Le nouveau gardien d'immeuble.
Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-10-2024 dans la catégorie Pour la première fois
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Le nouveau gardien d'immeuble.
C'est durant ma dernière année à Paris que c'est passée cette histoire.
J'habitais dans un petit immeuble, au 1er étage, avec vue sur la cour. Nous avions un couple de gardiens qui avaient atteint l'âge de la retraite et qui a été remplacé par un jeune couple de portugais avec une petite fille.
Notre couple de vieux gardiens nous a manqué, par leur gentillesse, leur dévouement et moi j'avais beaucoup de plaisir à parler avec eux, ils me faisaient penser à mes grands parents.
Le jeune couple qui a pris leur place ce n'était pas la même chose. C'était elle qui avait le poste de gardien et son mari travaillait en dehors mais c'était lui qui faisait une bonne partie du boulot de sa femme et en prime, elle n'arrêtait pas de l'engueuler!
Je me souviendrais toujours de mon dernier été, où il faisait chaud, j'avais les fenêtre ouvertes, qui donnaient sur leur appartement et je les entendais tout le temps. J'avais su que certains habitants s'étaient plaints et ils ont été rabroué vertement par madame!
C'était un couple de 30 ans environ, donc portugais, elle quelconque, mais toujours habillée comme une pute d'ailleurs je me suis toujours demandé si…
Lui, devait être un peu plus jeune qu'elle mais qu'est ce qu'il était beau Joaquim, beau et agréable, toujours prêt à rendre service.
Beau mec d'1m80, brun, moustachu, toujours le sourire aux lèvres, sauf devant sa femme, toujours en jean qui lui moulait son petit cul à faire bander les morts, une belle carrure coincée dans un tee-shirt toujours de couleurs vives.
Un soir que la scène avait été particulièrement violente, je ne comprenais pas ce qu'ils se disaient vu qu'ils s'engueulaient en portugais, j'ai entendu la porte claquer et j'ai vu le beau Joaquim partir de l'immeuble.
Je bouquinais à ma fenêtre quand je l'ai vu rentrer une bonne heure plus tard et le voir s'installer en boxer sur le canapé de leur salon.
Putain quel beau mec! mais ce soir il dormira sur la béquille le beau portugais!
J'aime les mecs, mais celui ci ne me faisait pas particulièrement fantasmer, marié, une petite fille de 5 ans environ, adorable comme son père!
La scène du départ de l'appart et le mec qui dort sur le canapé se reproduisaient de plus en plus souvent.
Un soir j'ai décidé de le suivre pour voir où il allait!
Ah la curiosité!
Il est allé sur le boulevard, s'installer sur un banc, la tête entre les mains.
J'ai attendu un moment avant de le rejoindre, faisant l'étonné.
-ah toi non plus tu n'arrives pas à dormir avec cette chaleur ?
-on peut dire ça dit le beau Joaquim.
-ça n'a pas l'air d'aller dis je le plus gentiment possible.
-oh tu dois bien entendre nos scènes j'ai vu que tes fenêtres étaient ouvertes.
-oui mais comme je parle pas le portugais.
-eh bien ça vaut mieux dit Joaquim souriant enfin.
Et nous avons papoté un long moment, il ne voulait pas parler des scènes de ménage. J'ai respecté comme je ne lui ai pas fait remarquer qu'il dormait dans le canapé.
On s'est serré la main chaleureusement avant de rentrer chacun chez soi.
Et, cela a duré plusieurs soirs. Lorsque je l'entendais partir je lui laissais un peu de temps et j'allais le rejoindre sur le banc.
Quand il me voyait, il avait le sourire et j'ai appris à apprécier ce beau mec d'autant que je le voyais en boxer et que tout semblait bien rempli.
On parlait de tout et de rien, on riait beaucoup!
Mais un soir on a été vivement pris par un orage, nous obligeant à courir jusqu'aux domiciles.
On est arrivé trempé dans le hall, on riait comme des fous.
-bon on a pris la douche avant de se coucher dis je.
-oui c'est sûr dit il en me tendant la main que je serrais affectueusement et je la gardais dans la mienne pour lui dire :
-il n'est pas tard, ça te dit une bière sur mon divan ? on y craint pas un orage et ça fera du bien car il fait bien lourd.
-je ne veux pas te déranger.
-ben si je te le propose c'est que ça me dérange pas.
On est allé chez moi pour boire cette bière et j'ai pu bien mater le beau portugais. Il m'avait dit qu'il allait à la salle de temps en temps et j'ai remis sur le tapis la discussion la dessus, lui disant que moi aussi je ferais bien d'y aller.
-oh mais t'es pas mal comme tu es dit il, tu sais à la salle il y a ceux qui font de la gonflette et je trouve ça affreux. Toi, comme moi on a du muscle! nous les mecs! et il éclate de rire en me montrant ses biceps gonflés.
Je lui montrais les miens et j'enlève mon tee-shirt pour lui montrer mon beau torse imberbe.
-bah mec! y'en a pas mal qui voudrait être gaulé comme toi!
-fais voir toi ?
Il enlève son tee-shirt et j'ai devant moi la bête! un torse poilu mais uniforme, bien coupé entourant un torse en V.
On se met devant une glace et on s'observe avant d'éclater de rire.
