les cinq doigts de la main 3

- Par l'auteur HDS Charlotte-la-salope -
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Récit libertin : les cinq doigts de la main 3 Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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les cinq doigts de la main 3
Chap. III — Retour chez Jean
Je croyais que Pierre serait choqué en voyant les marques sur mes seins, mais
cela l'a seulement fait rire.
- Je vois que François est passé à la vitesse supérieure, tu devrais faire
attention, il va faire de toi une pute, une vraie avec des clients et tout le
reste.
- Tu trouves ça normal ? Je te signale que je suis ta femme.
- Je le sais que tu es ma femme, mais je ne t'oblige pas à suivre les délires
de François.
- C'est pourquoi j'ai décidé de ne plus aller chez lui.
- Tant mieux !
Et nous n'en avons plus parlé.

Mes bonnes résolutions n'auront pas tenu longtemps, à peine un mois, le temps
d'être à nouveau le premier mercredi du mois.
C'est plus fort que moi et je me prépare pour rendre une nouvelle visite à Jean.
Je n'ose pas téléphoner à François pour le prévenir que je vais rechuter et aller
payer une de ses quittances de loyer.
Le problème c'est que je me lance à l'aveuglette puisque j'ai refusé de revoir
François depuis le début du mois passer, je vais me jeter dans les mains de Jean
sans même savoir si François voudra bien me revoir après.

Il est bien venu deux fois à la maison avec ses potes, mais il n'a fait aucune
allusion à mes visites manquées chez lui. Il s'est contenté de se faire sucer et de
ma jouir sur le visage pour le plus grand plaisir de ses amis, y compris Pierre
puis, il s'est joint à ses amis pour venir me pisser dessus au milieu de la
terrasse. C'est lui qui a eu l'idée de prendre le tuyau d'arrosage et de me laver
dehors à l'eau froide en insistant avec le jet sur mes seins et mon ventre.

Je suis devant la porte du proprio de François et mon cœur bat la chamade. Mon
sac est ouvert sur le sol et j'attends qu'il soit exactement treize heures pour
enlever ma robe et sonner. J'écoute anxieusement les divers bruits de
l'immeuble, personne ne monte vers l'étage où je me trouve. Je pousse sur le
bouton de la sonnette et j'enlève prestement la robe que je roule en boule dans
mon sac. Je sens la transpiration couler sur mon front, mon ventre se liquéfier,
mes seins se gonfler et les mamelons se durcirent. Le bruit de la poignée qui
tourne provoque un soupir de soulagement et je m'apprête à faire un pas dans
l'appartement, mais Jean me regarde goguenard.
- Tu as oublié la laisse et le collier, tu as dix minutes pour aller chercher tes
accessoires, me dit-il en refermant la porte.

Merde ! La laisse, je l'ai oubliée à la maison. Vite, je remets la robe et je cours
dans les escaliers pour rejoindre ma voiture et rentrer chez moi. C'est la course
folle pour arriver à temps, je sens que si je ne suis pas à l'heure, il va me le faire
payer d'une façon ou d'une autre. À la maison, je dois fouiller partout avant de
mettre la main sur le collier et la laisse que j'ai cachée dans le fond de la garderobe.

