Le viol donne un coup de fouet au couple
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2014 dans la catégorie Plus on est
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Le viol donne un coup de fouet au couple
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Avec Marine ça faisait trois ans que nous somment en couple elle a vingt trois ans et moi Franck, vingt six, nous avons fait le tour de l’amour classique, endroits, positions, ça devenait routinier.
Au gré de nos câlins, je testais sans en avoir l’air ce qui pouvait la faire chavirer plus qu’a l’accoutumée, c’est ainsi que j’ai découvert qu’elle aimait être forcée…. Dans tous les sens du terme, un soir je l’ai immobilisée en lui prenant les poignets par derrière d’une main et lui forçant la chatte de l’autre, elle devenait incontrôlable en se tortillant comme une anguille, je devais employer toutes mes forces pour la maitriser
- Hoooooo salaud ! Tu veux me violer ? Ajoute encore un doigt …. J’adore avoir la chatte forcée
- J’en ai déjà trois ….
- Ajoute encore un….HOOuuuuuuuaaaaaaaaa…. Encore ! Encore !
- Salope je vais te fourrer mon bras dans la chatte !
- OOUUUUIIIIIII !!
Sa vulve recrachait des flots de cyprine, elle a jouis, a la limite de l’évanouissement lorsque j’ai faillit entrer ma main
- Mon dieu, qu’est-ce qui m’arrive ?
- Il t’arrive que tu aime être forcée, je suis sûr que tu aimerais être attachée, les yeux bandés, offerte et consentante a tous mes caprices
- Ho oui ! ça j’adorerais !
- Je vais y penser, mais ce sera par surprise sinon ça ne marchera pas
- Hoooo j’ai encore envie, baise moi comme une chienne Franck ….
- Une chienne qui aimerait se faire mettre une grosse queue ?
- Oooouuuuuuuuuiiiiiiii
- Comme celle du vigile du super marché ? ce black qui te drague a chaque fois que tu vas là-bas ?
- Ooooouuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii !...... attend …. Tu ne pense tout de même pas que je vais me faire monter par Sam ???
- Bien sûr que non, je suis trop jaloux pour le laisser poser ses grosses pattes sur mon petit bijou d’amour ! ça fait partie du jeu d’excitation ! et ça marche je crois, non ?
- C’est vrai qu’il en a une grosse ? ça doit faire drôle de voir une énorme verge noire entrer dans un petit vagin rose
- Le contraste doit être saisissant, imagine ta vulve écartelée par un manche deux fois plus imposant que le mien
- Arrête ! vient plutôt sur moi
Je l’ai baisée tendrement, très longtemps, derrière ses yeux clos je suis sûr qu’elle imaginait Sam en elle…Quelques jours plus tard marine avait oublié cet épisode, mais pas moi …
- Ce sois chérie tu vas mettre des vêtements auxquels tu ne tiens pas spécialement
- C’est ce soir que tu me viole ? tu vas déchirer mes vêtements pour me sauter ?
- Je ne dévoilerais pas mes intentions, sinon ça ne marchera pas, donne moi aussi quelques vieux bas
- Pour quoi faire ?
- Pour t’attacher sur le lit sans te blesser pardi, et un foulard pour bander tes yeux
- J’en mouille déjà !
Marine n’a presque rien avalé, pressée sans doute d’aller s’allonger sur le lit, vêtue de sous vêtements classiques, un corsage patté par de nombreux petits boutons, sans doute pour faire durer le plaisir et une jupe portefeuille, bonne idée, il n’y a que l’attache du haut a faire céder
Elle s’est prêtée docilement à phase de l’immobilisation, bas noués autour des poignets et des chevilles, le tout relié par des cordelettes reliées aux barreaux du lit ainsi en croix elle est offerte a toutes mes lubies, sans oublier l’oreiller sous les reins affins que ses organes génitaux soient facilement accessibles, la jupe ouverte par la position, sa vulve est visible, bien dessinée sous le slip déjà orné d’une auréole humide
- Ça va durer longtemps ? Je vais avoir des crampes !
- Tais toi salope, un viol peut durer très longtemps, lève la tête que je te cache les yeux
- Tu me fais peur chéri ….
