La baie des bulles.
Récit érotique écrit par Alain ex dom [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-02-2020 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
La baie des bulles.
La baie des bulles n'existe que dans ma tête. Je la vois souvent enplie d'énormes vagues pleines d'écumes qui font de belles bulles blanches et puis un tapis de mousse sur le rivage de galets. J'ai une petite maison fiérement posée , face au vent. Une maison vivante qui craque , semble bouger à chaque forts coups de vents. Hors malgré son âge respectable, elle se dresse encore et toujours.
Souvent quand le printemps ou l'automne est doux j'invite un ou deux amis. C'est une maison faites par des hommes et faites pour les hommes.
Ainsi je comptais quelques personnes homos ou pas qui sachant qu'un mec cherchait de la soumission. Souvent des mecs déçus par le simplicité du rapport sexuel. Ils me joignaient par portable et si le mec correspondait à mes exigences ils me les amenaient. Je n'ai jamais pris un mec en traitre, il savait ce qui l'attendait au moins en gros.
Souvent un mec qui faisait un extra dans le coin, un dépannage ou le remplacement d'un malade. Une énorme envie de se faire baiser comme un sauvage et près à beaucoup pour ça. Le mec le perdait un peu dans la nature avant d'approcher de la plage en galet et de lui montrer la maison où aller.
Vas y, t'es attendu.
Je filmais avec leur accord la séance et ils là recevaient par mail. Se voyant ainsi plongés dans leurs fantasmes.
J'ai le souvenir d'un jeune allemand aux cheveux blonds bouclés, beau comme un demi dieu, corps fin avec un sexe imposant et de belles couilles dépassant sous le sexe au repos. Il était en vacance et cherchait à perfectionner son français. Je ne sais pas pour le français mais je crois l'avoir perfectionné autrement.
Ne connaissant pas les lieux il avait été impressionné par l'isolement sauvage de ma maison et la puissance de l'océan dans les criques rocheuses.
Il a sonné et j'ai du crier pour qu'il m'entende.
Entre, c'est ouvert.
Il a poussé la porte un peu timidement. J'ai été frappé par son physique, ne le voyant pour la première fois qu'à contre jour. Un sac de sport à la main comme convenu, il a attendu.
Approche! Je buvais mon café assis dans mon fauteuil préféré. Ton prénom?
FranzJ'aime bien a fin qui siffle entre tes lèvres. Ferme la porte à clé et approche encore. Entre mes cuisses. Stop, baisse toi sur tes genoux. Ne me regarde pas mais laisse tes yeux sur ce que tu attends.
Il a fixé sous ma ceinture.
Ok , prêt pour pour l'avoir?
Oui monsieur.
Alors change toi. Tu as du amener ce que j'avais dis.
Oui monsieur. Il s'est relevé pour se mettre nu et enfiler ensuite un slip de coton blanc à l'élastique large puis un short par dessus et un tee shirt blanc.
J'avais eu tout le loisir d'observer son sexe, curieusement à demi bandé, recourbé vers le bas. Je me suis levé et lui ai passé des bracelets de cuirs aux poignets. Lui restait, regard fixé sous ma ceinture. Je l'ai collé face contre une poutre verticale d'où pendait une chaîne. J'ai attache ses poignets de l'autre coté de la poutre et suis allé sortir une cravache d'un porte parapluie. Rien que le fait de la passer doucement sur ses fesses il a eu un soupit et s'est cambré.
Je pense que tu as sérieusement besoin d'un dressage au point de ne pas t'assoir pendant un moment. Il a entendu le sifflement en même temps qu'il a senti le coup sur le short, poussant un petit cri et rentrant les fesses mais reprenant la position cambré. Compte! Chaque coup l'envoyait contre la poutre mais il revenait fesses cambrées. A vingt coups j'ai tiré le short sous les fesses ainso que le slip. Il allait garder la marque un moment. Pour faire le compte j'ai donné cinq coups de plus sur les fesses nues , visant le même endroit puis j'ai remonté le slip et le short, caressant l'endroit que je venais de frapper.