Avec la circulation, j'arrive devant la porte de Jean juste douze minutes après en
être repartie. Je sonne, me déshabille et je mets le collier et la laisse. Je suis en
nage et essoufflée quand l'homme ouvre la porte. Il me barre la route, car
comme moi, il a entendu le bruit d'un pas dans les escaliers, cette fois, je ne vais
pas y échapper et je vais être exhibée nue et tenue en laisse comme une chienne
à un voisin de Jean. C'est le même homme que la dernière fois, je ferme les yeux
tandis que Jean salue son voisin.
- Bonjour, monsieur Raccel, comment allez-vous ?
Je suppose que l'homme est ébahi de voir une femme nue devant la porte de son
voisin et prend son temps pour répondre.
- Bien ! Je vais très bien, mais pas aussi bien que vous, répond-il.
Morte de honte je continue à fermer les yeux et à prier pour que Jean me fasse
entrer dans son appartement.
- Bah ! C'est une pute, si ça vous dit, vous pouvez passer dans une heure.
Cette fois j'ouvre la bouche pour protester, mais Jean tire un coup sec sur la
laisse pour me faire comprendre que je dois me taire.
- Avec plaisir, mais pourrais-je voir l'endroit ? Les fesses sont magnifiques et
je suppose que ses seins doivent être splendides, mais j'aimerais en être
sûr.
- Naturellement, je vous comprends, approuve Jean.
Il me pince le bout d'un sein.
- Tourne toi que monsieur puisse juger la marchandise.
Rouge pivoine de honte et les larmes aux yeux, je me tourne lentement pour que
l'homme puisse voir mes seins et mon pubis velu.
Puis, Jean tire sur la laisse pour
me faire entrer dans son appartement. Je fais un pas, mais Jean fait claquer ses
doigts et me montre le sol.
Je ne comprends pas ce qu'il veut ou plutôt, je ne veux pas comprendre. Jean
tire sur la laisse pour m'obliger à me pencher. Je finis par me retrouver à quatre
pattes et je le suis ainsi au salon.
Il se laisse tomber dans un fauteuil et sort son sexe. Je n'ai pas besoin de
directives pour comprendre et j'ouvre la bouche pour prendre la queue que je
commence à lécher et à sucer. Après dix petites minutes, il me repousse et me
prend par le bout des seins.
- Alors, petite pute, tu as mérité une punition pour être en retard et surtout
pour avoir oublié tes accessoires.
- Je vous en prie, cela ne se reproduira plus, je vous le promets.
- Je suis sûr que tu n'oublieras plus, mais je dois te punir malgré tout.
- Ne me faites pas mal, je vous en supplie. Vous ne croyez pas que faire
venir votre voisin est déjà une punition ?
- Non ! Pas du tout, il était prévu de le faire venir aujourd'hui.
- Je vous en prie, je ne suis pas une putain, faites de moi ce que vous
voulez, mais pas votre voisin.
Jean se lève et prend la laisse pour m'entraîner vers la petite pièce où il m'a
torturée le mois dernier.
Cette fois, il me couche sur le ventre pour que je lui présente bien les fesses. Il
m'attache les poignets et les chevilles aux montants de la table. Il me caresse les
fesses et passe une main sur ma chatte qui est dégoulinante.
- T'es vraiment une salope, me dit-il en passant la main sur mon visage.
Je n'attends pas son ordre et je sors la langue pour lécher ma liqueur intime. Il a
raison, je suis une salope et j'attends avec impatience ce qu'il va me faire subir.
Il se recule et avant que j'aie compris ce qui se passe, un bruit sec suivi par une
violente douleur aux fesses me font me cabrer dans mes liens. Je n'ai pas le
temps de crier qu'un deuxième claquement et une autre douleur tout aussi
violente que la première me coupent le souffle.
- Arrhhgg ! Je… Vous… En… AArrhhgg ! Supplie… Arrêtez.
Mais rien ne semble pouvoir arrêter les coups qui continuent à pleuvoir sur mes
fesses. Je n'ai pas compté, mais j'ai l'impression que mes fesses sont en charpie
et que je ne pourrai plus m'asseoir avant longtemps.
- Ça, c'est pour avoir été en retard, me dit Jean.
Je suis en larme et je sens mon visage barbouillé de larmes et de sécrétions
nasales.
- Tu as encore droit à une punition, ajoute Jean en me détachant.
Il sort une petite chaîne d'une vingtaine de centimètres de long terminée à
chaque extrémité par un petit clip comme sur les boucles d'oreille.
- Le mois prochain tu n'oublieras plus ta laisse, car je veux que tu la mettes
chez toi. Tu prendras une capote que tu mettras sur la poignée et tu te
l'enfonceras dans la moule. Avant de mettre ta robe, tu placeras les clips
sur tes tétons. Tu as bien compris, petite pute ?
- Oui Jean !
Une gifle magistrale me projette sur le sol aux pieds de Jean.
- Monsieur Jean, me crie-t-il aux oreilles. Pour toi je suis monsieur Jean.
- Bien monsieur Jean ! Excusez-moi.
Il veut attraper la laisse, mais juste à ce moment-là, la sonnette de la porte
retentit.
- Je crois que c'est notre ami Adrien qui arrive.
Je reste à genoux en attendant le retour de Jean et de son voisin.
Il me fait avancer vers son visiteur et me tord le bout d'un sein.
- Allez petite salope, présente-toi à mon ami Adrien, il est impatient de faire
connaissance avec ton corps.
Je me traîne vers Adrien et je baisse la tête pour ne pas croiser le regard qui doit
être méprisant même s'il a envie de me baiser. C'est un homme qui doit bien
avoir dans les soixante ans, il est gris blanc et légèrement bedonnant.
- Je m'appelle Charlotte et je…
Je ne sais pas quoi dire, j'ai peur de ne pas dire ce qu'il faut et de fâcher Jean
qui a repris son bambou et vient me tapoter les fesses qui sont encore en feu de
la punition.
- Dis-lui que tu es une pute, et que tu est là pour ouvrir tes cuisses ....
- Je…
Une petite tape sur les fesses m'encourage à débiter le petit laïus que vient de
me souffler Jean.
- Je suis une salope et une pute et je vais vous ouvrir mes cuisses, j ai la moule qui me démange.
Adrien avance une main vers ma tête et m'agrippe les cheveux. Il a ouvert son
pantalon et pousse son sexe raide vers ma bouche. Je ferme les yeux et laisse la
queue entrer entre mes lèvres.
L'habitude reprend ses droits et je commence à sucer et à lécher la tige de chair
qui ne tarde pas à trémousser sous les coups de langue. Adrien veut autre chose,
ma chatte et il se retire de ma bouche et me pousse vers la table où je me
couche sur le dos. Pendant que Jean m'attrape les bras pour les attacher aux
bracelets, Adrien présente sa queue à ma fente, mais au moment où il va
introduire son membre en moi Jean le repousse.
- Holà ! Mon joli, on peut troncher madame autant qu'on en a envie, mais on
sort couvert. La capote !
- Mais je n'ai pas le sida !
- Ça, c'est toi qui le dis, tu veux la baiser, tu mets un préservatif, il y en a
dans le tiroir de la table.
Je suis soulagée que même dans ce genre de situation, il y en a qui pense aux
protections d'usages. Adrien va vers le côté droit de la table et ouvre un petit
tiroir d'où il sort un préservatif qu'il enfile prestement sur son pénis, puis il vient
se planter dans ma chatte baveuse de désir et commence à se démener comme
un forcené en me tripotant les seins.