- Ici commence mon rôle de violeur, a partir de maintenant je ne prononce plus une parole, attend moi une minute je reviens …
Je sors de la chambre, mon érection commence à me travailler car je sais qui attend avec impatience à la porte d’entrée, son véritable violeur, Sam le vigile...
- Salut Franck, elle est prête ?
- Salut Sam, elle est déjà en eau, je lui ai mis un suppositoire de glycérine dans le vagin, ça va rentrer tout seul, déshabille toi carrément dans le salon, je fais de même, nous sommes bien d’accord, nous communiquons uniquement par signes ? elle ne doit pas savoir que nous somment deux
- Ça me va, mais elle ne tardera pas à se rendre compte de la différence de gabarit !
- Elle peut faire semblant de rien pour se faire bourrer
- Toutes des salopes !, aller, montre moi ce bijou !
- Elle est encore habillée, tu lui déchire ses fringues sur elle
- J’adore faire ça avec mon canif !
Je le savais bien monté mais lorsque j’ai vu la taille de son engin je suis resté admiratif, sa queue au repos est plus grosse et plus longue que la mienne, elle se balance lourdement entre ses jambes, un gland marron gros comme un œuf pointe son museau hors du prépuce, deux bourses absentes de poils me font penser a celle d’un taureau, Marine va déguster c’est sûr !
Je fais exprès de faire du bruit en entrant dans la chambre, aux aguets dresse l’oreille, elle tire sur ses liens mais elle est bien sanglée, ça ne réussi qu’a faire glisser sa jupe et découvrir davantage ses cuisses, Sam lève le pouce en signe de satisfaction et se caresse la bite
- C’est toi chéri ? …. Répond moi j’ai peur ….
Pour toute réponse Sam passe une main entre les jambes et gratte le triangle étroit de la culotte, elle crie…
- Hooouuuu non ! Pas ça ! laissez-moi !
Le black monte prés d’elle sur le lit, nouveau cri lorsqu’elle sent le matelas s’affaisser, en une seconde Sam tire violemment sur le corsage, les boutons volent dans toute la pièce, la poitrine à peine contenue dans le soutient gorge se soulève par saccades, sa tête vire de droite a gauche, si elle simule la panique c’est bien imité !
L’homme déplie la lame de son couteau, elle scintille a la lumière, par provocation il là pose entre les seins, le froid de l’acier déclenche une nouvelle panique
- NON !!! Ne me faites pas de mal je ferais tout ce que vous voudrez !
La lame passe entre les deux nichons sous le soutient gorge, et …clac ! Les seins sont durs, les tétons dardés, Sam se penche et aspire un bout, dans un réflexe de défense Marine essaie de replier les genoux sans y parvenir, vaincue elle se détend, sans lâcher le sein, l’homme passe à nouveau sa main entre les cuisses et cette fois pétrit énergiquement la chatte recouverte par le slip
- Haaaaaaaaaaaaoooooouuuuuuuiiiiii va-y chéri ……
Sam me fais signe d’approcher ma queue de la bouche ouverte, tandis qu’il se déplace vers l’entre cuisses, ma femme marque un temps d’arrêt … comment puis-je me trouver a la fois a sa tête et entre ses jambes ??
- Chéri ??? C’est toi ? Répond- moi !
La réponse arrive vite, la jupe est craquée en deux par les deux grosses pognes du noir, il ne reste plus que le slip complètement enfondu , elle mouille comme j’ai rarement vu, pour lui clouer le bec j’enfonce ma queue bandée a mort dans sa bouche , soumise elle me tète avec avidité
Une nouvelle fois l’homme se sert de sa lame glacée et la passe entre la culotte et le mont de vénus, nouvelle ruade…
- Mais qui êtes vous à la fin ? Chéri ce n’est plus drôle, combien êtes vous ???? Pas de couteau sur ma chatte, je vous en supplie, ne me coupez pas le clitoris !
CLAC ! Le slip est ouvert en deux, Sam, sans attendre glisse un doigt entre les lèvres enflées du sexe, sans doute pour vérifier la bonne lubrification, la bouche encombrée par mon sexe ma femme gémit, la queue impressionnante est maintenant a l’horizontale, elle est secouée de spasmes a intervalles réguliers, il me fait signe qu’il va la pénétrer, j’acquiesce de la tête, pour la première fois Marine va se faire baiser par une autre bite que la mienne , elle était vierge a notre rencontre, ce n’est pas une bite ordinaire qui va lui élargir le vagin, c’est un pieux, un bélier, un défonce cul !!
