Le maçon
Récit érotique écrit par Mojean [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2008 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le maçon
Un jour où je sortais tranquillement de mon travail, en fin de journée, mon chemin croisa un chantier sur une rue. Je marchais en pensant à ce que j'allais faire le soir même.
Le fait est que j'aime bien regarder rapidement sur les chantiers les ouvriers qui y travaillent. Surtout en été, quand ils sont torse nu, ça m'excite grave. Voir leur musculature et leur belle gueule d'ange, ça me donne des idées.
Il se trouva que ce jour-là, je regardai le chantier. Mon regard croisa celui d'un jeune ouvrier, trop belle gueule pour moi. En un instant, je me disais qu'il ne pouvait y avoir quelque chose entre nous, mais déjà, je bandais.
Il croisa mon regard et s'arrêta net quelques secondes, puis se retourna comme si rien n'était. J'ai cru avoir vu un sourire se dessiner sur sa bouche, et je le vis rentrer dans l'immeuble en construction. Personne d'autre en vue, et je me lançais, sur un coup de tête, pour le suivre, au cas ou.
A l'intérieur, dans une pièce sombre, il s'était accolé le dos contre le mur. Quand je le vis, sa main était déjà en train de caresser son paquet. Il me regarda en souriant. Je ne pus résister. Je sautais sur l'occasion et, me baissant, lui défis son pantalon et me mis à le sucer.
C'était vraiment trop bon de sentir son sexe dans ma bouche. Il appuya ma tête de ses mains et me donna son allure. Rapidement, il fit des va et vient en respirant fortement.
Il arrêta soudainement, me fit me relever et me plaqua contre le mur, défit mon pantalon, me retourna, et me prit d'un seul coup. Je le sentis aller et venir en moi brutalement, et ça me fit vraiment du bien. Je n'en pouvais plus et je râlais de plaisir.
En peu de temps, il finit par jouir dans mes fesses en accompagnant d'un râle, ce qui provoqua ma jouissance sans même que je me touche.
Il se retira, me remercia en se rhabillant et partit comme j'étais venu, me laissant seul. Je me rhabillai alors prestement, heureux de ce que je venais vivre, mais ayant seulement le regret de n'avoir pu parler avec ce jeune maçon qui m'avait ébloui par sa beauté et son savoir faire.
Le fait est que j'aime bien regarder rapidement sur les chantiers les ouvriers qui y travaillent. Surtout en été, quand ils sont torse nu, ça m'excite grave. Voir leur musculature et leur belle gueule d'ange, ça me donne des idées.
Il se trouva que ce jour-là, je regardai le chantier. Mon regard croisa celui d'un jeune ouvrier, trop belle gueule pour moi. En un instant, je me disais qu'il ne pouvait y avoir quelque chose entre nous, mais déjà, je bandais.
Il croisa mon regard et s'arrêta net quelques secondes, puis se retourna comme si rien n'était. J'ai cru avoir vu un sourire se dessiner sur sa bouche, et je le vis rentrer dans l'immeuble en construction. Personne d'autre en vue, et je me lançais, sur un coup de tête, pour le suivre, au cas ou.
A l'intérieur, dans une pièce sombre, il s'était accolé le dos contre le mur. Quand je le vis, sa main était déjà en train de caresser son paquet. Il me regarda en souriant. Je ne pus résister. Je sautais sur l'occasion et, me baissant, lui défis son pantalon et me mis à le sucer.
C'était vraiment trop bon de sentir son sexe dans ma bouche. Il appuya ma tête de ses mains et me donna son allure. Rapidement, il fit des va et vient en respirant fortement.
Il arrêta soudainement, me fit me relever et me plaqua contre le mur, défit mon pantalon, me retourna, et me prit d'un seul coup. Je le sentis aller et venir en moi brutalement, et ça me fit vraiment du bien. Je n'en pouvais plus et je râlais de plaisir.
En peu de temps, il finit par jouir dans mes fesses en accompagnant d'un râle, ce qui provoqua ma jouissance sans même que je me touche.
Il se retira, me remercia en se rhabillant et partit comme j'étais venu, me laissant seul. Je me rhabillai alors prestement, heureux de ce que je venais vivre, mais ayant seulement le regret de n'avoir pu parler avec ce jeune maçon qui m'avait ébloui par sa beauté et son savoir faire.
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