Après lui avoir mis un bandeau sur les yeux et retourné vers moi, j'ai placé un tabouret devant lui. Une fois monté dessus j'ai détaché deux chaînes de la poutre horizontale. Volontairement je frottais mon pantalon contre son visage et il a bien du sentir mon odeur de sexe. Une fois les chaînes pendantes je sentais ses lévres se frotter à la bosse que ma queue faisait. J'ai attaché chaque poignet à une des chaînes, assez tendus avanr d'aller me changer dans ma chambre.
Au retour il était moins sur mais bandait comme un fou sous ses fringues.
J'ai saisi son paquet, le serrant , me plaisant de le voir grimacer avant de sortir un couteau pour faire une fente dans le tee shirt puis de le déchirer sur le devant. Je n'avais qu'entrevu ses tétons et je ne sais si c'est l'excitation ou autre mais ils se dressaient comme de petites pointes. J'ai ôté le bandeau et sur une étagère j'ai d'abord pris un collier très large qui l'empècherais de voir ce que je faisais sous lui une fois attaché à un crochet de la poutre.
Tranquillement j'ai tiré sur le premier téton pour mettre une pince crocodile réglable. Il a gémi mais moins que quand le deuxième a été en place. Une petite gifle l'a fait taire.
Calme toi tu sais comme moi que tu attends ça!
Oui mais avec un inconnu c'est dur maître.
Ne t'inquiètes pas , je ne te serais plus inconnu quand tu repartiras et puis tu y prends du plaisir il me semble!
J'avais mis des mitaines à pointes fines et caressais ce torse qui se tortillait. J'ai repris le couteau pour découper le short entre les cuisses par dessous. Il ne pouvais pas voir mais le slip détendu laissait pendre dedans ses couilles. J'ai alors découpé un pan du short et l'ai retiré. Sa bite recourbée vers lui faisait un arc. J'ai fait sortir par le coté du slip ses boules pour les malaxer dans mes mitaines. Les pointes ne sont pas longues mais il couinait , mélange de douleur et de plaisir. Une tache humide est apparu au niveau du gland.
Remontant sur les pinces à tétons j'ai serré un peu plus les pinces. Il a serré les dents. J'aimais la petite bouille qu'il avait en morflant et en ne pouvant le cacher. J'ai frotté le tissus cotelé du slip sur sen sexe, au niveau du gland . Il gémissait et la tache s'agrandissait.
J'ai passé une attache chevilles puis une deuxième. Il a vu alors en levant les yeux les forts anneaux aux poutres à un mètre cinquante de celles de ses poignets. Je suis monté sur l'escaneau et j'ai fait passer une grosse corde dans chacun des anneaux éloignés l'un de l'autre. Il a bien compris quand je suis descendu ce qui l'attendait. J'ai attaché la première cheville à hauteur de mes hanches puis la deuxième. Il se trouvait ainsi écartelé avec le slip comme seule protection. J'ai là aussi découpé le slip entre les cuisses. Son sexe a aussit^tot relevé le tissus, laissant tomber les couilles.
Il gémissait parfois mais de plaisir et j'ai attaché chacune des couilles séparément et les ai reliées à la chainette entre ses tétons ce qui l'a fait rentrer le ventre mais écarter un peu plus les cuisses. Il n'avait pas de poils entre les fesses et je voyais facilement le point qui allait s'ouvrir qui palpipait.
Alors Franz on a envie de se faire élargir le cul? J'avais rapproché un pot de graisse et après avoir mis un gant noir en caoutchouc pour remplacer une mitaine et en avoir graissé les doigts. J'ai introduit deux doigts dans sa rondelle. Il a eu un petit cri et sa queue a sursautée.
Gardant les doigts dans ses fesses j'ai rapproché la coque de mon slip en cuir et l'ai défait les pressions.
Suce ce qui va te donner du plaisir. Il n'a pas rechigner à téter mon gland.
Pendant qu'il était occupé j'ai coupe un coté du slip pour retirer les reste de tissus. Sa queue raide ne pouvait acher son excitation. Je l'ai décalotté dans son jus. Il bavait sur ses petits poils blonds, mignon comme tout. Cétait ce coté là que j'aimais , le voir grimacer même si c'est de plaisir serait un régal.
