Laure 1 - histoire érotique

Après mon séjour en méditerrannée, mes vacances se poursuivaient. Je partis à nouveau dans le Sud, mais cette fois ci dans le Gard. Alors que j'étais allé seul en méditerrannée, cette fois je passais mes vacances avec des amis. La maison dans laquelle nous logions pendant pour les vacances appartenaient aux parents de Laure, ma meilleure amie, qui en récompense de ses excellents résultats au Bac avait eu le droit d'inviter des amis dans cette résidence secondaire. Nous étions 6 : moi même, Laure, Katherine la meilleure amie de Laure, Manon une fille de notre classe, le copain de Manon, un dénommé Karl, et une autre fille de notre classe, Margot.

Ces vacances, s'annonçaient assez... mouvementées pour moi. En effet, j'étais en compagnie de quatre magnifiques jeunes filles, et j'étais le seul garçon célibataire... Alors certes il me semblait impensable de coucher avec Laure, car c'était ma meilleure amie depuis mon enfance. En revanche, j'avais déjà couché de très nombreuse fois avec Katherine, et j'avais également déjà couché avec Manon, malgré le fait qu'elle soit en couple. Il était donc certain que je coucherai avec Katherine lors de cette semaine au Gard, il était fort possible que je couche avec Manon au nez et à la barbe de son copain, et quant à Margot, vu les coups d'oeil intéressés qu'elle me lançait, j'étais sur qu'elle et moi finirions dans le même lit... Bref ces vacances s'annonçaient délicieuses !

Nous partîmes le Samedi de la première semaine de Juillet, le matin. Après avoir roulé toute la journée, nous arrivâmes dans la maison de vacance de Laure le soir. Nous étions très fatigués après cette journée passée dans les bouchons, surtout Manon Karl et Katherine, qui, étant les seuls de notre groupe à avoir le permis de conduire avaient conduit toute la journée. Nous décidâmes donc de dîner et d'aller nous coucher tout de suite.

Il y avait dans cette maison de vacance trois chambres, avec chacune un lit double. Chaque chambre fut donc attribuée à un groupe de deux personnes qui dormiraient ensemble. Manon et Karl prirent l'une des chambres (normal vu qu'ils étaient en couple), Katherine et Margot en prirent une autre, et Laure et moi, prîmes la dernière.

J'étais assez soulagé à l'idée de passer la nuit avec Laure, car comme c'était ma meilleure amie, je savais qu'il ne se passerait rien entre nous, or j'étais crevé et pas du tout d'humeur à m'envoyer en l'air comme je l'aurais sans doute fait si j'avais pris la même chambre que Katherine ou Margot. Dormir avec Laure m'assurait une nuit reposante. C'est du moins ce que je croyais... Je me trompais !

Nous étions au lit depuis une demi heure, mais nous ne dormions pas encore, moi je lisais un bouquin, tandis que Laure pianottait sur son portable, quand soudain, nous entendîmes des petits cris et gémissements étouffés venant de la chambre de Manon et Karl : les amoureux s'envoyaient en l'air.

"Il y en a qui s'amusent bien !" Dit Laure en souriant.

"Je sais pas, Manon m'a dit que son mec était pas un bon coup", dis je en rigolant doucement.

"C'est vrai, elle m'a dit que toi par contre t'étais un super coup" ajouta t elle avec un sourire malicieux.

Je rougis, un peu honteux que Laure sache que Manon avait trompé son mec avec moi.

"On l'a fait qu'une fois, et c'est elle qui a voulu !" Dis je pour me justifier.

"En tout cas elle a adoré ça ! Me dit Laure implacable. Et puis Katherine aussi dit que t'es un bon coup !"

"Elle a dit ça ? Dis je un peu flatté et beaucoup plus à l'aise. Pourtant c'est plutôt elle qui est un bon coup, ajoutai je en rigolant".

