L'inconnu du kiosque à sandwich - histoire érotique

Cette histoire que j'ai vécue en 1990 est strictement exacte, (j'ai changé les prénoms, bien sûr) je rendais service à un ami en le remplaçant ponctuellement à son magasin.
Etant au chômage, j'avais du temps libre, il me payait donc de la main à la main.
Le souci, c'est que je devais faire presque 100 km pour m'y rendre,.
Donc, je devais tuer le temps, avant de reprendre à 14h. Durant cette période, je n'ai eu que 4 expériences homosexuelles dans cette ville, dont une, dans le rôle actif de celui qui encule, ce qui ne me plait absolument pas.
Mais revenons à ce fameux jour, midi arrive, je prend mes affaires, de l'argent pour me payer à manger et ferme la boutique, pour me rendre au centre ville, tout proche.
Je me rend comme d'habitude à un petit kiosque à sandwichs, mon regard scrute les alentours en attendant que se soit prêt.
Je remarque un homme très grand qui s'approche de loin, sans me quitter des yeux.
Lorsqu'il arrive devant le kiosque, il dit:"Bonjour messieurs!, je peux avoir un petit café, s'il vous plait?".
L'homme du kiosque lui réponds favorablement, pendant que l'inconnu me regarde en souriant étrangement.
Je ressens une sensation de domination chez lui, il me trouble, je me sens tout petit et vulnérable face à lui.
Il me demande alors:"Vous êtes d'ici?".
"Non!".
"Moi, non plus! Vous faites quoi dans ce bled?".( c'est vrai que la ville n'est pas très grande!).
"Je bosse pour un ami".
Il commence déjà à boire son café, je le regarde discrètement, il a entre 50 et 60 ans, énormément de charisme, avec une allure mince.
Sans m'en rendre compte mes yeux se perdent sur la bosse que fait son sexe au repos sous sa braguette.
Je détourne les yeux aussitôt.
"Vous faites quoi, maintenant? Sans vous déranger, bien sûr!".
Je lui réponds:"Je vais au jardin en attendant 14 heures".
"Il est où ce jardin?".
"Par là, à 500 m environ".
L'homme du kiosque me tend un sachet avec mon sandwich et ma boisson, ayant déjà réglé, je vais pour m'en aller en disant:"Bon, passez une bonne journée, messieurs!".
l'inconnu termine vite son café et dit:"Attendez, je vais venir avec vous, moi aussi, je dois tuer le temps!".
Il marche a mes cotés, pendant que je mange mon steack américain.
"Je peux te tutoyer?".
Troublé, je réponds:"Oui!".
"Je m'appelle Jacques! Et toi?!".
"Patrick!".
"T'as quel âge? Patrick!".
"30 ans!".
"Tu fais beaucoup moins, je t'aurais donné, 23 ou 24 ans!".
"Merci, je sais, c'était un défaut quand j'étais enfant, mais c'est un avantage aujourd'hui!".
Par moment, j'ai le sentiment qu'il regarde mes fesses et mes lèvres, mais je ne peux en être sûr.
Nous arrivons à l'entrée du jardin, j'ai terminé mon sandwich et ma boisson depuis 3 à 4 minutes, nous marchons en discutant.
Nous approchons des toilettes publiques, je lui dis:"Excuses-moi, je dois aller aux toilettes!".
"Ah, une grosse envie?".
"Non, juste pisser!".
J'entre dans la petite maison de 3mx3m, et vais uriner dans la cabine, la plus proche.
Je l'entends entrer et uriner lui aussi.
Je sors de la cabine, il est devant la porte avec sa queue dans la main, son sexe est large et assez long, à son image.
"Jacques, tu fais quoi?".
"Allez, tu va pas me la faire! je les reconnais les petits pédé comme toi! Il me pose les deux mains au dessus du crâne et m'enfonce sa grosse bite dans la gorge.
Il me baise en plusieurs coups profonds avant que je sorte de mon étonnement.
Il se tourne contre la porte, en conduisant toujours mon visage sur son membre, en mouvements profonds.
Puis il enlève ses mains, je prends alors sa queue à la base et entame une longue et fougueuse fellation.
"Ahhhh, je le savais que t'étais une petite salope! t'aimes la bite! Toi! Pas vrai!".
"Mmmmm, mmm..oui!".
Je le suce avec perversion pendant de longues minutes. Il ajoute:"J'ai peur que quelqu'un vienne! On va trouver un coin plus tranquille!".
