Le troglo de Candé
Récit érotique écrit par FED ERIC [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
Le troglo de Candé
On a fait toutes les pièces une à une, certains aveugles d'autres avec une fenêtre et enfin une avec une terrasse sur la Loire, cachée par de petits buis. D'en bas on ne voyait pas nos corps nus. Régulièrement je sentais sa main contre moi ou je le frôlais et chaque moments était comme une invite. Une fois le tour fait, il m'a demandé si le terrain au dessus était à la famille et si il y avait un troglo pas très loin.
Oui il y a 2000m² au dessus et le premier voisin est creusé à 100 mètres je pense.
Il y a un sacré potentiel à développer. La pour le moment vous avez un niveau et demi et y a facilement de quoi faire sur les cotés. Il avait tapoté partout et n'avais senti que du tuffeau.
En plus j'ai vu que vous aviez une source intérieure, de quoi faire un beau bassin et... il m'a fixé, une pièce secrète pour des choses secrètes.
Humm de quel genre? Je bandais de voir ses yeux briller.
Ben on est dans un pays de château et dans les plus vieux il y a souvent une salle réservée à la torture, douce ou moins. Il s'était approché et me roulant une pelle il enfonçait ses doigts dans les fesses.
Attention... je peux aussi faire le bourreau.
Je compte bien la dessus aussi. On a toute la vie pour explorer tout ce qu'on à a explorer. On était dans la chambre et il m'a renversé en arrière, plaçant ses pieds entre les miens de façon à ce que je tombe cuisses ouvertes sur le lit.
J'ai aussitôt entouré son torse de mes cuisses, j'avais plus qu'envie, j'avais besoin de lui en moi. Il bandait bien et n'a pas eu de problème pour me pénétrer. Il mouillait et je l'attendais à la douleur de son sexe mais j'avais trop envie et il est passé tout seul. On se fixait des yeux et il m'a labouré le cul sans un mot, Au bout d'un moment j'ai commencé a geindre de plus en plus fort. Lui haletait et j'ai senti la petite secousse de son sexe qui me remplissait. Une fois vidé j'ai repris mon calme et j'ai souri.
T'es comme moi t'as du jus en réserve. Sauf que toi tu pouvais te branler ou baiser..
Baiser non je n'aurais pas pu avec un autre mais me branler en pensant à toi oui, souvent.
Salaud! Et moi, rien avec ce que tu m'a fait porter.
Justement maintenant je suis à ton entière disposition et pour le plus logntemps possible.
Ben on va en profiter je l'ai renversé sur le dos pour le piper avant de relever ses cuisses et de lécher ce cul que j'attendais , il s'est assoupli assez vite et écartant un peu plus j'ai pu pointer la langue plus loin. Cette fois c'est lui qui ahanait et qui m'a tiré vers lui , guidant ma queue vers sa fente. Bien humide, ma queue a quand même forcé lui arrachant un cri mais plus de plaisir que de douleur. Je savais que j'étais bien monté et que ça lui plaisait. Je suis resté collé à lui un moment ses couilles touchant mon ventre.Je le fixais souriant. Il a craqué et a commencé à onduler sur moi. Je le fixais en souriant. Il a pris sa queue en main pour se branler. Tout sourire, j'ai plaqué ses mains au dessus de moi.
Hé non. Cette fois tu te branles pas et moi je te baises comme j'en ai envie depuis qu'on s'est quitté. Il a tendu les lèvres que je n'ai pas eu la peine de forcer pour fouiller sa bouche comme je fouillais son cul. Je n'ai pas pu résister très longtemps, il allait me falloir du temps pour reprendre des jeux plus longs avec lui je l'aimais trop.
On a pris une douche froide grâce au petit ru qui avait une dérivation et une petite citerne.Le froid nous a remis les idées en place.
Bon il faut que je fasse des plans pour ton père d'ici à demain, Ce ne seront que des esquisses mais il aura une idée de ma façon de faire. J'ai vu qu'il devrait avoir les moyens de faire du beau et confortable et maintenant qu'on est ensemble je crois qu'on ne se quittera plus.
Détrompe toi José tous les jours j'ai des réservations pour la gabare Et le vieux qui m'aide voudrait partir en vacances. Je lui ai dit que tu pourrais le remplacer et il a bien vu que j'avais le coup de main avec le bateau. Pas demain puisque tu dois voir mon père mais après demain on fera un voyage à trois accompagnateurs et lui donnera son feu vert. Mais qui va faire les travaux? On est en période de vacances!
Allons je te rappelle que je suis du métier et que j'ai des compagnons et apprentis . Il suffira que ton père dise ok et une fois le boulot expliqué au compagnon l'apprenti le fera pour se faire un peu d'argent. Pas au black mais moins cher que des compagnons.
Bon ok tu veux voir la gabare?
Oui j'en ai vu mais de loin.
Tu va être surpris le papy l'a bichonnée comme jamais. J'ai sorti ma bécane et je lui ai fait choisir un casque en mettant le mien. On était en tee shirt et short, baskets aux pieds. Dès qu'il est monté derrière moi j'ai senti sa queue raide. N'abuse pas ou je roule dans les nids de poule volontairement.
