L’homme à la Rolls n’était que collectionneur de chatte, mais pas son ami 2/3
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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L’homme à la Rolls n’était que collectionneur de chatte, mais pas son ami 2/3
Demain soir je vais faire la pute ? Il n’y a pas d’autres mots pour décrire cela, je vais me livrer au bon vouloir d’un black terriblement membré …pour l’argent ou pour sa queue ?
Lorsque j’ai sonné à l’interphone de l’immeuble loin d’être luxueux une voix très masculine m’a répondu
- C’est Mirabelle ?
- Oui …
- Monte au sixième, porte 69, entre sans frapper et referme la porte, je t’attends
Il me tutoie comme une gourgandine ? Partagée entre l’envie de repartir et l’excitation de devoir ôter mon sou vêtement déjà souillé devant lui, car l’envie de m’exhiber me reprend, c’est a la pensée de l’enveloppe que j’ai pris l’ascenseur, je serre les cuisses espérant endiguer les pertes vaginales qui continues à se déverser dans mon string… nous y voilà… 69, un numéro prédestiné ? Personne dans la coursive, je passe ma main sous ma jupe, le triangle de tulle rouge est trempé, je pousse la porte entrebâillée …et la referme comme prévus
- Il y a quelqu’un ?
- Par ici !
Un bout de couloir débouche sur un salon … au milieu de ce salon trône un large fauteuil de cuir, et dans ce fauteuil... Un immense noir entièrement nu, pas un poil ni sur le crane ni sur les sourcils, pas plus que sur son sexe, un cou très large, carrure de catcheur, il manipule lentement une imposante bite violette, plus large que le gode offert par l’homme a la Rolls
- Alors c’est toi qui aime te montrer ? je me suis déshabillé pour gagner du temps, tu sais pourquoi tu es là, tu vois ce qui t’attend ? pas besoin de faire des ronds de jambes pour baiser immédiatement
J’essaie de penser à autre chose lorsque je relève lentement ma jupe et la coince les jambes ouvertes, mes mes doigts tremblant écartent le string pour lui montrer mon berlingot luisant de mouille
- C’est une craquette de gamine que tu possède ? Elle va chauffer lorsque je vais la ramoner avec ça, retire toutes tes fringue à présent
J’obéis et m’effeuille, a la pensée de prendre ce gros zob là ou ça me démange je perds mes moyens, mon premier réflexe a été de protéger mes seins et mon entrecuisses
- Laisse tes bras le long du corps …y’a pas a dire, t’as de beaux nichons, fait un demi-tour ? … beau cul, baisse toi... écarte les pieds …RRRHHHAAAAAAAA ! Quelle cramouille bien rasée ! Ton p’tit cul a déjà servi ?
- Non … si, une fois ….
- C’est suffisant ça casse les muscles, approche… agenouille toi, ce n’est pas pour t’humilier mais pour que tu soi a la hauteur de ma queue, prend là dans tes menottes
- Je n’en fais pas le tour …
- Lèche là comme tu peux, inutile de te fracturer la mâchoire ! avale le nœud et aspire ce qui coule en me la secouant, enfonce tes doigts dans ta chatte et fais les moi goûter…. Quel nectar, ça me donne envie de te bouffer, regarde cette langue … aaaaaaaaaahhhhhhhhh ! bel appendice hein ? !! ça vaux une bite de gars normal, tu va voir l’effet produit, je vais te lécher le nombril par l’intérieur ! au fait ‘monsieur’ m’a demandé de prendre quelques photos, l’enveloppe est là tu ne l’ouvriras qu’avant de repartir, tu n’es pas bavarde, exprime toi, tu aime baiser ?
- OH OUI ! pardon, oui j’aime ça, le monsieur à la Rolls m’a énormément excitée avec ses photos, mais il n’a pas voulu me prendre
- Pas étonnant, il est infirme de la quéquette, assied toi sur le bord de la table, pose tes talons prés de tes fesses écarte les genoux … ton clito est cramoisi... l’intérieur de ta moule est bien rouge, je vois tes muqueuses enveloppées de ton sauce, tu va partir en deux coups de langue, as-tu envie que je te bouffe le minou ? exprime-toi bon-sang !
- OUI ! OUUUIIIIII j’ai envie de ta langue entre mes cuisses et dans mon cul !
- C’est tout ?
