L' affabulatrice et l'hypocrite
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-09-2014 dans la catégorie Pour la première fois
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L' affabulatrice et l'hypocrite
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
L’affabulatrice et l’hypocrite
Isa, c’est le diminutif d’Isabelle, ma femme, vingt cinq ans, avec qui je partage une vie de rêve, amour, santé et juste l’argent qu’il faut pour vivre décemment, mais c’est surtout l’amour qui l’emporte, notre complicité est enviée par nos amis
Benoit, c’est moi, vingt huit ans, viril dirait Isa, il est vrai que je lui fais l’amour tous les soirs, c’est comme un rituel, avant de nous endormir, elle tourne son p’tit cul en chien de fusil sur mon bas ventre, une chatte a quelques centimètre de mon gland, il n’en faut pas plus a mon sexe pour se raidir, elle relève la jambe supérieure, et … vous devinez la suite ! C’est la machine à laver qui efface quotidiennement les traces de notre plaisir dans les draps
Un troisième personnage est venu s’immiscer chez nous, en fait, il s’agit de sa jeune sœur, Stella dix sept ans, une fille qui sort de l’adolescence et se prend déjà pour une femme, une ado dans un corps de femme est plus juste …
Ceci dit, elle est très gentille, peut être un peu sournoise, Stella est à la maison pour quelques jours, ça fait drôle de retrouver deux femmes le soir a la maison, deux paires de cuisses qui se dévoilent assez souvent , des seins qui pointent pus ou moins sous des corsages légers, peut être aurais-je des tendances polygames ?
Ce soir, lorsque je suis rentré par le garage, j’ai entendu les deux sœurs parler, par curiosité, je me suis approché discrètement, Stella semblait renifler, comme si elle pleurait, Isa tentait de la consoler, il semble que j’arrive au début d’une conversation intéressante
- Calme toi ma chérie, que se passe-t-il ? dit moi ? je peux tout entendre, nos parents n’en sauront rien
- Tu me le jure ?
- Bien sûr voyons ! parle …
- Eh bien c‘est … c’n’est pas facile a dire…
- C’est sentimental ?
- Plus que ça …
- Sexuel ?
- Oui …
- Ton petit copain ?
- Je n’en ai pas...
- Alors qui ?
- Roger …
- Roger ? le copain de papa ?
- Oui
- Mon dieu … il t’a violée ?
- Oui ! enfin non, pas tout-a-fait
- Explique bon sang Stella !
- Ne me bouscule pas, c’est assez difficile comme ça ! ça c’est passé la semaine dernière, c’est pour ça que j’ai voulu venir chez toi cette semaine
- Je comprends
- Un après midi, j’étais seule à la maison, je me suis endormie sur un transat, je rêvais, ou du moins je le croyais, que quelqu’un relevais ma robe, une main caressait mes cuisses, machinalement je les ais ouvertes, des doigts ont grattés et massé ma petite culotte, ça me faisait tout drôle, puis, ils se sont infiltrés entre ma peau et le fond du slip… je me sentais toute humide
- C’est normal, même inconsciemment c’est l’excitation... et puis ?
- Ils se sont enfoncés un peu, mais comme je suis…… comme j’étais vierge, ils n’ont pas insistés
- Ah bon !
- Attend ! ‘ont’ a tiré sur ma culotte, je me suis retrouvée les fesses a l’air
- Et ça ne t’a pas réveillée ?
- Je te dis que je croyais rêver et comme c’était trop bon je ne voulais surtout pas me réveiller
- Ohlàlà, quelle histoire ….
- ‘On ‘ a écarté mes jambes … un truc doux et rond a appuyé sur ma chatounette…petit a petit c’est rentré, ça m’a brulé avant de me remplir complètement le ventre, j’étais biiiiiieeeeeeennnnnnnnn !
- Petite idiote ! tu te faisais simplement baiser !
- Je sais … c’est quand cette chose dure a finalement envoyé un liquide brulant au fond de ma chatte que j’ai ouvert enfin les yeux et là …
- Et là ?
- J’ai vu Roger, avec un gros truc dans sa main qu’il essuyait avec un mouchoir
- Quel salaud ! Il fallait le dire a papa il lui aurait cassé la gueule
- Je ne veux pas faire d’histoire, j’ai envie de me suicider, ma vie est foutue
- Tu es folle ? pour ça ? c’est une mauvaise expérience, tu sais ce que l’ont dit ? lorsqu’on tombe de cheval il faut remonter de suite
- Tu veux que je jette dans ses bras à nouveau ?
