La balade de Framboise
Récit érotique écrit par Chriscoquin35 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2017 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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La balade de Framboise
Ce récit a été rédigé à 2 mains avec une amie libertine qui se reconnaîtra...
Le fond de l'air était très doux et on entendait le doux cliquetis des talons fins de Framboise sur les trottoirs de La Rochelle. La ville était paisible car les hordes de touristes n'avaient pas encore débarqué. Elle s'arrêta devant un beau magasin de chaussures et la vitrine lui renvoya l'image d'une femme fine et élégante, des cheveux châtains clairs coupés au carré et un regard bleu très doux. Framboise se sentait bien et, assumant totalement d'être dans la soixantaine épanouie, elle avait décidé de croquer la vie à pleines dents. Framboise poussa la porte du magasin et fut accueillie par la gérante. Elle était occupée avec des clients et elle appela son vendeur qui arriva du fond de l'établissement. Jérôme était un beau brun d'une quarantaine d'années, élégamment vêtu et son regard clair charma immédiatement Framboise. Il se présenta et l'invita à le suivre au fond du magasin.
Le regard de Framboise avait été attiré par une paire de sandales à hauts talons dorées. Elle demanda au charmant vendeur s'il avait cette paire dans sa taille, 38...
- "Oui Madame, je vais vous les chercher".
Framboise lui tendit son pied encore chaussé et Jérôme lui enleva sa chaussure. Puis il lui passa une première sandale, en la regardant droit dans les yeux, de son regard doux et plein de convoitise... Cet essayage se fit caresse... Du pied, il passa sa main sur le mollet tendu de Framboise.
- "Vous avez de très jolies jambes" lui dit doucement Jérôme.
Un doux frémissement parcourut Framboise et cela lui fit monter le rouge aux joues. La situation était délicieuse et elle devait bien se l'avouer à elle-même qu'elle sentait monter de l'excitation en elle. Le vendeur venait de lui passer la deuxième sandale et pour reprendre de la contenance Framboise se leva et se dirigea vers le miroir qui tapissait le mur du fond. Elle virevolta sur elle même, admirant les sandales dont la hauteur de talon lui donnait une jolie cambrure, sous l'œil attentif de Jérôme qui n'en perdait pas une miette. Framboise avança dans les rayons pour choisir un autre modèle. Son choix se porta sur une sandale à talon très fin et à fine bride sur l'arrière du talon. Jérôme s'éclipsa dans la réserve puis revint avec le modèle.
Une sandale également dorée, sensuelle à souhait, Framboise se pencha en avant pour l'admirer. Lorsqu'elle se releva brutalement, elle perdit quelque peu l'équilibre. Jérôme la soutint fermement, la serrant très fort contre lui. Puis , il obligea Framboise à relever le menton et de ses deux mains il enserra son visage, en dégageant les cheveux qui cachaient en partie son délicieux minois . A nouveau leurs regards se croisèrent, lourds de désir...Framboise ne voyait plus le bleu des yeux de Jérôme, tant ses pupilles étaient dilatées.
La gérante arriva et Framboise s'écarta rapidement de Jérome puis elle se dirigea vers le grand miroir qui tapissait le mur du fond pour admirer ces élégantes sandales à ses pieds. La femme signifia au vendeur qu'elle partait en pause déjeuner et qu'il n'aurait qu'à fermer lorsqu'il en aurait fini avec sa cliente.
Jérôme attendit deux minutes puis alla verrouiller la porte du magasin. Il éteignit les lumières et revint vers Framboise. De cette manière, ils pouvaient voir ce qui se passait dans la rue sans être vus. Framboise s'assit sur un pouf et dit à Jérôme qu'elle essaierait peut-être la pointure en dessous. Il s'agenouilla devant elle, saisit le pied droit de la belle femme et le posa sur son genou pour défaire la sandale. Ce faisant il écarta doucement la chaînette qu'elle portait à la cheville pour ne pas l'accrocher. "J'adore ce bijou" murmura t-il en la regardant dans les yeux. Framboise glissa du pouf et sa bouche se retrouva au niveau de celle de Jérome. Tout doucement, elle posa un baiser chaste sur sa bouche, puis l'ouvrit d'un coup de langue. Le baiser échangé se fit plus pressant. Leurs langues s'exploraient mutuellement avec avidité.
