La Pétra du Nil - histoire érotique

Après un bain dans ce qui ressemblait à une piscine mais devait avoir plus de 3000ans avec escalier pour entrer et sortir on est allé dormir sur la felouque. Coincée contre l'embarcadaire on ne sentait qu'à peine le passage des gros bâteaux de touristes si ce n'est par leur vague et la luminosité. On ne les voyait pas plus qu'eux. Nus on s'est allongés sur le pont mais sous la petite avancée qui protégeait du soleil. Entre nous il avait mis du charbon de bois et une fois enflammé, il a posé une casserole enduite de graisse et a mis dessus deux beaux steaks.
Du boeuf?
Il a ri. Non, tu vas goûter et je te dirais après. A l'odeur j'en salivais déjà. Il avait mis dans un grand plat des feuilles différentes d'herbes assaisonnées. Une fois servi il a bien vu à mon regard que j'aimais.
Ce sera ta première idée de notre cuisine, un steak de dromadaire avec la salade de ma composition et tu seras aussi gaillard que tout à l'heure. J'étais étonné par le succulence de cette viande. La nuit tombait, magique avec les étoiles et il a allumé une vieille lampe à pétrole, je voyais ses yeux briller à la lumière de la lampe. Demain Tu découvriras une autre des splendeurs oubliées par les gens comme toi. Rares sont encore les gens de nos âges à connaître ce lieu oublié. On a fait l'amour comme j'aime et comme j'ai compris que tu aimais . Là ou va t'emmener mon frère, tu sauras que le culte à cet amour ne date pas de ce jour.
Ton frère te ressemble?
Il a eu un sourire énigmatique, pas en tout mais tu verras bien!
Il a étalé un drap sur le pont puis une fois tout débarassé on s'est allongé dessus et il a soufflé la lampe . Nu sous un soleil pareil , lui que je ne connaissais que de si peu à coté de moi, un rêve! Las la fatigue m'a rattrapée et le soleil levant sur le Nil valait le spectacle et il n'y avait pas que le soleil qui se levait.
On a été pris d'un fou rire, nous étions tout les deux raides et même après avoir évacué l'urine du matin par dessus bord tels des mannken pis égyptiens pour la pose la raideur était continue. En bon invité des lieux j'ai pris les choses en bouche en m'agenouillant devant ce dieu vivant ne le lachant pas avant de recevoir son jus en bouche. J'ai craché par dessus bord. Lui s'est allongé et a pris ses pieds dans les mains montrant bien comme ça son envie . Je n'ai pas refusé une telle invitation et il m'a fort bien reçu, gémissant de plaisir tout le temps que j'ai mis avant de me retirer subitement, mêlant mon jus au sien qu'il avait laissé échapper. J'ai eu un sourire. Inutile de te demander si tu as aimé!
En effet question inutile, j'ai adoré ta queue comme je crois que tu as aimé la mienne. Il va falloir repasser à la piscine et surement s'isoler j'ai besoin et je ne crois pas que tu aimes faire ça en groupe. Tout en montant sur le quai je voyais ses fesses et j'ai été pris d'une idée curieuse.
Pourquoi ne pas faire ça face à face on pourra discuter en même temps.
Encore plus vicieux que je pensais tu vas adorer mon frère . Ok. Il s'est accroupi face à moi dans la même position. On a discuté de sa vie de ses amours tout en évacuant des matières pas trop odorantes. J'ai appris ainsi qu'il avait une femme, choisie par ses parents mais qu'il ne pénétrais pas encore, trop jeune, elle jouait encore.
Une fois terminé il a pris du sable pour s'essuyer les fesses à ma surprise, ça ne te fait pas mal?
Mais non le sable ici est si fin et en plus comme je fais comme ça depuis tout gamin tu as pu apprécier le fait que je n'ai pas de poils à cet endroit . Non?
Si mais j'ai cru que c'était naturel. J'ai pris du sable et l'ai passé entre mes fesses, en effet il était tellement fin que je n'ai rien ressenti si ce n'est un gratouillis léger.
Aller viens faire tes ablutions dans le bassin. L'eau, sans être froide était fraîche. Une fois lavés on est revenu à felouque. Je vais mettre le moteur on a un peu de chemin pour retrouver mon frère.
Une fois sorti de notre abri naturel on a retrouvé l'animation du fleuve. Pas mal de petits bateaux de pêcheurs , quelques felouques et deux gros hôtels flottant pour touriste. Je ne les enviais pas, préférant mon mode de visite. On avait remis les djellaba moi j'avais pas mis de slip dessous. On a remonté le fleuve pas mal avant qu'Abbdhu passe dans un des petits bras au courant plus rapide mais bien moins fréquenté. Il s'est engagé dans une crique avec des à-pics impressionants avant de se rabattre le long d'un quai immergé et de jeter sa pierre. On va l'attendre là.
