Le couple vicieux 2, la relation imposée

- Par l'auteur HDS Plaisir39 -
Récit érotique écrit par Plaisir39 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Le couple vicieux 2, la relation imposée Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2022 dans la catégorie Dominants et dominés
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Le couple vicieux 2, la relation imposée
Par chance, je suis resté sans nouvelle du couple vicieux pendant presque deux mois.
A part, les venues du mari, 2 semaines après, et l'autre fois, quelques jours avant.
Il m'a prévenu que sa femme n'était pas au courant et m'a interdit de lui en parler.
Donc, un jour, en fin de matinée, je les vois entrer dans ma boutique.
Cette fois, il n'y avait plus de surprise, je connaissais le but de leur visite.
Fort heureusement, ma femme ne m'attendait pas.
Comme la boutique est vide, ils vont directement au fond, dans l'arrière salle, en attendant que je ferme.
Le téléphone sonne.
"Allo".
"Hummm, mmmm, ahhhhhhhhhhhh".
"Allo?".
"Ahhhhh, je jouis, ahhhhhhhh".
Je reconnais le son de la voix de ma femme, puis un homme qui lui dit:
"Elle est bonne ma bite? Salope! Dis a ton mec ce que t'es en train de faire! Allez!".
"Mmmmm, je baise, mon amour!".
"Pas que ça, salope! Allez, tu suces des queues pendant que je te fais quoi?".
"Ahhh, tu m'encules!".
"Tony, passes moi le téléphone! Allo! P...?".
"Oui".
"Je voulais te remercier de nous laisser défoncer ta salope de femme, on peut tout lui faire et elle en redemande, merci, tu nous en voudras pas si elle rentre sur les rotules, on a des gros besoins et les couilles pleines, merci encore!".
"Euh, de rien".
Je raccroche avec l'air con, ne croyant pas ce qui m'arrive.
Je me doutais qu'elle s'amusait peut être, mais ne m'attendais pas à subir le délire d'un de ses partenaires.
Décidément, il y a des envies de sexe dans l'air, je pense déjà au couple qui m'attend au fond de la boutique.
Je vais fermer, puis vais les rejoindre.
En entrant, ils sont déjà nus et remarquent mon air dépité.
"Allez, t'inquiètes pas, on va bien s'amuser".
Je ne réponds pas, je n'ai pas envie de leur raconter, ce qu'il vient de m'arriver.
"Fous toi à poil!".
C'est elle qui prend la direction des évènements.
Une fois nu, elle m'attrape par les testicules en disant:
"Il a de belles grosses couilles, quand même!".
Le mari se masturbe tranquillement, puis dit:
"Suces le, j'aimerai bien le voir bander!".
Elle prend ma queue en bouche et me pompe goulument.
Son mari se lève et vient me caresser le cul.
Inévitablement, mon sexe se met à bander fermement.
"Eh, mais il a une belle queue le salaud! pas très longue, mais bien large!".
"Elle te plais?".
"Oui, j'ai envie qu'il me baise!".
"Pas de souci, mon amour!".
Elle se couche sur le canapé, m'offrant une vue sur sa chatte, avec les jambes écartées.
Je me plante dans son vagin et commence à la baiser lentement.
Je n'ai pas beaucoup de mal à me retenir de jouir parce qu'elle ne me plais pas du tout.
Je lui malaxe les seins, la mordille dans le cou pour augmenter son plaisir.
Elle jouit enfin au bout de quelques minutes.
"Il baise bien pour une salope! Maintenant à moi de le baiser!".
Elle ouvre le sac a dos, sort le long gode de 40 cm et prend dans son sac à main, un dispositif prévu pour recevoir les godemichets, les transformant en gode ceinture.
Son mari enduit mon anus de gel et prend le bout du gode qui pend pour le couvrir de lubrifiant et le guider vers mon œillet.
Elle force sans attendre, me faisant reculer pour ne pas avoir mal.
Son mari me retient et peu à peu, légèrement dans la douleur, elle m'empale sur la moitié du phallus.
Puis à force de mouvements répétés, sous mes grognements, elle s'enfonce jusqu'à la base du long godemichet.
Elle s'agrippe à mes hanches et m'encule comme un homme en me faisant hurler de plaisir et gicler au sol.
Son mari vient se faire pomper la bite goulument.
"J'adore l'enculer, chéri, j'en avais trop envie, j'arrêtais pas d'y penser!".
"C'est une bonne petite pute qu'on a trouvé, n'est-ce pas?".
"Oui, tu pourras venir le baiser quand tu veux, je te le permets!".
Il me saisit la tête et m'embrasse en disant:
"On va bien s'amuser tous les deux, ma petite salope!".
Puis, il me lance un clin d'œil.
