Laurent - Confession complète.

- Par l'auteur HDS Gay30a18 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : Laurent - Confession complète. Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-02-2013 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Laurent - Confession complète.
En revenant de Bordeaux, j’ai vécu à la rue pendant plusieurs années. J’ai connu quasiment toutes les structures d’hébergements d’urgence sur Bourges et je dois avouer que ce ne sont pas les meilleures périodes de mon existence. Lorsque j’y repense, je ne peux m’empêcher de trembler et d’avoir peur de faire un retour en arrière, bien malgré moi. En 2008, je me vois attribuer un logement. Très méfiant au tout début, j’ai eu beaucoup de mal d’ouvrir mes cartons car je pensais que j’allais perdre cet appartement aussi vite qu’on me l’avait confié.

Vivre tous les jours dans l’insécurité vous change énormément. Je m’étais replié sur moi-même, je parlais très peu aux autres, allais très peu vers eux et surtout, j’avais honte de moi. En ayant ce logement, j’ai pu me poser un peu. J’ai commencé tout doucement à me retrouver, à perdre mes réflexes de protection et j’ai enfin pu retrouver les facettes de ma personnalité que j’avais perdu depuis quelques temps. Les premiers jours, je recevais la visite d’un jeune voisin : Laurent.

Il avait vingt-trois ans, pratiquait les arts de combats comme sport, faisait ma taille, avait les cheveux noirs et les yeux marrons, une peau légèrement mât mais surtout, une putain de belle gueule. Seul inconvénient, il venait d’une famille de témoins de Jéhovah même si lui n’avait jamais été baptisé. J’avais fait sa connaissance dans un foyer d’accueil et nous avions très vite sympathisé. Par contre, je n’étais pas dupe. Je voulais coucher avec lui mais à cause de ses croyances, je me devais d’être malin et très habile pour le convaincre d’accepter mes faveurs.

Un soir, Laurent passa une nouvelle fois chez moi et bien sûr, je ne refusai nullement de le faire entrer. On traversa le couloir et étant un hôte bienveillant, je lui demandai s’il voulait boire quelque chose. Il me répondit une bière et tout en lui proposant de prendre place autour de l’unique table de mon salon, je partis dans ma cuisine chercher la fameuse boisson. Je revins très vite avec un pack tout neuf que j’avais acheté dans la journée car je savais que Laurent était très friand de cette boisson. J’espérai désormais qu’il resta assez longtemps pour boire le contenu de plusieurs bouteilles afin de l’allumer un peu.

Toujours pour lui plaire, je lui passais plusieurs titres de black métal, genre musical qu’il savait apprécier. En réalité, il n’écoutait que de ça et moi qui était fan de pop, je devais prendre sur moi pour ne pas exprimer mon mécontentement. Nous discutâmes de choses et d’autres, savoir si nos semaines s’étaient bien passées, si dans le domaine sentimental, nous avions trouvé chaussures à nos pieds. Bref, des discussions sans grande importance. Les premières bouteilles se vidèrent très vite mais nous avions encore les idées en place.

« J’en reprendrai bien une autre » Me renseigna Laurent.

Il ne me fut pas longtemps pour satisfaire la demande. Pour l’accompagner, j’en pris une autre également et on reprit notre consommation. Néanmoins, je voulais commencer à l’amener sur mon terrain et je décidai de revenir sur le dernier sujet de conversation : le désert dans nos vies sentimentales respectives. Je lui fis comprendre alors mon incompréhension sur le fait qu’il était célibataire puisque je ne me suis jamais caché de lui dire que je le trouvais mignon. Il me répondit qu’il voulait une fille bien, respectable, pas trop envieuse et surtout, calme. Sa mère était ainsi, sa sœur également et toutes les femmes qu’il côtoyait au sein de cette communauté particulière vivaient ainsi. Etant athée, je me demandai comme Laurent pouvait vivre de cette façon, en passant à côté de choses qu’il aurait pu trouver merveilleuses. C’est alors que je lui posai une question.

