Le contrat d'Alysha, chapitre 7
Récit érotique écrit par Coloredbirdonaroof [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-01-2011 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le contrat d'Alysha, chapitre 7
- Bien dormi ?
J'ouvris des yeux ensommeillés. Cathy, décoiffée, lunettes rondes sur le nez, me titilla le cou avec sa langue, m'embrassa les lèvres, et grimpa sur moi, tendrement. Elle portait une des nuisettes en soie d'Alysha, trop grande pour elle, ses petits seins nageaient dans le tissu ample du vêtement. Je tournai la tête. Alysha n'était pas dans la pièce. M'étirai. Cathy sourit, et commença à remuer le bassin sur mon bas-ventre, ses mains appuyées sur ma poitrine nue. Elle se pencha pour m'embrasser encore - je m'inquiétai vaguement de mon haleine - sa langue leste cherchant la mienne. Une de ses mains glissa sous elle, serpentant sur mon ventre, cherchant mon pénis, qu'elle trouva, et, semblant satisfaite de la raideur matinale que connaissent bien les hommes au réveil, entreprit de se l'enfiler dans la chatte sans attendre.
Je fermais les yeux en souriant. Elle écartait les cuisses et allait, venait, allait, venait sur moi, en soupirant d'aise, gémissant presque en soupirant.
- Je t'aime je t'aime je t'aime je t'aime.
Je l'attirai à moi et l'embrassai à pleine bouche tout en faisant glisser la nuisette le long de ses bras, pour découvrir ses seins mutins et les sentir, pressés contre ma poitrine. Je caressai son dos satiné, m'arrêtant sur ses grains de beauté épars dont je traçai le contour avec l'index, me noyant dans le plaisir qui me prenait le ventr, la tension qui montait dans mon gland. La jouissance menaçait, et je la laissait m'envahir complètement. Les coups de reins de la rouquine accélérèrent, elle me massait littéralement la bite avec sa chatte, j'explosai en elle, relevant la tête dans son cou, respirant ses cheveux lisses couleur feu. Elle appuya son hymen contre mon sexe, imprimant des petits mouvements saccadés, accueillant ma semence en souriant.
- Ooh... ooh... mmmh... ça c'est bon, hein ? Ouh le cochon...
Elle m'embrassa encore, se retira, et vint masser sa chatte poisseuse sur mes abdos, puis remonta sur ma poitrine, et jusque mon visage. Elle colla son minou roux sur mon menton, sur mon nez, je la suçai sans hâte, à peine gêné par le sperme qui dégoulinait sur ma langue, et que j'étalai le long de ses lèvres fermes, à peine poilues. Je sursautai quand je sentis Alysha me prendre en bouche - je ne l'avais pas entendue entrer - et entreprendre de me nettoyer la bite en me mordillant doucement le gland.
Cathy s'aperçut de la présence de ma compagne, se retourna, s'allongea sur moi comme sur un matelas, et, jambes écartées, lui présenta son sexe collant et luisant. Alysha n'hésita pas un instant et plongea sa langue dans l'antre salé, en me branlant consciencieusement.
J'enfonçai mon visage dans le cou et les cheveux de la petite rousse et me laissai porter par ses gémissements.
Je me demandai vaguement combien de temps la petite Cathy allait partager notre lit - et si Alysha faisait ça uniquement par culpabilité ou parce qu'elle y trouvait aussi son compte. Je souris. Aucune jalousie ne m'étreignait le cœur en cet instant. Et ça, c'était nouveau !
***
L'accalmie avait été de courte durée
J'étais devant mon ordi, à relire ce mail pour la troisième fois.
Bléry.
Toujours Bléry.
Un flash devant mes yeux, Bléry et Alysha, enlacés. Bléry et Alysha, sexes entremêlés. Alysha, à genoux, offerte, abandonnée, et la queue énorme qui la limait, lui déchirant le cul. Gémissant de plaisir.
J'invoquais des contre-flashs, consciemment, Cathy, nue sur moi, ses taches de rousseur sous mes lèves, ses petits seins dressés. Lisa, qui me suçait, dans sa tenue de secrétaire stricte, chemisier ouvert. Alysha, me suppliant de la sodomiser.
L'angoisse reculait.
Je relus le mail.
" Cher Monsieur Fresnel,
Vous avez pu voir de manière non-équivoque la teneur de l'avenant au contrat que votre cliente a passé avec ma société, et plus particulièrement avec moi - qui consiste avant tout à une obéissance sans faille. J'ai apprécié votre participation passive à cette démonstration - et ma secrétaire aussi, si j'en crois la description très vivante qu'elle m'en a faite - et je vous invite donc à la prochaine entrevue avec Mlle Rocher, à laquelle, si vous le souhaitez, vous pourrez prendre part de manière plus active.
Prenez contact avec Lisa pour confirmer votre présence,
Cordialement,
V. BLERY D.G."
Il en était donc ainsi ? Je devenais moi aussi son jouet ? Une partie de son plaisir à lui !???
Quel camouflet ! J'avais honte.
Et Lisa, qui lui avait tout raconté !!! Je m'étais douté qu'elle avait été là sur ordre de son patron, mais j'avais espéré qu'elle m'avait trouvé mignon et que c'est la raison pour laquelle elle m'avait fait profité de ses charmes. Sa langue pointue sous mon gland... Son petit cul qui s'écartait sous sa jupe... L'urgence du plaisir ressenti, partagé...
J'avais conscience de ma bite, en érection dans mon pantalon.
J'étais excité. Mais je savais que je ne pouvais pas accepter ! Sauter Alysha devant son patron ! C'en serait fini. La mascarade serait terminée.
Et si j'acceptais ? Quelle humiliation pour elle ! La voir me supplier du regard. La voir, rongée par la culpabilité, exposée dans son indécence, sa trahison révélée au grand jour. La regarder, impuissante, subir mes coups de bite.
J'étais un minable.
La honte menaçait de me submerger. L'excitation aussi.
Que faire ?
Je dézippai ma braguette, toujours devant l'ordinateur, et relus le mail pour la cinquième fois en me masturbant doucement.
Mon destin et celui de mon couple étaient tout tracés.
Tout droit vers la catastrophe.
J'irais. Je la baiserais.
Elle me quitterait.
Elle appartiendrait définitivement à Bléry et à ses amis.
Le temps de tomber le masque était venu.
