Les cinq doigts de la main
Récit érotique écrit par Charlotte-la-salope [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-05-2024 dans la catégorie Plus on est
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Les cinq doigts de la main
Pour ne pas que le récit tombe dans l'oubli...
Chap. I – Le voyage de noces.
Pierre, Jacques, François et Karim, on les appelle les trois mousquetaires, car ils sont quatre comme les vrais et inséparables depuis la maternelle.
Moi c'est Charlotte, et je suis la femme de Pierre que j'ai rencontré lors d'une fête organisée pour l'anniversaire de Jacques qui est le frère de ma meilleure amie
Valérie.
Le meneur, c'est Jacques, une vraie bête d'un mètre quatre-vingt-dix-huit pour cent et dix kilos de muscles, il a toujours l'air de vouloir défoncer une porte dès qu'il en prend la poignée. Quand il me prend dans ses bras, j'ai l'impression d'être la pauvre Jessica Lange dans King Kong, pourtant il est d'une gentillesse et d'une douceur incroyable vu son gabarit.
Karim, c'est le suiveur. Il voue à Jacques une admiration sans limites et le suivrait jusqu'en enfer s'il le lui demandait. Petit et maigre comme un clou, c'est à peine s'il trouve des vêtements au rayon homme, il doit souvent aller chez les enfants pour trouver des chemises et ses pantalons doivent être raccourcis et repris avant qu'il puisse les mettre. Il est d'une agilité extraordinaire, est ceinture noire de judo et un sportif accompli.
François c'est le méchant de la bande, il a des fréquentations douteuses et a déjà failli se retrouver plusieurs fois en prison. Il est toujours habillé à la dernière mode et roule dans une superbe BMW série sept blanche pourtant c'est le seul à ne pas travailler, il est au chômage. Chacun sait qu'il arrondit ses fins de mois, mais personne ne sait comment, il faut reconnaître que les autres ne lui posent jamais de questions sur sa manière de gagner sa vie.
Puis, il y a Pierre, c'est le comptable de la bande. À chaque sortie, il tient la bourse et paye les tournées avec l'argent de la cagnotte qu'il constitue avant de sortir. C'est aussi un éternel romantique un peu fleur bleue, il a réussi à rester éloigner de la bande pendant trois semaines, le temps de faire ma conquête. Il m'offrait des fleurs presque tous les jours et m'emmenait au restaurant un soir sur deux. Pourtant dès que je lui ai dit que je voulais bien l'épouser, il m'a laissé téléphoner à mes parents pour les rassurer et nous nous sommes retrouvés dans la chambre nuptiale de l'hôtel le plus chic de la ville où j'ai passé une nuit torride à passer le Kamasoutra en revue, car, outre le fait d'être un romantique, Pierre est aussi un obsédé sexuel.
Je suis entrée vierge et innocente dans la chambre et j'en suis ressortie sans la moindre virginité à offrir. À partir de cette nuit-là, je me suis retrouvée comme le cinquième mousquetaire de la bande. Sortir avec quatre mecs à des inconvénients, mais aussi des avantages.
L'inconvénient majeur, c'est que plus personne n'ose m'approcher sans qu'un des quatre vienne s'interposer.
L'avantage le plus important c'est que je pourrais encore être à poil au milieu de la piste, personne n'oserait me toucher même des yeux. Depuis que je suis « la poule » de Pierre, je suis devenue une espèce surprotégée.
Je dois avouer aussi que mon mari étant un obsédé sexuel ne m'a jamais caché qu'il avait le désir de me voir coucher avec ses amis, mais que cela se passerait quand je me sentirais prête à le faire. Et, comme il le voulait, petit à petit, je me suis habituée à avoir les quatre hommes pour moi et bientôt je ne me suis plus formalisée de leurs mains baladeuses, ce qui fait que lors de notre voyage de noces, je n'ai pas été surprise outre mesure de voir les mousquetaires réunis à la terrasse d'un café de Venise dès le premier jour.
Quand Pierre à proposer de faire un tirage au sort pour savoir avec qui je passerais la nuit, je n'ai pas hésité longtemps à donner mon accord. C'est ainsi que je me suis retrouvée avec Karim pour rentrer à l'hôtel ce premier soir de mon voyage de noces, je ne vous dis pas la tête du réceptionniste de l'hôtel qui m'avait vu avec Pierre la veille.
Un peu honteuse sous le regard ébahi du jeune homme, j'ai demandé la clé de ma chambre et nous sommes montés. À peine entré, Karim a commandé un repas pour deux et nous avons sagement attendu l'arrivée du groom de service avec le chariot repas.
Je ne sais pas très bien comment me comporter avec le jeune homme et j'avoue que j'ai peur de ce qui va arriver. Même avec l'accord de Pierre, j'ai l'impression de tromper honteusement mon mari et les yeux de Karim qui me déshabillent ne me mettent pas vraiment à l'aise.
— Cool poupée ! me dit-il en souriant, ça va bien se passer. On va manger et.
prendre son temps pour faire connaissance.
Mon anxiété se voit donc.
— Ne m'en veux pas, mais j'ai peur, pas de toi, mais de ce que nous allons.
faire.
— Nous allons faire ce que des millions de gens font tous les jours, on va se.
régaler avec des pâtes et du bon vin italien et après, nous prendrons un dessert.
Dès que le repas arrive, Karim prépare la table avec bougies et la rose dans le vase. Nous passons une bonne heure à manger doucement, comme si nous voulions retarder le moment de passer à autre chose.
Puis, le vin aidant, je me suis relaxée et quand Karim me prend la main je ne tremble plus et je lui souris.
Il va mettre la chaîne stéréo en route pour un slow langoureux et m'entraîne au centre de la chambre après avoir baissé l'intensité de la lumière. Nous dansons tranquillement pendant quelques minutes puis doucement les mains de Karim commencent à bouger sur mon corps tandis que sa bouche dépose de petits baisers dans mon cou. Il commence par me caresser les fesses avant de remonter dans mon dos. Il se presse contre mon ventre et je sens son sexe se frotter contre moi.
Malgré moi, je suis impressionnée par la grosseur et la dureté de l'engin et je ne peux m'empêcher d'imaginer ce que cela va me faire quand il rentrera en moi. Je sens le désir me tordre le ventre. Lentement, il fait sortir mon chemisier de ma jupe et je m'écarte légèrement pour qu'il puisse défaire les petits boutons de nacre. Puis ses mains glissent sous le chemisier et viennent dégrafer l'attache de mon soutien-gorge.
Je sens les bonnets se dégager de mes seins et j'ai envie de me débarrasser de mon chemisier et du soutien, mais je laisse l'initiative à celui qui va bientôt devenir mon amant.
Avec des gestes doux et lents, il fait tomber mes vêtements sur le sol et je me retrouve les seins nus face à Karim qui ouvre la bouche, me dis que j'ai la plus belle poitrine qu'il n'as jamais vu, et la question de beaucoup d'homme à ce moment là, quel taille tes nichons? prend mes petits
tétons entre ses lèvres pour les sucer et les titiller avec la langue, pe,da,t que je lui répond que je fais du 100D.
Les petits boutons de chair ses dressent sous la caresse et deviennent dur comme de la pierre, mes seins se gonflent de désir et c'est moi qui me presse contre Karim. Je ne résiste plus au désir qui me brûle, mes mains s'enhardissent et je commence à défaire les vêtements du jeune homme.
Très vite, sa chemise rejoint mon chemisier et il doit m'aider quand je défais la boucle de sa ceinture. Puis, les choses s'emballent et c'est avec des gestes fébriles que le reste de nos vêtements tombent sur le sol à nos pieds.
Je ne peux m'empêcher de jeter un regard sur la tige de chair qui va bientôt envahir mon ventre, elle est impressionnante et je deviens impatiente de la sentir en moi.
Le jeune homme me couche sur le tapis et vient se mettre entre mes cuisses.
Des doigts il caresse les lèvres de ma chatte et il se rend compte que je suis prête à le recevoir.
Karim écarte doucement mes lèvres intimes et présente son sexe à l'entrée de mon vagin. Lentement il pousse la tige de chair qui entre sans à coup en se frayant un chemin dans mon intimité. Pierre est bien pourvu par la nature, mais ce n'est rien à côté de la grosseur de l'engin de Karim qui commence un mouvement de va-et-vient en moi.
Il ne me faut pas longtemps pour sentir le plaisir monter en moi sous les assauts du jeune homme. Je me mors la lèvre pour ne pas crier quand le plaisir explose en moi, je me contente de serrer Karim entre mes bras et de me jeter à sa rencontre. Deux fois de suite j'atteins l'orgasme sous le joug de Karim qui semble inépuisable.
Alors que je crois qu'il va me donner une troisième fois du plaisir, le jeune homme se retire et me retourne comme une crêpe. Je comprends immédiatement ce qu'il veut et je tends mes mains pour écarter mes fesses et lui faciliter la tâche quand il présente le gland de son sexe à mon anus. Il doit faire un effort pour introduire la tige de chair de sa verge dans mon fondement.
Cela me fait un peu mal, mais j'avoue que j'aime être prise de cette façon si
Karim avait la bonne idée de me caresser le clitoris en même temps ce serait parfait, j'ai à peine le temps de penser à ce qu'il pourrait faire que je sens ses doigts se faufiler vers ma chatte et prendre mon clitoris qui n'en demandait pas tant pour se tendre sous la caresse. Je mords l'oreiller pour ne pas crier quand je jouis pour la troisième fois. Karim délaisse mon petit bouton pour prendre me seins à pleine main et jouer avec les bouts qu'il triture en tous sens en se faisant aller en moi. Cette fois, il ne s'intéresse plus à mon plaisir, il ne pense plus qu'au sien.
En même temps qu'il pousse un faible gémissement de plaisir, je sens son sperme m'inonder les intestins et il se laisse tomber lourdement sur moi. Il reste un long moment sans bouger, juste le temps de reprendre sa respiration qui se calme peu à peu.
Il se lève et court à la salle de bain prendre une douche. Il est sous le jet d'eau chaude quand je m'invite dans la douche et naturellement il m'aide à me laver et cela se termine par un gros câlin avec ma bouche.
Trois fois nous avons remis le couvert au cours de la nuit et à chaque fois, Karim s'est montré habile et patient. À chaque fois, il m'a fait jouir plusieurs fois et c'est complètement épuisés que nous nous sommes écroulés pour dormir dans les bras l'un de l'autre.
Comme demandé à la réception, on nous réveille vers onze heures du matin en nous apportant une sorte de petit déjeuner amélioré. On se dépêche, car nous avons rendez-vous avec les autres à midi trente dans un petit restaurant plutôt sympa.
Cette fois je le laisse seul sous la douche, ce n'est pas l'envie qui me m'empêche de le rejoindre, mais bien le temps que nous n'avons plus. Je suppose que j'aurai encore l'occasion de passer un moment avec Karim dans l'avenir et je m'en réjouis d'avance, car c'est vraiment un amant hors pair qui donne autant de plaisir qu'il en prend.
J'avoue être un peu déçue du comportement de Pierre quand nous entrons dans la salle du restaurant, il ne paraît pas le moins du monde inquiet pour moi, au contraire il se précipite vers Karim.