J'ai allumé des bougies de chauffe-plats et en suçant j'ai vu ses yeux briller. J'ai attendu un moment que la cire se forme puis doucement, visant mon but j'ai fait couler la cire entre ses couilles sur sa queue.
Il a eu un moment de stupeur avant de réaliser et de couiner sur ma queue. J'ai souri , prenant un deuxième pot j'ai tracé une ligne de juste au dessus du gland jusqu'au centre de ses tétons. Il remuait mais ne pouvait pas se déplacer et le troisième pot a été partagé sur chacun de ses tétons déjà pincés.
Je me suis mis entre ses cuisses et me suis penchépour lui lécher le cul. Cette fois ce fut des petits gémissements de plaisir. Une fois bien salivé, Je l'ai laissé seul un moment pour revenir avec un gode et une mécanique que j'utilise pour destroy un anus. Il a flippé en voyant la machine. Une fois installée et le gode placé un tout petit peu entré j'ai démarré la mécanique. Le gode l'empalait régulièrement, sans état d'âme J'ai pris plaisir à lui parler à l'oreille. Je l'informais que je n'aimais que les anus très ouvert et que cette nuit je changerais le gode pour en mettre un plus gros à chaque fois.
Il a dit qu'il comprenait et que c'était un de ses fantasmes. Ses yeux grands ouverts exprimaient à la fois le plaisir et la douleur. J'aimais. Le premier était normal, couleur chair, réaliste, seize par trois , juste bon à habituer le conduit anal. Je l'entendais grogner de plaisir. Mécaniquement le gode sans jamais sortir limait son anus dans un va et vient sans arrêt. J'avais posé une sangle sur son ventre qui le collait en bonne position pour la suite.
Au boit de dix minutes , j'ai reculé l'engin pour changer le gode. Pas beaucoup plus long celui ci était plus épais avec des bourrelets tout les deux centimètres. Remis en place et en marche, il a tenté de bouger les premières fois puis s'est laissé aller, sa queue ayant débandé à le fin du petit gode avait repris sa forme dressée. Je l'ai un peu branlé de la main qui avait le gant. Il ma fixé un instant, lâchant un "merci maître".
Souvent quand le printemps ou l'automne est doux j'invite un ou deux amis. C'est une maison faites par des hommes et faites pour les hommes.
Ainsi je comptais quelques personnes homos ou pas qui sachant qu'un mec cherchait de la soumission. Souvent des mecs déçus par le simplicité du rapport sexuel. Ils me joignaient par portable et si le mec correspondait à mes exigences ils me les amenaient. Je n'ai jamais pris un mec en traitre, il savait ce qui l'attendait au moins en gros.
Souvent un mec qui faisait un extra dans le coin, un dépannage ou le remplacement d'un malade. Une énorme envie de se faire baiser comme un sauvage et près à beaucoup pour ça. Le mec le perdait un peu dans la nature avant d'approcher de la plage en galet et de lui montrer la maison où aller.
Vas y, t'es attendu.
Je filmais avec leur accord la séance et ils là recevaient par mail. Se voyant ainsi plongés dans leurs fantasmes.
J'ai le souvenir d'un jeune allemand aux cheveux blonds bouclés, beau comme un demi dieu, corps fin avec un sexe imposant et de belles couilles dépassant sous le sexe au repos. Il était en vacance et cherchait à perfectionner son français. Je ne sais pas pour le français mais je crois l'avoir perfectionné autrement.
Ne connaissant pas les lieux il avait été impressionné par l'isolement sauvage de ma maison et la puissance de l'océan dans les criques rocheuses.
Il a sonné et j'ai du crier pour qu'il m'entende.
Entre, c'est ouvert.
Il a poussé la porte un peu timidement. J'ai été frappé par son physique, ne le voyant pour la première fois qu'à contre jour. Un sac de sport à la main comme convenu, il a attendu.
Approche! Je buvais mon café assis dans mon fauteuil préféré. Ton prénom?
