La convalescente

- Par l'auteur HDS Georges -
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La convalescente Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-04-2016 dans la catégorie Plus on est
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La convalescente
J’ai vingt huit ans et j’émerge d’une longue et douloureuse maladie, malgré le soutient absolu de mon mari j’ai tendance à sombrer dans la dépression,
Je me rhabille dans la chambre, le docteur vient de m’examiner et il discute avec mon époux dans le couloir, malgré la porte fermée j’entends tout ce qui ce dit

- Surveillez là bien, je vais lui ordonner des remontants euphorisants mais il risque d’y avoir des effets secondaires
- De quels genres ?
- Sexuel …le sexe est une très bonne thérapie en ce qui concerne votre épouse, elle risque de vouloir satisfaire des fantasmes enfouis au fond d’elle-même
- Ah si ce n’est que cela ! je me sens capable d’affronter ses vieux démons
- N’en soyez pas si sûr …. Ce médicament est l’équivalent du viagra pour les hommes, surveillez là ne lui refusez rien, essayez de faire face, je la revois dans un mois
- Je vais de suite a la pharmacie
- Un le matin un le soir, commencez dés ce soir

Ça veut dire que je vais avoir ‘très’ envie de baiser ? ‘avant’ j’adorais ça mais mon mari était loin de combler mes envies alors comment pourrait-il faire si ma chatte se déchaine, le soir même j’ai avalé une de ces gélules, lorsque que je me suis couchée une étrange chaleur m’a irradiée tout le corps

- Adrien, qu’est-ce qui m’arrive ? j’ai chaud
- Ce doit être l’effet du médicament, ôte ta nuisette j’adore quand tu es nue, tu es belle chérie
- Tu dis ça pour me faire plaisir ?
- Et ‘ça’ ? c’est du chiqué ?
- Tu bande ? je te fais toujours envie ? …. OOhhh ça me picote entre les jambes … baise-moi chéri de suite
- Sans préliminaires ?
- Pas besoin... enfile-moi vite ta queue

Je me positionne sur le coté une jambe relevée et repliée, Adrien se colle a moi et me prend la chatte mécaniquement jusqu'à décharger, je n’ai pas joui mais ça m’a apaisée, je m’endors paisiblement, au petit jour ma vulve me titille encore, j’avance une main vers l’entrejambe de mon mari qui ronfle encore, je m’empare de sa verge, elle grossit rapidement dans ma main, je prends la même position que la veille et m’enfile le braquemart dans le con comme la veille
Adrien marmonne qu’il est fatigué mais me baise correctement, sans plus, c’est à peine si j’ai ressenti du sperme couler de son gland, il se lève pour aller bosser, je reste à flemmarder une heure quand ma moule se réveille encore
Je me précipite dans la salle de bain afin d’essayer d’apaiser cette envie foudroyante, bien calée en tailleur au fond de la baignoire j’examine ma chatte a l’aide du miroir grossissant, elle est rose foncé, ainsi grossie elle ressemble a une fleur carnivore qui palpite en attendant de saisir ce qui la rassasiera, mon doigt ramène des glaires épais qui font un fil entre mes lèvres dilatées encore souillées du sperme d’Adrien

Je passe une main au dessus de mon épaule et saisi le flacon de gel douche de forme oblongue qui fera office de verge conjugué avec le jet dru dirigé sur mon clito, ces artifices ont eus raison de ce soudain besoin de sexe et m’ont fait jouir comme une chienne en rut
Vers dix heures la gélule du matin fait son effet… ma chatte réclame son dut, que vais-je m’enfiler dans le vagin ? tout en réfléchissant dans le salon je m’appuie a une chaise, une chaise de la salle a manger ancienne de ma grand-mère, cette chaise a pour particularité de posséder deux boules en haut du dossier, deux boules vernies énormes que je caresse de ma paume … mais bien sûr ! c’est décidé, c’est ça qu’il me faut, j’y avais déjà pensé il y a longtemps mais j’avais peur de me blesser et surtout comment faire ? cette fois la technique m’apparais clairement, je réuni deux chaises cote-a-cote , je me débarrasse de mes chaussures et de ma culotte déjà gluante, remonte ma robe a ma taille, je prélève de la cyprine entre mes lèvres que j’étale de mes doigts sur le haut de la boule, ceci fait je monte un pied dans chaque sièges et me positionne au dessus de ce gode improvisé, je plie les genoux jusqu’à entrer en contact avec le bois précieux, précieux par l’essence mais aussi pour son utilité !
Mes lèvres pelviennes épousent l’arrondi, le passage s’ouvre lentement comme pour un accouchement, c’est trop gros … NON ! je ne vais pas renoncer ! je crache dans mes doigts en enduit copieusement l’entrée de ma vulve en feu, en ondulant du bassin je réussi a arriver au plus grand diamètre de la bite factice, j’hésite …il suffit d’une pression supplémentaire pour passer outre, pourrais- je me retirer ? au diable, je me laisse choir, mes lèvres se referment sur la boule, c’est terrible comme sensation, j’exerce de pressions de haut en bas, je baise avec la chaise ! petit a petit, aidée par ma lubrification naturelle la boule fait sa place dans ma cavité de chair, je la déplace dans mon vagin en serrant les muscles du sphincter, l’orgasme monte, puissant, inévitable, au moment suprême je me cramponne des deux mains pour ne pas chuter sur le carrelage, essoufflée, la sueur coule sur mes yeux, la mouille sur le dossier, je tire sur mes jambes pour me désunir de cet amant fabuleux, un flop de bouteille débouchée accompagne la séparation

