Le Massage
Récit érotique écrit par Nosiuol [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2015 dans la catégorie A dormir debout
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Le Massage
Mon travail m'amène souvent à passer mes soirées et mes nuits dans les hôtels.
Heureusement, pour une question d'image, l'entreprise qui m'emploie, ne lésine pas sur le standing des établissements où je descends.
Ce soir, je suis à l’hôtel Splendid dans une grande ville du sud de la France. C'est la première fois que j'y loge. Celui ou j’ai mes habitudes est fermé pour des travaux de rénovation. Mais je ne perds pas au change. Des chambres luxueuses, un restaurant gastronomique, piscine intérieure… Mais surtout un espace bien être avec des massages relaxant que l'on ne trouve pas dans l'autre. Ce qu' il me faut ce soir, pour me libérer des tensions physiques et nerveuses après la journée éprouvante que je viens de passer.
Renseignements pris, j'opte pour un massage complet du dos, aux huiles essentielles.
J'obtiens un rendez-vous avec la kiné pour dans un quart d'heure. Laps de temps suffisant pour remonter dans ma chambre et me mettre dans une tenue plus appropriée à cet exercice, car je suis encore en "tenue de travail", c'est-à-dire un tailleur/jupe avec collants et talons hauts…
Dans l’ascenseur qui me remonte vers ma chambre, je repense à cette belle personne qui m'a reçu. Grande, environ 35 ans, de longs cheveux noirs, bouclés qui encadrent une jolie figure aux lèvres gourmandes. Ses yeux bleus et une poitrine aguicheuse m'ont émoustillée. Et moi, Aurélie, qui n'aime que les filles, je suis tombée aussitôt sous le charme, avec une chaleur corporelle que je connais que trop bien.
Dans ma chambre, toujours sous le coup de l'excitation provoquée par cette belle fille, je pose sur le lit mon pantalon de yoga, que je fais suivre partout ou je vais, et un tee-shirt. Une fois déshabillée, en shorty et soutien- gorge noirs, je vaque dans la pièce à ranger mes affaires du jour et préparér, celles de ce soir pour aller dîner, et celles du lendemain. Quand mon regard croise mon image dans le miroir de la chambre.
L'image renvoyée par la glace est plutôt flatteuse et me donne confiance en moi. Planter devant elle, j'enlève mon soutif et je fais un tour sur moi-même, pour constater avec un sourire, que les séances de gymnastique et de footing que je m'impose régulièrement payent.
Silhouette grande et mince, un peu plate à cause de mes petits seins, mais compensé par des jambes toniques et galbées, un ventre plat, une chute de rein cambré sur des fesses rondes et fermes. Tout en me regardant, je me demande qu'elle serait l’appréciation, mais surtout la réaction de la "nénette" du spa à la vision "de ce tableau". Aime-t-elle les filles ? Où n'est-elle qu' hétéro ?
En pensant à cela… Et à elle, je sens de nouveau un picotement dans mon clito. Face au miroir, ma main descend sur ma culotte et d'un doigt, je lisse le pli qu'elle fait sur la fente de ma chatte et taquine un peu mon bouton. Je m'excite, mais ce n'est pas le moment, c'est l'heure de mon rendez-vous ... Alors je me promets, qu'au retour, sous la douche …
J'enfile, mon pantalon, une paire de tongs, le tee-shirt. Prête à sortir, je me regarde de nouveau dans le miroir. Mes tétons pointent fièrement. Je les frotte sensuellement a travers le tissu, ce qui entretient la douce chaleur qui a gagné mon ventre ...
Au Spa, il n'y a personne à la réception. Venant d'une salle de soins, j'entends mon nom, j'y rentre. À ma grande surprise, la "réceptionniste" qui a pris mon rendez-vous est là, devant moi, habillée d’une courte blouse/robe blanche aux manches 3/4 avec un col officier boutonné sur sa poitrine généreuse. Pendant les formules de politesse, mes yeux sont attirés comme un aimant par cette paire de nénés plantureux qui tendent le tissu de sa blouse. C’est elle qui me sort de ma rêverie érotique ...
- Je me présente, je suis Odile, votre praticienne pour ce massage. Je vous souhaite la bienvenue. À partir de cet instant, vous rentrez dans un sanctuaire de bien-être.