Il jouit très vite et Jean commence à s'occuper de ma petite personne. Il a repris
ses fameux élastiques et quand je le vois approcher de ma poitrine en les
ouvrant au maximum, je ne peux me retenir de geindre et de le supplier.
- Non ! Je vous en prie, monsieur Jean, ne faites pas ça, en plus de faire
mal, ça laisse des marques qui ne partent pas en moins d'une semaine.
- Ma beauté, je m'en fous royalement, tu es là pour satisfaire mes envies et
j'ai bien l'intention de profiter de ce qu'on me donne en compensation de mon loyer.
Je me rends compte qu'il est inutile de discuter, de toute façon je n'ai pas
vraiment le choix puisque je suis attachée à la table.
Pendant que jean s'affaire sur mon sein droit qu'il essaye de faire entrer au
centre de l'élastique, Adrien à retirer son préservatif et vient le vider sur mon
ventre. Je frissonne de dégoût, mais je n'ai pas le temps de m'appesantir sur la
question, Jean commence à me faire très mal avec son élastique.
Comme le mois passé, mes seins deviennent deux boules bien rondes sur mon
torse. Adrien est fasciné par ce spectacle et s'amuse à faire danser mes nichons, ce
qui augmente encore la douleur. Je ne crie pas, je me contente de gémir.
Puis, ce sont les petits tubes qui entrent en action et je me retrouve avec des
mamelons étendus et la même chose pour le clitoris.
Les deux hommes se font encore sucer une fois avant de me conduire chez
François. Cette fois, c'est Adrien qui tient la laisse pour me faire traverser le
pallier. C'est étrange comme on s'adapte très vite aux circonstances, cette fois,
je n'ai pas peur d'être vue par une tierce personne puisque c'est le voisin de
François qui sonne à la porte de son appartement en me tenant en laisse.
Comme le mois passé, j'ai la quittance enfoncée dans la chatte, et les tubes sont
encore en place sur mes seins et mon ventre.
François nous fait attendre longuement avant de venir ouvrir la porte, il paraît un
peu surpris de me voir en cet accoutrement, manifestement il ne croyait pas que
je reviendrais aussi vite.
- Merci, monsieur Rallec, j'espère que vous avez passé un agréable moment
avec Charlotte ?
- Ho ! Oui, j'espère que vous m'en ferez encore profiter.
- Bien sûr, dès le mois prochain quand elle reviendra chez Jean, elle sera à
votre disposition.
Il prend la laisse en main et me fait entrer dans son appartement. Dès que la
porte est fermée, je n'attends pas son ordre et me laisse tomber à genoux en
croisant les poignets dans le dos. Il continue à tirer sur la laisse et je me mets à
quatre pattes pour le suivre dans son salon.
Une voix féminine me cloue sur
place.
- Houla la, François, tu m'épates, la belle Charlotte, à poil et tenue en laisse comme
une chienne.
Ce n'est pas possible, je connais cette voix. Je lève les yeux pour croiser ceux de
Valérie la sœur de Jacques et ma meilleure amie.
- Si j'avais su, je serais venue plus tôt, ajoute la jeune femme. J'ai souvent
rêvé de voir une femme traitée de cette manière, mais je n'aurais jamais
osé espérer que ce soit la belle et vertueuse Charlotte, la femme parfaite.
Je voudrais trouver un trou de souris pour m'y réfugier. La honte me submerge
et je sens de grosses larmes se presser à mes yeux. L'humiliation est encore pire
que d'être offerte comme une putain à Jean ou Adrien. Je sais qu'il est trop tard,
mais je voudrais faire un retour en arrière et avoir décidé de rester chez moi ce
matin.
Il me faut un certain temps pour enregistrer que Valérie est nue elle aussi. Elle
est donc la maîtresse de François, elle ne m'a jamais dit qu'elle avait envie de
coucher avec lui. Il faut dire que je ne lui ai jamais avoué que je couchais avec
les trois mousquetaires depuis mon voyage de noces.
La jeune femme se lève et vient prendre la laisse des mains de François.
- Allez petite chienne, avance et vient montrer comme tu es belle ainsi à ta
maîtresse.
Les larmes continuent de couler sur mon visage tandis que je suis mon amie vers
le fauteuil où elle s'installe. Elle me fait mettre à genoux et joue un moment avec
les tubes qui pendent toujours à mes seins et à mon clitoris.
- C'est fabuleux de voir tes tétons aussi longs, ça fait mal ?
Je renifle avant de lui répondre.
- Sniff! Non, ce sont les élastiques qui font le plus mal.
Valérie me secoue les mamelles et constate que je serre les dents pour ne pas crier.
François vient s'asseoir près de mon amie et s'amuse lui aussi à me faire souffrir
avec mes seins.
- Elle est magnifique ainsi, non, demande-t-il à Valérie ?
- Je ne dirais pas qu'elle est magnifique avec ses nibards en boule, mais je
suis ébahie de la voir supporter ça comme si c'était normal. Tu peux
m'expliquer comme on fait tenir les tubes ?
- Rien de plus facile, il suffit de faire le vide avec une pompe dans les tubes,
plus tu retires de l'air et plus cela aspire le téton ou le clitoris.
- Tu crois qu'on pourrait encore les allonger un peu ?
François sourit à cette idée.
- Oui! C'est possible, mais malheureusement je n'ai pas de pompe ici, elle
est chez mon propriétaire. C'est surtout lui qui aime ce genre de chose.
Valérie semble réfléchir quelques secondes puis elle se décide.
- Va chercher la pompe, m'ordonne-t-elle.
- Tu veux…
Une gifle et je me retrouve les quatre fers en l'air. Je me frotte la joue et regarde
Valérie sans comprendre pourquoi elle m'a giflée.
- Non, mais, tu ne t'imagines pas que nous allons rester amie après ce que
tu viens de me montrer de ta personne ? Pour moi tu n'es plus qu'une
chienne et tu dois me vouvoyer et m'appeler « madame », compris ?
- Bien madame !
C'est tout ce que je trouve à lui répondre. Ma vie vient encore de basculer, ma
meilleure amie me traite comme une moins que rien. Le pire c'est que je suis
certaine que je vais aimer ça.
- Alors, me dit-elle sèchement, j'attends.
- Mais je ne vais pas aller toute nue chez monsieur Jean ?
François se met à rire.
- Ha ! Ha ! Ha ! Tu es impayable, je te signale que nous sommes au
troisième étage d'un immeuble qui en compte trois et que les trois
hommes qui habitent cet étage, t'ont ouvert les cuisses et limée comme une grosse pute. Alors, arrête
avec ta pudeur à deux balles.
Je dois convenir qu'il n'a pas tort. Je me lève et me dirige vers la porte de
l'appartement. Malgré tout, j'ai un petit pincement au cœur quand je passe le
seuil pour traverser le pallier et sonner chez Jean. Il ne me fait pas attendre trop
longtemps et semble ravi de me voir.
- On en veut encore, me demande-t-il d'une voix enjouée ?
- C'est madame Valérie qui demande pour avoir la pompe à vide, elle veut
allonger encore plus mes tétons.
Jean me fait entrer dans son appartement et referme la porte derrière moi. Je le
suis jusqu'à la petite salle de torture. Il prend la pompe et me la tend, je veux la
prendre, mais il la reprend prestement.
- Ma beauté, il va falloir payer pour avoir la pompe.
- Mais je n'ai pas d'argent, que voulez-vous de moi ?
- Fais-moi une bonne pipe et tu peux repartir avec la pompe.