- "Vous embrassez divinement bien Madame". Framboise se mit à pousser de longs soupirs langoureux, offrant à nouveau sa bouche à Jérome sans aucune retenue. Les mains du bel homme caressèrent la nuque de Framboise puis, d'un mouvement subit, il empoigna ses deux seins à travers le tissu de sa robe. Un instant, il pensa qu'elle ne portait pas de soutien gorge, ce qui l'emplit d'émoi. Ce faisant, il arracha à sa partenaire des soupirs de plus en plus appuyés. Jérome fit glisser les bretelles de la robe de Framboise et découvrit son soutien gorge qui ne cachait rien de sa poitrine, ou presque.
- "je veux être votre boy friend, votre sexe toy, demandez-moi tout ce que vous voulez, je le ferai... Votre peau est si douce, elle sent si bon... J'aime vos seins, ils sont faits pour mes mains".
Puis il fit glisser la robe de Framboise jusqu'à ses pieds. D'un geste rapide la belle s'en débarassa.
- "vous avez un beau cul et je sens qu'il est fait pour ma queue... quelque chose me dit que vous êtes une belle salope, une chaudasse, une pute".
- "si j'étais une pute, comme vous le dites si élégamment, je vous ferais payer et cela vous coûterait cher, très cher, cependant, il m'arrive d'accepter de jouer les escorts".
- "hummmm, tout ceci est très intéressant. Maintenant, laissez-vous faire, laissez-vous aller, laissez-moi vous donner tout le plaisir que vous méritez adorable femelle".
- "Enlevez vos chaussures, Jérome, je me charge du reste".
Framboise découvrit lentement le corps de son beau partenaire. Au fur et à mesure qu'elle le déshabillait, ses lèvres, ses mains, parcouraient chaque centimètre de peau. Cela arrachait à Jérome des soupirs de plaisir. Les paroles semblaient inutiles. Lorsqu'elle enleva son boxer sort, le sexe de Jérome était au garde-à-vous bien raide. Il caressa le sexe de Framboise par-dessus le petit bout de tissu qui lui servait de culotte, très sage devant, mais l'arrière largement ouvert, en une fente qui donnait à voir son sublime fessier. Jérome prit la belle dans ses bras et la tint par derrière en la regardant intensément à l'aide du grand miroir. Framboise était très excitée par la position et la vue qui s'offrait à elle. Elle laissa aller sa tête contre le torse athlétique. Jérome caressa du bout de ses doigts le corps de Framboise qui frémit, frissonna de plaisir. Puis, il se mit à genoux devant elle et, de sa langue, il écarta le string. Le clitoris de Framboise était gorgé de plaisir. En introduisant un doigt dans son vagin il lui dit - "vous êtes déjà toute mouillée ma belle".
- "oui, vous m'excitez terriblement".
- "j'adorerais jouir dans tous vos orifices Madame. Vous êtes un démon tentateur. Je vais vous limer, vous baiser, je vous promets que vous en redemanderez"Jerome lapait avec gourmandise la douce fente lisse de Framboise sur toute sa longueur, s'attardant sur le bouton gonflé, l'aspirant de ses lèvres, puis pénétrant la vulve trempée de sa langue inquisitrice. Framboise vibrait et appuyait sur la tête de l'homme afin de la plaquer d'avantage sur son sexe.
- "votre liqueur est enivrante, je veux vous boire, encore et encore" - "régalez vous, ce soir elle est toute à vous"Les mains de Jérome glissaient sur les jambes de Framboise, carressant le talon des sandales, s'attardant sur la chaînette à la cheville puis remontant jusqu'aux fesses fermes de la belle. Il glissa un doigt puis deux dans le sexe ouvert pendant que sa bouche aspirait et tétait le clitoris tendu tel un petit pénis. Framboise gémissait de plus en plus fort.