-on s'en fout dit il on est les plus beaux!
Il est rentré chez lui et je l'ai de nouveau observé en train de se déshabiller avant de s'allonger sur le canapé mais cette fois, le coquin, il a enlevé son boxer et j'ai vu le clair de lune fugacement avant qu'il n'éteigne la lumière.
L'avait-il fait exprès, maintenant qu'il avait bien vu que mes fenêtres donnaient chez lui?
Puis, pratiquement tous les soirs, on allait faire un tour, de plus en plus rapide sur le banc, avant de se retrouver chez moi, d'abord face à face, puis côte à côte puis les genoux se sont frôlés, les regards se sont fixés. Les genoux se sont collés et le sont restés jusqu'à ce que ma main s'avance dessus. Sa main s'est posée sur la mienne, nos regards se fixaient. J'ai dégluti.
-je sais que t'es pas gay Joaquim, mais tu me plais beaucoup mec!
Il me regardait sans rien dire, comme s'il m'encourageait à continuer.
-j'ai envie que tu me serres dans tes bras, j'ai envie d'être à toi.
Il ne disait toujours rien, mais un bras est venu sur mes épaules me rapprochant de lui.
Nos joues se sont collées, j'ai bougé un peu comme pour la caresser, sentir sa peau de brun, j'avais l'oreille juste en face de mes lèvres, j'ai fait un léger bisou, son bras s'est resserré contre moi. Il s'est adossé dans le canapé, m'entraînant avec lui. Son autre bras est venu en renfort et j'étais pris dans un étau. Je sentais son souffle dans mon cou, il respirait de plus en plus fort, de plus en plus vite.
Une main a pris ma tête et m'a serré contre lui. Je l'ai embrassé doucement dans le cou, papillonnant. L'étreinte s'est desserrée, j'ai pu bouger la tête, pour embrasser sa joue et le regarder en lui caressant doucement la joue.
-t'es beau Joaquim dis je avec mon plus grand sourire, j'ai envie de t'embrasser, tu veux bien ?
Il a juste fermé les yeux.
Ma bouche est venue juste en face de la sienne, déjà entrouverte, le souffle venait dans la mienne, sa moustache m'a piqué agréablement avant que je sente ses lèvres chaudes et pulpeuses et sa langue qui arrivait dans ma bouche en conquérante et déjà victorieuse pour moi!
On fermait les yeux tous les deux. Lui sûrement pour ne pas voir qu'il embrassait un mec, moi parce que son baiser était divin.
On s'est bouffé la langue, sucé, léché et échangé nos salives.
Ses bras me serraient et n'avaient pas l'air de vouloir me lâcher.
J'ai réussi à glisser une main sous son tee-shirt trouvant de suite les poils, ces poils qui m'ont électrisé remontant vers ses tétons, les trouvant au milieu de la forêt vierge, le prenant entre deux doigts pour le pincer en le tournant, le faisant cesser de m'embrasser et pousser un long râle.
J'insistais sur le téton et il gémissait maintenant, les yeux clos et la bouche ouverte. Plus je le martyrisais, plus il gémissait.
Quand j'ai arrêté, il m'a regardé.
-continue s'il te plait, ma femme n'aime pas me faire ça alors que j'adore ça.
-ça te fait quoi Joaquim ?
-ça me fait bander encore plus mec!
-et ta femme ? elle n'aime pas te faire quoi ?
-oh tu sais depuis un moment on ne fait plus rien, je dors dans le canapé, comme tu as pu le voir… petit voyeur!
Il riait en me tenant le menton.
-donc t'as envie de baiser avec moi ? j'ai demandé.
-je ne sais pas, tu sais t'es vraiment mon premier mec que j'embrasse. Des mecs à poils j'en ai déjà vu quand je vais à la salle mais ça m'a jamais attiré, et toi! t'arrives! et je me laisse faire… je ne sais plus où j'en suis mec!
-t'es avec moi Joaquim! t'en fais pas on fera ce que tu veux, comme tu veux.
Et je l'ai embrassé férocement, lui violant la bouche de ma langue agile, allant le plus loin possible et ma main indiscrète commençait à le caresser partout pour enfin toucher son entre jambe.
Je n'avais jamais vu sa queue, mais l'emballage promettait.
-je voudrais voir ta queue Joaquim.
Et je glissais entre ses jambes, à genoux devant lui, la parfaite posture pour pratiquer une bonne pipe. Défaire son ceinturon, ouvrir la braguette, pour voir ce beau boxer rouge. Je tire sur le jean, il soulève ses fesses, et la bosse que fait le boxer est prometteuse. Je me penche dessus pour la suivre des lèvres. Il allonge ses jambes, je passe la main sur sa queue et le gland s'humidifie faisant une tâche. Je le regarde et le vois se mordre la lèvre, il n'ose pas gémir Joaquim.
Je finis de déballer mon cadeau et je ne suis pas déçu de découvrir cette belle bite d'hétéro en passe de devenir bi!
Je la prends d'une main, enserrant bien cette grosse hampe, chaude, dure. Le gland n'est pas encore dégagé mais la mouille s'échappe déjà.