- Je veux aussi ta grosse bite dans mon ventre, je veux que me le remplisse de ton jus épais !
- Hé bien voilà, ne bouge pas je prends quelques clichés avant de t’entreprendre
Aussi écartelée que possible, allongée sur la table branlante en formica, j’attends que sa langue m’écartèle le vagin, je sens d’abords son souffle chaud, ses doigts maintiennent mes lèvres ouvertes, un coup de langue de bas en haut pour évacuer le surplus et, enfin, elle se fait dure, longue, pointue pour pénétrer loin dans ma vulve
Une verge ne ferait pas mieux, mes parois sont lissée, ravalées, il atteint quasiment mon utérus, mais lorsqu’il enfonce un doigt dans mon anus je ne me contrôle plus, je serre les cuisses sur sa tête en éjaculant comme un mec, il se redresse souillé jusqu’au front
- Alors toi ! Quelle faculté de gicler autant !, a moi de te prouver ma virilité, reste ainsi, c’est très bien comme position
- Vous faites des photos de votre queue posée sur mon vagin ?
- Ah oui, tu pense a tout, après mon passage il ne reconnaitra pas ta moule le vieux !
Par curiosité, en appuis sur mes coudes, je regarde ce membre posé sur mon ventre, il dépasse la cavité de mon nombril, deux ou trois flashs et il frotte le gros mufle contre mes lèvres qui sont repoussées entrainant délicieusement mon clitoris a chaque passages, je suis secouées de spasmes incontrôlables, sans prévenir il pousse son gland dans mon trou vaginal, mes chairs sont étirées sans ménagement, a la limite de la douleur, je me retrouve au milieu de la table
- Holà ! Reste avec moi !
Au lieu de se retirer il m’agrippe le haut des cuisses pour m’empaler sur son phallus, mon vagin est littéralement explosé par son membre, jamais je n’ai connu tel plaisir, j’ai l’impression qu’il me touche l’estomac, le souffle me manque, il me bloque sur lui afin que mon anatomie s’habitue a ce corps étranger
- Ça va ?
- Je ne peu plus respirer …
- Tu va t’y faire, fait moi signe lorsque tu seras accoutumée
Petit à petit ma chatte apprivoise l’engin, une contraction de mes muscles, deux contractions, et je ressens la totalité de ce gourdin en moi, un coup de reins pour lui signifier que je suis prête à subir ses assauts
- Ont y va ?
Il fait naviguer sa virilité entre mes chairs distendues tel un piston bien huilé, ma chatte émet un bruit de succion, une bague de mousse s’est formée à la base du membre, lorsqu’il se retire mes entrailles semblent aspirées, j’accroche mes mains sur ses épaules, il a compris mon désir et me soulève telle une plume, accrochée a son cou, bien plantée sur ce pic je n risque pas de glisser, il recule ver le large fauteuil et se laisse choir, je me retrouve les jambes sur les accoudoirs, ont ne peux plus ouverte, j’en ai le souffle coupé
Le moindre mouvement m’arrache des cris de jouissance, sournoisement il a passé une main sous mes fesses, des doigts cherchent mon œillet boursouflé
- Ne résiste pas, lâche tes muscles
- Aaaaaaaaaaah …… oouuuuuuuiiiiiiiiiiii ça fait du bien ….. enfoncez encore
- Je suis à la dernière phalange, tu ne l’as jamais fait avec deux hommes ?
- Jamais ….
- La prochaine fois, car je suis sûr qu’il y aura une prochaine fois, mais sans enveloppe ! tu viendras uniquement pour le vice, j’inviterais un pote
- L’homme à la Rolls m’a fait découvrir et aimer l’exhibition et le sexe
- Il m’envoie beaucoup de ses protégées
- Ne me parlez pas d’elles, baisez moi
Il reprend savamment son pilonnage, dosant savamment les intensités, ma chatte doit être rouge, au creux de mes reins monte une irradiation qui se propage dans tout mon ventre, ma chatte se met à palpiter avant d’expulser des jets incontrôlables, la queue de mon amant bat comme un cœur puissant avant d’inonder an cadences ma gaine vaginale, nos sèves mélangées fusent d’entre nos sexes pourtant bien emboités
Nous restons inertes, sans se désaccoupler, tout le temps nécessaire pour revenir a la réalité, sous moi c’est mouillé et froid, une flaque se forme sur le carrelage lorsque le membre évacue ma vulve
Sa queue pendouille mais reste comme une massue menaçante qui ne demande qu’a recommencer
Lorsque j’ai sonné à l’interphone de l’immeuble loin d’être luxueux une voix très masculine m’a répondu
- C’est Mirabelle ?
