L'amour fait des miracles ... - histoire érotique

Assis au bout du bar du club je sirote mon deuxième Chivas, les couples heureux de
vivre dansent sur la piste de cette discothèque, je regarde l’heure … minuit et demi,
elle ne viendra plus sans doute me trouve t elle trop vieux a quarante ans, je vais me
décider à partir quand je me sens observé a l’autre bout du bar un jeune couple me
dévisage l’homme a l’air aussi ténébreux que moi ! La fille est brune, un visage fin,
une poitrine proéminente le reste du corps est caché par le comptoir
Ils se parlent sans me quitter des yeux c’en est presque gênant soudain la fille se
lève et va sur la piste, le corps est bien assorti au visage, très bien faite, elle
commence a sa déhancher lascivement, a en juger par sa poitrine qui danse au même
rythme qu’elle ses seins ne sont pas entravés, sa robe ample s’arrondit quand elle
tourne dévoilant une paire de cuisses bien remplies gainée de nylon, sûrement des bas
auto-fixant car j’aperçois les bandes adhésives en dentelle, tout en dansant elle
continue a regarder tantôt son mari tantôt moi , et si c’était une invite ?
Je vais en avoir le cœur net, me voici prés d’elle je perçois son parfum discret de
qualité, elle me gratifie d’un sourire soulagé, je lui rends, nos corps se frôlent de
plus en plus souvent, je pousse l’audace jusqu'à laisser trainer une main sur ses
fesses, elle se retourne vais-avoir droit a une baffe ? Non au contraire son visage
s’illumine, elle jette un coup d’œil vers son mari qui toujours imperturbable assis
sur son tabouret nous mate
Hélas la musique s’arrête je reviens au bar, même topos nous nous dévisageons sans
oser aller l’un vers l’autre que faire ? La sono diffuse des airs plus lents le regard
de la fille devient suppliant, je me lève elle aussi je vais sur la piste nous nous
retrouvons face à face , sans échanger un mot ses mains se posent sur mes épaules les
miennes sur sa taille fine, son menton appuyé sur mon épaule mon nez dans ses cheveux
nous dansons lentement, je n’ose pas la ‘coller’ car une érection inopinée gonfle mon
pantalon, si elle n’était pas apparue je me serais posé des questions : avoir dans les
bras une telle femme et ne pas bander serait un affront a sa beauté, ses seins pointus
s’écrasent sur mon torse , mes mains tremblent d’impatience il faut que je me décide
ce genre de danse ne dure pas des heures
Je lâche ses hanches, mon bras ceinture sa taille l’autre caresse son dos, elle
soupire longuement sa tête s’appuie plus franchement sur moi, c’est elle qui colle la
première son ventre sur le mien, d’abord surprise par mon pantalon déformé elle hésite
puis vient carrément se coller sur mon sexe, son bassin ondule, je me déplace pour
l’entrainer vers un coin plus sombre mais elle résiste
- Pourquoi aller là ?
- Votre mari peut nous voir !
- Mais il veut peut être voir …….
Alors ce serait leur fantasme ? Soit ! Ma queue durcit encore plus, ma main descend
sur ses fesses rebondies, mes doigts se crispent sur les lobes fermes, ses formes
épousent les miennes, elle se décale sur le coté pour que j’insère une cuisse entre
les siennes, aussitôt elle frotte son sexe sur mon muscle je perçois la vulve qui
s’écrase sur ma cuisse quand elle mime un vat et vient comme si elle s’empalait sur
une verge, très vite elle resserre fortement ses cuisses sur la mienne, une longue
plainte sort de sa bouche elle tremble de partout avant de se relâcher anéantie par la
jouissance, ma main vient entre nous deux elle s’écarte pour me laisser accéder par
dessous sa robe a son écrin de dentelle trempé qui protège mal sa chatte dégoulinante
Mes doigts sont littéralement aspirés par le volcan en fusion, elle s’arque pour mieux
s’offrir, je jette un coup d’œil vers le mari qui reste impassible pourtant il ne peut
ignorer que je masturbe sa femme qui se donne en spectacle courbée en arrière les
jambes arquées, soudain la musique change de rythme, nous avons juste le temps de nous
redresser je cache tant bien que mal la bosse énorme qui me devance, elle défroisse sa
robe et retourne au bar
Ils discutent longuement, elle pose un gilet sur ses épaules fin de la rencontre ?
elle passe à me frôler en exhibant au bout de ses doigts un trousseau de clés avant de
se diriger vers la sortie, le mari reste au bar ,quand elle franchit la porte elle se
retourne pour voir si je suis, sans hésiter je me lève, une fois dehors je la vois se
diriger vers le fond du parking vers un gros quatre- quatre noir , je suis a deux
mètres d’elle soudain elle se retourne , s’adosse a la portière opposée a la lumière
et lève sa robe a la taille
- Baisez-moi …….
