Le temps des cerises
Récit érotique écrit par Dede des alpes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-07-2012 dans la catégorie A dormir debout
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Le temps des cerises
Le temps des cerises
Je suis invité chez des amis , qui possèdent à quelques kilomètres de leur maison un petit verger , pour les aider à ramasser des cerises .
Quand j'arrive seules Thérèse la mère et sa fille Colette sont là . Le père , Bernard , est parti au village faire quelques courses .
-Tu arrives bien , aides nous à mettre en place l'échelle .
C'est une espèce d'escabeau muni de deux grosses roues sur les pieds d'appui pour permettre de le déplacer facilement . Nous le faisons rouler jusque sous l'arbre tout en plaisantant joyeusement . Sur une répartie de sa mère Colette part d'un grand fou rire . Elle hoquette et ne peux s’arrêter .
-Je rie trop je commence à faire pipi dans ma culotte !
-Quitte la vite et fais pipi dans l'herbe conseille Thérèse
-Mais il y a Gérard , je ne peux pas faire pipi devant lui !
-Ne soit pas bête, c'est un ami . Tournes nous le dos si tu es gênée . Relève bien ta robe pour ne pas la mouiller …. accroupis toi plus tu nous montre tes fesses !
-Mais si je me baisse plus j'ai les herbes qui chatouillent ma minette ! S'il vous plaît ne me regardez pas …
-Allons ne fais pas ta mijaurée , je suis sûre que Gérard en a vu beaucoup d'autres et que tu ne le choques pas !
Je n'ose pas trop m'exprimer mais il est vrai que les fesses toutes roses de Colette ne me choquent pas , bien au contraire le spectacle est ravissant . Elle n'est qu'à demi-accroupie , penchée en avant tenant sa jupe à deux mains , culotte aux chevilles et dans cette position nous dévoile non seulement son cul mais sa vulve qui commence à se contracter puis s'ouvrir pour laisser sortir un jet .
-Quitte ta culotte elle est déjà mouillée , tu ne va pas la remettre comme ça , n'est ce pas Gérard .
-Évidemment tu ne peux pas rester toute la journée avec une culotte mouillée , ta maman a bien raison .
-Bon assez discuté , nous sommes venus pour les cerises . Non Gérard , ne monte pas sur l'échelle c'est nous qui allons grimper , toi tu reste au pied et tu pousses l'échelle sur ses roues quand on te le dira . Mais tiens bien l'escabeau il ne faut pas qu'il bouge .
Colette monte la première suivie par Thérèse . Arrivée tout en haut Colette laisse un pied sur le barreau et place l'autre sur une branche proche . Bien entendu je veille sur leur ascension nez en l'air et vraiment je ne regrette pas mon rôle . Je suis très intéressé par la vue que j'ai sous la robe en corolle de la jeune fille . Si ses fesses serrées ne dévoilent pas son petit trou au contraire de sa prestation précédente , le périnée et les lèvres de son vagin sont très visibles . Chaque fois que Colette étire son bras pour saisir les cerises les plus éloignées elle écarte un peu plus ses cuisses , contracte tous ses muscles et m'offre ainsi un très joli spectacle . Je ne peux m’empêcher d'admirer aussi le panorama que m'offre Thérèse . Bien que ce ne soit pas une tenue très indiquée pour une partie de campagne Thérèse est vêtue d'une jupe assez ample , elle considère qu'une femme ne devrait pas porter de pantalons . Ce n'est pas moi qui vais la contredire ! Par contre elle porte une culotte , un string plutôt , enfoncé par derrière dans sa raie , car seul un petit triangle d’où dépassent quelques poils me cache ses trésors . Elle aussi n'a qu'un pied sur l'échelle , l'autre posé sur une branche se déplace souvent pour saisir les fruits . Ce ballet capte toute mon attention , son entre-jambes s'étire , se resserre , le string découvre à demi les lèvres de sa vulve , ses fesses se contractent ou se relâchent en fonction de ses effort et de sa position . Thérèse se rend bien compte de la vue que je dois avoir sur elles , de temps en temps elle me jette un coup d’œil pour voir si j'assure leur sécurité . Elle doit même y prendre un secret plaisir car je vois le fin tissu du slip s'humidifier et devenir un peu plus transparent au fil du temps … est-ce sa mouille ou de la sueur ? Je parierai pour la première explication .