- "prenez moi maintenant, je veux vous sentir en moi et me posséder". Jérome enfila un préservatif récupéré dans le sac à mains de la femme et la retourna. Elle s'appuya des deux mains sur le grand miroir et se cambra pour offrir sa croupe au membre impérieux de l'homme. Il présenta son gland luisant à l'entrée du sexe offert et trempé et glissa jusqu'à la garde lui arrachant un râle de plaisir. Il se mit alors à la prendre de plus en plus rapidement, son bas ventre venant taper sur les fesses de la belle. Elle débuta une fellation à l'aide de sa langue qu'elle fit jouer sur le membre de Jérome en de petits mouvements circulaires, tantôt lents, tantôt rapides, qui arrachèrent des soupirs de plaisir au jeune homme. "J'adore votre queue, j'aime qu'elle soit bien dure et si grosse". Puis elle alterna fellation et masturbation, tout en le regardant dans les yeux, passant sa langue sur ses lèvres, afin qu'il comprenne le plaisir qu'elle y prenait et l'excitation que cela lui procurait. Elle caressait ses bourses pleines et, ayant pris soin de saliver sur son gland, elle le caressa de sa langue. "hummmm j'adore ce que vous me faîtes là, vous me donnez tant de plaisir. Si vous continuez ainsi, je ne vais pas pouvoir me retenir". Elle s'attarda un instant sur son frein puis fit une courte pause, afin d'enduire son index d'une huile de massage. Du regard, elle l'interrogeait. "oui, oh oui" fut la réponse. Doucement, elle introduisit son doigt dans l'anus de Jérome et partit à la recherche de son point H, qu'elle trouva sans peine. Une petite protubérance sur laquelle elle excerça un mouvement de va et vient, tout en le masturbant de sa main gauche. Le résultat ne se fit pas attendre ; dans une répétition de cris et de soupirs intenses, Jérome éjacula en un jet continu et qui dura un long moment. Pendant qu'il jouissait de façon magistrale et bruyante, elle laissa son doigt dans son fondement, mais cessa son mouvement. "Madame, vous venez de me donner un orgasme incomparable, et je vais vous remercier en m'occupant de vous".
Jerome se redressa et saisit Framboise aux hanches pour la guider vers une table encombrée de très jolies chaussures féminines. Il l'aida à s'assoir au milieu des modèles exposés et elle posa les hauts talons de ses sandales sur le meuble ouvrant largement ses cuisses et offrant à Jerome une sublime vision de son sexe rose. L'homme s'accroupit devant cette chatte offerte et déposa de doux baisers sur le pubis de la belle puis sur le clitoris gonflé. La langue de Jérome glissa entre les grandes lèvres et lapa la liqueur d'excitation qui en ruisselait. Sa langue glissa vers l'anus de Framboise et vint titiller sa petite corolle qui s'ouvrit délicatement pour recevoir la douce caresse. Les lèvres de Jérome revinrent sur le sexe de Framboise et il glissa un de ses doigts dans la bouche de la belle qui le lécha avec gourmandise. Le doigt lubrifié par la salive de Framboise s'introduisit délicatement entre les fesses de la belle et commença à coulisser par de lents mouvements délicats. Framboise attrapa sur la table un escarpin à plateforme avec un talon de plus de 15 cm et le tendit à Jerome en lui disant : "J'ai besoin d'un essayage spécial". Jérome remplaça son doigt par le talon et commença à sodomiser Framboise qui gémissait de plaisir. Les coups de langue sur le clitoris s'accélérèrent en même temps que les va-et-vients du gode improvisé entre les fesses de la belle. Lorsque Jérôme sentit que Framboise allait jouir il enfonça deux doigts dans son vagin ce qui déclencha son orgasme. Son bassin était secoué avec frénésie et elle hurlait de plaisir. Jérome l'embrassa à pleine bouche et après quelques minutes Framboise se remit debout, se rajusta et, regardant ses pieds, elle lui dit "je vais prendre ce modèle, merci pour votre aide efficace". Jerome la raccompagna jusqu'à la porte et Framboise se dit en quittant la boutique que la journée allait être très belle...
