La t(an)tation d'Arthur 02
Récit érotique écrit par Coloredbirdonaroof [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-08-2015 dans la catégorie Pour la première fois
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La t(an)tation d'Arthur 02
2. Les envies de ma cousine Mélissa
- Elle n'est pas si froide, viens !
Ma cousine Mélissa entre dans l'eau limpide de la rivière qui passe juste sous chez elle. Elle se tourne vers moi complètement et mouille ses seins nus.
Plus jeune que moi d'un an, blonde et menue, des lunettes rondes bien sages sur ses yeux verts, elle expose ses deux petites pommes pâles au soleil encore clément du printemps.
Elle ne fait pas ça pour m'allumer, je l'ai toujours connue seins nus, quelle que soit la saison, l'occasion. Sur une plage l'été, bien sûr, mais aussi le soir dans le couloir, ou lorsque, ados, nous partagions ma chambre quand elle montait sur Paris. J'ai vu ses seins pousser, s'arrondir, se féminiser. Elle n'a jamais pensé à me les cacher, elle semble me considérer depuis toujours comme une bonne copine plutôt qu'un mec.
- Allez Arthur, viens dans l'eau.
- Je te rejoins.
Le problème, c'est que nous avons grandi. Et qu'elle me donne des envies pas très cousinesques... Je la mate... son maillot lui entre dans les fesses et dessine sa chatte si finement... ses petits nibards pointent vers le ciel... je repense à ceux d'Annie, si énormes... je suis dans un état, depuis ce matin...
Je me lève et entre dans l'eau limpide et gelée en essayant de cacher mon érection.
Elle s'aperçoit de ma gêne et rit.
- Tu es en forme !
Je m'assieds sur un rocher plat et plonge mon bas-ventre dans l'eau, l'air de ne pas avoir compris. C'est gelé ! Je crie.
- Oushhhh !!!
Au moins l'eau me fera débander.
Elle s'immerge jusqu'aux épaules et ressort aussitôt, sans sourciller.
Ses seins sont tout fermes, tout dressés, elle a la chair de poule, ça la rend irrésistible. Je ne peux que mater, bouche bée. Elle sourit.
- Le spectacle te plaît ?
Je fais une grimace.
- N'importe quoi.
Son rire résonne sur les rochers alentour. Elle s'approche de moi en grelottant dans l'air encore frais du mois de mai.
- Je me demandais à quel moment tu me verrais comme une fille et plus comme une gamine.
Je l'éclabousse, faussement joueur. L'eau gelée ne fonctionne pas sur mon érection. Qu'est-ce qui se passe, là ?
- Tu es une fille. Je le sais. Me prends pas pour un idiot.
Elle sourit.
- Tu sais que je n'ai jamais sucé un garçon ?
Je la regarde, interloqué. Qu'est-ce que ça a à voir avec le sujet ?
- Et alors ?
- Alors... ça pourrait être toi, mon premier, non ? On m'a dit que les garçons ne refusaient jamais une pipe.
- Mélissa !
- Quoi ? Ça ne te plairait pas ?
Je ne réponds pas directement. La vérité est que ça me plairait certainement. D'autant que ce serait une première pour moi aussi.
- Tu es folle.
- Regarde.
Elle fait deux pas vers le bord et baisse son bas de maillot. Je contemple sa chatte épilée sans vraiment me rendre compte de ce qui arrive. Elle passe une main dessus comme pour m'en vanter la douceur infinie. C'est réussi.
- Quand j'ai appris que tu arrivais ici pour les vacances, je me suis rasée intégralement.
Je suis à court de mots. Mon cerveau refuse de fonctionner.
Elle remonte son maillot et me rejoins sur le rocher. Elle s'accroupit en posant des mains caressantes sur mes cuisses. Elle me fixe l'air mutin.
- Arthur. Tu n'as juste qu'à me dire oui. Je n'attends que ça.
Mes yeux se posent sur ses petits seins blonds.
Je hoche la tête sans répondre. Elle rit et pose ses lèvres légères sur les miennes.
- Quand tu veux. Tu y réfléchiras ?
J'acquiesce encore, l'esprit vide, le ventre en feu.
Elle a grandi.
- Tu viens ?
Elle se relève et va nager un peu plus loin, le maillot rentré dans une fesse du côté droit.
Je me retiens de lui demander de l'enlever à nouveau, de nager nue pour moi. J'ai une morale, quand même.
Mais, bordel...
...qu'est-ce qui se passe dans cette famille !?
- Elle n'est pas si froide, viens !