-Gérard on s'accroche aux montants , déplace un peu l'échelle , nous avons plus rien ici .
Elles s'agrippent aux barreaux et précautionneusement je déplace le tout aidé par Bernard qui est arrivé au bon moment .
-Gérard peux-tu récupérer mon panier et m'en passer un autre ? Disant cela Thérèse descend quelques échelons pour me tendre le panier mais ce faisant toujours le nez en l'air je me trouve pris sous la robe entre ses cuisses . Je peux me rendre compte de très près que son string est bien mouillé et aux effluves qui s'en dégage je sais que c'est sa cyprine et non pas de la sueur qui l'imprègne .
-Excuse moi je ne t'avais pas vu descendre !
-Oh ce n'est rien . Entre amis on se faire de petits plaisirs me répond-elle .
-Et bien j'arrive à temps plaisante Bernard que fais-tu le nez au cul de ma femme ?
La cueillette se poursuit mais impossible de bouger de nouveau l'échelle , le haut pris dans une branche .
-Descendez toutes les deux , je vais monter la dégager . Je monte donc pour écarter la branche mais cette fois c'est moi qui offre une belle vue aux autres . En effet je ne porte qu'une chemisette et un court short sans slip .
-Tu portes à gauche pas de doute , s'écrie Thérèse qui regarde avec un plaisir non dissimulé mes attributs pendants dans l'entre-jambe . Je suis obligé pour décoincer l’échelon de mettre le pied droit sur une une branche , ce qui fait remonter la jambe de mon short et dévoile encore plus mes couilles et même l'extrémité de ma queue .
-Regardez Papa et Colette , Gérard veut nous en mettre plein la vue !
Mon travail terminé je descend un peu gêné vis-à-vis de Bernard qui ne semble pas s'en soucier .
-Allez pique-niquons . Il étale un plaid sur l'herbe et nous nous installons pour un petit casse-croûte .
-Les hommes ça ne vous dérange pas si j'utilise ce temps pour faire une bronzette ? Sans attendre notre réponse elle se défait de sa jupe , de son corsage et même de son soutif . Sans gène apparente elle ne garde que son petit string et pendant le repas j'ai du mal à regarder ailleurs .
-Viens ici Colette que je t'enlève ta robe , ne sois pas timide devant Gérard , tu es une grande fille maintenant ! Colette se retrouve totalement nue et s'assoie bien vite sur le plaid .
-Les hommes quittez votre chemise , nous serons presque à égalité . Le repas tire sur la fin lorsque je ressent une forte douleur dans l'ente-jambe , je fais un bond et quitte rapidement mon short pour chasser la guêpe qui prisonnière de mes poils m'a piqué .
-Une piqûre de guêpe ça fait très mal , fais moi voir où c'est , ça va enfler et démanger ,s'écrie Thérèse . Viens ici , mets un pied sur la marche de l'escabeau , fais voir ça . Plus haut le pied , penche toi un peu en avant dit-elle s'accroupissant entre mes jambes . Je sens son souffle chaud sur mes outils elle manipule un peu mes bourses et déclare : tu as été piqué juste entre ta cuisse et ta couille droite , regardez-ça il est tout rouge et ça gonfle ! Colette va chercher le baume contre les coups de soleil dans la voiture , ce sera mieux que rien . Colette se précipite et reviens rapidement s'agenouiller près de sa mère .
