les cinq doigts de la main 4
Récit érotique écrit par Charlotte-la-salope [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-05-2024 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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les cinq doigts de la main 4
Après ma douche je reste en robe de chambre pour attendre mon cher et tendre
qui arrive avec une bonne demi-heure de retard.
Il est passé chez François qui lui a fait le récit détaillé de ma visite chez lui. Il est
donc au courant pour Valérie.
À peine entrer, il m’enlève la robe de chambre et me plaque contre le mur pour
m’enfoncer son engin dans la chatte. Il est tellement excité qu’il jouit presque
directement. Je sens son sexe ramollir et sortir lentement de ma chatte.
Instinctivement, je m’agenouille pour prendre sa queue raplapla en bouche et je
la nettoie consciencieusement comme François me l’a appris. Je sens son sperme
couler le long de mes cuisses et tomber sur le sol. Je ne sais pas ce qui me
prend, mais, dès que le sexe de Pierre est de nouveau propre, je me mets à
quatre pattes et me penche sur les taches de sperme que je lèche sous le regard
ébahi de mon mari.
- Tu deviens une sacrée salope, me dit-il.
- Tu n’aimes pas ?
- Si, mais je crois que ça commence à me dépasser un peu.
Quand j’ai récupéré le sperme sur le sol, je remets ma robe de chambre et cours
à la salle de bain prendre une douche avant de revenir à la cuisine préparer le
repas du soir.
Nous passons une petite soirée en amoureux, couché tous les deux sur le divan
en regardant un bête film à la télé.
Avant de nous mettre au lit, Pierre me met de la pommade sur les seins, mais
cela ne nous excite pas et nous nous embrassons avant de nous endormir
comme des bienheureux.
Quand j’ouvre les yeux, mon mari est déjà levé et prend son petit déjeuner dans
la cuisine. Je resterais bien au lit encore, mais j’ai rendez-vous chez Valérie pour
neuf heures et je tiens à être à l’heure.
Je me lève et rejoins Pierre à la cuisine.
Après une bonne douche, je prends le collier et la laisse que je mets autour de
mon cou. J’hésite un moment et finis par me décider à prendre la petite chaîne
de monsieur Jean et ferme les clips sur mes tétons. J’ai un peu mal au début,
mais cela devient très vite supportable. À près avoir passé une petite robe assez
large pour ne pas montrer au monde la laisse et la chaîne, je prends mon sac à
main et sors.
Il me faut à peine un quart d’heure pour être devant chez mon amie. Je suis en
avance et je ne sais si je dois aller sonner. Je préfère attendre qu’il soit l’heure
pour la déranger, cela me permet de me rendre compte qu’il y a beaucoup de
passage devant la porte de sa maison. Même si elle m’ouvre la porte tout de
suite, il y aura au minimum trois personnes qui vont me voir à poil, mais il ne me
vient même pas l’idée que je pourrais garder ma robe.
Il est l’heure et je sors de la voiture et me dirige d’un pas décidé vers le perron
de Valérie. Je pousse sur le bouton de sonnette et rapidement j’enlève ma robe
que je place dans mon sac avant de me tenir bien droite indifférente aux coups
de sifflet d’hommes qui passe sur le trottoir.
Je suis morte de honte et je pousse un soupir quand j’entends la porte s’ouvrir.
Je pourrais me précipiter dans le couloir d’entrée, mais il faut à Valérie un certain
temps pour réaliser que j’ai osé me présenter nue chez elle.
Elle se décide enfin à prendre la laisse pour me faire entrer et je la suis au salon
où elle a préparé de petits gâteaux et du café. Cette fois, c’est moi qui suis
abasourdie.
La jeune femme fait semblant de rien et m’invite à m’asseoir.
- Assois-toi ! Tu veux une tasse de café ?
- Heu ! je…
Je ne sais vraiment pas comment me comporter, j’ai un moment l’envie de
retirer la chaîne entre mes seins et remettre ma robe, mais je finis par décider
de rester nue.
Je prends place dans un fauteuil et accepte la tasse de café de Valérie.
- Heu ! Oui, pourquoi pas ! vous êtes sûre que….
- Tout à fait ma chérie ! Tu veux quoi comme gâteau ? Un moka ? Une
brioche ?
- Non merci, juste une tasse de café.
Pendant plus d’une heure, nous discutons de choses et d’autres. La scène doit
être surréaliste ; deux jeunes femmes discutant tranquillement en prenant une
tasse de café dont l’une est à poil avec un collier, une laisse et une
petite chaîne qui relie ses mamelons.
Pourtant, mis à part que je continue à vouvoyer Valérie, nous avons une
conversation comme si nous étions toujours les meilleures amies du monde. J’en
viens même à reprendre le tutoiement sans qu’elle réagisse. Un moment, elle se
lève et me prend la main.
- Viens, me dit-elle tendrement.
Je la suis jusque dans sa chambre. Je me demande ce qu’elle veut vraiment et
mon cœur s’emballe à la pensée qu’elle va vouloir que je lui donne du plaisir.
N’ayant jamais couché avec une femme, je me demande comment cela va se
passer.
Elle me fait tourner comme si nous dansions le Rock et m’attire contre elle. Je
fais une légère grimace, car elle vient de réveiller la petite douleur des tétons qui
sont toujours emprisonnés par les clips.