Le fond de l'air était très doux et on entendait le doux cliquetis des talons fins de Framboise sur les trottoirs de La Rochelle. La ville était paisible car les hordes de touristes n'avaient pas encore débarqué. Elle s'arrêta devant un beau magasin de chaussures et la vitrine lui renvoya l'image d'une femme fine et élégante, des cheveux châtains clairs coupés au carré et un regard bleu très doux. Framboise se sentait bien et, assumant totalement d'être dans la soixantaine épanouie, elle avait décidé de croquer la vie à pleines dents. Framboise poussa la porte du magasin et fut accueillie par la gérante. Elle était occupée avec des clients et elle appela son vendeur qui arriva du fond de l'établissement. Jérôme était un beau brun d'une quarantaine d'années, élégamment vêtu et son regard clair charma immédiatement Framboise. Il se présenta et l'invita à le suivre au fond du magasin.
Le regard de Framboise avait été attiré par une paire de sandales à hauts talons dorées. Elle demanda au charmant vendeur s'il avait cette paire dans sa taille, 38...
- "Oui Madame, je vais vous les chercher".
Framboise lui tendit son pied encore chaussé et Jérôme lui enleva sa chaussure. Puis il lui passa une première sandale, en la regardant droit dans les yeux, de son regard doux et plein de convoitise... Cet essayage se fit caresse... Du pied, il passa sa main sur le mollet tendu de Framboise.
- "Vous avez de très jolies jambes" lui dit doucement Jérôme.
Un doux frémissement parcourut Framboise et cela lui fit monter le rouge aux joues. La situation était délicieuse et elle devait bien se l'avouer à elle-même qu'elle sentait monter de l'excitation en elle. Le vendeur venait de lui passer la deuxième sandale et pour reprendre de la contenance Framboise se leva et se dirigea vers le miroir qui tapissait le mur du fond. Elle virevolta sur elle même, admirant les sandales dont la hauteur de talon lui donnait une jolie cambrure, sous l'œil attentif de Jérôme qui n'en perdait pas une miette. Framboise avança dans les rayons pour choisir un autre modèle. Son choix se porta sur une sandale à talon très fin et à fine bride sur l'arrière du talon. Jérôme s'éclipsa dans la réserve puis revint avec le modèle.
Une sandale également dorée, sensuelle à souhait, Framboise se pencha en avant pour l'admirer. Lorsqu'elle se releva brutalement, elle perdit quelque peu l'équilibre. Jérôme la soutint fermement, la serrant très fort contre lui. Puis , il obligea Framboise à relever le menton et de ses deux mains il enserra son visage, en dégageant les cheveux qui cachaient en partie son délicieux minois . A nouveau leurs regards se croisèrent, lourds de désir...Framboise ne voyait plus le bleu des yeux de Jérôme, tant ses pupilles étaient dilatées.
La gérante arriva et Framboise s'écarta rapidement de Jérome puis elle se dirigea vers le grand miroir qui tapissait le mur du fond pour admirer ces élégantes sandales à ses pieds. La femme signifia au vendeur qu'elle partait en pause déjeuner et qu'il n'aurait qu'à fermer lorsqu'il en aurait fini avec sa cliente.
Jérôme attendit deux minutes puis alla verrouiller la porte du magasin. Il éteignit les lumières et revint vers Framboise. De cette manière, ils pouvaient voir ce qui se passait dans la rue sans être vus. Framboise s'assit sur un pouf et dit à Jérôme qu'elle essaierait peut-être la pointure en dessous. Il s'agenouilla devant elle, saisit le pied droit de la belle femme et le posa sur son genou pour défaire la sandale. Ce faisant il écarta doucement la chaînette qu'elle portait à la cheville pour ne pas l'accrocher. "J'adore ce bijou" murmura t-il en la regardant dans les yeux. Framboise glissa du pouf et sa bouche se retrouva au niveau de celle de Jérome. Tout doucement, elle posa un baiser chaste sur sa bouche, puis l'ouvrit d'un coup de langue. Le baiser échangé se fit plus pressant. Leurs langues s'exploraient mutuellement avec avidité.