J'attrapai le téléphone, et composai le numéro de Bléry d'une main tremblante.
Lisa, la secrétaire dont je humais presque le parfum à travers le combiné, décrocha.
Je me branlai plus fort.
***
- Vous voyez, messieurs, les modèles que nous présente Mlle Rocher sont tout à fait adaptés à la cible habituelle de votre société, des femmes CSP+, qui passent leurs vacances dans les campings naturistes et semi-naturistes du Sud de la France.
J'étais dans la petite salle aux miroirs sans tain, seul. Alysha avait présenté cinq maillot de bains tous plus affriolants et appétissants les uns que les autres, debout sur la table de conférence. Ses longs cheveux retombaient sur ses seins gonflés. Elle avait l'air coquin, et mettait ses formes parfaites en avant, pour s'attirer les faveurs des trois hommes présents, représentants d'une grand fabrique de sous-vêtements de luxe. Jusqu'à présent, j'avais réussi à ne pas me masturber devant le spectacle. Bléry ne me trouverait pas bite à la main quand il viendrait me "faire participer", quoi qu'il entende par ce terme.
- Mlle Rocher, passez le dernier modèle, s'il-vous-plaît.
- Bien, Monsieur.
Elle tira lentement sur la ficelle de son haut fuschia, et l'ôta timidement. Ses deux grosses loches nues explosèrent au grand jour. Les clients avaient les mains sous la table. J'étais sûr qu'ils se caressaient discrètement.
Le string assorti tomba à son tour, Alysha sourit en enfilant le nouveau maillot.
- Imaginez, continua Bléry, cette jeune cadre dynamique, sortant de l'eau, une femme à hommes, cherchant un partenaire pour l'après-midi dans les dunes... Vous la préférez complètement nue, ou dans ce petit maillot blanc deux pièces, qui met en valeur ses gros seins, et qui devient totalement transparent une fois mouillé ? Mlle, Rocher, si vous voulez bien procéder...
Alysha s'accroupit en écartant les jambes ostensiblement, la ficelle du string disparut entre les lobes généreux de ses fesses, et saisit une bouteille d'eau destinée aux commerciaux présents. Elle se releva, et, rejetant la tête en arrière, s'aspergea la poitrine et le ventre. Elle avait l'air d'y prendre du plaisir, mais je vis à ses yeux que ça lui coûtait de se donner en spectacle de cette manière. Ou peut-être était-ce ainsi que je me rassurais... Les clients, hypnotisés, ne perdaient rien des gouttes qui coulaient sur le corps gracile de ma compagne.
- En été, imaginez l'effet de cette naïade sortie de l'eau. Elle ne porte pas les maillots de la concurrence, non, elle porte nos produits à nous. Croyez-moi, messieurs, lorsque nous les commercialiserons, les petites bourgeoises en mal de sexe se les arracheront. On créera des plages entières réservées aux femmes portant les modèles de Mlle Rocher.
L'un des commerciaux s'humecta les lèvres.
- Mr Bléry... Effectivement, comme ça, de loin, le maillot est affriolant. Cependant... je voudrais pouvoir sentir la matière sous mes doigts lorsqu'elle est ainsi mouillée. Puis-je ?
Les deux autres hochèrent la tête avidement.
Bléry sourit. Il savait que la partie était gagnée. Il fit un clin d'oeil à Alysha, qui vint s'asseoir sur le rebord de la table, jambes écartées, devant l'homme. Elle lui décocha un sourire ravageur, saisit sa main dans la sienne et la posa sur son sein. La seconde main du type attrapa le second sein.
- Très agréable.
Il la pelota un instant, écarta le tissu humide et exposa les deux nichons de mon Alysha en continuant à les caresser.
- La matière est souple, bien élastique... voyons...
Sa main droite descendit vers le string, et y glissa les doigts. Je devinai sans peine ce qu'il titillait.
Ma compagne se tendit.
Les deux autres types se levèrent pour tâter la marchandise à leur tour.
- Messieurs, messieurs, intervint Bléry, vous êtes des gentlemen... vous n'allez pas ainsi peloter Mlle Rocher dans une salle de réunion, vous êtes tout de même les représentants d'une marque de prestige...
Le premier type parut déçu, mais ôta ses mains. Les autres se rassirent.
- Mlle Rocher, veuillez vous rhabiller et mener ces messieurs dans mon bureau, s'il-vous-plaît. Vous veillerez à leur confort le temps que j'aille préparer le contrat à signer.
- Bien Monsieur.
- Oh, et quand je dis "confort"... vous me comprenez, n'est-ce pas ?
Alysha hocha la tête sans rien dire, descendit de la table et alla récupérer ses vêtements - un chemisier d'un bleu criard et une jupe plissée assortie.
- Je pense, ajouta Bléry, que la culotte et le soutien-gorge ne vous seront pas utiles...vous pouvez garder votre maillot sur vous, plutôt... Je vous vois tout-à-l'heure, messieurs.
Ils sortirent de la pièce. J'actionnai le bouton qui me permettrait de voir le bureau de Bléry par le miroir sans tain. Je ne me faisais aucune illusion quant au spectacle qui allait m'être offert. Je fis taire ma jalousie, et dégrafai mon pantalon.
Les trois hommes entrèrent dans le bureau de Bléry, suivis par Alysha, qui referma soigneusement la porte derrière elle.
Elle eut un sourire incertain.
- Messieurs...Le désir de Mr Bléry est que je vous... que je... comment dire ? Pour faire simple, Mr Bléry désire que je vous satisfasse sexuellement. Et je veux faire plaisir à Mr Bléry. Approchez.
Les trois hommes sourirent à leur tour et s'approchèrent, puis commencèrent à la peloter. Les mains se posèrent entre ses seins, et coururent sous sa jupe, les baisers couvrirent son cou et ses lèvres.
Elle les embrassa tour à tour, un vrai baiser, avec langue, yeux fermés et soupir de contentement à la limite du gémissement, en les enlaçant de ses bras délicats, et en pressant son corps sylphide contre eux.
- Cependant... dit-elle en haletant alors que l'un des types, un grand blond au teint hâlé, un peu fat pour sa taille, lui dégrafai son chemisier, tandis qu'un autre, brun, petit, très apprêté, remontait sa jupe le long de ses cuisses -... cependant... bien que j'aime satisfaire les désirs de mon patron, je suis mariée, ou c'est tout comme...
