le sexe reste la meilleure thérapie
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-01-2013 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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le sexe reste la meilleure thérapie
Cédric mon petit beau frère de vingt ans nous donne bien du souci, il y a quelques
jours nous l’avons trouvé inanimé, dans un état de léthargie profonde, une sorte de
coma inexplicable sauf qu’il respire normalement, rien au scanner, rien a l’i r m, le
cerveau n’est pas affecté les médecins sont perplexes, il reste hospitalisé sous
surveillance, nous pensons que ça coïncide après que sa nana l’ai plaqué, depuis hier
il y a du nouveau, il ouvre les yeux mais ils restent fixes
Moi je suis sa belle sœur Priscilla, j’ai vingt huit ans, comme je travaille aux
cuisines de l’hôpital je passe le voir tous les jours a treize heure après le boulot,
je lui parle il semble comprendre car nous avons établit un contact il ferme les
paupières une fois pour dire non, deux fois pour oui
- Bonjour Cédric, tu vas bien ?
Il ferme longuement les paupières
- Tu souffre ?
Il cligne deux fois …
- Tu a mal ou ? évidement suis-je bête tu ne peux pas me le dire, c’est le moral
?
Il cligne plusieurs fois, c’est donc ça, je m’assois prés de lui heureusement qu’il ne
peut pas me voir dans sa position allongée car j’ai un genou ouvert la jupe remontée
presque jusqu’au slip, que faire pour l’apaiser ? Je lui prends la main flasque et la
pose sur mon genou, il ferme les yeux je suppose qu’il apprécie alors je me caresse la
cuisse avec sa main douce et brulante, mine de rien ça me trouble ….
- Si tu étais conscient je suis sûre que ta main se déplacerait sur ma cuisse, a
l’intérieur là ou ma peau est satinée avant d’atteindre mon aine et de toucher la
bordure de mon string a l’endroit le plus humide prés du triangle de coton
Sent-il la peau soyeuse de ma cuisse ? Soudain je tourne la tête et je vois le drap
qui le recouvre jusqu'à la taille déformé au bas du ventre, est-ce un pli du tissu ou
bien ……nous sommes seuls … je vais vérifier ….je repousse le drap ….
Ohhh, sa verge en forme de banane est gonflée à l’ extrême, le gland qui repose sur le
nombril est emprisonné dans un étui pénien relié à une poche pour évacuer l’urine,
j’approche ma main tremblante du pénis, je l’empoigne, je ne peux m’empêcher de faire
la comparaison avec celle de mon mari, celle de Cédric est plus grosse et plus longue
Mes doigts se resserrent plusieurs fois sur le membre sans oser le masturber
franchement, soudain le canal déférent se gonfle sous mes doigts par saccades, je
réalise qu’il est après éjaculer, effectivement le tube en plastique se remplit de
sperme propulsé très vite vers le réceptacle accroché au bord du lit, le sperme se
mélange a l’urine en la troublant, Cédric n’ouvre pas les yeux, mais il ne débande pas
non plus, mon dieu qu’ai-je fait ? Il est vachement engorgé ! Si les infirmières entre
et le voit en érection ? Je dois vite faire tomber sa pression, cette fois je le
branle énergiquement, deux minutes plus tard nouvelle éjaculation, ouff la queue
redevint normale, débandée !
Il était temps une infirmière entre, son regard se pose directement sur la poche
urinaire
- Mon dieu que lui arrive –t – il ? j’espère que ses reins de sont pas affectés,
je vais faire analyser ça de suite
Je dois être rouge mais je ne fait rien pour en expliquer le raison, je me sauve de la
chambre ! En arrivant à la maison j’essaie d’expliquer à mon mari que son frère
bandait sans lui dévoiler toute la scène
- Chérie on doit tout tenter pour le sortir de là je dis bien TOUT, même si la
voie sexuelle est la seule issue ….
- J’ai compris chéri je ferais l’impossible ….
Le lendemain je croise les infirmières dans le couloir, je me sens obligée de demander
les résultats
- Fausse alerte ! ce n’était que du sperme ! … c’est peut être sa porte de
sortie... nous ne viendrons faire ses soins que vers quinze heures trente de toute
façon nous frapperons et attendrons votre accord avant d’entrer
Si ce n’est pas un message à mon intention je n’y comprends rien !