« Penses-tu avoir une chance d’être baptisé alors que tu touches à l’alcool, au tabac, aux drogues et que tu restes marginalisé parmi les tiens ? A la limite, si tu veux profiter de la vie avant de franchir le pas dans cette communauté, va jusqu’au bout.
- Que veux-tu dire par là ?
- Que tu pourrais également te mettre à collectionner les conquêtes, aussi bien du côté des filles que du côté des garçons. Surtout que tu as du succès parmi ces derniers. »

Et là, Laurent se réfugia dans un silence total. Je savais qu’il était bisexuel par certaines rumeurs et je voulais absolument réveiller cette facette chez lui pour m’en amuser par la suite. Par contre, je savais très bien qu’à cause de mes paroles, mille et une pensées devaient se bousculer dans sa tête. Je m’en voulais car c’était un garçon que j’adorais par-dessus tout et je savais au plus profond de mon être que je serais capable d’en tomber amoureux. D’ailleurs, j’éprouvai déjà de l’affection à son égard et là encore, il le savait déjà. Devais-je le laisser tranquille au risque qu’il s’éloigne de moi et par la même occasion, voir mes chances s’envoler ? Non, je devais persister et je n’en m’en privai point.

« Tu sais l’attirance que j’ai pour toi et tu sais aussi que je suis gay. Si tu m’autorisais à coucher avec toi, je prendrais soin de toi. Je suis un garçon câlin et je déteste le sexe sauvage donc, si tu as besoin de caresses, je te les ferais sans problèmes. Si tu as besoin de baisers, aucun souci et si tu meurs d’envie de coller tes lèvres sur les miennes, n’hésite surtout pas. Ne te prive pas de certains plaisirs à cause des autres et de plus, il serait con que tu sois remplis de regrets le jour où tu devras quitter cette terre sauf si c’est ce que tu veux.
- Non. »

Première réponse de Laurent dans cette conversation et celle-ci était franche, sans appel. Continuons sans lui mettre la pression.

« Ecoute, tu dois me trouver chiant avec ça donc, j’arrête. Par contre, si un jour, tu veux que je prenne soin de toi, tu sais où me trouver. »

Là encore, mon ami ne répondit rien et son silence m’exaspérait un peu. Par contre, si je devais aller trop vite, je savais que toutes mes chances avec lui partiraient en fumée. Néanmoins, ayant très peu confiance en moi sur certains plans, je me doutais d’avoir une quelconque possibilité avec lui. Alors que je n’attendais plus rien de sa part, j’avalai très vite les dernières gorgées de ma bière et en prit une troisième. Très vite, je la décapsulai et fit tomber l’opercule sur le sol.

Je me penchai sur ma gauche pour la ramasser et lorsque je me relevai, je vis Laurent me foncer dessus et poser ses lèvres sur les miennes. Surpris par ce geste, j’évitai de justesse un mouvement de recul de ma part pour lui dire : tu me fais quoi là ? Si j’avais agit ainsi, il était clair que le moment que nous avons passé ensemble juste après n’aurait jamais eu lieu. Sincèrement, je l’aurais regretté. Laurent se retira très vite par contre et me regarda droit dans les yeux.

Je sentis qu’il avait peur et pour ne pas lui laisser la moindre seconde de réflexion, je l’embrassai à mon tour. Ce contact dura plus longtemps que le premier et je mourrai d’envie de savoir s’il voulait que j’aille plus loin. Au moment où j’allais me retirer pour lui poser la question, Laurent posa l’une de ses mains sur ma nuque et en profita pour glisser sa langue dans ma bouche. Là encore, je me retrouvai fort surpris en constatant qu’il savait très bien embrasser. Se pourrait-il que toutes ces rumeurs à propos de cette bisexualité soient fondées ?

