La banquière
Récit érotique écrit par Pasham35 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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La banquière
Sébastien et Audrey étaient un jeune couple de 25 et 28 ans. Ce jour-là, ils se rendaient dans leur banque afin d’obtenir un prêt pour leur projet immobilier. Ils avaient tous les deux une situation professionnelle stable et souhaitaient quitter leur appartement pour s’établir dans une maison et fonder une famille. Depuis le Covid, ils ne souhaitaient plus être prisonniers des 4 murs d’un appartement.
C’est confiants dans leur situation et projet, qu’ils ouvrirent la porte de leur banque.
Il furent accueillit par Mme Ancel, la directrice de l’établissement. Ils furent surpris de cette attention, car ils étaient généralement reçus par leur conseiller personnel. Mme Ancel justifia sa présence par l’absence impromptu de son employé. Elle les introduit dans un bureau vitré, au fond de l’agence.
- En quoi puis-je vous aider ? demanda Mme Ancel en s’asseyant avec un sourire avenant.
- Nous avons un projet immobilier, s’enthousiasma Audrey. Elle regarda son compagnon et fît une petit moue pour concéder qu’elle s’était peut-être un peu laissée emportée.
La jeune femme était ainsi, toujours agissant sur des coups de tête, toujours emportée par ses envies. Elle se jetait à corps perdu dans la vie, agissant souvent avec impulsivité. Sébastien aimait beaucoup ça chez elle, mais savait aussi qu’il devait parfois la tempérer, sinon ils auraient 5 chiens et 8 chats, auraient déménagés dans chaque ville qu’elle avait adoré visiter ou bien aurait tout laisser tomber pour élever des chèvres. Elle était bien souvent déçue mais finissait par admettre qu’il avait raison et passait à autre chose.
Ils sortirent les différent documents ayant trais à leur projet pour les exposer à la banquière. Cette dernière leur posa quelques questions et commença à saisir des données dans son ordinateur. Pendant qu’elle effectuait sa saisie en silence, Sébastien l’observait. Mme Ancel était plutôt une belle femme. Elle devait avoir aux alentours de 45 ans, mince, parfaitement apprêtée dans son tailleur ajusté. Son regard s’attarda un peu sur son joli décolleté.
Enfin, Mme Ancel leur dit :
- Nous pouvons vous prêter 180 000€ sur 20 ans.
Le ciel sembla s’effondrer sur le jeune couple. Ils avaient fait des estimations en ligne et pensaient pouvoir obtenir plus. Ils avaient déjà rencontrés un constructeur et avaient eu un coup de cœur sur un plan qu’il leur avait présenté.
- Si peu ? demanda Sébastien. Nous tablions sur 250 000 pour réaliser notre projet.
- Le marché est assez frileux en ce moment. Les taux d’intérêt sont remontés en flèche dernièrement. De plus, votre apport n’est pas très conséquent.
- On ne va pas pouvoir réaliser notre projet dans ces conditions ! Se lamenta Audrey dont les larmes lui montèrent aux yeux.
- Je suis désolé, je n’ai pas beaucoup de marge de manœuvre.
Alors que Sébastien essayait de trouver des solutions avec la banquière, Audrey avait le regard dans le vide, et voyait les murs de sa futur maison se volatiliser.
- Vous m’êtes sympathiques, finit par dire la banquière. Il y a peut-être une solution. Je dois consulter les responsables régionaux. Je m’en occupe dans l’après-midi. Je suis absente le reste de la semaine et comme j’imagine que vous êtes pressés de savoir ce qu’il en est, je vous propose de passer ce soir chez moi pour en rediscuter dans le calme.
Elle tendit une carte de visite avec son adresse personnelle.
- Venez pour 18h et on verra si on peut trouver une solution.
Sébastien et Audrey la remercièrent, quoi que très surpris de la démarche.
Le soir même, comme convenu, le couple se présenta chez la banquière. Elle habitait un bel appartement dans les beaux quartiers de la ville.
Ils sonnèrent à l’interphone puis prirent l’ascenseur jusqu’au 10eme étage. Ils frappèrent enfin à la porte.
Mme Ancel leur ouvrit et les invita à s’asseoir au salon. Fébrilement Sébastien et Audrey s’installèrent sur le canapé. Leur hôte s’était changée et avait délaissé son tailleur un peu strict pour un bustier satiné et un pantalon noir. Elle s’assit en face d’eux et leur exposa :
- Je n’ai pas pu obtenir l’accord de mes responsables, je suis désolée.
Devant la moue désappointée de ses interlocuteurs elle repris.
- Cependant, je peux peut-être vous aider encore. Je pourrais vous prêter un peu d’argent.
