La ferme aux surprises : chambre d’hôte 2
Récit érotique écrit par Ensemble [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-01-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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La ferme aux surprises : chambre d’hôte 2
La ferme aux surprises : chambre d’hôte 2- Si tu veux, je prépare un petit en cas, elle le laisse et se dirige vers la cuisineMaurice se dirige vers sa chambre, y entre, se dirige vers une porte fermée à clé, y entre, une pièce, une grande table, 3 écrans, il peut voir tout ce qui se passe chez lui, dans la chambre d’hôte, le hangar …………Maurice passe d’un écran à un autre, il est dans la grange, remarque Julien, fait un zoom et remarque qu’il a une main dans son pantalon, ce qui le fait sourire en se disant que Géraldine a fait un méchant effet au petit, puis change d’écran, se promène dans l’appartement des jeunes, Géraldine est en train de ranger leurs affaires, puis se dirige vers la salle de bain, installe les affaires de toilettes, se regarde dans la glace, ouvre un peu plus son chemisier, puis se retourne et se dirige vers les toilettes, alors Maurice zoom pleinement, Géraldine baisse son short, puis sa petite culotte et apparaît une toison blonde, une vraie blonde, un pubis pas très fourni, elle se baisse, s’assoit sur la cuvette, les jambes écartées, elle regarde le jet de son urine et naturellement n’en manque pas une, tant au niveau de la belle petite chose et du bruit de son jet d’urine, une fois terminé elle découvre un petit tuyau, le regarde, puis saisit du papier toilette qu’elle passe sur sa vulve, se relève remonte sa culotte puis son short, tire la chasse et sort des toilettes, Maurice la suit dans l’appartement, elle visite, à ce moment là Julien entre et s’adressant à Géraldine« alors comment tu trouves notre appartement »« Superbe, on va être très bien, mais je ne comprends pas pourquoi il y a un tuyau aux toilettes, il faudra que je demande à Geneviève, mais discrètement et si tu voyais le bidet, il est vachement moderne, viens voir », ils se dirigent tous les deux vers la salle bain et regarde ce bidet, ils sont très surpris, des robinets, un tuyau et Julien s’adressant à Géraldine« je suppose que ces pour les femmes, puis il la saisit par la taille, l’entraine dans la chambresa main se pose sur ses fesses, Géraldine le regarde en lui disant « je te vois venir, mais pas maintenant, il va falloir se préparer , il est bientôt 1 heure, pour aller manger », Julien lui saisit la main, la pose sur la bosse de son pantalon « et bien dit donc, tu as une véritable envie, je suis désolée, tu veux que je te soulage rapidement », elle lui baisse le pantalon, puis son boxer, son sexe bondit, tendu, une belle petite queue (pense Maurice, un peu longue mais pas très épaisse), alors Géraldine saisit le sexe, le décalotte bien, pose un baiser dessus, puis un coup de langue et rapidement le fait entrer dans sa bouche, elle ne bouge plus, Julien serre les fesses, pousse de petits cris, ses mains se posent sur la tête de Géraldine, brusquement elle se retire, saisit le sexe dans sa main, le masturbe énergiquement quelques secondes et Julien pousse un grognement et se vide sur le sol, elle le regarde, lui sourit en lui disant « j’espère que tu as bien aimé »,« oh que oui, mais j’aurais bien aimé me vider en toi », « je te l’ai dit nous n’avions pas le temps, bon maintenant on va se préparer, nous avons 15 jours devant nous, alors un peu de patience petit cochon »Maurice n’en a pas perdu une seconde, pense que Julien doit être un éjaculateur précoce et pense à Géraldine, une gamine adorable…..