"Ca c'est bien vrai !" Dit Laure avec un enthousiasme surprenant.

Pris de soupçons je demandais :

"T'en sais quelque chose ?"

"Oh oui ! Katherine aime aussi les filles, tu savais pas ?" Me répondit elle.

"Si je savais, mais je pensais pas qu'elle l'avait fait avec toi..."

"Tu connais quelqu'un dans l'entourage de Katherine qui n'ait pas couché avec elle ?" Dit elle amusée.

"Alors tu crois qu'elle le fait avec Margot en ce momment ?" Dis je un peu excité à cette seule idée.

"Surement, me répondit Laure, en ce moment Margot doit prendre un sacré pied".

"Si je comprends bien, tout le monde baise dans cette maison sauf nous deux." Dis je en soupirant.

"T'inquiète pas, on va s'y mettre" Me dit elle avec un sourire coquin.

Elle se pencha vers moi, et m'embrassa soudainement. Pris par surprise, je la repoussai et lui dis :

"Laure tu fais quoi là ?"

"Bah ça se voit non ? Me fais pas croire que t'en as pas envie !"

"On est meilleurs amis depuis la maternelle, on peut pas faire ça !"

"Depuis la maternelle on a grandi hein, moi j'ai les hormones qui me travaillent, j'ai envie de toi et je suis sur que quelque part toi aussi !"

Et sans me laisser le temps de répondre, elle repartit à l'assaut de mes lèvres. Je réfléchis rapidement et me rendis compte qu'elle avait raison : elle était très belle, brune, un beau visage, une poitrine généreuse, des fesses rebondies, la totale quoi. De plus certes c'était ma meilleure amie, mais et alors ? Rien ne m'empêchait de baiser avec elle pour autant, j'avais bien couché avec ma cousine, alors ma meilleure amie, ça ne posait pas de problème.

Bref, sans plus tergiverser, je lui rendis son baiser. D'abord doucement, puis de plus en plus passionément. Elle quitta ma bouche, et m'embrassa dans le cou, puis me plaqua contre le matelas. Une lueur perverse dans les yeux, elle me déshabilla, puis m'embrassa le torse, avant de descendre sur le bassin, puis de descendre encore, et d'entammer une fellation du tonnerre ! Elle me me lécha le sexe de haut en bas, me faisant haleter de plaisir, puis elle me carrément prit en bouche, me suça, faisant des vas et viens avec sa bouche pendant deux ou trois minutre, tansformant mes halètements en cris. Comprenant que si elle ne s'arrêtait pas, je risquais de jouir tout de suite, Laure interrompit sa fellation, et revint m'embrasser sur la bouche.

Je lui rendis son baiser pendant un moment, puis je l'aidais à se déshabiller. Une fois nue, je lui embrassai les seins, les massait et les léchait. Laure commença à réspierer plus fort, et je décidais de pousser mon avantage. Je la plaquais à mon tour contre le matelas, et sans plus de cérémonie, je la pénétrais d'un coup sec. Décidé à démarrer au quart de tour, j'entamai direct des vas et viens rapides et puissants, baisant ma meilleure amie très sauvagement. Celle ci ne tarda pas s'exprimer bruyamment, d'abord elle gémit, puis elle poussa des cris de plaisir, et enfin, lorsque la vitesse de mes coups de reins atteignit son paroxysme, elle cria des "oh ouuii" ou des "allez vas y plus fort !". Très fier de moi, je la pillonnais ainsi à un rythme soutenu pendant un gros quart d'heure, de temps en temps je l'embrassai, et descendai le long de son corps, m'attardant sur ses seins. Puis je reprennais mes coups de reins, toujours plus violemment. Laure gémissait son plaisir, me griffait le dos, me murmurait à l'oreille qu'elle adorait ça et que j'étais génial... quand elle ne le criait pas à s'en casser la voix. Puis, tremblante et essouflée de plaisir, Laure décidée à me rendre la pareil reprit le dessus.