- Comment ça ? Demanda Sébastien ébahit.
- Je vous prête l’argent qu’il vous manque, sans intérêt et en échange vous faite quelques chose pour moi.
- Que voulez que nous fassions ? Interrogea Audrey, tout de même curieuse de cette proposition.
- Suivez-moi, dit Mme Ancel en se levant.
Il prirent un escalier qui menait à l’étage du duplex puis un couloir qui s’avançait vers les chambres et la salle de bain du grand appartement. Elle s’arrêta devant une porte, l’ouvrit et alluma la lumière. Une lueur rouge s’en échappa, laissant apparaître toute sorte d’objets à caractère sexuel.
- Voici mon donjon. Dès maintenant et jusqu’à ce que vous m’ayez remboursé, vous serez à ma disposition un soir par semaine, expliqua-t-elle en s’adressant au jeune homme.
- Pas question ! S’indigna Sébastien en faisant demi-tour.
- Attends, réfléchis ! Dis Audrey en retenant son compagnon par le bras.
- C’est tout réfléchi !
- Tu ne crois pas que notre rêve de maison vaille un petit sacrifice ? Nous essayerons de réunir assez vite la somme pour y mettre un terme le plus vite possible.
- Je ne vais pas te tromper avec cette femme.
- Tu ne me trompes, je t’autorise.
- Je ne sais pas..
- S’il te plaît, mon chéri, le supplia sa femme.
- D’accord… soupira Sébastien.
- Parfait ! jubila Mme Ancel. Dès demain je vous verserai les 70 000€ qu’il vous manque et nous ferons l’offre de prêt la semaine prochaine. En attendant, entrez ! ordonna la banquière en désignant le donjon.
Comme Audrey la fixait d’un regard interrogateur, l’hôtesse ajouta :
- Vous êtes là, vous participerez un peu aujourd’hui ! Cela vaut bien un petit sacrifice, ajouta-t-elle avec perfidie.
Le couple pénétra dans la pièce et la parcourue du regard. Ils y virent une balançoire, un carcan en bois, un canapé en forme de vague, une croix de St André, une chaise de bondage et une sex machine. Enfin dans un coin se trouvait un lit ainsi q’une commode qui devait contenir tous les accessoires utiles. Pour finir, des tableaux pornographique ornaient les murs rouges, faiblement éclairés par une lumière diffuse.
- Ici, vous m’appellerez Domina ou Maîtresse. Compris ?
- Oui, répondirent ensemble Audrey et Sébastien.
- Oui qui ?
- Oui Maîtresse.
Domina retira son pantalon et se retrouva avec un string en satin noir assorti à son bustier. Elle était bien faite et Sébastien la trouva plutôt jolie. Elle sorti une cravache de la commode et ordonna :
- Déshabillez-vous. Mettez-vous en sous-vêtements.
Le couple obtempéra.
Sébastien se retrouva vite avec son seul boxer noir, arborant une belle bosse qui laissait présager de belles dimensions.
Audrey avait aussi fait tomber ses vêtements au sol et se tenait debout devant Domina. Elle portait un ensemble de lingerie en tulle rouge et parsemé de broderies floraux. Autant le tanga que le soutien-gorge corbeille mettaient en valeur son joli corps.
Domina envoya Audrey s’asseoir dans le siège pour regarder. Elle emmena ensuite Sébastien vers la croix et l’y attacha. Il se retrouva bras et jambes écartés, attachés. Elle sortit de la commode un bandeau et un bâillon boule qu’elle mit au jeune homme. Enfin, elle s’arma d’un fouet et commença à maltraiter Sébastien qui poussait de faibles râles de douleur.
Après avoir suffisamment maltraité le jeune homme, elle pris une paire de ciseaux et découpa le boxer pour en extraire une belle queue qu’elle empoigna avec vigueur, couilles comprises. Elle les malaxa fortement, arrachant des bruits rauques au jeune homme.
Domina cessa ces maltraitances et mis en bouche la queue à moitié bandée. Elle la lécha alors avec douceur cette fois et ses délicates attentions firent de l’effet au jeune homme qui se mit à bander durement. La banquière avait maintenant en bouche une queue bien dure d’une belle taille. Elle savoura le fait que cette verge serait à elle toutes le semaines. Elle se pencha en avant devant le jeune homme, écarta son string et vint placer le gland à l’entrée de sa chatte qui commençait à bien s’humidifier. Elle recula un peu pour la faire pénétrer. Quand elle fût bien au fond d’elle, elle se mit à faire des va-et-vient.
Alors qu’elle savourait cette queue qui coulissait en elle, elle se plaisait à fixer Audrey qui observait la scène, ne sachant pas si elle devait s’offusquer ou s’exciter. Malgré tout, elle ressentait les fourmillements dans son bas ventre augmenter à chaque gémissement de Domina. Une autre femme baisait son compagnon et elle s’étonnait que cela l’excita.
