Léa 3
Récit érotique écrit par DXD [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Léa 3
Un jour d'été, alors que je rentrais d'une leçon de conduite, je fis à la gare où je devais prendre le train qui me ramènerait chez moi, une délicieuse rencontre. Il faut préciser qu'il faisait ce jour là une chaleur étouffante, on était qu'en fin de mâtinée, et pourtant, la température dépassait déjà les 30°c. C'est dans ces conditions, que je tombai sur Léa, qui comme moi attendait le train. J'eus un petit frisson en la voyant : Léa était une fille magnifique, grande (elle faisait ma taille), de longs cheveux blonds, qui encadraient un visage magnifique, illuminé par ses grands yeux verts clair. Elle avait également un vrai corps de déesse. Elle était assez fine, avait de belles et longues jambes, des fesses à tomber, et une poitrine affriolante, du 90c.
J'étais donc ravi de tomber sur elle à la gare, d'autant que je savais qu'elle était une formidable amante. J'avais pu le vérifier les deux dernières fois que je l'avais rencontré : à chaque fois, ça s'était terminé par une formidable partie de jambes en l'air, qui m'avait laissé d'inoubliables souvenirs. Espérant revivre de tels moments, je marchai droit sur elle.
Elle était adossée à un pilier de la gare, vêtue d'un débardeur vert, dont le généreux décolleté nous laissait entrevoir sa merveilleuse poitrine. Son mini-short laissait voir ses longues et belles jambes, tout en moulant à la perfection son magnifique fessier. Ainsi, plus je m'approchais d'elle, plus je me sentais excité, cette fille n'arrangeait pas la canicule !
Elle leva les yeux, et me vis approcher. Elle me lâcha un grand sourire, qui me fit craquer. Lorsqu'elle souriait, tout son visage s'illuminait, et l'on avait l'impression que ses yeux souriaient aussi. Elle vint vers moi, et nous nous fîmes la bise.
« Saluuut ! Me dit elle joyeusement. Tu vas bien ? »
« Oui, et toi ? »
« Mis à part que je crève de chaud ça va. Répondit elle. »
« M'en parle pas, j'en peux déjà plus. »
Nous parlions de choses et autres, jusqu'à ce soudain, la fameuse voix de la SNCF retentit dans la gare, annonçant que le train que nous attendions était supprimé.
« C'est pas vrai ! Grogna Léa. J'ai pas envie d'attendre une demi-heure sous cette chaleur. »
« Mais t'habites pas loin de la gare non ? Tu pourrais rentrer chez toi en attendant le train. »
« Ouais mais j'aurai peur de le rater... »
Nous restâmes silencieux quelques minutes. La température continuait de monter sur le quai de la gare, et Léa, le front transpirant finit par soupirer :
« J'en peux plus, j'ai l'impression que je vais fondre. »
« Pareil pour moi. J'ai hâte d'être chez moi et de me plonger dans ma piscine. »
« T'as une piscine toi ? Dit Léa surprise. »
« Oui, fis je avec un petit sourire. »
« Trop de chance ! »
« T'es la bienvenue quand tu veux. Lui dis je. »
« J'espère que c'est pas une ruse pour me voir en bikini...Dit elle d'un ton faussement soupçonneux. »
« Bien sur que non. Une piscine c'est fait pour lutter contre la chaleur, pas en rajouter. Lui dis je avec un sourire. Non mais sérieusement, ça te dirait de venir ? Toute l'après-midi y aura personne chez moi, j'ai pas envie d'être tout seul... »
Elle me fixa du regard un moment. Je compris qu'elle savait parfaitement ce qui se cachait derrière cette innocente proposition… Elle me sourit bien vite et dit :
« Ok pas de problème. Quand je serai de retour chez moi, je mange, j'attrape un maillot de bain, et je te rejoins. »
« Super ! Répondis-je. »
Une fois le train arrivé, je rentrai chez moi plus que satisfait. Un délicieux après-midi se profilait… Arrivé chez moi, je pris mon repas, tâchant de contenir ma fébrilité. J'avais fini depuis une petite demi-heure, et tournais en rond, impatient, lorsque je reçus un SMS.
« J'arrive. »
Presque aussitôt, la sonnette de ma porte retentit. En courant à moitié, j'allai ouvrir, et c'était Léa. M'adressant un grand sourire, elle entra dans ma maison, apercevant la piscine par la fenêtre du salon, elle s'y dirigea tout droit, moi sur ses talons.
« Elle est belle ta piscine ! Dit elle émerveillée, une fois devant. »
« Merci dis je, pas peu fier. »
« Bon, eh bien allons y. »
Sans rien ajouter d'autre, Léa retira son débardeur, puis son short. Elle était maintenant en bikini rouge qui dévoilait largement son corps de déesse, son ventre plat, ses magnifiques hanches, ses fesses rondes et sa poitrine si ferme. Tandis que je la dévorais du regard, elle entrait doucement dans l'eau, gémissant de manière exagérée, comme si l'eau fraîche lui apportait un orgasme. Rien que cela, suffit déjà à provoquer une certaine raideur dans mon maillot de bain.
« Hmm ça fait du bien cette fraîcheur ! Soupira Léa. Tu viens pas ? »
Je me rendis compte alors que j'étais resté là à l'observer fixement sans bouger. Lentement, je retirai mon t-shirt, dévoilant mon corps musclé. Je retirai ensuite mon short, ne gardant que mon maillot de bain, et je vis que Léa aussi m'observait avec grand intérêt… Je rentrai dans l'eau avec délectation, surtout en me disant qu'un plaisir encore plus que la fraîcheur m'attendait. Léa plongea sous l'eau, et en ressortit plus sexy que jamais, avec ses cheveux trempés, et son corps ruisselant d'eau. Tout en la contemplant, je me demandais comment initier la chose, mais elle rendit toute interrogation superflue : d'un mouvement de brasse, elle vint droit sur moi, et m'enlaça avec ses bras et ses jambes. Je sentis la température brusquement monter, alors même qu'on était dans l'eau fraîche… Un sourire aux lèvres, Léa approcha doucement son visage trempé du mien, et lentement, se mit à m'embrasser avec délice. Je l'enlaçai, la collant contre moi, et lui rendis son baiser avec passion. Léa accéléra le rythme du baiser, qui devint sauvage, et avant de nous séparer, elle me mordit la lèvre, avec un sourire coquin qui eut le don de me rendre fou.
