Les cinq doigts de la main 7
Récit érotique écrit par Charlotte-la-salope [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-06-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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Les cinq doigts de la main 7
Chap. VII – Le fouet de monsieur Jean.
Pour la troisième fois, je vais chez monsieur Jean pour la quittance du loyer de François. Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine, les exigences de monsieur Jean m’excitent et me font une peur bleue.
Je dois m’y reprendre à trois fois pour faire fonctionner la carte du parking qu’il m’a donné. Je cale le moteur de la voiture quand la barrière du parking se lève pour me laisser passer. Je me demande si la barrière ne va tomber sur le toit de
la voiture quand je redémarre enfin. Tout se passe bien et je ne dois pas chercher pour trouver l’emplacement qui m’est réservé.
Je scrute le sous-sol pour essayer de repérer les caméras et voir si je peux y échapper. J’en vois trois et leur disposition ne me laisse aucun espoir.
À la pensée qu’on va me suivre pendant mes déplacements et que je serai nue, je sens mon ventre se tordre de plaisir. Ma chatte est tellement trempée que la poignée de la laisse ne tient pas dedans. J’ai dû, à nouveau utiliser le système D de la corde en string pour la faire tenir. Malgré les battements fous de mon cœur, je tente de paraître calme quand je sors de la voiture. Je pourrais essayer de monter habillée et de retirer ma robe seulement sur le palier de monsieur Jean, mais je suis certaine que les caméras sont branchées chez lui et qu’il est le seul à me regarder. Il est aussi possible qu’un gardien soit responsable de la sécurité et que ce soit lui qui va me suivre. De toute façon, je n’ai pas vraiment le choix. J’ouvre en tremblant le coffre de la voiture et y dépose mon sac à main puis, je jette un œil aux alentours pour constater qu’il n’y a personne dans le parking. Je
défais lentement les boutons de me robe et je l’enlève pour me retrouver entièrement nue dans un parking désert. Les petites pinces à mes tétons me font un peu mal, il faut dire que ma poitrine se soulève à un rythme infernal et que j’ai toutes les peines du monde à trouver un semblant de calme.
Après avoir fermé la porte, je me retrouve avec les clés de la voiture en main et je ne sais pas quoi en faire. Après avoir verrouillé la voiture, je me penche
légèrement et passe une main sous le pare-chocs arrière. Il y a une petite boîte en métal qui est destinée à recevoir une clé de réserve. Je me dirige vers la porte qui donne sur l’immeuble. Je sens mon corps qui se couvre de chair de poule et mon clitoris se gonfler et se dresser à me faire mal. Je prends des précautions de sioux pour entrer dans le couloir de l’immeuble. Je n’entends aucun bruit et je commence à monter lentement les escaliers. Si j’avais une feuille à cigarette entre les fesses, on ne pourrait pas l’enlever tellement je serre les fesses de peur et d’excitation. Entre deux étages, j’entends une porte s’ouvrir et une personne emprunter les escaliers. Je ferme les yeux en espérant que cette personne va descendre et ne me verrat pas. Je pousse un long soupir de soulagement quand je me rends
compte que c’est le cas. Enfin, j’arrive sur le troisième palier, celui de monsieur Jean et de François. Je suis essoufflée d’avoir monté toutes ces marches, mais en plus j’avais la peur au
ventre d’être surprise à poil par quelqu’un vivant dans l’immeuble. Je suis sûre qu’un jour ou l’autre cela se produira, mais je suis heureuse que ce ne soit pas cette
fois-ci. Il faut deux bonnes minutes à monsieur Jean pour venir m’ouvrir. Il me sourit de toutes ses dents et semble content de voir que je suis rouge de honte et d’excitation. Il me fait entrer en tirant sur la chaîne qui réunit mes seins.
- Aïe ! Vous me faites mal.
- Mais c’est le but recherché ma petite Caroline. Allez, avance plus vite ou je t’arrache le bout de tes grosses mamelles.
Vu la façon qu’il a de tirer sur la chaînette, je le crois volontiers et j’essaye d’aller aussi vite que lui. Nous arrivons dans le salon et là, je suis surprise de ne voir personne, je m’attendais à voir au moins Adrien.
- Nous allons être seuls cette fois, mais, rassure-toi, tu auras des
spectateurs la prochaine fois. Aujourd’hui tu vas passer un test très important pour la suite.
- Qu’allez-vous me faire ?
Cet homme m’inquiète de plus en plus, mais je sais que quoi qu’il fasse je m’efforcerai de faire bonne figure et de supporter ses amusements.
- Tu vas voir, j’ai fait quelques changements dans notre petite pièce. Il m’ouvre la porte et je reste clouée sur place. La table est repliée et posée dans
un coin. Au centre de la pièce, il y a une grosse corde qui pend.
- Couche-toi en dessous de la corde, les bras et les jambes écartés.
J’ai peur, mais en même temps je suis excitée et je suis impatiente de voir ce qu’il a encore trouvé. Je me couche sur le sol rugueux en écartant bien les bras et les jambes. Je suis offerte d’une manière obscène et cela me procure un plaisir
intense, je sens ma chatte s’ouvrir et le résultat de mon excitation s’écouler sur mes fesses. Je suis devenue une vraie chienne et quoi qu’il m’arrive aujourd’hui, j’en serai heureuse.
Jean s’affaire quelques minutes avant de revenir vers moi.
- Lève-toi, me dit-il sèchement.