Le long de la berge est apparu un ensemble de trois dromadaires, marchant de leur pas si caractéristique, majestueux. L'un était mené à la longe et sur les ordres du chamelier de tête Ils se sont agenouillés. Le deuxième est venu saluer Abbdhu d'une forte brassée avant de s'incliner main sur le coeur. Bonjour je suis Aziz et je vais te conduire dans un lieu que peu d'européens connaissent. Je sais par Abbdhu que tu pratiques l'amour des hommes. Je l'ai mieux regardé, il avait lui aussi une djellaba bleue un peu pllus sombre avec en pendentif un curieux scarabée à deux têtes.
Mais ... J'ai regardé Abbdhu, comment sait il?
Il a ri. Téléphone arabe puis en pouffant avec son frère il a sorti un téléphone satellite de la cabine, ça marche aussi très bien. Sans malice j'ai souris il m'avait eu!
Viens m'a dit Aziz là bas tu n'as besoin de rien. Il avait pris ma main dans la sienne, fort douce et m'a guidé au troisième dromadaire. J'ai demandé avant ce qu'allait faire Abbdhu .
Je vais pêcher et regarder l'eau couler, je t'attendrais.
Je n'étais jamais monté sur un dromadaire et c'est aidé par Aziz et une sorte de selle à l'arrière, pratiquement sur les pattes arrières que j'ai été élevé dans un mouvement de bascule quand il s'est relevé. Le chamelier n'avait pas dit un mot et dés qu'on a été en selle il a fait avancer notre petite caravane.La selle était curieuse, en cuir avec une armature de bois et une couverture dessous mais je sentais une petite protubérence, pas longue pour ne pas pénétrer mais assez large pour séparer les fesses. Le mouvement de balancier du dromadaire était fort semblable à celui d'un bateau en mer et ce petit truc m'excitait et je bandais visiblement sous la djellaba. Le chamelier nous a engagé dans une gorge resserrée Un peu comme à Pétra et la gorge après un long moment s'est ouverte sur une oasis mais sans apparemment d'autres accés tellement les falaises étaient abruptes. Notre arrivée a été remarquée et les habitants sont sortis de leur maison de pisée et de bois. Tous étaient nus et j'ai eu une peu honte de mon érection. Aziz a mis son dromadaire à ma hauteur. Je sais ce qui t'arrive et c'est la réaction que tout le monde a. Nous allons nous arrêter à la sortie de ce hameau et on continuera nu, les animaux ne passent pas.De honte mon sentiment s'est mué en exaltation, quelques uns nous ont suivis, de toutes couleur, du blanc hâlé au noir le plus sombre. Femmes et hommes m'observaient , les plus jeunes surtout que je supposaient plus curieux . On a fait halte et le dromadaire s'est agenouillé. Aziz a ôté son vêtement, raide lui aussi il m'a invité à faire de même, m'aidant pou passer la tête. Je me trouvais indécent mais visiblement je ne gênais personne.
Ici tous vivent en paix du Nubien à l'européen, fille et garçon nous formons une communauté libre. Ta réaction est normale et une fois habitué tu n'y feras plus attention. Viens, Il a pris ma main , m'entrainant dans un passage dans la roche cette fois dans la pénombre. Juste quelques trous au sommet éclairaient nos pas. J'ai vite remarqué des ouvertures de chaque cotés d'où parfois s'échappaient des petits cris ou des gémissements. Nous n'étions plus que nous deux et il m'a fait entrer dans une de ces ouvertures .
Dès que je t'ai vu et avec ce que m'a dit mon frère j'ai pensé que tu aimerais cet endroit. Il s'était collé à moi, ventre contre ventre et lui a cherché ma bouche, la fouillant d'une langue chaude et ardante. Le membre que j'avais contre le mien était plus épais que moi . en même temps que sa langue une de ses mains explorait mon corps, partout, des pointes de tétons au trou du cul en passant par mes boules et mon prépuce qu'il a fait coulisser.
Allonges toi sur la couverture ue des filles va nous amener le thé avec un ami.
On était tout deux nus et bandés quand ils sont arrivés. Habitués au peu de lumière mes yeux ont vu une fille aux longs cheveux avec de grand yeux qui a posé le plateau entre nous . Ses seins en poire étaient superbes et Aziz l'a remercié , Aïcha est très gentille tu pourras le savoir. A coté d'elle une jeune mec d'un noir comme je n'avais que rarement vu nous souriaient et a posé un plateau de sucreries. Pour décrire leurs sexes, je dirais que la fille avait un abricot de belle taille fendu et semble t-il accueuillant. Le noir arborait lui un sexe en pleine forme, veiné et circoncis de la taille du poignet de la fille.
Ils vont rester ici pour rendre des ardeurs qui peuvent faillir. De ta part comme de la mienne. Il s'était mis à genoux pour servir le thé. Cuisses écartées ses couilles pendaient lourdes de leur jus. Prenons le temps. Ici en Egypte le temps s'écoule et se savoure.