— Alors, ça été ?
— Très bien lui répond le jeune homme en saluant ses amis.
Nous nous asseyons à la grande table, moi près de mon mari qui se contente de me donner un léger baiser sur les lèvres et de mettre une main sur ma cuisse.
Ils reprennent leur conversation sans plus se préoccuper de notre arrivée.
— La Juve devait gagner s'ils n'avaient pas raté autant d'occasions…
Ils parlent foot et là, je n'ai pas droit de cité. Je regarde les quatre hommes en me demandant lequel sera mon compagnon d'un soir ?
Jacques ne me regarde pas souvent, mais par contre François jette souvent un regard furtif sur ma personne. Des deux je crois que c'est François le plus inquiétant, il ne me paraît pas vraiment franc du collier et je risque de passer une sale soirée avec lui. Je me trompe peut-être, mais cet homme me fait un peu peur.
Nous passons l'après-midi à flâner dans la ville de Venise en allant visiter le palais des Doges et la place Saint-Marc en laissant la visite de la ville sur les canaux pour le lendemain. Vers vingt heures je rentre à l'hôtel avec Jacques qui est l'heureux élu de ce soir.
À vingt-deux heures, il dort comme un bien heureux en tenant son oreiller comme si c'était un nounours. À peine entré dans la chambre, il s'est jeté sur moi pour me déshabiller fébrilement puis il s'est vidé trois fois dans un orifice différent avant de s'écrouler et de s'endormir en me laissant seule et frustrée.
Il faut reconnaître qu'entre Karim et lui, il n'y a pas photo. Je suis obligée de me réfugier dans la salle de bain pour me masturber et me calmer un tantinet avant de me coucher dans ce qu'il me laisse du lit.
À huit heures, je suis debout et fais monter un petit déjeuner et à onze heures nous sommes au restaurant où nous devons attendre près d'une heure pour voir arriver les trois autres. Jacques donne des claques dans le dos de Pierre.
— Super ta femme, elle est bonne mon Dieu c'était super.
Je préfère ne pas faire de commentaires et me contente de faire une petite place à mon mari qui comme la veille se contente d'un furtif baiser sur mes lèvres pour me saluer.
Cette fois la conversation vole sur le cinéma, car les trois gaillards ont été voir un film auquel ils n'ont rien compris puisqu'il était en italien, mais ils discutent des scènes de combat qu'ils ont trouvées géniales, mais ce qui les a surtout marqués, c'est l'actrice principale qui était particulièrement jolie.
J'ai beau questionner les hommes aucun n'est capable de me dire le titre du film qu'ils ont été voir.
Cette fois, ils nous laissent Pierre et moi en amoureux pour faire la visite de la ville en gondole, nous avons rendez-vous à dix-huit heures à la terrasse d'un café. Je m'attends à passer une après-midi cool et relax avec mon mari, mais il est trop curieux et veut savoir comment ce sont passées mes deux nuits avec ses amis. Comme je n'ai pas trop envie de m'épancher sur les performances de l'un ou de l'autre, nous finissons par nous disputer et, au lieu de faire le voyage en gondole collé l'un à l'autre, nous nous retrouvons dos à dos. C'est toujours en froid que nous retrouvons les autres et que je suis François qui sera mon amant du soir.
Des trois, c'est celui qui est le plus à l'aise à l'hôtel. Il va directement vers le comptoir de réception pour demander la clé de la chambre. Le réceptionniste ne cache pas son sourire en constatant que c'est le quatrième homme différent qu'il voit avec moi en quatre soirs. Je préfère ne pas le regarder franchement et je rougis un peu en passant devant l'homme qui ne me quitte pas des yeux.
— À poil!
La porte de la chambre n'est pas encore bien fermée que l'ordre claque sec comme un coup de fouet. C'est plus fort que moi, je me tourne vers François et le toise.
— Non, mais tu te crois où là ? Je ne suis pas une pute et je veux du respect.
François me regarde et sourit de toutes ses dents.
— Houla là ! On se rebiffe. Je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux.
J'aime dresser les pouliches.
— Et je ne suis pas une jument non plus. Tu aurais pu me demander.
gentiment de me déshabiller et je serais nue maintenant.
— Peut-être que tu serais à poil, mais je n'aurais pas pris mon pied alors que.
maintenant, je vais prendre un pied d'enfer à te mater.
J'ouvre la bouche pour lui répondre, mais je n'en ai pas le temps, une paire de gifles m'envoie valdinguer au milieu de la chambre. Je n'ai pas le temps de me reprendre que François est déjà près de moi, il me prend par l'échancrure de mon corsage et déchire ma robe.
Comme s'il était pris d'une rage folle, il continue son œuvre de destruction et bientôt je suis nue avec les lambeaux de mes vêtements éparpillés sur le sol de la chambre. Je suis verte de rage et mes yeux lancent des éclairs en direction de l'homme qui se penche sur moi.
— Je te rappelle que je suis la femme de Pierre et que j'ai accepté de coucher.
avec toi et tes amis, mais pas d'être traitée comme la dernière des putains. Maintenant tu vas sortir, retrouver tes potes et inventer une histoire plausible pour justifier ta présence.
— Ha ! Ha ! Ha ! Tu es vraiment la reine des connes si tu crois que je vais.
sortir de cette chambre sans t'avoir sauté. Je suis ici pour passer une nuit avec toi et j'ai bien l'intention de profiter de tes trous à bites que cela te plaise ou non.
Avant d'avoir le temps d'ouvrir la bouche, François se baisse et m'attrape par le bout d'un sein. Il sert brusquement le petit bouton de chair tendre et tire dessus pour m'obliger à me lever.
— Aïe, tu me fais mal.
— Tu vas avoir encore plus mal si tu l'ouvres encore pour faire autre chose.
que pour prendre ma bite en bouche.
— Jamais ! dis-je avec rage.
De l'autre main, il me saisit les cheveux et me force à me mettre à genoux. Me tenant toujours par les cheveux, il ouvre sa braguette et sort son sexe qu'il me pousse dans la bouche. Je pourrais le mordre, mais je sais qu'il me le ferait payer très cher, je ne crois pas que cela en vaille la peine. De plus je me vois mal sortir toute à poil dans les couloirs de l'hôtel.... et puis je dois avouer que je ressens une chaleur inédite au creux de mon ventre d'être traitée de cette manière. Je n'aurais jamais imaginé ressentir une sorte de plaisir d'être brutalisée.
François se fait aller dans ma bouche en me tenant toujours les cheveux, il se sert de ma bouche comme si c'était une chatte. Brusquement il se retire et me donne deux gifles violentes.
— Si tu en veux d'autres, me dit-il d'une voix arrogante, continues, à me.
résister et tu seras servie, crois-moi.
Je le crois bien volontiers et je préfère lui obéir que de tenter le diable.
— Ça va, j'ai compris, je ferais ce que tu veux, mais ne me frappe plus.
— Si j'ai encore une fois à me plaindre de toi, je te donnerai une fessée avec.
ma ceinture pour que tu comprennes que c'est moi le chef et que tu dois faire ce que je veux.
Il va s'asseoir à la table et commence à grignoter. Il écarte les cuisses et me montre son sexe en érection.
— Suce, mais ne me fais pas jouir, me dit-il la bouche pleine.
Je m'avance lentement à genoux et je prends la tige de chair en bouche et commence à le pomper doucement. Je sors la langue et lèche le gland comme si c'était une crème glace avant de reprendre la queue dans ma bouche et me l'enfoncer jusqu'au fond de la gorge. Ce petit jeu dure près d'une heure, je commence à avoir mal à la mâchoire et François a de plus en plus difficile à se retenir, mais à chaque fois que je sens qu'il est prêt à jouir, je me retire et lui laisse quelques secondes le temps qu'il se reprenne. Je frissonne de plaisir quand le jeune homme me caresse les cheveux pendant que je le suce.
Sans douceur, il me repousse, se lève et m'attrape par le bras pour m'entraîner vers la salle de bain, je me demande ce qu'il a dans la tête, mais je le suis docilement, je suis prête à tout avec lui.
Arrivé à la salle de bain, il me fait monter dans la baignoire et me fait mettre à genoux les poignets dans le dos puis,vient se mettre face à moi debout.
— Ferme les yeux parce que ça pique.
Sans bien comprendre ce qu'il va faire, je m'exécute. Je pousse un cri de surprise quand je sens un jet chaud se projeter sur mes seins. Le salopard, il est en train de me pisser dessus. Mon premier mouvement est de me relever, mais
François a prévu mon geste et m'attrape par les cheveux pour m'obliger à rester à genoux devant lui. Il ne se contente plus de ma poitrine et s'attaque aussi à mon visage qu'il asperge copieusement. Je ferme la bouche pour ne pas avaler son urine.
La surprise passée, je dois avouer que ce n'est pas si désagréable que ça et je finis par m'offrir totalement au jet de pisse qui commence à se tarir. Décidément le bonhomme n'est vraiment pas comme les autres et le pire c'est que cela ne me déplaît pas.
Au risque de me faire à nouveau rabrouer ou gifler, je commence à me caresser les seins et lentement je continue mes caresses vers mon ventre. Incroyable, mais vrai, je vais prendre mon plaisir avec mes doigts alors qu'un homme vient de me pisser dessus.
— Je vois que ça te plaît, me dit François en souriant, on recommencera plus.
tard. On va prendre une douche maintenant.
Il m'emmène sous la douche et il me savonne de ses mains pour bien sentir mon corps. Ses mains se font de plus en plus précises et bientôt il se concentre sur mon petit bouton à plaisir qu'il titille avec deux doigts. Quand il se rend compte que je suis prête à le recevoir, il m'introduit sa queue dans la chatte et commence à se faire aller doucement au début puis de plus en plus vite. Contre ma volonté, mes bras s'accrochent au cou de François et mes jambes entourent ses hanches. Il me pistonne de plus en plus fort et je sens que je vais jouir.
— Ho ! Oui je sens que ça vient, t'es une bonne salope, je vais tout te mettre.
dans la chatte.
— Oui! Vas-y, c'est bon, encore plus fort!
Dans un râle il se cabre et projette son sexe en moi une dernière fois, je sens un long jet de sperme se répandre dans mon ventre et en même temps le plaisir explose dans mon ventre. Pour ne pas crier, je le mords dans le cou.
Il nous faut une bonne minute pour nous remettre de nos émotions. Lentement je laisse mes jambes retomber et je m'écroule dans le fond de la douche aux pieds de François qui lui est affalé contre le mur de la douche et reprend son souffle.
On s'essuie et nous retournons dans la chambre où nous attend toujours la collation que nous dévorons en quelques minutes. Je termine mon assiette la première et, poussée par une idée étrange, je me mets à genoux aux pieds de
François et je prends sa queue en bouche.
— Ma parole tu sembles aimer ça, constate François, je crois que je ne me.
suis pas trompé sur ton compte, tu es une salope qui aime le cul sous toutes ses formes.