J’avoue que je ne comprends pas pourquoi il m’a fait m’étendre sur le sol, peut être voulait-il juste m’humilier ? Je me redresse et devant moi, monsieur Jean me présente deux bracelets assez larges qu’il referme sur mes poignets. Je lève les bras et il attache les bracelets à la corde puis il tend la corde de façon
que je sois bien tendue et presque sur la pointe des pieds. Monsieur Jean vient enlever la petite chaîne qui réunit mes seins et je ne peux m’empêcher de
pousser un gémissement de douleur quand il ouvre les pinces qui écrasent mes mamelons. Il va poser la chaînette sur un appui de fenêtre et revient avec deux autres pinces plus grosses et qui ont un poids accroché.
Je ferme les yeux quand il ouvre la première pince et l’approche de mon petit téton droit. La douleur est fulgurante, les mâchoires sont munies de petites dents qui entrent dans ma chair. Après avoir accroché la deuxième et, par la même
occasion, arraché un long gémissement de douleur, il se recule et je l’entends fouiller dans un sac.
Un claquement et je frémis, car je viens de comprendre ce qu’il va me faire ; me fouetter. Même si cela fait des semaines que je rêve d’être la cible d’un fouet, je sens mon corps qui se hérisse à la perspective de souffrir. Monsieur Jean doit se rendre compte de ma peur, car il s’amuse à faire claquer le
fouet dans l’air et chaque fois, je me tords dans mes liens et j’attends la douleur qui ne vient pas.
- Pas trop fort! Je vous en prie, c’est la première fois que je vais… Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que j’entends le bruit effrayant de la lanière qui s’écrase contre ma peau. Il faut une bonne seconde avant qu’une sensation de brûlure intense m’arrache un petit cri.
- Aïe ! pas trop fort je vous en supplie !
Un deuxième claquement sur la peau de ma fesse et un second gémissement bientôt suivit par un troisième et un quatrième.
Mes fesses me brûlent, mais la douleur est supportable. Après le cinquième coup, monsieur Jean vient me caresser les fesses qui doivent être bouillantes.
Il me tourne autour en faisant claquer son fouet dans le vide, je ne m’y ferai jamais, car à chaque fois, je me crispe et je frémis de peur. Son fouet n’est pas très long, il fait à peine un mètre de long, mais la mèche est plate et large d’un bon centimètre.
Soudain je le vois lever son bras et le rabattre vers mes cuisses. Il a déjà relevé son bras quand la douleur se répand dans mon corps et cette fois, je pousse un vrai cri.
- Wouah ! Aïe !
Comme la première fois, c’est une série de cinq coups qui s’abattent sur mes cuisses. Je gémis et je me tords au bout de la corde en essayant d’éviter la lanière qui vient inexorablement s’écraser sur la peau tendre sans que je ne puisse rien y faire.
Après cinq coups, monsieur Jean se remet à tourner autour de moi en faisant claquer son fouet. Je continue à me trémousser comme un poisson au bout de la ligne à part que je devais ressembler à un gros jambon.
Une nouvelle série de cinq coups sur les reins avant une autre encore sur le ventre. Les pinces qui pendent à mes nichons me font de plus en plus mal à chaque mouvement de mon corps, je sens la chair tendre de mes tétons s’allonger avec les poids.
Mes gémissements se font de plus en plus sourds. La douleur n’est pas infernale, mais elle commence à irradier de mon corps tout entier. Lentement mais sûrement, monsieur Jean continue ses séries de cinq coups avec, à chaque fois, une petite période de répit très courte. Entre deux séries de coups, il vient me
caresser, les seins, le ventre, les fesses et semble satisfait de constater que de ma chatte suinte ma liqueur intime qui coule finement le long de mes cuisses.Quant à mon clitoris, il est gonflé et fièrement dressé, il sort de mon ventre d’une manière obscène, comme un sexe d’homme miniature.
Mon corps est couvert de fines balafres rougeâtres de sous mes seins jusqu’à micuisses. Monsieur Jean est en train de me marquer juste pour que les marques soient cachées par ma robe. Je commence à avoir de plus en plus de mal à
supporter les coups et mes gémissements ressemblent de plus en plus à depetits cris de douleur. Cette fois, le moment de vérité est arrivé, car les prochains coups doivent arriver
à hauteur de mes seins. Plusieurs fois déjà il a accroché les poids, qui pendent toujours, avec la lanière du fouet.
- Arhhhg ! Ahhrg !
C’est épouvantable, il vient de frapper deux fois juste au-dessus des tétons et même si les coups ne sont pas violents, ils suffisent pour augmenter encore la douleur des pinces qui volent en tous sens à chaque coup sur mes seins.
Maintenant, monsieur Jean s’arrête entre les coups plus souvent, il prend son temps pour me marquer la poitrine et vient jouer avec mon clitoris entre deux coups. Je suis au bord de l’explosion et l’homme s’arrange pour qu’elle n’arrive pas trop vite. Jamais je n’aurais imaginé être apte à jouir alors que je suis fouettée et pourtant il ne faudrait plus grand-chose pour que je hurle mon plaisir. Mes lèvres portent la marque de mes dents que je sers de plus en plus fort même si je ne peux empêcher les cris de sortir de ma gorge quand la lanière du fouet s’abat sur mes chairs les plus tendres.
- Ahhrrg ! … Arrêtez, je vous en prie.
Naturellement monsieur Jean ne tient aucun compte de mes demandes et continue à me fouetter.
Cette fois, il en a fini avec mes seins et, après être monté le long de mon corps, il commence à descendre. Maintenant, ce sont des parties déjà fouettées qui sont à nouveau la cible de la lanière maniée avec habileté par mon tortionnaire.