Je la poussai jusqu'au rebord de la piscine et la plaquai contre la paroi. Puis, je la soulevai, et l'obligeai à s'asseoir sur le rebord, légèrement au dessus de moi qui étais toujours dans la piscine. Je lui retirai sa culotte de bain, avec un grand sourire, puis lentement, j'approchai ma bouche de son intimité. Ne pouvant plus attendre, Léa me saisit par les cheveux, et m'obligea à venir immédiatement entre ses jambes. Je lui fis alors un délicieux cuni, donnant tout ce que j'avais faisant tournoyer ma langue sur son clito, et me délectant de l'entendre gémir.
« Hmm vas y, ta langue me fait tellement de bien ! Vaas y plus viite ! Soupirait Léa. »
Je m'activai comme un fou, tandis qu'elle me serrait étroitement la tête avec ses jambes. Je lui faisais tellement de bien, qu'elle s'allongea sur le rebord de la piscine, en gémissant à pleine voix. Je finis par m'interrompre, estimant en avoir fait assez. Léa revint dans l'eau, et m'enlaça à nouveau, un grand sourire aux lèvres.
« C'était super bon ce que tu m'as fait, j'ai hâte de voir la suite ! »
« Tu vas pas être déçue, lui répondis-je. »
Je la saisis par les hanches, et la plaquai contre la paroi de la piscine. Je retirai mon maillot, et d'un coup sec, la pénétrai. Elle poussa un petit cri, et son regard chavira sous le plaisir lorsque je me mis à aller et venir en elle à un rythme régulier, la culbutant contre la paroi. Tout en gémissant doucement, Léa m'attirait contre elle, et m'embrassait langoureusement. Après un délicieux moment, j'interrompis notre baiser, et accélérai le rythme de mes assauts la pilonnant plus vite que jamais, la cognant contre la paroi de la piscine. Léa gémissait et me regardait droit dans les yeux, visiblement sonnée par le plaisir, elle disait « ooooh bordel c'est trop booon allez plus vite, tu peux aller plus vite ! ». Je la baisais ainsi pendant un long moment, le plus fort possible, me délectant de l'entendre hurler, puis, je décidai de changer de tactique. Je m'agrippai contre le rebord de la piscine, et me collai contre elle, pressant mon corps musclé contre son corps de déesse. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et ses bras autour de mon cou, renforçant notre étreinte. Je me mis alors à la baiser en profondeur, allant moins vite, mais plus loin en elle, lui donnant de gros coups de reins, qui à chaque fois lui arrachait un petit cri. Tout en la baisant ainsi, je l'écrasai contre la paroi de la piscine, pressant mon corps contre le sien, et lui dévorant le cou avec passion. Léa frémit un grand coup, avant de brusquement se dégager.
Elle me repoussa à travers toute la piscine, pour me plaquer contre la paroi de l'autre côté. Elle s'empala à nouveau sur mon sexe, et un sourire aux lèvres, commença à se déhancher doucement, me provoquant de petits frissons de plaisirs. Lentement, elle défit la lanière de son maillot de bain, avant de le retirer, libérant enfin sa belle poitrine, que je m’empressai de dévorer. Léa poussa un petit gémissement de plaisir, et me laissa faire, avant de me tirer par les cheveux pour que je redresse ma tête et la regarde. Ses yeux plantés dans les miens, sa main me tenant toujours par les cheveux, elle se mit à accélérer le rythme de ses mouvements, secouant son corps de rêve, me culbutant contre la paroi de la piscine, me faisant frémir et crier de plaisir. Elle se mit ensuite à sauter carrément sur mon sexe, déclenchant en moi une terrible vague de plaisir qui menaçait à tout moment de me submerger.
« Cette fois je vais y arriver ! Gémit Léa. Je vais te faire jouir ! »
Je ne sais pourquoi, mais elle me donna alors envie de réagir. Je la saisis par les hanches, et la retournant, je la plaquai contre la paroi de la piscine. Puis, je la soulevai, et la fis sortir de l'eau, l'installant sur le rebord de la piscine. Je sortis à mon tour de l'eau, et vins me mettre derrière elle, l'obligeant à se mettre à quatre pattes.
Je la saisis par les hanches, et la pris d'un coup brusque en levrette, lui arrachant un petit cri de plaisir. Je démarrai par des coups de reins assez lents, faisant doucement remonter le plaisir, prenant le temps de palper son merveilleux corps. Puis, j'accélérai brutalement, allant et venant à un rythme élevé et soutenu, la limant comme un forcené, culbutant le fond de son intimité à chaque coup. Tout en la baisant sauvagement, je lui claquais les fesses, lui tirais les cheveux, ou encore lui titillait le clito, lui faisant complètement perdre la tête. Une vague de plaisir nous submergea tous les deux, serrant les dents, je tâchai de la contenir au maximum, tout en poursuivant mon implacable baise. Léa jouit la première en poussant un grand cri, mais je continuai inlassablement de la baiser, faisant durer son orgasme de longues, très longues secondes. Je finis par jouir à mon tour, me déversant en elle à grands jets.