- Non, pas avec lui, un garçon de ton âge
- Peuuuuh, surtout pas !
- Alors qui ?
- Je ne sais pas … un homme, un vrai, un peu comme Benoit ….
- N’y pense même pas Stella !
- Alors tu auras ma mort sur la conscience …
- Ne dit pas ça !..... réfléchissons …le voisin ?
- Berk !
- Son fils ?
- Trop jeune …
- Alors suicide-toi !
Les pleurs redoublent de violence, alors cette petite ingénue voudrait baiser avec moi ? Pour ma part je n’y vois pas d’inconvénients ! Isa tente à nouveau de la raisonner
- Tais toi à la fin …écoute moi … je ne dis pas non, il y a peut être une solution, mais benoit ne saura pas que c’est toi qu’il baise
- Comment ça?
- Voilà, le soir, au lit, j’ai l’habitude de lui présenter mes fesses, il ne lui en faut pas plus pour le faire bander et qu’il me prenne aussitôt
- Sans préliminaires ?
- MERDE ! ne soit pas trop exigeante, tu veux de la queue ? tu va en avoir, mais selon mes règles, d’accord ?
- D’accord
- Bon, nous allons donc nous coucher et ….
J’en ai assez entendu, je préfère les laisser régler les détails ! Un quart d’heure plus tard je reviens avec grand bruit
- Salut les filles ! vous avez passé une bonne journée ?
- Merveilleuse
- Je me sens de bonne humeur ce soir, tu me sers l’apéro chérie ?
- Avec plaisir tu auras besoin de remontant...
- Ah ? pourquoi ?
- Eh ben, tu sais bien... nous deux, au lit... je ne vais pas te faire un dessin devant ma petite sœur !
- Je sais de quoi vous parlez ! je vous entends depuis ma chambre ! vous faites quoi exactement pour faire autant de bruit ?
- Un jour tu comprendras ….
Isa avait l’air anxieuse, Stella pensive …moi ? Fébrile ! qu’avait-elles projeté ?
Rien d’anormal jusqu'à u coucher, Stella nous fait la bise et gagne sa chambre, Isa se couche, éteint la lumière, comme d’habitue, je relève un peu sa nuisette afin de lui chatouiller la chatte que je trouve humide comme tous les soirs, ma queue se redresse …
- Attend chéri, j’ai oublié de faire pipi, j’ai très envie
- Va vite je bande comme un cerf !
Elle se lève sans allumer la lampe de chevet, après trois minutes elle revient … se couche, le dos sur ma bite, à nouveau je dégage les fesses…remet mes doigts sur la chatte … c’est là que je découvre le subterfuge …ce n’est pas sur la chatte d’Isa que je pose les doigts mais sur celle de Stella, les poils ne sont pas taillés de la même façon et puis je connais la forme des lèvres, elle a un mouvement de recul...
- Hé bien chérie, tu ne veux plus baiser ?
Sans un mot, le jeune cul revient vers moi, j’ouvre délicatement le calice … et au dernier moment je me souviens qu’elle se plaignait du manque de préliminaires ….un demi tour et voilà ma tête entre les cuisses tout prés de la vulve, comme par magie les jambes s’écartent pour me laisser accéder au vagin, je le fouille de la langue, Isa/Stella, pousse un soupir de bien être, mon doigt vient titiller son clitoris, un râle profond succède au soupir
- Ooooouuuuuuiiiiiiiiiiiiiii …….
J’ai de la peine à la maintenir lorsque j’enfonce ma langue dans l’anus, mes doigts vont pénétrer le vagin quand …
- Nooooooonnnn, je suis vierge ……
- Stella ? c’est toi ?
- Chuuuuuut …je t’expliquerais, laisse moi me retourner, je vais te prendre dans ma bouche
- Comme tu veux … avale ma queue…
- HUUUUMMMMM
- AH ! c’est gros hein ? je vais te bouffer le bonbon
J’espère qu’Isa n’écoute pas ou n’assiste pas en douce, car mes succions sont plutôt sonores, ce jus de vierge est succulent, elle-même pompe avidement ma queue
Ses cuisses bloquent ma tête, sa craquette se vide dans les draps, je ne peux tout avaler, pour la tester je décide de lui faire gouter a mon sperme … a ma grande surprise elle ne rechigne pas lorsque je décharge et ingurgite quasiment toute ma sauce
- Ça va ? Tu veux regagner ta chambre ?
