La thésarde. Suite

- Par l'auteur HDS ANDRERP95 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : La thésarde. Suite Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2016 dans la catégorie Plus on est
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La thésarde. Suite
LA THESE
Suite
Leurs mâchoires viriles mastiquaient leurs friandises. Ils n’étaient pas mal, mais je ne faisais pas attention à leurs physiques.
La lumière s’est éteinte brusquement. Le film a repris immédiatement. Je léchais ma glace pour la finir. J’ai glissé le bâtonnet sous mon siège. Il n’y avait personne dans les rangés derrière nous.
Quand la main d’Éric est revenue sur mon genoux, je me suis tétanisée sans rien faire pour y échapper. J’avais très chaud et froid en même temps.
François à doucement ouvert mon manteau. Je l’ai laissé m’en débarrasser. Sa bouche a posé un léger baiser dans mon cou. J’ai frissonnais de peur et de désir. Une vague montait en moi. Elle commençait au fonds de mon ventre pour s’écraser dans mon cerveau en déroute.
La main de l’autre est remontée le long de ma cuisse. Puis elle s’est glissée à l’intérieur de ma jupe avant de reprendre sa progression. François regardait en me souriant gentiment. La main d’Eric est bloquée par ma jupe. Les doigts griffaient doucement mon collant. Sa chaleur irradiait mon intimité. Je tenais fermement les accoudoirs de mon siège en serrant les dents. Un chuchotement à mon oreille.
- Sois sympa, lèves toi un peu...
Une bouche qui me mord le lobe et me fait frissonner. Une langue qui s’insinue dans le conduit. Je vibre de tout mon corps. J'obéis. Je ne sais pas ce que je fais.
Ensembles, ils retroussent lentement ma jupe, faisant fi de mes timides mouvements de rébellion. Je me retrouve avec la jupe roulée autour de ma ceinture. François recouvre mes jambes avec mon manteau. Je serre les dents. Mon regard se fixe sur l’écran. Les autres spectateurs ne font pas attention à nous.
Ils commencent à me caresser en même temps. Chacun une jambe. Remontant de plus en plus haut, vers ma fourche. Quand je veux serrer les jambe, ils les tirent gentiment vers eux. Cela m’oblige à m’ouvrir de plus en plus et eux remontent de plus en plus loin jusqu'à ce que la première main se pose sur mon vagin. Malgré les épaisseurs de tissus, je la sens presser contre mon pubis. Je m'aperçois que je suis humide. Je mouille!
Ce n’est pas possible! Je mouille en plein ciné!
Je retrouve un court instant mes esprits. Je suis ouverte et deux mecs sont en train de me caresser la chatte. Des mecs que je ne connais pas du tout.
Les doigts sont de plus en plus inquisiteurs. Ils triturent mon collant. Le tirent ou le rentrent. Je mouille de plus en plus. Je ne sais pas qui me fait quoi. Je ne sais pas qui me parle:
- Tu serais plus à l’aise sans tes collants....
François m’embrasse sur la joue. A peine un effleurement qui m’envoie dans les étoiles. Ses doigts poussent les tissus dans mon sexe. Je suis toute rouge. Je transpire. Le fond de mon slip et celui de mon collant sont en train de devenir humides. Sous le manteau, les mains courent sur mes cuisses ouvertes et reviennent sans cesse au creux de mes jambes pour me caresser de plus en plus fort la fente.
- Allez!.. Sois sympa... Enlève ton collant....
- N’ai pas peur personne ne peut nous voir...
- Allez... Soit cool... T’as été trop loin avec nous maintenant......
A nouveau la pointe d’une langue dans le creux de mon oreille. Des frissons très violents parcourent mon corps en vagues successives.
Je sens le fonds de ma culotte mouillée. J’ai honte de mon comportement et de ce liquide qui lubrifie mon vagin enfermé. Comme une somnambule, je me trémousse sur mon siège.
Ils en profitent pour baisser mon collant! En plein ciné!
Je finis mon verre de tequila. Ma main se pose sur ma vulve. Puis c’est le verre vide et froid que je passe dessus. J’ai envie de me branler. Je revois cette fille. Ou plutôt je me revois. Je repense à l’étrangère que j’étais il y quelques heures à peine.
Cette fille obligée de décoller les fesses de son siège de ciné. Cette fille à qui deux mecs sont en train d’enlever le collant.