Haletants, hors d'haleine et en sueur, nous retournâmes dans l'eau, rafraîchissant nos corps en feux. Nous nous enlaçâmes, et restâmes tranquillement dans l'eau, digérant notre orgasme. Au bout d'un moment, je sentis le désir revenir progressivement en moi, la vue du corps nu de Léa y était pour beaucoup…
« C'était vraiment super bon, souffla Léa, t'es vraiment doué toi. »
« Merci, tu te débrouilles bien toi aussi. Dis je en lui embrassant le cou, espérant la relancer. »
« Mouais… J'ai encore pas réussi à te faire jouir. Répliqua-t-elle avec une moue maussade. »
« De quoi tu parles dis je étonné en arrêtant mes avances. »
« Tout à l'heure… Je te baisais, et je pensais pouvoir te faire jouir, mais t'as repris le dessus avant. »
« Oh… Dis je en commençant à comprendre. »
« La dernière fois qu'on a baisé, quand on était sous la tente (voir Léa 2) je t'ai baisé pendant un bon moment, je pensais te faire jouir comme ça, mais t'as été trop endurant, et après t'as repris le dessus. »
« Désolé, j'ai pas réfléchi tu sais, j'agis d'instinct. Dis je un peu honteux. »
« C'est pas grave me dit Léa en me faisant un petit bisou. J'aime ton côté spontané et volcanique, mais juste une fois, j'aimerais te voir jouir ses mes assauts. »
« La première fois qu'on a baisé ensemble, c'est toi qui étais au dessus à la fin, tu m'avais bien fait jouir, j'ai mis des jours à m'en remettre. Lui dis je pour lui remonter le moral. »
« Mouais… Mais c'était après une longue baise, moi j'aimerais te baiser du début à la fin, et te faire jouir comme ça. Parce que là, j'ai l'impression de pas pouvoir venir à bout de ton endurance. »
« C'est vrai que je suis très endurant dis je d'un ton satisfait, incapable de me retenir de me vanter. »
Léa me jeta un regard noir, aussi je me hâtai d'ajouter :
« Écoute, si t'en as envie à ce point, je me laisse faire, et tu me montre de quoi t'es capable. »
Elle eut l'air surprise.
« Tu ferais ça ? »
« Bah oui, pourquoi ça t'étonne ? »
« Parce qu'au lit t'es un incorrigible macho incapable de te laisser faire ! »
« Quoi ? Dis je étonné. »
« Dés que la fille prend le dessus, tu te sens aussitôt obligé de la renverser pour la baiser comme tu veux. Dis pas le contraire tu sais que c'est vrai. »
J'étais un brin gêné, car c'était assez vrai, mais je ne pus m'empêcher de contester :
« C'est que la troisième fois qu'on baise ensemble, je vois pas trop pourquoi tu dis ça... »
« A chaque fois, c'est ce qu'il s'est passé, et Noémie est une pote à moi, elle m'a raconté comment ça se passait entre vous... »
Je poussai un léger grognement. Noémie était un de mes plans cul régulier, et jusque là, elle n'avait en effet jamais réussi à prendre le dessus très longtemps.
« Bon OK, peut être… admis je de mauvaise grâce. En tout cas, là, je te propose de me baiser jusqu'à ce que je jouisse, t'acceptes ou tu continues de faire ta mijaurée ? »
Elle m'adressa un grand sourire coquin et susurra :
« J'accepte bien sûr... »
Elle me donna un langoureux baiser, à m'en faire perdre le souffle, tout en me poussant à nouveau contre la paroi de la piscine. Puis elle ordonna d'un ton assez autoritaire :
« Sors de l'eau, et allonge toi sur le rebord de la piscine. »
Souriant, je m'exécutai. Léa sortir à son tour de l'eau, et s'approcha de moi. Mon sexe était tendu comme jamais, et Léa, plus sexy que d'habitude, car ruisselante d'eau, s'en approcha à quatre pattes. Un sourire gourmand aux lèvres, elle le goba, et se mit à me sucer doucement, allant de haut en bas, prenant possession de ma bite avec sa bouche. Elle se mit ensuite à la parcourir avec sa langue, comme si c'était une glace, me faisant fondre de plaisir. Elle se mit ensuite à aller plus vite avec sa bouche, et à donner des coups de langue plus forts, et je ne tardai pas à pousser de petits cris de plaisir. Un sourire satisfait aux lèvres, Léa saisit ensuite mon sexe, et se mit à me branler vigoureusement, me faisant trembler d'extase. Très fière d'elle, Léa se remit à me sucer, allant cette fois à un rythme très élevé, se délectant de m'entendre crier de plaisir. Elle fit durer sa pipe magistrale pendant de longues et délicieuses minutes, avant de finalement s'interrompre.
« Tu prends ton pied ? Me demanda-t-elle. »
« T'as pas idée à quel point, lui dis je d'un air ravi. »
Très satisfaite d'elle même, Léa prit à nouveau mon sexe en main, avant de s'empaler dessus. Elle poussa un petit gémissement, en même temps que moi. Elle se mit à donner de lents coups de reins, qui m'arrachèrent quelques frémissements, mais était bien loin de me faire chavirer de plaisir. Pourtant, elle poursuivit sur ce rythme lent, testant mes réactions, sans apparemment vouloir aller plus vite. D'un ton moqueur je lui dis :
« Tu sais, c'est pas comme ça que tu vas me faire jouir... »
« Je sais ce que je fais, t'inquiète, répliqua-t-elle. »
« On dirait pas, je ressens pas grand-chose là... »
Elle me sourit d'un air condescendant, puis d'un coup me donna un grand coup de rein, en se déhanchant d'un coup sec. Surpris, je poussai un grand cri.
« Alors et là tu ressens rien ? Et là ? Et là ? Et là ? »
A chaque « et là », elle me donnait un puissant coup de rein, et à chaque fois, je poussai un grand cri d'extase. Léa se mit ensuite à se déhancher comme une folle sur mon sexe, comme si elle faisait une danse du ventre, mais en bien plus rapide. Je poussais de grands cris d'extase, et le plaisir me brouillait la vue. Léa se mit alors soudain à ralentir le rythme, bougeant plus lentement, mais avec des mouvements plus amples. La blonde me saisit par le menton, et m'obligea à tourner le regard vers elle.