Je le décalotte à fond, dégageant bien le beau gland bien dessiné et le méat libre, laisse couler en abondance la mouille, je m'avance et touche le frein du bout de la langue. Il sursaute en gémissant. Je vois ses mains serrer le bord du canapé. Je donne des petits coups de langue, approche mes lèvres pour toucher la peau sensible du gland, il pousse un petit cri et j'entoure le gland de mes lèvres chaudes et humides pour l'entendre pousser un long gémissement.
Mes lèvres serrent bien le gland et ma langue entre en action, avalant la mouille au fur et à mesure de sa sortie et il gémit sans arrêt mon beau portugais hétéro. Je caresse ses belles couilles poilues, chaudes et vivantes qui roulent dans ma main et j'avale la queue. Mes lèvres descendent sur la hampe et c'est une belle queue qu'un puceau ne prendra pas d'un coup mais après avoir toussé, pleuré, j'arrive à tout avaler, sa main tient ma tête!
Sans prévenir, je me mets à le piper en malaxant ses couilles. Faut l'entendre pousser de petits cris, de longs gémissements et je sens cette belle queue durcir, s'allonger dans ma bouche, sa main me bloquer la tête et les giclées arrivent en même temps que son cri, me prévenant qu'il va jouir.
Et il en avait du jus le portugais! je crois que c'était mon premier portugais Joaquim et mes amygdales ont bien été rincé!
Il était mignon quand il a pris ma tête entre ses mains pour me dire :
-je n'ai pas pu te prévenir plus tôt, je m'excuse Fabrice.
-t'excuse pas Joaquim j'ai obtenu le meilleur de l'homme!
Je suis venu l'embrasser, lui faire lécher ma langue qui sentait son sperme et il a eu l'air d'apprécier.
J'ai fait ma salope dans ses bras. Il ne cherchait pas à me déshabiller, il ne disait plus rien, comme si la honte s'était installée.
Il est vite parti, s'excusant encore, disant qu'il devait se lever de bonne heure mais il m'a quand même pris dans ses bras pour m'embrasser et c'était bien le baiser d'un amant comblé!
Et t'as pas tout vu mec! j'ai pensé.
Ce soir là je me suis branlé comme un fou, après avoir assisté à son strip-tease de ma fenêtre. Il s'est mis nu pour moi, me montrant ses belles fesses et sa queue qui bandait encore avant de s'allonger sur son canapé et d'éteindre la lumière.
Je ne l'ai revu que deux jours plus tard. Au lieu d'aller sur le banc il est venu directement chez moi. La porte à peine refermée, il s'est jeté sur moi, m'enveloppant de ses bras, sa bouche sur la mienne et sa bonne langue s'engouffrait dans ma bouche, visitant tous les coins. On s'est embrassé comme des collégiens, puis il m'a pris la tête entre ses mains :
-désolé pour la dernière fois, je suis parti comme un voleur Fabrice, mais tout était nouveau, jamais j'aurais cru qu'un mec me ferait ça et que j'apprécierais en plus. Je suis revenu pour… enfin… je ne sais pas exactement… mais en faire plus quoi! tu me comprends non ?
Je riais.
-comme font papa maman quand ils vont au lit, sauf que là y'a que deux papas!
Il a ri.
-bien résumé dit il et tu seras mon professeur. Tu m'apprends tout ce que tu sais!
-ben il va falloir que tu reviennes plusieurs fois Joaquim.
Je l'ai entraîné dans ma chambre, qui donnait sur la cour, j'ai tiré les rideaux. Faudrait pas que sa femme le voit quand même! Mis une petite lumière.
-déshabille moi Joaquim en me faisant ce que tu veux.
C'est marrant un mec qui sait pas par quel bout commencer qui a envie et qui en même temps pense trop!
Il m'a enlevé mon tee-shirt, défait mon jean, ma queue était déjà au beau fixe quand il a descendu mon boxer. Ses yeux ne quittaient pas ma queue bandée, me regardait.
-déshabille toi Joaquim qu'elles fassent connaissance dis je dans un sourire.
Je l'ai aidé à se mettre nu complètement, ah il bandait mon portugais hétéro qui l'était un peu moins déjà!
J'ai pris ses deux mains pour l'attirer à moi doucement, pour que nos bites se touchent, se frôlent, se caressent, la sienne est venue se poser sur la mienne, laissant couler sa mouille, puis j'ai rapproché nos corps, les bites ont remonté le long des corps, se frottant, s'écrasant l'une contre l'autre entre nos corps serrés, les mains caressaient les dos, les bouches collées laissaient les langues s'amuser.
En même temps nos mains ont caressé nos fesses.
Je l'ai poussé sur le lit, on est tombé dans les bras l'un de l'autre, les corps collés, les jambes emmêlées, les bites coulaient l'une sur l'autre. On a roulé sur le lit, l'un au dessus de l'autre, chacun notre tour.
Ah il aimait embrasser et caresser. Mais j'aurais bien aimé plus…
-touche moi les tétons Fabrice et après je te baise si tu veux bien.
-oui je veux bien mais avant tu me suceras et tu me prépares bien mon cul, y'a un moment que je l'ai pas fait! alors sois doux Joaquim!
-je te le promets Fabrice!
Et, il a fait tendrement. J'avais l'impression d'être une poupée dans ses gros bras poilus pleins de douceur.