- Maurice quitte sa pièce et va rejoindre Geneviève, la table est dressée, elle finit de préparer une entrée, il passe derrière elle, se colle fermement contre ses fesses en lui saisissant les seins, elle sursaute en lui disant« dis donc je sens une grosse bosse contre moi »« ah bon, elle te plait »« a ton avis, mais je crois que nous n’avons pas le temps pour l’instant, on verra après le repas »Maurice descend une main entre les cuisses de Geneviève, la caresse à travers sa culotte« mais dis donc elle est mouillée, c’es Julien ou Géraldine qui te donne des idées »« Les deux, pour Julien ce sera plus rapide, il en a vie, pour Géraldine il faudra que j’y aille plus lentement »« Tu me la prépareras en douceur, SAM à l’air d’aimer son odeur, il aimerait bien mettre son museau entre ses cuisses et lui lécher la chatte, comme mi et toi aussi, no »« naturellement et j’aimerais bien qu’elle connaisse la jouissance avec la langue d’un chien, SAM est un expert, tu l’as bien dressé, cochon »A ce moment là on frappe, Maurice abandonne Geneviève- Oui, entrez- Géraldine et Julien entre, elle à mis une petite jupe blanche, en haut un chemisier de la même couleur, les cheveux libres, elle est magnifique, Julien un jean noir avec un tee-shirt blanc très ample- Alors Maurice s’adresse à eux, « alors bien installé, il ne vous manque rien, j’ai oublié de vous dire que pour le petit déjeuner vous pourrez le prendre sous la tonnelle à côté, à partir de 8h, sauf si vous souhaitez plus tôt pour aller vous balader, il n’y a pas de problème »« Venez vous assoir sur la banquette, on va prendre un rafraîchissement avant de passer à table, jus de fruit, ou de l’alcool, comme vous voulez, j’ai du vin doux que je fais moi-même, du pastis, whisky »- Géraldine, « je voudrais bien du vin doux »- Julien, « pour moi un pastis léger »- Maurice se lève va chercher des verres, revient les déposer sur la table basse, en profite pour regarder les jambes de Géraldine, sa jupe mi cuisses, repart chercher les bouteilles et commence le service pendant que Geneviève dépose des amuses gueules sur la table, il fait le service, tend son verre à Géraldine en la regardant droit dans les yeux, ce qui la fait rougir, tend son verre à Julien, puis va s’assoir dans un fauteuil face à Géraldine, Geneviève fait de même face à Julien qui ne la quitte pas des yeux, alors Maurice lève son verre« bienvenu à vous deux, en espérant que vous vous plairez et que vous passerez un agréable séjour et si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis là sans oublier Geneviève, la porte est toujours ouverte, alors vous pouvez entrer »Pendant la discussion, SAM entre, Maurice le regarde, en souriant, « voilà mon chien de garde, il va surement essayer de glaner des petites friandises », alors il se dirige vers la banquette, passe entre Géraldine et Julien, Géraldine, lui passe la main sur le dos, fait demi tour, revient vers elle, lui tend un petit biscuit qu’il avale d’un coup, puis pose sa tête sur les cuisses de Géraldine, qui n’ose plus bouger, alors Maurice lui dit « je crois qu’il vous a adopté, vous lui plaisez beaucoup, il ne va plus vous quitter, mais ne vous laissez pas faire », Géraldine lui gratte la tête, alors SAM glisse son museau entre les cuisses de Géraldine, qui sursaute en lui disant « SAM ça ne se fait pas, lui fait un bise sur sa tête, il relève et lui donne un coup de langue sur ses lèvres, ce qui la fait rire », alors SAM se retire et à ce moment là Géraldine à les cuisses un peu écartée et découvre un shorty blanc, elle remarque le regard de Julien, ce qui la fait rougir et resserre lentement ses cuisses, Maurice lui sourit.