Je préfère ne pas répondre, je continue à lécher et à sucer la grosse queue sans me préoccuper de ce qu'il pense de moi. Soudain, il me repousse et me prend par la main pour m'entraîner sur le lit. Il me jette sur le lit et se couche immédiatement sur moi. À peine le temps de dire ouf que ses doigts ouvrent mon sexe et que sa queue s'introduit à fond dans mon ventre. Il me baise sauvagement en se faisant aller comme un fou, nos ventres claquent l'un contre l'autre et ce qui doit arriver arrive, il ne tient pas longtemps avant de me jouir au fond de la moule. Naturellement je n'ai pas eu le temps de jouir même si j'y ai pris une sorte de plaisir malsain d'être prise comme une vulgaire putain.
Je prends un mouchoir en papier sur la table de nuit et j'entreprends de m'essuyer, mais ce n'est pas facile de faire sortir tout le sperme qui traîne dans ma chatte, je devrais aller prendre une douche pour le faire partir. Il ne me laisse pas faire et m'oblige à me coucher contre lui, je crois qu'il a envie de parler et moi je déteste ça.
— Je ne sais pas si tu as aimé ce que je t'ai fait, mais moi je prends un pied.
d'enfer avec toi.
— Pour être honnête, je dois bien reconnaître que, moralement, je n'aime.
pas tes manières, mais que, physiquement, elles me plaisent. Si tu avais su attendre encore deux secondes, je crois bien que j'aurais joui avec toi.
— Je vais te faire jouir, ne te tracasse pas.
— Je ne me tracasse pas du tout, je me demande simplement ce que tu vas.
encore inventer et je suis impatiente de savoir.
— Ton mari a des cravates ?
— Heu ! Je n'en sais rien, il faut voir dans la garde-robe ou dans une des.
valises.
Il se lève et va vers la garde-robe et en revient avec quatre cravates absolument horribles. François vient s'asseoir sur le bord du lit et m'attrape un poignet. Il attache une des cravates et se tourne vers mon pied qui subit le même sort que mon poignet. Il fait le tour du lit et c'est au tour de l'autre poignet et de l'autre cheville. Je commence à m'inquiéter sérieusement.
— Tu ne vas quand même pas m'attacher au lit ?
— Si, me répond-il en souriant, mais rassure-toi tu ne seras pas vraiment.
attachée.
François retire l'édredon qu'il place au centre du lit, il me fait m'intaller dessus, la taille de l'édredon fait qu'il se place sous ma tête,passe le long de mon dos,mais s'arrête au bas du dos, me laissant au centre du lit, mais légèrement soulever du matelas.
Il m'écarte les bras et les jambes et fait faire un tour aux quatre montants du lit avec les cravates qui sont attachées à mes poignets et à mes chevilles. Il me fait ouvrir les mains et me place le bout des cravates dans la paume.
— Ferme les mains maintenant, me dit-il d'une voix douce.
Ce que je fais.
— Voilà, comme ça, tu es attachée au lit, mais tu peux te libérer quand tu le.
veux en ouvrant simplement les mains… Maintenant je vais te donner un safeword…
— Un quoi ?
— Un mot de sécurité que tu diras quand tu trouveras que tu en as assez. Si.
tu as trop mal par exemple.
— Tu vas me faire mal ? Mais…
— Ne t'inquiète pas, dès que tu me diras « rouge » j'arrête tout.
— J'ai peur !
— N'aie pas peur, tu vas peut-être aimer ça.
Il va vers sa veste et en sort un petit sachet qu'il dépose sur la table de nuit. Je tourne la tête pour essayer de voir ce que contient le sachet, mais je n'arrive pas à distinguer son contenu.
Je suis tendue comme un arc et ma chatte est totalement offerte. Il se met entre mes cuisses et prend le sachet sur la table de nuit.
François retourne le sac et j'entends les objets qu'il contient se répandre sur le matelas. Puis, il se penche sur mon sexe et je ressens une petite douleur à l'une de mes grandes lèvres. J'ai à peine le temps de m'habituer à la douleur qu'il m'en inflige une seconde, mais sur l'autre lèvre. Ça me fait mal, mais c'est supportable.
François me montre alors ce qu'il est en train de mettre aux lèvres de mon sexe ; des petites pinces en plastiques multicolores.
— Ça va ? Me demande-t-il malgré tout un peu inquiet.
— Oui! Ça fait un peu mal, mais pas trop.
Il continue son petit jeu et me place ainsi une bonne dizaine de pinces sur le sexe puis il s'amuse à les faire bouger. La douleur est plus forte et je gémis quand il bouge aux pinces, mais je n'ai pas envie de lui dire d'arrêter.
Il me montre deux grosses pinces à linge et se penche vers ma poitrine. Je comprends ce qu'il a l'intention de faire et je serre les dents quand je le vois ouvrir la pince et l'approcher de mon téton raide et dur. Quand les mâchoires de la pince se referment sur le petit bouton de chair, je pousse un gémissement de douleur et j'ai une seconde l'envie de lui crier le mot de sécurité, mais je continue à serrer les dents en attendant qu'il mette la deuxième. Ça fait un mal de chien, mais curieusement il ne me vient plus l'idée de lui donner le mot de sécurité quand il place la seconde pince sur l'autre mamelon.
François se penche sur mon sexe qui commence à me faire de plus en plus mal et ses doigts commencent à jouer avec mon clitoris. Il décalotte la petite pine et la titille avec un ongle. Je me cabre sous les caresses et je sens mon ventre se liquéfier et ma liqueur intime s'écoule doucement de ma chatte ouverte et martyrisée.
— Ne t'arrête pas, je t'en prie, je sens que je vais jouir.
J'en ai trop dit et immédiatement la caresse s'arrête.
— Il faut que tu attendes pour jouir, je n'en ai pas encore fini avec toi.
— Non ! continue je t'en supplie.
— Patience, ma poupée, maintenant je suis certain que je vais te faire hurler.
de plaisir.
Ses doigts continuent de jouer avec les pinces et de temps en temps il passe un doigt le long de ma chatte qui suinte et vient terminer sa course contre mon clitoris dresser et dur.
Je croyais avoir eu très mal quand il avait mis les pinces sur les tétons, mais je me rends compte que ce n'est rien à côté de ce qu'il me fait en les retirant pour leur faire faire un quart de tour. La douleur est dix fois plus violente, ça fait mal quand il retire la pince et mal quand il la remet.
Je n'en ai pas encore fini avec la souffrance, car François a entrepris d'enlever les pinces de mon sexe, mais au lieu d'ouvrir les mâchoires, il tire les pinces jusqu'à ce qu'elles se décrochent elles-mêmes. La douleur est infernale, mais comme il continue de jouer avec mon clitoris, je sens le plaisir monter dans mon ventre et il explose quand l'homme retire la cinquième pince.
— Oui! Oui ! Ho… Mon Dieu… Que c'est bon ! Oui…
Incapable de me retenir je crie ma jouissance malgré la douleur infligée aux parties sensibles de mon corps. Je n'ai pas le temps de me remettre de ma jouissance qu'une nouvelle vague de plaisir m'inonde.
Quatre fois je jouis en hurlant pendant que François arrache les pinces et joue avec mon petit bouton. Je suis au bord de l'évanouissement quand il s'arrête.
Mon sexe est en feu et je me sens vidée de mes tripes, jamais je n'ai joui de cette manière, avec autant d'intensité. Je suis certaine que s'il avait continué à me caresser le clitoris, j'aurais encore joui plusieurs fois.
Il me laisse dix bonnes minutes pour me reprendre et ce n'est que quand il vient me secouer les seins que je me rends compte que j'ai encore les pinces sur mes tétons. Il fait mine de vouloir les retirer, mais je l'arrête.
— Non ! Ne les enlèves pas maintenant, tu as encore une promesse à tenir,
tu les enlèveras après ou pendant, comme tu veux.
— Quelle promesse ?
— Dans la salle de bain, tu as oublié ?
Il a compris ce que je voulais et m'aide à me détacher pour aller à la salle de bain où je m'agenouille dans la baignoire. Il vient se mettre face à moi et prend son sexe en main pour diriger le jet de pisse vers mes seins et ma figure. C'est plus fort que moi et pendant qu'il me pisse dessus, je me caresse les seins et le ventre. Juste par curiosité, j'ouvre la bouche et il n'en faut pas plus à François pour qu'il dirige le jet d'urine vers ma bouche ouverte.
Le goût ne me paraît pas aussi désagréable que je le craignais, au contraire j'aime ce goût salé et un peu amer de son urine et je suis un peu déçue de voir le jet se tarir. Il se secoue pour faire tomber les dernières gouttes et puis se penche vers mes seins et tandis que je continue à me caresser le ventre, il retire les pinces de mes mamelons. Si je n'avais pas joui autant quelques minutes plutôt, je crois que je serais parvenue à me faire plaisir dans la baignoire.
On prend une longue douche, mais cette fois, séparément, et nous allons nous coucher pour tenter de récupérer quelques forces avant le matin. Je me colle contre François et je ferme les yeux.
Quand j'ouvre les yeux, je suis seule dans le lit. François a commandé un copieux petit déjeuner et est assis à la table et dévore allègrement une omelette au lard.
Je ne prends même pas la peine de passer ma robe de chambre et je me précipite totalement nue à la table. Je meurs de faim et la nourriture est la bienvenue, mais avant tout, je me penche vers François et je l'embrasse à pleine bouche puis je lui ouvre sa braguette et en sors son sexe que j'embrasse à son tour avant de le remettre à sa place.
— Merci pour cette nuit fabuleuse que tu m'as fait vivre et pour les choses.
que tu m'as fait découvrir sur moi-même.
— De rien ma poupée, c'est quand tu veux pour remettre ça, mais ne restes.
pas à poil, je ne pourrai pas me contrôler et nous n'avons plus beaucoup de temps.
— Mais il n'est pas encore dix heures, nous avons le temps.
— Non parce que je veux que nous arrivions les premiers au restaurant, je.
voudrais choisir la table. De plus je veux que tu te fasses belle pour moi.
— Ce que tu veux mon chéri ! Ça ne te dérange pas que je te dise mon.
chéri ?
— Non ! me répond-il en souriant, mais je vais faire des jaloux.
— Mais je ne t'appellerai mon chéri que quand nous serons seuls.
— C'est mieux, allez va prendre une douche pendant que je prépare tes.
vêtements.
— C'est toi qui vas m'habiller aujourd'hui ?
— Oui! Mais tu vas être surprise.
— Si c'est pour te faire plaisir, ce que tu voudras mon chéri !
Je me précipite vers la salle de bain où je prends une longue douche en pensant aux choses qui me sont arrivées cette nuit. Je dois reconnaître que des trois nuits que j'ai passées avec les amis de mon mari, c'est celle avec François qui me laissera le plus de souvenirs et d'envie de recommencer.
Quand je reviens dans la chambre, je trouve sur le lit une jupe extracourte, un chemisier à fleurs et une paire de chaussures à talon haut. Pas le moindre sous-vêtement à l'horizon. François est assis tranquillement dans un fauteuil et regarde la télévision italienne, il ne doit rien comprendre à ce qui se dit et je vois qu'il me regarde en coin, il veut probablement voir comment je vais réagir à la tenue qu'il m'a préparée.