J'ai été sa première bite. Sa première bite qui jute dans sa bouche. Il a fait un peu la grimace mais en a quand même avalé pas mal pour une première!
Sa façon de lécher une bite, de bouffer les couilles m'avaient fait gueuler de plaisir mais quand sa langue a touché mon anus.
Là les mecs j'ai été aux anges. Ses grosses mains m'écartaient bien les fesses, il a léché longuement la raie, l'inondant de salive, rentrant le bout de sa langue dans mon petit trou accueillant avant de le faire avec ses doigts timidement avec un, puis, plus assuré avec deux me forant au plus profond. Je l'ai soupçonné d'avoir sodomisé sa femme plusieurs fois.
Mais quand il est venu au dessus de moi, tenant mes jambes sur ses épaules, sentir son gland toucher l'anus, forcer lentement, j'aidais en écartant mes fesses de mes mains, et commencer à entrer. Putain quel morceau chaud et dur. Il m'a ouvert lentement me faisant gueuler quand le gland est entré. Il souriait mais avait le regard inquiet. Il a fait une pose. Je ne sentais pas encore ses couilles sur mes fesses et il a repris sa progression pour enfin me donner tout ce que je voulais.
-baise moi maintenant Joaquim!
Y'avait pas besoin de lui dire il était prêt! et ça a été la fête à mon cul. On sentait le mâle qui aime baiser, dominer. Le macho qui sait qu'il a une belle queue et un bon coup de reins.
Il m'a baisé dans plein de positions, j'avais l'impression d'être un pantin entre ses mains. C'est quand j'étais à quatre pattes et qu'il m'enculait de toute la longueur de sa queue, bien profond, qu'il a joui encore plus fort que lors de sa première pipe. L'entendre pousser des cris à chaque giclée, accompagné d'un coup de reins bien sec! c'est le pied les mecs!
Pour finir par s'écrouler sur mon dos, toujours en moi. Je l'entraîne sur le lit, son poil collé à mon dos, sa bouche dans ma nuque, il respire fort. Je sens son cœur battre la chamade, ça résonne dans ma poitrine. Il prend le temps de me faire de petits bisous dans la nuque, je tourne la tête il me fait un bisou sur les lèvres et reste comme ça sur moi.
je sens encore sa queue bien raide en moi, l'idée folle me prend de me faire baiser une deuxième fois rapidement.
Avec mes fesses je serre sa queue en moi, comme si elle passait à la trayeuse. Il soupire, rigole.
-toi t'en veux encore gourmand!
-t'es capable tout de suite ? dis je d'un air de défi.
-tu vas avoir le cul en compote mec! la deuxième fois est toujours plus longue mais aussi profonde.
Je me suis abandonné à lui et j'ai de nouveau été comblé. Mais là, j'ai senti qu'il ne baisait plus, il faisait l'amour à mon cul! cherchant à me faire gémir, crier, je me suis offert du mieux que je pouvais dans plein de positions encore, et j'ai eu ma seconde récompense.
Sentir ce beau mec écroulé sur moi, sentir son souffle sur ma nuque, ses mains caresser mon corps. J'étais le plus heureux des mecs!
Et il est sorti de moi doucement, j'ai apprécié de sentir sa queue encore pas toute débandée, sortir de moi laissant un vide!
Il m'a repris dans ses bras et son baiser n'était pas feint!
-il faudrait que je prenne une douche avant de rentrer dit-il.
-attend.
Et j'ai été sucer sa belle queue, la nettoyer, la léchant dans tous les coins et recoins, lécher ses couilles et me tournant sur le lit pour mettre ma queue devant ses yeux où elle n'est pas restée longtemps dehors.
J'ai passé ma main entre ses jambes, cherchant l'anus perdu au milieu des poils. Je l'ai touché, gratouillé. Bien serré le petit trou.
J'ai reçu une petite dose de sperme en récompense pendant que je me déversais une nouvelle fois dans sa bouche.
Après une multitude de bisous, on a été prendre une douche.
Prendre une douche à deux c'est pas une bonne solution…
Il riait de voir que l'on bandait encore.
-j'ai jamais tant bandé qu'avec toi! dit il en m'embrassant.
-même pas avec ta femme ?
-si mais quand j'ai baisé une fois, elle se retourne et c'est terminé! pas de bisous, pas de caresses… le désert quoi!
-mais alors mon beau portugais est en manque de caresses et de bisous! ça tombe bien je suis une usine à moi tout seul.
Pratiquement tous les soirs il était là sauf le week-end qu'il passait en famille. On n'était pas amoureux c'était juste de la baise entre deux personnes qui s'apprécient, de vrais potes de baise!
J'ai jamais pu l'enculer, pourtant lui bouffer le cul et le doigter bien profond il adorait ça! chacun fait ce qu'il veut avec son cul!
J'ai vécu une très belle dernière année à Paris.
Je suis parti, on est resté un long moment en contact puis cela s'est terminé mais je n'oublierais jamais le beau Joaquim, et les folles soirées que nous avons passé ensemble à 10 mètres de sa femme!
J'habitais dans un petit immeuble, au 1er étage, avec vue sur la cour. Nous avions un couple de gardiens qui avaient atteint l'âge de la retraite et qui a été remplacé par un jeune couple de portugais avec une petite fille.