Ce collant qui glisse le long de ses hanches , puis de ses cuisses et enfin de ses jambes fines. Elle se cale au fonds de son fauteuil. Voilà! C’est fait. Elle est jambes nues. Offerte.
Mais ils en veulent plus. Ils caressent les cuisses nues puis remontent rapidement vers le slip blanc. Les deux mecs se regardent quand ils sentent l’humidité de l’entrejambe.
- Enlève complètement ton collant. Donne le moi.
Elle se déchausse. Obligée de se pencher pour ôter le voile noir et transparent. Eux attendent tranquillement la fin des contorsions. Elle veut mettre le collant dans la poche de son manteau qu’elle a remis sur ses jambes. François le lui prend. Il respire profondément le fin tissu avant de la mettre dans la poche de son blouson.
Elle devient folle. Elle est dénudée à partir de la taille. Uniquement vêtue de son slip mouillé. Protégée par son manteau des éventuels regards des autres spectateurs.
Les garçons devinent qu’elle vient de franchir un point de non retour et ils en profitent. Les attouchements sont plus impérieux, plus audacieux; plus agressifs aussi.
Elle laisse les doigts passer sous le tissu et ferme les yeux quand ils franchissent sa vulve. Elle serre les dents en les sentant s’enfoncer en elle. Les doigts tâtonnent dans son vagin, pincent les petites lèvres; trouvent le clitoris. Elle serre les dents pour ne pas gémir.
La jouissance la prend par surprise. Des vagues de plaisirs qui lui coupent le souffle. Elle ne peut pas crier son bonheur. Elle ne peut pas bouger. Son cerveau éclate en myriade d’étoiles filantes. Elle n’arrête pas de jouir. Très fort. Au bord de la douleur. Son corps est agité de spasmes incontrôlables.
Les garçons comprennent ce qui se passe en elle. Cela les étonne mais ne les stoppe pas. Au contraire, ils continuent à lui pincer le clitoris, à pousser leurs doigts le plus loin possible. Chacun des mecs lui a fiché deux doigts au plus profonds.
Elle ne sait plus ce qui se passe, uniquement concentrée autour des ondes qui partent du fonds de son sexe pour se propager dans tout son corps crispé par la jouissance.
Elle serre le dossier du fauteuil devant elle. Les vagues se calment doucement. Elle pleure en sanglots silencieux. Jamais elle n’avait jouit avec une telle puissance. Elle en a les jambes qui tremblent. Elle serre ses cuisses, emprisonnant les mains qui cessent de la torturer. Elle cherche sa respiration.
Ils la laissent reprendre ses esprits. Elle a du mal. Sur l’écran, un couple s’engueule. Elle sait que les deux mecs peuvent voir les larmes de plaisir et son visage tordu par la jouissance.
François ôte son blouson pour le poser sur son bas-ventre. Eric l’imite puis lui saisit sa main gauche pour la glisser sous le cuir usé. Elle sait ce qu’elle doit faire quand elle touche le membre tendu, très dur et très doux. Mécaniquement, elle commence à branler la verge chaude qui fait une bosse sous le blouson. Des vagues lui balayent encore le corps. Quand François lui prend l’autre main, elle obéis tranquillement.
Elle est entrain de branler des queues. Dans ce ciné de quartier, elle vient de jouir comme jamais grâce à deux mecs qu’elle ne connaît pas du tout. En plus elle est en train de les branler les deux en même temps pour les remercier.
Brusquement c’est la panique quand les lettres du mot fin s’inscrivent sur l’écran. Le générique de fin commence. Elle baisse sa jupe à toute vitesse. Les garçons grognent de dépit. Ils n’ont pas eu le temps de jouir.
Complètement frustrés, ils se rajustent rapidement. Ils ont juste le temps d’être présentables avant que les premiers spectateurs quittant la salle passent au niveau de leur rangée.
Ils quittent aussi la salle. Clignent des yeux sous la lumière du jours. Ils sont beaux mecs. Plus vieux qu’elle. Plus murs. Certainement des étudiants aussi. Ils lui sourient. Elle leur rend. Elle est bien.
C’est François qui propose d’aller prendre un verre. Ils sont attablés. François fiche une cigarette entre ses lèvres. Sa main cherche le briquet. Elle ressort avec le collant. Elle rougie devant leurs sourires de connivence. Eric la regarde les yeux brillants et se penche vers son oreille.