- Je vais te bouffer la chatte, dit Domina à Audrey
- Oui Maîtresse, répondit timidement Audrey, un frisson lui parcourant le corps.
Domina s’approcha d’elle, l’allongea sur le fauteuil BDSM attacha chacun de ses membres. La jeune femme était maintenant immobilisée. Domina se plaça entre ses jambes, écarta le tanga pour libérer une belle chatte toute lisse. Elle lécha le clitoris, le mordilla, descendit le long de la fente et s’attarda sur l’entrée humide de son vagin. Elle sentit tout de suite une cyprine abondante et s’en délecta. Après s’être bien abreuvée de l’abricot d’Audrey, elle alla prendre un godmichet d’une belle taille dans la commode et l’inséra dans la chatte de la jeune femme. Tout en caressant son clitoris elle faisait faire des aller-retour au sextoy. Audrey ondulait du bassin en rythme, gémissant, respirant fort.
- Je donne du plaisir à ta femme, ça t’excite Sébastien ? demanda Domina au jeune homme.
Ce dernier ne pouvant répondre, il hocha de la tête. Sa queue toujours bien bandée était une autre réponse à la question.
- Je vais m’occuper de ton homme à présent, dit Domina. Elle sortit de la commode 2 colliers sur lesquelles était fixé une laisse. Elle passa le collier à Audrey puis la libéra de ses entraves.
- Déshabille-toi, ordonna-t-elle.
Lorsque ses seins furent libérés, elle les caressa, s’attardant sur ses tétons qui se dressèrent fortement. Elle mit des pinces à tétons à la jeune femme, qu’elle serra si fort que sa victime grimaça de douleur.
Elle avança au fond de la pièce en tenant la jeune femme en laisse et la plaça devant la sex machine, fesses tournées vers le godmichet et régla l’appareil. Elle positionna le god devant le vagin de la jeune femme puis alluma la machine. Le god se mit à faire des va-et-vient en pénétrant la chatte d’Audrey. Elle se cambra, surprise, puis se détendit et se repositionna un peu mieux pour profiter totalement des sensations.
Domina se rapprocha de Sébastien, lui passa le collier à laisse puis le libéra. Elle le fît ramper comme Audrey jusqu’à la balançoire dans laquelle elle s’installa après avoir retiré son string.
- Bouffe-moi la chatte, ordonna-t-elle en le tenant toujours en laisse.
Le jeune homme se releva un peu et entrepris de lécher Domina. Son sexe était trempé de mouille. Sébastien se délecta du jus de la banquière, adorant la saveur. Il lui pinça le clitoris, le lécha, le mordilla et parvint à arracher un cri de douleur à sa Maîtresse qui lui donna un coup de fouet pour le calmer. Il introduisit deux doigts dans son vagin et entama des mouvements tout en gobant les belles lèvres de la femme. Domina poussait maintenant des gémissements, qui se confondaient avec les gémissements d’Audrey qui se faisait labourer avec grand plaisir par la sex machine. Cette dernière finit par avoir un orgasme, poussant des gémissements plus forts entre deux respirations saccadées.
En entendant sa femme jouir, Sébastien s’arrêta. Il pris alors un coup de fouet.
- Ne t’arrête pas ! Fais moi jouir aussi. Tu entends, ta femme prends du plaisir sans toi, s’amusa à dire Domina. Ai-je besoin de toi ?
Toujours les yeux bandés, Sébastien ne savait pas quel traitement subissait sa femme.
- Relève-toi et baise-moi maintenant, ordonna Domina.
Il obéit et chercha, la queue entre les mains, l’entrée de sa chatte avec son gland. Il parvint à la pénétrer et se mit à onduler du bassin. La balançoire fixée au plafond bougeait à chaque coup de rein. Le jeune homme variait le rythme selon les ordres de sa partenaire. De temps en temps, il ressortait complètement son sexe pour la pénétrer à nouveau ou pour caresser son clitoris avec son gland. Sa Maîtresse commençait haleter, sentant le plaisir monter en elle. Elle devait admettre qu’il se débrouillait plutôt bien avec sa queue. Alors qu’elle sentait l’orgasme approcher, elle se mit à jouer avec son clitoris du bout des doigts. Il n’en fallu pas plus pour qu’elle jouisse. Elle fût suivi de près par Sébastien qui, en entendant sa partenaire exprimer son plaisir n’avait pu tenir plus longtemps. Domina sentit avec délectation le sperme chaud se répandre en elle.