FranzJ'aime bien a fin qui siffle entre tes lèvres. Ferme la porte à clé et approche encore. Entre mes cuisses. Stop, baisse toi sur tes genoux. Ne me regarde pas mais laisse tes yeux sur ce que tu attends.
Il a fixé sous ma ceinture.
Ok , prêt pour pour l'avoir?
Oui monsieur.
Alors change toi. Tu as du amener ce que j'avais dis.
Oui monsieur. Il s'est relevé pour se mettre nu et enfiler ensuite un slip de coton blanc à l'élastique large puis un short par dessus et un tee shirt blanc.
J'avais eu tout le loisir d'observer son sexe, curieusement à demi bandé, recourbé vers le bas. Je me suis levé et lui ai passé des bracelets de cuirs aux poignets. Lui restait, regard fixé sous ma ceinture. Je l'ai collé face contre une poutre verticale d'où pendait une chaîne. J'ai attache ses poignets de l'autre coté de la poutre et suis allé sortir une cravache d'un porte parapluie. Rien que le fait de la passer doucement sur ses fesses il a eu un soupit et s'est cambré.
Je pense que tu as sérieusement besoin d'un dressage au point de ne pas t'assoir pendant un moment. Il a entendu le sifflement en même temps qu'il a senti le coup sur le short, poussant un petit cri et rentrant les fesses mais reprenant la position cambré. Compte! Chaque coup l'envoyait contre la poutre mais il revenait fesses cambrées. A vingt coups j'ai tiré le short sous les fesses ainso que le slip. Il allait garder la marque un moment. Pour faire le compte j'ai donné cinq coups de plus sur les fesses nues , visant le même endroit puis j'ai remonté le slip et le short, caressant l'endroit que je venais de frapper.
Après lui avoir mis un bandeau sur les yeux et retourné vers moi, j'ai placé un tabouret devant lui. Une fois monté dessus j'ai détaché deux chaînes de la poutre horizontale. Volontairement je frottais mon pantalon contre son visage et il a bien du sentir mon odeur de sexe. Une fois les chaînes pendantes je sentais ses lévres se frotter à la bosse que ma queue faisait. J'ai attaché chaque poignet à une des chaînes, assez tendus avanr d'aller me changer dans ma chambre.
Au retour il était moins sur mais bandait comme un fou sous ses fringues.
J'ai saisi son paquet, le serrant , me plaisant de le voir grimacer avant de sortir un couteau pour faire une fente dans le tee shirt puis de le déchirer sur le devant. Je n'avais qu'entrevu ses tétons et je ne sais si c'est l'excitation ou autre mais ils se dressaient comme de petites pointes. J'ai ôté le bandeau et sur une étagère j'ai d'abord pris un collier très large qui l'empècherais de voir ce que je faisais sous lui une fois attaché à un crochet de la poutre.
Tranquillement j'ai tiré sur le premier téton pour mettre une pince crocodile réglable. Il a gémi mais moins que quand le deuxième a été en place. Une petite gifle l'a fait taire.
Calme toi tu sais comme moi que tu attends ça!
Oui mais avec un inconnu c'est dur maître.
Ne t'inquiètes pas , je ne te serais plus inconnu quand tu repartiras et puis tu y prends du plaisir il me semble!
J'avais mis des mitaines à pointes fines et caressais ce torse qui se tortillait. J'ai repris le couteau pour découper le short entre les cuisses par dessous. Il ne pouvais pas voir mais le slip détendu laissait pendre dedans ses couilles. J'ai alors découpé un pan du short et l'ai retiré. Sa bite recourbée vers lui faisait un arc. J'ai fait sortir par le coté du slip ses boules pour les malaxer dans mes mitaines. Les pointes ne sont pas longues mais il couinait , mélange de douleur et de plaisir. Une tache humide est apparu au niveau du gland.
Remontant sur les pinces à tétons j'ai serré un peu plus les pinces. Il a serré les dents. J'aimais la petite bouille qu'il avait en morflant et en ne pouvant le cacher. J'ai frotté le tissus cotelé du slip sur sen sexe, au niveau du gland . Il gémissait et la tache s'agrandissait.