- Moi aussi je voudrais un souvenir.
Elle le regarde. N’ose comprendre ce qu’il veut. Elle boit une gorgée de jus d’orange pour se donner une contenance. Ils attendent sans la quitter des yeux. Eric reprend d’une voix plus ferme.
- Il y a des toilettes en bas.
Elle n’ose pas les regarder dans les yeux. Elle se sent à nouveau excitée. Elle n’a plus de collant. Elle s’est offerte à ces deux mecs. Et maintenant cette demande. François intervient à son tour. Même brin d’autorité dans la voix.
- Vas y, on a pas vu de quel couleur il est..
Elle se lève comme une somnambule, marche lentement vers les toilettes pour dame. Elle entre, remonte sa jupe et son manteau. Après quelques secondes d’hésitation, elle se débarrasse du slip humide. Il est même complètement trempé. Elle le roule en boule au creux de sa main, remonte rejoindre les garçons.
Elle l’offre à Eric qui s’empresse de le mettre dans sa poche. C’est la première fois qu’elle est sans slip dans la rue. Il ne lui était jamais venu à l’esprit de le faire. Elle sent une fraîcheur au creux de ses jambes légèrement entre-ouvertes.
- J’n’habite pas loin d’ici.
C’est François qui fait cette proposition. Les deux la regardent attendant le moindre signe de sa part. il suffit qu’elle dise non pour qu’ils s’en aillent. Il suffit qu’elle se lève et les quitte pour retrouver la quiétude de son studio. Il suffit simplement qu’elle prononce le mot au revoir pour que tout s’arrête. Pour qu’il n’y ai pas de fin. Ou que ce soit la fin de cette histoire.
Mais elle ne dit rien. Elle attend. Elle ne prendra pas l’initiative. les deux garçons se lèvent ensembles. Ces deux-là sont fait pour s’entendre. Un échange de regard leur suffit. C’est Eric qui lui saisit gentiment le haut du bras, en lui souriant. Ils sont sûrs d’eux et de leur pouvoir sur elle. Et c’est vrai qu’elle ne se sent pas en état de leur résister. Elle n’en a pas envie.
Elle marche sans culotte dans la rue. Les deux mecs l’encadrent. Elle ressent l’impression étrange que les gens qui les croisent savent qu’elle n’a pas de culotte. Eric lui passe un bras sous le sien. Ils ont l’air d’un couple quelconque qui marche accompagné d’un ami.
Au bout de dix minutes, ils entrent dans un immeuble pas loin de chez elle. Il n’y a pas d’ascenseur. François habite au deuxième. Personne dans l’escalier. La main d’Eric est posée sur ses fesses qu’il flatte doucement. François est devant eux.
Le verre se promène sans relâche le long de sa fente. Les parois sont opaques de mouille. Elle laisse pendre les jambes de chaque coté de sont lit étroit. Elle se sent bien, épanouie et heureuse. L’excitation la gagne lentement. Avec les doigts de sa main libre, elle écarte sa vulve pour bien sentir les parois chaudes du verre. Elle se parle à haute voix:
- Je suis une vraie salope
Une petite chambre. Contre un mur un grand lit défait. Des piles de livres sur un bureau. Un coin cuisine et un autre avec un lavabo et une douche. La seule autre pièce, ce sont les toilettes. Eric fait rapidement le tour avant de s’asseoir sur le lit. François me débarrasse de mon manteau et me pousse gentiment vers le lit. Eric ouvre la conversation.
- Tu permets? Je me mets à l’aise
- Fait comme chez toi... On est là pour ça....
Eric ôte son blouson, puis ses chaussures. Il se lève. Il me dépasse d’une bonne tête. Il déboutonne sa chemise. Torse viril, poilu, sans un gramme de graisse. Complètement hypnotisée, je le vois ouvrir son pantalon, le baisser et s’en débarrasser. Il reste en chaussettes blanches et caleçon. Impossible d’ignorer la bosse. Il s’assoit sur le lit, jambes largement écartées. Il est assez poilu.
Eric caresse la grosse bosse de son caleçon. Il me prend par les poignets pour m’attirer vers lui. Son visage se pose contre mon ventre. Je reste debout entre ses jambes.
