière ?"
Je m'excécutai et serrai Katherine. Pendant le trajet, j'eus le plus grand mal à dissimuler mon excitation. En effet, j'étais collé à elle, et le contact physique permanent me rendait fou de désir pour elle. D'autant plus que j'étais obligé de bien me serrer contre elle, car j'avais la frousse, tant elle conduisait vite.
Arrivés à sa maison, sitôt descendus de la moto, je l'attrapai par la taille et nous échangeâmes un délicieux baiser sur le pas de sa porte. Alors que je devenais très entreprenant, Katherine m'interrompit :
"Doucement mon chéri, il y a mon petit fère à l'intérieur !"
"Ton petit frère ? Dis je un peu surpris car je ne savais pas qu'elle avait un frère"
"Oui, mais ne t'inquiète pas, il part bientôt pour son entraînement de foot, dans une demi heure tu seras tout à moi !"
Je ne répondis pas, mais au fond de moi je me dis qu'elle pouvait toujours rêver : dans une demi heure, c'est elle qui serait à moi et non l'inverse.
Nous entrâmes dans sa maison, Katherine se dévêtit, ce qui eut le don d'augmenter encore mon impatience. Elle était très sexy dans son débardeur bleu au décoleté large, et je n'avais qu'une envie, c'était de lui enlever tous ses vêtements un par un.
Je saluai son petit frère un môme de 12 ans qui n'avait de Katherine que ses cheveux noirs, et m'installai avec elle sur sa terrasse de jardin. Pour patienter, le temps que son petit frère s'en aille enfin, nous prîmes chacun une boisson et tout en bronzant sur sa terrasse nous nous racontions nos vacances de Pâques respectives.
Elle était allée au Portugal, mais elle me confia que c'était surtout les portugais qu'elle avait visités...
Quant à moi, je lui racontai mon aventure avec Noémie, une amie de ma classe, et avec Chloé ma cousine. J'appréhendai un peu sa réaction en apprenant que j'avais couché avec ma cousine, mais Katherine ne fut pas le moins du monde choquée, elle me dit qu'elle même avait un jours couché avec ses deux cousins en même temps... Elle me confia d'ailleurs ne pas avoir trop aimé cette expérience, et préférer les plans à trois avec deux filles et un seul garçon.
Pendant la durée de notre conversation, mon impatience grandit encore. J'avais hâte que son frère s'en aille et de pouvoir enfin baiser Katherine. Je regardais toutes les deux secondes ma montre, buvais un peu pour tromper mon impatience, et parfois laissait mon esprit divaguer, et mes yeux s'égarer ves le décolleté de Katherine.
Puis, son frère s'en alla enfin. Nous le rejoignîmes dans le salon, je lui dis aurevoir (tout en pensant qu'il était grand temps qu'il s'en aille), et Katherine l'accompagna jusqu'à la porte, tandis que moi je l'attendai au salon. Elle referma la porte derrière lui, et tourna le loquet. Puis lentement, elle se tourna vers moi.
Elle se rapprocha de moi lentement, telle une lionne s'approchant sur sa proie tout en souriant d'un air enjôleur. Quant à moi, j'étais soudain paralysé par le désir et l'envie. Plus rien ne se dressait entre nous, et quand Katherine fut arrivée à 2 mètres de moi, elle s'arrêta et dit :
"On est seuls maintenant"
"Oui, dis je, un peu nerveux"
"Ne t'inquiète pas mon grand, je vais y aller doucement avec toi..."
Malgré cette promesse, elle se jeta immédiatement sur moi comme une tigresse, m'embrassa sauvagement, puis m'enleva mon pull, et, avant que je n'aie pu esquisser le moindre geste me jeta sur le canapé et retira son débareur. Elle vint sur moi et continua de m'embrasser. Je repris mes esprits, lui rendis son baiser avec fouge, puis je quittai sa bouche et embrassai ses seins à travers son soutien gorge rouge. Après ça, Katherine me releva la tête de force et me retira mon t-shirt, avant de m'embrasser le torse.
La situation était certes très plaisante, mais comme d'habitude, Katherine prenait les choses en main. Or cette fois ci, j'avais envie d'être le dominant.
Je lui dis alors :
"Katherine ça ne te dit pas d'aller dans ta chambre ?"
"Si tu veux mon grand, on aura plus de place !"