« Regarde moi pendant que je te baise ! Ordonna-t-elle.»
Taquin, je fermai aussitôt les yeux. Je sentis alors Léa me griffer le torse sauvagement, avant de se mettre à me donner de gros coups de reins, très puissants, qui me secouaient.
« J'ai-dit-regarde-moi-pendant-que-je-te-baise ! Cria Léa détachant chaque mot par un gros coup de rein. »
Je dus ouvrir les yeux, et je vis une Léa complètement déchaînée me chevaucher presque brutalement, sautant sur mon sexe sans répit. Elle poussait de grands gémissements et se tenait les cheveux les yeux en fermant les yeux tant le plaisir était grand. Ensuite, elle baissait la tête et me défiait du regard en se déhanchant sauvagement se délectant de me voir gémir et me tortiller sous le plaisir qu'elle m'infligeait. Lorsque Léa ralentit le rythme, nous étions essoufflés, et en sueur. Le soleil nous avait séchés maintenant, et il nous chauffait à blanc. Lorsque je caressais les hanches de Léa, je vis que sa peau, de nouveau sèche, était toute douce après son passage dans l'eau. Léa continuait de me baiser, mais elle ne menait plus un train d'enfer, cherchant plutôt à donner des coups de reins amples. Le plaisir montait par a coups plus espacés, mais n'en n'était pas moins très intense. Je tentai de l'aider dans ses mouvements avec mes mains, mais elle m'arrêta aussitôt : elle tenait à mener la barque seule. Je me contentais alors de la caresser tout en profitant du plaisir de plus en plus grand qu'elle m'offrait. Au bout d'un moment, elle me donna un puissant coup de rein, plus fort que les autres. A la lueur dans ses yeux, je compris qu'elle allait entamer le sprint final…
Elle se mit à me baiser magistralement, m'administrant des coups de reins très puissants, faisant des va-et-vient d'avant en arrière à un rythme très élevé. Je serrai les dents, et tâchai de ne pas gémir, mais lorsque Léa accéléra encore le rythme, je ne pus me retenir, et me mis à crier franchement « bordel c'est tellement booon, continue, vas y baise moi », et elle me répondit « tu kiffes ? Tu prends ton pied, t'aimes quand je te fais ça ? Et ça ? » me donnant des coups de reins plus forts à chaque « et ça ». Oubliant momentanément ma promesse, je me redressai alors d'un coup, avec la ferme intention de la renverser, mais elle me plaqua aussitôt au sol, d'un geste autoritaire. Elle me mit ensuite une gifle pour m'apprendre les bonnes manières, puis accéléra encore la cadence de ses coups de reins. Je perdais complètement la tête, criais à pleins poumons, tout en me tenant le visage à deux mains tant le plaisir était grand. Léa elle aussi gémissait, et me baisait sans cesse plus fort, telle une bête sauvage, tout son corps était en mouvement ses, hanches s'activaient, ses seins se balançaient, et elle bougeait son corps vers le haut et d'avant en arrière sans relâche, bien décidé à me faire jouir. Elle me saisit les poignets, et me les plaqua contre le torse, pour m'obliger à la regarder, puis elle accéléra encore le rythme, rendant cette baise complètement folle. Je sentis une puissante vague de plaisir monter en moi, et serrai les dents pour tâcher de la contenir. Mais Léa se sentait proche de son objectif, et accéléra le rythme dans un ultime effort, bondissant sur mon pieu dressé. Elle fit soudain une variation, et se mit à se déhancher de droite à gauche comme une folle, et je sentis la vague de plaisir devenir juste incontrôlable. J'eus un monstrueux orgasme, qui me laissa totalement étourdi, d'autant plus que Léa le prolongea en continuant de me baiser de longues secondes après que j'aie joui, faisant durer ce plaisir encore et encore jusqu'à me rendre complètement fou « stooop arrête hurlai je tu vas me tuer ! » et sur ces mots, elle eut à son tour un grand orgasme, qui la laissa écroulée essoufflée mais ravie à côté de moi.
Il nous fallut presque un quart d'heure pour nous remettre de nos émotions. Léa transpirait l'auto satisfaction, ravie qu'elle était de m'avoir fait jouir à ce point.
« T'es contente ? Lui dis-je une fois remis, encore un peu haletant. »
« Oh oui ! Je t'ai fait crier comme une pucelle ! Dit elle taquine. »
« C'est vrai que des « tu vas me tuer » y a pas beaucoup de filles qui m'ont fait dire ça. Lui dis je souriant. »
Léa eut un petit rire, et se colla contre moi. Nous nous dorâmes un temps au soleil, avant de poursuivre notre après midi piscine, nous remettant de cette brusque montée de chaleur. Après quoi, Léa rentra chez elle, me laissant me remettre seul de cet après midi mémorable.
Voilà, cette histoire est terminée, j'espère que vous l'avez appréciée, si c'est le cas n'hésitez pas à laisser un commentaire pour le dire, ça me fait toujours plaisir ! Je vous encourage aussi à donner votre avis sur les personnages, l'action, ou le scénario, ça m'est toujours utile ! Si cette histoire vous a rappelé une anecdote personnelle et que vous avez envie de la partager avec les autres, je vous en prie, n'hésitez pas ! Par ailleurs, si vous avez des questions à me poser, envie de me parler d'une histoire ou d'un personnage ou tout simplement du temps qu'il fait, mon adresse mail est là pour ça !
La prochaine histoire sera « Laure 3 », elle sera courte, et devrait paraître la semaine prochaine, je vais vous donner l'occasion de voter pour l'histoire d'APRES.
L'histoire d'après, sera « Marie-Laure 2 », nous aurons le droit à la deuxième partie de jambe en l'air entre le narrateur et la belle bombe qu'il avait rencontrée en vacance. A cette occasion, je vous donne la possibilité de choisir qui du Narrateur ou de Marie-Laure va dominer, sachant que chacun d'entre eux va tenter de dompter l'autre. C'est à vous de décider qui y parviendra !