Du cou aux cuisses, mon corps est un brasier. Aucun coup n’a été donné avec violence et je n’ai pas eu à hurler de souffrance et pourtant aucune partie de mon corps n’a été épargnée. Je suis toujours au bord de l’extase et je sens qu’il
suffirait d’une caresse plus appuyée sur mon petit bouton d’amour et je m’envolerais, mais l’homme est rusé et refuse de me délivrer.
Quand il jette le fouet, je me laisse complètement aller et je pends lamentablement au bout de la corde. Je pense en avoir fini pour aujourd’hui avec monsieur Jean, mais c’est oublier qu’il ne s’est pas encore soulagé. Il vient face à moi et prend mes seins dans ses mains mises en coupe. Lentement, il les caresse
en m’arrachant des gémissements de souffrance. Quand il ouvre les mâchoires des pinces, je manque de défaillir tellement la souffrance est violente.
- Haaaaahhhrg ! Houuuhhg !
Mais en même temps son sexe se frotte sur mon clitoris. Il jette les poids au sol et d’une main m’ouvre la chatte pour enfoncer son membre au plus profond de mon ventre. Je ne sais pas s’il va jouir, mais je sens que mon ventre se tord de
plaisir et la jouissance explose en moi.
- Oui! ouiiiiii ! Plus fort encore ouiiiii!
Je crie, je hurle, je me trémousse, je vais à la rencontre du sexe qui entre en moi avec violence, nos ventres se frappent l’un contre l’autre, je ne ressens plus aucune douleur, je suis sur un nuage et je provoque des éclairs qui explosent dans mon ventre à un rythme effréné. Je regrette que Adrien ne soit pas là, il
aurait pu s’occuper de mon cul.
Brusquement, monsieur Jean se retire de mon ventre et me projette sa semence sur le ventre. Moi, je suis complètement lessivée et mes jambes ne me
supportent plus, je suis au bord de l’évanouissement et monsieur Jean doit me tenir par le dessous de bras pour me détacher et je me laisse tomber sur le sol comme une poupée de chiffon. Je n’ai pas vraiment le temps de me reprendre, car l’homme vient me mettre son sexe à la bouche. Instinctivement, j’ouvre la bouche et je lèche la tige de chair
encore couverte de sperme. Je suce et nettoie la bitte qui vient de me faire jouir. Il me faut dix bonnes minutes pour reprendre mon souffle et commencer à me
rendre compte que mon corps souffre terriblement de la fouettée que je viens de recevoir.
Mes sens se calment à l’intérieur de mon corps, mais ils irradient à l’extérieur. Il n’y a pas un centimètre carré de mon corps entre mon cou et mes cuisses qui me brûlent des feux de l’enfer. J’ai l’impression que je ne vais pas pouvoir toucher mon corps sans crier pendant au moins plusieurs jours.
Monsieur Jean accroche la laisse au collier et remet la petite chaîne entre mes seins.
- Ahhhrg ! Non, je vous en prie, ça fait trop mal.
Mais l’homme est sans pitié et bientôt la chaîne pend à nouveau entre mes tétons. Il me fait écarter les cuisses et m’enfonce la quittance au fond de la chatte puis, il prend la laisse et m’oblige à me lever pour le suivre chez François.
Quand celui-ci ouvre la porte, il émet un sifflement d’admiration.
- Vous n’y êtes pas allé de main morte. Elle va en avoir pour une semaine pour faire partir ces marques.
- À peine, lui répond monsieur Jean. Dites, j’ai besoin d’elle dans quinze jours, chez des amis qui veulent voir une femme se faire fouetter, je peux compter sur elle ?
- Ça mon cher, c’est à elle qu’il faut le demander, moi je n’en profite qu’une fois par mois, comme vous.
J’ai entendu la question et je suis en train de réfléchir pour savoir si je vais accepter ou refuser. Je me tourne lentement vers monsieur Jean.
- Je vais me faire baiser ?
- Je n’en sais rien, cela dépendra de toi, si tu es d’accord il y a de fortes chances que mes amis profiteront de l’occasion.
- Je viendrai. Dites-moi quand !
- Mercredi dans deux semaines, à midi comme aujourd’hui. Tu seras en chienne et à poil dans le parking près de ta voiture, je passerai te chercher. Il me donne une tape sur les fesses qui me fait bondir.
- Aïe !
- À plus ma belle, me dit-il en sortant de l’appartement de François. François m’emmène dans la salle de bain et sort un pot de pommade de son armoire à pharmacie.
- Lève les bras, m’ordonne-t-il en retirant les pinces qui écrasent toujours le bout des mamelles.
Je gémis et fais ce qu’il me dit. Pendant une demi-heure, il me frotte le corps avec sa pommade apaisante. Ça ne fait pas disparaître la douleur, mais la sensation de brûlure diminue sensiblement. Quand mon corps est couvert de pommade, François me montre son sexe raide et dresser. Sans me faire prier, je m’agenouille et prends sa bite en bouche pour
le faire jouir. Il est particulièrement excité, car il se répand dans ma bouche assez vite, plus vite que les autres fois. Quand son sexe est net, je me relève.
- Tu n’aurais pas une robe à me prêter ?
- Non ! Désolé, il va falloir que tu retournes à ta voiture come tu est venue, à poil.
Heureusement pour moi, je ne croise personne en descendant au parking, je suppose que monsieur Jean se rince l’œil en me regardant retourner à ma voiture.
C’est au moment de m’asseoir dans mon véhicule que je comprends que ma vie va être infernale pendant les deux ou trois jours qui viennent. Je dois serrer les dents pour me mettre au volant et chaque mouvement que je fais ne fait que
raviver le feu de mon corps. Il me faut quarante-huit heures pour pouvoir enfin m’étendre et dormir calmement.