Il crache sur la chatte et sur son membre avant de le tapoter sur les lèvres vaginales et le frotter sur la fente, les lèvres s’écartent comme si elles sentaient la chair fraiche arriver
- HOOOOO ???? Que m’enfonces-tu ? Un concombre ? Ça devrait être froid ???
Là le black perd patience
- Tu vas voir le concombre que je vais t’enfoncer dans le cul salope ! Écarte les cuisses bordel, ça coince je ne peu plus avancer
- Mais qui êtes vous ? chéri ou est tu ?
- Dans ta bouche voyons ! enfin j’y étais avant que tu ne me recrache !
Sam, énervé, coupe les liens des chevilles et pose les jambes sur ses épaules, ainsi positionnée et offerte elle ne qu’accepter la queue qui va la défoncer, Marine fait semblant de refuser la pénétration, mais alors pourquoi son dos ne touche-t-il plus le lit ? Elle s’est cambrée pour faciliter le coït
- Bien ma poule, reste ainsi …je vais forcer le passage …
- Monsieur, qui que vous soyez, ne me prenez pas, vous êtes trop gros pour ma petite minette, dit lui Franck, sinon je ne sentirais plus ta bite après son passage
Sans se soucier des jérémiades Sam avance son membre, les lèvres sont repoussées dans le ventre, ma femme appréhende la douleur et ouvre la bouche, je préfère regarder la scène torride que de me faire sucer mollement, la longue verge plie, la chatte vidée de son sang blanchit, les doigts de Marine sont crispés, elle ne peut pas se dégager, mais elle ne le souhaite surement pas car elle donne des coups de reins afin d’obliger sa moule à avaler l’œuf sans coquille
- Haaaaaa…….Hhhhaaaaaaaa. HAAAAAAAAOOOOOUUUUUUIIIII !!!!!!!
Les lèvres sont remontées d’un coup à la surface, le monstre prend lentement sa place dans le ventre étroit, les gémissements de Marine s’amplifient
- Détachez-moi ! Je veux baiser à mon aise !
- NON !
- Salauds, salauds !!
Sam retire sa queue à la limite des lèvres déformées, les chairs intérieures suivent le mouvement, la manthule est bien graissée par la glycérine, a nouveau il avance, cette fois plus énergiquement, le clitoris entrainé lui aussi, arrachant un hurlement de joie a ma femme, une longue giclée ambrée est expulsée du vagin
- JE JOUIS ! JE JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIS !!!!! HAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!
Sans se préoccuper de ma femme qui se tortille sous l’orgasme, l’homme continue son travail de défonce qui produit un chuintement gras, je suis hypnotisé par ce piston luisant de sécrétions qui disparait toujours plus loin dans Marine, soudain Sam a des contractions qui font penser a une éjaculation, ma femme accuse le coup sans plus, jouissance ou simple crampe ? je veux qu’elle se souvienne a jamais de cette séance, aussi pour lui rendre sa liberté de mouvements je coupe les liens de ses poignets, elle ôte elle même son bandeau
- SAM !!!!! ?
- Hé oui ! ça te dérange ? tu n’aime pas la bite de ton violeur ?
Vexée, Marine se dégage de l’emprise sexuelle, et se recroqueville sur elle-même, gardant une main collée a sa chatte, aurait elle peur qu’elle se vide ? Sous la surprise Sam tombe à la renverse en tenant toujours à la main son gros zob au bout suintant
- Pourquoi refuses-tu de te faire du bien avec sa belle queue chérie ? je suis sûr que crève d’envie de la faire décharger dans ta chatte
Du coup elle regarde fixement ce pieux qui semble la narguer en se dandinant encore à la verticale, Sam lui dit simplement : vient …elle se relève et enjambe l’imposante stature de l’homme, ainsi écartelée des coulées épaisses tombent de la moule ouverte sur le ventre poilu… c’est du sperme ….
- Je vais te faire cracher tout ton foutre salaud !