Doucement, elle retire les clips puis défait le collier de mon cou et me pousse sur
le lit. Pendant que je me masse les seins pour faire passer la douleur, elle se
place devant le grand miroir de la garde-robe et je le regarde ébahie mettre le
collier à son cou. Elle se regarde longuement en se tournant de droite à gauche
puis elle commence à défaire les boutons de son chemisier. Très vite elle est nue
devant moi et je la trouve encore plus belle avec la laisse qui lui pend entre les
seins.
Valérie revient vers le lit et attrape la chaîne avant de retourner vers le grand
miroir. Elle ouvre le premier clip et le referme sur son mamelon droit avant de
faire de même avec l’autre mamelon. Je la vois serrer un peu les dents puis elle
avance vers le côté du lit et se met à genoux.
- Montre-moi ce que te fait monsieur Jean, me dit-elle d’une voix sourde.
Je me penche vers elle et lui prends le menton pour redresser sa tête.
- Impossible, lui dis-je, je ne suis pas un homme, il me manque un
accessoire entre les cuisses.
- Fais semblant!
- Je ne pourrai pas faire semblant.
Elle semble dépitée.
- Alors, laisse-moi te donner du plaisir.
Elle avance une main vers mon corps allongé sur le lit et commence à me
caresser. Doucement, je repousse sa main.
- Non, enlève tout et vient me rejoindre sur le lit, nous allons essayer
ensemble.
Valérie hésite une bonne minute avant de faire ce que je lui demande. Je lui
ouvre les bras quand elle monte sur le lit.
Commence alors une sarabande de caresses et de baisers fougueux et
passionnés. Nos langues se mélangent et nos doigts partent à la découverte du
corps de l’autre. Les langues lèchent toutes les parties du corps qui arrivent à
leur portée et bientôt nous nous retrouvons tête-bêche, chacune la tête entre les
cuisses de l’autre. Les doigts, la bouche et la langue s’activent sur la chatte et le
petit bouton qui devient raide et sort de son abri pour se trémousser sous les
coups de langue.
Nous passons un long moment à nous donner du plaisir, mais il n’a aucune
commune mesure avec le plaisir que je ressens quand je vais chez François ou
son proprio, c’est plus le plaisir que donne Karim. C’est doux et tendre, mais ça
ne provoque pas de poussée d’adrénaline qui fait exploser le ventre sous le
plaisir. Évidemment je ne sais pas si c’est la même chose pour Valérie, mais, à
voir son corps alangui, je suppose qu’elle non plus n’a pas vécu l’après-midi de
sa vie.
- On recommencera, me demande Valérie ?
- Oui! Quand tu veux.
Je manque de conviction et j’en suis désolée, mais je ne veux pas lui mentir. J’ai
passé un bon moment, mais sans plus, rien d’extraordinaire.
- Toi non plus tu n’as pas trouvé ça génial, demande mon amie ?
- C’était bon, mais rien de révolutionnaire. Si je dois choisir entre ça et une
après-midi chez monsieur Jean, y a pas photo, c’est monsieur Jean qui
gagne haut la main.
- Tu voudras bien m’emmener chez monsieur Jean la prochaine fois que tu
iras ?
Là, je suis sciée. Je suis venue chez elle pour y être maltraitée et humiliée et elle
me demande de la conduire chez un type qui va s’amuser avec son corps sans se
préoccuper de son plaisir.
- Tu te rends compte de ce que tu viens de dire ?
- Oui! Je ne pense qu’à ça depuis hier soir.
Elle se lève et reprend le collier et la laisse qu’elle remet à son cou. Elle ouvre le
tiroir de sa table de nuit et en sort trois petits tubes en verre et la pompe à vide
qui va avec.
- Mets-moi les tubes, me dit-elle en me les tendant.
Je ne sais pas pourquoi, mais je suis tentée de refuser, il faut que je réfléchisse
calmement et pour gagner du temps, je lui fais remarquer qu’il manque un
accessoire.
- Tu as oublié les élastiques pour mettre autour des seins.
Elle sourit et se penche vers sa table de nuit et sort une pochette plastique
contenant une bonne vingtaine d’élastiques.
- Je n’ai rien oublié, me répond-elle en me tendant la pochette.
Là, je suis obligée de faire ce qu’elle veut, le problème c’est que je ne sais pas
comment procéder. Je n’aime pas le rôle qu’elle veut me faire tenir, j’aime être
la victime et pas le bourreau.
- Viens, me dit-elle en me prenant la main, suis-moi.
Valérie me conduit dans une pièce où elle a placé une table avec des cordes à
chaque pied. Elle se couche sur la table et écarte les bras et les jambes pour me
faciliter la tâche de l’attacher. J’ai les mains qui tremblent tandis que je fais des
nœuds autour de ses poignets et de ses chevilles, je ne suis vraiment pas à mon
aise.
Elle me regarde calmement et m’encourage.
- Vas-y, je sais que tu as difficile, mais fais le pour moi.
J’ouvre la pochette d’élastiques et j’entreprends de faire glisser le globe
mammaire droit de 90C de Valérie dans l’élastique. Je dois m’y reprendre à trois fois
avant de voir enfin le nichon enserrer par l’élastique. Je n’ai pas réussi à le placer
aussi loin que monsieur Jean, mais c’est mieux que rien. Je fais la même chose
sur sa mamelle gauche pendant que Valérie grimace un peu tandis que je lui maltraite
les seins.