- Oui …
- Monte au sixième, porte 69, entre sans frapper et referme la porte, je t’attends
Il me tutoie comme une gourgandine ? Partagée entre l’envie de repartir et l’excitation de devoir ôter mon sou vêtement déjà souillé devant lui, car l’envie de m’exhiber me reprend, c’est a la pensée de l’enveloppe que j’ai pris l’ascenseur, je serre les cuisses espérant endiguer les pertes vaginales qui continues à se déverser dans mon string… nous y voilà… 69, un numéro prédestiné ? Personne dans la coursive, je passe ma main sous ma jupe, le triangle de tulle rouge est trempé, je pousse la porte entrebâillée …et la referme comme prévus
- Il y a quelqu’un ?
- Par ici !
Un bout de couloir débouche sur un salon … au milieu de ce salon trône un large fauteuil de cuir, et dans ce fauteuil... Un immense noir entièrement nu, pas un poil ni sur le crane ni sur les sourcils, pas plus que sur son sexe, un cou très large, carrure de catcheur, il manipule lentement une imposante bite violette, plus large que le gode offert par l’homme a la Rolls
- Alors c’est toi qui aime te montrer ? je me suis déshabillé pour gagner du temps, tu sais pourquoi tu es là, tu vois ce qui t’attend ? pas besoin de faire des ronds de jambes pour baiser immédiatement
J’essaie de penser à autre chose lorsque je relève lentement ma jupe et la coince les jambes ouvertes, mes mes doigts tremblant écartent le string pour lui montrer mon berlingot luisant de mouille
- C’est une craquette de gamine que tu possède ? Elle va chauffer lorsque je vais la ramoner avec ça, retire toutes tes fringue à présent
J’obéis et m’effeuille, a la pensée de prendre ce gros zob là ou ça me démange je perds mes moyens, mon premier réflexe a été de protéger mes seins et mon entrecuisses
- Laisse tes bras le long du corps …y’a pas a dire, t’as de beaux nichons, fait un demi-tour ? … beau cul, baisse toi... écarte les pieds …RRRHHHAAAAAAAA ! Quelle cramouille bien rasée ! Ton p’tit cul a déjà servi ?
- Non … si, une fois ….
- C’est suffisant ça casse les muscles, approche… agenouille toi, ce n’est pas pour t’humilier mais pour que tu soi a la hauteur de ma queue, prend là dans tes menottes
- Je n’en fais pas le tour …
- Lèche là comme tu peux, inutile de te fracturer la mâchoire ! avale le nœud et aspire ce qui coule en me la secouant, enfonce tes doigts dans ta chatte et fais les moi goûter…. Quel nectar, ça me donne envie de te bouffer, regarde cette langue … aaaaaaaaaahhhhhhhhh ! bel appendice hein ? !! ça vaux une bite de gars normal, tu va voir l’effet produit, je vais te lécher le nombril par l’intérieur ! au fait ‘monsieur’ m’a demandé de prendre quelques photos, l’enveloppe est là tu ne l’ouvriras qu’avant de repartir, tu n’es pas bavarde, exprime toi, tu aime baiser ?
- OH OUI ! pardon, oui j’aime ça, le monsieur à la Rolls m’a énormément excitée avec ses photos, mais il n’a pas voulu me prendre
- Pas étonnant, il est infirme de la quéquette, assied toi sur le bord de la table, pose tes talons prés de tes fesses écarte les genoux … ton clito est cramoisi... l’intérieur de ta moule est bien rouge, je vois tes muqueuses enveloppées de ton sauce, tu va partir en deux coups de langue, as-tu envie que je te bouffe le minou ? exprime-toi bon-sang !
- OUI ! OUUUIIIIII j’ai envie de ta langue entre mes cuisses et dans mon cul !
- C’est tout ?
- Je veux aussi ta grosse bite dans mon ventre, je veux que me le remplisse de ton jus épais !