Marine plie ses genoux, deux de ses doigts maintiennent ‘l’entrée’ béante, ainsi pliée en deux, son entrecuisses nous offre une vue avilissante, les lèvres sont écarlates, enflées, elle s’assoie sur la queue soutenue par la main du noir, le manche s’enfonce à nouveau et cette fois facilement jusqu’aux testicules, ma femme jubile et reprend sa respiration assise confortablement sur les cuisses musclées
- Haaaaaaaaa !!! Ça y est, je suis bien emmanchée ! C’est le violeur violé ! Remue ton cul enfoiré
- Tient toi bien, c’est partit ! Franck ? tu devrais l’enculer en même temps ! penche toi sur moi salope, offre ton cul a ton mari
Sam l’attrape par les cheveux et l’attire à lui, nouvelle posture pornographique ! L’anus est comprimé par la présence de la grosse queue dans le vagin, je veux faire mon passage dans ses chairs coute que coute, son anus est contracté, je passe de leur crème mélangée dessus et enfonce un doigt, l’anneau se détend, au passage je sens la queue qui distend le vagin, elle ne bouge plus, affirmant ainsi son acceptation
- Va-y, je suis anesthésiée du cul !
Mon gland est écrasé par les sphincters, ma queue laminée progresse dans le tunnel, une fois dans la ‘place’ je donne une claque sur ses fesses
- A toi de nous montrer ton savoir faire chérie, fait-nous décharger
Marine lève son derrière et se laisse tomber sur nos manches, Sam donne des coups de reins secs pour la faire rebondir davantage, compressée et serrée ma queue décharge trop vite, créant une réaction en chaine, Sam grogne, sa verge sursaute violemment dans le ventre et crache elle aussi son venin, ma femme hurle et pisse de bonheur
Une fois libérée de ma queue elle se laisse tomber, repue, elle s’endort, son visage exprime l’extase, Sam se rhabille sans un mot et quitte la maison, j’ai recouvert du drap le corps souillé avant de tomber a ses cotés
Le lendemain c’est sa bouche sur mon sexe qui m’a réveillé
Avec Marine ça faisait trois ans que nous somment en couple elle a vingt trois ans et moi Franck, vingt six, nous avons fait le tour de l’amour classique, endroits, positions, ça devenait routinier.
Au gré de nos câlins, je testais sans en avoir l’air ce qui pouvait la faire chavirer plus qu’a l’accoutumée, c’est ainsi que j’ai découvert qu’elle aimait être forcée…. Dans tous les sens du terme, un soir je l’ai immobilisée en lui prenant les poignets par derrière d’une main et lui forçant la chatte de l’autre, elle devenait incontrôlable en se tortillant comme une anguille, je devais employer toutes mes forces pour la maitriser
- Hoooooo salaud ! Tu veux me violer ? Ajoute encore un doigt …. J’adore avoir la chatte forcée
- J’en ai déjà trois ….
- Ajoute encore un….HOOuuuuuuuaaaaaaaaa…. Encore ! Encore !
- Salope je vais te fourrer mon bras dans la chatte !
- OOUUUUIIIIIII !!
Sa vulve recrachait des flots de cyprine, elle a jouis, a la limite de l’évanouissement lorsque j’ai faillit entrer ma main
- Mon dieu, qu’est-ce qui m’arrive ?
- Il t’arrive que tu aime être forcée, je suis sûr que tu aimerais être attachée, les yeux bandés, offerte et consentante a tous mes caprices
- Ho oui ! ça j’adorerais !
- Je vais y penser, mais ce sera par surprise sinon ça ne marchera pas
- Hoooo j’ai encore envie, baise moi comme une chienne Franck ….
- Une chienne qui aimerait se faire mettre une grosse queue ?
- Oooouuuuuuuuuiiiiiiii
- Comme celle du vigile du super marché ? ce black qui te drague a chaque fois que tu vas là-bas ?
- Ooooouuuuuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiii !...... attend …. Tu ne pense tout de même pas que je vais me faire monter par Sam ???
- Bien sûr que non, je suis trop jaloux pour le laisser poser ses grosses pattes sur mon petit bijou d’amour ! ça fait partie du jeu d’excitation ! et ça marche je crois, non ?