Je la portai donc, l'aménai à l'étage dans sa chambre, sans qu'elle ne se doute que j'avais l'intention de la dominer. Arrivés dans sa chambre, je la jetai sur le lit, et vins sur elle. Elle fut un peu surprise, mais ne réagit pas, pensant sans doute que je la laisserai reprendre le dessus plus tard, comme je le fasais d'habitude. Je décidai de pousser mon avantage, et lui embraissai le décolleté. Puis je lui enlevai son jean et me relevai pour enlever le mien. Elle s'assit, m'aida à me débarrasser de mon pantalon, puis de mon caleçon, et entrepris une délicieuse fellation. Je la laissai me prendre en bouche un moment, puis décidai mettre un terme à la fellation (bien qu'elle soit très agréable) car je craignais que Katherine n'en profite pour reprendre le commandement des opérations.
Je la repoussai donc, et la plaquai sur le lit, lui maintenant les mains contre le matelas. Cette fois ci, je lus de la surprise dans ses yeux : elle qui d'habitude était si dominatrice, si sûre d'elle, perdit de sa superbe quand elle réalisa qu'elle n'avait plus du tout le contrôle. Pour lui confirmer cette impression, je la pénétrai d'un coup sec, et entrepris des vas et viens en position du missionnaire. Je lui enlevai son soutif, et tout en la pénétrant je lui dévorai les seins. Le plaisir montait un peu plus en moi à chaque coup de rein que je lui donnais, mais ma plus grande source de plaisir, c'était de voir Katherine soumise, et subir mes assauts. J'adorais pouvoir enfin la regarder dans les yeux et la toiser d'un air dominateur pendant qu'elle se tortillait de plaisir.
Néanmoins, je voulais encore enfoncer le clou, et lui montrer à quelle point elle était soumise. Je la retounai donc, et la pris en levrette, elle à quatre pattes, et moi à genoux derrière elle entrain de la bourrer de coup de reins. Je n'en revenais pas : pour une fois, c'était moi le dominant. Je la limais, lui donnais des coup de reins si fort qu'elle risquait de décoller, tandis qu'elle subissait la situation en gémissant. Moi qui voulais la remttre à sa place, j'étais servi ! Je poussai les choses encore plus loin et osai même lui tirer les cheveux, ou encore lui donner des tapes sur les fesses, histoire qu'elle comprenne bien qui était le patron.
Et soudain tout changea : elle se releva, se retourna et avant que je n'aie pu faire quoique ce soit me renversa et vint sur moi et commença à me chevaucher langoureusement en position d'andromaque. Elle souriait d'un air narquois et dit :
"Tu croyais vraiment me dominer aussi facilement ?"
Je ne répondis pas, mais refusai de me laisser faire. Au moment où elle s'y attendait le moins, je me relevai, la portai et la plaquai contre le mur de sa chambre, et entrpris de la baiser ainsi. Coincée entre moi et le mur, Katherine était à nouveau soumise. Elle lâchait des hurlements,
Néanmoins elle ne se laissa pas faire, elle me poussa sur une chaise, et avec un sourire satisfait, elle se mit à califourchon sur moi et me chevaucha plus sauvagement que jamais, se déanchant sur moi à un rythme fou. Elle avait repris les choses en main, mais pour l'instant, je ne pouvais pas y faire grand chose, coincé comme sur la chaise comme j'étais. De plus, à chacun des mouvements que Katherine faisait, des décharges de plaisir se répandaient dans mon coprs, en vagues successives, si bien que par moment, ma vision se troublait et que je craignais presque de m'évanouir tant le plaisir était grand.
Je me ressaisis néanmoins, et, , je me relevai, la soulevai, et la jetai sur le lit. Puis je la pris en cuillère, c'est à dire qu'elle était couchée sur le côté, et que moi je venais la prendre par derrière. Dans cette position, j'avais parfaitement accès à son corps, et ne me privais pas de lui malaxer ses gros seins tout en la pénétrant. Ainsi ensserrée dans mes bras, Katherine ne pouvait pas me renverser et retourner la situation à son avantage. Elle se débattit à plusieurs reprises, mes ses efforts pour se libérer étaient de plus en plus faibles, tandis que mes coups de reins étaient de plus en plus fort. La sensation de victoire s'insinua en moi, me faisant frémir de plaisir et de satisfaction. Sur de moi, j'accélérai encore le rythme de mes coups de reins, ce qui fit gémir Katherien. Elle fit une nouvelle tentative pour se libérer, mais je la maintins aisément sous mon contrôle. J'étais ravi, enfin je tenais ma revanche sur elle ! Décidé à la provoquer, afin de l'humiler un peu (comme elle le faisait souvent avec moi) je lui dis :
"Chut, arrête de te débattre, tu es à moi et tu ne peux rien faire."