Bah j'ai de quoi m'accrocher. Il a saisi mon membre comme poignée. La route m'a paru plus courte que d'habitude. A Candé, elle était à l'amarre et avec le canot on l'a rejoint, les bords vernis reflétaient dans l'eau et la petite cabine avec des bancs le tour et une table au centre pouvait se transformer rapidement en lit.
Je sens que les voyages retours vont être agrémentés de haltes amoureuses...
Je le pense aussi. On ne tenait pas debout dans la cabine et c'est lui assis et moi à genoux que je l'ai sucé. Je revivais depuis son arrivée et je n'ai pas mis longtemps a avoir son élixir en bouche.
A toi mon pote. Mais allonge toi je vais te sucer accroupi. Il s'est installé les fesses sur mon ventre mais il a bien du se pencher un peu plus m'offrant la vue de ses fesses en me pipant. Cette fois j'ai pu me retenir un peu plus mais ce soir je le prendrais encore.
Sur la route du retour cette fois il était collé à mon dos me tenant plus haut que la taille. C'était marrant je sentais mes tétons durcir sous le tee shirt. J'ai souri, d'autres jeux allaient venir je suis sur.
Une fois la bécane sous l'auvent on est rentré et je me suis dépéché de virer mes fringues mais lui avait d'autres idées et voulait mettre sur papiers les idées qu'il avait pour aménager le troglo à son goût. Je me suis assis à coté. Ses doigts fins sur le crayon , je les imaginaient ailleurs mais même sans être pareil de l'imaginer, sachant qu'après ce serait possible et même certain me tenait dur comme un étalon. Ses croquis étaient une sorte de peinture d'où émergeait l'ancien mais différent. Jai réalisé que ce que je faisais de mon coté était bien différent de sont art, même si l'architecture en est un. Sous ses doigts naissait un autre univers. Mon père allait être ravi si il décidait de suivres ses idées.
Enfin il a rangé ses feuillets et a souri de me voir tel un faune grec.
Tu veux que je fasse à manger? Rapide. Après dodo et je pense avoir de l'occupation.
Ok je t'aide.
On s'est fait une méga salade, suvie d'un bout de gâteau que ma mère avait laissé.
Enfin il s'est levé et tout me fixant à oté le peu de fringues qu'il portait. Lui aussi était raide et quand il s'est collé contre moi j'ai senti son sexe un peu baveux.
Salaud! T'en avait envie et tu m'as fait a ttendre!
Bah c'est bon comme ça aussi.On a cessé de parler, nos langues occupées tout autant que nos mains, explorant nos orifices comme si on ne les connaissaient pas. Je ne sais comment on s'est retrouvé au lit ni combien de fois on a joui. Tellement nos corps étaient inassouvis et on a fini par dormir, emmêlés sous des draps entortillés sur nous.
Oui il y a 2000m² au dessus et le premier voisin est creusé à 100 mètres je pense.
Il y a un sacré potentiel à développer. La pour le moment vous avez un niveau et demi et y a facilement de quoi faire sur les cotés. Il avait tapoté partout et n'avais senti que du tuffeau.
En plus j'ai vu que vous aviez une source intérieure, de quoi faire un beau bassin et... il m'a fixé, une pièce secrète pour des choses secrètes.
Humm de quel genre? Je bandais de voir ses yeux briller.
Ben on est dans un pays de château et dans les plus vieux il y a souvent une salle réservée à la torture, douce ou moins. Il s'était approché et me roulant une pelle il enfonçait ses doigts dans les fesses.
Attention... je peux aussi faire le bourreau.
Je compte bien la dessus aussi. On a toute la vie pour explorer tout ce qu'on à a explorer. On était dans la chambre et il m'a renversé en arrière, plaçant ses pieds entre les miens de façon à ce que je tombe cuisses ouvertes sur le lit.
J'ai aussitôt entouré son torse de mes cuisses, j'avais plus qu'envie, j'avais besoin de lui en moi. Il bandait bien et n'a pas eu de problème pour me pénétrer. Il mouillait et je l'attendais à la douleur de son sexe mais j'avais trop envie et il est passé tout seul. On se fixait des yeux et il m'a labouré le cul sans un mot, Au bout d'un moment j'ai commencé a geindre de plus en plus fort. Lui haletait et j'ai senti la petite secousse de son sexe qui me remplissait. Une fois vidé j'ai repris mon calme et j'ai souri.
T'es comme moi t'as du jus en réserve. Sauf que toi tu pouvais te branler ou baiser..
Baiser non je n'aurais pas pu avec un autre mais me branler en pensant à toi oui, souvent.
Salaud! Et moi, rien avec ce que tu m'a fait porter.
Justement maintenant je suis à ton entière disposition et pour le plus logntemps possible.