Notre couple de vieux gardiens nous a manqué, par leur gentillesse, leur dévouement et moi j'avais beaucoup de plaisir à parler avec eux, ils me faisaient penser à mes grands parents.
Le jeune couple qui a pris leur place ce n'était pas la même chose. C'était elle qui avait le poste de gardien et son mari travaillait en dehors mais c'était lui qui faisait une bonne partie du boulot de sa femme et en prime, elle n'arrêtait pas de l'engueuler!
Je me souviendrais toujours de mon dernier été, où il faisait chaud, j'avais les fenêtre ouvertes, qui donnaient sur leur appartement et je les entendais tout le temps. J'avais su que certains habitants s'étaient plaints et ils ont été rabroué vertement par madame!
C'était un couple de 30 ans environ, donc portugais, elle quelconque, mais toujours habillée comme une pute d'ailleurs je me suis toujours demandé si…
Lui, devait être un peu plus jeune qu'elle mais qu'est ce qu'il était beau Joaquim, beau et agréable, toujours prêt à rendre service.
Beau mec d'1m80, brun, moustachu, toujours le sourire aux lèvres, sauf devant sa femme, toujours en jean qui lui moulait son petit cul à faire bander les morts, une belle carrure coincée dans un tee-shirt toujours de couleurs vives.
Un soir que la scène avait été particulièrement violente, je ne comprenais pas ce qu'ils se disaient vu qu'ils s'engueulaient en portugais, j'ai entendu la porte claquer et j'ai vu le beau Joaquim partir de l'immeuble.
Je bouquinais à ma fenêtre quand je l'ai vu rentrer une bonne heure plus tard et le voir s'installer en boxer sur le canapé de leur salon.
Putain quel beau mec! mais ce soir il dormira sur la béquille le beau portugais!
J'aime les mecs, mais celui ci ne me faisait pas particulièrement fantasmer, marié, une petite fille de 5 ans environ, adorable comme son père!
La scène du départ de l'appart et le mec qui dort sur le canapé se reproduisaient de plus en plus souvent.
Un soir j'ai décidé de le suivre pour voir où il allait!
Ah la curiosité!
Il est allé sur le boulevard, s'installer sur un banc, la tête entre les mains.
J'ai attendu un moment avant de le rejoindre, faisant l'étonné.
-ah toi non plus tu n'arrives pas à dormir avec cette chaleur ?
-on peut dire ça dit le beau Joaquim.
-ça n'a pas l'air d'aller dis je le plus gentiment possible.
-oh tu dois bien entendre nos scènes j'ai vu que tes fenêtres étaient ouvertes.
-oui mais comme je parle pas le portugais.
-eh bien ça vaut mieux dit Joaquim souriant enfin.
Et nous avons papoté un long moment, il ne voulait pas parler des scènes de ménage. J'ai respecté comme je ne lui ai pas fait remarquer qu'il dormait dans le canapé.
On s'est serré la main chaleureusement avant de rentrer chacun chez soi.
Et, cela a duré plusieurs soirs. Lorsque je l'entendais partir je lui laissais un peu de temps et j'allais le rejoindre sur le banc.
Quand il me voyait, il avait le sourire et j'ai appris à apprécier ce beau mec d'autant que je le voyais en boxer et que tout semblait bien rempli.
On parlait de tout et de rien, on riait beaucoup!
Mais un soir on a été vivement pris par un orage, nous obligeant à courir jusqu'aux domiciles.
On est arrivé trempé dans le hall, on riait comme des fous.
-bon on a pris la douche avant de se coucher dis je.
-oui c'est sûr dit il en me tendant la main que je serrais affectueusement et je la gardais dans la mienne pour lui dire :
-il n'est pas tard, ça te dit une bière sur mon divan ? on y craint pas un orage et ça fera du bien car il fait bien lourd.
-je ne veux pas te déranger.
-ben si je te le propose c'est que ça me dérange pas.
On est allé chez moi pour boire cette bière et j'ai pu bien mater le beau portugais. Il m'avait dit qu'il allait à la salle de temps en temps et j'ai remis sur le tapis la discussion la dessus, lui disant que moi aussi je ferais bien d'y aller.
-oh mais t'es pas mal comme tu es dit il, tu sais à la salle il y a ceux qui font de la gonflette et je trouve ça affreux. Toi, comme moi on a du muscle! nous les mecs! et il éclate de rire en me montrant ses biceps gonflés.
Je lui montrais les miens et j'enlève mon tee-shirt pour lui montrer mon beau torse imberbe.
-bah mec! y'en a pas mal qui voudrait être gaulé comme toi!
-fais voir toi ?
Il enlève son tee-shirt et j'ai devant moi la bête! un torse poilu mais uniforme, bien coupé entourant un torse en V.
On se met devant une glace et on s'observe avant d'éclater de rire.
-on s'en fout dit il on est les plus beaux!
Il est rentré chez lui et je l'ai de nouveau observé en train de se déshabiller avant de s'allonger sur le canapé mais cette fois, le coquin, il a enlevé son boxer et j'ai vu le clair de lune fugacement avant qu'il n'éteigne la lumière.
L'avait-il fait exprès, maintenant qu'il avait bien vu que mes fenêtres donnaient chez lui?