Mes mains tremblent tandis que j’entreprends de placer les tubes de verre. Je
dois recommencer deux fois la fixation de la pompe sur le premier tube que je
place sur son mamelon droit. Je suis effarée de voir le petit bouton de chair
s’agrandir et prendre de plus en plus de place dans le tube. Valérie grimace un
peu et ses seins deviennent très vite rougeâtres à cause des élastiques.
Quand les trois tubes sont mis, je regarde mon amie et je souris pour la
première fois depuis une bonne heure que je travaille son corps. Juste comme
ça, pour vérifier, je passe un doigt entre les lèvres de sa chatte et je suis ébahie
de sentir l’humidité qui coule sur mon doigt.
Sur une impulsion, je sors de la pièce et vais dans la chambre de Valérie pour
fouiller sa table de nuit. Je ne suis pas déçue par ce que j’y trouve ; un gode de
bonne taille que je m’empresse de prendre.
De retour près de mon amie, je lui montre le leurre et viens le lui présenter à la
bouche.
- Suce, lui dis-je en enfonçant l’engin dans la bouche.
Sans se faire prier, elle ouvre la bouche et commence à sucer la queue de
plastique comme si c’était le sexe d’un homme.
D’une main, je caresse sa fente de plus en plus humide et y entre deux doigts
avant de prendre le gode et de l’enfoncer d'un coup sec au fond dans son ventre. Je le fais
aller une dizaine de fois avant de la voir se cabrer dans ses liens et me demander
d’aller plus vite et plus à fort en elle.
- Plus vite ! Je sens que je vais jouir, enfonce le plus loin, tu dois savoir le
faire avancer encore un peu.
Elle est déchaînée et se trémousse comme une furie pendant que je continue
mes mouvements de va-et-vient dans son ventre. Elle bouge tellement que j’ai
de plus en plus difficile de continuer à faire aller le leurre en elle.
Brusquement elle se tend comme un arc et pousse un long gémissement avant
de se mettre à crier.
- Muuuhhhh ! Oui! Oui ! … C’est bon, ma salope, je vais jouir… Oui !...
ouuuuuiiiiii!
Aussi brusquement que cela à commencer, elle se laisse retomber sur la table et
reste un long moment sans bouger avec juste sa respiration que reprend petit à
petit un rythme normal.
Je pourrais la détacher, mais je la laisse ainsi pendant que je prends la carte que
m’a donnée monsieur Jean et mon portable. Je compose le numéro de la carte et
j’ai le cœur qui bat la chamade quand j’entends une voix féminine me répondre.
- Allo ! La maison de Claire, je vous écoute.
- Allo ! Je… vous… téléphone pour… enfin… C’est monsieur… Jean qui…
- Écoutez madame, calmez-vous, respirez un bon coup et racontez-moi
pourquoi vous avez composé mon numéro.
- Excusez-moi, mais j’ai difficile, c’est nouveau pour moi.
Je fais ce qu’elle me dit et je pousse un long soupir en vidant complètement mes
poumons de leur air. Puis je reprends ma respiration et je me lance.
- Voilà pourquoi je vous téléphone, c’est monsieur Jean qui m’a donné votre
carte. Il m’a dit de prendre rendez-vous chez vous que vous sauriez ce
qu’il y a à faire.
- Attendez ! Dites-moi qui est ce monsieur Jean ! je connais un tas de
monsieur Jean. C’est Jean comment ?
- Je n’en sais rien, il m’a juste donné votre carte et m’a dit de prendre
rendez-vous.
- Bon ! Soyez calme et posée. Vous avez une carte de mon établissement
que vous a donné un certain monsieur Jean. Dites-moi, comment il est ce
monsieur Jean ? Il est grand, petit, jeune ou vieux ?
J’essaye de me rappeler comment est monsieur Jean et je dois bien reconnaître
que je ne l’ai pas très bien regardé. Je ferme les yeux pour essayer de me le
représenter.
- Il doit avoir dans les quarante cinq ans, peut-être même cinquante. Il
n’est pas très grand, n’a presque plus de cheveux sur le crâne et à un petit
bedon.
- Bien on commence à réduire le champ d’investigation. Il habite où ce
charmant monsieur ?
- Il habite un immeuble dont il est propriétaire à la rue des Acacias et…
- Bien, je vois de qui vous voulez parler, c’est vrai que je lui ai donné ma
carte, il en a même plusieurs, mais c’est la première fois qu’il m’envoie
quelqu’un. Qu’est-ce que vous voulez ?
- Je ne sais pas, il m’a dit que vous sauriez ce qu’il veut et que je n’avais
qu’à me laisser faire. La seule chose que je sais, c’est qu’il veut que j’aie le
vagin et le bas ventre épilé, pour le reste il ne m’a rien dit d’autre.
Il y a un long silence de l’autre côté du téléphone et une petite musique me fait
patienter. Valérie en profite pour me poser quelques questions sur ce que veut
monsieur Jean. Après quelques explications sommaires, elle me demande de
prendre rendez-vous pour elle en même temps.
- Allo ! … Allo ?
- Oui! Excusez-moi je discutais avec mon amie qui voudrait elle aussi un
rendez-vous.
- Si je comprends bien, vous serez deux ?
- Oui! nous serons deux jeunes femmes.
