Le cloître 1 - histoire érotique

j'ai enfilé la tenue de bure rêche sur ma peau nue et les sandales de cuir. C'était la tenue de François d'assise, soutane courte en bure descendant jusqu'en haut du mollet. Une simple corde épaisse nouée comme ceinture.
On est descendu jusqu'à la rue, les gens se retournant sur mon passage vers sa voiture. En m'installant sur le siège j'ai vu le regard surpris , étonné puis souriant d'un jeune qui passait. J'ai réalisé qu'en m'asseyant j'avais du dévoiler toute mon anatomie, les poids pendant entre mes cuisses. Luc au volant a démarré. Une fois dans la circulation il m'a fait relever ma soutane sur ma taille.
Si un flic me voyait j'étais bon pour l'exhibitionnisme. A un arrêt il m'a écarté les cuisses , remonté les poids et dis de refermer les cuisses dessous. La circulation du matin était dense mais à ma hauteur personne ne me remarquait si ce n'est un black au volant d'une camionnette, les yeux rivés sur ma queue et les boules. Il a parlé, Luc a baissé ma vitre électrique.
T'es bien comme ça? Il t'emmène à la Chapelle?
Luc a souri. Non au cloître!
Dommage puis le feu est passé au vert et je l'ai plus vu.
Ce n'est qu'en arrivant à la porte que j'ai compris en voyant femmes ou minets tapiner sur les trottoirs.
Pleurent pas, ils ne font pas tous ça pour le pognon , certains c'est par vice. On a pris l'autoroute. Luc suivant les indications du GPS. Il avait eu les coordonnées par mon portable. On est sortis direction Compiègne , traversé par la rocade et il s'est engagé dans de petites routes avec des hameaux magnifique , certains un peu plus grands avec un peu de commerces. Il s'est arrêté à l'arrière d'une bâtisse . J'avais vu un petit clocher sans croix mais la cloche était là.
Tiens, voilà la clé de la porte. Je vais au café du coin attendre Nat et Steff. On viendra plus tard quand tu m'appelleras ce sont les voeux de l'ancien.
Un peu intimidé je suis descendu et avec la clé j'ai ouvert et refermé. Je me trouvais dans une salle , petite, meublée d'un poêle, d'une table et de deux chaises. Du matériel de cuisine cloué au mur donnait la sensation d'un lieu habité. La porte suivante ma amené dans le cloître carré avec un jardin au centre et une grande vasque sur un côté j'ai poussé la porte sur ce côté et me suis trouvé dans ce qui avait du être la chapelle. Plus rien de religieux n'était là, totalement désacralisé, rien ni sur les murs ni sur...Ho! sur une table au centre un corps nu glabre était allongé sur le dos.
Bonjour maître je vous attendais.
Mais je ne suis pas maître.
Si, l'ancien maître a avait choisi un esclave et chaque esclave doit en trouver un pour le remplacer. Je n'ai moi, pas connu de maître mais celui qui avait la clé était forcément le maître, mon maître.
Il était allongé tel un gisant mais si il n'était pas froid , il avait un organe raidi que je n'ai pu m'empêcher de caresser.
Tu es là depuis quand?
Au monastère depuis mes quinze ans, seul , car le précédent est parti une fois les tâches à accomplir apprises. Cela fait presque quatre ans que j'attends votre venue. Je fais le ménage et le cloître est vaste, les courses aussi en habits civils. Une lettre arrive tous les mois avec de l'argent pour l'entretien , le mien et celui du cloître.
Tu t'appelles?
Xavier mais choisissez si celui ci ne vous plais pas.
Et tu sais comment que tu es fait pour aimer un homme?
Je rêve depuis longtemps à cela et un jour peu avant que ce décide mon sort j'étais venu me confesser me croyant dans un vrai monastère et là j'ai tout raconté. J'ai appris ma mission comme pénitence et je vous attendais. Je suis à votre entière disposition par mes trous et mes organes, je ferais ce qui vous plais .J'aime tout avec un homme.
Il ne pouvait que constater qu'il ne m'était pas indifférent, ma bure se tendait et pointait le tissus.
Attends il faut que je réfléchisse un moment . Habille toi , mets ce que tu veux mais cache ton sexe un peu que je réfléchisse sans le voir.
Docile il a enfilé la même bure que moi.
Autant que tu le saches de suite je suis moi même au service d'un mec et le maître m'a légué ce monastère avant de mourir. Il n'est pas mort mais j'ai l'usage de ce bâtiment. Te laisser dans leurs mains serait une erreur à mon avis tu n'est pas fait pour eux. Par contre comme tu l'as constaté tu ne me laisses pas de marbre.
Je pourrais simplement dire que je suis le gardien des lieux.
C'est sur oui mais j'aime des choses que tu ne connais pas , je me ferais un plaisir de te les faire découvrir mais pas comme ça. Tu n'as pas un endroit ou passer le week-end jusqu'à lundi. Je resterais là et on en reparlerais.
Il y a l'ancien gardien mais il ne vis pas seul je crois pouvoir passer ce temps là là bas.