Je ne voulais faire aucun geste de peur de l’effrayer, je voulais que cela soit lui qui prenne l’initiative et qu’il me dise ce que j’étais autorisé à lui faire. Lorsque mon invité décollé ses lèvres, il se repositionna correctement sur sa chaise pour la faire reculer. Ensuite, il se mit debout et vint se poster devant moi. Avant de me dire quoi que ce soit, Laurent se retourna et jeta un coup d’œil aux deux fenêtres de mon salon. Même s’il faisait déjà nuit dehors et que mon salon était très bien éclairé grâce à ma boule chinoise qui pendait au plafond, il a ressenti le besoin de protéger notre ébat. Il s’éloigna de moi, attrapa la manette d’une première fenêtre pour la faire tourner de façon rapide. Le volet en pvc s’abaissa et il répéta le même geste avec la seconde. Une fois le salon à l’abri du moindre regard indiscret, Laurent vint me retrouver, m’embrassa une nouvelle fois afin de retrouver ce début d’excitation qui s’était un peu émousser pendant l’abaissement des volets et se releva.

« Vas-y, tu peux y aller. » M’informa-t-il.

Sans me faire prier davantage, depuis le temps que je désirais cet instant, je posai mes mains autour de son bouton de pantalon et l’ouvrit très vite. Ensuite, je m’attaquai à sa fermeture éclaire et une fois que tous les accès à cette convoitise étaient béantes, je glissai le vêtement jusqu’à ses chevilles. Il portait un slip bleu clair. Le tissu devait être plutôt léger puisque je voyais distinctement les formes de son sexe. Il était en semi-érection et j’espérai qu’il en serait autrement une fois en bouche.

Tranquillement, je me saisis de chaque côté de son slip et l’abaissa doucement. Pendant ce geste, mes yeux se posèrent sur la main gauche de Laurent qui tenait le bord de la table en fer forgé. Celle-ci tremblait et je commençai à me demander si ce garçon n’était pas en train de franchir les limites pour la première fois. Si c’était le cas, à moi de tout faire pour me montrer le plus attentionné afin que cet instant soit une réussite et non une mauvaise expérience. Son sexe se tendit sous mes yeux tandis que son sous-vêtement rejoignit très vite son pantalon.

Je prends la base dans ma main, commençait à masturber cette belle tige qui me narguait en prenant soin de bien décalotter le gland à chaque fois. Celui-ci était très beau, rond, violacé et brillait déjà à la lumière alors que je n’avais pas commencé mon travail de succion. Sa verge était longue et semblait retomber à cause du poids de son extrémité. Plus je la caressai et plus elle s’allongeait encore et encore. Alors que je me demandai quand son étirement allait s’arrêter, je constatai que c’était chose faite depuis plusieurs secondes déjà.

Amusé, je pris le double-décimètre qui reposait parmi le bordel se trouvant sur ma table et prit ses mesures. Toujours en train de trembler, Laurent se laissa faire et tentait de maintenir son érection. Je posais l’accessoire le long de son organe et ouvrit grandement les yeux à la connaissance du résultat : vingt-deux centimètres. Merde, je pourrais sucer ça au moins ? J’ai beau être une gorge profonde mais je n’ai jamais eu l’opportunité de tester mes capacités sur un tel engin.

Ben va falloir assurer maintenant. Tu l’as voulu et maintenant qu’elle est devant toi, il serait dommage de reculer. De toute façon, animé par l’excitation à mon tour, je posai la règle sur la table et commença à faire disparaître ce membre à l’intérieur de ma bouche. Comme je m’en doutais, je ne pouvais insérer qu’une bonne partie et pour le début, je trouvais cela un peu frustrant. Par contre, les tremblements de Laurent cessèrent depuis que sa verge reposait dans ma bouche.

