Le massage thailandais de lilou - histoire érotique

Dés que nous avons put économiser assez d’argent nous avons fait notre voyage de noce un an après notre mariage pour ce pays merveilleux et mystérieux : la Thaïlande
J’aime profondément Didier mon premier homme, malgré que je n’ai pas encore dominée mon appréhension de le satisfaire en avalant son sperme pas plus que je n’ai encore acceptée la sodomie, j’espère justement céder a ses désirs durant ce séjour paradisiaque, dés notre arrivée Didier a su aiguiser ma curiosité et mon imagination au point de me décider à tenter un massage ‘spécial’ de ce pays

- Lilou ? Si nous nous accordions un de ces fameux massages dans un institut spécialisé ?
- Tu veux dire nous faire masser par une femme nue qui va se vautrer sur toi ??
- Une femme pour moi un homme pour toi que nous pouvons choisir sur un recueil, cotes a cotes dans la même pièce, a nous de définir les limites des attouchements
- Vu comme ça ça va, tu sais où trouver un établissement correct ?
- Je vais demander à la réception de l’hôtel

Le lendemain nous entrons fébriles dans un institut ou effectivement je choisi en photo l’homme qui va me masser, il est mince et beau gosse, pour tout vêtement une sorte de bandeau de toile fine et ample tenu a la taille rendant impossible la vue et l’évaluation de son sexe et Didier choisit une petite thaï fluette aux seins d’adolescente mais néanmoins majeure, un cache sexe qui cache tout juste la fente imberbe, cette fille va frotter ses seins et sa chatte sur mon homme ? Il va avoir face à lui cet entrejambe à peine voilé, comment va-t- il cacher l’érection qu’il ne manquera pas d’avoir ? De toute façon je serais là pout parer à d’éventuels débordements
Nous entrons dans cette petite salle ou règne une odeur bizarre d’encens qui me monte immédiatement a la tête et m’enivre, plus je respire ce parfum plus il me semble que toutes mes barrières de pudeur tombent et mes sens se réveillent

- Messieurs dames veuillez vous déshabiller entièrement et vous allonger sur le ventre

Didier est a portée de main de moi, d’ailleurs je la lui tien, nos masseurs respectifs posent une serviette sur nos fesses et font couler de l’huile sur nos bustes qu’ils étalent aussitôt en larges gestes avant de commencer le véritable massage a des points stratégiques de notre corps, la tête tournée sur le coté j’observe la masseuse de Didier qui fait de même puis je me concentre sur mon masseur son bandeau s’agite juste devant mes yeux quelle queue se cache la dessous ?? Rien ne montre un renflement si petit soit il … mon mari a les yeux braqués sur le string a dix centimètre de son visage, je n’éprouve aucune jalousie ….
Une chaleur intense monte en moi j’ai envie de mains sur moi mais plus bas, pour envoyer un message je tire sur la serviette qui cache mon cul, après tout ne nous voilons pas la face nous somment là pour nous apaiser sexuellement, l’homme change de position je ne le vois plus mais ses mains entrent en action sur mes cuisses qui s’ouvrent automatiquement, de l’huile coule entre mes lobes que le tranchant d’une main écartent
Enfin ma fente est sollicitée, mon clitoris est prêt a exploser, les doigts fins font pénétrer ce lubrifiant qui chauffe mes parties sexuelles jusque dans mon anus a l’aide d’un doigt inquisiteur, mon corps se tord, mon vagin se transforme en goutte a goutte, mais qu’il me doigte bon sang ! Je suis tellement partie que j’ose une chose que je ne fais pratiquement jamais avec mon mari je tends le cul et cherche sa main au hasard derrière moi, je saisie son poignet et l’attire devant moi, le pagne est toujours plat ….je ne le fais pas bander ? Tant pis pour les convenances je passe mes doigts sous le tissu … Rien ! Rien qu’un bout de chair flasque de cinq centimètres posée sur des boules grosses comme a peine des balles de pingpong ….
Dépitée j’ai envie de me lever et partir d’ici car Didier a le nez posé sur le string de sa partenaire c’est alors que l’homme joint ses mains et me fait une courbette en signe d’excuse