- Hé bien voilà, ne bouge pas je prends quelques clichés avant de t’entreprendre
Aussi écartelée que possible, allongée sur la table branlante en formica, j’attends que sa langue m’écartèle le vagin, je sens d’abords son souffle chaud, ses doigts maintiennent mes lèvres ouvertes, un coup de langue de bas en haut pour évacuer le surplus et, enfin, elle se fait dure, longue, pointue pour pénétrer loin dans ma vulve
Une verge ne ferait pas mieux, mes parois sont lissée, ravalées, il atteint quasiment mon utérus, mais lorsqu’il enfonce un doigt dans mon anus je ne me contrôle plus, je serre les cuisses sur sa tête en éjaculant comme un mec, il se redresse souillé jusqu’au front
- Alors toi ! Quelle faculté de gicler autant !, a moi de te prouver ma virilité, reste ainsi, c’est très bien comme position
- Vous faites des photos de votre queue posée sur mon vagin ?
- Ah oui, tu pense a tout, après mon passage il ne reconnaitra pas ta moule le vieux !
Par curiosité, en appuis sur mes coudes, je regarde ce membre posé sur mon ventre, il dépasse la cavité de mon nombril, deux ou trois flashs et il frotte le gros mufle contre mes lèvres qui sont repoussées entrainant délicieusement mon clitoris a chaque passages, je suis secouées de spasmes incontrôlables, sans prévenir il pousse son gland dans mon trou vaginal, mes chairs sont étirées sans ménagement, a la limite de la douleur, je me retrouve au milieu de la table
- Holà ! Reste avec moi !
Au lieu de se retirer il m’agrippe le haut des cuisses pour m’empaler sur son phallus, mon vagin est littéralement explosé par son membre, jamais je n’ai connu tel plaisir, j’ai l’impression qu’il me touche l’estomac, le souffle me manque, il me bloque sur lui afin que mon anatomie s’habitue a ce corps étranger
- Ça va ?
- Je ne peu plus respirer …
- Tu va t’y faire, fait moi signe lorsque tu seras accoutumée
Petit à petit ma chatte apprivoise l’engin, une contraction de mes muscles, deux contractions, et je ressens la totalité de ce gourdin en moi, un coup de reins pour lui signifier que je suis prête à subir ses assauts
- Ont y va ?
Il fait naviguer sa virilité entre mes chairs distendues tel un piston bien huilé, ma chatte émet un bruit de succion, une bague de mousse s’est formée à la base du membre, lorsqu’il se retire mes entrailles semblent aspirées, j’accroche mes mains sur ses épaules, il a compris mon désir et me soulève telle une plume, accrochée a son cou, bien plantée sur ce pic je n risque pas de glisser, il recule ver le large fauteuil et se laisse choir, je me retrouve les jambes sur les accoudoirs, ont ne peux plus ouverte, j’en ai le souffle coupé
Le moindre mouvement m’arrache des cris de jouissance, sournoisement il a passé une main sous mes fesses, des doigts cherchent mon œillet boursouflé
- Ne résiste pas, lâche tes muscles
- Aaaaaaaaaaah …… oouuuuuuuiiiiiiiiiiii ça fait du bien ….. enfoncez encore
- Je suis à la dernière phalange, tu ne l’as jamais fait avec deux hommes ?
- Jamais ….
- La prochaine fois, car je suis sûr qu’il y aura une prochaine fois, mais sans enveloppe ! tu viendras uniquement pour le vice, j’inviterais un pote
- L’homme à la Rolls m’a fait découvrir et aimer l’exhibition et le sexe
- Il m’envoie beaucoup de ses protégées
- Ne me parlez pas d’elles, baisez moi
Il reprend savamment son pilonnage, dosant savamment les intensités, ma chatte doit être rouge, au creux de mes reins monte une irradiation qui se propage dans tout mon ventre, ma chatte se met à palpiter avant d’expulser des jets incontrôlables, la queue de mon amant bat comme un cœur puissant avant d’inonder an cadences ma gaine vaginale, nos sèves mélangées fusent d’entre nos sexes pourtant bien emboités
Nous restons inertes, sans se désaccoupler, tout le temps nécessaire pour revenir a la réalité, sous moi c’est mouillé et froid, une flaque se forme sur le carrelage lorsque le membre évacue ma vulve
Sa queue pendouille mais reste comme une massue menaçante qui ne demande qu’a recommencer
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