-Mets lui en bien dans le creux , je tiens sa couille ,vas-y largement , étale bien sur son périnée et même sur la bourse ça le rafraîchira , mets-en encore il est très poilu . Gérard ne te rhabille pas, reste tout nu on est entre amis , bon sang si on se gène entre nous ! D’ailleurs si ça ne t'ennuie pas j'en profiterai pour faire un petit cours d'éducation sexuelle à ma fille . Elle n'a pas de frère et n'a jamais vu son père nu , il faut donc qu'elle sache comment sont équipés les garçons . Viens voir de près Colette , tu sais que pour faire les enfants l'homme doit mettre une petite graine dans la femme . Cette petite graine il doit l'injecter dans le corps de la femme . C'est avec ce tuyau qu'il doit introduire la semence . Tu vois pour l'instant il est souple mais manipule le un peu , caresse le , masse les bourses aussi , regarde comment je fais ...vas-y à ton tour ...tu vois le tuyau gonfle , s'allonge … ce tube s'appelle le pénis , on l'appelle souvent aussi bite , queue , verge … regarde comme tu arrives à le faire bander , lâche sa bite elle se tient tendue toute seule . Repousse la peau de l'extrémité vers la racine , tu vois tu découvres le gland et au bout une petite fente , le méat , par laquelle sortira le sperme … quelques gouttes commencent à perler … met ta langue ... c'est un peu salé mais pas désagréable on en prend vite l'habitude , moi j'aime bien avaler le suc de ton père . Exceptionnellement je veux que tu vois la bite de ton père un peu différente de celle de Gérard . Bernard approche toi et montre la à Colette … Attends je te branle un peu … regarde elle semble un peu plus courte mais plus grosse mais surtout examine le bout : ton père est circoncis c'est à dire que la peau qui recouvre le gland a été enlevée . Je tiens aussi à ce que ton père se rase totalement la zone génitale alors que Gérard est plutôt poilu , sur le pubis mais autour des bourses , même sur ses boules , le périnée et la raie des fesses ! Gérard tu veux bien te retourner et nous montrer ton cul , baisse toi , attends je t'écarte un peu les fesses , regarde Colette il est vraiment poilu , on distingue à peine son trou … c'est pour ça que je veux que ton père se rase partout , je trouve que c'est plus plaisant à lécher .
Mais revenons à notre sujet quand le mâle est bien excité , qu'il a introduit son pénis dans le vagin de la femelle il crache son jus et s'il n'a pas mis de préservatif la fille peut tomber enceinte . Bernard tu n'es pas opposé à ce que je montre quelques positions . Non pas avec toi , pas devant ta fille , je serai gênée , avec Gérard . Gérard je n'ai pas de capote sous la main nous allons simuler un coït , je compte sur toi pour ne pas décharger dans mon con !
Sur ce , ni une ni deux elle décoince son string d'entre ses fesses et le quitte . La voir nue devant moi , ses quelques poils blonds cachant très peu sa fente , fait redresser ma queue .
Regarde Colette je me couche sur le dos , jambes écartées et Gérard fait pénétrer son pénis rigide dans ma vulve , j'écarte au besoin un peu mes lèvres vaginales pour faciliter l'introduction . Je suis déjà mouillée , il devrait glisser sans peine . Normalement le mâle effectue des mouvements de va-et-viens pour augmenter le plaisir et favoriser l'éjaculation , fais quelques mouvements Gérard pour montrer à Colette , pas trop fort ce n'est pas le moment de jouir !
C'est vu Colette ? Nous allons te montrer la levrette , tu vois je me mets à quatre pattes , présente mon cul au mâle qui pénètre mon vagin par l'arrière en me tenant par les hanches . Si l'on n'a pas de préservatif et que l'on ne veuille pas risquer de tomber enceinte on peut se faire prendre dans l'anus mais c'est quelques fois plus douloureux , il faut bien préparer l'orifice … passe à Gérard le baume il va m'en enduire la rosette , l'intérieur du trou … voilà je suis prête , vas-y Gérard encule moi mais en douceur s'il te plaît . Tu vois Colette il rentre son chibre dans mon anus , doucement , tu peux le mettre bien à fond … tu peux même te soulager et éjaculer si tu veux , avec ces démonstrations cela a dû être difficile de te contenir … n'hésite pas , tu peux y aller , avec Bernard c'est la position qui nous permet de nous éclater … oui … oui ...j'ai senti ton foutre , ton jus dans mes entrailles … Colette en a assez vu pour aujourd'hui … tu peux te retirer , moi je ne veux pas jouir devant ma fille , enculée par un ami en plus ! Colette n'hésite pas si tu as des questions à poser … non ? Tu pourras nous interroger à la maison , en général les questions viennent plus tard .