Puis, pratiquement tous les soirs, on allait faire un tour, de plus en plus rapide sur le banc, avant de se retrouver chez moi, d'abord face à face, puis côte à côte puis les genoux se sont frôlés, les regards se sont fixés. Les genoux se sont collés et le sont restés jusqu'à ce que ma main s'avance dessus. Sa main s'est posée sur la mienne, nos regards se fixaient. J'ai dégluti.
-je sais que t'es pas gay Joaquim, mais tu me plais beaucoup mec!
Il me regardait sans rien dire, comme s'il m'encourageait à continuer.
-j'ai envie que tu me serres dans tes bras, j'ai envie d'être à toi.
Il ne disait toujours rien, mais un bras est venu sur mes épaules me rapprochant de lui.
Nos joues se sont collées, j'ai bougé un peu comme pour la caresser, sentir sa peau de brun, j'avais l'oreille juste en face de mes lèvres, j'ai fait un léger bisou, son bras s'est resserré contre moi. Il s'est adossé dans le canapé, m'entraînant avec lui. Son autre bras est venu en renfort et j'étais pris dans un étau. Je sentais son souffle dans mon cou, il respirait de plus en plus fort, de plus en plus vite.
Une main a pris ma tête et m'a serré contre lui. Je l'ai embrassé doucement dans le cou, papillonnant. L'étreinte s'est desserrée, j'ai pu bouger la tête, pour embrasser sa joue et le regarder en lui caressant doucement la joue.
-t'es beau Joaquim dis je avec mon plus grand sourire, j'ai envie de t'embrasser, tu veux bien ?
Il a juste fermé les yeux.
Ma bouche est venue juste en face de la sienne, déjà entrouverte, le souffle venait dans la mienne, sa moustache m'a piqué agréablement avant que je sente ses lèvres chaudes et pulpeuses et sa langue qui arrivait dans ma bouche en conquérante et déjà victorieuse pour moi!
On fermait les yeux tous les deux. Lui sûrement pour ne pas voir qu'il embrassait un mec, moi parce que son baiser était divin.
On s'est bouffé la langue, sucé, léché et échangé nos salives.
Ses bras me serraient et n'avaient pas l'air de vouloir me lâcher.
J'ai réussi à glisser une main sous son tee-shirt trouvant de suite les poils, ces poils qui m'ont électrisé remontant vers ses tétons, les trouvant au milieu de la forêt vierge, le prenant entre deux doigts pour le pincer en le tournant, le faisant cesser de m'embrasser et pousser un long râle.
J'insistais sur le téton et il gémissait maintenant, les yeux clos et la bouche ouverte. Plus je le martyrisais, plus il gémissait.
Quand j'ai arrêté, il m'a regardé.
-continue s'il te plait, ma femme n'aime pas me faire ça alors que j'adore ça.
-ça te fait quoi Joaquim ?
-ça me fait bander encore plus mec!
-et ta femme ? elle n'aime pas te faire quoi ?
-oh tu sais depuis un moment on ne fait plus rien, je dors dans le canapé, comme tu as pu le voir… petit voyeur!
Il riait en me tenant le menton.
-donc t'as envie de baiser avec moi ? j'ai demandé.
-je ne sais pas, tu sais t'es vraiment mon premier mec que j'embrasse. Des mecs à poils j'en ai déjà vu quand je vais à la salle mais ça m'a jamais attiré, et toi! t'arrives! et je me laisse faire… je ne sais plus où j'en suis mec!
-t'es avec moi Joaquim! t'en fais pas on fera ce que tu veux, comme tu veux.
Et je l'ai embrassé férocement, lui violant la bouche de ma langue agile, allant le plus loin possible et ma main indiscrète commençait à le caresser partout pour enfin toucher son entre jambe.
Je n'avais jamais vu sa queue, mais l'emballage promettait.
-je voudrais voir ta queue Joaquim.
Et je glissais entre ses jambes, à genoux devant lui, la parfaite posture pour pratiquer une bonne pipe. Défaire son ceinturon, ouvrir la braguette, pour voir ce beau boxer rouge. Je tire sur le jean, il soulève ses fesses, et la bosse que fait le boxer est prometteuse. Je me penche dessus pour la suivre des lèvres. Il allonge ses jambes, je passe la main sur sa queue et le gland s'humidifie faisant une tâche. Je le regarde et le vois se mordre la lèvre, il n'ose pas gémir Joaquim.
Je finis de déballer mon cadeau et je ne suis pas déçu de découvrir cette belle bite d'hétéro en passe de devenir bi!
Je la prends d'une main, enserrant bien cette grosse hampe, chaude, dure. Le gland n'est pas encore dégagé mais la mouille s'échappe déjà.
Je le décalotte à fond, dégageant bien le beau gland bien dessiné et le méat libre, laisse couler en abondance la mouille, je m'avance et touche le frein du bout de la langue. Il sursaute en gémissant. Je vois ses mains serrer le bord du canapé. Je donne des petits coups de langue, approche mes lèvres pour toucher la peau sensible du gland, il pousse un petit cri et j'entoure le gland de mes lèvres chaudes et humides pour l'entendre pousser un long gémissement.