Lorsqu’elle eu reprit ses esprits, elle ordonna à Audrey de s’approcher en rampant.
Cette dernière avait admiré la scène de son mari éjaculant dans une autre femme avec excitation alors qu’elle continuait de se faire pénétrer par le god mécanique. Son plaisir ne s’estompait pas, bien au contraire !
Elle obéit pour s’approcher à quatre pattes. En s’avançant, elle sentait les pinces tirer sur ses tétons. Lorsqu’elle fût au pied de la balançoire, la Maîtresse lui intima :
- Lèche-moi et boit tout le sperme qui en coule.
- Oui, Maîtresse.
Sébastien se retira pour laisser la place à sa femme.
Audrey approcha son visage de la vulve de Domina et admira ce joli sexe tout lisse duquel s’écoulait un épais filet blanc. Elle se mit à lécher du bout de la langue le sperme de son compagnon encore tiède. Elle s’appliqua d’abord doucement à récolter le liquide puis pris à pleine bouche la chatte de sa partenaire, qui se cambrait sous les adroites sucions de son esclave.
Domina traîna Audrey vers le carcan. Elle installa la tête et les poignées sur l’appareil et le referma pour la maintenir immobile.
- Fais-lui un anulingus !
Jamais le couple n’avait effectué ce genre de pratique mais Sébastien s’appliqua à lécher l’anus de sa femme et semblait y prendre du plaisir. Quant à Audrey ses mouvements de bassin et son souffle saccadé indiquaient qu’elle aimait beaucoup.
La Maîtresse repoussa son jeune esclave et introduisit avec délicatesse un doigt dans l’anus de la jeune femme qui fût surprise. Après un temps de va-et-vient, Domina se saisit d’un plug anal lubrifié et avec beaucoup d’assurance l’introduisit dans le cul d’Audrey qui savoura de sentir cet objet en elle. Le plug anal se mit à vibrer .
- Baise ta femme ! ordonna Domina à Sébastien.
Le jeune homme pénétra sa femme et frissonna en ressentant les vibrations du sextoy sur son sexe à travers la fine parois vaginale.
Après plusieurs minutes de plaisir, Domina retira le plug et intima :
- A toi, encule ta femme !
Le jeune homme se sentait hésitant.
- Vas-y mon chéri, j’ai envie de te sentir en moi.
Ainsi encouragé il présenta son sexe à l’entrée de l’anus d’Audrey que Domina avait largement lubrifié. Elle empoigna le sexe et appuya le gland avec douceur mais fermeté pour le faire pénétrer le petit trou de la jeune femme. Après quelques poses et avancées prudentes il se mit à faire des mouvements de bassin pour imprimer des aller-retour. Sa femme respirait fortement, savourant de le sentir pleinement en elle. En effet, elle se sentait rempli, profondément pénétrée, plus intensément que dans le vagin. Quant à Sébastien, il prenait plaisir à sentir sa queue très serrée au niveau du sphincter.
Domina s’installa sur le lit, écarta les jambes pour se caresser en admirant le spectacle.
Alors que le rythme de l’homme était lent, la banquière lui ordonna :
- Baise là plus fort ! Elle a envie de faire éclater le cul !
Sébastien augmenta le rythme. Son pubis claquait maintenant sur les fesses de sa femme. Audrey apprécia d’être prise plus sauvagement, attachée et complètement vulnérable, et exprima son plaisir par des gémissements plus intenses.
La banquière faisait rouler son clitoris sous ses doigts, les introduisait dans sa chatte, les léchait. Elle sentait l’orgasme monter en elle.
Soudain, le jeune homme poussa un puissant râle de plaisir et déchargea tout son foutre dans le cul de sa femme. En ressentant les jets de spermes inonder son rectum, Audrey fût prise d’un puissant orgasme, ses gémissements furent aussi intenses que les contractions dans son ventre.
Voyant ses deux esclaves jouir ainsi, se fût au tour de Domina d’être envahit par un puissant plaisir qui irradia dans tout son corps.
Elle se leva pour libérer Audrey qui avait du mal à reprendre son souffle. Tous les trois se rhabillèrent en silence.
A la porte d’entrée, Mme Ancel dit à Sébastien avec un regard aguicheur :
- A la semaine prochaine, même jour, même heure.
- Oui Madame.
- Au départ je ne pensais profiter de ton seul mari, mais tu es la bienvenue aussi. J’ai pris beaucoup de plaisir avec toi, ajouta la banquière à l’intention d’Audrey.
Cette dernière ne dit rien, et se contenta d’un sourire.
Dans la rue, le couple avait mal partout. Ils ne parvenaient pas à réaliser ce qu’il s’était passé mais avaient adoré dépasser leurs limites et étaient l’un comme l’autre pressés de recommencer. Rembourser ce prêt allait leur procurer beaucoup de plaisir.