Elle émit un drôle de bruit, et je compris qu'elle venait de ricanner tout en gémissant.
"Qu'est ce qu'il y a lui demandai je ?"
"Tu crois vraiment me dominer ? Dit elle d'un ton sarcastique"
"Bah oui, vu d'ici ça y ressemble..."
Elle ne me répondit pas, mais tout à coup, elle s'agita, me donnant des coups de reins, ce qui fit monter le plaisir en moi. A cause de cette brusque montée de plaisir, mes bras se dessérèrent autour d'elle, et Katherine en profita pour se libérer, et se remettre sur moi. Refusant de la laisser reprendre le dessus, je tentai de la renverser, mais elle me prit par les épaules, et me tint plaqué contre le lit, tout en entammant des vas et viens de plus en plus rapides. J'eus beau me débattre, elle me maintenait de force. Plus ses vas et viens étaient rapides, plus je perdais pied, et plus mes efforts pour reprendre le dessus étaient faibles. Mes tentatives de plus en plus faibles lui tirèrent un sourire narquois. En quelques secondes, j'étais passé de totalement dominant à totalement dominé. Elle arborait un sourire triomphant, et je compris qu'elle avait le même sentiment de victoire que moi tout à l'heure. Je compris alors, qu'elle jouait avec moi depuis le début : elle s'était amusée à me laisser croire que je la dominais pour mieux me dominer après. Lorsque je compris ça, je compris également que je ne pourrai pas la dominer. Je n'avais donc plus qu'à m'abandonenr à elle et à reconnaître ma défaite. Je cessai de me débattre, et entrepris de la caressser. Le sentiment de défait s'insinua en moi, mais il n'était pas très désagréable, au contraire. Comprenant que je déposais les armes, Katherine sourit et ralentit ses vas et viens, afin de faire durer les choses plus longtemps. Puis, elle me donna une gilfe.
"Ca t'apprendra à te rebeller, dit elle en souriant"
Sans me laisser répondre, elle me fit sucer son doigt, et de son autre main elle me griffa le torse. Après ça, je me redressai, et enfouit ma tête dans sa poitrine. Elle me maintint la tête dans ses seins, et changea légèrement sa poistion, en s'aggripant à moi avec ses jambes et en ondulant du bassin tout en m'embrassant langoureusement. Nous restâmes quelques minutes dans cette position romantique, puis elle me repoussa, me plaquant à nouveau contre le matelas et entamma à nouveau de délicieux vas et viens, à un rythme plus soutenu. Ces gémissements de plus en plus incontrôlés annonçaient qu'elle était proche de l'orgasme, et moi même je sentais que j'avais de plus en plus de mal à me retenir. Nous finîmes par attteindre l'orgasme tous les deux, dans une explosion de plaisir pur.
J'étais impatient de revoir Katherine pour une autre raison : Katherine avait un penchant assez prononcé pour la domination. Elle aimait user de son charme avec moi pour me mettre dans l'embarras et avoir le contrôle de la situation. Au lit, elle aimait être au dessus de moi et me chevaucher. Lors de notre deuxième rencontre, elle avait même été jusqu'à me menotter. Alors si j'étais impatient de la revoir, c'est parce que je voulais prendre ma revanche : au cours des vacances de Pâques, j'avais eu à deux reprises une aventure, avec d'autres filles. Au cours de ces deux aventures, j'avais à chaque fois pris le dessus sur ma partenaire et j'avais adoré ça. J'avais donc envie de faire la même chose avec Katherine. J'avais envie que cette fois ci ce soit moi qui mène la danse, j'avais envie de la dominer, j'avais envie de me sentir maître de la situation, j'avais envie de la voir subir mes assauts, de la voir se tortiller de plaisir, j'avais envie de la prendre en levrette et de remettre enfin cette allumeuse à sa place.