François se colle contre mon dos. Je tremble légèrement. C’est lui qui me débarrasse de ma jupe, puis de mon chemisier. Voilà, il ne me reste plus que mon soutien-gorge..
Non il ne me reste plus rien.
La bouche d’Eric descend sur mon pubis. Il le lèche. Sa bouche se colle lentement contre mon sexe. Je gémi. François appui sur mes épaules en m’embrassant la nuque. La pression augmente.
Je suis à genoux entre les cuisses musclées d’Eric. Je lève mon visage vers le sien. Il me regarde d’un air bizarre. Ces mains en gros plan devant moi ouvrent la braguette de son caleçon. Il est mignon dans son caleçon en vichy rouge. Des tout petits carreaux rouge est blanc qui moulent bien son bas-ventre et le haut de ses cuisses.
C’est musclé, les jambes d’un mec. Je n’en n’avais jamais pris conscience avant. Surtout avec cette peau rugueuse à cause des poils.
Son sexe est dehors. Uniquement le sexe. Il bande à mort. Son gland est à deux centimètres de ma bouche. Il est beau. Une peau très fine et claire. Un gland circoncis, épais comme un champignon, une base beaucoup plus large que le haut qui émerge d’une forêt de poils presque roux. Elle sent bon.
- Veux-tu la goûter? Je suis sûr que tu aimes aussi ce genre d’esquimau...
Mon hésitation est de courte durée car François pousse doucement ma tête vers l’engin. Je me contente d’ouvrir la bouche. La chaleur de cette chair envahie ma bouche et me fait frémir. François continue de presser ma tête. La verge s’enfonce jusqu'à ce que le gland tape le fonds de mon palais. Je referme mes lèvres autour de l’engin. Eric pousse un long soupir de contentement.
- Je préfère nettement sa bouche que sa main.
Je goûte avec délectation la texture de la peau. D’habitude, je n’aime pas trop sucer un mec. Je trouve cela dégradant. Mais là, je suis une autre femme. J’apprécie le goût, la douceur de soie, l’odeur de sueur et d’homme. Je commence à le sucer.
Il se laisse faire sans bouger, jambes largement écartées et à moitié étendu sur le lit. Je ne sais pas ce que peut faire François. Je suis concentrée sur ma fellation. Je vais de plus en plus vite le long de la hampe. Je serre le gland contre ma langue. Je tente de l’avaler quand il pousse ma luette, me donnant envie de vomir. J’ai envie de le prendre aux maximum des possibilités de ma bouche. Je trouve que je me débrouille bien. Lui aussi car il n’arrête pas de gémir doucement en disant que c’est bon et que je suis une fille super.
C’est moi qui extrait ces boules de son caleçon et qui les prend en mains pour les malaxer et les serrer tendrement. Je les sens vivre et battre au creux de ma paume. Je tête le gland en pressant la bourse.
Brusquement François est debout sur ma gauche. Il est nu. Il se branle lentement en nous regardant.
- T’a une belle queue.
- La tienne est pas mal non plus.
- C’est sympa de votre part.
- Quoi?
- D’avoir accepté une partie à trois.
- C’est grâce à elle.
- Oui elle est sympa ta copine et elle a l’air de bien savoir sucer.
- C’est pas ma copine!
- Quoi! Mais vous étiez ensemble au ciné.
- Ben oui. Je me suis assis à côté d’elle. Je voulais la draguer C’est tout.... Qu’est-ce-que tu crois!...
- Mais c’est qui alors?
- Je ne sais pas !
- Attends, t’es en train de me dire qu’on fait une partie à trois sans se connaître..
- Je crois bien oui.
- C’est dingue!...
En les écoutant, j’ai envie de rire tellement l’évidence me semble saugrenue. Je redouble d’ardeur et Eric ne parle plus pour profiter du traitement que j'inflige à son membre. François se branle plus vite.
Je serre très fort les couilles d’Eric qui crie. Je relâche pour avaler son sexe au plus profond. Je le branle en même temps. Cela semble l’envoyer au septième ciel.
- Attention... Je vais tout lâcher... Fait gaffe!.....
Une force en moi me pousse à le garder en bouche. Je me colle contre son bas-ventre en ouvrant mes lèvres au maximum. Mon nez plonge dans les poils du mec. J’aspire sa queue.
- Attention....