Je me demandai où elle voulait en venir. Elle s'agenouilla devant le troisième type, brun, grand, parfait, très beau, et entreprit de déboutonner son pantalon, de lui baisser sa braguette, et d'en sortir la bite tendue, qu'elle plaça juste devant sa bouche en s'humectant les lèvres. Les deux autres se placèrent à sa droite et à sa gauche. Elle sortit leurs sexes en érection de la même manière, et les branla chacun dans une main en haletant discrètement. Puis elle les regarda d'un air adorablement coquin.
- Ouh, les belles queues, je vais me régaler... Est-ce que l'un de vous peut me prêter son téléphone ?
Le brun fut le plus rapide à réagir. Il sortit son portable de sa veste et le lui tendit.
- Tiens, chérie.
Alysha composa un numéro. Mon portable se mit à vibrer dans ma poche. Heureusement que je l'avais mis sur silencieux en entrant ici ! Je le sortis en tremblant et décrochai.
- Allô ? dis-je en chuchotant presque.
Alysha sourit. Elle caressait toujours les bites des commerciaux, lentement. Elle semblait particulièrement apprécier celle du beau brun, et le branlai avec une application moins mécanique, plus sensuelle. Mon coeur se tordait de jalousie et d'excitation.
- Chéri, j'ai quelque chose à te demander.
- Je... oui ? ... je t'écoute.
Elle frotta son menton contre la queue qu'elle avait dans la main.
- Notre couple évolue, nos rapports sexuels aussi... je t'ai amené Cathy dans notre lit et tu en as bien profité...
- Je...
Alysha posa presque ses lèvres sur la pine du gars à sa droite.
- Ne m'interromps pas. Mon patron m'a demandé de veiller au confort de trois de nos clients. Je les ai allumés en essayant mes maillots devant eux.
- Allumés ? dis-je d'une voix faible.
- Allumés. Je sais que tu aimes que des hommes bandent en me matant. Tu me l'as assez dit. Mais mon patron pense que je devrais aller plus loin.
- Je... oui... enfin... comment ça ?
Elle sourit.
- Ils sont devant moi, en ce moment. Je suis à genoux, ils ont leurs sexes pointés sur moi. C'est moi qui ai fait glisser leurs braguettes, c'est moi qui les ai déshabillés.
- Co... comment ?
- Et je veux ton autorisation pour les sucer.
J'étais estomaqué par sa hardiesse. Glacé. J'étais aussi ému. Je m'en rendis compte avec surprise. Emu par son honnêteté, finalement, elle ne me mentait plus. Emu, pine à la main, j'étais ridicule, ridicule et soulagé.
- Je... comprends.
- Tu n'es pas fâché ?
- Disons... que... non. Non. Suce-les, si ça te plaît. Fais-le maintenant. Pendant que je t'écoute.
- Merci, mon chéri. Tu es un coquin quand même, mon amour... Ecoute ça. Mmmh...
Elle engloutit la pine du beau brun, et la lécha dans un bruit de succion audible, pour mon bénéfice. Un frisson de plaisir et toujours de jalousie me parcourut en la regardant - et l'entendant de près - sucer cette queue nouvelle. Je me masturbai en silence.
- Slllurp, elle est grosse et bonne.... chéri ?
- Oui ?
- Est-ce que ça te fait de l'effet, amour ? Est-ce que ça te fait bander de m'entendre sucer un autre homme au téléphone ?
La bougresse. Elle me connaissait bien.
- Oui.
- Est-ce que tu veux te toucher pendant que je suce ?
- Je... Je me touche déjà, là.
- Ouh, tu m'excites, amour...Tu veux que je les laisse me sauter ? Est-ce que ça t'exciterait ? Mmmh... MMmh
Elle reprit sa pipe, en tenant toujours le téléphone à son oreille. Je déglutis.
- Tu... Tu en as envie ? Tu as envie qu'ils te... qu'ils te baisent ?
Alysha remonta la langue le long de la bite en hochant la tête négativement.
- Non, mon chéri, mais mon patron... mon patron le voudrait. Il y a un gros marché à la clé. N'est-ce pas, messieurs ?
Les trois hommes hochèrent la tête vigoureusement, en répondant:
- Oui, ma belle, plein d'oseille pour nos deux sociétés, et de beaux petits culs sur les plages cet été.
- Tu vois, chéri. On gagnera mieux notre vie. Attends, écoute, je suce le deuxième. Mmmh... et le troisième... Mmmh
Alysha pompait, et pompait encore. Je ne voyais pas sa bouche, elle me tournait le dos maintenant, juste les mouvements de sa tête qui allaient et venaient vers le ventre du troisième type, avec un léger mouvement de rotation qui m'indiquait qu'elle lui faisait une pipe très complète,, très appliquée. Il plongea ses mains dans les cheveux de ma belle et les caressa.
- OK, dis-je dans un chuchotement à peine audible. Laisse-les te prendre. Tu me raconteras ?
Elle repoussa le type pour me répondre.
- Oui, amour. Merci. A ce soir.
- A ce soir.
- Oh, Denis ?
- Oui ?
Elle lécha le gland du brun d'une langue joueuse.
-Je t'aime. N'en doute jamais. Il n'y a que toi, dans ma vie.
- Je t'aime aussi. Amuse... amuse-toi bien.
- Oh, ça oui, je vais bien m'amuser...!
Elle raccrocha en souriant et tendit son téléphone au beau brun.
- Messieurs, je suis toute à vous !
Elle ôta les pantalon des trois types, chacun son tour, en prenant chacune des bites entre ses lèvres, et en les gobant entièrement à chaque fois.
Puis, toujours à quatre pattes, elle releva sa jupe lentement, exposant son superbe derrière. Le triangle du string montrait à quel endroit la ficelle lui entrait dans le cul, perdue entre les lobes généreux. J'étais jaloux. Mais je me branlais de plus en plus fort, excité comme jamais. Ou comme toujours, plutôt, à bien y réfléchir. Chaque fois qu'elle se donnait à un inconnu, je souffrais, certes, mais le désir de regarder, de mater, et de la baiser, n'en était que plus violent.
Le brun, qui semblait mener le groupe, s'agenouilla derrière Alysha, écarta son string, et frotta son long sexe sur la chatte fraîche.
- C'est qu'elle est trempée, la cochonne... Vous vous faites troncher par tous vos clients ?
- Ouh. non, monsieur, seulement les clients importants..... ouh ça c'est bon... continuez...