- C’est vrai qu’il en a une grosse ? ça doit faire drôle de voir une énorme verge noire entrer dans un petit vagin rose
- Le contraste doit être saisissant, imagine ta vulve écartelée par un manche deux fois plus imposant que le mien
- Arrête ! vient plutôt sur moi
Je l’ai baisée tendrement, très longtemps, derrière ses yeux clos je suis sûr qu’elle imaginait Sam en elle…Quelques jours plus tard marine avait oublié cet épisode, mais pas moi …
- Ce sois chérie tu vas mettre des vêtements auxquels tu ne tiens pas spécialement
- C’est ce soir que tu me viole ? tu vas déchirer mes vêtements pour me sauter ?
- Je ne dévoilerais pas mes intentions, sinon ça ne marchera pas, donne moi aussi quelques vieux bas
- Pour quoi faire ?
- Pour t’attacher sur le lit sans te blesser pardi, et un foulard pour bander tes yeux
- J’en mouille déjà !
Marine n’a presque rien avalé, pressée sans doute d’aller s’allonger sur le lit, vêtue de sous vêtements classiques, un corsage patté par de nombreux petits boutons, sans doute pour faire durer le plaisir et une jupe portefeuille, bonne idée, il n’y a que l’attache du haut a faire céder
Elle s’est prêtée docilement à phase de l’immobilisation, bas noués autour des poignets et des chevilles, le tout relié par des cordelettes reliées aux barreaux du lit ainsi en croix elle est offerte a toutes mes lubies, sans oublier l’oreiller sous les reins affins que ses organes génitaux soient facilement accessibles, la jupe ouverte par la position, sa vulve est visible, bien dessinée sous le slip déjà orné d’une auréole humide
- Ça va durer longtemps ? Je vais avoir des crampes !
- Tais toi salope, un viol peut durer très longtemps, lève la tête que je te cache les yeux
- Tu me fais peur chéri ….
- Ici commence mon rôle de violeur, a partir de maintenant je ne prononce plus une parole, attend moi une minute je reviens …
Je sors de la chambre, mon érection commence à me travailler car je sais qui attend avec impatience à la porte d’entrée, son véritable violeur, Sam le vigile...
- Salut Franck, elle est prête ?
- Salut Sam, elle est déjà en eau, je lui ai mis un suppositoire de glycérine dans le vagin, ça va rentrer tout seul, déshabille toi carrément dans le salon, je fais de même, nous sommes bien d’accord, nous communiquons uniquement par signes ? elle ne doit pas savoir que nous somment deux
- Ça me va, mais elle ne tardera pas à se rendre compte de la différence de gabarit !
- Elle peut faire semblant de rien pour se faire bourrer
- Toutes des salopes !, aller, montre moi ce bijou !
- Elle est encore habillée, tu lui déchire ses fringues sur elle
- J’adore faire ça avec mon canif !
Je le savais bien monté mais lorsque j’ai vu la taille de son engin je suis resté admiratif, sa queue au repos est plus grosse et plus longue que la mienne, elle se balance lourdement entre ses jambes, un gland marron gros comme un œuf pointe son museau hors du prépuce, deux bourses absentes de poils me font penser a celle d’un taureau, Marine va déguster c’est sûr !
Je fais exprès de faire du bruit en entrant dans la chambre, aux aguets dresse l’oreille, elle tire sur ses liens mais elle est bien sanglée, ça ne réussi qu’a faire glisser sa jupe et découvrir davantage ses cuisses, Sam lève le pouce en signe de satisfaction et se caresse la bite
- C’est toi chéri ? …. Répond moi j’ai peur ….
Pour toute réponse Sam passe une main entre les jambes et gratte le triangle étroit de la culotte, elle crie…
- Hooouuuu non ! Pas ça ! laissez-moi !
Le black monte prés d’elle sur le lit, nouveau cri lorsqu’elle sent le matelas s’affaisser, en une seconde Sam tire violemment sur le corsage, les boutons volent dans toute la pièce, la poitrine à peine contenue dans le soutient gorge se soulève par saccades, sa tête vire de droite a gauche, si elle simule la panique c’est bien imité !