Ma cousine Mélissa entre dans l'eau limpide de la rivière qui passe juste sous chez elle. Elle se tourne vers moi complètement et mouille ses seins nus.
Plus jeune que moi d'un an, blonde et menue, des lunettes rondes bien sages sur ses yeux verts, elle expose ses deux petites pommes pâles au soleil encore clément du printemps.
Elle ne fait pas ça pour m'allumer, je l'ai toujours connue seins nus, quelle que soit la saison, l'occasion. Sur une plage l'été, bien sûr, mais aussi le soir dans le couloir, ou lorsque, ados, nous partagions ma chambre quand elle montait sur Paris. J'ai vu ses seins pousser, s'arrondir, se féminiser. Elle n'a jamais pensé à me les cacher, elle semble me considérer depuis toujours comme une bonne copine plutôt qu'un mec.
- Allez Arthur, viens dans l'eau.
- Je te rejoins.
Le problème, c'est que nous avons grandi. Et qu'elle me donne des envies pas très cousinesques... Je la mate... son maillot lui entre dans les fesses et dessine sa chatte si finement... ses petits nibards pointent vers le ciel... je repense à ceux d'Annie, si énormes... je suis dans un état, depuis ce matin...
Je me lève et entre dans l'eau limpide et gelée en essayant de cacher mon érection.
Elle s'aperçoit de ma gêne et rit.
- Tu es en forme !
Je m'assieds sur un rocher plat et plonge mon bas-ventre dans l'eau, l'air de ne pas avoir compris. C'est gelé ! Je crie.
- Oushhhh !!!
Au moins l'eau me fera débander.
Elle s'immerge jusqu'aux épaules et ressort aussitôt, sans sourciller.
Ses seins sont tout fermes, tout dressés, elle a la chair de poule, ça la rend irrésistible. Je ne peux que mater, bouche bée. Elle sourit.
- Le spectacle te plaît ?
Je fais une grimace.
- N'importe quoi.
Son rire résonne sur les rochers alentour. Elle s'approche de moi en grelottant dans l'air encore frais du mois de mai.
- Je me demandais à quel moment tu me verrais comme une fille et plus comme une gamine.
Je l'éclabousse, faussement joueur. L'eau gelée ne fonctionne pas sur mon érection. Qu'est-ce qui se passe, là ?
- Tu es une fille. Je le sais. Me prends pas pour un idiot.
Elle sourit.
- Tu sais que je n'ai jamais sucé un garçon ?
Je la regarde, interloqué. Qu'est-ce que ça a à voir avec le sujet ?
- Et alors ?
- Alors... ça pourrait être toi, mon premier, non ? On m'a dit que les garçons ne refusaient jamais une pipe.
- Mélissa !
- Quoi ? Ça ne te plairait pas ?
Je ne réponds pas directement. La vérité est que ça me plairait certainement. D'autant que ce serait une première pour moi aussi.
- Tu es folle.
- Regarde.
Elle fait deux pas vers le bord et baisse son bas de maillot. Je contemple sa chatte épilée sans vraiment me rendre compte de ce qui arrive. Elle passe une main dessus comme pour m'en vanter la douceur infinie. C'est réussi.
- Quand j'ai appris que tu arrivais ici pour les vacances, je me suis rasée intégralement.
Je suis à court de mots. Mon cerveau refuse de fonctionner.
Elle remonte son maillot et me rejoins sur le rocher. Elle s'accroupit en posant des mains caressantes sur mes cuisses. Elle me fixe l'air mutin.
- Arthur. Tu n'as juste qu'à me dire oui. Je n'attends que ça.
Mes yeux se posent sur ses petits seins blonds.
Je hoche la tête sans répondre. Elle rit et pose ses lèvres légères sur les miennes.
- Quand tu veux. Tu y réfléchiras ?
J'acquiesce encore, l'esprit vide, le ventre en feu.
Elle a grandi.
- Tu viens ?
Elle se relève et va nager un peu plus loin, le maillot rentré dans une fesse du côté droit.
Je me retiens de lui demander de l'enlever à nouveau, de nager nue pour moi. J'ai une morale, quand même.
Mais, bordel...
...qu'est-ce qui se passe dans cette famille !?
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ah la famille ! C'est chouette les jolies cousines les gentilles tantes, les sœurs qui ne nous regardent que comme des frères... et je ne parle pas de leurs copines et des amies de maman...
Très sympa ce récit.
MaîtreChat
Très sympa ce récit.
MaîtreChat
Joli. Bien écrit. Un vent de fraîcheur juvénile et printanière en cette fin d'été. Pas si facile d'évoquer avec justesse les premiers émois. Bravo.