- Et mon pucelage ?
- Si tu y tiens … écarte les cuisses, surtout ne dit rien à ta sœur
- Ça va me faire mal ?
- Tu es suffisamment excitée pour que ça ce passe bien, lève tes jambes bien haut
- Dommage que je ne vois rien …
- Je vais allumer la lampe de chevet, enlève cette nuisette, je veux sucer tes seins une fois introduit dans ta moule
- C’est super ! je vais baiser comme ma grande sœur ! ta verge est grosse …
- C’est pour mieux faire sauter ta capsule de garantie ! Pose tes jambes sur mes épaules …
- Embrasse-moi quand tu va me pénétrer …
Je positionne mon gland rougit par l’érection phénoménale que je me trimbale depuis une demie heure, face a la choune entrouverte, une fois le museau encastré dans la vulve je me penche sur la jeune fille pour lui rouler un patin, troublée par l’émotion elle mord ma langue, je chois ce moment d’égarement pour donner un coup de rein viril
Elle pousse un cri étouffé par le baiser fougueux que je lui inflige, j’ai un goût de sang dans la bouche, je suppose que le sien coule de sa chatte désormais ouverte aux bites, une fois habituée a ma présence dans son vagin, Stella bouge ses fesses, je me met a la besogner vigoureusement , cette fois elle ne peux retenir des cris de joies
Soudain, la lumière s’allume dans la chambre, Isa vient d’entrer
- Tu m’as bien eue petite salope ! la queue de benoit est toute rouge, tu étais pucelle n’est-ce pas ?
- Oui Isa, pardonne moi, mais je kif tellement ton mari...
- Finalement je préfère ça plutôt que vous baisiez tous les deux en cachette
- Alors tu ne m’en veux pas ? chouette ! défonce-moi benoit
- Chéri, n’oublie pas que c’est mon tour après
- Je vous prendrais côte à côte en levrette, nous avons la nuit pour apprendre des positions à ta jeune sœur… dans l’immédiat je vais décharger dans son ventre, elle est tellement serrée que je ne tiens plus !
- Tu prendras mon cul mon amour, il est encore plus serré !
- Va me chercher un whisky !
- Je t’avais bien dit qu’il te faudrait un remontant !
L’affabulatrice et l’hypocrite
Isa, c’est le diminutif d’Isabelle, ma femme, vingt cinq ans, avec qui je partage une vie de rêve, amour, santé et juste l’argent qu’il faut pour vivre décemment, mais c’est surtout l’amour qui l’emporte, notre complicité est enviée par nos amis
Benoit, c’est moi, vingt huit ans, viril dirait Isa, il est vrai que je lui fais l’amour tous les soirs, c’est comme un rituel, avant de nous endormir, elle tourne son p’tit cul en chien de fusil sur mon bas ventre, une chatte a quelques centimètre de mon gland, il n’en faut pas plus a mon sexe pour se raidir, elle relève la jambe supérieure, et … vous devinez la suite ! C’est la machine à laver qui efface quotidiennement les traces de notre plaisir dans les draps
Un troisième personnage est venu s’immiscer chez nous, en fait, il s’agit de sa jeune sœur, Stella dix sept ans, une fille qui sort de l’adolescence et se prend déjà pour une femme, une ado dans un corps de femme est plus juste …
Ceci dit, elle est très gentille, peut être un peu sournoise, Stella est à la maison pour quelques jours, ça fait drôle de retrouver deux femmes le soir a la maison, deux paires de cuisses qui se dévoilent assez souvent , des seins qui pointent pus ou moins sous des corsages légers, peut être aurais-je des tendances polygames ?
Ce soir, lorsque je suis rentré par le garage, j’ai entendu les deux sœurs parler, par curiosité, je me suis approché discrètement, Stella semblait renifler, comme si elle pleurait, Isa tentait de la consoler, il semble que j’arrive au début d’une conversation intéressante
- Calme toi ma chérie, que se passe-t-il ? dit moi ? je peux tout entendre, nos parents n’en sauront rien
- Tu me le jure ?
- Bien sûr voyons ! parle …
- Eh bien c‘est … c’n’est pas facile a dire…
- C’est sentimental ?
- Plus que ça …
- Sexuel ?
- Oui …
- Ton petit copain ?
- Je n’en ai pas...
- Alors qui ?