L’homme déplie la lame de son couteau, elle scintille a la lumière, par provocation il là pose entre les seins, le froid de l’acier déclenche une nouvelle panique
- NON !!! Ne me faites pas de mal je ferais tout ce que vous voudrez !
La lame passe entre les deux nichons sous le soutient gorge, et …clac ! Les seins sont durs, les tétons dardés, Sam se penche et aspire un bout, dans un réflexe de défense Marine essaie de replier les genoux sans y parvenir, vaincue elle se détend, sans lâcher le sein, l’homme passe à nouveau sa main entre les cuisses et cette fois pétrit énergiquement la chatte recouverte par le slip
- Haaaaaaaaaaaaoooooouuuuuuuiiiiii va-y chéri ……
Sam me fais signe d’approcher ma queue de la bouche ouverte, tandis qu’il se déplace vers l’entre cuisses, ma femme marque un temps d’arrêt … comment puis-je me trouver a la fois a sa tête et entre ses jambes ??
- Chéri ??? C’est toi ? Répond- moi !
La réponse arrive vite, la jupe est craquée en deux par les deux grosses pognes du noir, il ne reste plus que le slip complètement enfondu , elle mouille comme j’ai rarement vu, pour lui clouer le bec j’enfonce ma queue bandée a mort dans sa bouche , soumise elle me tète avec avidité
Une nouvelle fois l’homme se sert de sa lame glacée et la passe entre la culotte et le mont de vénus, nouvelle ruade…
- Mais qui êtes vous à la fin ? Chéri ce n’est plus drôle, combien êtes vous ???? Pas de couteau sur ma chatte, je vous en supplie, ne me coupez pas le clitoris !
CLAC ! Le slip est ouvert en deux, Sam, sans attendre glisse un doigt entre les lèvres enflées du sexe, sans doute pour vérifier la bonne lubrification, la bouche encombrée par mon sexe ma femme gémit, la queue impressionnante est maintenant a l’horizontale, elle est secouée de spasmes a intervalles réguliers, il me fait signe qu’il va la pénétrer, j’acquiesce de la tête, pour la première fois Marine va se faire baiser par une autre bite que la mienne , elle était vierge a notre rencontre, ce n’est pas une bite ordinaire qui va lui élargir le vagin, c’est un pieux, un bélier, un défonce cul !!
Il crache sur la chatte et sur son membre avant de le tapoter sur les lèvres vaginales et le frotter sur la fente, les lèvres s’écartent comme si elles sentaient la chair fraiche arriver
- HOOOOO ???? Que m’enfonces-tu ? Un concombre ? Ça devrait être froid ???
Là le black perd patience
- Tu vas voir le concombre que je vais t’enfoncer dans le cul salope ! Écarte les cuisses bordel, ça coince je ne peu plus avancer
- Mais qui êtes vous ? chéri ou est tu ?
- Dans ta bouche voyons ! enfin j’y étais avant que tu ne me recrache !
Sam, énervé, coupe les liens des chevilles et pose les jambes sur ses épaules, ainsi positionnée et offerte elle ne qu’accepter la queue qui va la défoncer, Marine fait semblant de refuser la pénétration, mais alors pourquoi son dos ne touche-t-il plus le lit ? Elle s’est cambrée pour faciliter le coït
- Bien ma poule, reste ainsi …je vais forcer le passage …
- Monsieur, qui que vous soyez, ne me prenez pas, vous êtes trop gros pour ma petite minette, dit lui Franck, sinon je ne sentirais plus ta bite après son passage
Sans se soucier des jérémiades Sam avance son membre, les lèvres sont repoussées dans le ventre, ma femme appréhende la douleur et ouvre la bouche, je préfère regarder la scène torride que de me faire sucer mollement, la longue verge plie, la chatte vidée de son sang blanchit, les doigts de Marine sont crispés, elle ne peut pas se dégager, mais elle ne le souhaite surement pas car elle donne des coups de reins afin d’obliger sa moule à avaler l’œuf sans coquille
- Haaaaaa…….Hhhhaaaaaaaa. HAAAAAAAAOOOOOUUUUUUIIIII !!!!!!!
Les lèvres sont remontées d’un coup à la surface, le monstre prend lentement sa place dans le ventre étroit, les gémissements de Marine s’amplifient
- Détachez-moi ! Je veux baiser à mon aise !