Je suis restée debout presque en permanence, car même m’asseoir était douloureux. Cela a fait rire Pierre aux éclats, il n’a pas l’air de se rendre compte que je suis en train de changer et un jour, il va se réveiller avec une femme totalement différente de celle qu’il a épousée. Il devrait s’intéresser à mes besoins, mais il préfère laisser cela aux mains de François alors que son ami n’est qu’un petit maillon de la grande chaîne de ma vie. Il faudrait que Pierre fasse un petit stage chez monsieur Jean pour savoir comme s’occuper de moi.
Plus j’avance et plus je me rends compte que je vais avoir besoin d’une main ferme pour me guider, j’espère que ce sera celle de mon mari.
Comme prévu par monsieur jean, une semaine après, je n’ai plus de marques et le souvenir de la fouettée commence à s’estomper dans mon esprit, il ne me reste plus que le souvenir de ma jouissance extraordinaire.
Je passe une semaine terne puisque les amis de Pierre ne sont pas venus cette semaine. L’attrait de la nouveauté ayant disparu, ils vont certainement se faire plus rares. Je suis sûre que si Valérie avait encore été disponible ils seraient venus, mais ils ne leur restent que moi et ils me connaissent par cœur, du moins
le croient-ils. Je crois que même François est loin de se rendre compte de ce que je suis capable de faire, je ne le sais pas vraiment moi-même. Pierre en profite pour me faire l’amour comme au début de notre relation, c’est bon, mais j’avoue que cela manque un peu de piquant même s’il me donne du plaisir.
Heureusement, pour briser la monotonie de cette semaine, il y a la visite chez madame Claire. Je me rends chez cette femme le cœur battant, car cette fois, je serai seule puisque Valérie est trop loin pour continuer ses visites et j’espère qu’il
va se passer quelque chose de différent des autres visites de contrôle. Les périodes de calmes commencent à se raccourcir sérieusement. Au début, un mois entre deux visites chez monsieur Jean me comblait, mais maintenant, après une semaine je suis comme une droguée en manque et je
tourne comme une lionne en cage, prête à me foutre à poil sur un simple claquement de doigt, pour être violentée et tronchée, par tout être humain, homme ou femme, j arrive même à penser me rendre dans les quartier glauque de la ville, où une femme seule, ne pourrais rentrée chez elle qu'après de nombreuses heure de viols en tournante !
Pourtant, je suis déçue de ma visite, car elle est non seulement courte, mais calme et terne. C’est à peine si la femme médecin regarde mon sexe. J’ai l’impression d’être une vache qui passe sa visite avant d’aller à l’abattoir ou au champ. Apparemment, je suis bonne pour le service et mon épilation est presque
totale. Je rentre à la maison un peu frustrée et je n’ai plus que le mercredi suivant pour me mettre un peu de plaisir au ventre.
Je me suis connectée sur Internet et j’y ai trouvé une femme qui me fait faire des choses, mais virtuellement. J’ai passé deux bonnes heures avec des pinces sur les tétons, je me suis mise à genoux devant l’écran, mais nous n’avons pas de Webcam alors, cela à manquer de saveur et j’ai très vite fermé ma session. Il
faut que je trouve autre chose pour assouvir ma soif de soumission et violence sexuelle.
Enfin, on est mercredi matin et je suis impatiente de retrouver monsieur Jean. Impossible de rester au lit ce matin, j’étais debout avant Pierre et il a été surpris de me voir lui servir son café. Il ne se rend pas compte que j’aimerais qu’il m’impose d’être chaque matin debout avant lui et que son petit déjeuner soit prêt quand il arrive dans la cuisine.
À onze heures et quart, je suis au volant de ma voiture et je prends la direction de la périphérie de la ville où se trouve l’immeuble de monsieur Jean. J’entre dans le parking, il me reste encore une bonne demi-heure à attendre. Je fais les
cent pas au sous-sol à attendre que l’heure de mon rendez-vous arrive enfin. J’ai l’impression que les aiguilles de ma montre n’avancent pas, tant pis, il reste un quart d’heure, mais je ne sais plus attendre. Je sors de mon véhicule et
j’enlève ma robe avant d’ouvrir le coffre pour y mettre mes affaires. Après avoir caché la clé, je me tiens debout face à la caméra et commence à me masturbée, il y a des année, que je n'avait plus eu recourt à cette attouchement solo,j’attends que monsieur Jean arrive. Il me fait attendre une demi-heure avant de venir me chercher.
- Tourne-toi, me dit-il en guise de bonjour.
Je m’exécute immédiatement et il me met des menottes aux poignets. Il prend la laisse et m’entraîne vers les escaliers, mon cœur s’emballe, car il m’avait bien dit que ce serait ailleurs que chez lui et, sottement, je m’étais imaginé que ce serait
dans un autre bâtiment. Cette fois, il est inutile que je fasse attention aux bruits dans les escaliers, je suppose qu’il ne s’arrêtera pas. Et c’est le cas quand nous croisons la concierge de l’immeuble. Je suis mortifiée, car la jeune femme est de
mon âge et nous avons été à l’école communale ensemble. Elle fait la moue en me voyant et me regarde comme une traînée, heureusement elle ne semble pas me reconnaître.
- Vous pourriez emmener vos salopes ailleurs que dans cet immeuble, dit elle à monsieur Jean avec un air pincé.
Monsieur jean ne paraît pas se démonter pour si peu et lui répond sèchement.
- Chère madame, vous êtes mon employée, cet immeuble m’appartient et j’y fais ce qu’il me plaît, le jour où vous n'aurez plus ce travail, vous aussi viendrais à poil, ouvrir vos cuisses pour être baisée contre un billet, Retirez-vous et laissez-moi passer, j’ai des choses à faire et je crois que vous aussi. Les escaliers étaient sales la semaine passée.