- Quoi ?
- Baisez-moi comme ça vite fait, nous en avons envie tous les deux alors
pourquoi hésiter ?
- Comme ça ? et votre mari ??
- Mon mari est impuissant suite a un accident ce soir il veut m’offrir a vous
Sans plus hésiter je défais ma ceinture et baisse pantalon et boxer ma queue bondit
droit devant, elle s’en empare et me branle avant de m’attirer vers son entre jambes,
je tire sur le string humide et froid pour dégager la moule gonflée de désir elle
tâtonne a peine pour mettre mon gland en face de son trou, je lève une de ses jambes,
il n’y a plus qu’a pousser je m’enlise dans un marécage brulant
- RRAAAAAAHHHHHHH OUUUUUIIIIII !!!
- Chhhhuuuuttttt
- Mmmmuuuuuummmmmmm baise moi fort……..
Je la pilonne a grands coups de reins, son dos glisse sur la carrosserie, ses deux
pieds décollent a chaque coups de queue, je n’ai tenus que trois minutes avant
d’arroser abondamment son vagin tandis qu’elle est secouée par un orgasme puissant, je
me retire, un flot de liquide coule hors de la matrice ouverte, elle remet en place le
string qui ne peut plus rien absorber et repars vers le club , le temps de m’essuyer
avec un mouchoir j’entre a mon tour juste au moment ou l’homme retire discrètement sa
main de dessous la robe de sa femme et porte ses doigts a son nez ,le comble c’est
qu’il les lèchent en fixant sa femme dans les yeux puis il se lève pour partir
définitivement cette fois , l’homme marche avec une canne , ils marquent un temps
d’arrêt en face de moi elle me tend en douce une carte de visite
- Appelez-moi …
J’ai hésité toute la semaine avant de composer le numéro indiqué sur la carte :
Adeline et jean C …, entreprise de charpentes C, rue M, tel …..
- Allo ? Adeline ?
Merde ! Une voix d’homme me répond…
- Entreprise C j’écoute ?
- Excusez moi j’ai dût faire un mauvais numéro …
- Vous désirez peut être parler personnellement à Adeline ?
- Eeeuuuuuh hé bennnnnn …..
- Je vous la passe ….
- Allo ?
- Ha bonsoir je suis le monsieur de la discothèque
- Aaaahhh bonsoir ! chéri c’est le monsieur de samedi soir …
- Passe le moi… allo ? oui je désire vous parler avant, voilà Adeline vous a
plus ou moins expliqué la situation ?
- Oui un peu
- J’ai eu un grave accident qui m’a rendu impuissant et pour sauver notre couple
nous avons décidés qu’elle choisirait u homme pour en faire son amant attitré, nous
avons jetés notre dévolus sur vous samedi, si cette situation vous convient venez nous
rencontrer a la maison nous en discuterons
- C’est délicat … quand ?
- Ce soir si vous voulez nous vous attendons, vous avez l’adresse sur la carte
Deux heures plus tard je sonne, Adeline vient m’ouvrir encore plus belle qu’en club !
Vêtue d’une micro robe qui lui arrive juste au niveau des bandes adhésives des bas
nylons, elle dépose un gros bécot sur mes lèvres
- Suit moi …quel est ton prénom ?
- Raphaël
- Vient voir mon mari Raphaël … chéri voici Raphaël
- Ah ! très heureux que vous soyez venus asseyez vous, donc si vous êtes là
c’est que vous êtes d’accord pour avoir une liaison suivie avec ma femme ?
- hé ben faut voir !…
- Samedi dernier Adeline désespérait que vous ne fassiez attention a elle, vous
aviez l’air ailleurs je me trompe ?
- Pour tout vous dire j’attendais quelqu’un qui n’est jamais venus et qui ne
viendras plus, donc je suis libre
- Bien, samedi je voulais tester mon degré de jalousie en laissant ma femme
faire l’amour avec quelqu’un de son choix hors de ma présence, mais ça ne me va pas…je
suis impuissant depuis mon accident il y a trois ans et ma femme se languit, pourtant
les toubibs ne comprennent pas pourquoi je ne bande plus, ça devrait revernir, nous
avons tout essaye en vain, elle en a mare de mes doigts et de ma langue même si je
suis devenus expert en la matière ! elle a envie d’une bonne verge elle vous a testé
et a été comblée si j’ai pus en juger par l’état de son string !
- J’ai simplement fait ce que mon excitation et votre femme désirait
- La grosseur de votre pénis l’a séduite dés la première danse, mais assez parlé
! Adeline si tu nous dévoilais ton corps ? même si je ne bande pas je ne m’en lasse
pas !