Sans le moindre commentaire, je me contente de mettre les vêtements qui sont sur le lit, si je dois me pencher, il va y avoir du spectacle. Comme je suis en train de fermer les boutons du chemisier, François intervient.
— Non ! Ne ferme pas les boutons, fais un nœud avec les pans du chemisier.
juste au-dessus de ton nombril. Si on voit trop tes seins, ferme juste un bouton.
Je fais ce qu'il me demande sans discuter et me dirige vers la maquilleuse où l'idée me vient de me maquiller outrageusement. Quand je viens devant mon amant me faire admirer, il siffle et me donne une tape sur les fesses.
— Tu es parfaite ! Ne change rien.
Je vais devant la garde-robe pour me regarder et j'avoue que j'hésite un peu à sortir ainsi, j'ai vraiment l'air d'une putain. D'autant qu'au moindre coup de vent je vais me retrouver les fesses à l'air sans même parler de mes mamelles qui sont prêtes à sortir de leur cachette au moindre mouvement brusque de ma part.
Heureusement, François ne me laisse pas le temps de réfléchir et m'entraîne vers la sortie.
Comme prévu, les autres ne sont pas encore là et François choisit une table au fond du restaurant où nous aurons une relative intimité.
Il me fait asseoir dos à la fenêtre et donc face à l'éventuel garçon qui viendra prendre notre commande.
Je suis la première à voir les trois amis arrivés. Je m'attends à des commentaires sur ma tenue ne fut-ce que de la part de Pierre, mais il dépose un baiser furtif sur mes lèvres et vient s'asseoir en face de moi en laissant Jacques et François se mettre à mes côtés. Comme les autres jours, je n'ai pas voix au chapitre, il parle de sport et le Championnat du monde de cyclisme qui à justement lieu en
Italie. Pendant qu'ils parlent entre eux, je sens une main se poser sur ma cuisse, c'est François qui part à la recherche de mon sexe. Instinctivement j'écarte les cuisses et laisse la main voyager à son aise entre mes jambes. Les doigts jouent avec ma chatte et surtout avec la petite tige de chair qui se dresse sous la caresse habile de François. Le petit manège dure un moment avant que François ne se penche vers moi pour me chuchoter à l'oreille.
— Glisse-toi sous la table et fais-nous jouir avec ta jolie petite bouche, me.
dit-il.
— Maintenant ?
— Oui! C'est le moment, ils sont tous lancés sur le vélo, ça va leur faire un.
choc.
— Mais…
— Chut! Ne dis rien et fais-le.
Je suis rouge pivoine et j'hésite quelques secondes, le temps de faire le tour de la salle des yeux et de constater que personne ne regarde dans notre direction.
Je recule ma chaise doucement et me laisse glisser sous la table. C'est Jacques qui est le premier à qui j'ouvre la braguette, de surprise il a failli renverser son verre qu'il venait juste de porter à ses lèvres quand ma main s'est posée sur son entre-jambes.
— Mais… mais… Houlà !
— Quoi, lui demande mon mari, tu ne sais plus boire ?
— Non, enfin si, je… Ce n'est rien. On parlait de qui pour être champion du.
monde ?
— On parlait de Bettini, il est en forme et…
Sous la table, j'ai sorti la queue de jacques et je l'embouche avec plaisir.
Longuement je le lèche et le suce jusqu'au moment où je sens son membre tressaillir et un long jet de sperme se projette au fond de ma gorge.
Naturellement, il est impossible de laisser le sperme s'écouler sur le sol donc, je suis bien obligée de l'avaler et de nettoyer la verge convenablement.
Puis, je m'attaque à Pierre qui s'arrête lui en plein milieu d'une phrase quand mes doigts ouvrent son pantalon.
— Je ne crois pas qu'un franç… Mais qu'est-ce que…
— Alors Pierre, un problème lui demande Jacques qui a compris ?
— Heu ! Non ça va… je disais qu'aucun français ne pourra gagner parce qu'ils.
n'ont pas d'équipe et que…
Je m'absorbe dans ma tâche et bientôt mon mari m'éjacule son sperme que j'avale goulûment, je commence à prendre plaisir à boire le foutre de mes amants.
Je continue avec Karim qui passe rapidement une main sur ma tête quand je dégrafe son pantalon. Ma bouche s'active sur la troisième bitte de la journée et le jeune homme ne résiste pas longtemps à mes coups de langue sur sa queue et lui aussi me remplit la bouche de son sperme chaud et gluant.
Au tour de François qui a déjà sorti son sexe pour que je n'aie plus qu'à le prendre directement e bouche. C'est lui qui reste le plus longtemps avant de me cracher sa semence et c'est à mon tour de prendre mon temps pour lui nettoyer son membre avant de refaire surface à la table.
— Messieurs, vous m'excuserez, mais je dois aller me refaire une beauté.
Un peu précipitamment, je me lève et cours vers les toilettes, il faut que je me fasse jouir, je suis excitée à mort par ce que je viens de faire.
Je m'enferme dans des w.c. et je me masturbe comme une furie jusqu'à ce que je jouisse enfin. Pour faire bonne mesure, je remets un peu de maquillage et retourne auprès des hommes. Je suis encore un peu fébrile en revenant m'asseoir, j'ai peut-être joui, mais je ne suis pas apaisée pour autant, j'ai plutôt envie de rentrer avec les quatre hommes et qu'ils me baisent comme une chienne. Je voudrais les voir aligner devant la baignoire et qu'ils me pissent dessus comme François l'a fait cette nuit. Je voudrais… Je voudrais… je suis tellement absorbée par mes pensées salaces que je ne m'en suis pas rendu compte que le sujet de conversation à changer.
— … Je vous assure que c'est possible, dit François aux autres, j'ai un pote.
qui nous prêtera l'argent. Il voudra une garantie, mais je crois que j'ai trouvé ce qu'il lui ferait plaisir.
— Et on peut savoir ce que c'est ?
— Non ! répond François, pas encore, je dois encore avoir une petite.
conversation avec Pierre et Charlotte avant de vous dire à quoi je pense.
Je saute sur l'occasion.
— Si on rentrait à l'hôtel pour en discuter calmement ? Vous ne croyez pas.
que ce serait mieux que devant tous ces italiens qui ne comprennent rien ?
Les quatre hommes rient de ma sortie, mais approuvent. À peine avons-nous terminé le dessert que nous décidons de passer le reste de l'après-midi à la chambre de l'hôtel. Je ne sais pour eux, mais moi, je suis excitée comme une puce et j'ai bien l'intention de me mettre à poil dès que nous aurons franchi la porte de la chambre et de m'offrir à eux. J'ai beau me traiter de salope, c'est plus fort que moi, je ne pense qu'à une seule chose les grosses queues que je vais avoir en moi quand nous serons à l'hôtel.
À peine ai-je franchi la porte de la chambre que je fais voler mes vêtements et je me tourne complètement nue vers les quatre hommes qui me regardent avec des yeux hagards.
— Pensez ce que vous voulez, mais je veux qu'on me baise, je suis en.
manque et j'ai quatre hommes à ma disposition qui vont me faire monter au plafond.
— Mais ma chérie, qu'est-ce qui te prend ?
— Il me prend que je suis en chaleur et que j'ai besoin qu'on s'occupe de.
moi. Faites-moi ce que vous voulez, mais faites-moi jouir.
— Waouha ! Ta femme est déchaînée on dirait.
Jacques est le premier à venir vers moi et à me peloter comme une putain. Il me jette sur le lit et se déshabille.
Chacun leur tour ils viennent me prendre, de face, de dos, mais n'arrive pas à soulager l'excitation qui me taraude le ventre, il m'en faut plus et je vais chercher les pinces dans la poche de François. Je jette le sachet sur la table et me tourne vers François.
— Montre-leur ce que tu fais avec ces petites choses-là.
Je vais chercher les cravates et les donnes au jeune homme qui ne se fait pas prier pour les attacher à mes poignets et à mes chevilles, mais cette fois, je suis réellement attachée aux montants du lit et François est le premier à me mettre une pince à la chatte bientôt suivit par les trois autres. François leur explique comment mettre les pinces et comment les retirer, c'est ce qu'ils font plusieurs fois de suite sans se préoccuper de mes cris de souffrance qui se mêlent aux cris de plaisir.
Deux heures durant ils me torturent divinement avec les pinces et me font jouir quatre ou cinq fois et, quand enfin, je suis apaisée, ils viennent de nouveau me baiser, seul ou à deux. Les queues se suivent dans tous mes orifices, ils se servent de moi comme d'une putain sans s'intéresser à ce que je ressens ou j'ai envie.
Quand ils sont rassasiés, ils me laissent attachée au lit avec les pinces accrochées à mes seins et à ma chatte. J'ai envie de crier qu'ils arrêtent, mais ils m'ont enfoncé une de mes petites culottes dans la bouche et je ne peux que geindre pendant qu'ils retournent s'asseoir à la table pour reprendre leur discussion.
Ils ont commandé une collation et me laissent visible au groom, toujours attachée au lit avec les pinces, quand celui-ci vient apporter la commande. Le jeune homme fait des yeux comme des boules de billard quand il me voit et j'ai l'impression qu'il n'attend qu'un encouragement pour se jeter sur moi. Un moment je vois dans les yeux de mon mari qu'il a l'envie de dire au jeune groom qu'il peut m'utiliser, mais il se reprend et se contente de lui donner un pourboire.
Je ne sais pas si je suis soulagée de voir sortir le jeune homme un peu déçu.
Ils sont tous repartis et je reste seule avec Pierre, je suis toujours attachée sur le grand lit avec des pinces sur les lèvres du sexe. François a repris les pinces des seins en partant, ils sont tous venus m'embrasser avec la langue en partant.
Karim à demander à Pierre s'il pouvait prendre une ou deux photos, ce que mon mari à accepter, ils en ont profité pour se faire photographier chacun leur tour près de moi, pour avoir un souvenir ont-ils dit. Il n'empêche que je suis contente de quitter l'hôtel demain matin, je n'ose pas imaginer ce que doivent penser les employés qui m'ont vue avec quatre hommes différents en quatre jours sans compter le groom qui m'a vue attachée au lit,à poil, avec des pinces sur le corps. Et dire que j'en suis seulement au voyage de noces, je me demande ce que cela sera pour nos dix ans de mariage.
Chap. I – Le voyage de noces.
Pierre, Jacques, François et Karim, on les appelle les trois mousquetaires, car ils sont quatre comme les vrais et inséparables depuis la maternelle.
Moi c'est Charlotte, et je suis la femme de Pierre que j'ai rencontré lors d'une fête organisée pour l'anniversaire de Jacques qui est le frère de ma meilleure amie
Valérie.
Le meneur, c'est Jacques, une vraie bête d'un mètre quatre-vingt-dix-huit pour cent et dix kilos de muscles, il a toujours l'air de vouloir défoncer une porte dès qu'il en prend la poignée. Quand il me prend dans ses bras, j'ai l'impression d'être la pauvre Jessica Lange dans King Kong, pourtant il est d'une gentillesse et d'une douceur incroyable vu son gabarit.