Avant d’essuyer méthodiquement le bois souillé je le lèche par reconnaissance ! j’adore mon suc intime, a midi, par souci pour mon état Adrien rentre déjeuner, il me trouve en robe de chambre entièrement nue dessous… il n’aurait pas dut vérifier … je lui ai sauté dessus pour m’enfiler sur sa bite

- Qu’a tu fais a ta chatte ? je la trouve bien caverneuse ? avec quoi t’es-tu ‘amusée’
- Un ustensile de cuisine puisque tu n’étais pas là pour me prendre
- Matin, midi et soir ? tu vas me crever chérie !
- Le docteur t’as dit de ne rien me refuser
- Tu n’as pas d’autre envies par hasard ?
- Si bien sûr...
- Le, où lesquels ?
- J’aimerais voir des verges …
- Seulement les voir ?
- Peut-être les regarder se masturber ?
- Je ne veux que ton bonheur chérie, c’est faisable le soir dans les parcs, les grilles sont fermées mais il existe des passages dans le grillage
- Sucer c’est tromper pour toi ?
- La prochaine question c’est ‘et baiser’ ?
- Non chéri, pour l’instant je me contenterais de toucher
- Et te faire toucher sans doute ?
- Seulement si tu y consens
- Ce soir prépare-toi pour une petite sortie nocturne
- Je mets une culotte ?
- Inutile, il fait chaud habille toi léger, si nous ne voyons personne c’est moi qui prendrais ma chaudasse le long d’un arbre
- Chic ! a ce soir chéri
- N’oublie pas ta gélule
- Certainement pas !

Nue sous une robe boutonnée devant c’est ainsi que nous nous somment rendus dans les parcs où certains recoins sont réputés très hot, blottie contre mon mari qui me palpe une fesse en marchant d’un pas lent, a voir sa braguette de short gonflée il n’a certainement pas mis de slip, son sexe peut se développer sans contraintes

- Allons par là, c’est bon il fait clair de lune, n’ai pas peur si tu vois un ou des hommes sortir des lauriers la bite a la main
- Je n’ai pas peur
- Tu es excitée ?
- Ça commence …
- Je peu avoir la primeur de toucher ?
- Si tu veux Adrien, je te dois bien ça
- Je dois te faire un aveu...
- Lequel ?
- Avant de venir j’ai pris une de tes gélules
- T’es sérieux ?
- J’ai l’impression qu’elle me faite effet, je bande et j’ai envie de baiser n’importe quoi et n’importe qui
- Assoyons-nous sur ce banc
- Déboutonne ta robe jusqu'à la taille et ouvre les genoux…. Mmmuuuuummmmmmmm, que tu es bandante !
- Tu aurais dut t’en apercevoir avant non ?
- Je suis d’accord et je fais mon mea-culpa, blottie toi contre moi je te dirais si des gars se manifestent

Je sens sa queue donner des coups sous ma main, je dois faire des efforts pour ne pas lui sortir du short et me la mettre dans le minou, soudain j’entends en même temps que mon mari des crissements de pas sur les graviers

- Ils arrivent... ne bouge pas laisse moi dégager ta robe sur tes seins pour les appâter
- Je mouille d’impatience mon amour
- Ils sont en face dans l’ombre, que veux-tu faire ?
- D’abord les regarder se branler
- Je distingue des mains qui s’agitent...
- Combien ?
- Trois il me semble, traverse l’allée
- Tu me protège hein ?
- A toi de prendre les risques que tu désire, je n’interviens qu’en cas de brutalité
- Ça va j’assume, ne me perd pas de vue surtout

Je me retourne face a mes voyeurs, ils sont ‘acceptables’ sans plus, ma robe est toujours dépattée jusqu’à mon nombril, ma chatte est parfaitement éclairée par la lune, effectivement je vois des mains manipuler des verges dont je ne peux évaluer les mensurations a cette distance, malheureusement les mouvements cessent face a ma présence déterminée, pour les rassurer je passe lascivement une main entre mes cuisses, je fais un pas, l’un d’eux reprend sa masturbation, très vite suivit par ses potes, j’avance pas a pas, il me reste trois mètres a faire, suffisamment pour voir distinctement les manches décalottés en cadence

- Restez sage et je viens prés de vous
- Ton mec n’est pas jaloux ?
- Mon mari veut simplement assister
- Montre-toi … ouvre ta robe et nous recommençons a nous branler
- Voilà …