C’est confiants dans leur situation et projet, qu’ils ouvrirent la porte de leur banque.
Il furent accueillit par Mme Ancel, la directrice de l’établissement. Ils furent surpris de cette attention, car ils étaient généralement reçus par leur conseiller personnel. Mme Ancel justifia sa présence par l’absence impromptu de son employé. Elle les introduit dans un bureau vitré, au fond de l’agence.
- En quoi puis-je vous aider ? demanda Mme Ancel en s’asseyant avec un sourire avenant.
- Nous avons un projet immobilier, s’enthousiasma Audrey. Elle regarda son compagnon et fît une petit moue pour concéder qu’elle s’était peut-être un peu laissée emportée.
La jeune femme était ainsi, toujours agissant sur des coups de tête, toujours emportée par ses envies. Elle se jetait à corps perdu dans la vie, agissant souvent avec impulsivité. Sébastien aimait beaucoup ça chez elle, mais savait aussi qu’il devait parfois la tempérer, sinon ils auraient 5 chiens et 8 chats, auraient déménagés dans chaque ville qu’elle avait adoré visiter ou bien aurait tout laisser tomber pour élever des chèvres. Elle était bien souvent déçue mais finissait par admettre qu’il avait raison et passait à autre chose.
Ils sortirent les différent documents ayant trais à leur projet pour les exposer à la banquière. Cette dernière leur posa quelques questions et commença à saisir des données dans son ordinateur. Pendant qu’elle effectuait sa saisie en silence, Sébastien l’observait. Mme Ancel était plutôt une belle femme. Elle devait avoir aux alentours de 45 ans, mince, parfaitement apprêtée dans son tailleur ajusté. Son regard s’attarda un peu sur son joli décolleté.
Enfin, Mme Ancel leur dit :
- Nous pouvons vous prêter 180 000€ sur 20 ans.
Le ciel sembla s’effondrer sur le jeune couple. Ils avaient fait des estimations en ligne et pensaient pouvoir obtenir plus. Ils avaient déjà rencontrés un constructeur et avaient eu un coup de cœur sur un plan qu’il leur avait présenté.
- Si peu ? demanda Sébastien. Nous tablions sur 250 000 pour réaliser notre projet.
- Le marché est assez frileux en ce moment. Les taux d’intérêt sont remontés en flèche dernièrement. De plus, votre apport n’est pas très conséquent.
- On ne va pas pouvoir réaliser notre projet dans ces conditions ! Se lamenta Audrey dont les larmes lui montèrent aux yeux.
- Je suis désolé, je n’ai pas beaucoup de marge de manœuvre.
Alors que Sébastien essayait de trouver des solutions avec la banquière, Audrey avait le regard dans le vide, et voyait les murs de sa futur maison se volatiliser.
- Vous m’êtes sympathiques, finit par dire la banquière. Il y a peut-être une solution. Je dois consulter les responsables régionaux. Je m’en occupe dans l’après-midi. Je suis absente le reste de la semaine et comme j’imagine que vous êtes pressés de savoir ce qu’il en est, je vous propose de passer ce soir chez moi pour en rediscuter dans le calme.
Elle tendit une carte de visite avec son adresse personnelle.
- Venez pour 18h et on verra si on peut trouver une solution.
Sébastien et Audrey la remercièrent, quoi que très surpris de la démarche.
Le soir même, comme convenu, le couple se présenta chez la banquière. Elle habitait un bel appartement dans les beaux quartiers de la ville.
Ils sonnèrent à l’interphone puis prirent l’ascenseur jusqu’au 10eme étage. Ils frappèrent enfin à la porte.
Mme Ancel leur ouvrit et les invita à s’asseoir au salon. Fébrilement Sébastien et Audrey s’installèrent sur le canapé. Leur hôte s’était changée et avait délaissé son tailleur un peu strict pour un bustier satiné et un pantalon noir. Elle s’assit en face d’eux et leur exposa :
- Je n’ai pas pu obtenir l’accord de mes responsables, je suis désolée.
Devant la moue désappointée de ses interlocuteurs elle repris.
- Cependant, je peux peut-être vous aider encore. Je pourrais vous prêter un peu d’argent.
- Comment ça ? Demanda Sébastien ébahit.
- Je vous prête l’argent qu’il vous manque, sans intérêt et en échange vous faite quelques chose pour moi.
- Que voulez que nous fassions ? Interrogea Audrey, tout de même curieuse de cette proposition.
- Suivez-moi, dit Mme Ancel en se levant.