Affectueusement, je lui suçais tout doucement et sans le regarder dans les yeux pour ne pas le déstabiliser. Au fur et à mesure des secondes, j’accélérai la cadence ainsi que mes caresses que je poursuivais à la base de son chibre. Alors que j’avalais ma salive de nombreuses fois pour mieux savourer les arômes de cette verge, mon ami me fit part de son contentement. J’étais soulagé. Cela voulait dire qu’il arrivait à se détendre un peu mais surtout, qu’il prenait beaucoup de plaisir à se faire sucer par un autre garçon.

Maintenant, je souhaitais faire durer cette fellation jusqu’à l’éjaculation, dans l’unique but d’accueillir son sperme dans mon estomac. Si jamais j’y parvenais, j’aurais l’impression d’avoir en moi, un superbe trophée que nulle autre personne ne posséderait. Toutefois, je voulais vérifier mes capacités de gorges profondes. Je libérai son sexe de ma bouche, enchaîna sur une petite masturbation tandis que je me préparais mentalement. Non, je n’étais pas dans une quelconque ville pour participer à de quelconques jeux olympiques.

J’avais besoin de quelques secondes pour tenter l’expérience afin de nous satisfaire réciproquement. Au moment où mes flatteries cessèrent, je fis disparaître son gland entre mes lèvres, suivi de très près par les premiers centimètres de son engin jusqu’à la moitié. Pour l’instant, aucun souci. Vint la deuxième partie de la manœuvre et qui est sûrement la plus difficile. Lentement, je sentais l’extrémité de son sexe s’introduire dans ma gorge et s’enfoncer de plus en plus.

A cet instant, je remerciai sincèrement mon partenaire de ne faire aucun geste brusque pour me l’introduire d’un coup. Je n’ose imaginer le haut de cœur que j’aurais pu avoir ainsi que l’étouffement qui aurait pu suivre. Désormais, j’en étais aux trois quarts et je me sentais encore assez courageux pour poser mes lèvres sur sa base. Surpris, j’y arrivai très peu de temps après et je m’immobilisai. Laurent s’exprima via des gémissements et pour augmenter le plaisir, je ne tardai pas à faire rouler ses couilles sur la paume de ma main. Alors que la fellation perdurait dans le temps, ce dernier fit entendre sa voix et me proposa de lui faire autre chose, ce qui n’allait pas me déplaire.

« Cela te dit de t’occuper de mon cul ? »

Abandonnant son sexe pour le regarder droit dans les yeux, je ne savais plus quoi penser. Fallait-il croire que la fellation dont il venait de recevoir l’avait complètement décoincé ou alors, est-ce là un effet secondaire de l’alcool ? Je connaissais bien Laurent et il savait très bien se maîtriser, même lorsqu’il était bourré. Par contre, jamais je n’aurais pu imaginer avoir l’occasion de m’occuper de son postérieur et cette idée m’enchanta énormément.

« Pas de souci, tu veux que je te fasse quoi ? Lui demandai-je.
- Ce que tu veux. »

Laurent se pencha en avant pour défaire le lacet de ses chaussures afin de se retrouver en chaussette. Juste après, il s’affaira à retirer complètement son pantalon et son sous-vêtement avant de s’éloigner de la table, s’approchant tranquillement du canapé. Pour le rejoindre, je me levai de ma chaise et attendait de savoir ce qu’il voulait faire. Là, il se posa à genou sur le bord du canapé et me présenta un joli petit cul bien rond et bien ferme, le genre de postérieur qui me faisait saliver. Je m’arrêtai derrière lui et à ce moment, sans se retourner, mon amant m’interrogea.

« Tu aimes lécher ?
- Ouais.
- Dans ce cas, vas-y ! »

Incroyable, Laurent m’autorisait à m’occuper de son arrière-train de la façon dont j’aimais le plus. Très vite, je m’agenouillai sur le sol, plaça mes mains sur ses fesses et approchai mon visage. Sentant que cette position allait me compliquer la vie, je proposai à mon voisin de relever son bassin, ce qu’il fit aussitôt. Ayant son fondement à hauteur de mon visage sans que ma nuque me fasse mal, j’écartai ses deux magnifiques sphères, bien décidé à explorer ce joli chemin qui se situait au milieu. A ce moment, je vis un joli bouton tout rose et propre, ce qui ne m’étonna pas de Laurent puisque ce dernier est un vrai maniaque concernant l’hygiène.