Je sais qu'il est inutile de discuter et je me laisse tomber à genoux face à
monsieur Jean qui a déjà sorti son sexe. J'ouvre la bouche et entreprends de le
faire jouir. Comme toujours, je suis étonnée de voir la quantité de sperme que
cet homme peut sortir en une demi-journée. Je suis obligée d'avaler en trois fois
ce qu'il me crache dans la bouche avant de nettoyer son sexe et prendre la
pompe.
Il me suit vers la sortie et m'arrête juste au moment où je vais ouvrir la porte.
- J'oubliais, la prochaine fois que tu viens chez moi, je veux que tu sois lisse
comme une petite fille entre les jambes.
Il me tend une carte de visite.
- Tiens, tu peux te présenter de ma part, elles sauront quoi faire pour me
satisfaire.
- Bien monsieur Jean, merci.
Je dois à nouveau traverser le pallier et sonner chez François. C'est Valérie qui
vient m'ouvrir. Elle a passé une robe de chambre de François, elle prend la laisse
et je me mets immédiatement à quatre pattes pour la suivre au salon.
François à dégager la petite table de salon et mon amie me fait coucher sur le
dos, les mains tenant les pieds de la table pour bien offrir mes seins. Dès qu'elle
branche la pompe sur un des tubes, l'air entre et le tube se détache de mon
téton. François lui montre comment remettre le tube en place et la manière de
faire fonctionner la pompe. Elle étire mon téton pour qu'il soit au moins un
centimètre plus long que l'autre puis elle répète l'opération pour le deuxième
mamelon.
- C'est fantastique, dit-elle à François, il me faut la même pour quand cette
salope viendra me rendre visite.
François lui donne toutes les instructions pour se procurer les tubes et la pompe.
Ils s'amusent encore une bonne heure avec mon corps avant de me permettre de
me rhabiller pour rentrer chez moi. Je dois encore sucer François et avaler sa
liqueur, mais Valérie n'ose pas me donner sa chatte à lécher. Par contre elle me
demande de la reconduire chez elle.
Nous sortons de chez François comme deux amies, bras dessus bras dessous.
Elle attend que nous soyons dans la voiture pour me poser quelques questions
auxquels je tente de répondre honnêtement.
- Je peux te poser une ou deux questions ?
- Je vous en prie.
- Tu peux me tutoyer, j'ai dit ça dans un moment d'excitation extrême.
Elle semblait s'excuser de m'avoir, dans un moment de tension, rabaissée.
- Je vous en supplie, ne vous excusez pas. Je ne sais comment vont évoluer
nos relations à l'avenir, mais je suis sûre d'une chose c'est que nous ne
pourrons plus avoir des relations amicales comme avant. Vous m'avez vue
en chienne et c'est ainsi que vous me verrez dorénavant, on n'y peut rien.