Je regarde du coté de mon ami pour voir ce qu'il a pensé de notre démonstration mais apparemment elle l'a excité lui aussi , sa queue qu'il n'a toujours pas rentrée pointe vers son nombril ! Thérèse s'en aperçoit .
-Et bien on dirait que notre cours t'a mis en appétit ! Tiens en attendant essuie moi le cul , le foutre de Gérard coule de partout , j'en ai plein les cuisses … ce soir ce sera ton tour . Tu pourras m'en cracher plein la gueule ou le cul , j'en ai besoin je n'ai pas jouis non plus . Mais il se fait tard , il faut rentrer avant les bouchons , Colette tu veux bien aider Gérard à porter une cagette de cerises jusqu'à sa voiture ?
Colette saute sur l'occasion pour pouvoir me parler en aparté .
-Ma mère me prend encore pour un bébé . Je n'ai pas de frère mais j'ai des cousins ! Elle ne sait pas non plus que je l'ai vu souvent se faire prendre par Papa de toutes sortes de manières , aussi bien à la cuisine qu'au salon , ils pensaient que j'étudiai bien sagement dans ma chambre ! Elle exige toujours que je rentre tôt mais les après-midi sont tout aussi propices pour s'éclater ! J'ai fêté mes dix huit ans il y a une quinzaine de jours et à cette occasion j'ai sucé autant de mecs que j'ai d'années , dix huit garçons dans un même après-midi en avalant presque tout leur foutre . On me surnomme l'aspirateur depuis ! Mais je n'ai jamais accepté d'être enfilée ni dans la foufoune ni dans le cul . J'ai bien apprécié ta prestation avec Maman et reconnais volontiers que tu as une belle queue , je suis partante pour que tu me la mettes où tu voudras . Que dirais-tu d'un rencart la semaine prochaine ? Je t'appelle ...bon retour me dit-elle en tâtant mon instrument , tu reprend de la vigueur , je suis contente de me rendre compte que la perspective de notre rendez-vous te fait bander ! Avant de me quitter elle dépose un petit baiser sur le bout de ma queue qui sortait son museau par l'entrejambe .
Je prends la route tout guilleret à la perspective du rendez-vous .
Je suis invité chez des amis , qui possèdent à quelques kilomètres de leur maison un petit verger , pour les aider à ramasser des cerises .
Quand j'arrive seules Thérèse la mère et sa fille Colette sont là . Le père , Bernard , est parti au village faire quelques courses .
-Tu arrives bien , aides nous à mettre en place l'échelle .
C'est une espèce d'escabeau muni de deux grosses roues sur les pieds d'appui pour permettre de le déplacer facilement . Nous le faisons rouler jusque sous l'arbre tout en plaisantant joyeusement . Sur une répartie de sa mère Colette part d'un grand fou rire . Elle hoquette et ne peux s’arrêter .
-Je rie trop je commence à faire pipi dans ma culotte !
-Quitte la vite et fais pipi dans l'herbe conseille Thérèse
-Mais il y a Gérard , je ne peux pas faire pipi devant lui !
-Ne soit pas bête, c'est un ami . Tournes nous le dos si tu es gênée . Relève bien ta robe pour ne pas la mouiller …. accroupis toi plus tu nous montre tes fesses !
-Mais si je me baisse plus j'ai les herbes qui chatouillent ma minette ! S'il vous plaît ne me regardez pas …
-Allons ne fais pas ta mijaurée , je suis sûre que Gérard en a vu beaucoup d'autres et que tu ne le choques pas !
Je n'ose pas trop m'exprimer mais il est vrai que les fesses toutes roses de Colette ne me choquent pas , bien au contraire le spectacle est ravissant . Elle n'est qu'à demi-accroupie , penchée en avant tenant sa jupe à deux mains , culotte aux chevilles et dans cette position nous dévoile non seulement son cul mais sa vulve qui commence à se contracter puis s'ouvrir pour laisser sortir un jet .
-Quitte ta culotte elle est déjà mouillée , tu ne va pas la remettre comme ça , n'est ce pas Gérard .
-Évidemment tu ne peux pas rester toute la journée avec une culotte mouillée , ta maman a bien raison .
