La plage, lieu aphrodisiaque meme en groupe ...2/2 - histoire érotique

Après l' après midi torride de plage ou je me suis faite prendre par Tom et Noël, les maris de mes copines je me suis voulue de m’être donnée en spectacle devant mes amies, pourtant max ne m’a fait aucuns reproches

- Chéri je t’aime...
- Je l’espère bien chérie! c’est moi qui ai manœuvré pour que nos copains te baisent, avec le consentement de leurs femmes, Nath et Lili, donc je n’ai ressenti aucune jalousie ou culpabilité !
- Oui, c’est vrai la façon dont tu m’as fait l’amour hier soir sur la plage et a la maison le prouve, mais quand même, comment pourrais-je te faire plaisir a mon tour ?
- En m’accompagnant demain lundi a la plage, il n’y aura personne tu pourras te défouler sur moi cette fois !
- Alors c’est d’accord ! nous nous cacherons derrière les parent-vents, je te promets le grand jeu !

Dés que nous avons étés installés a l’abri des regards, en ménageant une ouverture pour quand même observer les alentours, allongée sur ma serviette, a l’ombre du parasol je me suis faite chatte en dégrafant mon soutien-gorge

- Chéri, je t’aime
- Oui je sais ! tu peux me l’avouer maintenant, lequel t’a fait le plus jouir hier ? Tom, Noël ? ou les deux ?
- Aucuns … pardon … si… Noël…. Sa verge est large mais pas longue, lorsqu’il m’a prise en levrette elle frottait exactement sur mon poing G, j’ai serré les dents afin de ne pas montrer mon plaisir par respect envers toi et sa femme
- Tu as joui ?
- Oui max …lorsqu’il a déchargé, quand les jets ont percuté mon utérus c’était sublime, a la limite de l’évanouissement
- Arrête tu me fais bander ! c’est vrai que de nous trois, c’est lui qui l’a la plus grosse
- C’est du passé, tu veux bien me passer de l’huile solaire mon amour ?
- Ce n’est pas ce qui va arranger mon érection ! allonge-toi sur le ventre pour commencer

Le menton sur mes mains, tournée vers l’océan afin de voir les vagues s’écraser sur le sable, max est a genoux prés de moi, je devine que son maillot est déjà tendu comme une toile de tente, j’apprécie les larges mains de mon mari pétrir mon dos et la base de mes seins, je sais d’avance qu’il va faire glisser le bas du maillot pour ne pas le tacher et en profiter pour me toucher la chatte

Soudain mes yeux se portent sur une femme en maillot deux pièces, elle fait du surplace en jouant à pousser des coquillages du bout de ses orteils, une très jeune femme, la vingtaine au plus ? Elle nous observe, cela ne fait aucun doute …. Elle est belle, très bronzée … quand max, comme prévu tire sur mon maillot je ne dis rien, j’ai envie que cette fille voit que nous ne somment pas un couple ‘coincé’, les mains bienfaitrices triturent mes lobes fessiers, les doigts s’égarent dans mon sillon a la limite de mes lèvres baveuses, la fille sans voir mon entrejambes se doute qu’il se passe quelque chose de coquin, soudain une idée germe dans mon esprit … et si Max baisait cette fille devant moi ?… pour tester la réaction de la fille, je me retourne afin qu’il s’attaque a ma poitrine, il n’à toujours pas remarquée la fille

- Caresse-moi les seins chéri, fait bien pénétrer la crème
- Tu va voir la crème que je vais te mettre tout à l’heure ! tu ne seras pas déçue, j’ai les burnes bien pleines !
- En aurait tu assez pour la belle naïade qui nous mate ?
- Zut ! elle est là depuis longtemps ?
- Depuis que tu me tripote ! tes gestes ont l’air de l’intéresser, je vais aller lui parler …
- Tu es folle Julie ? elle n’est pas assez vieille…
- Assez vieille pour supporter une bonne queue comme la tienne chéri !

Je remonte le bas de mon maillot qui colle à ma chatte mouillée et me dirige d’un pas décidé vers elle

Je n’en reviens pas, ma femme discute avec la jeune femme, la conversation s’éternise, seuls des rires me parviennent, de quoi peuvent elles bien parler ? ……HA, elle revient…accompagnée de la fille ….. Je m’allonge, un genou replié pour essayer de cacher mon érection qui n’est pas totalement descendue

- Chéri, je te présente Léna
- Enchanté !
- Léna, je te présent max, mon mari
- Bonjour, je ne voudrais pas vous déranger …
- Absolument pas, nous allons te faite une place entre nous deux
- Bien …
- Léna s’est fait poser un lapin par son copain, et comme elle n’a pas intention de rentrer de suite, elle nous a remarqués, apparemment tu es son genre chéri
- Julie ! je suis confuse ! j’ai seulement apprécié la façon qu’il a de vous passer de la crème sur votre corps que je trouve harmonieux !
- Merci ! chéri, tu va passer de la crème sur le dos de Léna ok ?
- Je ne veux pas abuser Julie, mais il est vrai que je crains les coups de soleil
- Alors ôte ton soutient gorge …… huuuummm j’adore tes seins blancs !
- Mon copain ne supporte pas que je les montre et moi j’aime qu’ils soient au soleil
- Allonge-toi Léna ….