Valérie me regarde un long moment avant de se décider à me poser sa première
question. J'aimerais qu'elle me dise que je me trompe sur elle, mais son silence
me réconforte dans mon opinion quant à notre amitié.
- Je voudrais savoir si tu aimes ce qu'ils te font subir.
Je pourrais prendre mon temps pour répondre, mais je juge que c'était inutile de
tergiverser.
- Oui! J'aime ce qu'ils me font. Je croyais pouvoir échapper à l'emprise de
cette chose immonde qu'est l'abandon de soi, mais François m'a ouvert un
chemin que je ne peux que suivre même si je trouve cela abject et
dégradant.
C'est vrai que je ne peux plus résister à l'envie de me donner comme une vraie
chienne. Je sais que je vais me remémorer toutes les situations que j'ai vécues
cet après-midi et que je devrai me faire violence pour ne pas courir aux toilettes
ou dans ma chambre pour me donner du plaisir.
- Tu as découvert ces plaisirs comment ?
- Par François pendant mon voyage de noces.
- Pendant ton voyage de noces ! Tu as couché avec un autre homme alors
que tu venais de te marier ?
- En réalité, Pierre avait invité ses amis à venir faire un tour à Venise alors
que nous étions en voyage de noces…
Et je lui raconte comment j'en suis arrivée à coucher avec les trois
mousquetaires et ce que j'ai ressenti, comment cela s'était passé et le reste. Je
lui ai alors expliqué que depuis notre retour cela continuait pour le plus grand
plaisir de mon mari et du mien par la même occasion, mais que j'avais voulu
explorer plus avant le monde fascinant de la soumission avec François et qu'elle
avait vu les premiers effets.
- Tu pourrais tout arrêter quand même ?
- Probablement, je n'en sais rien. La première fois François avait parlé d'un
mot de sécurité, je suppose qu'il est toujours d'application, mais je n'ai
pas encore ressenti l'envie de l'utiliser.
- Donc, si je comprends bien, tu ne veux pas arrêter ?
- Non ! C'est devenu comme une drogue, je ne peux plus m'en passer.