Détendez-vous, oublier votre travail, ne pensez plus a rien pour apprécier ce moment de détente… Me dit-elle
La table de massage est déjà disposée prête à me recevoir. Des plantes tropicales, des senteurs épicées, une musique relaxante, font qu'il y règne une ambiance sereine qui apaise.
Un sentiment étrange me parcourt, quand, dans un sourire qui me fait fondre un peu plus je l'entends me dire :
- Déshabillez-vous. Vous avez le vestiaire derrière vous. Enlevez même vos sous-vêtements. Je me permets de vous conseiller de mettre la culotte à jeter, emballer sous vide, que vous trouverez dans le panier mis à votre disposition.
Elle quitte la pièce pour me laisser le temps de me préparer. Je passe la fameuse culotte, qui est plus proche de celle de ma grand-mère que du string. J'ai un moment d' inquiétude quand je me rends compte que mes tétons pointent durs, un autre jour, j'aurai essayé de les dissimuler avec mes bras ou mes mains, mais pas aujourd'hui. Coquine, je m'en excuse dès qu'elle revient. Mais elle me rassure en me disant qu'elle a l'habitude, et rajoute
- De plus, vous avez une jolie poitrine que vous pouvez montrer sans gêne.
Me dit-elle en rigolant, tout en me jaugeant des pieds à la tête, s’attardant sur mon pubis dont la tache sombre de ma toison apparaît en transparence sous le sous-vêtement.
Un peu plus longuement sur mes deux petites pommes dont les tétons sont bien sur toujours érigés. Ce regard qui me fouille provoque un frisson d’excitation supplémentaire dans mon bas-ventre, et j’ai l'impression que mes seins durcissent et mes mamelons se raidissent encore plus…
Elle m'invite à m'allonger sur la table de massage, sur le ventre. Je me sens bien, détendue, sur ce matériau souple, lisse, je m'ajuste en déplaçant ma poitrine de gauche à droite. Dans ce mouvement, la friction, sur le revêtement, de mes mamelons dressés, entretien mon excitation latente sous le regard scrutateur d'Odile… La masseuse.
Après quelques instants de relaxation passés sous des serviettes chaudes qui recouvrait tout mon corps, Odile m'asperge le dos qu'elle a découvert jusqu’à la culotte, d'une huile chaude et parfumée. Et commence le massage…
Manœuvres douces et toniques, pétrissage des muscles, effleurages, pressions profondes sur les points d'énergie, frictions, lissage fluides, tout y passe. Elle connaît son job, à merveille ! C'est un régal ! Mes tensions s'évanouissent les unes après les autres… Sauf une. Car c'est si bon que cela me fait du bien plus que dans le dos… Mon bas-ventre, mes seins réagissent ... De plaisir ou de bien-être, sûrement des deux, je pousse un soupir de satisfaction.
- Mmmmh ! Que je suis bien !
- Profitez, détendez-vous, faites le vide… Mon travail ne sera réussi que si vous quittez la salle relaxée et bien sûre satisfaite… Me répond-t-elle.
Les yeux fermés, la tête sur le coté, je souris en moi-même, car "partir satisfaite" pour moi, en cet instant, à un tout autre sens, qui n'a rien à voir avec le massage.
Ma nuque, mes épaules, mon dos terminé, je suis de nouveau recouverte de serviettes chaudes. Alors que je pense que le massage est terminé et que dans un instant, elle va me libérer, je suis surprise de l'entendre dire :
- Vous êtes ma dernière cliente, je loge ici pour la saison, donc personne m'attend ce soir. De plus, vous êtes une cliente agréable cela me change de certaines… Alors bonus, cadeau de la maison… Savourer !
Sur ces bonnes paroles, elle découvre et écarte mes jambes, les enduits d’huile de massage… Et commence des effleurages. De plus en plus haut, dirigés vers ma fourche, par l'intérieur des cuisses. Sous ses gestes amples, qui sont de véritables caresses, je réalise que je suis "très allumée". En fait, j'ai atteint un point d’exaltation qui fait qu'un retour sur terre immédiat est quasi impossible !
Dans un dernier sursaut de lucidité, j'essaye de me reprendre en donnant le change. Je l'abreuve de parole au sujet de mon programme d'activités physiques que j'ai mise en place. Elle me répond vaguement, je capte que ses pensées sont ailleurs.