Il fit aller et venir sa bite dans la fente trempée, lentement, délicatement. Je l'enviais. Pourquoi Lisa n'était-elle pas venue aujourd'hui ? Je me la serai bien sautée en regardant le spectacle... J'entendis la porte glisser et se refermer derrière moi, mais n'y pris pas garde. Je me retournai inconsciemment, et sursautai en découvrant Bléry qui m'observait , l'air malicieux. J'étais devant lui bite à la main, en train de mater comme un puceau ! Je remontai hâtivement mon slip et mon pantalon. Il s'approcha de moi, défit sa braguette, sortit son énorme braquemart de son costume, et, sans aucune gêne, entama une masturbation appliquée.
- Alors, l'avocat, dit-il doucement en tirant sur sa pine, on s'astique bien ? Elle est bonne, non ?
Je hochai la tête sans rien dire. Alysha tendait le cul en arrière, se cambrait, en suppliant le mec de "la lui mettre bien profond" (je cite). Elle gémit comme une salope lorsque l'engin la pénétra, d'un coup de reins bien calibré, et elle ondula son cul rebondi en cherchant clairement l'orgasme le plus rapide possible. Elle se tourna vers les deux autres types, qui se branlaient en silence en la regardant se faire sauter.
- Vos queues, dans ma bouche, vite ! dit-elle d'un air effronté.
Ils vinrent se placer devant elle, à genoux, afin qu'elle gobe les deux queues en même temps, ce qu'elle s'empressa de faire. La cambrure de son cul s'accentua quand le beau brun se mit à accélérer la cadence, harponnant la chatte fragile de sa bite veinée.
Bléry se masturbait plus vite maintenant.
- Au fait, ça ne vous gêne pas que je me branle ?
Je fis signe que non.
- Vous devriez faire de même.
J'acquiesçai. Alysha suçait, pompait, comme une déesse, langue sortie. Le beau brun passa devant elle, laissant sa place au gars plus trapu, qui planta sa bite épaisse dans la fente rose de ma compagne sans même l'y frotter pour l'humidifier. Alysha se tendit, et gémit plus fort encore. Une main disparut sous elle, et je sus qu'elle se touchait le clito pour accentuer son plaisir.
- Allez, l'avocat, branlez-vous, que diable ! J'ai l'air d'un con, tout seul, comme ça. Faites pas votre timide !
Ma main descendit vers mon slip, dans lequel je plongeai ma main, lentement. Ma bite était presque molle maintenant. Je tirai dessus et elle durcit entre mes doigts en un instant. Je m'astiquai en silence, aux côtés d'un Bléry extatique.
- Ah, croyez-moi, l'avocat, elle aime la queue, votre cliente. Et je vais lui en donner, jusqu'à plus soif. A commencer par la vôtre.
Je sursautai. Le troisième type tronchait ma compagne avec ardeur. Il n'allait pas tarder à venir.
- Pardon ?
- Allons, mon vieux, je vous l'offre sur un plateau. Elle fait tout ce que je lui dis de faire. Vous voyez bien : elle trompe son mec sans états d''âmes, elle se tape tout ce qui bouge - elle a sucé mes collaborateurs, s'est laissée sodomiser sans broncher, et elle en redemande. Si je lui dis de vous baiser, elle vous fera la totale. Sodomie comprise. Vous venez, on se la fait tout de suite. Vous avez déjà enculé une femme ?
Je paniquais. Si Alysha me voyait, c'en serait fini de notre couple !
- Je ne peux pas faire ça, Mr Bléry. Je tiens à ce que Mlle Rocher reste ma cliente. Peut-être acceptera-t-elle de se déshonorer si vous le lui ordonnez, mais...
- Contrainte ? m'interrompit Bléry. Pas contrainte, c'est une pute, je vous dis, elle ne demande que ça. Et je parle d'expérience : c'est la plus chaude de toutes celles que j'ai pu baiser avec mes contrats spéciaux.
Je ne relevai pas l'allusion. Apparemment, Alysha n'était donc pas la première à jouer à l'esclave romaine pour lui... Je secouai la tête.
- Néanmoins, je crains qu'elle ne cesse toute collaboration avec moi si elle apprend que je sais ce qu'implique cet avenant que vous avez signé avec elle... je ne peux pas prendre ce risque !
Bléry hocha la tête pensivement.
Alysha gémissait très fort maintenant, et se plantait de toutes ses forces contre le beau brun, qui avait repris sa place derrière le cul de ma compagne, et la prenait toujours en levrette. Je regardais son cul onduler sur la pine, ses deux seins exposés mais le haut de maillot toujours en place autour de la poitrine, et le chemisier toujours sur les épaules, miraculeusement. Le trapu se faisait sucer avec application, la bouche épaisse de mon Alysha traçant à coups de langue tout le contour de son énorme gland violacé. Le troisième attendait patiemment son tour, bite droite sous son nez.
Le brun se mit à ahaner et, sortant d'un coup son engin de la chatte brûlante, explosa en jets épais sur le cul rebondi. Il en zébra les lobes généreusement, atteignant facilement la jupe relevée et le petit triangle de tissu qui bordait toujours la raie sur laquelle il se frottait en soupirant bruyamment. Il se branla jusqu'à la dernière goutte, et, à peine s'écarta-t-il que le trapu prit sa place.
Sa pine disparut dans la fente humide, Alysha reprit sa danse rapide avec entrain, en suçant le dernier gars, pantalon baissé autour des genoux. Elle goba la bite si loin que le mec ne put s'empêcher de venir. Alysha le branla rapidement sur ses lèvres fermées et son visage se couvrit du sperme gluant que le gland éructait en saccades rapides. Dégoulinante, elle se tourna vers le dernier qui la gamahuchait avec insistance.
- Allez, mon beau, fais-moi jouir avec ta grosse queue, mets-la moi tout au fond !
Le gars n'y tint plus, il éjecta son sexe de la vulve et jouis à son tour sur le cul déjà souillé. Alysha se plaqua au sol en se masturbant avec force gémissements.
- Ah, dit Bléry, ils ont terminé. Vous allez me suivre, l'avocat, et baiser cette pute. Vous n'avez pas le choix, de toutes façons: je lui révèlerai votre présence en ces murs si vous ne venez pas.
Il appuya sur un bouton. La porte glissa, s'ouvrant directement sur la pièce où Alysha prenait son pied.