- Pour le même traitement ?
- Oui! Je suppose !
- Ma petite, tu dois savoir ce que tu veux parce que nous avons retrouvé la
fiche de ton monsieur Jean et il y en a pour au moins trois heures si pas
plus. Je veux bien vous prendre toutes les deux, mais je dois savoir
maintenant pour que je prévoie le personnel ?
Je fais un signe à Valérie en lui montrant le mobile.
- Elle veut savoir si on veut toutes les deux le traitement de monsieur
Jean ?
- Oui! me répond mon amie.
Reprenant le téléphone je confirme à mon interlocutrice que ce sera le même
traitement pour les deux.
- Demain à douze heures et ne soit pas en retard.
Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle a raccroché. Je me tourne vers mon
amie toujours attachée sur la table.
— On a rendez-vous demain à midi pile chez elle.
Valérie me regarde les yeux un peu dans le vide, je crois qu’elle commence à
comprendre ce que je voulais dire en parlant de plaisir dans la tête en plus du
plaisir physique.
Je prends une chaise dans un coin et je viens m’asseoir à côté de la table. Avant,
je détache Valérie. Elle se lève et commence à marcher dans la pièce en
regardant attentivement les petits tubes qui dansent à chacun de ses pas. Elle
vient se mettre devant moi et se trémousse comme pour m’exciter, mais je suis
partie dans mes pensées.
- Allez réveille-toi, tu as l’air d’une zombie.
- Non, je réfléchissais.
- Tu pensais à quoi dans ta petite tête ?
- À ce qui nous attend demain midi. J’ai vaguement l’impression que nous
allons avoir une surprise.
- Qu’est-ce qui te fait dire ça, demande Valérie ?
- Sa voix ! Elle a changé quand elle a compris qui était monsieur Jean, elle
était douce et mélodieuse et elle est devenue sèche. En plus elle m’a
tutoyé.
- Tu te fais peut-être des idées.
Oui, peut-être que je me fais un monde de ce rendez-vous, n’empêche que je
suis un peu inquiète, car elle m'as parlé de 3h de traitement, il ne faut pas si longtemps pour se faire épiler la foune.
- Arrête de te tracasser, aide-moi plutôt à enlever ces machins.
J’aide Valérie à ôter les tubes et je dois faire comme François, prendre un cutter
pour couper les élastiques qui se sont incrustés dans la chair des seins de
Valérie. Elle aussi devra supporter quelques jours une marque rougeâtre autour
des seins. Elle est ébahie de voir ses mamelons et son clitoris garder une
certaine longueur malgré que les tubes soient enlevés.
Elle joue avec les parties qui ont été allongées.
- C’est très sensible, mais un peu dommage qu’on ne puisse pas les garder
plus longtemps allongés.
- Tu as vraiment envie d’avoir des tétons de deux ou trois centimètres ?
- Non quand même pas, mais un peu plus long, cela me conviendrait
parfaitement, je les trouve trop petits. Tu ne trouves pas qu’ils sont petits
par rapport aux tiens ?
- L’important c’est qu’ils te donnent du plaisir, le reste on s’en fout.
- N’empêche que je les aimerais un peu plus gros et plus longs,et le clito sortié de sa protection constament
- Tu es très jolie comme ça.
Je ne la laisse pas continuer et je vais dans la chambre reprendre ma robe. Il va
falloir que je rentre, c’est l’après-midi de Jacques.
Comme Valérie est maintenant au courant que je couche avec les mousquetaires,
elle voudrait venir avec moi, mais comme c’est son frère qui vient cet aprèsmidi, je ne peux décemment la laisser venir.
Je ne suis pas contre de voir un frère et une sœur faire l’amour, mais je ne veux
pas être l’instigatrice de l’inceste. L’inceste entre adultes consentants n’est pas, à
mes yeux, condamnable, mais je ne sais pas si Valérie est prête pour cet acte
maintenant.
Valérie tente de me retenir, mais je me montre intransigeante et je la quitte pour
rentrer chez moi où je trouve Jacques sur le pas de la porte, les voisins vont
encore jaser sur mon compte, mais je m’en moque.
Le frère de Valérie ne reste qu’une heure et fait son affaire très vite, comme
d’habitude, sans se préoccuper de mon plaisir. De toute manière je suis obsédée
par mon rendez-vous du lendemain. Je sais que j’irai, mais j’ai peur de ce qui
m’attend chez cette femme et je me demande si c’est une bonne idée que
Valérie vienne avec, elle n’est peut-être pas encore prête à certaines choses. Qui
vivra verra, demain est un autre jour.
qui arrive avec une bonne demi-heure de retard.
Il est passé chez François qui lui a fait le récit détaillé de ma visite chez lui. Il est
donc au courant pour Valérie.
À peine entrer, il m’enlève la robe de chambre et me plaque contre le mur pour
m’enfoncer son engin dans la chatte. Il est tellement excité qu’il jouit presque
directement. Je sens son sexe ramollir et sortir lentement de ma chatte.
Instinctivement, je m’agenouille pour prendre sa queue raplapla en bouche et je
la nettoie consciencieusement comme François me l’a appris. Je sens son sperme
couler le long de mes cuisses et tomber sur le sol. Je ne sais pas ce qui me
prend, mais, dès que le sexe de Pierre est de nouveau propre, je me mets à
quatre pattes et me penche sur les taches de sperme que je lèche sous le regard
ébahi de mon mari.