Ben on va en profiter je l'ai renversé sur le dos pour le piper avant de relever ses cuisses et de lécher ce cul que j'attendais , il s'est assoupli assez vite et écartant un peu plus j'ai pu pointer la langue plus loin. Cette fois c'est lui qui ahanait et qui m'a tiré vers lui , guidant ma queue vers sa fente. Bien humide, ma queue a quand même forcé lui arrachant un cri mais plus de plaisir que de douleur. Je savais que j'étais bien monté et que ça lui plaisait. Je suis resté collé à lui un moment ses couilles touchant mon ventre.Je le fixais souriant. Il a craqué et a commencé à onduler sur moi. Je le fixais en souriant. Il a pris sa queue en main pour se branler. Tout sourire, j'ai plaqué ses mains au dessus de moi.
Hé non. Cette fois tu te branles pas et moi je te baises comme j'en ai envie depuis qu'on s'est quitté. Il a tendu les lèvres que je n'ai pas eu la peine de forcer pour fouiller sa bouche comme je fouillais son cul. Je n'ai pas pu résister très longtemps, il allait me falloir du temps pour reprendre des jeux plus longs avec lui je l'aimais trop.
On a pris une douche froide grâce au petit ru qui avait une dérivation et une petite citerne.Le froid nous a remis les idées en place.
Bon il faut que je fasse des plans pour ton père d'ici à demain, Ce ne seront que des esquisses mais il aura une idée de ma façon de faire. J'ai vu qu'il devrait avoir les moyens de faire du beau et confortable et maintenant qu'on est ensemble je crois qu'on ne se quittera plus.
Détrompe toi José tous les jours j'ai des réservations pour la gabare Et le vieux qui m'aide voudrait partir en vacances. Je lui ai dit que tu pourrais le remplacer et il a bien vu que j'avais le coup de main avec le bateau. Pas demain puisque tu dois voir mon père mais après demain on fera un voyage à trois accompagnateurs et lui donnera son feu vert. Mais qui va faire les travaux? On est en période de vacances!
Allons je te rappelle que je suis du métier et que j'ai des compagnons et apprentis . Il suffira que ton père dise ok et une fois le boulot expliqué au compagnon l'apprenti le fera pour se faire un peu d'argent. Pas au black mais moins cher que des compagnons.
Bon ok tu veux voir la gabare?
Oui j'en ai vu mais de loin.
Tu va être surpris le papy l'a bichonnée comme jamais. J'ai sorti ma bécane et je lui ai fait choisir un casque en mettant le mien. On était en tee shirt et short, baskets aux pieds. Dès qu'il est monté derrière moi j'ai senti sa queue raide. N'abuse pas ou je roule dans les nids de poule volontairement.
Bah j'ai de quoi m'accrocher. Il a saisi mon membre comme poignée. La route m'a paru plus courte que d'habitude. A Candé, elle était à l'amarre et avec le canot on l'a rejoint, les bords vernis reflétaient dans l'eau et la petite cabine avec des bancs le tour et une table au centre pouvait se transformer rapidement en lit.
Je sens que les voyages retours vont être agrémentés de haltes amoureuses...
Je le pense aussi. On ne tenait pas debout dans la cabine et c'est lui assis et moi à genoux que je l'ai sucé. Je revivais depuis son arrivée et je n'ai pas mis longtemps a avoir son élixir en bouche.
A toi mon pote. Mais allonge toi je vais te sucer accroupi. Il s'est installé les fesses sur mon ventre mais il a bien du se pencher un peu plus m'offrant la vue de ses fesses en me pipant. Cette fois j'ai pu me retenir un peu plus mais ce soir je le prendrais encore.
Sur la route du retour cette fois il était collé à mon dos me tenant plus haut que la taille. C'était marrant je sentais mes tétons durcir sous le tee shirt. J'ai souri, d'autres jeux allaient venir je suis sur.
Une fois la bécane sous l'auvent on est rentré et je me suis dépéché de virer mes fringues mais lui avait d'autres idées et voulait mettre sur papiers les idées qu'il avait pour aménager le troglo à son goût. Je me suis assis à coté. Ses doigts fins sur le crayon , je les imaginaient ailleurs mais même sans être pareil de l'imaginer, sachant qu'après ce serait possible et même certain me tenait dur comme un étalon. Ses croquis étaient une sorte de peinture d'où émergeait l'ancien mais différent. Jai réalisé que ce que je faisais de mon coté était bien différent de sont art, même si l'architecture en est un. Sous ses doigts naissait un autre univers. Mon père allait être ravi si il décidait de suivres ses idées.
Enfin il a rangé ses feuillets et a souri de me voir tel un faune grec.
Tu veux que je fasse à manger? Rapide. Après dodo et je pense avoir de l'occupation.
Ok je t'aide.
On s'est fait une méga salade, suvie d'un bout de gâteau que ma mère avait laissé.
Enfin il s'est levé et tout me fixant à oté le peu de fringues qu'il portait. Lui aussi était raide et quand il s'est collé contre moi j'ai senti son sexe un peu baveux.
Salaud! T'en avait envie et tu m'as fait a ttendre!
Bah c'est bon comme ça aussi.On a cessé de parler, nos langues occupées tout autant que nos mains, explorant nos orifices comme si on ne les connaissaient pas. Je ne sais comment on s'est retrouvé au lit ni combien de fois on a joui. Tellement nos corps étaient inassouvis et on a fini par dormir, emmêlés sous des draps entortillés sur nous.
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