Elle me renversa, et vint sur moi, s'empala sur mon sexe et fidèle à la sauvagerie qui s'était emparée de nous, elle entama direct des vas et viens très rapides. Le plaisir monta en moi à une vitesse folle, et je ne tardai pas à pousser des râles puis des cris de plaisir. Laure sourit, visiblement fière de ce qu'elle me faisait. Décidé à participer, je soulève mes hanches pour lui donner des coups de reins. Nos coups de reins repsectfis se synchronisèrent très vite, rendant cette délicieuse chevauchée fantastique et mémorable. Laure gémissait, moi je criais à plein poumons, le plaisir nous faisait trembler de tous nos membres, bref c'était excellent. Je finis par fatiguer, et cessa mes coups de reins, laissant Laure diriger seule les opérations. Véritable tigresse, elle me griffa le torse pour me stimuler, en réaction, je lui griffai les fesses, elle poussa un feulement de plaisir, se pencha vers moi, m'embrassa fougueusement, descendit vers mon cou et revint me mordre le menton. Puis elle se releva et reprit ses vas et viens. Je me redressai et lui embrassai les seins. J'enfouis ma tête au mileu d'eux, et profita de leur fermeté, je les léchai et les suçai. Laure poussa un gémissement, et me maintint de force la tête dans sa poitrine, se trémoussant pour rendre les choses plus plaisantes encore. Puis ma meilleure amie me repoussa contre le matelas, et accéléra le rythme de ces attaques, jusqu'à atteindre une vitesse folle, je perdis complètement pied, des étoiles dansaient devant mes yeux, et je sentais qu'à ce rythme là je ne tiendrais plus très longtemps. Laure tout en me baisant souriait d'un air provocateur, fière de ce qu'elle me faisait, elle se sentait totalement maîtresse de la situation et avait tout pouvoir sur moi. Pourtant tout changea très vite.

Décidé à avoir le dernier mot, je me redressai d'un coup, et reprenant les choses en main, je la renversai. Laure poussa un petit cri de surprise, qui se transforma en un gémissement de plaisir, lorsque je la retournai, la mis à quattre pattes et la baisai en levrette. Décidée à la faire décoller au septième ciel, je la baisais immédiatment aussi vite, fort et profond que possible, lui administrant de puissants coup de reins et la tenant fermement par les hanches. Le plaisir montait en moi, et je compris que j'étais proche de l'orgamse, je serrai les dents pour me contenir, sans pour autant ralentir le rythme de mes attaques. Laure elle ne gémissait plus, elle hurlait de plaisir, si fort que tout le monde dans la maison devait nous entendre, les voisins aussi d'ailleurs ! Ballotée par mes coups de reins, aggripant les draps comme si elle avait peur de décoller, ma meilleure ami était en proie à un immense plaisir. Quant à moi, le spectacle qu'elle m'offrait m'excitait encore plus, et me rapprochait dangereusement de l'orgasme, surtout que j'avais son magnifique postérieur presque sous le nez et que je ne me privais mas de la malaxer ! Décidé à finir en beauté, j'accélérai encore le rythme, pour le bouquet final, le plaisir me brouilla la vue, et Laure hurla : "arrête tu vas me tuer !", j'accélérai encore néanmoins et nous finîmes tous les deux par exploser de plaisir, hurlant à l'unisson une dernière fois dans un énorme ograsme.

Epuisés par nos ébats, et assomés par le plaisir, nous nous écroulâmes côte à côte sur le lit. Incapables de parler, nous nous assoupîmes aussitôt.

Le lendemain, je me réveillai en pleine forme, ces vacances au Gard commençaient bien, et j'avais hâte de voir ce que me réservait l'avenir !
Et je ne fus pas déçu, car dés le soir du lendemain, j'eus une nouvelle aventure, tout aussi excitante, avec Manon cette fois ci. Je vous la raconterai prochainement !