Elle me tournait le dos.
Je suivis Bléry, la mine sombre.
Les masques tombaient enfin.
J'ouvris des yeux ensommeillés. Cathy, décoiffée, lunettes rondes sur le nez, me titilla le cou avec sa langue, m'embrassa les lèvres, et grimpa sur moi, tendrement. Elle portait une des nuisettes en soie d'Alysha, trop grande pour elle, ses petits seins nageaient dans le tissu ample du vêtement. Je tournai la tête. Alysha n'était pas dans la pièce. M'étirai. Cathy sourit, et commença à remuer le bassin sur mon bas-ventre, ses mains appuyées sur ma poitrine nue. Elle se pencha pour m'embrasser encore - je m'inquiétai vaguement de mon haleine - sa langue leste cherchant la mienne. Une de ses mains glissa sous elle, serpentant sur mon ventre, cherchant mon pénis, qu'elle trouva, et, semblant satisfaite de la raideur matinale que connaissent bien les hommes au réveil, entreprit de se l'enfiler dans la chatte sans attendre.
Je fermais les yeux en souriant. Elle écartait les cuisses et allait, venait, allait, venait sur moi, en soupirant d'aise, gémissant presque en soupirant.
- Je t'aime je t'aime je t'aime je t'aime.
Je l'attirai à moi et l'embrassai à pleine bouche tout en faisant glisser la nuisette le long de ses bras, pour découvrir ses seins mutins et les sentir, pressés contre ma poitrine. Je caressai son dos satiné, m'arrêtant sur ses grains de beauté épars dont je traçai le contour avec l'index, me noyant dans le plaisir qui me prenait le ventr, la tension qui montait dans mon gland. La jouissance menaçait, et je la laissait m'envahir complètement. Les coups de reins de la rouquine accélérèrent, elle me massait littéralement la bite avec sa chatte, j'explosai en elle, relevant la tête dans son cou, respirant ses cheveux lisses couleur feu. Elle appuya son hymen contre mon sexe, imprimant des petits mouvements saccadés, accueillant ma semence en souriant.
- Ooh... ooh... mmmh... ça c'est bon, hein ? Ouh le cochon...
Elle m'embrassa encore, se retira, et vint masser sa chatte poisseuse sur mes abdos, puis remonta sur ma poitrine, et jusque mon visage. Elle colla son minou roux sur mon menton, sur mon nez, je la suçai sans hâte, à peine gêné par le sperme qui dégoulinait sur ma langue, et que j'étalai le long de ses lèvres fermes, à peine poilues. Je sursautai quand je sentis Alysha me prendre en bouche - je ne l'avais pas entendue entrer - et entreprendre de me nettoyer la bite en me mordillant doucement le gland.
Cathy s'aperçut de la présence de ma compagne, se retourna, s'allongea sur moi comme sur un matelas, et, jambes écartées, lui présenta son sexe collant et luisant. Alysha n'hésita pas un instant et plongea sa langue dans l'antre salé, en me branlant consciencieusement.
J'enfonçai mon visage dans le cou et les cheveux de la petite rousse et me laissai porter par ses gémissements.
Je me demandai vaguement combien de temps la petite Cathy allait partager notre lit - et si Alysha faisait ça uniquement par culpabilité ou parce qu'elle y trouvait aussi son compte. Je souris. Aucune jalousie ne m'étreignait le cœur en cet instant. Et ça, c'était nouveau !
***
L'accalmie avait été de courte durée
J'étais devant mon ordi, à relire ce mail pour la troisième fois.
Bléry.
Toujours Bléry.
Un flash devant mes yeux, Bléry et Alysha, enlacés. Bléry et Alysha, sexes entremêlés. Alysha, à genoux, offerte, abandonnée, et la queue énorme qui la limait, lui déchirant le cul. Gémissant de plaisir.
J'invoquais des contre-flashs, consciemment, Cathy, nue sur moi, ses taches de rousseur sous mes lèves, ses petits seins dressés. Lisa, qui me suçait, dans sa tenue de secrétaire stricte, chemisier ouvert. Alysha, me suppliant de la sodomiser.
L'angoisse reculait.
Je relus le mail.
" Cher Monsieur Fresnel,
Vous avez pu voir de manière non-équivoque la teneur de l'avenant au contrat que votre cliente a passé avec ma société, et plus particulièrement avec moi - qui consiste avant tout à une obéissance sans faille. J'ai apprécié votre participation passive à cette démonstration - et ma secrétaire aussi, si j'en crois la description très vivante qu'elle m'en a faite - et je vous invite donc à la prochaine entrevue avec Mlle Rocher, à laquelle, si vous le souhaitez, vous pourrez prendre part de manière plus active.
Prenez contact avec Lisa pour confirmer votre présence,
Cordialement,
V. BLERY D.G."
Il en était donc ainsi ? Je devenais moi aussi son jouet ? Une partie de son plaisir à lui !???
Quel camouflet ! J'avais honte.
Et Lisa, qui lui avait tout raconté !!! Je m'étais douté qu'elle avait été là sur ordre de son patron, mais j'avais espéré qu'elle m'avait trouvé mignon et que c'est la raison pour laquelle elle m'avait fait profité de ses charmes. Sa langue pointue sous mon gland... Son petit cul qui s'écartait sous sa jupe... L'urgence du plaisir ressenti, partagé...
J'avais conscience de ma bite, en érection dans mon pantalon.
J'étais excité. Mais je savais que je ne pouvais pas accepter ! Sauter Alysha devant son patron ! C'en serait fini. La mascarade serait terminée.
Et si j'acceptais ? Quelle humiliation pour elle ! La voir me supplier du regard. La voir, rongée par la culpabilité, exposée dans son indécence, sa trahison révélée au grand jour. La regarder, impuissante, subir mes coups de bite.
J'étais un minable.
La honte menaçait de me submerger. L'excitation aussi.
Que faire ?
Je dézippai ma braguette, toujours devant l'ordinateur, et relus le mail pour la cinquième fois en me masturbant doucement.
Mon destin et celui de mon couple étaient tout tracés.
Tout droit vers la catastrophe.
J'irais. Je la baiserais.
Elle me quitterait.
Elle appartiendrait définitivement à Bléry et à ses amis.
Le temps de tomber le masque était venu.
J'attrapai le téléphone, et composai le numéro de Bléry d'une main tremblante.
Lisa, la secrétaire dont je humais presque le parfum à travers le combiné, décrocha.