J'étais donc ravi de tomber sur elle à la gare, d'autant que je savais qu'elle était une formidable amante. J'avais pu le vérifier les deux dernières fois que je l'avais rencontré : à chaque fois, ça s'était terminé par une formidable partie de jambes en l'air, qui m'avait laissé d'inoubliables souvenirs. Espérant revivre de tels moments, je marchai droit sur elle.
Elle était adossée à un pilier de la gare, vêtue d'un débardeur vert, dont le généreux décolleté nous laissait entrevoir sa merveilleuse poitrine. Son mini-short laissait voir ses longues et belles jambes, tout en moulant à la perfection son magnifique fessier. Ainsi, plus je m'approchais d'elle, plus je me sentais excité, cette fille n'arrangeait pas la canicule !
Elle leva les yeux, et me vis approcher. Elle me lâcha un grand sourire, qui me fit craquer. Lorsqu'elle souriait, tout son visage s'illuminait, et l'on avait l'impression que ses yeux souriaient aussi. Elle vint vers moi, et nous nous fîmes la bise.
« Saluuut ! Me dit elle joyeusement. Tu vas bien ? »
« Oui, et toi ? »
« Mis à part que je crève de chaud ça va. Répondit elle. »
« M'en parle pas, j'en peux déjà plus. »
Nous parlions de choses et autres, jusqu'à ce soudain, la fameuse voix de la SNCF retentit dans la gare, annonçant que le train que nous attendions était supprimé.
« C'est pas vrai ! Grogna Léa. J'ai pas envie d'attendre une demi-heure sous cette chaleur. »
« Mais t'habites pas loin de la gare non ? Tu pourrais rentrer chez toi en attendant le train. »
« Ouais mais j'aurai peur de le rater... »
Nous restâmes silencieux quelques minutes. La température continuait de monter sur le quai de la gare, et Léa, le front transpirant finit par soupirer :
« J'en peux plus, j'ai l'impression que je vais fondre. »
« Pareil pour moi. J'ai hâte d'être chez moi et de me plonger dans ma piscine. »
« T'as une piscine toi ? Dit Léa surprise. »
« Oui, fis je avec un petit sourire. »
« Trop de chance ! »
« T'es la bienvenue quand tu veux. Lui dis je. »
« J'espère que c'est pas une ruse pour me voir en bikini...Dit elle d'un ton faussement soupçonneux. »
« Bien sur que non. Une piscine c'est fait pour lutter contre la chaleur, pas en rajouter. Lui dis je avec un sourire. Non mais sérieusement, ça te dirait de venir ? Toute l'après-midi y aura personne chez moi, j'ai pas envie d'être tout seul... »
Elle me fixa du regard un moment. Je compris qu'elle savait parfaitement ce qui se cachait derrière cette innocente proposition… Elle me sourit bien vite et dit :
« Ok pas de problème. Quand je serai de retour chez moi, je mange, j'attrape un maillot de bain, et je te rejoins. »
« Super ! Répondis-je. »
Une fois le train arrivé, je rentrai chez moi plus que satisfait. Un délicieux après-midi se profilait… Arrivé chez moi, je pris mon repas, tâchant de contenir ma fébrilité. J'avais fini depuis une petite demi-heure, et tournais en rond, impatient, lorsque je reçus un SMS.
« J'arrive. »
Presque aussitôt, la sonnette de ma porte retentit. En courant à moitié, j'allai ouvrir, et c'était Léa. M'adressant un grand sourire, elle entra dans ma maison, apercevant la piscine par la fenêtre du salon, elle s'y dirigea tout droit, moi sur ses talons.
« Elle est belle ta piscine ! Dit elle émerveillée, une fois devant. »
« Merci dis je, pas peu fier. »
« Bon, eh bien allons y. »
Sans rien ajouter d'autre, Léa retira son débardeur, puis son short. Elle était maintenant en bikini rouge qui dévoilait largement son corps de déesse, son ventre plat, ses magnifiques hanches, ses fesses rondes et sa poitrine si ferme. Tandis que je la dévorais du regard, elle entrait doucement dans l'eau, gémissant de manière exagérée, comme si l'eau fraîche lui apportait un orgasme. Rien que cela, suffit déjà à provoquer une certaine raideur dans mon maillot de bain.
« Hmm ça fait du bien cette fraîcheur ! Soupira Léa. Tu viens pas ? »
Je me rendis compte alors que j'étais resté là à l'observer fixement sans bouger. Lentement, je retirai mon t-shirt, dévoilant mon corps musclé. Je retirai ensuite mon short, ne gardant que mon maillot de bain, et je vis que Léa aussi m'observait avec grand intérêt… Je rentrai dans l'eau avec délectation, surtout en me disant qu'un plaisir encore plus que la fraîcheur m'attendait. Léa plongea sous l'eau, et en ressortit plus sexy que jamais, avec ses cheveux trempés, et son corps ruisselant d'eau. Tout en la contemplant, je me demandais comment initier la chose, mais elle rendit toute interrogation superflue : d'un mouvement de brasse, elle vint droit sur moi, et m'enlaça avec ses bras et ses jambes. Je sentis la température brusquement monter, alors même qu'on était dans l'eau fraîche… Un sourire aux lèvres, Léa approcha doucement son visage trempé du mien, et lentement, se mit à m'embrasser avec délice. Je l'enlaçai, la collant contre moi, et lui rendis son baiser avec passion. Léa accéléra le rythme du baiser, qui devint sauvage, et avant de nous séparer, elle me mordit la lèvre, avec un sourire coquin qui eut le don de me rendre fou.