J'ai passé une attache chevilles puis une deuxième. Il a vu alors en levant les yeux les forts anneaux aux poutres à un mètre cinquante de celles de ses poignets. Je suis monté sur l'escaneau et j'ai fait passer une grosse corde dans chacun des anneaux éloignés l'un de l'autre. Il a bien compris quand je suis descendu ce qui l'attendait. J'ai attaché la première cheville à hauteur de mes hanches puis la deuxième. Il se trouvait ainsi écartelé avec le slip comme seule protection. J'ai là aussi découpé le slip entre les cuisses. Son sexe a aussit^tot relevé le tissus, laissant tomber les couilles.
Il gémissait parfois mais de plaisir et j'ai attaché chacune des couilles séparément et les ai reliées à la chainette entre ses tétons ce qui l'a fait rentrer le ventre mais écarter un peu plus les cuisses. Il n'avait pas de poils entre les fesses et je voyais facilement le point qui allait s'ouvrir qui palpipait.
Alors Franz on a envie de se faire élargir le cul? J'avais rapproché un pot de graisse et après avoir mis un gant noir en caoutchouc pour remplacer une mitaine et en avoir graissé les doigts. J'ai introduit deux doigts dans sa rondelle. Il a eu un petit cri et sa queue a sursautée.
Gardant les doigts dans ses fesses j'ai rapproché la coque de mon slip en cuir et l'ai défait les pressions.
Suce ce qui va te donner du plaisir. Il n'a pas rechigner à téter mon gland.
Pendant qu'il était occupé j'ai coupe un coté du slip pour retirer les reste de tissus. Sa queue raide ne pouvait acher son excitation. Je l'ai décalotté dans son jus. Il bavait sur ses petits poils blonds, mignon comme tout. Cétait ce coté là que j'aimais , le voir grimacer même si c'est de plaisir serait un régal.
J'ai allumé des bougies de chauffe-plats et en suçant j'ai vu ses yeux briller. J'ai attendu un moment que la cire se forme puis doucement, visant mon but j'ai fait couler la cire entre ses couilles sur sa queue.
Il a eu un moment de stupeur avant de réaliser et de couiner sur ma queue. J'ai souri , prenant un deuxième pot j'ai tracé une ligne de juste au dessus du gland jusqu'au centre de ses tétons. Il remuait mais ne pouvait pas se déplacer et le troisième pot a été partagé sur chacun de ses tétons déjà pincés.
Je me suis mis entre ses cuisses et me suis penchépour lui lécher le cul. Cette fois ce fut des petits gémissements de plaisir. Une fois bien salivé, Je l'ai laissé seul un moment pour revenir avec un gode et une mécanique que j'utilise pour destroy un anus. Il a flippé en voyant la machine. Une fois installée et le gode placé un tout petit peu entré j'ai démarré la mécanique. Le gode l'empalait régulièrement, sans état d'âme J'ai pris plaisir à lui parler à l'oreille. Je l'informais que je n'aimais que les anus très ouvert et que cette nuit je changerais le gode pour en mettre un plus gros à chaque fois.
Il a dit qu'il comprenait et que c'était un de ses fantasmes. Ses yeux grands ouverts exprimaient à la fois le plaisir et la douleur. J'aimais. Le premier était normal, couleur chair, réaliste, seize par trois , juste bon à habituer le conduit anal. Je l'entendais grogner de plaisir. Mécaniquement le gode sans jamais sortir limait son anus dans un va et vient sans arrêt. J'avais posé une sangle sur son ventre qui le collait en bonne position pour la suite.
Au boit de dix minutes , j'ai reculé l'engin pour changer le gode. Pas beaucoup plus long celui ci était plus épais avec des bourrelets tout les deux centimètres. Remis en place et en marche, il a tenté de bouger les premières fois puis s'est laissé aller, sa queue ayant débandé à le fin du petit gode avait repris sa forme dressée. Je l'ai un peu branlé de la main qui avait le gant. Il ma fixé un instant, lâchant un "merci maître".
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