La femme rougit et s’écarte pour nous laisser passer. Je baisse les yeux et je me sens devenir aussi rouge qu’une pivoine au printemps. Mes joues sont en feux quand je passe devant elle tenue en laisse et totalement nue.
- Pouffiasse ! me dit-elle.
Je devrais me sentir humiliée et plus bas que terre, mais paradoxalement cette insulte me donne du courage et je la regarde fixement dans les yeux. C’est elle qui baisse les yeux la première, je me sens fière de moi et c’est le cœur plus
léger que je suis monsieur Jean jusqu’à son appartement.
Dès que nous sommes dans son antre, monsieur jean me détache et m’enlève la chaînette, le collier et la laisse.
- Tu trouveras de quoi t’habiller et te maquiller dans la chambre, me dit-il en me désignant une porte.
Il me faut quelques secondes pour réaliser ce qui se passe. Je préfère ne pas faire de commentaires et je pousse la porte de la chambre. J’ai malgré tout un peu peur de passer le seuil, car je m’attends à me retrouver face à un ou plusieurs hommes, mais il n’y a personne. Sur le lit, une superbe robe rouge vif et des sous-vêtements comme je rêvais d’en avoir quelques mois plutôt. C’est manifestement une chambre pour une femme et j’aimerais bien fouiller la garde-robe, mais je préfère me concentrer sur mon maquillage. Je ne sais pas vraiment ce que veut monsieur Jean et je n’ose pas me montrer outrancière. Je me mets juste un peu de fond de teins et un soupçon de mascara et du rouge à lèvres. Je passe les sous-vêtements qui
me vont à merveille et, enfin, j’enfile la robe qui est d’une coupe à faire rêver n’importe quelle femme de goût. La robe me colle à la peau, comme si elle avait été faite pour moi, j’ai un peu peur que les sous-vêtements se voient trop, mais ce n’est pas le cas et j’en suis soulagée. Je suis prête à sortir quand je remarque
une perruque noire sur la coiffeuse. Je me décide à la mettre et là aussi, elle est parfaite et me donne un petit air de Louise Brooks. Je ne sais si cela plaira à l’homme qui m’attend de l’autre côté de la porte, mais tant pis, je sors ainsi. Monsieur Jean est admiratif et applaudit mon entrée dans son salon.
- Parfaite, tu es parfaite.
Il prend un grand sac de sport noir et me fait signe de le suivre. Nous redescendons au parking, toujours par les escaliers. J’aurais bien aimé croiser la concierge encore une fois, mais je n’ai pas cette chance.
Je suis ébahie de voir la voiture de monsieur Jean, une superbe Audi A6 gris argent. Je ne suis jamais montée dans une telle voiture et je me sens un peu intimidée. J’attends une bonne dizaine de minutes avant d’oser poser une question.
- Je peux savoir où on va ?
- Nous allons de l’autre côté de la ville, presque à la campagne puisque c’est dans une ferme.
- Une ferme ? Au milieu des cochons ?
- Ha ! Ha ! Ha ! Rassure-toi, il y a longtemps qu’il n’y a plus de cochon dans cette ferme. Je crois que je vais faire rire Mamadou en lui racontant.
- Mamadou ? Qui est-ce ? Celui qui veut voir une femme f…
- Fouettée, tu peux le dire, mais non ce n’est pas lui, il en voit souvent, tu vas t’en rendre compte. Tu vas avoir l’honneur et le plaisir d’être fouettée pour quelques personnes de mes amis.
- Ils sont nombreux ?
- Trois hommes et trois femmes, dont deux lesbiennes. Il est fort possible que tu te fasses lécher la moule par une gouine cet après-midi.
Ma curiosité satisfaite, je préfère me taire et savourer le voyage qui ne sera pas très long.
Peu de temps après, la voiture se gare dans une grande cour de ferme. La ferme a été transformée en une sorte de boîte de nuit, car il y a des néons multicolores un peu partout.
La grande porte d’entrée est gardée par deux géants noirs. J’ai l’impression que s’ils ne veulent pas que quelqu’un entre, ils sauront se montrer persuasifs. Il y a d’autres voitures garées et je me demande si ce sont celles des gens qui vont me voir fouettée tout à l’heure ? Avant de descendre de la voiture, je me
tourne vers monsieur Jean.
- Vous avez prévu une sorte de scénario ?
- Non ! Mais si tu préfères, on peut en mettre un au point maintenant ?
- Heu ! Non je crois que je préfère vous laisser décider comment cela va se passer.
- Tu as peur ?
- Oui! Terriblement, mais j’en ai envie en même temps. C’est difficile à comprendre et à vivre croyez-moi.
- Ce ne sera pas pire que la dernière fois. Maintenant, il faut qu’on mette au point un système pour que tu me fasses comprendre que tu es d’accord ou non pour que les spectateurs participent au petit spectacle que nous allons leur donner.
- Vous n’avez qu’à me poser la question et je vous répondrai par oui ou non.
Je crois que c’est le plus simple non ?
- En effet, c’est plus simple comme ça.
Pour la troisième fois, je vais chez monsieur Jean pour la quittance du loyer de François. Mon cœur bat la chamade dans ma poitrine, les exigences de monsieur Jean m’excitent et me font une peur bleue.
Je dois m’y reprendre à trois fois pour faire fonctionner la carte du parking qu’il m’a donné. Je cale le moteur de la voiture quand la barrière du parking se lève pour me laisser passer. Je me demande si la barrière ne va tomber sur le toit de
la voiture quand je redémarre enfin. Tout se passe bien et je ne dois pas chercher pour trouver l’emplacement qui m’est réservé.