- Bonjour petit beau frère ça va aujourd’hui ?
Il cligne deux fois, chouette, j’ai envie de récidiver, comme la veille je m’assois et
passe sa main sous ma jupe très loin dans ma fourche, ses ongles touchent mon string,
pourquoi ne pas aller plus loin… j’écarte ma culotte, je joins son index et son majeur
pour me les enfiler, en manœuvrant son poignet j’ai l’illusion que c’est lui qui me
doigte, je vire le drap, hier ce n’était pas un hasard Cédric bande !
- Tu te souviens Cédric ? cet été dans la piscine ? lorsque ton frère apprenais
à nager a ta copine nous chahutions tous les deux j’avais la poitrine nue, au début,
par inadvertance sans doute tes mains effleuraient mes seins et le bas de mon maillot
mais a la fin ce n’était plus innocent, je sentais ton maillot gonflé sur mes fesses,
tu avais envie de me baiser ?
Son regard reste toujours fixe mais ses yeux clignent plusieurs fois, donc Cédric a
envie de moi
Je dois frapper fort pour faire un électrochoc, d’abord ôter slip et soutient gorge
dans le cabinet de toilette, je reviens a son chevet, passe a califourchon sur son
torse, ma chatte est écrasée sur ses poils pectoraux, je relève mon top et lui met ma
poitrine frémissante sous les yeux, je prends sa main pour lui faire caresser mes
tétons, ses yeux clignent a toute vitesse mais ses doigts restent inertes
Passons à autre chose, virer cette capote qui emprisonne sa queue puis me tourner de
façon à ce qu’il garde ses doigts dans ma moule pendant que je vais le sucer plutôt
que de le faire cracher dans le plastique, je resterais attentive au moindre mouvement
de sa part
Je suis admirative devant ce membre recourbé juste ce qu’il faut pour agacer le point
G, j’engouffre la verge, mon autre main manipule son poignet entre mes jambes afin
qu’il me masturbe inconsciemment, lentement mes lèvres vont et viennent sur la hampe,
ma langue tourne autour du gland, comme la veille son canal réagis rapidement, je
m’apprête à recevoir son foutre en pleine gorge, les saccades propulsent son sperme
dans mon œsophage, il me semble que les doigts fichés dans mon vagin ont frémis ! !!!
ZUT ! Des coups sont frappés à la porte ! En hâte je remets de l’ordre dans ma tenue,
le drap sur son ventre tant pis pour l’étui pénien ….
- Bonjour ! comment va notre petit malade aujourd’hui madame ?
- Bien très bien merci il me semble qu’il y a un léger mieux
- Ah les urines ne sont pas troubles aujourd’hui ? … ahhhh la canule a glissé ….
Un sourire illumine son visage une goutte de sperme suinte au bout du nœud et pas
d’autres trace aux alentours
- Bien, très bien, bonne thérapie !
- Je dois partir excusez moi
- A demain ?
- Oui bien sur
- Je vous laisserais un peu plus de temps …
Le lendemain ma culotte est mouillée avant d’arriver a la chambre, j’ai trop envie de
baiser avec Cédric ! Pas de sous-vêtements inutiles, j’ôte tout, puis a nouveau je
m’installe a califourchon mais cette fois sur son visage ma fente sur son nez, d’avant
en arrière je réussi à le faire pénétrer dans mon vagin, soudain a l’assistance
électronique le bip sonore de ses battements de cœur s’accélère, je suis entrain de
l’étouffer ! , je me retire vivement, ouff, sa poitrine reprend un rythme normal ses
narines et ses lèvres sont luisantes de cyprine, qui sait mon odeur de femme va peut
être faire un miracle ? Il me semble voir la pointe de sa langue tenter de récupérer
mon suc
Sa queue est dans un état de catalepsie rigide, sans perdre un instant me voilà a
cheval sur son bassin, l’embout viré je n’ai plus qu’a m’introduire la verge……
Aaaaaahhhhhh que c’est boooooonnnnnnnnnnnnn, lentement la queue disparait avalée par
ma chatte en feu, assise sur lui je décris de petits ronds pour ressentir
intérieurement les effets subtils de la verge recourbée
- Je te baise mon petit beau frère réagis que diable ! tu va me laisser faire
tout le travail ? aller au boulot fainéant ! fait un effort pose tes mains sur mes
cuisses, plote moi les nichons
L’idée me vient de lui pincer un téton …son corps se tend comme un arc et retombe
inerte, je recommence ….