Je la poussai jusqu'au rebord de la piscine et la plaquai contre la paroi. Puis, je la soulevai, et l'obligeai à s'asseoir sur le rebord, légèrement au dessus de moi qui étais toujours dans la piscine. Je lui retirai sa culotte de bain, avec un grand sourire, puis lentement, j'approchai ma bouche de son intimité. Ne pouvant plus attendre, Léa me saisit par les cheveux, et m'obligea à venir immédiatement entre ses jambes. Je lui fis alors un délicieux cuni, donnant tout ce que j'avais faisant tournoyer ma langue sur son clito, et me délectant de l'entendre gémir.
« Hmm vas y, ta langue me fait tellement de bien ! Vaas y plus viite ! Soupirait Léa. »
Je m'activai comme un fou, tandis qu'elle me serrait étroitement la tête avec ses jambes. Je lui faisais tellement de bien, qu'elle s'allongea sur le rebord de la piscine, en gémissant à pleine voix. Je finis par m'interrompre, estimant en avoir fait assez. Léa revint dans l'eau, et m'enlaça à nouveau, un grand sourire aux lèvres.
« C'était super bon ce que tu m'as fait, j'ai hâte de voir la suite ! »
« Tu vas pas être déçue, lui répondis-je. »
Je la saisis par les hanches, et la plaquai contre la paroi de la piscine. Je retirai mon maillot, et d'un coup sec, la pénétrai. Elle poussa un petit cri, et son regard chavira sous le plaisir lorsque je me mis à aller et venir en elle à un rythme régulier, la culbutant contre la paroi. Tout en gémissant doucement, Léa m'attirait contre elle, et m'embrassait langoureusement. Après un délicieux moment, j'interrompis notre baiser, et accélérai le rythme de mes assauts la pilonnant plus vite que jamais, la cognant contre la paroi de la piscine. Léa gémissait et me regardait droit dans les yeux, visiblement sonnée par le plaisir, elle disait « ooooh bordel c'est trop booon allez plus vite, tu peux aller plus vite ! ». Je la baisais ainsi pendant un long moment, le plus fort possible, me délectant de l'entendre hurler, puis, je décidai de changer de tactique. Je m'agrippai contre le rebord de la piscine, et me collai contre elle, pressant mon corps musclé contre son corps de déesse. Elle enroula ses jambes autour de ma taille, et ses bras autour de mon cou, renforçant notre étreinte. Je me mis alors à la baiser en profondeur, allant moins vite, mais plus loin en elle, lui donnant de gros coups de reins, qui à chaque fois lui arrachait un petit cri. Tout en la baisant ainsi, je l'écrasai contre la paroi de la piscine, pressant mon corps contre le sien, et lui dévorant le cou avec passion. Léa frémit un grand coup, avant de brusquement se dégager.
Elle me repoussa à travers toute la piscine, pour me plaquer contre la paroi de l'autre côté. Elle s'empala à nouveau sur mon sexe, et un sourire aux lèvres, commença à se déhancher doucement, me provoquant de petits frissons de plaisirs. Lentement, elle défit la lanière de son maillot de bain, avant de le retirer, libérant enfin sa belle poitrine, que je m’empressai de dévorer. Léa poussa un petit gémissement de plaisir, et me laissa faire, avant de me tirer par les cheveux pour que je redresse ma tête et la regarde. Ses yeux plantés dans les miens, sa main me tenant toujours par les cheveux, elle se mit à accélérer le rythme de ses mouvements, secouant son corps de rêve, me culbutant contre la paroi de la piscine, me faisant frémir et crier de plaisir. Elle se mit ensuite à sauter carrément sur mon sexe, déclenchant en moi une terrible vague de plaisir qui menaçait à tout moment de me submerger.
« Cette fois je vais y arriver ! Gémit Léa. Je vais te faire jouir ! »
Je ne sais pourquoi, mais elle me donna alors envie de réagir. Je la saisis par les hanches, et la retournant, je la plaquai contre la paroi de la piscine. Puis, je la soulevai, et la fis sortir de l'eau, l'installant sur le rebord de la piscine. Je sortis à mon tour de l'eau, et vins me mettre derrière elle, l'obligeant à se mettre à quatre pattes.
Je la saisis par les hanches, et la pris d'un coup brusque en levrette, lui arrachant un petit cri de plaisir. Je démarrai par des coups de reins assez lents, faisant doucement remonter le plaisir, prenant le temps de palper son merveilleux corps. Puis, j'accélérai brutalement, allant et venant à un rythme élevé et soutenu, la limant comme un forcené, culbutant le fond de son intimité à chaque coup. Tout en la baisant sauvagement, je lui claquais les fesses, lui tirais les cheveux, ou encore lui titillait le clito, lui faisant complètement perdre la tête. Une vague de plaisir nous submergea tous les deux, serrant les dents, je tâchai de la contenir au maximum, tout en poursuivant mon implacable baise. Léa jouit la première en poussant un grand cri, mais je continuai inlassablement de la baiser, faisant durer son orgasme de longues, très longues secondes. Je finis par jouir à mon tour, me déversant en elle à grands jets.