Je me branlai plus fort.
***
- Vous voyez, messieurs, les modèles que nous présente Mlle Rocher sont tout à fait adaptés à la cible habituelle de votre société, des femmes CSP+, qui passent leurs vacances dans les campings naturistes et semi-naturistes du Sud de la France.
J'étais dans la petite salle aux miroirs sans tain, seul. Alysha avait présenté cinq maillot de bains tous plus affriolants et appétissants les uns que les autres, debout sur la table de conférence. Ses longs cheveux retombaient sur ses seins gonflés. Elle avait l'air coquin, et mettait ses formes parfaites en avant, pour s'attirer les faveurs des trois hommes présents, représentants d'une grand fabrique de sous-vêtements de luxe. Jusqu'à présent, j'avais réussi à ne pas me masturber devant le spectacle. Bléry ne me trouverait pas bite à la main quand il viendrait me "faire participer", quoi qu'il entende par ce terme.
- Mlle Rocher, passez le dernier modèle, s'il-vous-plaît.
- Bien, Monsieur.
Elle tira lentement sur la ficelle de son haut fuschia, et l'ôta timidement. Ses deux grosses loches nues explosèrent au grand jour. Les clients avaient les mains sous la table. J'étais sûr qu'ils se caressaient discrètement.
Le string assorti tomba à son tour, Alysha sourit en enfilant le nouveau maillot.
- Imaginez, continua Bléry, cette jeune cadre dynamique, sortant de l'eau, une femme à hommes, cherchant un partenaire pour l'après-midi dans les dunes... Vous la préférez complètement nue, ou dans ce petit maillot blanc deux pièces, qui met en valeur ses gros seins, et qui devient totalement transparent une fois mouillé ? Mlle, Rocher, si vous voulez bien procéder...
Alysha s'accroupit en écartant les jambes ostensiblement, la ficelle du string disparut entre les lobes généreux de ses fesses, et saisit une bouteille d'eau destinée aux commerciaux présents. Elle se releva, et, rejetant la tête en arrière, s'aspergea la poitrine et le ventre. Elle avait l'air d'y prendre du plaisir, mais je vis à ses yeux que ça lui coûtait de se donner en spectacle de cette manière. Ou peut-être était-ce ainsi que je me rassurais... Les clients, hypnotisés, ne perdaient rien des gouttes qui coulaient sur le corps gracile de ma compagne.
- En été, imaginez l'effet de cette naïade sortie de l'eau. Elle ne porte pas les maillots de la concurrence, non, elle porte nos produits à nous. Croyez-moi, messieurs, lorsque nous les commercialiserons, les petites bourgeoises en mal de sexe se les arracheront. On créera des plages entières réservées aux femmes portant les modèles de Mlle Rocher.
L'un des commerciaux s'humecta les lèvres.
- Mr Bléry... Effectivement, comme ça, de loin, le maillot est affriolant. Cependant... je voudrais pouvoir sentir la matière sous mes doigts lorsqu'elle est ainsi mouillée. Puis-je ?
Les deux autres hochèrent la tête avidement.
Bléry sourit. Il savait que la partie était gagnée. Il fit un clin d'oeil à Alysha, qui vint s'asseoir sur le rebord de la table, jambes écartées, devant l'homme. Elle lui décocha un sourire ravageur, saisit sa main dans la sienne et la posa sur son sein. La seconde main du type attrapa le second sein.
- Très agréable.
Il la pelota un instant, écarta le tissu humide et exposa les deux nichons de mon Alysha en continuant à les caresser.
- La matière est souple, bien élastique... voyons...
Sa main droite descendit vers le string, et y glissa les doigts. Je devinai sans peine ce qu'il titillait.
Ma compagne se tendit.
Les deux autres types se levèrent pour tâter la marchandise à leur tour.
- Messieurs, messieurs, intervint Bléry, vous êtes des gentlemen... vous n'allez pas ainsi peloter Mlle Rocher dans une salle de réunion, vous êtes tout de même les représentants d'une marque de prestige...
Le premier type parut déçu, mais ôta ses mains. Les autres se rassirent.
- Mlle Rocher, veuillez vous rhabiller et mener ces messieurs dans mon bureau, s'il-vous-plaît. Vous veillerez à leur confort le temps que j'aille préparer le contrat à signer.
- Bien Monsieur.
- Oh, et quand je dis "confort"... vous me comprenez, n'est-ce pas ?
Alysha hocha la tête sans rien dire, descendit de la table et alla récupérer ses vêtements - un chemisier d'un bleu criard et une jupe plissée assortie.
- Je pense, ajouta Bléry, que la culotte et le soutien-gorge ne vous seront pas utiles...vous pouvez garder votre maillot sur vous, plutôt... Je vous vois tout-à-l'heure, messieurs.
Ils sortirent de la pièce. J'actionnai le bouton qui me permettrait de voir le bureau de Bléry par le miroir sans tain. Je ne me faisais aucune illusion quant au spectacle qui allait m'être offert. Je fis taire ma jalousie, et dégrafai mon pantalon.
Les trois hommes entrèrent dans le bureau de Bléry, suivis par Alysha, qui referma soigneusement la porte derrière elle.
Elle eut un sourire incertain.
- Messieurs...Le désir de Mr Bléry est que je vous... que je... comment dire ? Pour faire simple, Mr Bléry désire que je vous satisfasse sexuellement. Et je veux faire plaisir à Mr Bléry. Approchez.
Les trois hommes sourirent à leur tour et s'approchèrent, puis commencèrent à la peloter. Les mains se posèrent entre ses seins, et coururent sous sa jupe, les baisers couvrirent son cou et ses lèvres.
Elle les embrassa tour à tour, un vrai baiser, avec langue, yeux fermés et soupir de contentement à la limite du gémissement, en les enlaçant de ses bras délicats, et en pressant son corps sylphide contre eux.
- Cependant... dit-elle en haletant alors que l'un des types, un grand blond au teint hâlé, un peu fat pour sa taille, lui dégrafai son chemisier, tandis qu'un autre, brun, petit, très apprêté, remontait sa jupe le long de ses cuisses -... cependant... bien que j'aime satisfaire les désirs de mon patron, je suis mariée, ou c'est tout comme...