Impatient comme j'étais, la journée passa lentement, mais lorsqu'à 16h les cours finirent enfin, je me hâtai d'aller sur le parking devant mon lycée, là où Katherine et moi devions nous retrouver. Un quart d'heure plus tard, Katherine n'était toujours pas là. Comme elle n'était pas dans le même lycée que moi, je ne m'inquiétais pas trop, mais au bout de 20 minutes d'attente, je fus pris d'un affreux soupçon : et si Katherine ne venait pas ? Cela fasait plus d'une demi heure que j'attendais, lorsque soudain j'entendis un grand bruit de moteur, je n'y prétai d'abord pas attention, pensant que c'était juste un chauffard, mais le bruit se rapprocha, et soudain un scooter se gara dans le parking avec un atroce bruit de crissement de pneus. Le chauffard retira son casque, et je vis que c'était en fait une chauffarde : c'était Katherine.
Elle était encore plus sexy que d'habitude, avec sa blouse en cuir, et son jean, qui moulaient son corps de façon indécente. Elle me sourit, avec son sourire ravageur et avec son doigt me fit signe d'avancer.
Comme hypnotisé, je me dirigeai vers elle, me retennant de courrir. puis je repris mes esprits et lui dis :
"Tu conduis comme une dingue !"
"Moi aussi tu m'as manqué mon grand, dit elle sans répondre à mon accusation sur sa conduite"
"T'as passé de bonnes vacance ? Lui demandai je, comprenant qu'essayer de l'engueler ne servirait à rien"
"Ouais c'était génial ! Répondit elle ! Tu montes à l'arrière ?"
Je m'excécutai et serrai Katherine. Pendant le trajet, j'eus le plus grand mal à dissimuler mon excitation. En effet, j'étais collé à elle, et le contact physique permanent me rendait fou de désir pour elle. D'autant plus que j'étais obligé de bien me serrer contre elle, car j'avais la frousse, tant elle conduisait vite.
Arrivés à sa maison, sitôt descendus de la moto, je l'attrapai par la taille et nous échangeâmes un délicieux baiser sur le pas de sa porte. Alors que je devenais très entreprenant, Katherine m'interrompit :
"Doucement mon chéri, il y a mon petit fère à l'intérieur !"
"Ton petit frère ? Dis je un peu surpris car je ne savais pas qu'elle avait un frère"
"Oui, mais ne t'inquiète pas, il part bientôt pour son entraînement de foot, dans une demi heure tu seras tout à moi !"
Je ne répondis pas, mais au fond de moi je me dis qu'elle pouvait toujours rêver : dans une demi heure, c'est elle qui serait à moi et non l'inverse.
Nous entrâmes dans sa maison, Katherine se dévêtit, ce qui eut le don d'augmenter encore mon impatience. Elle était très sexy dans son débardeur bleu au décoleté large, et je n'avais qu'une envie, c'était de lui enlever tous ses vêtements un par un.
Je saluai son petit frère un môme de 12 ans qui n'avait de Katherine que ses cheveux noirs, et m'installai avec elle sur sa terrasse de jardin. Pour patienter, le temps que son petit frère s'en aille enfin, nous prîmes chacun une boisson et tout en bronzant sur sa terrasse nous nous racontions nos vacances de Pâques respectives.
Elle était allée au Portugal, mais elle me confia que c'était surtout les portugais qu'elle avait visités...
Quant à moi, je lui racontai mon aventure avec Noémie, une amie de ma classe, et avec Chloé ma cousine. J'appréhendai un peu sa réaction en apprenant que j'avais couché avec ma cousine, mais Katherine ne fut pas le moins du monde choquée, elle me dit qu'elle même avait un jours couché avec ses deux cousins en même temps... Elle me confia d'ailleurs ne pas avoir trop aimé cette expérience, et préférer les plans à trois avec deux filles et un seul garçon.
Pendant la durée de notre conversation, mon impatience grandit encore. J'avais hâte que son frère s'en aille et de pouvoir enfin baiser Katherine. Je regardais toutes les deux secondes ma montre, buvais un peu pour tromper mon impatience, et parfois laissait mon esprit divaguer, et mes yeux s'égarer ves le décolleté de Katherine.
Puis, son frère s'en alla enfin. Nous le rejoignîmes dans le salon, je lui dis aurevoir (tout en pensant qu'il était grand temps qu'il s'en aille), et Katherine l'accompagna jusqu'à la porte, tandis que moi je l'attendai au salon. Elle referma la porte derrière lui, et tourna le loquet. Puis lentement, elle se tourna vers moi.