Je ne sais comment lui faire comprendre ce que je ressens quand on m'humilie.
Comment lui expliquer le plaisir extrême que j'ai ressenti quelques heures plus
tôt quand monsieur Jean m'a obligé à me retourner pour montrer mon corps à
Adrien ? Je crois que c'est impossible, j'essaye pourtant.
- Vous savez, ce que je ressens c'est plus un plaisir cérébral qu'un plaisir
physique. Par exemple, cet après-midi, monsieur Jean m'a imposé de
rester devant sa porte complètement nue pendant qu'il attendait son
voisin puis j'ai dû me retourner pour qu'il puisse me regarder à son aise.
Et bien, dans ma tête, le plaisir a été aussi intense que s'il m'avait fait
jouir en jouant avec mon clitoris ou en me baisant. Je dirais même que
c'est beaucoup plus intense que de jouir.
Quand votre corps ressent du
plaisir, c'est éphémère tandis que quand c'est votre tête, c'est presque
permanent. Jouir cela dure dix secondes tandis que mon plaisir dure lui
aussi longtemps qu'on s'occupe de moi.
Manifestement, elle ne comprend pas vraiment et je ne sais pas comment lui
faire comprendre ce que je vis quand je passe entre les mains de monsieur Jean,
tant pis.
- Tu jouis aussi quand même ?
- Oui! Souvent même. On me touche le ventre ou les seins et mon corps
s'enflamme.
- Vu l'état de tes fesses, je présume que tu as été fessée avec une cane ou
quelque chose de ressemblant. Tu as pris aussi du plaisir à te faire battre ?
- Oui! À chaque coup, je jouissais dans ma tête même si mon corps
souffrait.
Elle est étonnée de m'entendre parler de cette manière, il est vrai que nous nous
connaissons depuis la maternelle et que je lui ai toujours donné l'image d'une
jeune femme indépendante et bien dans sa peau. J'étais comme ça, mais je ne le
suis plus. Je suis devenue une droguée en manque permanent, je veux tout
essayer, mais les choses les plus abjectes ou les plus pénibles. Quoi qu'on exige
de moi, je suis prête à le faire sans même me poser la question de savoir si cela
va me plaire ou non, mais je sais que ma tête va suivre même si mon corps a
mal.
- Tu pourrais passer chez moi demain, me demande Valérie ?
Décidément, elle ne comprend vraiment rien, au lieu d'exiger ma présence chez
elle, elle est prête à supplier pour que je vienne la rejoindre.
- Vous n'avez pas bien compris qu'il ne faut rien me demander, mais
simplement me dire ce que je dois faire, à moi de me débrouiller pour faire
ce qu'on exige de moi.
Valérie me regarde un long moment puis semble se décider.