Je me demandai où elle voulait en venir. Elle s'agenouilla devant le troisième type, brun, grand, parfait, très beau, et entreprit de déboutonner son pantalon, de lui baisser sa braguette, et d'en sortir la bite tendue, qu'elle plaça juste devant sa bouche en s'humectant les lèvres. Les deux autres se placèrent à sa droite et à sa gauche. Elle sortit leurs sexes en érection de la même manière, et les branla chacun dans une main en haletant discrètement. Puis elle les regarda d'un air adorablement coquin.
- Ouh, les belles queues, je vais me régaler... Est-ce que l'un de vous peut me prêter son téléphone ?
Le brun fut le plus rapide à réagir. Il sortit son portable de sa veste et le lui tendit.
- Tiens, chérie.
Alysha composa un numéro. Mon portable se mit à vibrer dans ma poche. Heureusement que je l'avais mis sur silencieux en entrant ici ! Je le sortis en tremblant et décrochai.
- Allô ? dis-je en chuchotant presque.
Alysha sourit. Elle caressait toujours les bites des commerciaux, lentement. Elle semblait particulièrement apprécier celle du beau brun, et le branlai avec une application moins mécanique, plus sensuelle. Mon coeur se tordait de jalousie et d'excitation.
- Chéri, j'ai quelque chose à te demander.
- Je... oui ? ... je t'écoute.
Elle frotta son menton contre la queue qu'elle avait dans la main.
- Notre couple évolue, nos rapports sexuels aussi... je t'ai amené Cathy dans notre lit et tu en as bien profité...
- Je...
Alysha posa presque ses lèvres sur la pine du gars à sa droite.
- Ne m'interromps pas. Mon patron m'a demandé de veiller au confort de trois de nos clients. Je les ai allumés en essayant mes maillots devant eux.
- Allumés ? dis-je d'une voix faible.
- Allumés. Je sais que tu aimes que des hommes bandent en me matant. Tu me l'as assez dit. Mais mon patron pense que je devrais aller plus loin.
- Je... oui... enfin... comment ça ?
Elle sourit.
- Ils sont devant moi, en ce moment. Je suis à genoux, ils ont leurs sexes pointés sur moi. C'est moi qui ai fait glisser leurs braguettes, c'est moi qui les ai déshabillés.
- Co... comment ?
- Et je veux ton autorisation pour les sucer.
J'étais estomaqué par sa hardiesse. Glacé. J'étais aussi ému. Je m'en rendis compte avec surprise. Emu par son honnêteté, finalement, elle ne me mentait plus. Emu, pine à la main, j'étais ridicule, ridicule et soulagé.
- Je... comprends.
- Tu n'es pas fâché ?
- Disons... que... non. Non. Suce-les, si ça te plaît. Fais-le maintenant. Pendant que je t'écoute.
- Merci, mon chéri. Tu es un coquin quand même, mon amour... Ecoute ça. Mmmh...
Elle engloutit la pine du beau brun, et la lécha dans un bruit de succion audible, pour mon bénéfice. Un frisson de plaisir et toujours de jalousie me parcourut en la regardant - et l'entendant de près - sucer cette queue nouvelle. Je me masturbai en silence.
- Slllurp, elle est grosse et bonne.... chéri ?
- Oui ?
- Est-ce que ça te fait de l'effet, amour ? Est-ce que ça te fait bander de m'entendre sucer un autre homme au téléphone ?
La bougresse. Elle me connaissait bien.
- Oui.
- Est-ce que tu veux te toucher pendant que je suce ?
- Je... Je me touche déjà, là.
- Ouh, tu m'excites, amour...Tu veux que je les laisse me sauter ? Est-ce que ça t'exciterait ? Mmmh... MMmh
Elle reprit sa pipe, en tenant toujours le téléphone à son oreille. Je déglutis.
- Tu... Tu en as envie ? Tu as envie qu'ils te... qu'ils te baisent ?
Alysha remonta la langue le long de la bite en hochant la tête négativement.
- Non, mon chéri, mais mon patron... mon patron le voudrait. Il y a un gros marché à la clé. N'est-ce pas, messieurs ?
Les trois hommes hochèrent la tête vigoureusement, en répondant:
- Oui, ma belle, plein d'oseille pour nos deux sociétés, et de beaux petits culs sur les plages cet été.
- Tu vois, chéri. On gagnera mieux notre vie. Attends, écoute, je suce le deuxième. Mmmh... et le troisième... Mmmh
Alysha pompait, et pompait encore. Je ne voyais pas sa bouche, elle me tournait le dos maintenant, juste les mouvements de sa tête qui allaient et venaient vers le ventre du troisième type, avec un léger mouvement de rotation qui m'indiquait qu'elle lui faisait une pipe très complète,, très appliquée. Il plongea ses mains dans les cheveux de ma belle et les caressa.
- OK, dis-je dans un chuchotement à peine audible. Laisse-les te prendre. Tu me raconteras ?
Elle repoussa le type pour me répondre.
- Oui, amour. Merci. A ce soir.
- A ce soir.
- Oh, Denis ?
- Oui ?
Elle lécha le gland du brun d'une langue joueuse.
-Je t'aime. N'en doute jamais. Il n'y a que toi, dans ma vie.
- Je t'aime aussi. Amuse... amuse-toi bien.
- Oh, ça oui, je vais bien m'amuser...!
Elle raccrocha en souriant et tendit son téléphone au beau brun.
- Messieurs, je suis toute à vous !
Elle ôta les pantalon des trois types, chacun son tour, en prenant chacune des bites entre ses lèvres, et en les gobant entièrement à chaque fois.
Puis, toujours à quatre pattes, elle releva sa jupe lentement, exposant son superbe derrière. Le triangle du string montrait à quel endroit la ficelle lui entrait dans le cul, perdue entre les lobes généreux. J'étais jaloux. Mais je me branlais de plus en plus fort, excité comme jamais. Ou comme toujours, plutôt, à bien y réfléchir. Chaque fois qu'elle se donnait à un inconnu, je souffrais, certes, mais le désir de regarder, de mater, et de la baiser, n'en était que plus violent.
Le brun, qui semblait mener le groupe, s'agenouilla derrière Alysha, écarta son string, et frotta son long sexe sur la chatte fraîche.
- C'est qu'elle est trempée, la cochonne... Vous vous faites troncher par tous vos clients ?
- Ouh. non, monsieur, seulement les clients importants..... ouh ça c'est bon... continuez...