Elle se rapprocha de moi lentement, telle une lionne s'approchant sur sa proie tout en souriant d'un air enjôleur. Quant à moi, j'étais soudain paralysé par le désir et l'envie. Plus rien ne se dressait entre nous, et quand Katherine fut arrivée à 2 mètres de moi, elle s'arrêta et dit :
"On est seuls maintenant"
"Oui, dis je, un peu nerveux"
"Ne t'inquiète pas mon grand, je vais y aller doucement avec toi..."
Malgré cette promesse, elle se jeta immédiatement sur moi comme une tigresse, m'embrassa sauvagement, puis m'enleva mon pull, et, avant que je n'aie pu esquisser le moindre geste me jeta sur le canapé et retira son débareur. Elle vint sur moi et continua de m'embrasser. Je repris mes esprits, lui rendis son baiser avec fouge, puis je quittai sa bouche et embrassai ses seins à travers son soutien gorge rouge. Après ça, Katherine me releva la tête de force et me retira mon t-shirt, avant de m'embrasser le torse.
La situation était certes très plaisante, mais comme d'habitude, Katherine prenait les choses en main. Or cette fois ci, j'avais envie d'être le dominant.
Je lui dis alors :
"Katherine ça ne te dit pas d'aller dans ta chambre ?"
"Si tu veux mon grand, on aura plus de place !"
Je la portai donc, l'aménai à l'étage dans sa chambre, sans qu'elle ne se doute que j'avais l'intention de la dominer. Arrivés dans sa chambre, je la jetai sur le lit, et vins sur elle. Elle fut un peu surprise, mais ne réagit pas, pensant sans doute que je la laisserai reprendre le dessus plus tard, comme je le fasais d'habitude. Je décidai de pousser mon avantage, et lui embraissai le décolleté. Puis je lui enlevai son jean et me relevai pour enlever le mien. Elle s'assit, m'aida à me débarrasser de mon pantalon, puis de mon caleçon, et entrepris une délicieuse fellation. Je la laissai me prendre en bouche un moment, puis décidai mettre un terme à la fellation (bien qu'elle soit très agréable) car je craignais que Katherine n'en profite pour reprendre le commandement des opérations.
Je la repoussai donc, et la plaquai sur le lit, lui maintenant les mains contre le matelas. Cette fois ci, je lus de la surprise dans ses yeux : elle qui d'habitude était si dominatrice, si sûre d'elle, perdit de sa superbe quand elle réalisa qu'elle n'avait plus du tout le contrôle. Pour lui confirmer cette impression, je la pénétrai d'un coup sec, et entrepris des vas et viens en position du missionnaire. Je lui enlevai son soutif, et tout en la pénétrant je lui dévorai les seins. Le plaisir montait un peu plus en moi à chaque coup de rein que je lui donnais, mais ma plus grande source de plaisir, c'était de voir Katherine soumise, et subir mes assauts. J'adorais pouvoir enfin la regarder dans les yeux et la toiser d'un air dominateur pendant qu'elle se tortillait de plaisir.
Néanmoins, je voulais encore enfoncer le clou, et lui montrer à quelle point elle était soumise. Je la retounai donc, et la pris en levrette, elle à quatre pattes, et moi à genoux derrière elle entrain de la bourrer de coup de reins. Je n'en revenais pas : pour une fois, c'était moi le dominant. Je la limais, lui donnais des coup de reins si fort qu'elle risquait de décoller, tandis qu'elle subissait la situation en gémissant. Moi qui voulais la remttre à sa place, j'étais servi ! Je poussai les choses encore plus loin et osai même lui tirer les cheveux, ou encore lui donner des tapes sur les fesses, histoire qu'elle comprenne bien qui était le patron.
Et soudain tout changea : elle se releva, se retourna et avant que je n'aie pu faire quoique ce soit me renversa et vint sur moi et commença à me chevaucher langoureusement en position d'andromaque. Elle souriait d'un air narquois et dit :
"Tu croyais vraiment me dominer aussi facilement ?"
Je ne répondis pas, mais refusai de me laisser faire. Au moment où elle s'y attendait le moins, je me relevai, la portai et la plaquai contre le mur de sa chambre, et entrpris de la baiser ainsi. Coincée entre moi et le mur, Katherine était à nouveau soumise. Elle lâchait des hurlements,
Néanmoins elle ne se laissa pas faire, elle me poussa sur une chaise, et avec un sourire satisfait, elle se mit à califourchon sur moi et me chevaucha plus sauvagement que jamais, se déanchant sur moi à un rythme fou. Elle avait repris les choses en main, mais pour l'instant, je ne pouvais pas y faire grand chose, coincé comme sur la chaise comme j'étais. De plus, à chacun des mouvements que Katherine faisait, des décharges de plaisir se répandaient dans mon coprs, en vagues successives, si bien que par moment, ma vision se troublait et que je craignais presque de m'évanouir tant le plaisir était grand.