- Tu deviens une sacrée salope, me dit-il.
- Tu n’aimes pas ?
- Si, mais je crois que ça commence à me dépasser un peu.
Quand j’ai récupéré le sperme sur le sol, je remets ma robe de chambre et cours
à la salle de bain prendre une douche avant de revenir à la cuisine préparer le
repas du soir.
Nous passons une petite soirée en amoureux, couché tous les deux sur le divan
en regardant un bête film à la télé.
Avant de nous mettre au lit, Pierre me met de la pommade sur les seins, mais
cela ne nous excite pas et nous nous embrassons avant de nous endormir
comme des bienheureux.
Quand j’ouvre les yeux, mon mari est déjà levé et prend son petit déjeuner dans
la cuisine. Je resterais bien au lit encore, mais j’ai rendez-vous chez Valérie pour
neuf heures et je tiens à être à l’heure.
Je me lève et rejoins Pierre à la cuisine.
Après une bonne douche, je prends le collier et la laisse que je mets autour de
mon cou. J’hésite un moment et finis par me décider à prendre la petite chaîne
de monsieur Jean et ferme les clips sur mes tétons. J’ai un peu mal au début,
mais cela devient très vite supportable. À près avoir passé une petite robe assez
large pour ne pas montrer au monde la laisse et la chaîne, je prends mon sac à
main et sors.
Il me faut à peine un quart d’heure pour être devant chez mon amie. Je suis en
avance et je ne sais si je dois aller sonner. Je préfère attendre qu’il soit l’heure
pour la déranger, cela me permet de me rendre compte qu’il y a beaucoup de
passage devant la porte de sa maison. Même si elle m’ouvre la porte tout de
suite, il y aura au minimum trois personnes qui vont me voir à poil, mais il ne me
vient même pas l’idée que je pourrais garder ma robe.
Il est l’heure et je sors de la voiture et me dirige d’un pas décidé vers le perron
de Valérie. Je pousse sur le bouton de sonnette et rapidement j’enlève ma robe
que je place dans mon sac avant de me tenir bien droite indifférente aux coups
de sifflet d’hommes qui passe sur le trottoir.
Je suis morte de honte et je pousse un soupir quand j’entends la porte s’ouvrir.
Je pourrais me précipiter dans le couloir d’entrée, mais il faut à Valérie un certain
temps pour réaliser que j’ai osé me présenter nue chez elle.
Elle se décide enfin à prendre la laisse pour me faire entrer et je la suis au salon
où elle a préparé de petits gâteaux et du café. Cette fois, c’est moi qui suis
abasourdie.
La jeune femme fait semblant de rien et m’invite à m’asseoir.
- Assois-toi ! Tu veux une tasse de café ?
- Heu ! je…
Je ne sais vraiment pas comment me comporter, j’ai un moment l’envie de
retirer la chaîne entre mes seins et remettre ma robe, mais je finis par décider
de rester nue.
Je prends place dans un fauteuil et accepte la tasse de café de Valérie.
- Heu ! Oui, pourquoi pas ! vous êtes sûre que….
- Tout à fait ma chérie ! Tu veux quoi comme gâteau ? Un moka ? Une
brioche ?
- Non merci, juste une tasse de café.
Pendant plus d’une heure, nous discutons de choses et d’autres. La scène doit
être surréaliste ; deux jeunes femmes discutant tranquillement en prenant une
tasse de café dont l’une est à poil avec un collier, une laisse et une
petite chaîne qui relie ses mamelons.
Pourtant, mis à part que je continue à vouvoyer Valérie, nous avons une
conversation comme si nous étions toujours les meilleures amies du monde. J’en
viens même à reprendre le tutoiement sans qu’elle réagisse. Un moment, elle se
lève et me prend la main.
- Viens, me dit-elle tendrement.
Je la suis jusque dans sa chambre. Je me demande ce qu’elle veut vraiment et
mon cœur s’emballe à la pensée qu’elle va vouloir que je lui donne du plaisir.
N’ayant jamais couché avec une femme, je me demande comment cela va se
passer.
Elle me fait tourner comme si nous dansions le Rock et m’attire contre elle. Je
fais une légère grimace, car elle vient de réveiller la petite douleur des tétons qui
sont toujours emprisonnés par les clips.
Doucement, elle retire les clips puis défait le collier de mon cou et me pousse sur
le lit. Pendant que je me masse les seins pour faire passer la douleur, elle se
place devant le grand miroir de la garde-robe et je le regarde ébahie mettre le
collier à son cou. Elle se regarde longuement en se tournant de droite à gauche
puis elle commence à défaire les boutons de son chemisier. Très vite elle est nue
devant moi et je la trouve encore plus belle avec la laisse qui lui pend entre les
seins.
Valérie revient vers le lit et attrape la chaîne avant de retourner vers le grand
miroir. Elle ouvre le premier clip et le referme sur son mamelon droit avant de
faire de même avec l’autre mamelon. Je la vois serrer un peu les dents puis elle
avance vers le côté du lit et se met à genoux.
- Montre-moi ce que te fait monsieur Jean, me dit-elle d’une voix sourde.
Je me penche vers elle et lui prends le menton pour redresser sa tête.
- Impossible, lui dis-je, je ne suis pas un homme, il me manque un
accessoire entre les cuisses.