Il fit aller et venir sa bite dans la fente trempée, lentement, délicatement. Je l'enviais. Pourquoi Lisa n'était-elle pas venue aujourd'hui ? Je me la serai bien sautée en regardant le spectacle... J'entendis la porte glisser et se refermer derrière moi, mais n'y pris pas garde. Je me retournai inconsciemment, et sursautai en découvrant Bléry qui m'observait , l'air malicieux. J'étais devant lui bite à la main, en train de mater comme un puceau ! Je remontai hâtivement mon slip et mon pantalon. Il s'approcha de moi, défit sa braguette, sortit son énorme braquemart de son costume, et, sans aucune gêne, entama une masturbation appliquée.
- Alors, l'avocat, dit-il doucement en tirant sur sa pine, on s'astique bien ? Elle est bonne, non ?
Je hochai la tête sans rien dire. Alysha tendait le cul en arrière, se cambrait, en suppliant le mec de "la lui mettre bien profond" (je cite). Elle gémit comme une salope lorsque l'engin la pénétra, d'un coup de reins bien calibré, et elle ondula son cul rebondi en cherchant clairement l'orgasme le plus rapide possible. Elle se tourna vers les deux autres types, qui se branlaient en silence en la regardant se faire sauter.
- Vos queues, dans ma bouche, vite ! dit-elle d'un air effronté.
Ils vinrent se placer devant elle, à genoux, afin qu'elle gobe les deux queues en même temps, ce qu'elle s'empressa de faire. La cambrure de son cul s'accentua quand le beau brun se mit à accélérer la cadence, harponnant la chatte fragile de sa bite veinée.
Bléry se masturbait plus vite maintenant.
- Au fait, ça ne vous gêne pas que je me branle ?
Je fis signe que non.
- Vous devriez faire de même.
J'acquiesçai. Alysha suçait, pompait, comme une déesse, langue sortie. Le beau brun passa devant elle, laissant sa place au gars plus trapu, qui planta sa bite épaisse dans la fente rose de ma compagne sans même l'y frotter pour l'humidifier. Alysha se tendit, et gémit plus fort encore. Une main disparut sous elle, et je sus qu'elle se touchait le clito pour accentuer son plaisir.
- Allez, l'avocat, branlez-vous, que diable ! J'ai l'air d'un con, tout seul, comme ça. Faites pas votre timide !
Ma main descendit vers mon slip, dans lequel je plongeai ma main, lentement. Ma bite était presque molle maintenant. Je tirai dessus et elle durcit entre mes doigts en un instant. Je m'astiquai en silence, aux côtés d'un Bléry extatique.
- Ah, croyez-moi, l'avocat, elle aime la queue, votre cliente. Et je vais lui en donner, jusqu'à plus soif. A commencer par la vôtre.
Je sursautai. Le troisième type tronchait ma compagne avec ardeur. Il n'allait pas tarder à venir.
- Pardon ?
- Allons, mon vieux, je vous l'offre sur un plateau. Elle fait tout ce que je lui dis de faire. Vous voyez bien : elle trompe son mec sans états d''âmes, elle se tape tout ce qui bouge - elle a sucé mes collaborateurs, s'est laissée sodomiser sans broncher, et elle en redemande. Si je lui dis de vous baiser, elle vous fera la totale. Sodomie comprise. Vous venez, on se la fait tout de suite. Vous avez déjà enculé une femme ?
Je paniquais. Si Alysha me voyait, c'en serait fini de notre couple !
- Je ne peux pas faire ça, Mr Bléry. Je tiens à ce que Mlle Rocher reste ma cliente. Peut-être acceptera-t-elle de se déshonorer si vous le lui ordonnez, mais...
- Contrainte ? m'interrompit Bléry. Pas contrainte, c'est une pute, je vous dis, elle ne demande que ça. Et je parle d'expérience : c'est la plus chaude de toutes celles que j'ai pu baiser avec mes contrats spéciaux.
Je ne relevai pas l'allusion. Apparemment, Alysha n'était donc pas la première à jouer à l'esclave romaine pour lui... Je secouai la tête.
- Néanmoins, je crains qu'elle ne cesse toute collaboration avec moi si elle apprend que je sais ce qu'implique cet avenant que vous avez signé avec elle... je ne peux pas prendre ce risque !
Bléry hocha la tête pensivement.
Alysha gémissait très fort maintenant, et se plantait de toutes ses forces contre le beau brun, qui avait repris sa place derrière le cul de ma compagne, et la prenait toujours en levrette. Je regardais son cul onduler sur la pine, ses deux seins exposés mais le haut de maillot toujours en place autour de la poitrine, et le chemisier toujours sur les épaules, miraculeusement. Le trapu se faisait sucer avec application, la bouche épaisse de mon Alysha traçant à coups de langue tout le contour de son énorme gland violacé. Le troisième attendait patiemment son tour, bite droite sous son nez.
Le brun se mit à ahaner et, sortant d'un coup son engin de la chatte brûlante, explosa en jets épais sur le cul rebondi. Il en zébra les lobes généreusement, atteignant facilement la jupe relevée et le petit triangle de tissu qui bordait toujours la raie sur laquelle il se frottait en soupirant bruyamment. Il se branla jusqu'à la dernière goutte, et, à peine s'écarta-t-il que le trapu prit sa place.
Sa pine disparut dans la fente humide, Alysha reprit sa danse rapide avec entrain, en suçant le dernier gars, pantalon baissé autour des genoux. Elle goba la bite si loin que le mec ne put s'empêcher de venir. Alysha le branla rapidement sur ses lèvres fermées et son visage se couvrit du sperme gluant que le gland éructait en saccades rapides. Dégoulinante, elle se tourna vers le dernier qui la gamahuchait avec insistance.
- Allez, mon beau, fais-moi jouir avec ta grosse queue, mets-la moi tout au fond !
Le gars n'y tint plus, il éjecta son sexe de la vulve et jouis à son tour sur le cul déjà souillé. Alysha se plaqua au sol en se masturbant avec force gémissements.
- Ah, dit Bléry, ils ont terminé. Vous allez me suivre, l'avocat, et baiser cette pute. Vous n'avez pas le choix, de toutes façons: je lui révèlerai votre présence en ces murs si vous ne venez pas.
Il appuya sur un bouton. La porte glissa, s'ouvrant directement sur la pièce où Alysha prenait son pied.
Elle me tournait le dos.
Je suivis Bléry, la mine sombre.
Les masques tombaient enfin.
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