Il prirent un escalier qui menait à l’étage du duplex puis un couloir qui s’avançait vers les chambres et la salle de bain du grand appartement. Elle s’arrêta devant une porte, l’ouvrit et alluma la lumière. Une lueur rouge s’en échappa, laissant apparaître toute sorte d’objets à caractère sexuel.
- Voici mon donjon. Dès maintenant et jusqu’à ce que vous m’ayez remboursé, vous serez à ma disposition un soir par semaine, expliqua-t-elle en s’adressant au jeune homme.
- Pas question ! S’indigna Sébastien en faisant demi-tour.
- Attends, réfléchis ! Dis Audrey en retenant son compagnon par le bras.
- C’est tout réfléchi !
- Tu ne crois pas que notre rêve de maison vaille un petit sacrifice ? Nous essayerons de réunir assez vite la somme pour y mettre un terme le plus vite possible.
- Je ne vais pas te tromper avec cette femme.
- Tu ne me trompes, je t’autorise.
- Je ne sais pas..
- S’il te plaît, mon chéri, le supplia sa femme.
- D’accord… soupira Sébastien.
- Parfait ! jubila Mme Ancel. Dès demain je vous verserai les 70 000€ qu’il vous manque et nous ferons l’offre de prêt la semaine prochaine. En attendant, entrez ! ordonna la banquière en désignant le donjon.
Comme Audrey la fixait d’un regard interrogateur, l’hôtesse ajouta :
- Vous êtes là, vous participerez un peu aujourd’hui ! Cela vaut bien un petit sacrifice, ajouta-t-elle avec perfidie.
Le couple pénétra dans la pièce et la parcourue du regard. Ils y virent une balançoire, un carcan en bois, un canapé en forme de vague, une croix de St André, une chaise de bondage et une sex machine. Enfin dans un coin se trouvait un lit ainsi q’une commode qui devait contenir tous les accessoires utiles. Pour finir, des tableaux pornographique ornaient les murs rouges, faiblement éclairés par une lumière diffuse.
- Ici, vous m’appellerez Domina ou Maîtresse. Compris ?
- Oui, répondirent ensemble Audrey et Sébastien.
- Oui qui ?
- Oui Maîtresse.
Domina retira son pantalon et se retrouva avec un string en satin noir assorti à son bustier. Elle était bien faite et Sébastien la trouva plutôt jolie. Elle sorti une cravache de la commode et ordonna :
- Déshabillez-vous. Mettez-vous en sous-vêtements.
Le couple obtempéra.
Sébastien se retrouva vite avec son seul boxer noir, arborant une belle bosse qui laissait présager de belles dimensions.
Audrey avait aussi fait tomber ses vêtements au sol et se tenait debout devant Domina. Elle portait un ensemble de lingerie en tulle rouge et parsemé de broderies floraux. Autant le tanga que le soutien-gorge corbeille mettaient en valeur son joli corps.
Domina envoya Audrey s’asseoir dans le siège pour regarder. Elle emmena ensuite Sébastien vers la croix et l’y attacha. Il se retrouva bras et jambes écartés, attachés. Elle sortit de la commode un bandeau et un bâillon boule qu’elle mit au jeune homme. Enfin, elle s’arma d’un fouet et commença à maltraiter Sébastien qui poussait de faibles râles de douleur.
Après avoir suffisamment maltraité le jeune homme, elle pris une paire de ciseaux et découpa le boxer pour en extraire une belle queue qu’elle empoigna avec vigueur, couilles comprises. Elle les malaxa fortement, arrachant des bruits rauques au jeune homme.
Domina cessa ces maltraitances et mis en bouche la queue à moitié bandée. Elle la lécha alors avec douceur cette fois et ses délicates attentions firent de l’effet au jeune homme qui se mit à bander durement. La banquière avait maintenant en bouche une queue bien dure d’une belle taille. Elle savoura le fait que cette verge serait à elle toutes le semaines. Elle se pencha en avant devant le jeune homme, écarta son string et vint placer le gland à l’entrée de sa chatte qui commençait à bien s’humidifier. Elle recula un peu pour la faire pénétrer. Quand elle fût bien au fond d’elle, elle se mit à faire des va-et-vient.
Alors qu’elle savourait cette queue qui coulissait en elle, elle se plaisait à fixer Audrey qui observait la scène, ne sachant pas si elle devait s’offusquer ou s’exciter. Malgré tout, elle ressentait les fourmillements dans son bas ventre augmenter à chaque gémissement de Domina. Une autre femme baisait son compagnon et elle s’étonnait que cela l’excita.
- Je vais te bouffer la chatte, dit Domina à Audrey
- Oui Maîtresse, répondit timidement Audrey, un frisson lui parcourant le corps.