Karim, c'est le suiveur. Il voue à Jacques une admiration sans limites et le suivrait jusqu'en enfer s'il le lui demandait. Petit et maigre comme un clou, c'est à peine s'il trouve des vêtements au rayon homme, il doit souvent aller chez les enfants pour trouver des chemises et ses pantalons doivent être raccourcis et repris avant qu'il puisse les mettre. Il est d'une agilité extraordinaire, est ceinture noire de judo et un sportif accompli.
François c'est le méchant de la bande, il a des fréquentations douteuses et a déjà failli se retrouver plusieurs fois en prison. Il est toujours habillé à la dernière mode et roule dans une superbe BMW série sept blanche pourtant c'est le seul à ne pas travailler, il est au chômage. Chacun sait qu'il arrondit ses fins de mois, mais personne ne sait comment, il faut reconnaître que les autres ne lui posent jamais de questions sur sa manière de gagner sa vie.
Puis, il y a Pierre, c'est le comptable de la bande. À chaque sortie, il tient la bourse et paye les tournées avec l'argent de la cagnotte qu'il constitue avant de sortir. C'est aussi un éternel romantique un peu fleur bleue, il a réussi à rester éloigner de la bande pendant trois semaines, le temps de faire ma conquête. Il m'offrait des fleurs presque tous les jours et m'emmenait au restaurant un soir sur deux. Pourtant dès que je lui ai dit que je voulais bien l'épouser, il m'a laissé téléphoner à mes parents pour les rassurer et nous nous sommes retrouvés dans la chambre nuptiale de l'hôtel le plus chic de la ville où j'ai passé une nuit torride à passer le Kamasoutra en revue, car, outre le fait d'être un romantique, Pierre est aussi un obsédé sexuel.
Je suis entrée vierge et innocente dans la chambre et j'en suis ressortie sans la moindre virginité à offrir. À partir de cette nuit-là, je me suis retrouvée comme le cinquième mousquetaire de la bande. Sortir avec quatre mecs à des inconvénients, mais aussi des avantages.
L'inconvénient majeur, c'est que plus personne n'ose m'approcher sans qu'un des quatre vienne s'interposer.
L'avantage le plus important c'est que je pourrais encore être à poil au milieu de la piste, personne n'oserait me toucher même des yeux. Depuis que je suis « la poule » de Pierre, je suis devenue une espèce surprotégée.
Je dois avouer aussi que mon mari étant un obsédé sexuel ne m'a jamais caché qu'il avait le désir de me voir coucher avec ses amis, mais que cela se passerait quand je me sentirais prête à le faire. Et, comme il le voulait, petit à petit, je me suis habituée à avoir les quatre hommes pour moi et bientôt je ne me suis plus formalisée de leurs mains baladeuses, ce qui fait que lors de notre voyage de noces, je n'ai pas été surprise outre mesure de voir les mousquetaires réunis à la terrasse d'un café de Venise dès le premier jour.
Quand Pierre à proposer de faire un tirage au sort pour savoir avec qui je passerais la nuit, je n'ai pas hésité longtemps à donner mon accord. C'est ainsi que je me suis retrouvée avec Karim pour rentrer à l'hôtel ce premier soir de mon voyage de noces, je ne vous dis pas la tête du réceptionniste de l'hôtel qui m'avait vu avec Pierre la veille.
Un peu honteuse sous le regard ébahi du jeune homme, j'ai demandé la clé de ma chambre et nous sommes montés. À peine entré, Karim a commandé un repas pour deux et nous avons sagement attendu l'arrivée du groom de service avec le chariot repas.
Je ne sais pas très bien comment me comporter avec le jeune homme et j'avoue que j'ai peur de ce qui va arriver. Même avec l'accord de Pierre, j'ai l'impression de tromper honteusement mon mari et les yeux de Karim qui me déshabillent ne me mettent pas vraiment à l'aise.
— Cool poupée ! me dit-il en souriant, ça va bien se passer. On va manger et.
prendre son temps pour faire connaissance.
Mon anxiété se voit donc.
— Ne m'en veux pas, mais j'ai peur, pas de toi, mais de ce que nous allons.
faire.
— Nous allons faire ce que des millions de gens font tous les jours, on va se.
régaler avec des pâtes et du bon vin italien et après, nous prendrons un dessert.
Dès que le repas arrive, Karim prépare la table avec bougies et la rose dans le vase. Nous passons une bonne heure à manger doucement, comme si nous voulions retarder le moment de passer à autre chose.
Puis, le vin aidant, je me suis relaxée et quand Karim me prend la main je ne tremble plus et je lui souris.
Il va mettre la chaîne stéréo en route pour un slow langoureux et m'entraîne au centre de la chambre après avoir baissé l'intensité de la lumière. Nous dansons tranquillement pendant quelques minutes puis doucement les mains de Karim commencent à bouger sur mon corps tandis que sa bouche dépose de petits baisers dans mon cou. Il commence par me caresser les fesses avant de remonter dans mon dos. Il se presse contre mon ventre et je sens son sexe se frotter contre moi.
Malgré moi, je suis impressionnée par la grosseur et la dureté de l'engin et je ne peux m'empêcher d'imaginer ce que cela va me faire quand il rentrera en moi. Je sens le désir me tordre le ventre. Lentement, il fait sortir mon chemisier de ma jupe et je m'écarte légèrement pour qu'il puisse défaire les petits boutons de nacre. Puis ses mains glissent sous le chemisier et viennent dégrafer l'attache de mon soutien-gorge.
Je sens les bonnets se dégager de mes seins et j'ai envie de me débarrasser de mon chemisier et du soutien, mais je laisse l'initiative à celui qui va bientôt devenir mon amant.
Avec des gestes doux et lents, il fait tomber mes vêtements sur le sol et je me retrouve les seins nus face à Karim qui ouvre la bouche, me dis que j'ai la plus belle poitrine qu'il n'as jamais vu, et la question de beaucoup d'homme à ce moment là, quel taille tes nichons? prend mes petits
tétons entre ses lèvres pour les sucer et les titiller avec la langue, pe,da,t que je lui répond que je fais du 100D.
Les petits boutons de chair ses dressent sous la caresse et deviennent dur comme de la pierre, mes seins se gonflent de désir et c'est moi qui me presse contre Karim. Je ne résiste plus au désir qui me brûle, mes mains s'enhardissent et je commence à défaire les vêtements du jeune homme.
Très vite, sa chemise rejoint mon chemisier et il doit m'aider quand je défais la boucle de sa ceinture. Puis, les choses s'emballent et c'est avec des gestes fébriles que le reste de nos vêtements tombent sur le sol à nos pieds.
Je ne peux m'empêcher de jeter un regard sur la tige de chair qui va bientôt envahir mon ventre, elle est impressionnante et je deviens impatiente de la sentir en moi.
Le jeune homme me couche sur le tapis et vient se mettre entre mes cuisses.
Des doigts il caresse les lèvres de ma chatte et il se rend compte que je suis prête à le recevoir.
Karim écarte doucement mes lèvres intimes et présente son sexe à l'entrée de mon vagin. Lentement il pousse la tige de chair qui entre sans à coup en se frayant un chemin dans mon intimité. Pierre est bien pourvu par la nature, mais ce n'est rien à côté de la grosseur de l'engin de Karim qui commence un mouvement de va-et-vient en moi.
Il ne me faut pas longtemps pour sentir le plaisir monter en moi sous les assauts du jeune homme. Je me mors la lèvre pour ne pas crier quand le plaisir explose en moi, je me contente de serrer Karim entre mes bras et de me jeter à sa rencontre. Deux fois de suite j'atteins l'orgasme sous le joug de Karim qui semble inépuisable.
Alors que je crois qu'il va me donner une troisième fois du plaisir, le jeune homme se retire et me retourne comme une crêpe. Je comprends immédiatement ce qu'il veut et je tends mes mains pour écarter mes fesses et lui faciliter la tâche quand il présente le gland de son sexe à mon anus. Il doit faire un effort pour introduire la tige de chair de sa verge dans mon fondement.
Cela me fait un peu mal, mais j'avoue que j'aime être prise de cette façon si
Karim avait la bonne idée de me caresser le clitoris en même temps ce serait parfait, j'ai à peine le temps de penser à ce qu'il pourrait faire que je sens ses doigts se faufiler vers ma chatte et prendre mon clitoris qui n'en demandait pas tant pour se tendre sous la caresse. Je mords l'oreiller pour ne pas crier quand je jouis pour la troisième fois. Karim délaisse mon petit bouton pour prendre me seins à pleine main et jouer avec les bouts qu'il triture en tous sens en se faisant aller en moi. Cette fois, il ne s'intéresse plus à mon plaisir, il ne pense plus qu'au sien.
En même temps qu'il pousse un faible gémissement de plaisir, je sens son sperme m'inonder les intestins et il se laisse tomber lourdement sur moi. Il reste un long moment sans bouger, juste le temps de reprendre sa respiration qui se calme peu à peu.
Il se lève et court à la salle de bain prendre une douche. Il est sous le jet d'eau chaude quand je m'invite dans la douche et naturellement il m'aide à me laver et cela se termine par un gros câlin avec ma bouche.
Trois fois nous avons remis le couvert au cours de la nuit et à chaque fois, Karim s'est montré habile et patient. À chaque fois, il m'a fait jouir plusieurs fois et c'est complètement épuisés que nous nous sommes écroulés pour dormir dans les bras l'un de l'autre.
Comme demandé à la réception, on nous réveille vers onze heures du matin en nous apportant une sorte de petit déjeuner amélioré. On se dépêche, car nous avons rendez-vous avec les autres à midi trente dans un petit restaurant plutôt sympa.
Cette fois je le laisse seul sous la douche, ce n'est pas l'envie qui me m'empêche de le rejoindre, mais bien le temps que nous n'avons plus. Je suppose que j'aurai encore l'occasion de passer un moment avec Karim dans l'avenir et je m'en réjouis d'avance, car c'est vraiment un amant hors pair qui donne autant de plaisir qu'il en prend.
J'avoue être un peu déçue du comportement de Pierre quand nous entrons dans la salle du restaurant, il ne paraît pas le moins du monde inquiet pour moi, au contraire il se précipite vers Karim.
— Alors, ça été ?
— Très bien lui répond le jeune homme en saluant ses amis.
Nous nous asseyons à la grande table, moi près de mon mari qui se contente de me donner un léger baiser sur les lèvres et de mettre une main sur ma cuisse.
Ils reprennent leur conversation sans plus se préoccuper de notre arrivée.
— La Juve devait gagner s'ils n'avaient pas raté autant d'occasions…
Ils parlent foot et là, je n'ai pas droit de cité. Je regarde les quatre hommes en me demandant lequel sera mon compagnon d'un soir ?
Jacques ne me regarde pas souvent, mais par contre François jette souvent un regard furtif sur ma personne. Des deux je crois que c'est François le plus inquiétant, il ne me paraît pas vraiment franc du collier et je risque de passer une sale soirée avec lui. Je me trompe peut-être, mais cet homme me fait un peu peur.
Nous passons l'après-midi à flâner dans la ville de Venise en allant visiter le palais des Doges et la place Saint-Marc en laissant la visite de la ville sur les canaux pour le lendemain. Vers vingt heures je rentre à l'hôtel avec Jacques qui est l'heureux élu de ce soir.