Les deux pans de ma robe écartés je masse ma poitrine d’une main et ma chatte de l’autre, les gars s’astiquent de plus belle, soudain j’ai une envie irrésistible de toucher leurs membres raides, je fais les deux pas qui me séparent d’eux sans me soucier de ce que peut penser mon mari, l’une d’entre-elles me fascine, son champignon décalotté est bien plus gros que le reste de la hampe qui lui-même est plus long que celui d’Adrien, un goupillon qui doit divinement ramoner un vagin

- Je peux ?
- Prend là dans ta main, à condition que tu me laisse palper tes seins
- Allez-y
- Nous pouvons aussi ?
- Bien sur, touchez-moi partout
- Arrête de me pignoler, suce moi
- J’allais le faire …. Muuuummmm elle est bonne
- Pompe moi ma belle

J’embouche voracement le gland et tire dessus pour en extraire le sperme au plus vite, évidement me baisser contrarie les caresses des deux autre qui passent derrière moi pour me débarrasser de ma robe et me toucher entre les cuisses, mes deux trous sont sollicités, des exclamations de joie accueillent la découverte de mon vagin dégoulinant, ‘on’ me débarrasse de ma robe devenue encombrante et inutile

- Elle a envie de baiser la salope
- Attendez vous deux, elle a choisi ma bite pour que je lui passe le premier dessus, surveillez le mari …
- Tu sais bien que les nanas ne me branchent pas !
- Fait-toi le mari !
- Rassurez vous je ne suis pas là pour vous empêcher de satisfaire ma femme, au contraire vous me rendez service, seul, je ne peux plus faire face a ses exigences alors je cherche des partenaires

Soulagée par cette affirmation je me place de façon à ce qu’Adrien ne rate rien de ce qui va suivre, la queue ravage mes amygdales, je le branle énergiquement tout en lui pressant les bourses, j’ai envie de comparer le goût de son foutre avec celui dont je suis habituée, un pied repousse l’un des miens sans ménagement afin que ma fourche soit ouverte, des doigts nerveux massent ma vulve ce qui ne plait pas a celui que j’ai dans la bouche

- Je t’avertis, ne la baise pas avant moi !
- Je te prépare le terrain avec mes doigts !, elle est à tordre, voyons voir son cul …a mon avis elle aime aussi de ce coté ! occupe-toi du mari Dudule !
- Je peux vous caresser monsieur ?
- Je n’ai jamais essayé, mais je ne suis pas contre
- Alors sort ta queue je vais te sucer
- OK …

Je ne le crois pas ? Adrien se fait sucer ? après tout ça me laissera une marge de manœuvre s’il est occupé ailleurs !, un râle prolongé annonce l’éjaculation de mon acolyte, j’avale consciencieusement jusqu’à la dernière goutte, a peine le temps de me relever en m’essuyant le menton qu’il me fait prendre appuis sur un gros marronnier, j’ai croisé le regard fuyant de mon mari gêné de se faire sucer en ma présence
Moi ça ne me gène pas de cambrer mon cul afin de l’offrir a mon amant qui se prépare déjà à m’enfiler, ceci fait sans peine tellement ma moule est ouverte et gluante il me saisit par les hanches pour me secouer, mes seins ballottent en tous sens, des paroles étouffées mais compréhensibles, c’est celles de mon mari en extase qui se soulage dans la gorge de l’homme qui grommèle de satisfaction

- Tu as aimé hein ?
- Je dois admettre que oui
- Alors baisse ton short
- Pour quoi faire ?
- Je vais m’amuser avec ton cul
- D’accord, j’ai envie te tenter cette expérience
- Regarde ta femme se faire troncher, quelle salope ! c’est aussi sa première expérience ?
- Oui, c’est une longue histoire mais je dois la laisser exaucer tous ses caprices sexuels
- Penche-toi sur l’arbre a coté de ta femme

Ce n’est pas banal comme situation, l’homme et sa femme appuyés sur le même arbre pour se faire emmancher par des inconnus ! complètement confortée je me donne totalement, celui qui reste sur la touche me tend désespérément sa bite à sucer ce que je fais de bon cœur, je lâche l’arbre pour me tenir a sa taille, prise par la chatte et la bouche je vogue dans une totale lubricité , Adrien après avoir poussé des cris de douleurs aux premiers va-et vient qui se transforment vite par des encouragements a l’intention de son amant ! la bouche pleine je ne puis que bramer et donner des coups de culs afin de me faire pénétrer jusqu’aux couilles a me faire péter la chatte

- Attention ! ça vient...
- Moi aussi !
- JE DÉCHARGE !

Dans un ensemble parfait nos amants se lâchent dans nos orifices, terrassée par d’innombrables orgasmes je me laisse tomber à genoux sans compter que son copain veux me baiser à son tour…je me mets docilement en position … tandis qu’Adrien se prépare à sodomiser son partenaire

Les envies de suicide sont loin ! mais pas question que mon mari me prive de ces précieuses gélules !

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Si seulement j'avais un de ces parcs près de chez moi !

Histoire Libertine
Très belle histoire fort excitante. Si mon homme pouvait être aussi ouvert d'esprit, je serais la femme la plus heureuse du monde!
Bisous

Histoire Erotique
hummm excellente elle m'a fait bander ton histoire



Texte coquin : La convalescente
Histoire sexe : Une rose rouge
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