Domina s’approcha d’elle, l’allongea sur le fauteuil BDSM attacha chacun de ses membres. La jeune femme était maintenant immobilisée. Domina se plaça entre ses jambes, écarta le tanga pour libérer une belle chatte toute lisse. Elle lécha le clitoris, le mordilla, descendit le long de la fente et s’attarda sur l’entrée humide de son vagin. Elle sentit tout de suite une cyprine abondante et s’en délecta. Après s’être bien abreuvée de l’abricot d’Audrey, elle alla prendre un godmichet d’une belle taille dans la commode et l’inséra dans la chatte de la jeune femme. Tout en caressant son clitoris elle faisait faire des aller-retour au sextoy. Audrey ondulait du bassin en rythme, gémissant, respirant fort.
- Je donne du plaisir à ta femme, ça t’excite Sébastien ? demanda Domina au jeune homme.
Ce dernier ne pouvant répondre, il hocha de la tête. Sa queue toujours bien bandée était une autre réponse à la question.
- Je vais m’occuper de ton homme à présent, dit Domina. Elle sortit de la commode 2 colliers sur lesquelles était fixé une laisse. Elle passa le collier à Audrey puis la libéra de ses entraves.
- Déshabille-toi, ordonna-t-elle.
Lorsque ses seins furent libérés, elle les caressa, s’attardant sur ses tétons qui se dressèrent fortement. Elle mit des pinces à tétons à la jeune femme, qu’elle serra si fort que sa victime grimaça de douleur.
Elle avança au fond de la pièce en tenant la jeune femme en laisse et la plaça devant la sex machine, fesses tournées vers le godmichet et régla l’appareil. Elle positionna le god devant le vagin de la jeune femme puis alluma la machine. Le god se mit à faire des va-et-vient en pénétrant la chatte d’Audrey. Elle se cambra, surprise, puis se détendit et se repositionna un peu mieux pour profiter totalement des sensations.
Domina se rapprocha de Sébastien, lui passa le collier à laisse puis le libéra. Elle le fît ramper comme Audrey jusqu’à la balançoire dans laquelle elle s’installa après avoir retiré son string.
- Bouffe-moi la chatte, ordonna-t-elle en le tenant toujours en laisse.
Le jeune homme se releva un peu et entrepris de lécher Domina. Son sexe était trempé de mouille. Sébastien se délecta du jus de la banquière, adorant la saveur. Il lui pinça le clitoris, le lécha, le mordilla et parvint à arracher un cri de douleur à sa Maîtresse qui lui donna un coup de fouet pour le calmer. Il introduisit deux doigts dans son vagin et entama des mouvements tout en gobant les belles lèvres de la femme. Domina poussait maintenant des gémissements, qui se confondaient avec les gémissements d’Audrey qui se faisait labourer avec grand plaisir par la sex machine. Cette dernière finit par avoir un orgasme, poussant des gémissements plus forts entre deux respirations saccadées.
En entendant sa femme jouir, Sébastien s’arrêta. Il pris alors un coup de fouet.
- Ne t’arrête pas ! Fais moi jouir aussi. Tu entends, ta femme prends du plaisir sans toi, s’amusa à dire Domina. Ai-je besoin de toi ?
Toujours les yeux bandés, Sébastien ne savait pas quel traitement subissait sa femme.
- Relève-toi et baise-moi maintenant, ordonna Domina.
Il obéit et chercha, la queue entre les mains, l’entrée de sa chatte avec son gland. Il parvint à la pénétrer et se mit à onduler du bassin. La balançoire fixée au plafond bougeait à chaque coup de rein. Le jeune homme variait le rythme selon les ordres de sa partenaire. De temps en temps, il ressortait complètement son sexe pour la pénétrer à nouveau ou pour caresser son clitoris avec son gland. Sa Maîtresse commençait haleter, sentant le plaisir monter en elle. Elle devait admettre qu’il se débrouillait plutôt bien avec sa queue. Alors qu’elle sentait l’orgasme approcher, elle se mit à jouer avec son clitoris du bout des doigts. Il n’en fallu pas plus pour qu’elle jouisse. Elle fût suivi de près par Sébastien qui, en entendant sa partenaire exprimer son plaisir n’avait pu tenir plus longtemps. Domina sentit avec délectation le sperme chaud se répandre en elle.
Lorsqu’elle eu reprit ses esprits, elle ordonna à Audrey de s’approcher en rampant.
Cette dernière avait admiré la scène de son mari éjaculant dans une autre femme avec excitation alors qu’elle continuait de se faire pénétrer par le god mécanique. Son plaisir ne s’estompait pas, bien au contraire !