- Bien sûr mamour ……
La jeune femme relève très lentement sa robe le string très mini apparait il ne cache
pas entièrement la vulve parsemée de poils couleur corbeau, une fois la robe enroulée
a sa taille elle écarte les pieds et ondule du bassin, tandis que ses mains dans son
dos cherchent en vain la fermeture de sa robe
- Va l’aider Raphaël, ne soit pas gêné par ton érection c’est plutôt flatteur
pour elle !
J’attrape Adeline par les épaules et dépose milles baisers sur son cou avant de
glisser vers le bas cette maudite fermeture, je dégage les épaules pour découvrir les
seins arrogants, mes mains coiffent les mamelons moelleux Adeline penche la tête en
arrière pour joindre sa bouche a la mienne je laisse une main descendre sur son ventre
plat et passer dans le string, j’y trouve une motte brulante et humide elle pousse un
cri quand deux doigts la pénètrent face a son mari, ses genoux fléchissent et
s’ouvrent, un bruit mouillé monte au fur et a mesure que mon doigtage s’intensifie
- C’est boooooonnnnnnnn attend ! attend je vais jouir !!!!!!
Elle se dégage de mon emprise et s’agenouille devant moi ses doigts fébriles
s’attaquent à mon pantalon qui tombe a mes pieds suivit de mon slip devenu trop
étroit, jean pousse un grognement a la vue de mon membre
- Huuuuummmmm belle queue …….
- N’est ce pas chéri !
- Avale-le …….
Mon gland se retrouve au chaud prisonnier de son palais elle malaxe mes couilles en me
pompant avec avidité, je prends sa tête entre mes mains et baise sa bouche a mon
rythme de plus en plus profondément, une bave épaisse suinte aux commissures de ses
lèvres, le plaisir me rattrape très vite, je me bloque au fond de sa gorge pour
libérer mon foutre
- RRRRrrrrrruuuuuuummmmmmmmmmm ! haaaaaaaaahhhhhhhhhhhh !!!!!
- Tu as apprécié ton dessert chérie ?
- Wouuuufffff ! plutôt abondante et épaisse cette crème !!!
- J’aimerais te voir pénétrée en levrette mon amour ……
Adeline marche a quatre pattes prés du fauteuil ou jean est assis et se positionne de
manière ou il puisse assister a la pénétration, je viens entre ses cuisses la queue a
la main
- Caresse-lui la chatte un moment avec ton gland ….
Sans la toucher de mes mains je me frotte à elle de haut en bas, les lèvres s’ouvrent
comme des pétales de fleur, de petits bruits comme des bisous se font entendre
tellement elle mouille, Adeline sursaute quand j’effleure le clitoris décalotté, je
m’y attarde un peu puis j’enfonce juste mon gland congestionné dans sa vulve
- Hoaaaaah c’est beau ……enfonce un peu plus ta queue dans sa minette….
Cinq centimètres de chair bandée disparaissent dans cette chatte sublime qui se tend
vers moi impatiente de se faire labourer
- Patience chérie il va te défoncer je profite de la vue admirable de cette
queue dans ton vagin
Je ressors entièrement de sa chatte et recommence le même manège plusieurs fois, ma
verge devient de plus en plus luisante
- Ah …va –y Raphaël baise moi ne me fait pas languir davantage !
Je la cramponne par les hanches et fait claquer mon ventre sur son cul, embrochée
totalement elle hurle de surprise et de contentement avant de venir à ma rencontre je
là besogne puissamment de façon régulière tel un métronome, Adeline le front sur la
moquette miaule comme une chatte en chaleur, soudain elle se cambre et laisse exploser
son bonheur en expulsant ses mes testicules une bonne giclée de cyprine, je
l’accompagne en envoyant dans son vestibule mon foutre épais, soudain un cri nous
arrache de notre merveilleuse torpeur
- CHÉRIE !! CHÉRIE !!!! vient toucher, dit moi que je ne rêve pas ……….
Adeline s’arrache a moi ma queue encore raide fouette dans le vide tandis que son
vagin se vide engluant ses cuisses et la moquette
- Chéri ? Mais …. Mais …Mais TU BANDE !!!!!!!!??????????? c’est un miracle !!
sort là vite !!!
- Ce n’est pas un miracle c’est grâce a vous deux, c’est tellement
extraordinaire de te voir baisée avec un tel braquemard que ça c’est débloqué !!
- Je suis très heureux pour vous Michel !! je vais vous laisser …
- Il n’en est pas question tu va assister a notre accouplement le premier depuis
trois ans et puis notre engagement tient toujours tu seras désormais le bienvenu pour
saillir ma femme
- Je dégouline ! Tu veux que j’aille me laver mamour ?
- Absolument pas allonge toi sur le dos et montre moi ta cramouille baveuse …
Hummmm je vais te bouffer avant de te la mettre …. Avant ‘qu’on’ te la mette ! hé oui
nous allons te prendre à deux !!!