- Roger …
- Roger ? le copain de papa ?
- Oui
- Mon dieu … il t’a violée ?
- Oui ! enfin non, pas tout-a-fait
- Explique bon sang Stella !
- Ne me bouscule pas, c’est assez difficile comme ça ! ça c’est passé la semaine dernière, c’est pour ça que j’ai voulu venir chez toi cette semaine
- Je comprends
- Un après midi, j’étais seule à la maison, je me suis endormie sur un transat, je rêvais, ou du moins je le croyais, que quelqu’un relevais ma robe, une main caressait mes cuisses, machinalement je les ais ouvertes, des doigts ont grattés et massé ma petite culotte, ça me faisait tout drôle, puis, ils se sont infiltrés entre ma peau et le fond du slip… je me sentais toute humide
- C’est normal, même inconsciemment c’est l’excitation... et puis ?
- Ils se sont enfoncés un peu, mais comme je suis…… comme j’étais vierge, ils n’ont pas insistés
- Ah bon !
- Attend ! ‘ont’ a tiré sur ma culotte, je me suis retrouvée les fesses a l’air
- Et ça ne t’a pas réveillée ?
- Je te dis que je croyais rêver et comme c’était trop bon je ne voulais surtout pas me réveiller
- Ohlàlà, quelle histoire ….
- ‘On ‘ a écarté mes jambes … un truc doux et rond a appuyé sur ma chatounette…petit a petit c’est rentré, ça m’a brulé avant de me remplir complètement le ventre, j’étais biiiiiieeeeeeennnnnnnnn !
- Petite idiote ! tu te faisais simplement baiser !
- Je sais … c’est quand cette chose dure a finalement envoyé un liquide brulant au fond de ma chatte que j’ai ouvert enfin les yeux et là …
- Et là ?
- J’ai vu Roger, avec un gros truc dans sa main qu’il essuyait avec un mouchoir
- Quel salaud ! Il fallait le dire a papa il lui aurait cassé la gueule
- Je ne veux pas faire d’histoire, j’ai envie de me suicider, ma vie est foutue
- Tu es folle ? pour ça ? c’est une mauvaise expérience, tu sais ce que l’ont dit ? lorsqu’on tombe de cheval il faut remonter de suite
- Tu veux que je jette dans ses bras à nouveau ?
- Non, pas avec lui, un garçon de ton âge
- Peuuuuh, surtout pas !
- Alors qui ?
- Je ne sais pas … un homme, un vrai, un peu comme Benoit ….
- N’y pense même pas Stella !
- Alors tu auras ma mort sur la conscience …
- Ne dit pas ça !..... réfléchissons …le voisin ?
- Berk !
- Son fils ?
- Trop jeune …
- Alors suicide-toi !
Les pleurs redoublent de violence, alors cette petite ingénue voudrait baiser avec moi ? Pour ma part je n’y vois pas d’inconvénients ! Isa tente à nouveau de la raisonner
- Tais toi à la fin …écoute moi … je ne dis pas non, il y a peut être une solution, mais benoit ne saura pas que c’est toi qu’il baise
- Comment ça?
- Voilà, le soir, au lit, j’ai l’habitude de lui présenter mes fesses, il ne lui en faut pas plus pour le faire bander et qu’il me prenne aussitôt
- Sans préliminaires ?
- MERDE ! ne soit pas trop exigeante, tu veux de la queue ? tu va en avoir, mais selon mes règles, d’accord ?
- D’accord
- Bon, nous allons donc nous coucher et ….
J’en ai assez entendu, je préfère les laisser régler les détails ! Un quart d’heure plus tard je reviens avec grand bruit
- Salut les filles ! vous avez passé une bonne journée ?
- Merveilleuse
- Je me sens de bonne humeur ce soir, tu me sers l’apéro chérie ?
- Avec plaisir tu auras besoin de remontant...
- Ah ? pourquoi ?
- Eh ben, tu sais bien... nous deux, au lit... je ne vais pas te faire un dessin devant ma petite sœur !
- Je sais de quoi vous parlez ! je vous entends depuis ma chambre ! vous faites quoi exactement pour faire autant de bruit ?
- Un jour tu comprendras ….
Isa avait l’air anxieuse, Stella pensive …moi ? Fébrile ! qu’avait-elles projeté ?