Mes lèvres serrent bien le gland et ma langue entre en action, avalant la mouille au fur et à mesure de sa sortie et il gémit sans arrêt mon beau portugais hétéro. Je caresse ses belles couilles poilues, chaudes et vivantes qui roulent dans ma main et j'avale la queue. Mes lèvres descendent sur la hampe et c'est une belle queue qu'un puceau ne prendra pas d'un coup mais après avoir toussé, pleuré, j'arrive à tout avaler, sa main tient ma tête!
Sans prévenir, je me mets à le piper en malaxant ses couilles. Faut l'entendre pousser de petits cris, de longs gémissements et je sens cette belle queue durcir, s'allonger dans ma bouche, sa main me bloquer la tête et les giclées arrivent en même temps que son cri, me prévenant qu'il va jouir.
Et il en avait du jus le portugais! je crois que c'était mon premier portugais Joaquim et mes amygdales ont bien été rincé!
Il était mignon quand il a pris ma tête entre ses mains pour me dire :
-je n'ai pas pu te prévenir plus tôt, je m'excuse Fabrice.
-t'excuse pas Joaquim j'ai obtenu le meilleur de l'homme!
Je suis venu l'embrasser, lui faire lécher ma langue qui sentait son sperme et il a eu l'air d'apprécier.
J'ai fait ma salope dans ses bras. Il ne cherchait pas à me déshabiller, il ne disait plus rien, comme si la honte s'était installée.
Il est vite parti, s'excusant encore, disant qu'il devait se lever de bonne heure mais il m'a quand même pris dans ses bras pour m'embrasser et c'était bien le baiser d'un amant comblé!
Et t'as pas tout vu mec! j'ai pensé.
Ce soir là je me suis branlé comme un fou, après avoir assisté à son strip-tease de ma fenêtre. Il s'est mis nu pour moi, me montrant ses belles fesses et sa queue qui bandait encore avant de s'allonger sur son canapé et d'éteindre la lumière.
Je ne l'ai revu que deux jours plus tard. Au lieu d'aller sur le banc il est venu directement chez moi. La porte à peine refermée, il s'est jeté sur moi, m'enveloppant de ses bras, sa bouche sur la mienne et sa bonne langue s'engouffrait dans ma bouche, visitant tous les coins. On s'est embrassé comme des collégiens, puis il m'a pris la tête entre ses mains :
-désolé pour la dernière fois, je suis parti comme un voleur Fabrice, mais tout était nouveau, jamais j'aurais cru qu'un mec me ferait ça et que j'apprécierais en plus. Je suis revenu pour… enfin… je ne sais pas exactement… mais en faire plus quoi! tu me comprends non ?
Je riais.
-comme font papa maman quand ils vont au lit, sauf que là y'a que deux papas!
Il a ri.
-bien résumé dit il et tu seras mon professeur. Tu m'apprends tout ce que tu sais!
-ben il va falloir que tu reviennes plusieurs fois Joaquim.
Je l'ai entraîné dans ma chambre, qui donnait sur la cour, j'ai tiré les rideaux. Faudrait pas que sa femme le voit quand même! Mis une petite lumière.
-déshabille moi Joaquim en me faisant ce que tu veux.
C'est marrant un mec qui sait pas par quel bout commencer qui a envie et qui en même temps pense trop!
Il m'a enlevé mon tee-shirt, défait mon jean, ma queue était déjà au beau fixe quand il a descendu mon boxer. Ses yeux ne quittaient pas ma queue bandée, me regardait.
-déshabille toi Joaquim qu'elles fassent connaissance dis je dans un sourire.
Je l'ai aidé à se mettre nu complètement, ah il bandait mon portugais hétéro qui l'était un peu moins déjà!
J'ai pris ses deux mains pour l'attirer à moi doucement, pour que nos bites se touchent, se frôlent, se caressent, la sienne est venue se poser sur la mienne, laissant couler sa mouille, puis j'ai rapproché nos corps, les bites ont remonté le long des corps, se frottant, s'écrasant l'une contre l'autre entre nos corps serrés, les mains caressaient les dos, les bouches collées laissaient les langues s'amuser.
En même temps nos mains ont caressé nos fesses.
Je l'ai poussé sur le lit, on est tombé dans les bras l'un de l'autre, les corps collés, les jambes emmêlées, les bites coulaient l'une sur l'autre. On a roulé sur le lit, l'un au dessus de l'autre, chacun notre tour.
Ah il aimait embrasser et caresser. Mais j'aurais bien aimé plus…
-touche moi les tétons Fabrice et après je te baise si tu veux bien.
-oui je veux bien mais avant tu me suceras et tu me prépares bien mon cul, y'a un moment que je l'ai pas fait! alors sois doux Joaquim!
-je te le promets Fabrice!
Et, il a fait tendrement. J'avais l'impression d'être une poupée dans ses gros bras poilus pleins de douceur.
J'ai été sa première bite. Sa première bite qui jute dans sa bouche. Il a fait un peu la grimace mais en a quand même avalé pas mal pour une première!
Sa façon de lécher une bite, de bouffer les couilles m'avaient fait gueuler de plaisir mais quand sa langue a touché mon anus.