Je reprends la même position à genoux que pour huiler ma femme, la fille a de beaux seins, deux gros bouts sans tétons réellement détachés, mon slip reprend aussi la même forme tendue ! Mais la fille ne peut pas le voir, par contre ça fait marrer ma femme, mes mains tremblent lorsque je descends sur les flans, tout prés de la poitrine écrasée sur la serviette, Léna se soulève légèrement afin que ses seins profitent de mes doigts, très vite je progresse vers le bas … un léger duvet blond cerne deux fossettes adorables entre ses reins ….

- Fait comme moi chéri …

Ma femme, de son coté accroche l’élastique du maillot sur la hanche, je fais de même du mien, Léna, docile, soulève son bassin, le slip glisse sur les cuisses, elle soulève aussi ses pieds afin qu’ont l’en débarrasse complètement, lorsqu’elles les reposent ils sont nettement séparés, entre les deux fesses le même duvet blond cache l’anus fripé, ma femme parait captivée par la situation, elle se débarrasse aussi de son slip, ses doigts décollent ses lèvres vaginales luisante
Mes mains se posent sur le dôme rebondi et charnu, plus question d’huile protectrice …. Je glisse vers la vulve velue que j’ouvre avec mon majeur, elle est brulante de fièvre d’amour, Léna pousse un cri rauque et imperceptiblement soulève son derrière comme une chatte en chaleur

- Tu comprends ce qu’elle te dit max ?
- Non ?
- ‘ Baise moi vite, j’ai trop envie ’
- Tu crois ?
- Je suis une femme, je sais décrypter tous les signes quémandeurs de plaisir
- Elle a raison, j’ai envie … et je vais lui manger la chatte en même temps ! je rêve d’être ‘la chose’ d’un couple depuis longtemps
- Tu vois chéri ? ! j’arrive Léna, tu va pouvoir me bouffer l’oignon pendant qu’il va te trousser comme un bon mâle
- Que tu parles bien aujourd’hui ma Julie ! muuuummmm, regarde cette vue … je vais lui embrasser la choune avant de lui enfoncer mon nœud

Pendant que Julie s’installe, cuisses ouvertes devant la fille qui prend appuis sur ses coudes pour la lécher, moi, agenouillé devant le merveilleux spectacle de son entre-fesses qu’elle m’offre, je souffle sur l’anus qui se contracte, avant de se relâcher, formant une cible attirante, puis, j’enfonce mon visage entre les fesses afin que ma langue atteigne la chatte, je titille le clitoris, la vulve et l’anus qui s’ouvre comme une petite fleur, j’en profite pour introduire le bout de ma langue pointue
Léna gronde tout en léchant Julie, elle remue énergiquement son cul, si j’en crois ma femme ce geste veut dire : ça suffit, baise moi, je n’en peu plus !
Je prends donc position la queue à la main, frotte mon nœud sur la fente qui s’écarte laissant apercevoir le rose foncé du vagin, les deux mains sur mes hanches j’enfonce mon dard lentement, j’adore vois mon membre disparaitre dans le ventre d’une femme, une fois collé a son cul je décris des cercles afin de lui faire bien sentir ma queue labourer son ventre, elle pousse vers moi, mes couilles s’écrasent sur sa chatte, je me retire jusqu'à voir la base de mon gland et d’un coup de rein violement me réintroduit, Léna relève la tête et gueule de bonheur, par contre ma femme est déçue car son ‘cuni’ est interrompu, je tape comme un dingue dans la moule qui devient liquide, la serviette absorbe le liquide abondant, une mousse se forme sur les lèvres et ma queue, je vais en rajouter très vite car la pression monte dans mes bourses, par longs à-coups mon sperme déferle dans le ventre de la fille qui rugit avant de retomber a plat ventre, ma queue éjectée, encore raide fouette l’air, Julie ne perd pas un instant et se glisse a coté de Léna dans une position qui ne laisse aucuns doutes sur ses désirs … c’est a mon tour ! baise moi !
Trente secondes plus tard je ramone allégrement ma femme qui se laisse embrasser à pleine bouche et triturer les seins par notre amie, c’est la fraicheur du soleil déclinant qui nous a fait revenir a la réalité, j’ai juste eu le temps d’en remettre un coup a Léna qui écarte encore les cuisses avant qu’elle ne reparte les jambes flageolantes, sur la route du retour, Julie a essayé en vain de redonner de la vigueur a ‘popaul’ !
Nos amis ne savent pas ce que nous avons fait avec la jeune fille et que nous possédons son 06