Son gland lâche de grandes giclées âcres qui s’écrasent sur ma glotte et me font tousser. Je ne perds pas une goutte de sa semence qui plonge directement dans ma gorge. Il jouit fort et longtemps en râlant et moi j’avale le liquide très épais au goût salé. Je suis complètement folle. Jamais je n’ai bu autant de sperme et en plus généralement je refuse ce genre de chose, même avec les mecs à qui je tenais. Je ne reconnais plus ni mon corps ni mon cerveau.
Je le garde dans ma bouche encore de longues secondes avant de le laisser enfin sortir. Il est gluant de salive et de sperme. Eric est très surpris de mon comportement. Certainement pas autant que moi. Il me sourit affectueusement.
- Merci... C’était super.... T’es une drôle de fille toi...
Je ne réponds pas. Il se lève pour aller se nettoyer. François me tourne la tête vers son membre qui pointe vers le plafond. Ils a de très grosses cuisses. Il est bien plus poilu qu’Eric. Plus lourd et plus costaud aussi. Ses poils noirs couvrent complètement son pubis d'où émerge sa verge. Elle me semble plus longue que la précédente. Mais pas plus épaisse. Par contre ses couilles pendent plus bas et elles sont très lourdes et grosses. Il ne fait rien pour me forcer. J’ai le visage devant son bas-ventre musclé. Il a des tablettes de chocolat sur l’abdomen. Je regarde ce sexe.
Nous sommes en pleine journée dans cette pièce d’étudiant. Je suis avec deux types que je ne connais pas et je viens d’en sucer un après avoir jouis comme une folle au ciné. Je me suis baladée sans slip dans la rue aux bras de ces mecs qui ignorent mon prénom. Ils doivent me prendre pour une pute. Je m’en fou. Je ne sais pas ce qui se passe. Mon corps ne cesse de réclamer du sexe.
Le gland de François pointe hors de son fourreau. Je sors ma langue pour lécher le méat. Je parcours la verge sur toute sa longueur. L’odeur de sueur est plus forte. La peau a un goût rugueux. Les poils râpent ma langue. J’ai envie de gober les couilles. Je le fait.
- Super.... Continue. Continue s’il te plaît.... Génial...
Je lèche longtemps tout le membre, le recouvrant d’une pellicule de salive. Je joue avec en le branlant, le lapant. Je pompe très fort le gland en serrant la racine. Çà le fait crier. J’effleure le bout du gland avec la pointe de ma langue. Il a du mal à contenir son excitation.
Eric revient derrière François. Je vois ses mains se poser sur les fesses du mec que je suce. Je mouille comme une folle. J’ai envie de ma branler. Eric caresse les fesses de François qui se laisse faire en me tendant son sexe.
- T’as de belles fesses
- On me le dit souvent...
- T’es bi?
- Plutôt hétéro mais j’ai rien contre les expériences nouvelles.
- T’as déjà fait avec un mec?
- Oui.
- Moi aussi.
- Super... Continue avec mes fesses.... Putain ce qu’elle suce bien...
Les mains d’Eric pétrissent les fesses du type que je suce. Elles les malaxent, les flattent, les serrent, les écartent. François se laisse faire.
Moi je m’occupe de son sexe.
- Elle suce bien hein?
- Oui elle est vraiment géniale.
- Elle a la bouche très douce. Une bouche de velours.
- Je ne vais pas tenir longtemps.... Surtout avec tes mains sur mes fesses...
- Je peux faire d’autres choses si tu veux.....
François ne répond pas. Je sens sa bitte se cabrer dans ma bouche. Il est de plus en plus excité. Les veines pulsent contre ma langue. Je lui serre les couilles en l’engloutissant au maximum. J’aimerai avoir encore une main pour me caresser en même temps. Je mouille tellement que je sens mes poils devenir humides.
- Vas doucement.... Doucement j’ai pas trop l’habitude.....
Je ne sais pas à qui François s’adresse. Je continue. Une de mes mains abandonne la hampe pour filer vers mon entrejambe. J’ai envie de crier de plaisir quand mes doigts pressent mon clitoris gonflé. François n'arrête pas de contracter ses fesses.
- Attends je vais mettre de la salive....
Je comprends enfin ce qui se passe. La situation est complètement dingue. Alors qu’il y a à peine trois heures, je me faisais chier sur ma thèse, je me retrouve en train de sucer François en me masturbant en même temps. Alors qu’Éric est en train de mettre un doigt dans l’anus du mec que je suce.