Mais je n'arrive plus à cacher cet embrasement qui ma gagné. Ma respiration saccadée s'est transformée en halètement. Quand les bouts de ses doigts montent très haut et avant de redescendre touche mon sexe, je gémis à chaque attouchement. Et horreur des horreurs, contre mon propre gré ma fontaine s'est ouverte, trempant culotte et table…
Elle a arrêté ! … A t-elle détecté "ma fièvre". Silence gêné quelques secondes. Suffisant pour que je réalise qu'elle doit s'offusquer de la grosse tache qui s'est formée sur la mince culotte blanche et soyeuse ... Et qui n'a pas été faite par l'huile de massage ! J'ai peur et honte à la fois du plaisir que je prends. Je calme mon inquiétude en me disant que c'est une pro et que je ne dois pas être la première qu'elle voit dans un tel émoi. Alors mollement, je me laisse aller …
Stupeur ! … Elle roule ma culotte jusqu'au pli des cuisses. Puis je sens ses pouces qui encerclent la chair dodue des joues de mon cul et qui commencent un travail de pétrissage. L'ambiance est devenue électrique, plus une parole, l'on entend plus que mes petites plaintes que je ne peux empêcher et sa respiration haletante.
Toujours sans un mot, elle fait glisser ma culotte, bonne pour l'essorage, le long de mes jambes huilées et me l'enlève sans que je réagisse. Les yeux fermés, je fais comme si je ne m'en rendais pas compte à ce stade, si ma tension physique à complètement disparue, par contre ma tension sexuelle est à son paroxysme.
Ce sont mes fesses qui maintenant reçoivent l'huile onctueuse avec laquelle elle pétrit mon cul. S'amuse avec mes "joues" tantôt les serrant, tantôt les écartant. Ce qui a pour effet de permettre à l'huile qui s'est insinuée dans mon pli fessier de venir chatouiller mes lèvres intimes. À ce contact, je ne peux retenir un râle de jouissance et soulever mon derrière pour un appel a plus de luxure.
A l'unisson, un autre soupir vient remplir la pièce, mais cette fois, il est d'elle. Il me fait comprendre que nous sommes sur « la même longueur d'onde ». Elle savait ce que je voulais…
Sa main glisse entre mes jambes, fait ventouse sur ma chatte et la masse. Maintenant, ce sont ses doigts qui parcourent les lèvres engorgées de ma vulve à la recherche de mon clitoris, qu'ils trouvent facilement, gonflé et fier que l'on s'occupe de lui, depuis le temps qu'il appelle !
Elle le frictionne , fait des cercles, le masse, le branlotte. Tout y passe pour son bonheur et le mien. Son autre main ne reste pas inactive, elle écarte mes babines ruisselantes de cyprine et pénètre mon puits à plaisir de l'index et du majeur réunis.
Le cul bien levé, je bouge à sa rencontre. Mes gémissements se sont transformés en cris.
Je serre, dans mes parois vaginales, ces doigts inquisiteurs. Elle a trouvé mon point G, mon jus commence à couler. Je ne peux plus contrôler mes réactions… Je suis perdue !
Chaque geste d'Odile, cette coquine de masseuse, me rapproche d’un final que j'augure éblouissant. Je ne peux plus attendre, alors je me laisse aller. Je me cambre, saisis mes seins et gémissant son nom je commence à trembler, avant de perdre le contrôle et jouir bruyamment. Sous les spasmes, je gicle, inondant ma couche et ma masseuse.
Ce fut un orgasme ravageur, de plaisir extrême. Je ne sais même pas, si à un moment ou un autre, je n'ai pas perdu conscience tellement c’était intense ! Je me suis effondrée sur la table et quand j'ai refait surface, pour l'entendre me dire avec un joli sourire.
- Waouh ! Vous aviez besoin de libérer vos tensions ! Me dit-elle
- Vous avez des mains expertes, qui valent de l'or Odile ! ... Merci pour votre travail ! … Je lui réponds souriante, comblée et heureuse d'un dénouement tel que je l'espérais !
Revenue sur terre, je me suis levée lentement, elle m'a aidée à descendre de la table.
Dans le vestiaire, j'ai pris une douche rapide et pendant que je m'habille, je lui demande si je paye à elle, ou demain matin, avant de partir.
- Non demain à la réception, je n'encaisse aucun règlement de frais me répond-elle
- Ok, mais dans ce cas, puisque vous êtes libre ce soir, permettez-moi de vous inviter à 21 heures dans ma chambre, la 222. Nous boirons une coupe de champagne… Je pourrai ainsi vous remercier de la qualité de votre prestation ...