Cette qualité est appréciable et doucement, je déposai mes lèvres sur l’entrée de son intimité afin de déposer un premier baiser. Sentant Laurent frissonner après ce contact, je sortis ma langue pour la placer en bas de sa fente. Lentement, je remontai mon organe le long de sa raie tout en prenant bien soin d’appuyer lorsque j’arrivai sur ses plis. Ensuite, je fis disparaître cette pression lorsque je poursuivis la dégustation de ce délicieux chemin. Maintenant, je rêvais que d’une seule chose : que Laurent soit assez décontracté pour se montrer tout aussi expressif que lors de la fellation.

J’aime les garçons qui se montrent bruyant car leurs expressions auraient tendance à jouer sur mon excitation. Plus mon partenaire s’abandonne et plus j’ai envie de lui faire plaisir en rassasiant mon propre appétit sexuel. Ma langue s’affaire désormais sur son sphincter, en dessinant par moment des cercles ou en le pénétrant à certaines occasions. Je me régalai à lui dévorer l’anus lorsque je ressentis le besoin de libérer ma verge qui me faisait mal. Portant un jeans, j’ouvris mon pantalon et sorti mon membre afin de le laisser pointer fièrement.

Ayant entendu ma fermeture éclaire, Laurent à dû croire que je voulais le sodomiser et me fit part de sa motivation.

« Tu as des capotes ? »

Suite à cette question, j’arrêtai de le lécher pour lui répondre.

« Oui, pourquoi ?
- Parce que je veux bien que tu me pénètres mais je tiens à ce que cela se fasse avec un minimum de protection. »

Difficile de dissimuler ma joie suite à cette autorisation. Alors qu’un premier doigt se risqua à l’intérieur de ses chairs, lui arrachant au passage un râle de satisfaction, je cherchai dans un coin de ma tête où j’avais pu ranger mes préservatifs. Au même instant, je constatai que Laurent ne semblait pas serré au niveau de son orifice anal, ce qui confirma les doutes que je nourrissais le concernant. Mon magnifique ami était bel et bien bisexuel et je n’avais plus aucune raison d’envier ses amants puisque j’étais invité à ne faire plus qu’un avec lui. Soudain, la réponse que je tentai de saisir dans mon esprit me venait enfin.

« Laurent.
- Oui ?
- Regarde si je n’ai pas une boîte de capotes qui traîne dans le tiroir du meuble qui se trouve sous la télévision s’il te plait. »

Le garçon n’eut aucun mal à se mettre à quatre pattes pour tendre son bras droit afin d’ouvrir le fameux tiroir. Par contre, ses gémissements furent de retour puisque mon doigt avait disparu de son intimité au profit de ma langue. Entre ses fesses, j’entendis le tiroir se refermer et je me doutais bien que le propriétaire de ce joli cul allait m’interpeller pour me remettre la précieuse boîte.

« Tiens ! »

J’attrapai le contenant et l’ouvris pour en sortir un petit carré gris. Je laissai tomber la boîte au sol, déchira le sachet et saisis le bout de plastique transparent qui se trouvait à l’intérieur. Tout en persistant avec mes caresses linguales, j’enfilai le préservatif le long de ma verge en prenant bien soin de faire disparaître la bulle d’air qui se retrouva coincé dans le réservoir. Désormais prêt, je le fis savoir et c’est excité que j’attendais son feu vert. J’espérai maintenant que j’allais réussir à le combler à la hauteur de ses espérances.

Son autorisation ne tarda pas. Très vite, je me relevai et pliai mes jambes pour être sûr que mon chibre serait au niveau de son postérieur. Pour être sûr que mon sexe glissera à l’intérieur sans le moindre problème, je m’accordai quelques secondes pour me préparer. Je crachai de la salive dans le creux de ma main afin de l’étaler sur ma verge. Enfin, je plaçai mon gland devant l’entrée que je convoitai et y entra mon sexe.