À vingt-deux heures, il dort comme un bien heureux en tenant son oreiller comme si c'était un nounours. À peine entré dans la chambre, il s'est jeté sur moi pour me déshabiller fébrilement puis il s'est vidé trois fois dans un orifice différent avant de s'écrouler et de s'endormir en me laissant seule et frustrée.
Il faut reconnaître qu'entre Karim et lui, il n'y a pas photo. Je suis obligée de me réfugier dans la salle de bain pour me masturber et me calmer un tantinet avant de me coucher dans ce qu'il me laisse du lit.
À huit heures, je suis debout et fais monter un petit déjeuner et à onze heures nous sommes au restaurant où nous devons attendre près d'une heure pour voir arriver les trois autres. Jacques donne des claques dans le dos de Pierre.
— Super ta femme, elle est bonne mon Dieu c'était super.
Je préfère ne pas faire de commentaires et me contente de faire une petite place à mon mari qui comme la veille se contente d'un furtif baiser sur mes lèvres pour me saluer.
Cette fois la conversation vole sur le cinéma, car les trois gaillards ont été voir un film auquel ils n'ont rien compris puisqu'il était en italien, mais ils discutent des scènes de combat qu'ils ont trouvées géniales, mais ce qui les a surtout marqués, c'est l'actrice principale qui était particulièrement jolie.
J'ai beau questionner les hommes aucun n'est capable de me dire le titre du film qu'ils ont été voir.
Cette fois, ils nous laissent Pierre et moi en amoureux pour faire la visite de la ville en gondole, nous avons rendez-vous à dix-huit heures à la terrasse d'un café. Je m'attends à passer une après-midi cool et relax avec mon mari, mais il est trop curieux et veut savoir comment ce sont passées mes deux nuits avec ses amis. Comme je n'ai pas trop envie de m'épancher sur les performances de l'un ou de l'autre, nous finissons par nous disputer et, au lieu de faire le voyage en gondole collé l'un à l'autre, nous nous retrouvons dos à dos. C'est toujours en froid que nous retrouvons les autres et que je suis François qui sera mon amant du soir.
Des trois, c'est celui qui est le plus à l'aise à l'hôtel. Il va directement vers le comptoir de réception pour demander la clé de la chambre. Le réceptionniste ne cache pas son sourire en constatant que c'est le quatrième homme différent qu'il voit avec moi en quatre soirs. Je préfère ne pas le regarder franchement et je rougis un peu en passant devant l'homme qui ne me quitte pas des yeux.
— À poil!
La porte de la chambre n'est pas encore bien fermée que l'ordre claque sec comme un coup de fouet. C'est plus fort que moi, je me tourne vers François et le toise.
— Non, mais tu te crois où là ? Je ne suis pas une pute et je veux du respect.
François me regarde et sourit de toutes ses dents.
— Houla là ! On se rebiffe. Je sens qu'on va bien s'amuser tous les deux.
J'aime dresser les pouliches.
— Et je ne suis pas une jument non plus. Tu aurais pu me demander.
gentiment de me déshabiller et je serais nue maintenant.
— Peut-être que tu serais à poil, mais je n'aurais pas pris mon pied alors que.
maintenant, je vais prendre un pied d'enfer à te mater.
J'ouvre la bouche pour lui répondre, mais je n'en ai pas le temps, une paire de gifles m'envoie valdinguer au milieu de la chambre. Je n'ai pas le temps de me reprendre que François est déjà près de moi, il me prend par l'échancrure de mon corsage et déchire ma robe.
Comme s'il était pris d'une rage folle, il continue son œuvre de destruction et bientôt je suis nue avec les lambeaux de mes vêtements éparpillés sur le sol de la chambre. Je suis verte de rage et mes yeux lancent des éclairs en direction de l'homme qui se penche sur moi.
— Je te rappelle que je suis la femme de Pierre et que j'ai accepté de coucher.
avec toi et tes amis, mais pas d'être traitée comme la dernière des putains. Maintenant tu vas sortir, retrouver tes potes et inventer une histoire plausible pour justifier ta présence.
— Ha ! Ha ! Ha ! Tu es vraiment la reine des connes si tu crois que je vais.
sortir de cette chambre sans t'avoir sauté. Je suis ici pour passer une nuit avec toi et j'ai bien l'intention de profiter de tes trous à bites que cela te plaise ou non.
Avant d'avoir le temps d'ouvrir la bouche, François se baisse et m'attrape par le bout d'un sein. Il sert brusquement le petit bouton de chair tendre et tire dessus pour m'obliger à me lever.
— Aïe, tu me fais mal.
— Tu vas avoir encore plus mal si tu l'ouvres encore pour faire autre chose.
que pour prendre ma bite en bouche.
— Jamais ! dis-je avec rage.
De l'autre main, il me saisit les cheveux et me force à me mettre à genoux. Me tenant toujours par les cheveux, il ouvre sa braguette et sort son sexe qu'il me pousse dans la bouche. Je pourrais le mordre, mais je sais qu'il me le ferait payer très cher, je ne crois pas que cela en vaille la peine. De plus je me vois mal sortir toute à poil dans les couloirs de l'hôtel.... et puis je dois avouer que je ressens une chaleur inédite au creux de mon ventre d'être traitée de cette manière. Je n'aurais jamais imaginé ressentir une sorte de plaisir d'être brutalisée.
François se fait aller dans ma bouche en me tenant toujours les cheveux, il se sert de ma bouche comme si c'était une chatte. Brusquement il se retire et me donne deux gifles violentes.
— Si tu en veux d'autres, me dit-il d'une voix arrogante, continues, à me.
résister et tu seras servie, crois-moi.
Je le crois bien volontiers et je préfère lui obéir que de tenter le diable.
— Ça va, j'ai compris, je ferais ce que tu veux, mais ne me frappe plus.
— Si j'ai encore une fois à me plaindre de toi, je te donnerai une fessée avec.
ma ceinture pour que tu comprennes que c'est moi le chef et que tu dois faire ce que je veux.
Il va s'asseoir à la table et commence à grignoter. Il écarte les cuisses et me montre son sexe en érection.
— Suce, mais ne me fais pas jouir, me dit-il la bouche pleine.
Je m'avance lentement à genoux et je prends la tige de chair en bouche et commence à le pomper doucement. Je sors la langue et lèche le gland comme si c'était une crème glace avant de reprendre la queue dans ma bouche et me l'enfoncer jusqu'au fond de la gorge. Ce petit jeu dure près d'une heure, je commence à avoir mal à la mâchoire et François a de plus en plus difficile à se retenir, mais à chaque fois que je sens qu'il est prêt à jouir, je me retire et lui laisse quelques secondes le temps qu'il se reprenne. Je frissonne de plaisir quand le jeune homme me caresse les cheveux pendant que je le suce.
Sans douceur, il me repousse, se lève et m'attrape par le bras pour m'entraîner vers la salle de bain, je me demande ce qu'il a dans la tête, mais je le suis docilement, je suis prête à tout avec lui.
Arrivé à la salle de bain, il me fait monter dans la baignoire et me fait mettre à genoux les poignets dans le dos puis,vient se mettre face à moi debout.
— Ferme les yeux parce que ça pique.
Sans bien comprendre ce qu'il va faire, je m'exécute. Je pousse un cri de surprise quand je sens un jet chaud se projeter sur mes seins. Le salopard, il est en train de me pisser dessus. Mon premier mouvement est de me relever, mais
François a prévu mon geste et m'attrape par les cheveux pour m'obliger à rester à genoux devant lui. Il ne se contente plus de ma poitrine et s'attaque aussi à mon visage qu'il asperge copieusement. Je ferme la bouche pour ne pas avaler son urine.
La surprise passée, je dois avouer que ce n'est pas si désagréable que ça et je finis par m'offrir totalement au jet de pisse qui commence à se tarir. Décidément le bonhomme n'est vraiment pas comme les autres et le pire c'est que cela ne me déplaît pas.
Au risque de me faire à nouveau rabrouer ou gifler, je commence à me caresser les seins et lentement je continue mes caresses vers mon ventre. Incroyable, mais vrai, je vais prendre mon plaisir avec mes doigts alors qu'un homme vient de me pisser dessus.
— Je vois que ça te plaît, me dit François en souriant, on recommencera plus.
tard. On va prendre une douche maintenant.
Il m'emmène sous la douche et il me savonne de ses mains pour bien sentir mon corps. Ses mains se font de plus en plus précises et bientôt il se concentre sur mon petit bouton à plaisir qu'il titille avec deux doigts. Quand il se rend compte que je suis prête à le recevoir, il m'introduit sa queue dans la chatte et commence à se faire aller doucement au début puis de plus en plus vite. Contre ma volonté, mes bras s'accrochent au cou de François et mes jambes entourent ses hanches. Il me pistonne de plus en plus fort et je sens que je vais jouir.
— Ho ! Oui je sens que ça vient, t'es une bonne salope, je vais tout te mettre.
dans la chatte.
— Oui! Vas-y, c'est bon, encore plus fort!
Dans un râle il se cabre et projette son sexe en moi une dernière fois, je sens un long jet de sperme se répandre dans mon ventre et en même temps le plaisir explose dans mon ventre. Pour ne pas crier, je le mords dans le cou.
Il nous faut une bonne minute pour nous remettre de nos émotions. Lentement je laisse mes jambes retomber et je m'écroule dans le fond de la douche aux pieds de François qui lui est affalé contre le mur de la douche et reprend son souffle.
On s'essuie et nous retournons dans la chambre où nous attend toujours la collation que nous dévorons en quelques minutes. Je termine mon assiette la première et, poussée par une idée étrange, je me mets à genoux aux pieds de
François et je prends sa queue en bouche.
— Ma parole tu sembles aimer ça, constate François, je crois que je ne me.
suis pas trompé sur ton compte, tu es une salope qui aime le cul sous toutes ses formes.
Je préfère ne pas répondre, je continue à lécher et à sucer la grosse queue sans me préoccuper de ce qu'il pense de moi. Soudain, il me repousse et me prend par la main pour m'entraîner sur le lit. Il me jette sur le lit et se couche immédiatement sur moi. À peine le temps de dire ouf que ses doigts ouvrent mon sexe et que sa queue s'introduit à fond dans mon ventre. Il me baise sauvagement en se faisant aller comme un fou, nos ventres claquent l'un contre l'autre et ce qui doit arriver arrive, il ne tient pas longtemps avant de me jouir au fond de la moule. Naturellement je n'ai pas eu le temps de jouir même si j'y ai pris une sorte de plaisir malsain d'être prise comme une vulgaire putain.
Je prends un mouchoir en papier sur la table de nuit et j'entreprends de m'essuyer, mais ce n'est pas facile de faire sortir tout le sperme qui traîne dans ma chatte, je devrais aller prendre une douche pour le faire partir. Il ne me laisse pas faire et m'oblige à me coucher contre lui, je crois qu'il a envie de parler et moi je déteste ça.
— Je ne sais pas si tu as aimé ce que je t'ai fait, mais moi je prends un pied.
d'enfer avec toi.