- Fais semblant!
- Je ne pourrai pas faire semblant.
Elle semble dépitée.
- Alors, laisse-moi te donner du plaisir.
Elle avance une main vers mon corps allongé sur le lit et commence à me
caresser. Doucement, je repousse sa main.
- Non, enlève tout et vient me rejoindre sur le lit, nous allons essayer
ensemble.
Valérie hésite une bonne minute avant de faire ce que je lui demande. Je lui
ouvre les bras quand elle monte sur le lit.
Commence alors une sarabande de caresses et de baisers fougueux et
passionnés. Nos langues se mélangent et nos doigts partent à la découverte du
corps de l’autre. Les langues lèchent toutes les parties du corps qui arrivent à
leur portée et bientôt nous nous retrouvons tête-bêche, chacune la tête entre les
cuisses de l’autre. Les doigts, la bouche et la langue s’activent sur la chatte et le
petit bouton qui devient raide et sort de son abri pour se trémousser sous les
coups de langue.
Nous passons un long moment à nous donner du plaisir, mais il n’a aucune
commune mesure avec le plaisir que je ressens quand je vais chez François ou
son proprio, c’est plus le plaisir que donne Karim. C’est doux et tendre, mais ça
ne provoque pas de poussée d’adrénaline qui fait exploser le ventre sous le
plaisir. Évidemment je ne sais pas si c’est la même chose pour Valérie, mais, à
voir son corps alangui, je suppose qu’elle non plus n’a pas vécu l’après-midi de
sa vie.
- On recommencera, me demande Valérie ?
- Oui! Quand tu veux.
Je manque de conviction et j’en suis désolée, mais je ne veux pas lui mentir. J’ai
passé un bon moment, mais sans plus, rien d’extraordinaire.
- Toi non plus tu n’as pas trouvé ça génial, demande mon amie ?
- C’était bon, mais rien de révolutionnaire. Si je dois choisir entre ça et une
après-midi chez monsieur Jean, y a pas photo, c’est monsieur Jean qui
gagne haut la main.
- Tu voudras bien m’emmener chez monsieur Jean la prochaine fois que tu
iras ?
Là, je suis sciée. Je suis venue chez elle pour y être maltraitée et humiliée et elle
me demande de la conduire chez un type qui va s’amuser avec son corps sans se
préoccuper de son plaisir.
- Tu te rends compte de ce que tu viens de dire ?
- Oui! Je ne pense qu’à ça depuis hier soir.
Elle se lève et reprend le collier et la laisse qu’elle remet à son cou. Elle ouvre le
tiroir de sa table de nuit et en sort trois petits tubes en verre et la pompe à vide
qui va avec.
- Mets-moi les tubes, me dit-elle en me les tendant.
Je ne sais pas pourquoi, mais je suis tentée de refuser, il faut que je réfléchisse
calmement et pour gagner du temps, je lui fais remarquer qu’il manque un
accessoire.
- Tu as oublié les élastiques pour mettre autour des seins.
Elle sourit et se penche vers sa table de nuit et sort une pochette plastique
contenant une bonne vingtaine d’élastiques.
- Je n’ai rien oublié, me répond-elle en me tendant la pochette.
Là, je suis obligée de faire ce qu’elle veut, le problème c’est que je ne sais pas
comment procéder. Je n’aime pas le rôle qu’elle veut me faire tenir, j’aime être
la victime et pas le bourreau.
- Viens, me dit-elle en me prenant la main, suis-moi.
Valérie me conduit dans une pièce où elle a placé une table avec des cordes à
chaque pied. Elle se couche sur la table et écarte les bras et les jambes pour me
faciliter la tâche de l’attacher. J’ai les mains qui tremblent tandis que je fais des
nœuds autour de ses poignets et de ses chevilles, je ne suis vraiment pas à mon
aise.
Elle me regarde calmement et m’encourage.
- Vas-y, je sais que tu as difficile, mais fais le pour moi.
J’ouvre la pochette d’élastiques et j’entreprends de faire glisser le globe
mammaire droit de 90C de Valérie dans l’élastique. Je dois m’y reprendre à trois fois
avant de voir enfin le nichon enserrer par l’élastique. Je n’ai pas réussi à le placer
aussi loin que monsieur Jean, mais c’est mieux que rien. Je fais la même chose
sur sa mamelle gauche pendant que Valérie grimace un peu tandis que je lui maltraite
les seins.
Mes mains tremblent tandis que j’entreprends de placer les tubes de verre. Je
dois recommencer deux fois la fixation de la pompe sur le premier tube que je
place sur son mamelon droit. Je suis effarée de voir le petit bouton de chair
s’agrandir et prendre de plus en plus de place dans le tube. Valérie grimace un
peu et ses seins deviennent très vite rougeâtres à cause des élastiques.
Quand les trois tubes sont mis, je regarde mon amie et je souris pour la
première fois depuis une bonne heure que je travaille son corps. Juste comme
ça, pour vérifier, je passe un doigt entre les lèvres de sa chatte et je suis ébahie
de sentir l’humidité qui coule sur mon doigt.
Sur une impulsion, je sors de la pièce et vais dans la chambre de Valérie pour
fouiller sa table de nuit. Je ne suis pas déçue par ce que j’y trouve ; un gode de
bonne taille que je m’empresse de prendre.