Pendant ce temps là Julien n’a pas quitté un seul instant Geneviève des yeux, naturellement elle a regardé son manège et décide de l’exciter un peu pour voir sa réaction, alors elle se rapproche du bord du fauteuil, se penche pour saisir une petite tomate et là Julien plonge dans son décolleté et remarque qu’elle n’a pas de SG et voit un sein qui lui semble ferme, elle se relève, s’enfonce dans le fauteuil, sa robe s’ouvre à mi cuisse et découvre sa culotte noire, Julien en profite pleinement, Geneviève le regarde, lui sourit, puis se lève en disant « quand vous voulez, nous pouvons passer à table »Maurice place les invités, Julien face à Geneviève et Géraldine face à lui, tout le monde s’installe, tout le monde discute, Julien toujours plongé dans le décolleté de Geneviève, le repas se passe bien, à la fin Geneviève se lève, va chercher des fruits puis les pose sur la table, Géraldine a pris des couleurs, Maurice lui sourit, le repas terminé Geneviève dessert la table, Géraldine lui donne un coup de main, charge la machine à laver, elles discutent toutes les deux, rient, Julien à repris a place sur la banquette, Maurice dans son fauteuil, Géraldine les rejoint, Geneviève la suit et dépose le café sur la table basse, la discussion reprend sur les ballades, Julien en profite pour parler de la location« Mr Maurice, comment fait on pour la location »« Ne vous inquiétez pas, profitez de vos vacances, on en reparlera à la fin de votre séjour »« comme vous voulez, je vous remercie »Géraldine se lève, s’excuse, elle se sent fatiguée, elle les laisse tous les trois, SAM la suit ce qui fait rire tout le monde, au bout d’un moment Geneviève se lève et s’adressant à Maurice« Je vais à la bergerie donner de l’eau aux chèvres et voir si tout va bien, après il faut que je vous vois »« Pas de problème »Julien s’adressant à Geneviève « je peux venir avec vous »« Si vous voulez, fait un sourire à Maurice » et sortent tous les deux, Maurice se précipite dans sa chambre, ouvre son bureau et regarde ses écrans, il retrouve Géraldine dans la pièce à vivre, SAM la suit, il ne la lâché pas, elle se retourne, lui donne une caresse sur la tête, se laisse faire et brusquement il plonge son museau sous sa jupe, elle est surprise, elle est bloquée contre le mur, elle essai de le retirer, mais il est puissant, elle serre les jambes, (Maurice sourit, n’en perd pas une), elle sent sa truffe et sa langue sur son shorty, elle lui parle, « arrête SAM, faut pas, arrête, faut pas, tu es un cochon », elle ne peut rien faire elle est bloquée contre le mur, elle sent la langue de SAM qui la lèche, elle est trempée, finalement il se retire, il se met sur ses pattes arrière, ses pattes l’enserrent et commence à s’agiter contre la cuisse de Géraldine, elle sent quelque chose d’humide contre sa cuisse, SAM lui donne des coups de langue sur le visage, sa poitrine est écrasée contre lui, au bout d’un moment il la lâche et Géraldine son sexe énorme, elle à peur, finalement il sort et la laisse là, respire rapidement, puis retire son chemisier et sa jupe, puis sa culotte, se précipite dans la chambre et se jette sur le lit et ne bouge plus.
- Maurice découvre ses petites fesses, il aimerait tant les ouvrir et lécher cette rondelle et cette chatte. Il change d’écran recherche Geneviève et Julien, les trouve en train de donner de l’eau aux chèvres, il entend Julien parler à Geneviève« Je suis désolé pour ce matin, je n’aurais pas dû vous dire ce que je vous ais dit »« vous savez les compliments font toujours plaisirs à une femme »« j’en suis ravi, mais vous savez vous êtes belle »« Merci Julien, mais vous savez il faut penser à Géraldine et je pourrais être votre mère »« Je sais, je peux vous poser une question ? »« oui bien sûr, »Julien s’avance vers elle, la regarde, il est à 50 cm delle« aimeriez vous que je vous touche, là ? »elle le regarde, lui sourit« vous pouvez toujours essayer, vous verrez »Julien surpris, tend sa main sur le visage de Géraldine, le caresse, puis lui touche les cheveux, redescend sur son visage, passe un doigt sur ses lèvres, elle ne bouge pas, le regarde, sa main descend sur l’échancrure de sa robe, puis effleure un sein, insiste, elle ne bouge toujours pas, alors sa main descend sur son ventre, puis arrive au niveau de ses cuisses, sa robe est ouverte, il se faufile sent sa peau, puis arrive à sa culotte, elle le laisse faire, alors sa main se faufile entre les cuisses de Geneviève, force un peu le passage, elle écarte un peu les jambes, en lui disant« Julien, vous êtes très pressé, trop pressé, en amour il faut du temps, des préliminaires, il vous fat apprendre la femme, son corps, ses sensations, ses envies et tout en parlante elle tend la main sur le devant du jean de Julien, il y a une grosse bosse là, vous avez envi »« oui »« alors faites ce que je vous dis » …….