— Pour être honnête, je dois bien reconnaître que, moralement, je n'aime.
pas tes manières, mais que, physiquement, elles me plaisent. Si tu avais su attendre encore deux secondes, je crois bien que j'aurais joui avec toi.
— Je vais te faire jouir, ne te tracasse pas.
— Je ne me tracasse pas du tout, je me demande simplement ce que tu vas.
encore inventer et je suis impatiente de savoir.
— Ton mari a des cravates ?
— Heu ! Je n'en sais rien, il faut voir dans la garde-robe ou dans une des.
valises.
Il se lève et va vers la garde-robe et en revient avec quatre cravates absolument horribles. François vient s'asseoir sur le bord du lit et m'attrape un poignet. Il attache une des cravates et se tourne vers mon pied qui subit le même sort que mon poignet. Il fait le tour du lit et c'est au tour de l'autre poignet et de l'autre cheville. Je commence à m'inquiéter sérieusement.
— Tu ne vas quand même pas m'attacher au lit ?
— Si, me répond-il en souriant, mais rassure-toi tu ne seras pas vraiment.
attachée.
François retire l'édredon qu'il place au centre du lit, il me fait m'intaller dessus, la taille de l'édredon fait qu'il se place sous ma tête,passe le long de mon dos,mais s'arrête au bas du dos, me laissant au centre du lit, mais légèrement soulever du matelas.
Il m'écarte les bras et les jambes et fait faire un tour aux quatre montants du lit avec les cravates qui sont attachées à mes poignets et à mes chevilles. Il me fait ouvrir les mains et me place le bout des cravates dans la paume.
— Ferme les mains maintenant, me dit-il d'une voix douce.
Ce que je fais.
— Voilà, comme ça, tu es attachée au lit, mais tu peux te libérer quand tu le.
veux en ouvrant simplement les mains… Maintenant je vais te donner un safeword…
— Un quoi ?
— Un mot de sécurité que tu diras quand tu trouveras que tu en as assez. Si.
tu as trop mal par exemple.
— Tu vas me faire mal ? Mais…
— Ne t'inquiète pas, dès que tu me diras « rouge » j'arrête tout.
— J'ai peur !
— N'aie pas peur, tu vas peut-être aimer ça.
Il va vers sa veste et en sort un petit sachet qu'il dépose sur la table de nuit. Je tourne la tête pour essayer de voir ce que contient le sachet, mais je n'arrive pas à distinguer son contenu.
Je suis tendue comme un arc et ma chatte est totalement offerte. Il se met entre mes cuisses et prend le sachet sur la table de nuit.
François retourne le sac et j'entends les objets qu'il contient se répandre sur le matelas. Puis, il se penche sur mon sexe et je ressens une petite douleur à l'une de mes grandes lèvres. J'ai à peine le temps de m'habituer à la douleur qu'il m'en inflige une seconde, mais sur l'autre lèvre. Ça me fait mal, mais c'est supportable.
François me montre alors ce qu'il est en train de mettre aux lèvres de mon sexe ; des petites pinces en plastiques multicolores.
— Ça va ? Me demande-t-il malgré tout un peu inquiet.
— Oui! Ça fait un peu mal, mais pas trop.
Il continue son petit jeu et me place ainsi une bonne dizaine de pinces sur le sexe puis il s'amuse à les faire bouger. La douleur est plus forte et je gémis quand il bouge aux pinces, mais je n'ai pas envie de lui dire d'arrêter.
Il me montre deux grosses pinces à linge et se penche vers ma poitrine. Je comprends ce qu'il a l'intention de faire et je serre les dents quand je le vois ouvrir la pince et l'approcher de mon téton raide et dur. Quand les mâchoires de la pince se referment sur le petit bouton de chair, je pousse un gémissement de douleur et j'ai une seconde l'envie de lui crier le mot de sécurité, mais je continue à serrer les dents en attendant qu'il mette la deuxième. Ça fait un mal de chien, mais curieusement il ne me vient plus l'idée de lui donner le mot de sécurité quand il place la seconde pince sur l'autre mamelon.
François se penche sur mon sexe qui commence à me faire de plus en plus mal et ses doigts commencent à jouer avec mon clitoris. Il décalotte la petite pine et la titille avec un ongle. Je me cabre sous les caresses et je sens mon ventre se liquéfier et ma liqueur intime s'écoule doucement de ma chatte ouverte et martyrisée.
— Ne t'arrête pas, je t'en prie, je sens que je vais jouir.
J'en ai trop dit et immédiatement la caresse s'arrête.
— Il faut que tu attendes pour jouir, je n'en ai pas encore fini avec toi.
— Non ! continue je t'en supplie.
— Patience, ma poupée, maintenant je suis certain que je vais te faire hurler.
de plaisir.
Ses doigts continuent de jouer avec les pinces et de temps en temps il passe un doigt le long de ma chatte qui suinte et vient terminer sa course contre mon clitoris dresser et dur.
Je croyais avoir eu très mal quand il avait mis les pinces sur les tétons, mais je me rends compte que ce n'est rien à côté de ce qu'il me fait en les retirant pour leur faire faire un quart de tour. La douleur est dix fois plus violente, ça fait mal quand il retire la pince et mal quand il la remet.
Je n'en ai pas encore fini avec la souffrance, car François a entrepris d'enlever les pinces de mon sexe, mais au lieu d'ouvrir les mâchoires, il tire les pinces jusqu'à ce qu'elles se décrochent elles-mêmes. La douleur est infernale, mais comme il continue de jouer avec mon clitoris, je sens le plaisir monter dans mon ventre et il explose quand l'homme retire la cinquième pince.
— Oui! Oui ! Ho… Mon Dieu… Que c'est bon ! Oui…
Incapable de me retenir je crie ma jouissance malgré la douleur infligée aux parties sensibles de mon corps. Je n'ai pas le temps de me remettre de ma jouissance qu'une nouvelle vague de plaisir m'inonde.
Quatre fois je jouis en hurlant pendant que François arrache les pinces et joue avec mon petit bouton. Je suis au bord de l'évanouissement quand il s'arrête.
Mon sexe est en feu et je me sens vidée de mes tripes, jamais je n'ai joui de cette manière, avec autant d'intensité. Je suis certaine que s'il avait continué à me caresser le clitoris, j'aurais encore joui plusieurs fois.
Il me laisse dix bonnes minutes pour me reprendre et ce n'est que quand il vient me secouer les seins que je me rends compte que j'ai encore les pinces sur mes tétons. Il fait mine de vouloir les retirer, mais je l'arrête.
— Non ! Ne les enlèves pas maintenant, tu as encore une promesse à tenir,
tu les enlèveras après ou pendant, comme tu veux.
— Quelle promesse ?
— Dans la salle de bain, tu as oublié ?
Il a compris ce que je voulais et m'aide à me détacher pour aller à la salle de bain où je m'agenouille dans la baignoire. Il vient se mettre face à moi et prend son sexe en main pour diriger le jet de pisse vers mes seins et ma figure. C'est plus fort que moi et pendant qu'il me pisse dessus, je me caresse les seins et le ventre. Juste par curiosité, j'ouvre la bouche et il n'en faut pas plus à François pour qu'il dirige le jet d'urine vers ma bouche ouverte.
Le goût ne me paraît pas aussi désagréable que je le craignais, au contraire j'aime ce goût salé et un peu amer de son urine et je suis un peu déçue de voir le jet se tarir. Il se secoue pour faire tomber les dernières gouttes et puis se penche vers mes seins et tandis que je continue à me caresser le ventre, il retire les pinces de mes mamelons. Si je n'avais pas joui autant quelques minutes plutôt, je crois que je serais parvenue à me faire plaisir dans la baignoire.
On prend une longue douche, mais cette fois, séparément, et nous allons nous coucher pour tenter de récupérer quelques forces avant le matin. Je me colle contre François et je ferme les yeux.
Quand j'ouvre les yeux, je suis seule dans le lit. François a commandé un copieux petit déjeuner et est assis à la table et dévore allègrement une omelette au lard.
Je ne prends même pas la peine de passer ma robe de chambre et je me précipite totalement nue à la table. Je meurs de faim et la nourriture est la bienvenue, mais avant tout, je me penche vers François et je l'embrasse à pleine bouche puis je lui ouvre sa braguette et en sors son sexe que j'embrasse à son tour avant de le remettre à sa place.
— Merci pour cette nuit fabuleuse que tu m'as fait vivre et pour les choses.
que tu m'as fait découvrir sur moi-même.
— De rien ma poupée, c'est quand tu veux pour remettre ça, mais ne restes.
pas à poil, je ne pourrai pas me contrôler et nous n'avons plus beaucoup de temps.
— Mais il n'est pas encore dix heures, nous avons le temps.
— Non parce que je veux que nous arrivions les premiers au restaurant, je.
voudrais choisir la table. De plus je veux que tu te fasses belle pour moi.
— Ce que tu veux mon chéri ! Ça ne te dérange pas que je te dise mon.
chéri ?
— Non ! me répond-il en souriant, mais je vais faire des jaloux.
— Mais je ne t'appellerai mon chéri que quand nous serons seuls.
— C'est mieux, allez va prendre une douche pendant que je prépare tes.
vêtements.
— C'est toi qui vas m'habiller aujourd'hui ?
— Oui! Mais tu vas être surprise.
— Si c'est pour te faire plaisir, ce que tu voudras mon chéri !
Je me précipite vers la salle de bain où je prends une longue douche en pensant aux choses qui me sont arrivées cette nuit. Je dois reconnaître que des trois nuits que j'ai passées avec les amis de mon mari, c'est celle avec François qui me laissera le plus de souvenirs et d'envie de recommencer.
Quand je reviens dans la chambre, je trouve sur le lit une jupe extracourte, un chemisier à fleurs et une paire de chaussures à talon haut. Pas le moindre sous-vêtement à l'horizon. François est assis tranquillement dans un fauteuil et regarde la télévision italienne, il ne doit rien comprendre à ce qui se dit et je vois qu'il me regarde en coin, il veut probablement voir comment je vais réagir à la tenue qu'il m'a préparée.
Sans le moindre commentaire, je me contente de mettre les vêtements qui sont sur le lit, si je dois me pencher, il va y avoir du spectacle. Comme je suis en train de fermer les boutons du chemisier, François intervient.
— Non ! Ne ferme pas les boutons, fais un nœud avec les pans du chemisier.
juste au-dessus de ton nombril. Si on voit trop tes seins, ferme juste un bouton.
Je fais ce qu'il me demande sans discuter et me dirige vers la maquilleuse où l'idée me vient de me maquiller outrageusement. Quand je viens devant mon amant me faire admirer, il siffle et me donne une tape sur les fesses.
— Tu es parfaite ! Ne change rien.
Je vais devant la garde-robe pour me regarder et j'avoue que j'hésite un peu à sortir ainsi, j'ai vraiment l'air d'une putain. D'autant qu'au moindre coup de vent je vais me retrouver les fesses à l'air sans même parler de mes mamelles qui sont prêtes à sortir de leur cachette au moindre mouvement brusque de ma part.
Heureusement, François ne me laisse pas le temps de réfléchir et m'entraîne vers la sortie.
Comme prévu, les autres ne sont pas encore là et François choisit une table au fond du restaurant où nous aurons une relative intimité.