Heureusement, pour une question d'image, l'entreprise qui m'emploie, ne lésine pas sur le standing des établissements où je descends.
Ce soir, je suis à l’hôtel Splendid dans une grande ville du sud de la France. C'est la première fois que j'y loge. Celui ou j’ai mes habitudes est fermé pour des travaux de rénovation. Mais je ne perds pas au change. Des chambres luxueuses, un restaurant gastronomique, piscine intérieure… Mais surtout un espace bien être avec des massages relaxant que l'on ne trouve pas dans l'autre. Ce qu' il me faut ce soir, pour me libérer des tensions physiques et nerveuses après la journée éprouvante que je viens de passer.
Renseignements pris, j'opte pour un massage complet du dos, aux huiles essentielles.
J'obtiens un rendez-vous avec la kiné pour dans un quart d'heure. Laps de temps suffisant pour remonter dans ma chambre et me mettre dans une tenue plus appropriée à cet exercice, car je suis encore en "tenue de travail", c'est-à-dire un tailleur/jupe avec collants et talons hauts…
Dans l’ascenseur qui me remonte vers ma chambre, je repense à cette belle personne qui m'a reçu. Grande, environ 35 ans, de longs cheveux noirs, bouclés qui encadrent une jolie figure aux lèvres gourmandes. Ses yeux bleus et une poitrine aguicheuse m'ont émoustillée. Et moi, Aurélie, qui n'aime que les filles, je suis tombée aussitôt sous le charme, avec une chaleur corporelle que je connais que trop bien.
Dans ma chambre, toujours sous le coup de l'excitation provoquée par cette belle fille, je pose sur le lit mon pantalon de yoga, que je fais suivre partout ou je vais, et un tee-shirt. Une fois déshabillée, en shorty et soutien- gorge noirs, je vaque dans la pièce à ranger mes affaires du jour et préparér, celles de ce soir pour aller dîner, et celles du lendemain. Quand mon regard croise mon image dans le miroir de la chambre.
L'image renvoyée par la glace est plutôt flatteuse et me donne confiance en moi. Planter devant elle, j'enlève mon soutif et je fais un tour sur moi-même, pour constater avec un sourire, que les séances de gymnastique et de footing que je m'impose régulièrement payent.
Silhouette grande et mince, un peu plate à cause de mes petits seins, mais compensé par des jambes toniques et galbées, un ventre plat, une chute de rein cambré sur des fesses rondes et fermes. Tout en me regardant, je me demande qu'elle serait l’appréciation, mais surtout la réaction de la "nénette" du spa à la vision "de ce tableau". Aime-t-elle les filles ? Où n'est-elle qu' hétéro ?
En pensant à cela… Et à elle, je sens de nouveau un picotement dans mon clito. Face au miroir, ma main descend sur ma culotte et d'un doigt, je lisse le pli qu'elle fait sur la fente de ma chatte et taquine un peu mon bouton. Je m'excite, mais ce n'est pas le moment, c'est l'heure de mon rendez-vous ... Alors je me promets, qu'au retour, sous la douche …
J'enfile, mon pantalon, une paire de tongs, le tee-shirt. Prête à sortir, je me regarde de nouveau dans le miroir. Mes tétons pointent fièrement. Je les frotte sensuellement a travers le tissu, ce qui entretient la douce chaleur qui a gagné mon ventre ...
Au Spa, il n'y a personne à la réception. Venant d'une salle de soins, j'entends mon nom, j'y rentre. À ma grande surprise, la "réceptionniste" qui a pris mon rendez-vous est là, devant moi, habillée d’une courte blouse/robe blanche aux manches 3/4 avec un col officier boutonné sur sa poitrine généreuse. Pendant les formules de politesse, mes yeux sont attirés comme un aimant par cette paire de nénés plantureux qui tendent le tissu de sa blouse. C’est elle qui me sort de ma rêverie érotique ...
- Je me présente, je suis Odile, votre praticienne pour ce massage. Je vous souhaite la bienvenue. À partir de cet instant, vous rentrez dans un sanctuaire de bien-être.
Détendez-vous, oublier votre travail, ne pensez plus a rien pour apprécier ce moment de détente… Me dit-elle
La table de massage est déjà disposée prête à me recevoir. Des plantes tropicales, des senteurs épicées, une musique relaxante, font qu'il y règne une ambiance sereine qui apaise.