-Bon assez discuté , nous sommes venus pour les cerises . Non Gérard , ne monte pas sur l'échelle c'est nous qui allons grimper , toi tu reste au pied et tu pousses l'échelle sur ses roues quand on te le dira . Mais tiens bien l'escabeau il ne faut pas qu'il bouge .
Colette monte la première suivie par Thérèse . Arrivée tout en haut Colette laisse un pied sur le barreau et place l'autre sur une branche proche . Bien entendu je veille sur leur ascension nez en l'air et vraiment je ne regrette pas mon rôle . Je suis très intéressé par la vue que j'ai sous la robe en corolle de la jeune fille . Si ses fesses serrées ne dévoilent pas son petit trou au contraire de sa prestation précédente , le périnée et les lèvres de son vagin sont très visibles . Chaque fois que Colette étire son bras pour saisir les cerises les plus éloignées elle écarte un peu plus ses cuisses , contracte tous ses muscles et m'offre ainsi un très joli spectacle . Je ne peux m’empêcher d'admirer aussi le panorama que m'offre Thérèse . Bien que ce ne soit pas une tenue très indiquée pour une partie de campagne Thérèse est vêtue d'une jupe assez ample , elle considère qu'une femme ne devrait pas porter de pantalons . Ce n'est pas moi qui vais la contredire ! Par contre elle porte une culotte , un string plutôt , enfoncé par derrière dans sa raie , car seul un petit triangle d’où dépassent quelques poils me cache ses trésors . Elle aussi n'a qu'un pied sur l'échelle , l'autre posé sur une branche se déplace souvent pour saisir les fruits . Ce ballet capte toute mon attention , son entre-jambes s'étire , se resserre , le string découvre à demi les lèvres de sa vulve , ses fesses se contractent ou se relâchent en fonction de ses effort et de sa position . Thérèse se rend bien compte de la vue que je dois avoir sur elles , de temps en temps elle me jette un coup d’œil pour voir si j'assure leur sécurité . Elle doit même y prendre un secret plaisir car je vois le fin tissu du slip s'humidifier et devenir un peu plus transparent au fil du temps … est-ce sa mouille ou de la sueur ? Je parierai pour la première explication .
-Gérard on s'accroche aux montants , déplace un peu l'échelle , nous avons plus rien ici .
Elles s'agrippent aux barreaux et précautionneusement je déplace le tout aidé par Bernard qui est arrivé au bon moment .
-Gérard peux-tu récupérer mon panier et m'en passer un autre ? Disant cela Thérèse descend quelques échelons pour me tendre le panier mais ce faisant toujours le nez en l'air je me trouve pris sous la robe entre ses cuisses . Je peux me rendre compte de très près que son string est bien mouillé et aux effluves qui s'en dégage je sais que c'est sa cyprine et non pas de la sueur qui l'imprègne .
-Excuse moi je ne t'avais pas vu descendre !
-Oh ce n'est rien . Entre amis on se faire de petits plaisirs me répond-elle .
-Et bien j'arrive à temps plaisante Bernard que fais-tu le nez au cul de ma femme ?
La cueillette se poursuit mais impossible de bouger de nouveau l'échelle , le haut pris dans une branche .
-Descendez toutes les deux , je vais monter la dégager . Je monte donc pour écarter la branche mais cette fois c'est moi qui offre une belle vue aux autres . En effet je ne porte qu'une chemisette et un court short sans slip .
-Tu portes à gauche pas de doute , s'écrie Thérèse qui regarde avec un plaisir non dissimulé mes attributs pendants dans l'entre-jambe . Je suis obligé pour décoincer l’échelon de mettre le pied droit sur une une branche , ce qui fait remonter la jambe de mon short et dévoile encore plus mes couilles et même l'extrémité de ma queue .
-Regardez Papa et Colette , Gérard veut nous en mettre plein la vue !
Mon travail terminé je descend un peu gêné vis-à-vis de Bernard qui ne semble pas s'en soucier .
-Allez pique-niquons . Il étale un plaid sur l'herbe et nous nous installons pour un petit casse-croûte .