Elle obéit pour s’approcher à quatre pattes. En s’avançant, elle sentait les pinces tirer sur ses tétons. Lorsqu’elle fût au pied de la balançoire, la Maîtresse lui intima :
- Lèche-moi et boit tout le sperme qui en coule.
- Oui, Maîtresse.
Sébastien se retira pour laisser la place à sa femme.
Audrey approcha son visage de la vulve de Domina et admira ce joli sexe tout lisse duquel s’écoulait un épais filet blanc. Elle se mit à lécher du bout de la langue le sperme de son compagnon encore tiède. Elle s’appliqua d’abord doucement à récolter le liquide puis pris à pleine bouche la chatte de sa partenaire, qui se cambrait sous les adroites sucions de son esclave.
Domina traîna Audrey vers le carcan. Elle installa la tête et les poignées sur l’appareil et le referma pour la maintenir immobile.
- Fais-lui un anulingus !
Jamais le couple n’avait effectué ce genre de pratique mais Sébastien s’appliqua à lécher l’anus de sa femme et semblait y prendre du plaisir. Quant à Audrey ses mouvements de bassin et son souffle saccadé indiquaient qu’elle aimait beaucoup.
La Maîtresse repoussa son jeune esclave et introduisit avec délicatesse un doigt dans l’anus de la jeune femme qui fût surprise. Après un temps de va-et-vient, Domina se saisit d’un plug anal lubrifié et avec beaucoup d’assurance l’introduisit dans le cul d’Audrey qui savoura de sentir cet objet en elle. Le plug anal se mit à vibrer .
- Baise ta femme ! ordonna Domina à Sébastien.
Le jeune homme pénétra sa femme et frissonna en ressentant les vibrations du sextoy sur son sexe à travers la fine parois vaginale.
Après plusieurs minutes de plaisir, Domina retira le plug et intima :
- A toi, encule ta femme !
Le jeune homme se sentait hésitant.
- Vas-y mon chéri, j’ai envie de te sentir en moi.
Ainsi encouragé il présenta son sexe à l’entrée de l’anus d’Audrey que Domina avait largement lubrifié. Elle empoigna le sexe et appuya le gland avec douceur mais fermeté pour le faire pénétrer le petit trou de la jeune femme. Après quelques poses et avancées prudentes il se mit à faire des mouvements de bassin pour imprimer des aller-retour. Sa femme respirait fortement, savourant de le sentir pleinement en elle. En effet, elle se sentait rempli, profondément pénétrée, plus intensément que dans le vagin. Quant à Sébastien, il prenait plaisir à sentir sa queue très serrée au niveau du sphincter.
Domina s’installa sur le lit, écarta les jambes pour se caresser en admirant le spectacle.
Alors que le rythme de l’homme était lent, la banquière lui ordonna :
- Baise là plus fort ! Elle a envie de faire éclater le cul !
Sébastien augmenta le rythme. Son pubis claquait maintenant sur les fesses de sa femme. Audrey apprécia d’être prise plus sauvagement, attachée et complètement vulnérable, et exprima son plaisir par des gémissements plus intenses.
La banquière faisait rouler son clitoris sous ses doigts, les introduisait dans sa chatte, les léchait. Elle sentait l’orgasme monter en elle.
Soudain, le jeune homme poussa un puissant râle de plaisir et déchargea tout son foutre dans le cul de sa femme. En ressentant les jets de spermes inonder son rectum, Audrey fût prise d’un puissant orgasme, ses gémissements furent aussi intenses que les contractions dans son ventre.
Voyant ses deux esclaves jouir ainsi, se fût au tour de Domina d’être envahit par un puissant plaisir qui irradia dans tout son corps.
Elle se leva pour libérer Audrey qui avait du mal à reprendre son souffle. Tous les trois se rhabillèrent en silence.
A la porte d’entrée, Mme Ancel dit à Sébastien avec un regard aguicheur :
- A la semaine prochaine, même jour, même heure.
- Oui Madame.
- Au départ je ne pensais profiter de ton seul mari, mais tu es la bienvenue aussi. J’ai pris beaucoup de plaisir avec toi, ajouta la banquière à l’intention d’Audrey.
Cette dernière ne dit rien, et se contenta d’un sourire.
Dans la rue, le couple avait mal partout. Ils ne parvenaient pas à réaliser ce qu’il s’était passé mais avaient adoré dépasser leurs limites et étaient l’un comme l’autre pressés de recommencer. Rembourser ce prêt allait leur procurer beaucoup de plaisir.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aurais aimé qu'il y ai plus de monté en érotisme!
Je trouve ce texte bien écrit mais court!!!
Je trouve ce texte bien écrit mais court!!!
On aimerait tous avoir une banquière semblable!
Récit bien écrit et excitant a souhait, on rêve tous d'une banquière semblable!