- AIIIIEEEEEE !
- Ça y est !!!!!!! tu es enfin réveillé !! que je suis heureuse Cédric parle moi
!
- Que fais-tu là sur moi ?
- Ben tu vois on baise !
- Et en quel honneur ?
- C’est une longue histoire pour l’instant contente toi de me contenter !
- Et mon frère ?
- Il est au courant, ALLER BOUGE !!
- Tu en veux de la baise ? laisse moi me débarrasser de tout ces fils et prend
ma place je vais te labourer le fion petite belle sœur, il me semble qu’il y a une
éternité que je n’ai pas jouis !
Vite je prends la position la plus obscène, ma moule baille mes poils sont collés par
ma mouille, Cédric s’allonge sur moi son membre trouve le chemin de ma craquette, d’un
coup de rein je suis embrochée, je ne peux retenir mes cris de joies tant je suis
contente et tant il me fait du bien, sauf que j’oublie que nous somment dans un
hôpital …. La porte s’ouvre, l’infirmière déboule dans la chambre
- Que se passe-t-il ici ???????? ooooooooohhhhhhh Juliette ! vient vite voir !
il est sorti du coma !!!! !!!!!!!
- Pour être sorti du coma il en est sorti, quel fougue !
- Cédric ? vous sortez demain ! bonne continuation, nous repartons, prenez votre
temps la lumière rouge est allumée dans le couloir personne ne viendra vous déranger !
- Quelles connes ! elles ont faillis me faire débander !
- Continue à me bourrer la chatte Cédric !
- Salope de belle sœur !!!!!!
jours nous l’avons trouvé inanimé, dans un état de léthargie profonde, une sorte de
coma inexplicable sauf qu’il respire normalement, rien au scanner, rien a l’i r m, le
cerveau n’est pas affecté les médecins sont perplexes, il reste hospitalisé sous
surveillance, nous pensons que ça coïncide après que sa nana l’ai plaqué, depuis hier
il y a du nouveau, il ouvre les yeux mais ils restent fixes
Moi je suis sa belle sœur Priscilla, j’ai vingt huit ans, comme je travaille aux
cuisines de l’hôpital je passe le voir tous les jours a treize heure après le boulot,
je lui parle il semble comprendre car nous avons établit un contact il ferme les
paupières une fois pour dire non, deux fois pour oui
- Bonjour Cédric, tu vas bien ?
Il ferme longuement les paupières
- Tu souffre ?
Il cligne deux fois …
- Tu a mal ou ? évidement suis-je bête tu ne peux pas me le dire, c’est le moral
?
Il cligne plusieurs fois, c’est donc ça, je m’assois prés de lui heureusement qu’il ne
peut pas me voir dans sa position allongée car j’ai un genou ouvert la jupe remontée
presque jusqu’au slip, que faire pour l’apaiser ? Je lui prends la main flasque et la
pose sur mon genou, il ferme les yeux je suppose qu’il apprécie alors je me caresse la
cuisse avec sa main douce et brulante, mine de rien ça me trouble ….
- Si tu étais conscient je suis sûre que ta main se déplacerait sur ma cuisse, a
l’intérieur là ou ma peau est satinée avant d’atteindre mon aine et de toucher la
bordure de mon string a l’endroit le plus humide prés du triangle de coton
Sent-il la peau soyeuse de ma cuisse ? Soudain je tourne la tête et je vois le drap
qui le recouvre jusqu'à la taille déformé au bas du ventre, est-ce un pli du tissu ou
bien ……nous sommes seuls … je vais vérifier ….je repousse le drap ….
Ohhh, sa verge en forme de banane est gonflée à l’ extrême, le gland qui repose sur le
nombril est emprisonné dans un étui pénien relié à une poche pour évacuer l’urine,
j’approche ma main tremblante du pénis, je l’empoigne, je ne peux m’empêcher de faire
la comparaison avec celle de mon mari, celle de Cédric est plus grosse et plus longue
Mes doigts se resserrent plusieurs fois sur le membre sans oser le masturber
franchement, soudain le canal déférent se gonfle sous mes doigts par saccades, je
réalise qu’il est après éjaculer, effectivement le tube en plastique se remplit de
sperme propulsé très vite vers le réceptacle accroché au bord du lit, le sperme se
mélange a l’urine en la troublant, Cédric n’ouvre pas les yeux, mais il ne débande pas
non plus, mon dieu qu’ai-je fait ? Il est vachement engorgé ! Si les infirmières entre
et le voit en érection ? Je dois vite faire tomber sa pression, cette fois je le
branle énergiquement, deux minutes plus tard nouvelle éjaculation, ouff la queue
redevint normale, débandée !