-Les hommes ça ne vous dérange pas si j'utilise ce temps pour faire une bronzette ? Sans attendre notre réponse elle se défait de sa jupe , de son corsage et même de son soutif . Sans gène apparente elle ne garde que son petit string et pendant le repas j'ai du mal à regarder ailleurs .
-Viens ici Colette que je t'enlève ta robe , ne sois pas timide devant Gérard , tu es une grande fille maintenant ! Colette se retrouve totalement nue et s'assoie bien vite sur le plaid .
-Les hommes quittez votre chemise , nous serons presque à égalité . Le repas tire sur la fin lorsque je ressent une forte douleur dans l'ente-jambe , je fais un bond et quitte rapidement mon short pour chasser la guêpe qui prisonnière de mes poils m'a piqué .
-Une piqûre de guêpe ça fait très mal , fais moi voir où c'est , ça va enfler et démanger ,s'écrie Thérèse . Viens ici , mets un pied sur la marche de l'escabeau , fais voir ça . Plus haut le pied , penche toi un peu en avant dit-elle s'accroupissant entre mes jambes . Je sens son souffle chaud sur mes outils elle manipule un peu mes bourses et déclare : tu as été piqué juste entre ta cuisse et ta couille droite , regardez-ça il est tout rouge et ça gonfle ! Colette va chercher le baume contre les coups de soleil dans la voiture , ce sera mieux que rien . Colette se précipite et reviens rapidement s'agenouiller près de sa mère .
-Mets lui en bien dans le creux , je tiens sa couille ,vas-y largement , étale bien sur son périnée et même sur la bourse ça le rafraîchira , mets-en encore il est très poilu . Gérard ne te rhabille pas, reste tout nu on est entre amis , bon sang si on se gène entre nous ! D’ailleurs si ça ne t'ennuie pas j'en profiterai pour faire un petit cours d'éducation sexuelle à ma fille . Elle n'a pas de frère et n'a jamais vu son père nu , il faut donc qu'elle sache comment sont équipés les garçons . Viens voir de près Colette , tu sais que pour faire les enfants l'homme doit mettre une petite graine dans la femme . Cette petite graine il doit l'injecter dans le corps de la femme . C'est avec ce tuyau qu'il doit introduire la semence . Tu vois pour l'instant il est souple mais manipule le un peu , caresse le , masse les bourses aussi , regarde comment je fais ...vas-y à ton tour ...tu vois le tuyau gonfle , s'allonge … ce tube s'appelle le pénis , on l'appelle souvent aussi bite , queue , verge … regarde comme tu arrives à le faire bander , lâche sa bite elle se tient tendue toute seule . Repousse la peau de l'extrémité vers la racine , tu vois tu découvres le gland et au bout une petite fente , le méat , par laquelle sortira le sperme … quelques gouttes commencent à perler … met ta langue ... c'est un peu salé mais pas désagréable on en prend vite l'habitude , moi j'aime bien avaler le suc de ton père . Exceptionnellement je veux que tu vois la bite de ton père un peu différente de celle de Gérard . Bernard approche toi et montre la à Colette … Attends je te branle un peu … regarde elle semble un peu plus courte mais plus grosse mais surtout examine le bout : ton père est circoncis c'est à dire que la peau qui recouvre le gland a été enlevée . Je tiens aussi à ce que ton père se rase totalement la zone génitale alors que Gérard est plutôt poilu , sur le pubis mais autour des bourses , même sur ses boules , le périnée et la raie des fesses ! Gérard tu veux bien te retourner et nous montrer ton cul , baisse toi , attends je t'écarte un peu les fesses , regarde Colette il est vraiment poilu , on distingue à peine son trou … c'est pour ça que je veux que ton père se rase partout , je trouve que c'est plus plaisant à lécher .
Mais revenons à notre sujet quand le mâle est bien excité , qu'il a introduit son pénis dans le vagin de la femelle il crache son jus et s'il n'a pas mis de préservatif la fille peut tomber enceinte . Bernard tu n'es pas opposé à ce que je montre quelques positions . Non pas avec toi , pas devant ta fille , je serai gênée , avec Gérard . Gérard je n'ai pas de capote sous la main nous allons simuler un coït , je compte sur toi pour ne pas décharger dans mon con !
