Le rebeu à casquette - histoire érotique

C’était une de ces soirées, où je partais à Toulouse pour toute la nuit à fréquenter les lieux gays. A l’époque j’avais 22 ans, célibataire, actif et passif suivant les partenaires.
Ce soir là j’étais tout seul, j’avais pris le train. Arrivé à Toulouse, direction un club sexe ou j’avais déjà passé quelques soirées. Au bar de ce club, je prends un verre jus de fruit (pour les vitamines) puis je me dirige vers l’endroit qui m’intéresse. Des couloirs, des portes donnant dans des salles de repos, des salles vidéo … Je traîne dans les couloirs cherchant un mec qui pourrait être mon partenaire. Ce soir, pas grand monde, je passe devant une salle où un homme obèse sur un sling, se caresse l’anus avec du gel à la vue de tout le monde. Je dois mettre beaucoup de force pour effacer cette image de mon esprit.
Après avoir fait un tour complet du club, je n’ai pas trouvé mon bonheur. Je m’assoie sur un banc posé là. C’est à ce moment que je remarque un mec dans un coin noir à quelques mètres devant moi. Il se déplace un peu dans la lumière et je peux distingué un rebeu qui porte, casquette, survêtement et baskets. Je ne suis pas intéressé par ce genre de look. Mais, alors que je le regarde sans vraiment le voir, je m’aperçois qu’il me fixe puis il se dirige vers une salle, il se place dos au mur juste à côte de la porte et me regarde à nouveau. Je comprends le message, je me dirige vers la sale et y rentre, il rentre rapidement ferme la porte a clé et se met dos au mur et me tire par le bras pour que je me colle à lui. Je sens de suite son sexe dur contre ma cuisse, il a l’air bien membré. J’essaie de l’embrasser, il ne veut pas, tant pis, je lui passe les mains sous son t-shirt pour le caresser. Il a un torse finement musclé, imberbe, très lisse et doux. Lui ne perds pas sont temps et me caresse fermement mes fesses. Je lui retire son haut et lui pose des baisers sur son torse, et lui titille les tétons de ma langue et de mes dents. Il ne dit rien, mais il a l’air d’apprécier. Ensuite, d’une main il me force a me mettre à genou, je comprends ce qu’il désire. Je descend son pantalon de survêtement et découvre qu’il ne porte pas de dessous. Devant mes yeux apparaît une superbe queue qui se dresse très droite et vient taper son nombril. Elle est longe, très épaisse, d’une couleur assez sombre, avec un gland rouge vif et énorme. Comme je les aime !
Je vais mettre beaucoup dextérité pour le sucer. J’ouvre grande la bouche pour gober ce membre turgescent et ma langue va se lover tout autour du gland. Mes mains vont coulisser sur la base et caresser ses grosses couilles Sous mes caresses buccales il pousse des gémissements très rauques, ce qui m’excite terriblement. Je vais le sucer assez longtemps, jusqu’à avoir mal aux zygomatiques. Je me relève et lui demande :
- tu veux me prendre ?
Il fait oui d’un mouvement de la tête. Je lui passe un préservatif qu’il enfile prestement, puis, fermement il me retourne, me baisse mon jean et slip, me force à me pencher en avant et pose déjà sa bite sur mon trou. J’ai tout juste le temps de me mettre du gel lubrifiant sur mon anus que déjà il pousse pour rentrer. Je respire fort et me détends pour que son engin puisse me pénétrer sans trop de mal. Mais elle est très grosse et il faudra plusieurs minutes pour que je puisse m’ouvrir assez pour que sa bite rentre en moi. Enfin, son gland s’introduit en moi, c’est bon, il continu a m’enfoncer son gourdin jusqu’aux couilles, je sens ses poils pubien qui me piquent les fesses. Il commence très vite ses va et vient, le pantalon et le slip aux pieds, je prends appui sur la banquette devant moi le cul bien cambré. Je vais vivre une baise hard mais sans douleurs. D’habitude je n’aime pas la brutalité, mais là, je ne sais pas pourquoi, j’apprécie la rudesse de ce mec. Ses coups de bite sont fougueux et je commence a gémir de plaisir, je bande à mort, ma bite me fait mal, je me met à me branler vivement.
Lui commence à respirer très fort, moi je sens la jouissance qui monte dans la bite et j’ai le cul qui chauffe énormément. Puis dans des derniers coups de reins puissants, il jouit en éjaculant dans mon cul. Moi à ce moment mon corps est pris de tremblements incontrôlables Je cri en larguant mon jus avec force devant moi. Je m’écroule épuisé sur la banquette, tandis que lui se rhabille et me laisse sans un mot, je suis repu de sexe pour plusieurs jours.
Durant toute la durée de cette aventure, il n’a pas quitté sa casquette.

Seithan