Il était vraiment déçu mais je ne pouvais pas lui dire que j'aimais me sentir lopette. Avec ses dix neufs ans, il ne comprendrait pas. Je me trompais mais je ne le savais pas.
J'ai fait le tour du cloître avec lui visitant tout, dans les caves insonorisées des instruments encore en fort bon état me donnait à penser ce que les anciens y faisaient il y a encore peu je pense. Au moins depuis quatre ans puisqu'il ne les avait pas connu. Des idées trottaient dans ma tête.
Tu devines à quoi servent ces instruments?
Oui maître, j'y pense souvent et je sentais des mains sur moi. Il m'est arrivé de jouir ici seul.
Bon il est temps que tu partes je vais appeler mes amis et maîtres ils n'ont pas à te voir et je ne veux pas gâcher la fête de lundi.
Une fois parti j'ai envoyé un sms à l'ancien : Merci , le gardien est superbe et je le réserve pour mon usage si vous pouvez prolonger mon Week end jusqu'à mardi matin. Je sais que j'abuse mais j'aimerais que Luc cesse et ne plus le voir que comme un ami quand je serais à Paris. Si je repars lundi il me faudra un moyen de transport aussi. Merci de votre amitié.
La réponse est arrivée immédiate : Je fais le nécessaire mon ami. Amuses toi bien.
L'appel suivant a été pour Luc . Ok je vous attends.
Peu après les voitures de Luc et de Nat se garaient et Steff les a suivi à l'intérieur.
Dans le cloître ils ont été ébahis par les lieux, le silence et la cour intérieure impeccable.
La vache c'est comme dans les bouquins! Avec vous deux en tenue on s'y croirait. Au fait , Steff a décidé de s'appeler Steffy. Montre leur ton ancien sexe lopette. En fait on ne voyait rien il était caché par une sorte de ceinture en inox avec des trous pour pisser.
Joli a fait Luc . Et le nouveau sexe?
Il s'est retourné soulevant la bure , le métal laissait la place pour ses besoins et la place aussi pour d'autres organes mâles.
Définitif Steffy?
Oui sauf cas médical monsieur.
Et toi Benoit? Du changement?
Non maîtresse , enfin si, je ne porte plus de cage mais j'ai les poids encore. J'ai soulevé ma robe de bure. Les poids étiraient mes boules les laissant battre entre mes cuisses. Comme à chaque fois que j'avais le sexe libre et à l'air, je bandais gland dégagé du prépuce.
Alors , toi qui a eu le temps , comment est la cave?
Très bien équipée maître. Ote ta bure et montre nous le chemin. J'ai descendu l'escalier en colimaçon et ils ont été ahuris par le matériel. Il ne s'embêtait pas l'ancien. Monte sur ce tonneau, couche toi, ventre sur le bois et cuisses qui entourent le fût. Recule un peu. Là parfait, ne bouges pas il faut que tu subisses sans entraves.
Il a attrapé un spéculum qu'il a graissé avant de l'introduire dans mon fondement. L'objet n'était pas énorme mais froid. J'ai entendu le premier déclic et senti mon trou s'ouvrir, sans trop de douleur habitié à la queue à cet endroit. Le deuxième déclic m'a fait un peu remuer, j'ai reçu un coup sur les fesses. Ne bouges pas!
Au troisième clic j'ai senti l'air à l'intérieur de moi, Je ne voyais pas mais je sentais bien mon trou ouvert , un doigt a du passer sans toucher le métal car j'en ai senti le bout dans ma paroi intestinale. Aller encore un et je passe à autre chose tu donnes des idées lopette.
Je n'ai pu empêcher un cri au clic suivant avant que je m'habitue à la sensation étrange . Ne bouge pas je prends une photo de l'intérieur de toi.
Je me cramponnais au fût, j'ai vu mon ombre sur le mur au moment du flash puis il a défait le spéculum, me laissant la sensation d'avoir encore le trou ouvert ce qui était faux, je l'ai constaté des doigts . J'avais, au toucher des bourrelets à l'entrée de l'anus, qui allait j'espère se dégonfler. C'est dans cette position désavantageuse pour moi que j'ai entendu une cavalcade dans l'escalier et que quatre mecs cagoulés sont entrés, ont saisi mes deux tortionnaires et Steffy qui ne s'est pas débattu.
Eux ont résistés mais maîtrisés et saucissonnés Ils ont été remonté dans la grande salle. Je les ai suivi difficilement, l'anus me lançant encore.
Le dernier maître vivant a décidé de ne plus vous voir et vous pouvez reprendre vos véhicules pour rentrer . Le nouveau reste seul. Ils m'ont lancé des regards furieux mais Une fois détachés ils n'ont eu d'autre choix que de partir. J'allais remercier mes sauveurs mais j'ai été arrêté d'un mot.
La satisfaction du maître est la nôtre. Nous nous retirons le jeune Xavier attends dehors dans la voiture de monsieur. Ils sont partis sans un mot de plus. Dehors en effet une fois remis ma bure il y avait Xavier au volant d'une BMW noir mat. Il en est sorti en bure , la voiture s'est fermée d'un clic.
Re-Bonjour maître.
Entre et explique moi.