- Maurice quitte sa pièce et va rejoindre Geneviève, la table est dressée, elle finit de préparer une entrée, il passe derrière elle, se colle fermement contre ses fesses en lui saisissant les seins, elle sursaute en lui disant« dis donc je sens une grosse bosse contre moi »« ah bon, elle te plait »« a ton avis, mais je crois que nous n’avons pas le temps pour l’instant, on verra après le repas »Maurice descend une main entre les cuisses de Geneviève, la caresse à travers sa culotte« mais dis donc elle est mouillée, c’es Julien ou Géraldine qui te donne des idées »« Les deux, pour Julien ce sera plus rapide, il en a vie, pour Géraldine il faudra que j’y aille plus lentement »« Tu me la prépareras en douceur, SAM à l’air d’aimer son odeur, il aimerait bien mettre son museau entre ses cuisses et lui lécher la chatte, comme mi et toi aussi, no »« naturellement et j’aimerais bien qu’elle connaisse la jouissance avec la langue d’un chien, SAM est un expert, tu l’as bien dressé, cochon »A ce moment là on frappe, Maurice abandonne Geneviève- Oui, entrez- Géraldine et Julien entre, elle à mis une petite jupe blanche, en haut un chemisier de la même couleur, les cheveux libres, elle est magnifique, Julien un jean noir avec un tee-shirt blanc très ample- Alors Maurice s’adresse à eux, « alors bien installé, il ne vous manque rien, j’ai oublié de vous dire que pour le petit déjeuner vous pourrez le prendre sous la tonnelle à côté, à partir de 8h, sauf si vous souhaitez plus tôt pour aller vous balader, il n’y a pas de problème »« Venez vous assoir sur la banquette, on va prendre un rafraîchissement avant de passer à table, jus de fruit, ou de l’alcool, comme vous voulez, j’ai du vin doux que je fais moi-même, du pastis, whisky »- Géraldine, « je voudrais bien du vin doux »- Julien, « pour moi un pastis léger »- Maurice se lève va chercher des verres, revient les déposer sur la table basse, en profite pour regarder les jambes de Géraldine, sa jupe mi cuisses, repart chercher les bouteilles et commence le service pendant que Geneviève dépose des amuses gueules sur la table, il fait le service, tend son verre à Géraldine en la regardant droit dans les yeux, ce qui la fait rougir, tend son verre à Julien, puis va s’assoir dans un fauteuil face à Géraldine, Geneviève fait de même face à Julien qui ne la quitte pas des yeux, alors Maurice lève son verre« bienvenu à vous deux, en espérant que vous vous plairez et que vous passerez un agréable séjour et si vous avez besoin de quoi que ce soit, je suis là sans oublier Geneviève, la porte est toujours ouverte, alors vous pouvez entrer »Pendant la discussion, SAM entre, Maurice le regarde, en souriant, « voilà mon chien de garde, il va surement essayer de glaner des petites friandises », alors il se dirige vers la banquette, passe entre Géraldine et Julien, Géraldine, lui passe la main sur le dos, fait demi tour, revient vers elle, lui tend un petit biscuit qu’il avale d’un coup, puis pose sa tête sur les cuisses de Géraldine, qui n’ose plus bouger, alors Maurice lui dit « je crois qu’il vous a adopté, vous lui plaisez beaucoup, il ne va plus vous quitter, mais ne vous laissez pas faire », Géraldine lui gratte la tête, alors SAM glisse son museau entre les cuisses de Géraldine, qui sursaute en lui disant « SAM ça ne se fait pas, lui fait un bise sur sa tête, il relève et lui donne un coup de langue sur ses lèvres, ce qui la fait rire », alors SAM se retire et à ce moment là Géraldine à les cuisses un peu écartée et découvre un shorty blanc, elle remarque le regard de Julien, ce qui la fait rougir et resserre lentement ses cuisses, Maurice lui sourit.