Il était temps une infirmière entre, son regard se pose directement sur la poche
urinaire
- Mon dieu que lui arrive –t – il ? j’espère que ses reins de sont pas affectés,
je vais faire analyser ça de suite
Je dois être rouge mais je ne fait rien pour en expliquer le raison, je me sauve de la
chambre ! En arrivant à la maison j’essaie d’expliquer à mon mari que son frère
bandait sans lui dévoiler toute la scène
- Chérie on doit tout tenter pour le sortir de là je dis bien TOUT, même si la
voie sexuelle est la seule issue ….
- J’ai compris chéri je ferais l’impossible ….
Le lendemain je croise les infirmières dans le couloir, je me sens obligée de demander
les résultats
- Fausse alerte ! ce n’était que du sperme ! … c’est peut être sa porte de
sortie... nous ne viendrons faire ses soins que vers quinze heures trente de toute
façon nous frapperons et attendrons votre accord avant d’entrer
Si ce n’est pas un message à mon intention je n’y comprends rien !
- Bonjour petit beau frère ça va aujourd’hui ?
Il cligne deux fois, chouette, j’ai envie de récidiver, comme la veille je m’assois et
passe sa main sous ma jupe très loin dans ma fourche, ses ongles touchent mon string,
pourquoi ne pas aller plus loin… j’écarte ma culotte, je joins son index et son majeur
pour me les enfiler, en manœuvrant son poignet j’ai l’illusion que c’est lui qui me
doigte, je vire le drap, hier ce n’était pas un hasard Cédric bande !
- Tu te souviens Cédric ? cet été dans la piscine ? lorsque ton frère apprenais
à nager a ta copine nous chahutions tous les deux j’avais la poitrine nue, au début,
par inadvertance sans doute tes mains effleuraient mes seins et le bas de mon maillot
mais a la fin ce n’était plus innocent, je sentais ton maillot gonflé sur mes fesses,
tu avais envie de me baiser ?
Son regard reste toujours fixe mais ses yeux clignent plusieurs fois, donc Cédric a
envie de moi
Je dois frapper fort pour faire un électrochoc, d’abord ôter slip et soutient gorge
dans le cabinet de toilette, je reviens a son chevet, passe a califourchon sur son
torse, ma chatte est écrasée sur ses poils pectoraux, je relève mon top et lui met ma
poitrine frémissante sous les yeux, je prends sa main pour lui faire caresser mes
tétons, ses yeux clignent a toute vitesse mais ses doigts restent inertes
Passons à autre chose, virer cette capote qui emprisonne sa queue puis me tourner de
façon à ce qu’il garde ses doigts dans ma moule pendant que je vais le sucer plutôt
que de le faire cracher dans le plastique, je resterais attentive au moindre mouvement
de sa part
Je suis admirative devant ce membre recourbé juste ce qu’il faut pour agacer le point
G, j’engouffre la verge, mon autre main manipule son poignet entre mes jambes afin
qu’il me masturbe inconsciemment, lentement mes lèvres vont et viennent sur la hampe,
ma langue tourne autour du gland, comme la veille son canal réagis rapidement, je
m’apprête à recevoir son foutre en pleine gorge, les saccades propulsent son sperme
dans mon œsophage, il me semble que les doigts fichés dans mon vagin ont frémis ! !!!
ZUT ! Des coups sont frappés à la porte ! En hâte je remets de l’ordre dans ma tenue,
le drap sur son ventre tant pis pour l’étui pénien ….
- Bonjour ! comment va notre petit malade aujourd’hui madame ?
- Bien très bien merci il me semble qu’il y a un léger mieux
- Ah les urines ne sont pas troubles aujourd’hui ? … ahhhh la canule a glissé ….
Un sourire illumine son visage une goutte de sperme suinte au bout du nœud et pas
d’autres trace aux alentours
- Bien, très bien, bonne thérapie !