Un sentiment étrange me parcourt, quand, dans un sourire qui me fait fondre un peu plus je l'entends me dire :
- Déshabillez-vous. Vous avez le vestiaire derrière vous. Enlevez même vos sous-vêtements. Je me permets de vous conseiller de mettre la culotte à jeter, emballer sous vide, que vous trouverez dans le panier mis à votre disposition.
Elle quitte la pièce pour me laisser le temps de me préparer. Je passe la fameuse culotte, qui est plus proche de celle de ma grand-mère que du string. J'ai un moment d' inquiétude quand je me rends compte que mes tétons pointent durs, un autre jour, j'aurai essayé de les dissimuler avec mes bras ou mes mains, mais pas aujourd'hui. Coquine, je m'en excuse dès qu'elle revient. Mais elle me rassure en me disant qu'elle a l'habitude, et rajoute
- De plus, vous avez une jolie poitrine que vous pouvez montrer sans gêne.
Me dit-elle en rigolant, tout en me jaugeant des pieds à la tête, s’attardant sur mon pubis dont la tache sombre de ma toison apparaît en transparence sous le sous-vêtement.
Un peu plus longuement sur mes deux petites pommes dont les tétons sont bien sur toujours érigés. Ce regard qui me fouille provoque un frisson d’excitation supplémentaire dans mon bas-ventre, et j’ai l'impression que mes seins durcissent et mes mamelons se raidissent encore plus…
Elle m'invite à m'allonger sur la table de massage, sur le ventre. Je me sens bien, détendue, sur ce matériau souple, lisse, je m'ajuste en déplaçant ma poitrine de gauche à droite. Dans ce mouvement, la friction, sur le revêtement, de mes mamelons dressés, entretien mon excitation latente sous le regard scrutateur d'Odile… La masseuse.
Après quelques instants de relaxation passés sous des serviettes chaudes qui recouvrait tout mon corps, Odile m'asperge le dos qu'elle a découvert jusqu’à la culotte, d'une huile chaude et parfumée. Et commence le massage…
Manœuvres douces et toniques, pétrissage des muscles, effleurages, pressions profondes sur les points d'énergie, frictions, lissage fluides, tout y passe. Elle connaît son job, à merveille ! C'est un régal ! Mes tensions s'évanouissent les unes après les autres… Sauf une. Car c'est si bon que cela me fait du bien plus que dans le dos… Mon bas-ventre, mes seins réagissent ... De plaisir ou de bien-être, sûrement des deux, je pousse un soupir de satisfaction.
- Mmmmh ! Que je suis bien !
- Profitez, détendez-vous, faites le vide… Mon travail ne sera réussi que si vous quittez la salle relaxée et bien sûre satisfaite… Me répond-t-elle.
Les yeux fermés, la tête sur le coté, je souris en moi-même, car "partir satisfaite" pour moi, en cet instant, à un tout autre sens, qui n'a rien à voir avec le massage.
Ma nuque, mes épaules, mon dos terminé, je suis de nouveau recouverte de serviettes chaudes. Alors que je pense que le massage est terminé et que dans un instant, elle va me libérer, je suis surprise de l'entendre dire :
- Vous êtes ma dernière cliente, je loge ici pour la saison, donc personne m'attend ce soir. De plus, vous êtes une cliente agréable cela me change de certaines… Alors bonus, cadeau de la maison… Savourer !
Sur ces bonnes paroles, elle découvre et écarte mes jambes, les enduits d’huile de massage… Et commence des effleurages. De plus en plus haut, dirigés vers ma fourche, par l'intérieur des cuisses. Sous ses gestes amples, qui sont de véritables caresses, je réalise que je suis "très allumée". En fait, j'ai atteint un point d’exaltation qui fait qu'un retour sur terre immédiat est quasi impossible !
Dans un dernier sursaut de lucidité, j'essaye de me reprendre en donnant le change. Je l'abreuve de parole au sujet de mon programme d'activités physiques que j'ai mise en place. Elle me répond vaguement, je capte que ses pensées sont ailleurs.