De retour près de mon amie, je lui montre le leurre et viens le lui présenter à la
bouche.
- Suce, lui dis-je en enfonçant l’engin dans la bouche.
Sans se faire prier, elle ouvre la bouche et commence à sucer la queue de
plastique comme si c’était le sexe d’un homme.
D’une main, je caresse sa fente de plus en plus humide et y entre deux doigts
avant de prendre le gode et de l’enfoncer d'un coup sec au fond dans son ventre. Je le fais
aller une dizaine de fois avant de la voir se cabrer dans ses liens et me demander
d’aller plus vite et plus à fort en elle.
- Plus vite ! Je sens que je vais jouir, enfonce le plus loin, tu dois savoir le
faire avancer encore un peu.
Elle est déchaînée et se trémousse comme une furie pendant que je continue
mes mouvements de va-et-vient dans son ventre. Elle bouge tellement que j’ai
de plus en plus difficile de continuer à faire aller le leurre en elle.
Brusquement elle se tend comme un arc et pousse un long gémissement avant
de se mettre à crier.
- Muuuhhhh ! Oui! Oui ! … C’est bon, ma salope, je vais jouir… Oui !...
ouuuuuiiiiii!
Aussi brusquement que cela à commencer, elle se laisse retomber sur la table et
reste un long moment sans bouger avec juste sa respiration que reprend petit à
petit un rythme normal.
Je pourrais la détacher, mais je la laisse ainsi pendant que je prends la carte que
m’a donnée monsieur Jean et mon portable. Je compose le numéro de la carte et
j’ai le cœur qui bat la chamade quand j’entends une voix féminine me répondre.
- Allo ! La maison de Claire, je vous écoute.
- Allo ! Je… vous… téléphone pour… enfin… C’est monsieur… Jean qui…
- Écoutez madame, calmez-vous, respirez un bon coup et racontez-moi
pourquoi vous avez composé mon numéro.
- Excusez-moi, mais j’ai difficile, c’est nouveau pour moi.
Je fais ce qu’elle me dit et je pousse un long soupir en vidant complètement mes
poumons de leur air. Puis je reprends ma respiration et je me lance.
- Voilà pourquoi je vous téléphone, c’est monsieur Jean qui m’a donné votre
carte. Il m’a dit de prendre rendez-vous chez vous que vous sauriez ce
qu’il y a à faire.
- Attendez ! Dites-moi qui est ce monsieur Jean ! je connais un tas de
monsieur Jean. C’est Jean comment ?
- Je n’en sais rien, il m’a juste donné votre carte et m’a dit de prendre
rendez-vous.
- Bon ! Soyez calme et posée. Vous avez une carte de mon établissement
que vous a donné un certain monsieur Jean. Dites-moi, comment il est ce
monsieur Jean ? Il est grand, petit, jeune ou vieux ?
J’essaye de me rappeler comment est monsieur Jean et je dois bien reconnaître
que je ne l’ai pas très bien regardé. Je ferme les yeux pour essayer de me le
représenter.
- Il doit avoir dans les quarante cinq ans, peut-être même cinquante. Il
n’est pas très grand, n’a presque plus de cheveux sur le crâne et à un petit
bedon.
- Bien on commence à réduire le champ d’investigation. Il habite où ce
charmant monsieur ?
- Il habite un immeuble dont il est propriétaire à la rue des Acacias et…
- Bien, je vois de qui vous voulez parler, c’est vrai que je lui ai donné ma
carte, il en a même plusieurs, mais c’est la première fois qu’il m’envoie
quelqu’un. Qu’est-ce que vous voulez ?
- Je ne sais pas, il m’a dit que vous sauriez ce qu’il veut et que je n’avais
qu’à me laisser faire. La seule chose que je sais, c’est qu’il veut que j’aie le
vagin et le bas ventre épilé, pour le reste il ne m’a rien dit d’autre.
Il y a un long silence de l’autre côté du téléphone et une petite musique me fait
patienter. Valérie en profite pour me poser quelques questions sur ce que veut
monsieur Jean. Après quelques explications sommaires, elle me demande de
prendre rendez-vous pour elle en même temps.
- Allo ! … Allo ?
- Oui! Excusez-moi je discutais avec mon amie qui voudrait elle aussi un
rendez-vous.
- Si je comprends bien, vous serez deux ?
- Oui! nous serons deux jeunes femmes.
- Pour le même traitement ?
- Oui! Je suppose !
- Ma petite, tu dois savoir ce que tu veux parce que nous avons retrouvé la
fiche de ton monsieur Jean et il y en a pour au moins trois heures si pas
plus. Je veux bien vous prendre toutes les deux, mais je dois savoir
maintenant pour que je prévoie le personnel ?
Je fais un signe à Valérie en lui montrant le mobile.
- Elle veut savoir si on veut toutes les deux le traitement de monsieur
Jean ?
- Oui! me répond mon amie.
Reprenant le téléphone je confirme à mon interlocutrice que ce sera le même
traitement pour les deux.
- Demain à douze heures et ne soit pas en retard.
Je n’ai pas le temps de répondre qu’elle a raccroché. Je me tourne vers mon
amie toujours attachée sur la table.
— On a rendez-vous demain à midi pile chez elle.
Valérie me regarde les yeux un peu dans le vide, je crois qu’elle commence à
comprendre ce que je voulais dire en parlant de plaisir dans la tête en plus du
plaisir physique.