J'en suis à mon deuxième orgasme anal, quand elle retire, interminablement, le long gode de mon cul.
Je me concentre sur le sexe du mari dans ma bouche, en entendant des bruits derrière moi.
D'un coup, je reconnais la forme du phallus de plus de 8 cm de large, qui tente de me pénétrer.
La femme s'accroche à mes hanches en forçant contre mon anus, par petits à-coups.
Je pense déjà à la douleur que je vais avoir pendant deux jours après l'utilisation de ce jouet.
Bien sûr, cela prend un certain, mais elle arrive à ses fins, en m'écartelant l'anus jusqu'au coccyx.
Elle me défonce sans précaution, plus vicieuse encore que les hommes qui me font la même chose.
Je jouis sans discontinuer, en inondant le sol de mon jus clair et chaud.
Elle prend un malin plaisir à me vider de jouissance.
"Regarde, chéri, comme je lui défonce le cul à ta petite pute!".
"Humm, laisses-moi en un peu, il doit encore me servir!".
L'énorme phallus cherche sans arrêt à me pénétrer profondément, le passage du coccyx est impossible, mais elle insiste quand même.
"Ahhhhhhhhhh, tu me détruit le cul, ahhhhhhhhhh!".
"Ah, bon? attends, j'ai pas fini, salope!".
Elle retire l'énorme phallus de mon anus, puis prend de l'élan et me pénètre d'un coup.
"Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
"J'adore le défoncer, ça m'excite!".
"Ahhhhhhhhhhh, stop, j'en peux plus, s'il te plais!".
Elle reprend ses assauts puissants, je mords mon bras pour supporter sa pénétration extrême, et l'orgasme anal douloureux qu'elle me procure.
"Chérie, calme le jeu, j'ai envie de le baiser moi aussi!".
"Bon, ok, je le laisse tranquille!".
Elle enlève le gros gode de mon cul, mais vicieusement, le remplace par sa main, qui n'a pas de peine à me pénétrer jusqu'au milieu de son avant bras, elle s'agite frénétiquement en moi.
Je hurle de plaisir et de déchirement anal.
Son mari, la calme, en lui disant:
"Mon amour! ça suffit!".
Elle me libère de son bras, enfin, je m'écroule sur le canapé, sur le ventre.
"S'il vous plait, j'ai besoin de récupérer!".
"Ok, reprend des forces!".
Ils s'embrassent amoureusement, elle essaie d'enlever son appareillage phallique, mais son mari lui demande de le garder.
"Non, tu m'excites comme ça, tu ressembles à un mec, je vais te baiser!".
Il écarte la lanière obstruant l'accès à son vagin et il la baise fougueusement.
15 minutes plus tard, m'étant retourné sur le dos, elle s'approche et me caresse la queue, puis me fait une fellation qui me fait bander malgré moi.
"Chéri, mets moi du gel, je me la mettre dans le cul!".
Elle se place sur moi en me tournant le dos, il l'aide en déplaçant la lanière de cuir, je la sens s'empaler sur ma bite progressivement.
Elle s'encule un petit moment, je suis au bord de la montée d'éjaculation.
Elle s'arrête et dit a son homme:
"Viens, je te veux dans la chatte!".
Elle se couche sur moi, pendant qu'il se place entre ses jambes pour la baiser, je profite de cette position, pour la bloquer sur ma bite sans bouger, ce qui m'arrange pour éviter de jouir.
"Mon amour, c'est excitant de te baiser avec ton gode attaché, on dirait un mec super bien monté".
Elle ne tarde pas a jouir comme une folle.
Il s'écarte, elle en profite pour se tourner et quitter mon sexe, en disant:
"Stéphane, encules-moi maintenant, oups, désolé, ça m'a échappé!".
Je connais enfin un de leurs prénoms.
"Pas grave, de toute façon, il ne dira rien!".
Elle se blottit contre mon torse, en lui tendant son cul, qu'il pénètre aussitôt.
Entre nous, je sens la forme énorme et lourde du gode contre mon ventre.
Très vite, il annonce qu'il va jouir.
"Non, pas comme ça! Arrêtes!".
Elle me demande de me lever, puis prend ma place sur le dos et me demande:
"Toi! Baises-moi!".
Je me glisse entre ses cuisses, et lui enfonce ma queue, en la baisant dans un rythme moyen, mais puissant.
"Oh, oui comme ça, c'est bon! Chéri, vas-y! Encules le!".
Je suis aussitôt rempli par le sexe long de son salaud de mari.
J'ai du mal à baiser sa femme, tant il se déchaine dans mon cul.
"Ahhhhhhhhh, vous êtes fou, je vais pas pouvoir me retenir!".
Elle parviens a glisser une main entre nos deux corps pour se frotter le clitoris, et ordonne:
"Allez baises-moi, je vais jouir moi aussi! ah, ahhhhhhhhhhh".