- Bien ! me dit-elle, alors je veux te voir chez moi demain matin neuf
heures. Tu seras en tenue de chienne.
- Bien madame, j'y serai.
Nous sommes arrivées devant chez mon amie qui se penche vers moi comme
pour m'embrasser, mais, au dernier moment elle se contente de mordiller mon
sein droit au travers de ma robe.
- À demain ma salope.
- À demain madame.
Je rentre chez moi et comme les autres fois, je me dirige directement vers la
salle de bain pour prendre une longue douche bien chaude avant le retour de Pierre

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Super

Histoire Libertine
Je m’en fous on est en république même si par certains cote on est en dictature à cause de leur politiquement correct de merde et leur wokisme je donne mon avis. Point.

Ça vous convient ou pas c’est pareil. C’est le même tarif.

La chipie

Histoire Libertine
Mon cher Blois on est en republique donc je donne mon avis ne vous en deplaise , c'est 1 site d'histoire erotique publique donc vous n'avez strictement rien le droit de critiquer !!!!

La Chipie, je n'habite pas la République française

Histoire Libertine
Oui je connais mais je ne cautionne pas l’idée surtout de prétendre que des femmes ont ce fantasme la.

On est en république j’ai encore le droit de donner mon avis.

La chipie

Histoire Erotique
La Chipie, égale à elle-même, toujours à militer pour les femmes, pas seulement sur HDS, elle en oubli que beaucoup de fantasmes ne sont que des fantasmes. Elle est dans le médical et voie, sûrement, des femmes en galère, le mieux c'est de l'ignorer.
Blais (80 ans)

La chipie, j'ai bien écrit viol simulé, vous connaissez la différence,entre un vrai viol, et un jeu de rôle mit en place ?

Histoire Libertine
Ah non le fantasme du viol la c'est meme pas la peine de fantasmer sur 1 mec qui va enfiler 1 balais dans le cul comme ça a été le cas à 1 gamine ou 1 autre gamine qui a été violée et mise enceinte.

Que vous vous fassiez descendre par tous sauf le TGV c'est 1 chose mais n'allez pas écrire des inepties pareille.

Allez demander à l'association AIVI qui s'occupe en France et dans le monde ce que pensent les personnes violées et vous verrez que ce fantasme ne fait pas parti de leur interet !!!!

La chipie

Un peu cringe la fermture d'esprit de certains lecteurs.rices.

Jacque Canada, nous les femmes avons peut-être des fantasmes que vous ne comprenez pas, beaucoup d'entre nous aiment être bousculée, faite un sondage sur Google, et voyer les pourcentage de femme qui aime les jeux de rôle de l'esclave, de la soumise, ou encore du viol simulé

Ouf! , ma chère Charlotte! Je suis rassuré et content de voir votre vrai visage.

Voyez-vous, les feux de l’amour, j’aime beaucoup mieux les vivre que de les regarder. Il semblerait d’ailleurs, de ce que j’ai entendu dire, que je ne donne pas ma place dans ces jeux.

Ecrire ce qui n’est pas acceptable? Ça dépend des auteurs Charlotte. Tout le monde en ont pour leurs petits goûts particulier.

De mon côté par contre j’ai beaucoup de difficulté à accepter la violence, surtout la violence faite aux femmes. J’aime trop les femmes pour les considérer comme êtres humains de dernière classe. Je trouve que les femmes méritent, et de loin, la première place dans l’évaluation de l’ensemble des qualités de l’être humain.
Vous comprenez donc ma réaction a votre récit.

Je suis content Charlotte de vous connaître un peu plus.

Jacque Canada, connaissez-vous la différence entre un récit, et la vraie vie ? on se calme, ce n'est qu'une histoire, vous êtes du style à regarder les feux de l'amour en croyant que c'est une téléréalité vous ?
le but d'écrire et justement de pouvoir exprimer ce qui n'est pas acceptable dans la vie véritable

Je viens de lirez vos récits. J’ai lu le premier avec intérêt jusqu’à votre voyage de noce. Pas beaucoup de lu vous allez dire. Bien oui, pas beaucoup. Le reste du premier récit ainsi les deux autres suivants je les ai lu de billet. Il faut dire que la mal traitance aux autres m’indispose, je n’aime pas.
Lorsque je lis que vos partenaires sexuelles vous traitent de chienne je ne les trouve pas vraiment sincère. Même les chiens ne traitent pas leurs chiennes de cette façon. Qu’un chien s’essaie pour le fun! Il va aussitôt se faire bouffer les couilles par sa chienne si pourtant désirée.