Je scrute le sous-sol pour essayer de repérer les caméras et voir si je peux y échapper. J’en vois trois et leur disposition ne me laisse aucun espoir.
À la pensée qu’on va me suivre pendant mes déplacements et que je serai nue, je sens mon ventre se tordre de plaisir. Ma chatte est tellement trempée que la poignée de la laisse ne tient pas dedans. J’ai dû, à nouveau utiliser le système D de la corde en string pour la faire tenir. Malgré les battements fous de mon cœur, je tente de paraître calme quand je sors de la voiture. Je pourrais essayer de monter habillée et de retirer ma robe seulement sur le palier de monsieur Jean, mais je suis certaine que les caméras sont branchées chez lui et qu’il est le seul à me regarder. Il est aussi possible qu’un gardien soit responsable de la sécurité et que ce soit lui qui va me suivre. De toute façon, je n’ai pas vraiment le choix. J’ouvre en tremblant le coffre de la voiture et y dépose mon sac à main puis, je jette un œil aux alentours pour constater qu’il n’y a personne dans le parking. Je
défais lentement les boutons de me robe et je l’enlève pour me retrouver entièrement nue dans un parking désert. Les petites pinces à mes tétons me font un peu mal, il faut dire que ma poitrine se soulève à un rythme infernal et que j’ai toutes les peines du monde à trouver un semblant de calme.
Après avoir fermé la porte, je me retrouve avec les clés de la voiture en main et je ne sais pas quoi en faire. Après avoir verrouillé la voiture, je me penche
légèrement et passe une main sous le pare-chocs arrière. Il y a une petite boîte en métal qui est destinée à recevoir une clé de réserve. Je me dirige vers la porte qui donne sur l’immeuble. Je sens mon corps qui se couvre de chair de poule et mon clitoris se gonfler et se dresser à me faire mal. Je prends des précautions de sioux pour entrer dans le couloir de l’immeuble. Je n’entends aucun bruit et je commence à monter lentement les escaliers. Si j’avais une feuille à cigarette entre les fesses, on ne pourrait pas l’enlever tellement je serre les fesses de peur et d’excitation. Entre deux étages, j’entends une porte s’ouvrir et une personne emprunter les escaliers. Je ferme les yeux en espérant que cette personne va descendre et ne me verrat pas. Je pousse un long soupir de soulagement quand je me rends
compte que c’est le cas. Enfin, j’arrive sur le troisième palier, celui de monsieur Jean et de François. Je suis essoufflée d’avoir monté toutes ces marches, mais en plus j’avais la peur au
ventre d’être surprise à poil par quelqu’un vivant dans l’immeuble. Je suis sûre qu’un jour ou l’autre cela se produira, mais je suis heureuse que ce ne soit pas cette
fois-ci. Il faut deux bonnes minutes à monsieur Jean pour venir m’ouvrir. Il me sourit de toutes ses dents et semble content de voir que je suis rouge de honte et d’excitation. Il me fait entrer en tirant sur la chaîne qui réunit mes seins.
- Aïe ! Vous me faites mal.
- Mais c’est le but recherché ma petite Caroline. Allez, avance plus vite ou je t’arrache le bout de tes grosses mamelles.
Vu la façon qu’il a de tirer sur la chaînette, je le crois volontiers et j’essaye d’aller aussi vite que lui. Nous arrivons dans le salon et là, je suis surprise de ne voir personne, je m’attendais à voir au moins Adrien.
- Nous allons être seuls cette fois, mais, rassure-toi, tu auras des
spectateurs la prochaine fois. Aujourd’hui tu vas passer un test très important pour la suite.
- Qu’allez-vous me faire ?
Cet homme m’inquiète de plus en plus, mais je sais que quoi qu’il fasse je m’efforcerai de faire bonne figure et de supporter ses amusements.
- Tu vas voir, j’ai fait quelques changements dans notre petite pièce. Il m’ouvre la porte et je reste clouée sur place. La table est repliée et posée dans
un coin. Au centre de la pièce, il y a une grosse corde qui pend.
- Couche-toi en dessous de la corde, les bras et les jambes écartés.
J’ai peur, mais en même temps je suis excitée et je suis impatiente de voir ce qu’il a encore trouvé. Je me couche sur le sol rugueux en écartant bien les bras et les jambes. Je suis offerte d’une manière obscène et cela me procure un plaisir
intense, je sens ma chatte s’ouvrir et le résultat de mon excitation s’écouler sur mes fesses. Je suis devenue une vraie chienne et quoi qu’il m’arrive aujourd’hui, j’en serai heureuse.
Jean s’affaire quelques minutes avant de revenir vers moi.
- Lève-toi, me dit-il sèchement.
J’avoue que je ne comprends pas pourquoi il m’a fait m’étendre sur le sol, peut être voulait-il juste m’humilier ? Je me redresse et devant moi, monsieur Jean me présente deux bracelets assez larges qu’il referme sur mes poignets. Je lève les bras et il attache les bracelets à la corde puis il tend la corde de façon
que je sois bien tendue et presque sur la pointe des pieds. Monsieur Jean vient enlever la petite chaîne qui réunit mes seins et je ne peux m’empêcher de
pousser un gémissement de douleur quand il ouvre les pinces qui écrasent mes mamelons. Il va poser la chaînette sur un appui de fenêtre et revient avec deux autres pinces plus grosses et qui ont un poids accroché.
Je ferme les yeux quand il ouvre la première pince et l’approche de mon petit téton droit. La douleur est fulgurante, les mâchoires sont munies de petites dents qui entrent dans ma chair. Après avoir accroché la deuxième et, par la même
occasion, arraché un long gémissement de douleur, il se recule et je l’entends fouiller dans un sac.