Le jardin est désert, comme souvent, nous montons sur les hauteurs, sur une terrasse fleurie avec deux bancs et une vue sur les arrivées éventuelles.
Nous nous approchons d'un banc.
"Suces-moi encore la bite! Dépêches-toi!".
Il me défonces la gorge en me faisant saliver, la salive déborde de ma gorge et coule sur le sol.
"Déshabilles-toi!".
"Jacques! Si on me voit!".
"Déshabilles-toi! Je te dis!".
J'obéis en posant mes vêtements sur le banc.
Il me baise à nouveau en me faisant saliver, il essuie mon menton en récupérant ma salive, puis m'en couvre l'anus à plusieurs reprises.
Quelques minutes après, il me tourne avec les fesses offertes, vers son ventre.
"Jacques, j'ai pas de capote!".
"Moi non, plus, t'inquiètes, je fais le test souvent, y pas de souci!"Sa queue pousse contre mon œillet, il écarte mes deux lobes fessiers en exerçant de nombreuses poussées foreuses dans mon anus.
Je sens son gros membre prendre possession de mon cul, de plus en plus profondément.
"Ahhhh, ahhhh, ahhh, ahhhhhhhhhhhhhrrrrrrrr".
Il vient de s'enfoncer complètement en moi.
"Elle te plait ma bite, petit pédé? Tu crois que j'ai pas vu tes regards vicieux? Salope!".
"Je... je..., ahhhhhhhhh".
"Tu la voulais ma bite, pas vrai? allez dis-moi!".
"Ohh, Jacques, oui, je la voulais, mais je pensais pas... que...".
"Que je t'enculerai, c'est ça!".
"Oui!".
"Entre nous, on se reconnait, je l'ai vu de loin que t'étais de la partie! Putain, en plus, il est super bon ton cul!".
Il me défonces comme une brute pendant 5 bonnes minutes, puis il annonce son éjaculation.
Je sens des spasmes courir le long de son canal urinaire.
Il coulisse en moi encore quelques secondes, puis sort et s'assoit sur le banc, près de moi.
Je cherche un mouchoir pour m'essuyer l'anus, je regarde s'il est beaucoup souillé, étonnamment, à part mes secrétions anales transparentes, je suis très propre.
Je me rhabille devant lui, qui se vante du bonheur d'avoir enculé un jeune homme super mignon.
Je m'assois à ses cotés, puis nous entamons une discussion autour du sexe entre hommes. Il me demande si je baise souvent.
Je lui réponds que je suis bisexuel, et que bien sûr, je baise plus souvent avec des hommes mûrs comme lui, qu'avec des filles.
De plus, je vis avec une femme plus jeune, avec qui, j'ai une petite fille.
Il me demande ou j'habite, je lui dit la ville, et il me réponds:"C'est si chaud que ça? Tu te fais enculer souvent?".
"Ben, entre les cinémas pornos, le bord de mer, le jardin de la ville et les Sex-shops, suivant mes besoins, entre 5 et une trentaine d'hommes par mois!".
"Ahhhhh, Ouaiiiiis, une vraie salope, alors! J'avais raison! Tu mets des capotes j'espère!".
"Oui, depuis 3 ans! Malheureusement!".
"Malheureusement? Je sais que c'est moins bon pour moi, mais toi! Ca change quoi?".
"J'adore qu'on me jouisse dans le cul, c'est un plaisir irremplaçable!".
"Ok! bon, si tu me suçais encore, regardes !".
Il ouvre sa braguette, sa queue est à nouveau gonflée de désir.
Je me penche sur lui, avidement, ma fellation est goulue et longue, puis il se dresse et me baise la bouche en gorge profonde.
Il agite sa main tout le long de sa queue pendant que je lèche son gland.
Il annonce son éjaculation:"Ahhhhhhhhhhhhhh, je vais jouir, ahhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Je me pénètre profondément jusqu'à la glotte pour recevoir son jus, je ressens à nouveau des spasmes dans son canal urinaire, puis devine qu'il a fini de jouir à ses gémissements qui s'arrêtent.
Etonné, je lui demande: "Tu as éjaculé?".
"Oui, quand tu parlais de sperme, j'y ai pensé, c'est comme ça, depuis que l'ai fait une vasectomie!".
"Ah bon? Ca bloque le sperme?, C'est bizarre!, et c'est dommage surtout, enfin, pour moi!".
Il me reste un bon quart d'heure avant l'ouverture, on finit notre discussion, puis on se quitte en sortant du jardin.
Nous ne nous sommes jamais revus.