- NON !
- Salauds, salauds !!
Sam retire sa queue à la limite des lèvres déformées, les chairs intérieures suivent le mouvement, la manthule est bien graissée par la glycérine, a nouveau il avance, cette fois plus énergiquement, le clitoris entrainé lui aussi, arrachant un hurlement de joie a ma femme, une longue giclée ambrée est expulsée du vagin
- JE JOUIS ! JE JOUIIIIIIIIIIIIIIIIIIS !!!!! HAAAAAAAAAAAAAAA !!!!!
Sans se préoccuper de ma femme qui se tortille sous l’orgasme, l’homme continue son travail de défonce qui produit un chuintement gras, je suis hypnotisé par ce piston luisant de sécrétions qui disparait toujours plus loin dans Marine, soudain Sam a des contractions qui font penser a une éjaculation, ma femme accuse le coup sans plus, jouissance ou simple crampe ? je veux qu’elle se souvienne a jamais de cette séance, aussi pour lui rendre sa liberté de mouvements je coupe les liens de ses poignets, elle ôte elle même son bandeau
- SAM !!!!! ?
- Hé oui ! ça te dérange ? tu n’aime pas la bite de ton violeur ?
Vexée, Marine se dégage de l’emprise sexuelle, et se recroqueville sur elle-même, gardant une main collée a sa chatte, aurait elle peur qu’elle se vide ? Sous la surprise Sam tombe à la renverse en tenant toujours à la main son gros zob au bout suintant
- Pourquoi refuses-tu de te faire du bien avec sa belle queue chérie ? je suis sûr que crève d’envie de la faire décharger dans ta chatte
Du coup elle regarde fixement ce pieux qui semble la narguer en se dandinant encore à la verticale, Sam lui dit simplement : vient …elle se relève et enjambe l’imposante stature de l’homme, ainsi écartelée des coulées épaisses tombent de la moule ouverte sur le ventre poilu… c’est du sperme ….
- Je vais te faire cracher tout ton foutre salaud !
Marine plie ses genoux, deux de ses doigts maintiennent ‘l’entrée’ béante, ainsi pliée en deux, son entrecuisses nous offre une vue avilissante, les lèvres sont écarlates, enflées, elle s’assoie sur la queue soutenue par la main du noir, le manche s’enfonce à nouveau et cette fois facilement jusqu’aux testicules, ma femme jubile et reprend sa respiration assise confortablement sur les cuisses musclées
- Haaaaaaaaa !!! Ça y est, je suis bien emmanchée ! C’est le violeur violé ! Remue ton cul enfoiré
- Tient toi bien, c’est partit ! Franck ? tu devrais l’enculer en même temps ! penche toi sur moi salope, offre ton cul a ton mari
Sam l’attrape par les cheveux et l’attire à lui, nouvelle posture pornographique ! L’anus est comprimé par la présence de la grosse queue dans le vagin, je veux faire mon passage dans ses chairs coute que coute, son anus est contracté, je passe de leur crème mélangée dessus et enfonce un doigt, l’anneau se détend, au passage je sens la queue qui distend le vagin, elle ne bouge plus, affirmant ainsi son acceptation
- Va-y, je suis anesthésiée du cul !
Mon gland est écrasé par les sphincters, ma queue laminée progresse dans le tunnel, une fois dans la ‘place’ je donne une claque sur ses fesses
- A toi de nous montrer ton savoir faire chérie, fait-nous décharger
Marine lève son derrière et se laisse tomber sur nos manches, Sam donne des coups de reins secs pour la faire rebondir davantage, compressée et serrée ma queue décharge trop vite, créant une réaction en chaine, Sam grogne, sa verge sursaute violemment dans le ventre et crache elle aussi son venin, ma femme hurle et pisse de bonheur
Une fois libérée de ma queue elle se laisse tomber, repue, elle s’endort, son visage exprime l’extase, Sam se rhabille sans un mot et quitte la maison, j’ai recouvert du drap le corps souillé avant de tomber a ses cotés
Le lendemain c’est sa bouche sur mon sexe qui m’a réveillé
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Les avis des lecteurs
La femme a été assez conne pour accepter. Il y a des gifles qui se perdent.