Sur ce , ni une ni deux elle décoince son string d'entre ses fesses et le quitte . La voir nue devant moi , ses quelques poils blonds cachant très peu sa fente , fait redresser ma queue .
Regarde Colette je me couche sur le dos , jambes écartées et Gérard fait pénétrer son pénis rigide dans ma vulve , j'écarte au besoin un peu mes lèvres vaginales pour faciliter l'introduction . Je suis déjà mouillée , il devrait glisser sans peine . Normalement le mâle effectue des mouvements de va-et-viens pour augmenter le plaisir et favoriser l'éjaculation , fais quelques mouvements Gérard pour montrer à Colette , pas trop fort ce n'est pas le moment de jouir !
C'est vu Colette ? Nous allons te montrer la levrette , tu vois je me mets à quatre pattes , présente mon cul au mâle qui pénètre mon vagin par l'arrière en me tenant par les hanches . Si l'on n'a pas de préservatif et que l'on ne veuille pas risquer de tomber enceinte on peut se faire prendre dans l'anus mais c'est quelques fois plus douloureux , il faut bien préparer l'orifice … passe à Gérard le baume il va m'en enduire la rosette , l'intérieur du trou … voilà je suis prête , vas-y Gérard encule moi mais en douceur s'il te plaît . Tu vois Colette il rentre son chibre dans mon anus , doucement , tu peux le mettre bien à fond … tu peux même te soulager et éjaculer si tu veux , avec ces démonstrations cela a dû être difficile de te contenir … n'hésite pas , tu peux y aller , avec Bernard c'est la position qui nous permet de nous éclater … oui … oui ...j'ai senti ton foutre , ton jus dans mes entrailles … Colette en a assez vu pour aujourd'hui … tu peux te retirer , moi je ne veux pas jouir devant ma fille , enculée par un ami en plus ! Colette n'hésite pas si tu as des questions à poser … non ? Tu pourras nous interroger à la maison , en général les questions viennent plus tard .
Je regarde du coté de mon ami pour voir ce qu'il a pensé de notre démonstration mais apparemment elle l'a excité lui aussi , sa queue qu'il n'a toujours pas rentrée pointe vers son nombril ! Thérèse s'en aperçoit .
-Et bien on dirait que notre cours t'a mis en appétit ! Tiens en attendant essuie moi le cul , le foutre de Gérard coule de partout , j'en ai plein les cuisses … ce soir ce sera ton tour . Tu pourras m'en cracher plein la gueule ou le cul , j'en ai besoin je n'ai pas jouis non plus . Mais il se fait tard , il faut rentrer avant les bouchons , Colette tu veux bien aider Gérard à porter une cagette de cerises jusqu'à sa voiture ?
Colette saute sur l'occasion pour pouvoir me parler en aparté .
-Ma mère me prend encore pour un bébé . Je n'ai pas de frère mais j'ai des cousins ! Elle ne sait pas non plus que je l'ai vu souvent se faire prendre par Papa de toutes sortes de manières , aussi bien à la cuisine qu'au salon , ils pensaient que j'étudiai bien sagement dans ma chambre ! Elle exige toujours que je rentre tôt mais les après-midi sont tout aussi propices pour s'éclater ! J'ai fêté mes dix huit ans il y a une quinzaine de jours et à cette occasion j'ai sucé autant de mecs que j'ai d'années , dix huit garçons dans un même après-midi en avalant presque tout leur foutre . On me surnomme l'aspirateur depuis ! Mais je n'ai jamais accepté d'être enfilée ni dans la foufoune ni dans le cul . J'ai bien apprécié ta prestation avec Maman et reconnais volontiers que tu as une belle queue , je suis partante pour que tu me la mettes où tu voudras . Que dirais-tu d'un rencart la semaine prochaine ? Je t'appelle ...bon retour me dit-elle en tâtant mon instrument , tu reprend de la vigueur , je suis contente de me rendre compte que la perspective de notre rendez-vous te fait bander ! Avant de me quitter elle dépose un petit baiser sur le bout de ma queue qui sortait son museau par l'entrejambe .
Je prends la route tout guilleret à la perspective du rendez-vous .
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