Je prends une chaise dans un coin et je viens m’asseoir à côté de la table. Avant,
je détache Valérie. Elle se lève et commence à marcher dans la pièce en
regardant attentivement les petits tubes qui dansent à chacun de ses pas. Elle
vient se mettre devant moi et se trémousse comme pour m’exciter, mais je suis
partie dans mes pensées.
- Allez réveille-toi, tu as l’air d’une zombie.
- Non, je réfléchissais.
- Tu pensais à quoi dans ta petite tête ?
- À ce qui nous attend demain midi. J’ai vaguement l’impression que nous
allons avoir une surprise.
- Qu’est-ce qui te fait dire ça, demande Valérie ?
- Sa voix ! Elle a changé quand elle a compris qui était monsieur Jean, elle
était douce et mélodieuse et elle est devenue sèche. En plus elle m’a
tutoyé.
- Tu te fais peut-être des idées.
Oui, peut-être que je me fais un monde de ce rendez-vous, n’empêche que je
suis un peu inquiète, car elle m'as parlé de 3h de traitement, il ne faut pas si longtemps pour se faire épiler la foune.
- Arrête de te tracasser, aide-moi plutôt à enlever ces machins.
J’aide Valérie à ôter les tubes et je dois faire comme François, prendre un cutter
pour couper les élastiques qui se sont incrustés dans la chair des seins de
Valérie. Elle aussi devra supporter quelques jours une marque rougeâtre autour
des seins. Elle est ébahie de voir ses mamelons et son clitoris garder une
certaine longueur malgré que les tubes soient enlevés.
Elle joue avec les parties qui ont été allongées.
- C’est très sensible, mais un peu dommage qu’on ne puisse pas les garder
plus longtemps allongés.
- Tu as vraiment envie d’avoir des tétons de deux ou trois centimètres ?
- Non quand même pas, mais un peu plus long, cela me conviendrait
parfaitement, je les trouve trop petits. Tu ne trouves pas qu’ils sont petits
par rapport aux tiens ?
- L’important c’est qu’ils te donnent du plaisir, le reste on s’en fout.
- N’empêche que je les aimerais un peu plus gros et plus longs,et le clito sortié de sa protection constament
- Tu es très jolie comme ça.
Je ne la laisse pas continuer et je vais dans la chambre reprendre ma robe. Il va
falloir que je rentre, c’est l’après-midi de Jacques.
Comme Valérie est maintenant au courant que je couche avec les mousquetaires,
elle voudrait venir avec moi, mais comme c’est son frère qui vient cet aprèsmidi, je ne peux décemment la laisser venir.
Je ne suis pas contre de voir un frère et une sœur faire l’amour, mais je ne veux
pas être l’instigatrice de l’inceste. L’inceste entre adultes consentants n’est pas, à
mes yeux, condamnable, mais je ne sais pas si Valérie est prête pour cet acte
maintenant.
Valérie tente de me retenir, mais je me montre intransigeante et je la quitte pour
rentrer chez moi où je trouve Jacques sur le pas de la porte, les voisins vont
encore jaser sur mon compte, mais je m’en moque.
Le frère de Valérie ne reste qu’une heure et fait son affaire très vite, comme
d’habitude, sans se préoccuper de mon plaisir. De toute manière je suis obsédée
par mon rendez-vous du lendemain. Je sais que j’irai, mais j’ai peur de ce qui
m’attend chez cette femme et je me demande si c’est une bonne idée que
Valérie vienne avec, elle n’est peut-être pas encore prête à certaines choses. Qui
vivra verra, demain est un autre jour.
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8 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Charlotte, vous êtes superbe sur la photo.
J’aimerai bien être à la place de Jean ou François 😜
J’aimerai bien être à la place de Jean ou François 😜
Je vais lire la suite j’adore ta façon de décrire tes sensations c’est difficile de résister à ses pulsions. Je serai incapable de faire du mal à une femme j’ai bien des idées perverses mais pas des tortures.
Pour celle qui critique, envoie-nous une photo de toi pour voir!!!
Je trouve dommage que des personnes se servent de ce site comme défouloir! Ceux qui aiment,tant mieux ! Pour les autres, ce n'est pas la peine de laisser de commentaire !
Le nouvel admirateur
Je trouve dommage que des personnes se servent de ce site comme défouloir! Ceux qui aiment,tant mieux ! Pour les autres, ce n'est pas la peine de laisser de commentaire !
Le nouvel admirateur
Il faut mieux faire envie que pitié, de toute façon, je suis comme je suis, vous ne connaissez pas mon état de santé, ni la prise de certain médicament que je dois prendre, donc votre jugement est totalement déplacé, et inutile.
Il y a du poids à perdre , on dirait en plus 1 belphegor version porno 2.0
Ça aurait été dommage de ne pas le faire montrer, et de ne pas nous en faire profiter, avec un si jolie corps !!!
Le nouvel admirateur
Le nouvel admirateur
Bonjour, oui, c'est bien ma photo, j'ai trouvé plus naturel de remplacer mon ancienne photo de profil par une vraie
Je trouve ton histoire joliment écrite, et tes histoires toujours aussi excitantes! Bravo! J'imagine que la photo de profil est une photo de toi? Très excitante et très jolie corps....
Un nouvel admirateur!
Un nouvel admirateur!