Haletants, hors d'haleine et en sueur, nous retournâmes dans l'eau, rafraîchissant nos corps en feux. Nous nous enlaçâmes, et restâmes tranquillement dans l'eau, digérant notre orgasme. Au bout d'un moment, je sentis le désir revenir progressivement en moi, la vue du corps nu de Léa y était pour beaucoup…
« C'était vraiment super bon, souffla Léa, t'es vraiment doué toi. »
« Merci, tu te débrouilles bien toi aussi. Dis je en lui embrassant le cou, espérant la relancer. »
« Mouais… J'ai encore pas réussi à te faire jouir. Répliqua-t-elle avec une moue maussade. »
« De quoi tu parles dis je étonné en arrêtant mes avances. »
« Tout à l'heure… Je te baisais, et je pensais pouvoir te faire jouir, mais t'as repris le dessus avant. »
« Oh… Dis je en commençant à comprendre. »
« La dernière fois qu'on a baisé, quand on était sous la tente (voir Léa 2) je t'ai baisé pendant un bon moment, je pensais te faire jouir comme ça, mais t'as été trop endurant, et après t'as repris le dessus. »
« Désolé, j'ai pas réfléchi tu sais, j'agis d'instinct. Dis je un peu honteux. »
« C'est pas grave me dit Léa en me faisant un petit bisou. J'aime ton côté spontané et volcanique, mais juste une fois, j'aimerais te voir jouir ses mes assauts. »
« La première fois qu'on a baisé ensemble, c'est toi qui étais au dessus à la fin, tu m'avais bien fait jouir, j'ai mis des jours à m'en remettre. Lui dis je pour lui remonter le moral. »
« Mouais… Mais c'était après une longue baise, moi j'aimerais te baiser du début à la fin, et te faire jouir comme ça. Parce que là, j'ai l'impression de pas pouvoir venir à bout de ton endurance. »
« C'est vrai que je suis très endurant dis je d'un ton satisfait, incapable de me retenir de me vanter. »
Léa me jeta un regard noir, aussi je me hâtai d'ajouter :
« Écoute, si t'en as envie à ce point, je me laisse faire, et tu me montre de quoi t'es capable. »
Elle eut l'air surprise.
« Tu ferais ça ? »
« Bah oui, pourquoi ça t'étonne ? »
« Parce qu'au lit t'es un incorrigible macho incapable de te laisser faire ! »
« Quoi ? Dis je étonné. »
« Dés que la fille prend le dessus, tu te sens aussitôt obligé de la renverser pour la baiser comme tu veux. Dis pas le contraire tu sais que c'est vrai. »
J'étais un brin gêné, car c'était assez vrai, mais je ne pus m'empêcher de contester :
« C'est que la troisième fois qu'on baise ensemble, je vois pas trop pourquoi tu dis ça... »
« A chaque fois, c'est ce qu'il s'est passé, et Noémie est une pote à moi, elle m'a raconté comment ça se passait entre vous... »
Je poussai un léger grognement. Noémie était un de mes plans cul régulier, et jusque là, elle n'avait en effet jamais réussi à prendre le dessus très longtemps.
« Bon OK, peut être… admis je de mauvaise grâce. En tout cas, là, je te propose de me baiser jusqu'à ce que je jouisse, t'acceptes ou tu continues de faire ta mijaurée ? »
Elle m'adressa un grand sourire coquin et susurra :
« J'accepte bien sûr... »
Elle me donna un langoureux baiser, à m'en faire perdre le souffle, tout en me poussant à nouveau contre la paroi de la piscine. Puis elle ordonna d'un ton assez autoritaire :
« Sors de l'eau, et allonge toi sur le rebord de la piscine. »
Souriant, je m'exécutai. Léa sortir à son tour de l'eau, et s'approcha de moi. Mon sexe était tendu comme jamais, et Léa, plus sexy que d'habitude, car ruisselante d'eau, s'en approcha à quatre pattes. Un sourire gourmand aux lèvres, elle le goba, et se mit à me sucer doucement, allant de haut en bas, prenant possession de ma bite avec sa bouche. Elle se mit ensuite à la parcourir avec sa langue, comme si c'était une glace, me faisant fondre de plaisir. Elle se mit ensuite à aller plus vite avec sa bouche, et à donner des coups de langue plus forts, et je ne tardai pas à pousser de petits cris de plaisir. Un sourire satisfait aux lèvres, Léa saisit ensuite mon sexe, et se mit à me branler vigoureusement, me faisant trembler d'extase. Très fière d'elle, Léa se remit à me sucer, allant cette fois à un rythme très élevé, se délectant de m'entendre crier de plaisir. Elle fit durer sa pipe magistrale pendant de longues et délicieuses minutes, avant de finalement s'interrompre.
« Tu prends ton pied ? Me demanda-t-elle. »
« T'as pas idée à quel point, lui dis je d'un air ravi. »
Très satisfaite d'elle même, Léa prit à nouveau mon sexe en main, avant de s'empaler dessus. Elle poussa un petit gémissement, en même temps que moi. Elle se mit à donner de lents coups de reins, qui m'arrachèrent quelques frémissements, mais était bien loin de me faire chavirer de plaisir. Pourtant, elle poursuivit sur ce rythme lent, testant mes réactions, sans apparemment vouloir aller plus vite. D'un ton moqueur je lui dis :
« Tu sais, c'est pas comme ça que tu vas me faire jouir... »
« Je sais ce que je fais, t'inquiète, répliqua-t-elle. »
« On dirait pas, je ressens pas grand-chose là... »
Elle me sourit d'un air condescendant, puis d'un coup me donna un grand coup de rein, en se déhanchant d'un coup sec. Surpris, je poussai un grand cri.
« Alors et là tu ressens rien ? Et là ? Et là ? Et là ? »
A chaque « et là », elle me donnait un puissant coup de rein, et à chaque fois, je poussai un grand cri d'extase. Léa se mit ensuite à se déhancher comme une folle sur mon sexe, comme si elle faisait une danse du ventre, mais en bien plus rapide. Je poussais de grands cris d'extase, et le plaisir me brouillait la vue. Léa se mit alors soudain à ralentir le rythme, bougeant plus lentement, mais avec des mouvements plus amples. La blonde me saisit par le menton, et m'obligea à tourner le regard vers elle.
« Regarde moi pendant que je te baise ! Ordonna-t-elle.»
Taquin, je fermai aussitôt les yeux. Je sentis alors Léa me griffer le torse sauvagement, avant de se mettre à me donner de gros coups de reins, très puissants, qui me secouaient.