Rien d’anormal jusqu'à u coucher, Stella nous fait la bise et gagne sa chambre, Isa se couche, éteint la lumière, comme d’habitue, je relève un peu sa nuisette afin de lui chatouiller la chatte que je trouve humide comme tous les soirs, ma queue se redresse …
- Attend chéri, j’ai oublié de faire pipi, j’ai très envie
- Va vite je bande comme un cerf !
Elle se lève sans allumer la lampe de chevet, après trois minutes elle revient … se couche, le dos sur ma bite, à nouveau je dégage les fesses…remet mes doigts sur la chatte … c’est là que je découvre le subterfuge …ce n’est pas sur la chatte d’Isa que je pose les doigts mais sur celle de Stella, les poils ne sont pas taillés de la même façon et puis je connais la forme des lèvres, elle a un mouvement de recul...
- Hé bien chérie, tu ne veux plus baiser ?
Sans un mot, le jeune cul revient vers moi, j’ouvre délicatement le calice … et au dernier moment je me souviens qu’elle se plaignait du manque de préliminaires ….un demi tour et voilà ma tête entre les cuisses tout prés de la vulve, comme par magie les jambes s’écartent pour me laisser accéder au vagin, je le fouille de la langue, Isa/Stella, pousse un soupir de bien être, mon doigt vient titiller son clitoris, un râle profond succède au soupir
- Ooooouuuuuuiiiiiiiiiiiiiii …….
J’ai de la peine à la maintenir lorsque j’enfonce ma langue dans l’anus, mes doigts vont pénétrer le vagin quand …
- Nooooooonnnn, je suis vierge ……
- Stella ? c’est toi ?
- Chuuuuuut …je t’expliquerais, laisse moi me retourner, je vais te prendre dans ma bouche
- Comme tu veux … avale ma queue…
- HUUUUMMMMM
- AH ! c’est gros hein ? je vais te bouffer le bonbon
J’espère qu’Isa n’écoute pas ou n’assiste pas en douce, car mes succions sont plutôt sonores, ce jus de vierge est succulent, elle-même pompe avidement ma queue
Ses cuisses bloquent ma tête, sa craquette se vide dans les draps, je ne peux tout avaler, pour la tester je décide de lui faire gouter a mon sperme … a ma grande surprise elle ne rechigne pas lorsque je décharge et ingurgite quasiment toute ma sauce
- Ça va ? Tu veux regagner ta chambre ?
- Et mon pucelage ?
- Si tu y tiens … écarte les cuisses, surtout ne dit rien à ta sœur
- Ça va me faire mal ?
- Tu es suffisamment excitée pour que ça ce passe bien, lève tes jambes bien haut
- Dommage que je ne vois rien …
- Je vais allumer la lampe de chevet, enlève cette nuisette, je veux sucer tes seins une fois introduit dans ta moule
- C’est super ! je vais baiser comme ma grande sœur ! ta verge est grosse …
- C’est pour mieux faire sauter ta capsule de garantie ! Pose tes jambes sur mes épaules …
- Embrasse-moi quand tu va me pénétrer …
Je positionne mon gland rougit par l’érection phénoménale que je me trimbale depuis une demie heure, face a la choune entrouverte, une fois le museau encastré dans la vulve je me penche sur la jeune fille pour lui rouler un patin, troublée par l’émotion elle mord ma langue, je chois ce moment d’égarement pour donner un coup de rein viril
Elle pousse un cri étouffé par le baiser fougueux que je lui inflige, j’ai un goût de sang dans la bouche, je suppose que le sien coule de sa chatte désormais ouverte aux bites, une fois habituée a ma présence dans son vagin, Stella bouge ses fesses, je me met a la besogner vigoureusement , cette fois elle ne peux retenir des cris de joies
Soudain, la lumière s’allume dans la chambre, Isa vient d’entrer
- Tu m’as bien eue petite salope ! la queue de benoit est toute rouge, tu étais pucelle n’est-ce pas ?
- Oui Isa, pardonne moi, mais je kif tellement ton mari...
- Finalement je préfère ça plutôt que vous baisiez tous les deux en cachette
- Alors tu ne m’en veux pas ? chouette ! défonce-moi benoit
- Chéri, n’oublie pas que c’est mon tour après
- Je vous prendrais côte à côte en levrette, nous avons la nuit pour apprendre des positions à ta jeune sœur… dans l’immédiat je vais décharger dans son ventre, elle est tellement serrée que je ne tiens plus !
- Tu prendras mon cul mon amour, il est encore plus serré !
- Va me chercher un whisky !
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