Il me fait asseoir dos à la fenêtre et donc face à l'éventuel garçon qui viendra prendre notre commande.
Je suis la première à voir les trois amis arrivés. Je m'attends à des commentaires sur ma tenue ne fut-ce que de la part de Pierre, mais il dépose un baiser furtif sur mes lèvres et vient s'asseoir en face de moi en laissant Jacques et François se mettre à mes côtés. Comme les autres jours, je n'ai pas voix au chapitre, il parle de sport et le Championnat du monde de cyclisme qui à justement lieu en
Italie. Pendant qu'ils parlent entre eux, je sens une main se poser sur ma cuisse, c'est François qui part à la recherche de mon sexe. Instinctivement j'écarte les cuisses et laisse la main voyager à son aise entre mes jambes. Les doigts jouent avec ma chatte et surtout avec la petite tige de chair qui se dresse sous la caresse habile de François. Le petit manège dure un moment avant que François ne se penche vers moi pour me chuchoter à l'oreille.
— Glisse-toi sous la table et fais-nous jouir avec ta jolie petite bouche, me.
dit-il.
— Maintenant ?
— Oui! C'est le moment, ils sont tous lancés sur le vélo, ça va leur faire un.
choc.
— Mais…
— Chut! Ne dis rien et fais-le.
Je suis rouge pivoine et j'hésite quelques secondes, le temps de faire le tour de la salle des yeux et de constater que personne ne regarde dans notre direction.
Je recule ma chaise doucement et me laisse glisser sous la table. C'est Jacques qui est le premier à qui j'ouvre la braguette, de surprise il a failli renverser son verre qu'il venait juste de porter à ses lèvres quand ma main s'est posée sur son entre-jambes.
— Mais… mais… Houlà !
— Quoi, lui demande mon mari, tu ne sais plus boire ?
— Non, enfin si, je… Ce n'est rien. On parlait de qui pour être champion du.
monde ?
— On parlait de Bettini, il est en forme et…
Sous la table, j'ai sorti la queue de jacques et je l'embouche avec plaisir.
Longuement je le lèche et le suce jusqu'au moment où je sens son membre tressaillir et un long jet de sperme se projette au fond de ma gorge.
Naturellement, il est impossible de laisser le sperme s'écouler sur le sol donc, je suis bien obligée de l'avaler et de nettoyer la verge convenablement.
Puis, je m'attaque à Pierre qui s'arrête lui en plein milieu d'une phrase quand mes doigts ouvrent son pantalon.
— Je ne crois pas qu'un franç… Mais qu'est-ce que…
— Alors Pierre, un problème lui demande Jacques qui a compris ?
— Heu ! Non ça va… je disais qu'aucun français ne pourra gagner parce qu'ils.
n'ont pas d'équipe et que…
Je m'absorbe dans ma tâche et bientôt mon mari m'éjacule son sperme que j'avale goulûment, je commence à prendre plaisir à boire le foutre de mes amants.
Je continue avec Karim qui passe rapidement une main sur ma tête quand je dégrafe son pantalon. Ma bouche s'active sur la troisième bitte de la journée et le jeune homme ne résiste pas longtemps à mes coups de langue sur sa queue et lui aussi me remplit la bouche de son sperme chaud et gluant.
Au tour de François qui a déjà sorti son sexe pour que je n'aie plus qu'à le prendre directement e bouche. C'est lui qui reste le plus longtemps avant de me cracher sa semence et c'est à mon tour de prendre mon temps pour lui nettoyer son membre avant de refaire surface à la table.
— Messieurs, vous m'excuserez, mais je dois aller me refaire une beauté.
Un peu précipitamment, je me lève et cours vers les toilettes, il faut que je me fasse jouir, je suis excitée à mort par ce que je viens de faire.
Je m'enferme dans des w.c. et je me masturbe comme une furie jusqu'à ce que je jouisse enfin. Pour faire bonne mesure, je remets un peu de maquillage et retourne auprès des hommes. Je suis encore un peu fébrile en revenant m'asseoir, j'ai peut-être joui, mais je ne suis pas apaisée pour autant, j'ai plutôt envie de rentrer avec les quatre hommes et qu'ils me baisent comme une chienne. Je voudrais les voir aligner devant la baignoire et qu'ils me pissent dessus comme François l'a fait cette nuit. Je voudrais… Je voudrais… je suis tellement absorbée par mes pensées salaces que je ne m'en suis pas rendu compte que le sujet de conversation à changer.
— … Je vous assure que c'est possible, dit François aux autres, j'ai un pote.
qui nous prêtera l'argent. Il voudra une garantie, mais je crois que j'ai trouvé ce qu'il lui ferait plaisir.
— Et on peut savoir ce que c'est ?
— Non ! répond François, pas encore, je dois encore avoir une petite.
conversation avec Pierre et Charlotte avant de vous dire à quoi je pense.
Je saute sur l'occasion.
— Si on rentrait à l'hôtel pour en discuter calmement ? Vous ne croyez pas.
que ce serait mieux que devant tous ces italiens qui ne comprennent rien ?
Les quatre hommes rient de ma sortie, mais approuvent. À peine avons-nous terminé le dessert que nous décidons de passer le reste de l'après-midi à la chambre de l'hôtel. Je ne sais pour eux, mais moi, je suis excitée comme une puce et j'ai bien l'intention de me mettre à poil dès que nous aurons franchi la porte de la chambre et de m'offrir à eux. J'ai beau me traiter de salope, c'est plus fort que moi, je ne pense qu'à une seule chose les grosses queues que je vais avoir en moi quand nous serons à l'hôtel.
À peine ai-je franchi la porte de la chambre que je fais voler mes vêtements et je me tourne complètement nue vers les quatre hommes qui me regardent avec des yeux hagards.
— Pensez ce que vous voulez, mais je veux qu'on me baise, je suis en.
manque et j'ai quatre hommes à ma disposition qui vont me faire monter au plafond.
— Mais ma chérie, qu'est-ce qui te prend ?
— Il me prend que je suis en chaleur et que j'ai besoin qu'on s'occupe de.
moi. Faites-moi ce que vous voulez, mais faites-moi jouir.
— Waouha ! Ta femme est déchaînée on dirait.
Jacques est le premier à venir vers moi et à me peloter comme une putain. Il me jette sur le lit et se déshabille.
Chacun leur tour ils viennent me prendre, de face, de dos, mais n'arrive pas à soulager l'excitation qui me taraude le ventre, il m'en faut plus et je vais chercher les pinces dans la poche de François. Je jette le sachet sur la table et me tourne vers François.
— Montre-leur ce que tu fais avec ces petites choses-là.
Je vais chercher les cravates et les donnes au jeune homme qui ne se fait pas prier pour les attacher à mes poignets et à mes chevilles, mais cette fois, je suis réellement attachée aux montants du lit et François est le premier à me mettre une pince à la chatte bientôt suivit par les trois autres. François leur explique comment mettre les pinces et comment les retirer, c'est ce qu'ils font plusieurs fois de suite sans se préoccuper de mes cris de souffrance qui se mêlent aux cris de plaisir.
Deux heures durant ils me torturent divinement avec les pinces et me font jouir quatre ou cinq fois et, quand enfin, je suis apaisée, ils viennent de nouveau me baiser, seul ou à deux. Les queues se suivent dans tous mes orifices, ils se servent de moi comme d'une putain sans s'intéresser à ce que je ressens ou j'ai envie.
Quand ils sont rassasiés, ils me laissent attachée au lit avec les pinces accrochées à mes seins et à ma chatte. J'ai envie de crier qu'ils arrêtent, mais ils m'ont enfoncé une de mes petites culottes dans la bouche et je ne peux que geindre pendant qu'ils retournent s'asseoir à la table pour reprendre leur discussion.
Ils ont commandé une collation et me laissent visible au groom, toujours attachée au lit avec les pinces, quand celui-ci vient apporter la commande. Le jeune homme fait des yeux comme des boules de billard quand il me voit et j'ai l'impression qu'il n'attend qu'un encouragement pour se jeter sur moi. Un moment je vois dans les yeux de mon mari qu'il a l'envie de dire au jeune groom qu'il peut m'utiliser, mais il se reprend et se contente de lui donner un pourboire.
Je ne sais pas si je suis soulagée de voir sortir le jeune homme un peu déçu.
Ils sont tous repartis et je reste seule avec Pierre, je suis toujours attachée sur le grand lit avec des pinces sur les lèvres du sexe. François a repris les pinces des seins en partant, ils sont tous venus m'embrasser avec la langue en partant.
Karim à demander à Pierre s'il pouvait prendre une ou deux photos, ce que mon mari à accepter, ils en ont profité pour se faire photographier chacun leur tour près de moi, pour avoir un souvenir ont-ils dit. Il n'empêche que je suis contente de quitter l'hôtel demain matin, je n'ose pas imaginer ce que doivent penser les employés qui m'ont vue avec quatre hommes différents en quatre jours sans compter le groom qui m'a vue attachée au lit,à poil, avec des pinces sur le corps. Et dire que j'en suis seulement au voyage de noces, je me demande ce que cela sera pour nos dix ans de mariage.
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9 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Quelle salope ! Alors la soumission candauliste se poursuit ? Merci Charlotte. Au plaisir de vous lire… et de gicler en le faisant !
Je veux bien être invité à l’anniversaire des dix ans. Ton histoire m’a fait bander. J’ai adoré je vais lire la suite avec plaisir. Il manque juste une photo et je me fais jouir. Ta photo de présentation est superbe est-ce toi. Merci pour ce partage.bises
Lectrice ayez au minimum le courage de signet vos avis, rien de plus facile que de donner un avis de manière anonyme
Je viens donner ma avis de lectrice justement !!!
Vous sortez 1 histoire sur 1 site public assumez les commentaires négatifs ou positifs.
On peut être l’impératrice des salopes sans prendre de risques pour autant !!! 🤷♀️
Vous sortez 1 histoire sur 1 site public assumez les commentaires négatifs ou positifs.
On peut être l’impératrice des salopes sans prendre de risques pour autant !!! 🤷♀️
Lectrice, si c'est pour faire des commentaires négatifs sur tous les textes, que venez-vous faire ici ? en laissant des commentaires anonymes en plus ? sachez que votre avis m'importe peu
1 maître est sensé prendre soin de sa soumise comme 1 mari d’ailleurs.
Mais là apparemment ça n’est pas le cas entre la prise de risque et le mari qui ignore sa femme sacré voyage.
Sans oublier le pseudo maître qui va partager la femme à son profit. 🤦♀️
Mais là apparemment ça n’est pas le cas entre la prise de risque et le mari qui ignore sa femme sacré voyage.
Sans oublier le pseudo maître qui va partager la femme à son profit. 🤦♀️
4 chapitres ont déjà été envoyés au site, mais je ne peux vous dire leurs dates de parution
Quelle cochonne! Bravo
Superbe histoire !!!
Si cette histoire est réellement vécue, Charlotte, vous êtes une sacrée coquine !
J'envie vos compagnons de jeux...
Lolo
Si cette histoire est réellement vécue, Charlotte, vous êtes une sacrée coquine !
J'envie vos compagnons de jeux...
Lolo