- Suce plus vite.... Oui comme ça.... Vas y serres moi fort les couilles... Oui c’est trop bon...
- Et mes doigts dans ton cul? Ils sont bons?....
- Y-en-a combien?
- Deux mon pote....
J’accélère le rythme de ma fellation et je me caresse en cadence. Mon clitoris est très gonflé. François me plaque la tête. Son épée occupe toute ma bouche. C’est trop bon. Je vais jouir. Impossible de me retenir plus. Je jouis quand François lâche sa purée dans mon gosier. Je bois en me cabrant sous le plaisir qui m'inonde le ventre. J’ai l’impression que j’explose dans tout le ciel. Les ondes sont tellement fortes que j’ai mal aux reins.
François lui, se vide dans ma bouche avec les doigts d’Eric fichés dans son fondement. Mon dieu que c’est bon. Il y a tellement longtemps. Je crois que je suis folle de bonheur...
J’ai du mal à me relever et j’ai mal aux genoux. Mais je m’en fiche. J’ai aussi les mâchoires ankylosées. Je m’assoie sur le lit. François va se nettoyer. Je n’ai pas honte du tout de restée nue au milieu d’eux. Ils restent aussi à poil.
Ils ne savent pas quoi dire et je n'éprouve pas le besoin de parler. Nous nous regardons. Nous nous sourions. Il se crée une espèce de connivence nouvelle entre nous. Mélange d’amitié et d’inconnu.
Eric me propose d’aller me laver. Je le fait devant eux. Ils me regardent nettoyer mon intimité. Je n’hésite pas une seconde à ouvrir mon sexe devant eux pour bien me débarrasser de mes sécrétions intimes. Ils se lavent à nouveaux devant moi et je ne peux ignorer que leurs sexes sont loin d’être au repos. Ils ne bandent pas à fonds, mais ce n’est pas loin. Je trouve les corps de ces deux hommes très beaux.
- Tu as de jolis seins.
- Oui t’as des seins magnifiques.
- Presque aussi beaux que tes fesses.
- Viens.... N’ai pas peur.... Viens sur le lit...
J’ai pas peur. Au contraire, je suis très bien avec eux. Ils sont doux, tendres, sympa. Je me laisse entraîner sur le lit.
Ils me couchent. Ecartent mes bras, puis mes jambes. Ils se mettent de chaque côté de mon corps alangui. Nous restons couchés. Leurs doigts parcourent mon corps me faisant frissonner. Ils explorent tous les coins, tournent autour de mes seins, descendent sur mon ventre, frôlent mon pubis, pour revenir sur mes tétons turgescents. C’est délicieux et en même temps stressant. Les mains courent se blottir dans les endroits les plus intimes pour se focaliser sur mon bas-ventre. Je m’ouvre encore plus sous leurs caresses. Je les sens explorer les bords de mon sexe ou descendre sur mon anus.
- C’est bon la chatte d’une femme
- Oui je n’en n’avais jamais vu une aussi bien, en plein jours et de cette manière.... Écarte-lui bien les lèvres...
- Regarde son bouton comme il est gros...
Les frissons me parcourent sans relâche. L’envie revient au grand galop. Quand un doigt s’insinue dans mon vagin, je me remet à mouiller.
- Enfonce lui bien profond.... Moi je vais autre part....
- OK mais après on change...
Un autre doigt pousse doucement par la porte de derrière. Je dodeline de la tête. Les doigts deviennent de plus en plus pressant des deux cotés. Deux doigts me caressent les parois vaginales, pincent mon clito, s’enfoncent dans les profondeurs de mon conduit bien lubrifié. Un autre a ouvert mon anus pour s’y glisser doucement. Il m’embrassent les seins en même temps. Je ne suis plus que frissons. L’envie devient infernale. Je n’arrive plus à me contenir.
- Prenez-moi.... Prenez-moi.. !

Les avis des lecteurs

Très excitant, je me suis masturbé sans retenue et jusqu'au bout. :-)

J'adore ! Vous avez le don de maintenir un érotisme constant... et un vrai talent pour raconter !

J'aime le passage de la 3ème personne à la 1ère personne...

Histoire Erotique
Bravo
Bien ecrit
Sensuel
Onirique
Digne d'une ....


Thésarde



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