Pour ne pas lui faire de mal, je pris soin de m’y insérer doucement. Par contre, il était évidement que j’allais lui mettre entièrement. Toutefois, je fus encore étonné lorsque je vis le corps de Laurent trembler pendant l’intromission. Dès que mes couilles se trouvaient contre les siennes, je ne mis pas longtemps pour lancer les premiers coups de reins. Y allant à bon train, mon excitation redoubla lorsque mes oreilles entendirent la joie de Laurent.

Aucun doute, cette soirée sera l’une des meilleurs que je ne serais pas prêt d’oublier. C’est tellement bon lorsqu’on parvient à s’occuper d’un garçon qu’on désire tant, malgré les nombreuses tentatives d’approche. Je le souhaitais tellement que mon sperme ne tarda pas à quitter mes testicules pour évoluer au sein de mon sexe. Pour faire durer plus longtemps l’instant de délice qu’on savourait ensemble, je m’immobilisai un instant et plaça mon doigt sur la veine qui se trouvait entre mes jambes. Je la pressai violemment et ma manœuvre fut récompensée puisque je sentais mon sperme faire marche arrière.

Désormais la conscience tranquille, je repris mes mouvements de hanches et le sodomisa plus lentement cette fois. Pour être sûr que Laurent n’oublierait pas notre rapport, je glissai mes mains sous son sweat qu’il gardait toujours sur lui et caressa très vite ses tétons. Je me penchai en avant pour placer ma tête près de la sienne et lorsque je vis qu’il tournait son joli minois vers le mien, je compris qu’un baiser langoureux était envisagé. Pendant cet échange, mon endurance fut tellement consommée que les premiers jets ne tardèrent pas à jaillir. A mon tour, je sentis que ma joie voulait s’exprimer. Pour ne pas la converser à l’intérieur de ma gorge, je me retirai des lèvres de Laurent, le mordit dans le cou et lâchai mes gémissements. Dès que j’étais sûr d’avoir donné les derniers coups de reins nécessaires, je me retirai de son muscle anal pour m’occuper de lui une dernière fois.

« Allonge-toi sur le dos Laurent. »

Se remettant à peine de ses émotions, mon invité exécuta ma demande et je pus reprendre cette fellation que j’avais cessée quelques minutes plus tôt. Toutefois, tout en lui suçant la moitié de sa queue, je glissai deux doigts dans son postérieur. Les gémissements de sa part reprirent de plus belle et au bout de plusieurs secondes, sa semence se répandit dans ma bouche. Toujours en quête de trophée, je veillai à tout recevoir avant d’avaler. Content de cet échange intime, Laurent me demanda s’il pouvait rester dormir, chose que j’acceptai volontiers. C’est dans mon lit qu’il s’allongea entièrement nu et c’est dans la même tenue que je vins le retrouver. Nous refîmes l’amour plusieurs fois cette nuit là et c’est hélas sur cette même journée que ses visites cessèrent.

A l’heure d’aujourd’hui, ils nous arrivent parfois de nous croiser dans le quartier mais jamais nous invoquons cette fameuse soirée, à ma plus grande tristesse. Il continue de rencontrer des filles sans jamais rompre son célibat, ce qui l’enfonce davantage dans sa détresse affective. Néanmoins, Laurent sait très bien qu’il a ses chances avec moi et il a eut un avant-goût de ce que serait une vie de couple à mes côtés. Pour l’embêter, je continue de lui tendre des perches mais cela fait un moment que je n’y crois plus. Cependant, ce garçon se contente toujours de me saluer, d’échanger un minimum mais sûrement par souci de courtoisie.

Je voudrais tellement qu’il ouvre enfin les yeux et j’aimerai tellement n’être qu’à lui…

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