Un claquement et je frémis, car je viens de comprendre ce qu’il va me faire ; me fouetter. Même si cela fait des semaines que je rêve d’être la cible d’un fouet, je sens mon corps qui se hérisse à la perspective de souffrir. Monsieur Jean doit se rendre compte de ma peur, car il s’amuse à faire claquer le
fouet dans l’air et chaque fois, je me tords dans mes liens et j’attends la douleur qui ne vient pas.
- Pas trop fort! Je vous en prie, c’est la première fois que je vais… Je n’ai pas le temps de finir ma phrase que j’entends le bruit effrayant de la lanière qui s’écrase contre ma peau. Il faut une bonne seconde avant qu’une sensation de brûlure intense m’arrache un petit cri.
- Aïe ! pas trop fort je vous en supplie !
Un deuxième claquement sur la peau de ma fesse et un second gémissement bientôt suivit par un troisième et un quatrième.
Mes fesses me brûlent, mais la douleur est supportable. Après le cinquième coup, monsieur Jean vient me caresser les fesses qui doivent être bouillantes.
Il me tourne autour en faisant claquer son fouet dans le vide, je ne m’y ferai jamais, car à chaque fois, je me crispe et je frémis de peur. Son fouet n’est pas très long, il fait à peine un mètre de long, mais la mèche est plate et large d’un bon centimètre.
Soudain je le vois lever son bras et le rabattre vers mes cuisses. Il a déjà relevé son bras quand la douleur se répand dans mon corps et cette fois, je pousse un vrai cri.
- Wouah ! Aïe !
Comme la première fois, c’est une série de cinq coups qui s’abattent sur mes cuisses. Je gémis et je me tords au bout de la corde en essayant d’éviter la lanière qui vient inexorablement s’écraser sur la peau tendre sans que je ne puisse rien y faire.
Après cinq coups, monsieur Jean se remet à tourner autour de moi en faisant claquer son fouet. Je continue à me trémousser comme un poisson au bout de la ligne à part que je devais ressembler à un gros jambon.
Une nouvelle série de cinq coups sur les reins avant une autre encore sur le ventre. Les pinces qui pendent à mes nichons me font de plus en plus mal à chaque mouvement de mon corps, je sens la chair tendre de mes tétons s’allonger avec les poids.
Mes gémissements se font de plus en plus sourds. La douleur n’est pas infernale, mais elle commence à irradier de mon corps tout entier. Lentement mais sûrement, monsieur Jean continue ses séries de cinq coups avec, à chaque fois, une petite période de répit très courte. Entre deux séries de coups, il vient me
caresser, les seins, le ventre, les fesses et semble satisfait de constater que de ma chatte suinte ma liqueur intime qui coule finement le long de mes cuisses.Quant à mon clitoris, il est gonflé et fièrement dressé, il sort de mon ventre d’une manière obscène, comme un sexe d’homme miniature.
Mon corps est couvert de fines balafres rougeâtres de sous mes seins jusqu’à micuisses. Monsieur Jean est en train de me marquer juste pour que les marques soient cachées par ma robe. Je commence à avoir de plus en plus de mal à
supporter les coups et mes gémissements ressemblent de plus en plus à depetits cris de douleur. Cette fois, le moment de vérité est arrivé, car les prochains coups doivent arriver
à hauteur de mes seins. Plusieurs fois déjà il a accroché les poids, qui pendent toujours, avec la lanière du fouet.
- Arhhhg ! Ahhrg !
C’est épouvantable, il vient de frapper deux fois juste au-dessus des tétons et même si les coups ne sont pas violents, ils suffisent pour augmenter encore la douleur des pinces qui volent en tous sens à chaque coup sur mes seins.
Maintenant, monsieur Jean s’arrête entre les coups plus souvent, il prend son temps pour me marquer la poitrine et vient jouer avec mon clitoris entre deux coups. Je suis au bord de l’explosion et l’homme s’arrange pour qu’elle n’arrive pas trop vite. Jamais je n’aurais imaginé être apte à jouir alors que je suis fouettée et pourtant il ne faudrait plus grand-chose pour que je hurle mon plaisir. Mes lèvres portent la marque de mes dents que je sers de plus en plus fort même si je ne peux empêcher les cris de sortir de ma gorge quand la lanière du fouet s’abat sur mes chairs les plus tendres.
- Ahhrrg ! … Arrêtez, je vous en prie.
Naturellement monsieur Jean ne tient aucun compte de mes demandes et continue à me fouetter.
Cette fois, il en a fini avec mes seins et, après être monté le long de mon corps, il commence à descendre. Maintenant, ce sont des parties déjà fouettées qui sont à nouveau la cible de la lanière maniée avec habileté par mon tortionnaire.
Du cou aux cuisses, mon corps est un brasier. Aucun coup n’a été donné avec violence et je n’ai pas eu à hurler de souffrance et pourtant aucune partie de mon corps n’a été épargnée. Je suis toujours au bord de l’extase et je sens qu’il
suffirait d’une caresse plus appuyée sur mon petit bouton d’amour et je m’envolerais, mais l’homme est rusé et refuse de me délivrer.
Quand il jette le fouet, je me laisse complètement aller et je pends lamentablement au bout de la corde. Je pense en avoir fini pour aujourd’hui avec monsieur Jean, mais c’est oublier qu’il ne s’est pas encore soulagé. Il vient face à moi et prend mes seins dans ses mains mises en coupe. Lentement, il les caresse
en m’arrachant des gémissements de souffrance. Quand il ouvre les mâchoires des pinces, je manque de défaillir tellement la souffrance est violente.