Je me ressaisis néanmoins, et, , je me relevai, la soulevai, et la jetai sur le lit. Puis je la pris en cuillère, c'est à dire qu'elle était couchée sur le côté, et que moi je venais la prendre par derrière. Dans cette position, j'avais parfaitement accès à son corps, et ne me privais pas de lui malaxer ses gros seins tout en la pénétrant. Ainsi ensserrée dans mes bras, Katherine ne pouvait pas me renverser et retourner la situation à son avantage. Elle se débattit à plusieurs reprises, mes ses efforts pour se libérer étaient de plus en plus faibles, tandis que mes coups de reins étaient de plus en plus fort. La sensation de victoire s'insinua en moi, me faisant frémir de plaisir et de satisfaction. Sur de moi, j'accélérai encore le rythme de mes coups de reins, ce qui fit gémir Katherien. Elle fit une nouvelle tentative pour se libérer, mais je la maintins aisément sous mon contrôle. J'étais ravi, enfin je tenais ma revanche sur elle ! Décidé à la provoquer, afin de l'humiler un peu (comme elle le faisait souvent avec moi) je lui dis :
"Chut, arrête de te débattre, tu es à moi et tu ne peux rien faire."
Elle émit un drôle de bruit, et je compris qu'elle venait de ricanner tout en gémissant.
"Qu'est ce qu'il y a lui demandai je ?"
"Tu crois vraiment me dominer ? Dit elle d'un ton sarcastique"
"Bah oui, vu d'ici ça y ressemble..."
Elle ne me répondit pas, mais tout à coup, elle s'agita, me donnant des coups de reins, ce qui fit monter le plaisir en moi. A cause de cette brusque montée de plaisir, mes bras se dessérèrent autour d'elle, et Katherine en profita pour se libérer, et se remettre sur moi. Refusant de la laisser reprendre le dessus, je tentai de la renverser, mais elle me prit par les épaules, et me tint plaqué contre le lit, tout en entammant des vas et viens de plus en plus rapides. J'eus beau me débattre, elle me maintenait de force. Plus ses vas et viens étaient rapides, plus je perdais pied, et plus mes efforts pour reprendre le dessus étaient faibles. Mes tentatives de plus en plus faibles lui tirèrent un sourire narquois. En quelques secondes, j'étais passé de totalement dominant à totalement dominé. Elle arborait un sourire triomphant, et je compris qu'elle avait le même sentiment de victoire que moi tout à l'heure. Je compris alors, qu'elle jouait avec moi depuis le début : elle s'était amusée à me laisser croire que je la dominais pour mieux me dominer après. Lorsque je compris ça, je compris également que je ne pourrai pas la dominer. Je n'avais donc plus qu'à m'abandonenr à elle et à reconnaître ma défaite. Je cessai de me débattre, et entrepris de la caressser. Le sentiment de défait s'insinua en moi, mais il n'était pas très désagréable, au contraire. Comprenant que je déposais les armes, Katherine sourit et ralentit ses vas et viens, afin de faire durer les choses plus longtemps. Puis, elle me donna une gilfe.
"Ca t'apprendra à te rebeller, dit elle en souriant"
Sans me laisser répondre, elle me fit sucer son doigt, et de son autre main elle me griffa le torse. Après ça, je me redressai, et enfouit ma tête dans sa poitrine. Elle me maintint la tête dans ses seins, et changea légèrement sa poistion, en s'aggripant à moi avec ses jambes et en ondulant du bassin tout en m'embrassant langoureusement. Nous restâmes quelques minutes dans cette position romantique, puis elle me repoussa, me plaquant à nouveau contre le matelas et entamma à nouveau de délicieux vas et viens, à un rythme plus soutenu. Ces gémissements de plus en plus incontrôlés annonçaient qu'elle était proche de l'orgasme, et moi même je sentais que j'avais de plus en plus de mal à me retenir. Nous finîmes par attteindre l'orgasme tous les deux, dans une explosion de plaisir pur.
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