« J'ai-dit-regarde-moi-pendant-que-je-te-baise ! Cria Léa détachant chaque mot par un gros coup de rein. »
Je dus ouvrir les yeux, et je vis une Léa complètement déchaînée me chevaucher presque brutalement, sautant sur mon sexe sans répit. Elle poussait de grands gémissements et se tenait les cheveux les yeux en fermant les yeux tant le plaisir était grand. Ensuite, elle baissait la tête et me défiait du regard en se déhanchant sauvagement se délectant de me voir gémir et me tortiller sous le plaisir qu'elle m'infligeait. Lorsque Léa ralentit le rythme, nous étions essoufflés, et en sueur. Le soleil nous avait séchés maintenant, et il nous chauffait à blanc. Lorsque je caressais les hanches de Léa, je vis que sa peau, de nouveau sèche, était toute douce après son passage dans l'eau. Léa continuait de me baiser, mais elle ne menait plus un train d'enfer, cherchant plutôt à donner des coups de reins amples. Le plaisir montait par a coups plus espacés, mais n'en n'était pas moins très intense. Je tentai de l'aider dans ses mouvements avec mes mains, mais elle m'arrêta aussitôt : elle tenait à mener la barque seule. Je me contentais alors de la caresser tout en profitant du plaisir de plus en plus grand qu'elle m'offrait. Au bout d'un moment, elle me donna un puissant coup de rein, plus fort que les autres. A la lueur dans ses yeux, je compris qu'elle allait entamer le sprint final…
Elle se mit à me baiser magistralement, m'administrant des coups de reins très puissants, faisant des va-et-vient d'avant en arrière à un rythme très élevé. Je serrai les dents, et tâchai de ne pas gémir, mais lorsque Léa accéléra encore le rythme, je ne pus me retenir, et me mis à crier franchement « bordel c'est tellement booon, continue, vas y baise moi », et elle me répondit « tu kiffes ? Tu prends ton pied, t'aimes quand je te fais ça ? Et ça ? » me donnant des coups de reins plus forts à chaque « et ça ». Oubliant momentanément ma promesse, je me redressai alors d'un coup, avec la ferme intention de la renverser, mais elle me plaqua aussitôt au sol, d'un geste autoritaire. Elle me mit ensuite une gifle pour m'apprendre les bonnes manières, puis accéléra encore la cadence de ses coups de reins. Je perdais complètement la tête, criais à pleins poumons, tout en me tenant le visage à deux mains tant le plaisir était grand. Léa elle aussi gémissait, et me baisait sans cesse plus fort, telle une bête sauvage, tout son corps était en mouvement ses, hanches s'activaient, ses seins se balançaient, et elle bougeait son corps vers le haut et d'avant en arrière sans relâche, bien décidé à me faire jouir. Elle me saisit les poignets, et me les plaqua contre le torse, pour m'obliger à la regarder, puis elle accéléra encore le rythme, rendant cette baise complètement folle. Je sentis une puissante vague de plaisir monter en moi, et serrai les dents pour tâcher de la contenir. Mais Léa se sentait proche de son objectif, et accéléra le rythme dans un ultime effort, bondissant sur mon pieu dressé. Elle fit soudain une variation, et se mit à se déhancher de droite à gauche comme une folle, et je sentis la vague de plaisir devenir juste incontrôlable. J'eus un monstrueux orgasme, qui me laissa totalement étourdi, d'autant plus que Léa le prolongea en continuant de me baiser de longues secondes après que j'aie joui, faisant durer ce plaisir encore et encore jusqu'à me rendre complètement fou « stooop arrête hurlai je tu vas me tuer ! » et sur ces mots, elle eut à son tour un grand orgasme, qui la laissa écroulée essoufflée mais ravie à côté de moi.
Il nous fallut presque un quart d'heure pour nous remettre de nos émotions. Léa transpirait l'auto satisfaction, ravie qu'elle était de m'avoir fait jouir à ce point.
« T'es contente ? Lui dis-je une fois remis, encore un peu haletant. »
« Oh oui ! Je t'ai fait crier comme une pucelle ! Dit elle taquine. »
« C'est vrai que des « tu vas me tuer » y a pas beaucoup de filles qui m'ont fait dire ça. Lui dis je souriant. »
Léa eut un petit rire, et se colla contre moi. Nous nous dorâmes un temps au soleil, avant de poursuivre notre après midi piscine, nous remettant de cette brusque montée de chaleur. Après quoi, Léa rentra chez elle, me laissant me remettre seul de cet après midi mémorable.
Voilà, cette histoire est terminée, j'espère que vous l'avez appréciée, si c'est le cas n'hésitez pas à laisser un commentaire pour le dire, ça me fait toujours plaisir ! Je vous encourage aussi à donner votre avis sur les personnages, l'action, ou le scénario, ça m'est toujours utile ! Si cette histoire vous a rappelé une anecdote personnelle et que vous avez envie de la partager avec les autres, je vous en prie, n'hésitez pas ! Par ailleurs, si vous avez des questions à me poser, envie de me parler d'une histoire ou d'un personnage ou tout simplement du temps qu'il fait, mon adresse mail est là pour ça !
La prochaine histoire sera « Laure 3 », elle sera courte, et devrait paraître la semaine prochaine, je vais vous donner l'occasion de voter pour l'histoire d'APRES.
L'histoire d'après, sera « Marie-Laure 2 », nous aurons le droit à la deuxième partie de jambe en l'air entre le narrateur et la belle bombe qu'il avait rencontrée en vacance. A cette occasion, je vous donne la possibilité de choisir qui du Narrateur ou de Marie-Laure va dominer, sachant que chacun d'entre eux va tenter de dompter l'autre. C'est à vous de décider qui y parviendra !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Très bonne histoire, t'es le meilleur !
Je vote pour que l'auteur soit dominé, héhé !
Bonne continuation <3
Je vote pour que l'auteur soit dominé, héhé !
Bonne continuation <3
Moi j'aime bien Léa
Cette fille-là, faudrait que tu nous en parles encore
Et pourquoi pas nous la présenter en vrai ?
Cette fille-là, faudrait que tu nous en parles encore
Et pourquoi pas nous la présenter en vrai ?
Excellente histoire comme toujours! Je vote pour que Marie-Laure domine le narrateur, elle doit avoir envie de prendre sa revanche.