Pendant ce temps là Julien n’a pas quitté un seul instant Geneviève des yeux, naturellement elle a regardé son manège et décide de l’exciter un peu pour voir sa réaction, alors elle se rapproche du bord du fauteuil, se penche pour saisir une petite tomate et là Julien plonge dans son décolleté et remarque qu’elle n’a pas de SG et voit un sein qui lui semble ferme, elle se relève, s’enfonce dans le fauteuil, sa robe s’ouvre à mi cuisse et découvre sa culotte noire, Julien en profite pleinement, Geneviève le regarde, lui sourit, puis se lève en disant « quand vous voulez, nous pouvons passer à table »Maurice place les invités, Julien face à Geneviève et Géraldine face à lui, tout le monde s’installe, tout le monde discute, Julien toujours plongé dans le décolleté de Geneviève, le repas se passe bien, à la fin Geneviève se lève, va chercher des fruits puis les pose sur la table, Géraldine a pris des couleurs, Maurice lui sourit, le repas terminé Geneviève dessert la table, Géraldine lui donne un coup de main, charge la machine à laver, elles discutent toutes les deux, rient, Julien à repris a place sur la banquette, Maurice dans son fauteuil, Géraldine les rejoint, Geneviève la suit et dépose le café sur la table basse, la discussion reprend sur les ballades, Julien en profite pour parler de la location« Mr Maurice, comment fait on pour la location »« Ne vous inquiétez pas, profitez de vos vacances, on en reparlera à la fin de votre séjour »« comme vous voulez, je vous remercie »Géraldine se lève, s’excuse, elle se sent fatiguée, elle les laisse tous les trois, SAM la suit ce qui fait rire tout le monde, au bout d’un moment Geneviève se lève et s’adressant à Maurice« Je vais à la bergerie donner de l’eau aux chèvres et voir si tout va bien, après il faut que je vous vois »« Pas de problème »Julien s’adressant à Geneviève « je peux venir avec vous »« Si vous voulez, fait un sourire à Maurice » et sortent tous les deux, Maurice se précipite dans sa chambre, ouvre son bureau et regarde ses écrans, il retrouve Géraldine dans la pièce à vivre, SAM la suit, il ne la lâché pas, elle se retourne, lui donne une caresse sur la tête, se laisse faire et brusquement il plonge son museau sous sa jupe, elle est surprise, elle est bloquée contre le mur, elle essai de le retirer, mais il est puissant, elle serre les jambes, (Maurice sourit, n’en perd pas une), elle sent sa truffe et sa langue sur son shorty, elle lui parle, « arrête SAM, faut pas, arrête, faut pas, tu es un cochon », elle ne peut rien faire elle est bloquée contre le mur, elle sent la langue de SAM qui la lèche, elle est trempée, finalement il se retire, il se met sur ses pattes arrière, ses pattes l’enserrent et commence à s’agiter contre la cuisse de Géraldine, elle sent quelque chose d’humide contre sa cuisse, SAM lui donne des coups de langue sur le visage, sa poitrine est écrasée contre lui, au bout d’un moment il la lâche et Géraldine son sexe énorme, elle à peur, finalement il sort et la laisse là, respire rapidement, puis retire son chemisier et sa jupe, puis sa culotte, se précipite dans la chambre et se jette sur le lit et ne bouge plus.
- Maurice découvre ses petites fesses, il aimerait tant les ouvrir et lécher cette rondelle et cette chatte. Il change d’écran recherche Geneviève et Julien, les trouve en train de donner de l’eau aux chèvres, il entend Julien parler à Geneviève« Je suis désolé pour ce matin, je n’aurais pas dû vous dire ce que je vous ais dit »« vous savez les compliments font toujours plaisirs à une femme »« j’en suis ravi, mais vous savez vous êtes belle »« Merci Julien, mais vous savez il faut penser à Géraldine et je pourrais être votre mère »« Je sais, je peux vous poser une question ? »« oui bien sûr, »Julien s’avance vers elle, la regarde, il est à 50 cm delle« aimeriez vous que je vous touche, là ? »elle le regarde, lui sourit« vous pouvez toujours essayer, vous verrez »Julien surpris, tend sa main sur le visage de Géraldine, le caresse, puis lui touche les cheveux, redescend sur son visage, passe un doigt sur ses lèvres, elle ne bouge pas, le regarde, sa main descend sur l’échancrure de sa robe, puis effleure un sein, insiste, elle ne bouge toujours pas, alors sa main descend sur son ventre, puis arrive au niveau de ses cuisses, sa robe est ouverte, il se faufile sent sa peau, puis arrive à sa culotte, elle le laisse faire, alors sa main se faufile entre les cuisses de Geneviève, force un peu le passage, elle écarte un peu les jambes, en lui disant« Julien, vous êtes très pressé, trop pressé, en amour il faut du temps, des préliminaires, il vous fat apprendre la femme, son corps, ses sensations, ses envies et tout en parlante elle tend la main sur le devant du jean de Julien, il y a une grosse bosse là, vous avez envi »« oui »« alors faites ce que je vous dis » …….
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