- Excuse-moi Miss, vous pas bouger homme viril va venir …

Il me laisse en plant, mon mari a cramponné les cuisses de la fille qui ricane mais se laisse baisser le cache sexe, il n’a aucun regard pour moi … soudain une main puissante me plaque sur la couche puis me soulève le ventre pour y glisser une sorte de coussin qui me fait lever le cul dans une position indécente, une ombre se profile devant moi … je lève les yeux …un sexe imposant et raide ondule de droite a gauche tel un crotale charmé, je passe une main sous ce membre et avec l’autre je le caresse comme je le ferais a un petit animal , la queue avance vers mon visage je positionne ma bouche pour le recevoir, le gland pénètre mon palais , c’est la première que je suce en dehors de celle de mon mari… que fait il justement ?? J’entends la jeune fille émettre des sons étouffés comme si elle avait la bouche pleine alors je redouble d’ardeur à pomper cette bitte cuivrée, l’homme se penche sur moi sa main s’insinue entre mes fesses et ouvre mon coquillage dégoulinant, il me prend comme une boule de bowling, deux doigts dans la vulve et un dans le petit trou anormalement ouvert sans doute a cause de cette huile décontractante et chauffante
La queue s’agite dans ma bouche, prise d’une frénésie jusque là inconnue je saisie le mec par les cuisses afin qu’il ne se retire pas le moment venu, je veux avaler son foutre ce sera mon premier …la première giclée me surprend mais je surmonte mon haut le cœur et gobe les suivantes comme un nectar des dieux, l’homme cesse de s’activer dans ma chatte et se retire de ma bouche, il s’éloigne, est-ce terminé ? J’en profite pour jeter un coup d’œil vers Didier qui me fixe avec un large sourire, apparemment il a vu ce que j’ai fait mais ne m’en veux pas vu que ‘sa fille ‘ rampe sur lui en corps a corps sa chatte glisse sur la queue bandée plaquée sur son ventre a chaque passages elle pourrait s’empaler j’en conclue qu’elle possède une petite chatte étroite, ses petits seins s’écrasent sur son torse velu

- Continue chérie, fait ce que tu veux, lâche-toi pour un après midi fait comme moi
- Tu va la baiser ?
- Sans doute, il a une belle bitte ton masseur, il va monter sur la table tu me raconteras tout à l’heure ….

Derrière moi l’homme écarte mes fesses, me doigte et appuis son bout sur ma fente lubrifiée artificiellement et naturellement elle avale facilement la moitié de la queue, d’après la grosseur c’est un pouce qui vrille en même temps ma cible, me prenant par une hanche mon amant s’enfonce avec force dans mon vagin, l’air me manque je pousse un cri de surprise, je pose mon front sur mon avant bras et pousse mon cul vers la bitte qui me fend en deux, l’homme me besogne virilement, la comparaison est sans appel il est mieux monté et plus doué que mon mari que je trompe sous ses yeux sans en éprouver aucune culpabilité, néanmoins je risque un œil sur sa table de massage il est assis en tailleur et maintient la fille qui rebondit sur sa queue
Plus rien ne me retient je me rue sur la bitte qui me défonce jusqu'à ce qu’il me bloque pour éjaculer longuement dans mon ventre, mes glandes répondent en laissant jaillir ma cyprine

En sueur je n’éprouve pourtant pas de fatigue, il m’en faut encore, mon amant ne parle pas un mot de français mais il sait se faire comprendre avec sa queue, le pouce qui élargissait mon boyau se retire en même temps que la verge encore dure... c’est fini ? … NON ??!!!!! il s’est retiré de ma chatte pour viser mon anus, chose que, comme avaler le sperme j’ai toujours refusée à Didier, je serre les dents afin de ne pas hurler et trahir ma sodomie sournoise quand une brulure atroce survient, l’homme enfonce son membre sans se soucier si j’ai mal, heureusement le gland passé la douleur s’estompe pour faire place a un plaisir inconnu mais efficace, le piston bien lubrifié va et vient de plus en plus vite, je m’arque- boute et répond a ses assauts, quelle partie de baise ! Je deviens hystérique et me fous complètement de ce que bien faire mon mari avec sa femme enfant, en une heure j’ai rattrapé un retard de deux ans
Le thaï gronde sa satisfaction qui monte, dans un dernier coup de rein il expédie sa sauce dans mon boyau, je m’affale ivre de jouissance, la bitte se retire, son propriétaire quitte la pièce, une fois mon souffle redevenu normal je tourne la tête vers Didier, qui a genoux tire a lui violement la jeune femme complément désarticulée

- Que fait tu chéri ??
- Hé bien tu vois je la sodomise comme tu viens de l’accepter de la part de cet homme
- Tu me baise après ??
- Nous verrons ça a l’hôtel il faut que nous parlions salope ……