Le quincaillier, 2ème partie (revue et corrigée) - histoire érotique

C'était la première fois que j'avais une relation avec un homme, je ne parle pas des copains de lycée où c'était des jeux et de la curiosité, mais une relation avec un sexe qui entre dans mes fesses...j'avais aimé l'essai, j'ai d'ailleurs toujours aimé cette partie de mon corps.

En effet, plus jeune, comme tous les enfants je fouillais partout quand mes parents n'étaient pas là, persuadée que j'allais trouver quelque chose d'interdit...et en fouillant dans le placard de mon père, j'ai trouvé un vieux sac de sports, sous les raquettes il y avait des très vieux livres, des livres qui ne devaient pas être dans le commerce je pense, car il y avait plutôt des dessins et des bandes dessinées, pas des photos.
Sur ses pages, il s'agissait d’une fille et ses parents, dans leur maison ou appartement, ils avaient des jeux très osés.
J'étais subjuguée de voir tout ça, il y avait aussi des amis ou de la famille qui rendaient visite aux parents, et tout le monde jouait à des jeux interdits avec leur fille aussi, qui semblait toujours ravie et qui participait à plein de choses, mais je remarquais que dans la plupart des relations sexuelles, elle était sodomisée, par des hommes ou avec des objets, comme des bouteilles ou des légumes, la fille avait l'air d'adorer ça et demandait toujours "encore"...

Certaines histoires en particulier me fascinaient, celle de la maman qui amenait sa voiture chez le garagiste avec sa fille, ils se baissaient pour regarder un pneu, la maman en se baissant laissait apparaitre sa culotte, le monsieur regardait et il avait une grosse bosse à son pantalon, il avait une tenue de travail avec une fermeture de haut en bas, la maman ouvrait et sortait un énorme sexe, la fille regardait et curieuse aussi elle le touchait, et pendant qu'elle le touchait la maman la mettait dans sa bouche, et toutes les deux s'occupaient de ce sexe, puis sur un autre dessin, le monsieur rentrait son énorme sexe dans les fesses de sa fille, qui y prenait beaucoup de plaisir tellement elle souriait...puis ensuite il prenait la maman sur le capot pendant que sa fille regardait.

Une autre histoire se passait dans la classe d'un très vieux professeur, l’étudiante n’avait pas rendue un devoir et le prof menaçait de le dire à ses parents, il la gardait après l’heure du cours, et, en attendant de la faire travailler, il la faisait passer sous le bureau, sortait son sexe et il lui demandait de faire des bisous dessus, puis il lui demandait de lécher, ce qu'elle faisait, puis de mettre dans la bouche et de sucer comme une sucette, ce qu'elle faisait...image après image...puis il devenait très gros, alors il lui proposait de la faire travailler pour être une meilleure élève, il lui enlève sa culotte et l'assoit sur sa verge brandit en l'air, l’étudiante était très souriante en faisant un "oh" dans la bulle texte..Et il la levait et la baissait sur son pieu assis sur sa chaise…

Je n'avais retenue qu'une chose dans tous ces dessins, c'était le plaisir qu'avait la fille d'avoir des choses ou sexe dans ses fesses, je ne voyais que ça…et que je pouvais le faire toute seule, aussi, je me suis dit que j'allais essayer de me faire plaisir comme ça.

Alors, j'ai commencé à me toucher à cet endroit, mais cela me faisait plutôt un peu mal et je ne comprenais pas d'où venait ce plaisir, ensuite j'ai essayé avec le goulot d'une bouteille, et ce n'était plus pareil, ce contact froid contre l'anus me donnait des sensations...j'ai commencé à pousser, c'était un peu douloureux mais ce froid qui me pénétrait et que je sentais dans mes reins m'excitait considérablement.
J'ai continué par la suite avec des ustensiles divers ou des légumes, j'avais de plus en plus de plaisir, cérébral et physique, à mettre de plus en plus gros, cette sensation de sentir mes parois se distendre m'excitait, je gardais une préférence pour les bouteilles, et j'arrivais même à entrer quelquefois le gros goulot des bouteilles de jus de fruits que nous avions souvent chez nous...

Et j'ai continué régulièrement à m'introduire au fil des mois, quand j'étais seule, dans la cuisine, ou dans ma chambre, je buvais souvent ce fameux jus de fruits et j'oubliais de ramener à la cuisine toujours une bouteille vide, ma mère ne s'étonnait pas comme cela d'en trouver là quelquefois.

Par la suite chez mon grand-père à la campagne, j'avais trouvé autre chose, dans sa remise il y avait des outils de jardin, et j'avais trouvé que les manches de pelle ou pioche avaient une extrémité arrondie assez grosse, et j'avais pensé à une nouvelle façon de me faire plaisir...
En faisant attention qu'il ne me surprenne pas, je m'isolais dans sa bâtisse, baissais mon jean, je mettais l'outil contre le bas du mur, au coin, et je dirigeais le manche contre l'anus, je n'avais plus qu'à m’appuyer, laissant aller mon poids sur le manche qui s'enfonçait doucement, je tendais bien mes fesses pour ça, faire cela dans cette cabane parmi tout ces outils, cette poussière, me troublait, quand je pensais être tranquille, je me mettais nue au milieu de ce Bazard et je me frottais avec un peu tout et n'importe quoi, sur les seins, la chatte ou dans mes fesses, cherchant toujours des sensations nouvelles..

Et voilà pourquoi j'avais hâte de revenir le mercredi suivant travailler chez le quincaillier...

A suivre....