C'en est trop pour moi, Le queue de Stéphane me burine sauvagement l'anus, me poussant à chaque assaut dans la chatte de sa femme.
"Ahhhhhhhhhhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrr".
J'éjacule des flots de foutre dans cette femme que je trouve vicieuse et repoussante, pendant que son homme continue de se déchainer en cherchant la libération éjaculatoire.
Elle me bloque contre elle pour lui permettre une sodomie plus facile.
"Allez Stéphane, remplis lui le cul de sperme!".
"Ahhhhhhhhhhhh, tiens salope, ahhhhhhhhhhhh".
Ils me laissent me dégager de leur emprise, puis chacun se fait un brin de propreté avec l'essuie-tout.
Elle m'étonne par sa vigueur, quand elle me demande de m'allonger sur le dos.
Elle se place sur moi en m'étouffant avec sa chatte.
"Lèches-moi!".
Je m'exécute sans conviction, elle ajoute:
"Steph, je veux essayer un de ces godes!".
"Ah bon, lequel?".
"Devine! le plus fin, bien sûr!".
"Mais tu l'a déjà eu dans la chatte celui là!".
"Oui, mais pas dans le cul!".
Il enduit soigneusement le gode de gel, et entreprend de la sodomiser au dessus de mon visage avec le long phallus.
La pénétration est longue et laborieuse, mais en insistant, il parvient à lui enfoncer l'objet jusqu'au tiers.
Elle gueule comme une chienne:
"Ahhhhhhhhhhh, mon amour, c'est gros, mais c'est fort, j'adore, défonce moi, plus fort!".
Plus il l'encule avec l'objet, plus il s'enfonce profondément, jusqu'à cogner contre son coccyx à la moitié de sa longueur.
Elle ne pourra pas accepter plus, elle annonce un énorme orgasme anal, alors que j'ai la bouche ouverte pour lui lécher l'entrée de son vagin.
"Ahhhhhhrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr, ahhhhhhhhhhhhhrrrrrrrrrr!".
Des puissants jets de liquide chaud m'inondent la gorge, elle me saisit fortement par les couilles en disant:
"Ahhhhhhhhhh, avales! Salope!".
Je bois abondamment, sa cyprine, qui me couvre inévitablement le visage, entre deux gorgées.
"Humm, ma chérie, j'adore te faire gicler! C'est excitant! Je rebande encore!".
J'ai du mal à avaler ses flots de cyprine, tant elle gicle, cette folle.
"Steph, arrêtes, c'est fini, je jouirai plus, stop, s'il te plais!".
Il retire le gode, et découvre l'anus de sa femme écartelé à l'extrême.
Il lui enfonce sa queue en déclarant:
"Tu m'as trop excité, il faut que je jouisse!".
Elle envoie sa main pour le retenir.
"Non! Steph, encules ta salope, moi, je suis morte!".
Elle s'assoit près de mon visage, pendant qu'il m'écarte les cuisses pour m'enculer en missionnaire.
Malgré le trop plein de sexe, il parvient à me donner un autre orgasme anal, en même temps qu'il éjacule dans mon cul.
Sa femme dit alors:
"Humm, c'est beau, deux mecs qui jouissent ensemble!".
"Bon, on va te laisser, attend toi à nous revoir! Stéphane, on se bouge, on est attendus!".
Ils se rhabillent, me laissant encore avec les traces de baises à effacer.
J'ai du mal à me lever, je ressens une douleur plus forte que d'habitude dans le bas ventre, je prends tout de suite un ibuprofène.
C'est décidé, je vais demander à Franck de récupérer ses jouets.
Lorsque, je vais ouvrir, je me rend compte que ce couple de vicieux m'a baisé de midi à 14h30, j'ai donc du retard, heureusement, sans conséquences.
J'attend le soir pour nettoyer l'arrière salle et vais cacher les godes à l'étage.
L'après-midi a été difficile, tant au niveau fatigue, qu'au niveau conséquences des pénétrations anales extrêmes, comme les flatulences que je retenais pas toujours efficacement.
Il m'a fallu fermer quelques minutes pour rejeter un abondant écoulement de sécrétions anales aux toilettes.
J'ai du prétexter une légère indigestion, pour éviter que ma femme me demande de lui faire l'amour, le lendemain.
Mais en rentrant, je lui ai demandé, ce qu'il lui a pris de m'appeler pendant qu'elle baisait.
"C'est pas moi, c'est une connaissance de Renato! Tu sais, y a des gens qui sont plus vicieux que d'autres!".
"Oui, je sais! Bon, c'était bien?".
"Ah, oui, ils m'ont tuée, ça t'ennuie, si on baise pas?".
"Pas de souci, de toute façon, je suis pas en forme".

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