Mais je n'arrive plus à cacher cet embrasement qui ma gagné. Ma respiration saccadée s'est transformée en halètement. Quand les bouts de ses doigts montent très haut et avant de redescendre touche mon sexe, je gémis à chaque attouchement. Et horreur des horreurs, contre mon propre gré ma fontaine s'est ouverte, trempant culotte et table…
Elle a arrêté ! … A t-elle détecté "ma fièvre". Silence gêné quelques secondes. Suffisant pour que je réalise qu'elle doit s'offusquer de la grosse tache qui s'est formée sur la mince culotte blanche et soyeuse ... Et qui n'a pas été faite par l'huile de massage ! J'ai peur et honte à la fois du plaisir que je prends. Je calme mon inquiétude en me disant que c'est une pro et que je ne dois pas être la première qu'elle voit dans un tel émoi. Alors mollement, je me laisse aller …
Stupeur ! … Elle roule ma culotte jusqu'au pli des cuisses. Puis je sens ses pouces qui encerclent la chair dodue des joues de mon cul et qui commencent un travail de pétrissage. L'ambiance est devenue électrique, plus une parole, l'on entend plus que mes petites plaintes que je ne peux empêcher et sa respiration haletante.
Toujours sans un mot, elle fait glisser ma culotte, bonne pour l'essorage, le long de mes jambes huilées et me l'enlève sans que je réagisse. Les yeux fermés, je fais comme si je ne m'en rendais pas compte à ce stade, si ma tension physique à complètement disparue, par contre ma tension sexuelle est à son paroxysme.
Ce sont mes fesses qui maintenant reçoivent l'huile onctueuse avec laquelle elle pétrit mon cul. S'amuse avec mes "joues" tantôt les serrant, tantôt les écartant. Ce qui a pour effet de permettre à l'huile qui s'est insinuée dans mon pli fessier de venir chatouiller mes lèvres intimes. À ce contact, je ne peux retenir un râle de jouissance et soulever mon derrière pour un appel a plus de luxure.
A l'unisson, un autre soupir vient remplir la pièce, mais cette fois, il est d'elle. Il me fait comprendre que nous sommes sur « la même longueur d'onde ». Elle savait ce que je voulais…
Sa main glisse entre mes jambes, fait ventouse sur ma chatte et la masse. Maintenant, ce sont ses doigts qui parcourent les lèvres engorgées de ma vulve à la recherche de mon clitoris, qu'ils trouvent facilement, gonflé et fier que l'on s'occupe de lui, depuis le temps qu'il appelle !
Elle le frictionne , fait des cercles, le masse, le branlotte. Tout y passe pour son bonheur et le mien. Son autre main ne reste pas inactive, elle écarte mes babines ruisselantes de cyprine et pénètre mon puits à plaisir de l'index et du majeur réunis.
Le cul bien levé, je bouge à sa rencontre. Mes gémissements se sont transformés en cris.
Je serre, dans mes parois vaginales, ces doigts inquisiteurs. Elle a trouvé mon point G, mon jus commence à couler. Je ne peux plus contrôler mes réactions… Je suis perdue !
Chaque geste d'Odile, cette coquine de masseuse, me rapproche d’un final que j'augure éblouissant. Je ne peux plus attendre, alors je me laisse aller. Je me cambre, saisis mes seins et gémissant son nom je commence à trembler, avant de perdre le contrôle et jouir bruyamment. Sous les spasmes, je gicle, inondant ma couche et ma masseuse.
Ce fut un orgasme ravageur, de plaisir extrême. Je ne sais même pas, si à un moment ou un autre, je n'ai pas perdu conscience tellement c’était intense ! Je me suis effondrée sur la table et quand j'ai refait surface, pour l'entendre me dire avec un joli sourire.
- Waouh ! Vous aviez besoin de libérer vos tensions ! Me dit-elle
- Vous avez des mains expertes, qui valent de l'or Odile ! ... Merci pour votre travail ! … Je lui réponds souriante, comblée et heureuse d'un dénouement tel que je l'espérais !
Revenue sur terre, je me suis levée lentement, elle m'a aidée à descendre de la table.
Dans le vestiaire, j'ai pris une douche rapide et pendant que je m'habille, je lui demande si je paye à elle, ou demain matin, avant de partir.
- Non demain à la réception, je n'encaisse aucun règlement de frais me répond-elle
- Ok, mais dans ce cas, puisque vous êtes libre ce soir, permettez-moi de vous inviter à 21 heures dans ma chambre, la 222. Nous boirons une coupe de champagne… Je pourrai ainsi vous remercier de la qualité de votre prestation ...
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