- "Vous embrassez divinement bien Madame". Framboise se mit à pousser de longs soupirs langoureux, offrant à nouveau sa bouche à Jérome sans aucune retenue. Les mains du bel homme caressèrent la nuque de Framboise puis, d'un mouvement subit, il empoigna ses deux seins à travers le tissu de sa robe. Un instant, il pensa qu'elle ne portait pas de soutien gorge, ce qui l'emplit d'émoi. Ce faisant, il arracha à sa partenaire des soupirs de plus en plus appuyés. Jérome fit glisser les bretelles de la robe de Framboise et découvrit son soutien gorge qui ne cachait rien de sa poitrine, ou presque.
- "je veux être votre boy friend, votre sexe toy, demandez-moi tout ce que vous voulez, je le ferai... Votre peau est si douce, elle sent si bon... J'aime vos seins, ils sont faits pour mes mains".
Puis il fit glisser la robe de Framboise jusqu'à ses pieds. D'un geste rapide la belle s'en débarassa.
- "vous avez un beau cul et je sens qu'il est fait pour ma queue... quelque chose me dit que vous êtes une belle salope, une chaudasse, une pute".
- "si j'étais une pute, comme vous le dites si élégamment, je vous ferais payer et cela vous coûterait cher, très cher, cependant, il m'arrive d'accepter de jouer les escorts".
- "hummmm, tout ceci est très intéressant. Maintenant, laissez-vous faire, laissez-vous aller, laissez-moi vous donner tout le plaisir que vous méritez adorable femelle".
- "Enlevez vos chaussures, Jérome, je me charge du reste".
Framboise découvrit lentement le corps de son beau partenaire. Au fur et à mesure qu'elle le déshabillait, ses lèvres, ses mains, parcouraient chaque centimètre de peau. Cela arrachait à Jérome des soupirs de plaisir. Les paroles semblaient inutiles. Lorsqu'elle enleva son boxer sort, le sexe de Jérome était au garde-à-vous bien raide. Il caressa le sexe de Framboise par-dessus le petit bout de tissu qui lui servait de culotte, très sage devant, mais l'arrière largement ouvert, en une fente qui donnait à voir son sublime fessier. Jérome prit la belle dans ses bras et la tint par derrière en la regardant intensément à l'aide du grand miroir. Framboise était très excitée par la position et la vue qui s'offrait à elle. Elle laissa aller sa tête contre le torse athlétique. Jérome caressa du bout de ses doigts le corps de Framboise qui frémit, frissonna de plaisir. Puis, il se mit à genoux devant elle et, de sa langue, il écarta le string. Le clitoris de Framboise était gorgé de plaisir. En introduisant un doigt dans son vagin il lui dit - "vous êtes déjà toute mouillée ma belle".
- "oui, vous m'excitez terriblement".
- "j'adorerais jouir dans tous vos orifices Madame. Vous êtes un démon tentateur. Je vais vous limer, vous baiser, je vous promets que vous en redemanderez"Jerome lapait avec gourmandise la douce fente lisse de Framboise sur toute sa longueur, s'attardant sur le bouton gonflé, l'aspirant de ses lèvres, puis pénétrant la vulve trempée de sa langue inquisitrice. Framboise vibrait et appuyait sur la tête de l'homme afin de la plaquer d'avantage sur son sexe.
- "votre liqueur est enivrante, je veux vous boire, encore et encore" - "régalez vous, ce soir elle est toute à vous"Les mains de Jérome glissaient sur les jambes de Framboise, carressant le talon des sandales, s'attardant sur la chaînette à la cheville puis remontant jusqu'aux fesses fermes de la belle. Il glissa un doigt puis deux dans le sexe ouvert pendant que sa bouche aspirait et tétait le clitoris tendu tel un petit pénis. Framboise gémissait de plus en plus fort.