Premièrement je me demande pourquoi vous avez épousée Pierre. Je n’ai lu aucun chapitre nous démontrant l’amour que vous avez l’un pour l’autre. En tout cas pas le même amour que l’être humain considéré comme normal démontre à l’amour de sa vie.
Vous conviendrez avec moi qu’offrir sa femme à ses amis n’est pas vraiment fréquent dans l’unions matrimoniale. Le fait d’accepter d’y aller non plus d’ailleurs. Entre vous et moi, je suis certain que votre union ne sera qu’éphémère et qu’à la fin elle vous laissera un goût tres désagréable dans votre bouche.
Suite à ce que j’ai lu je trouve que pour agir ainsi il faut manquer de personnalité. Vous n’avez plus de respect pour vous-même. Même votre meilleur amie ne vous reconnaît plus. Elle-même ne vous respecte plus.
De plus ma chère charlotte vous conviendrez avec moi que votre protection lors de vos accouchements laisse vraiment à désirer. Ne serait-ce pas dommage que vous sortiez de cette aventure avec certaines bibittes qui vous empêcheraient d’épanouir d’avantage votre sexualité et peut-être même raccourcir votre vie.
Concernant vos réponses aux commentaires reçus, c’est écrit dans le ciel que votre expérience de vie pourrait ne pas convenir à tous. Si vous ne voulez pas avoir de commentaires que vous considérez désagréables il suffit seulement de changer juste un petit peu votre récit pour l’adapter à tous les lecteurs.
D’ailleurs ma chère Charlotte vous acceptez des sobriquets plus désagréables de vos partenaires que ceux de vos lecteurs. Je ne vois pas pourquoi vous offusquer, vous êtes habituée a des traitements beaucoup plus humiliants .
Je considère que cette partie de votre vie est une pure perte de temps et que plus tard vous regretterez sincèrement. Je vous souhaite de divorcer, de mettre un point final à votre expérience actuelle et de vous dirigez vers un avenir beaucoup plus prometteur.
Même si vous ne me connaissez pas, votre jugement vous informera que je ne suis pas anonyme donc prenez ce commentaire de la part de quelqu’un qui vous veut vraiment du bien.

Histoire Libertine
On dirait 1 belphegor à poil !!!! LOL

Histoire Libertine
Bouffonne non je suis réaliste.
En attendant pour 1 gonzesse qui se fait tringler par toute les bites tu es bien tendu dis donc !!!
Comme quoi tu niques mais tu ne supportes pas la critique !!!
Continue à t’énerver ça m’amuse jadooore. 🤣😂🤣

Histoire Erotique
Je trouve tes récits très excitants! Sincèrement, j'aurai bien aimé être un voisin!!!! Continue d'écrire, et ne t'occupes pas des mauvais avis! Si c'est pour écrire des méchancetés, ce n'est pas la peine d'écrire quoi que ce soit! Après, pour celles qui n'aiment pas ( à moins que ce soit de la jalousie), il y a d'autres façon de le dire...

Bah alors arrête d'emmerder le monde, on te force ps lire les récit ici, t'est incapable de mettre un commentaire positif, t'est une frustrée de la vie ou quoi ? retourne sur ton site et vient plus nous faire chier bouffonne

Histoire Libertine
Ah si j’ai écris sur 1 autre site et toc dans tes dents de chieuse. 😂🤣

Tu ponds des récits sur 1 site public ne t’attends pas à ce que tout le monde te baise les pieds petite peste. 🤦‍♀️

Signe ça change quoi rien au final on s’en fout c’est 1 site ce n’est pas réel. 🤷‍♀️

Pas d'accord avec l'avis du dessus. C'est très bien et mieux écrit que 90% des autres histoires. Il faut continuer :)

Lectrice, avez-vous essayé de lire la vie sexuelles des Bisounours ?
Où sont vos récits ? pour qu'on puisse y foutre la merde dessus aussi ? personnellement, je trouve que quand on n'est pas capable de signer ces commentaires, on ferait mieux de FERMER SA GRANDE GUEULE DE MERDE!!!!, espèce de petite branleuse de chatte qui n'a rien d'autre à foutre que d'emmerdé le monde.
Sur chaque récit, de n'importe quels auteurs, il faut toujours que tu l'ouvres, mais ne t'est pas foutu d'en pondre un toi-même.

Histoire Libertine
Ah non se prendre des gifles au point que la tête heurte le sol c’est 1 enculerie.

Décidément écrire de la merde ça vous plaît.



Texte coquin : les cinq doigts de la main 3
Histoire sexe : Une rose rouge
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