- Je dois partir excusez moi
- A demain ?
- Oui bien sur
- Je vous laisserais un peu plus de temps …
Le lendemain ma culotte est mouillée avant d’arriver a la chambre, j’ai trop envie de
baiser avec Cédric ! Pas de sous-vêtements inutiles, j’ôte tout, puis a nouveau je
m’installe a califourchon mais cette fois sur son visage ma fente sur son nez, d’avant
en arrière je réussi à le faire pénétrer dans mon vagin, soudain a l’assistance
électronique le bip sonore de ses battements de cœur s’accélère, je suis entrain de
l’étouffer ! , je me retire vivement, ouff, sa poitrine reprend un rythme normal ses
narines et ses lèvres sont luisantes de cyprine, qui sait mon odeur de femme va peut
être faire un miracle ? Il me semble voir la pointe de sa langue tenter de récupérer
mon suc
Sa queue est dans un état de catalepsie rigide, sans perdre un instant me voilà a
cheval sur son bassin, l’embout viré je n’ai plus qu’a m’introduire la verge……
Aaaaaahhhhhh que c’est boooooonnnnnnnnnnnnn, lentement la queue disparait avalée par
ma chatte en feu, assise sur lui je décris de petits ronds pour ressentir
intérieurement les effets subtils de la verge recourbée
- Je te baise mon petit beau frère réagis que diable ! tu va me laisser faire
tout le travail ? aller au boulot fainéant ! fait un effort pose tes mains sur mes
cuisses, plote moi les nichons
L’idée me vient de lui pincer un téton …son corps se tend comme un arc et retombe
inerte, je recommence ….
- AIIIIEEEEEE !
- Ça y est !!!!!!! tu es enfin réveillé !! que je suis heureuse Cédric parle moi
!
- Que fais-tu là sur moi ?
- Ben tu vois on baise !
- Et en quel honneur ?
- C’est une longue histoire pour l’instant contente toi de me contenter !
- Et mon frère ?
- Il est au courant, ALLER BOUGE !!
- Tu en veux de la baise ? laisse moi me débarrasser de tout ces fils et prend
ma place je vais te labourer le fion petite belle sœur, il me semble qu’il y a une
éternité que je n’ai pas jouis !
Vite je prends la position la plus obscène, ma moule baille mes poils sont collés par
ma mouille, Cédric s’allonge sur moi son membre trouve le chemin de ma craquette, d’un
coup de rein je suis embrochée, je ne peux retenir mes cris de joies tant je suis
contente et tant il me fait du bien, sauf que j’oublie que nous somment dans un
hôpital …. La porte s’ouvre, l’infirmière déboule dans la chambre
- Que se passe-t-il ici ???????? ooooooooohhhhhhh Juliette ! vient vite voir !
il est sorti du coma !!!! !!!!!!!
- Pour être sorti du coma il en est sorti, quel fougue !
- Cédric ? vous sortez demain ! bonne continuation, nous repartons, prenez votre
temps la lumière rouge est allumée dans le couloir personne ne viendra vous déranger !
- Quelles connes ! elles ont faillis me faire débander !
- Continue à me bourrer la chatte Cédric !
- Salope de belle sœur !!!!!!
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est bon
Une histoire que j'ai pris mon pied à lire.
Joli scénario. Belle écriture ce qui ne gache rien... A mon avis, c'est avec la
description de situations limites et en employant un vocabulaire simple et "de bon ton"
qu'on fait les meilleures histoires...
description de situations limites et en employant un vocabulaire simple et "de bon ton"
qu'on fait les meilleures histoires...
Selon ma pensée, c'est une belle histoire qui retient notre attention jusqu'à la fin.
J'ai adoré les expressions: assis toi sur mon visage, la fente sur mon nez; ton odeur de
femme, plote lui les seins, je vais te labourer le fion, il trouve le chemin de la
craquette, un coup de rein. Félicitation c super.
J'ai adoré les expressions: assis toi sur mon visage, la fente sur mon nez; ton odeur de
femme, plote lui les seins, je vais te labourer le fion, il trouve le chemin de la
craquette, un coup de rein. Félicitation c super.
Il ne manquerait plus que la participation des infirmières et ce texte serait parfait
j'ai adorée, j'espère une suite du style convalescence chez son frère et sa belle-soeur