- "prenez moi maintenant, je veux vous sentir en moi et me posséder". Jérome enfila un préservatif récupéré dans le sac à mains de la femme et la retourna. Elle s'appuya des deux mains sur le grand miroir et se cambra pour offrir sa croupe au membre impérieux de l'homme. Il présenta son gland luisant à l'entrée du sexe offert et trempé et glissa jusqu'à la garde lui arrachant un râle de plaisir. Il se mit alors à la prendre de plus en plus rapidement, son bas ventre venant taper sur les fesses de la belle. Elle débuta une fellation à l'aide de sa langue qu'elle fit jouer sur le membre de Jérome en de petits mouvements circulaires, tantôt lents, tantôt rapides, qui arrachèrent des soupirs de plaisir au jeune homme. "J'adore votre queue, j'aime qu'elle soit bien dure et si grosse". Puis elle alterna fellation et masturbation, tout en le regardant dans les yeux, passant sa langue sur ses lèvres, afin qu'il comprenne le plaisir qu'elle y prenait et l'excitation que cela lui procurait. Elle caressait ses bourses pleines et, ayant pris soin de saliver sur son gland, elle le caressa de sa langue. "hummmm j'adore ce que vous me faîtes là, vous me donnez tant de plaisir. Si vous continuez ainsi, je ne vais pas pouvoir me retenir". Elle s'attarda un instant sur son frein puis fit une courte pause, afin d'enduire son index d'une huile de massage. Du regard, elle l'interrogeait. "oui, oh oui" fut la réponse. Doucement, elle introduisit son doigt dans l'anus de Jérome et partit à la recherche de son point H, qu'elle trouva sans peine. Une petite protubérance sur laquelle elle excerça un mouvement de va et vient, tout en le masturbant de sa main gauche. Le résultat ne se fit pas attendre ; dans une répétition de cris et de soupirs intenses, Jérome éjacula en un jet continu et qui dura un long moment. Pendant qu'il jouissait de façon magistrale et bruyante, elle laissa son doigt dans son fondement, mais cessa son mouvement. "Madame, vous venez de me donner un orgasme incomparable, et je vais vous remercier en m'occupant de vous".
Jerome se redressa et saisit Framboise aux hanches pour la guider vers une table encombrée de très jolies chaussures féminines. Il l'aida à s'assoir au milieu des modèles exposés et elle posa les hauts talons de ses sandales sur le meuble ouvrant largement ses cuisses et offrant à Jerome une sublime vision de son sexe rose. L'homme s'accroupit devant cette chatte offerte et déposa de doux baisers sur le pubis de la belle puis sur le clitoris gonflé. La langue de Jérome glissa entre les grandes lèvres et lapa la liqueur d'excitation qui en ruisselait. Sa langue glissa vers l'anus de Framboise et vint titiller sa petite corolle qui s'ouvrit délicatement pour recevoir la douce caresse. Les lèvres de Jérome revinrent sur le sexe de Framboise et il glissa un de ses doigts dans la bouche de la belle qui le lécha avec gourmandise. Le doigt lubrifié par la salive de Framboise s'introduisit délicatement entre les fesses de la belle et commença à coulisser par de lents mouvements délicats. Framboise attrapa sur la table un escarpin à plateforme avec un talon de plus de 15 cm et le tendit à Jerome en lui disant : "J'ai besoin d'un essayage spécial". Jérome remplaça son doigt par le talon et commença à sodomiser Framboise qui gémissait de plaisir. Les coups de langue sur le clitoris s'accélérèrent en même temps que les va-et-vients du gode improvisé entre les fesses de la belle. Lorsque Jérôme sentit que Framboise allait jouir il enfonça deux doigts dans son vagin ce qui déclencha son orgasme. Son bassin était secoué avec frénésie et elle hurlait de plaisir. Jérome l'embrassa à pleine bouche et après quelques minutes Framboise se remit debout, se rajusta et, regardant ses pieds, elle lui dit "je vais prendre ce modèle, merci pour votre aide efficace". Jerome la raccompagna jusqu'à la porte et Framboise se dit en quittant la boutique que la journée allait être très belle...
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