Là les mecs j'ai été aux anges. Ses grosses mains m'écartaient bien les fesses, il a léché longuement la raie, l'inondant de salive, rentrant le bout de sa langue dans mon petit trou accueillant avant de le faire avec ses doigts timidement avec un, puis, plus assuré avec deux me forant au plus profond. Je l'ai soupçonné d'avoir sodomisé sa femme plusieurs fois.
Mais quand il est venu au dessus de moi, tenant mes jambes sur ses épaules, sentir son gland toucher l'anus, forcer lentement, j'aidais en écartant mes fesses de mes mains, et commencer à entrer. Putain quel morceau chaud et dur. Il m'a ouvert lentement me faisant gueuler quand le gland est entré. Il souriait mais avait le regard inquiet. Il a fait une pose. Je ne sentais pas encore ses couilles sur mes fesses et il a repris sa progression pour enfin me donner tout ce que je voulais.
-baise moi maintenant Joaquim!
Y'avait pas besoin de lui dire il était prêt! et ça a été la fête à mon cul. On sentait le mâle qui aime baiser, dominer. Le macho qui sait qu'il a une belle queue et un bon coup de reins.
Il m'a baisé dans plein de positions, j'avais l'impression d'être un pantin entre ses mains. C'est quand j'étais à quatre pattes et qu'il m'enculait de toute la longueur de sa queue, bien profond, qu'il a joui encore plus fort que lors de sa première pipe. L'entendre pousser des cris à chaque giclée, accompagné d'un coup de reins bien sec! c'est le pied les mecs!
Pour finir par s'écrouler sur mon dos, toujours en moi. Je l'entraîne sur le lit, son poil collé à mon dos, sa bouche dans ma nuque, il respire fort. Je sens son cœur battre la chamade, ça résonne dans ma poitrine. Il prend le temps de me faire de petits bisous dans la nuque, je tourne la tête il me fait un bisou sur les lèvres et reste comme ça sur moi.
je sens encore sa queue bien raide en moi, l'idée folle me prend de me faire baiser une deuxième fois rapidement.
Avec mes fesses je serre sa queue en moi, comme si elle passait à la trayeuse. Il soupire, rigole.
-toi t'en veux encore gourmand!
-t'es capable tout de suite ? dis je d'un air de défi.
-tu vas avoir le cul en compote mec! la deuxième fois est toujours plus longue mais aussi profonde.
Je me suis abandonné à lui et j'ai de nouveau été comblé. Mais là, j'ai senti qu'il ne baisait plus, il faisait l'amour à mon cul! cherchant à me faire gémir, crier, je me suis offert du mieux que je pouvais dans plein de positions encore, et j'ai eu ma seconde récompense.
Sentir ce beau mec écroulé sur moi, sentir son souffle sur ma nuque, ses mains caresser mon corps. J'étais le plus heureux des mecs!
Et il est sorti de moi doucement, j'ai apprécié de sentir sa queue encore pas toute débandée, sortir de moi laissant un vide!
Il m'a repris dans ses bras et son baiser n'était pas feint!
-il faudrait que je prenne une douche avant de rentrer dit-il.
-attend.
Et j'ai été sucer sa belle queue, la nettoyer, la léchant dans tous les coins et recoins, lécher ses couilles et me tournant sur le lit pour mettre ma queue devant ses yeux où elle n'est pas restée longtemps dehors.
J'ai passé ma main entre ses jambes, cherchant l'anus perdu au milieu des poils. Je l'ai touché, gratouillé. Bien serré le petit trou.
J'ai reçu une petite dose de sperme en récompense pendant que je me déversais une nouvelle fois dans sa bouche.
Après une multitude de bisous, on a été prendre une douche.
Prendre une douche à deux c'est pas une bonne solution…
Il riait de voir que l'on bandait encore.
-j'ai jamais tant bandé qu'avec toi! dit il en m'embrassant.
-même pas avec ta femme ?
-si mais quand j'ai baisé une fois, elle se retourne et c'est terminé! pas de bisous, pas de caresses… le désert quoi!
-mais alors mon beau portugais est en manque de caresses et de bisous! ça tombe bien je suis une usine à moi tout seul.
Pratiquement tous les soirs il était là sauf le week-end qu'il passait en famille. On n'était pas amoureux c'était juste de la baise entre deux personnes qui s'apprécient, de vrais potes de baise!
J'ai jamais pu l'enculer, pourtant lui bouffer le cul et le doigter bien profond il adorait ça! chacun fait ce qu'il veut avec son cul!
J'ai vécu une très belle dernière année à Paris.
Je suis parti, on est resté un long moment en contact puis cela s'est terminé mais je n'oublierais jamais le beau Joaquim, et les folles soirées que nous avons passé ensemble à 10 mètres de sa femme!
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
ah ah attention à sa femme...
Histoire très sympa !
Je regarderai les concierges portugais avec un autre œil !
Je regarderai les concierges portugais avec un autre œil !
merci cher lecteur pour tous ces compliments
ah ah merci Jeremie
bjour très beau récit, comme les autres de cet auteur d'ailleurs.. je ne prends jamais le temps de laisser un commentaire, mais je les apprécie toutes.. quelle belle histoire, sensuelle, sexuelle, et c'est tjours bien de détourner un hétéro..!
Juste de la baise, d'accord, et sans dire agressive, plutôt virile, mais amenée avec tendresse au début, c'est le bon process :D