- Haaaaahhhrg ! Houuuhhg !
Mais en même temps son sexe se frotte sur mon clitoris. Il jette les poids au sol et d’une main m’ouvre la chatte pour enfoncer son membre au plus profond de mon ventre. Je ne sais pas s’il va jouir, mais je sens que mon ventre se tord de
plaisir et la jouissance explose en moi.
- Oui! ouiiiiii ! Plus fort encore ouiiiii!
Je crie, je hurle, je me trémousse, je vais à la rencontre du sexe qui entre en moi avec violence, nos ventres se frappent l’un contre l’autre, je ne ressens plus aucune douleur, je suis sur un nuage et je provoque des éclairs qui explosent dans mon ventre à un rythme effréné. Je regrette que Adrien ne soit pas là, il
aurait pu s’occuper de mon cul.
Brusquement, monsieur Jean se retire de mon ventre et me projette sa semence sur le ventre. Moi, je suis complètement lessivée et mes jambes ne me
supportent plus, je suis au bord de l’évanouissement et monsieur Jean doit me tenir par le dessous de bras pour me détacher et je me laisse tomber sur le sol comme une poupée de chiffon. Je n’ai pas vraiment le temps de me reprendre, car l’homme vient me mettre son sexe à la bouche. Instinctivement, j’ouvre la bouche et je lèche la tige de chair
encore couverte de sperme. Je suce et nettoie la bitte qui vient de me faire jouir. Il me faut dix bonnes minutes pour reprendre mon souffle et commencer à me
rendre compte que mon corps souffre terriblement de la fouettée que je viens de recevoir.
Mes sens se calment à l’intérieur de mon corps, mais ils irradient à l’extérieur. Il n’y a pas un centimètre carré de mon corps entre mon cou et mes cuisses qui me brûlent des feux de l’enfer. J’ai l’impression que je ne vais pas pouvoir toucher mon corps sans crier pendant au moins plusieurs jours.
Monsieur Jean accroche la laisse au collier et remet la petite chaîne entre mes seins.
- Ahhhrg ! Non, je vous en prie, ça fait trop mal.
Mais l’homme est sans pitié et bientôt la chaîne pend à nouveau entre mes tétons. Il me fait écarter les cuisses et m’enfonce la quittance au fond de la chatte puis, il prend la laisse et m’oblige à me lever pour le suivre chez François.
Quand celui-ci ouvre la porte, il émet un sifflement d’admiration.
- Vous n’y êtes pas allé de main morte. Elle va en avoir pour une semaine pour faire partir ces marques.
- À peine, lui répond monsieur Jean. Dites, j’ai besoin d’elle dans quinze jours, chez des amis qui veulent voir une femme se faire fouetter, je peux compter sur elle ?
- Ça mon cher, c’est à elle qu’il faut le demander, moi je n’en profite qu’une fois par mois, comme vous.
J’ai entendu la question et je suis en train de réfléchir pour savoir si je vais accepter ou refuser. Je me tourne lentement vers monsieur Jean.
- Je vais me faire baiser ?
- Je n’en sais rien, cela dépendra de toi, si tu es d’accord il y a de fortes chances que mes amis profiteront de l’occasion.
- Je viendrai. Dites-moi quand !
- Mercredi dans deux semaines, à midi comme aujourd’hui. Tu seras en chienne et à poil dans le parking près de ta voiture, je passerai te chercher. Il me donne une tape sur les fesses qui me fait bondir.
- Aïe !
- À plus ma belle, me dit-il en sortant de l’appartement de François. François m’emmène dans la salle de bain et sort un pot de pommade de son armoire à pharmacie.
- Lève les bras, m’ordonne-t-il en retirant les pinces qui écrasent toujours le bout des mamelles.
Je gémis et fais ce qu’il me dit. Pendant une demi-heure, il me frotte le corps avec sa pommade apaisante. Ça ne fait pas disparaître la douleur, mais la sensation de brûlure diminue sensiblement. Quand mon corps est couvert de pommade, François me montre son sexe raide et dresser. Sans me faire prier, je m’agenouille et prends sa bite en bouche pour
le faire jouir. Il est particulièrement excité, car il se répand dans ma bouche assez vite, plus vite que les autres fois. Quand son sexe est net, je me relève.
- Tu n’aurais pas une robe à me prêter ?
- Non ! Désolé, il va falloir que tu retournes à ta voiture come tu est venue, à poil.
Heureusement pour moi, je ne croise personne en descendant au parking, je suppose que monsieur Jean se rince l’œil en me regardant retourner à ma voiture.
C’est au moment de m’asseoir dans mon véhicule que je comprends que ma vie va être infernale pendant les deux ou trois jours qui viennent. Je dois serrer les dents pour me mettre au volant et chaque mouvement que je fais ne fait que
raviver le feu de mon corps. Il me faut quarante-huit heures pour pouvoir enfin m’étendre et dormir calmement.
Je suis restée debout presque en permanence, car même m’asseoir était douloureux. Cela a fait rire Pierre aux éclats, il n’a pas l’air de se rendre compte que je suis en train de changer et un jour, il va se réveiller avec une femme totalement différente de celle qu’il a épousée. Il devrait s’intéresser à mes besoins, mais il préfère laisser cela aux mains de François alors que son ami n’est qu’un petit maillon de la grande chaîne de ma vie. Il faudrait que Pierre fasse un petit stage chez monsieur Jean pour savoir comme s’occuper de moi.
Plus j’avance et plus je me rends compte que je vais avoir besoin d’une main ferme pour me guider, j’espère que ce sera celle de mon mari.
Comme prévu par monsieur jean, une semaine après, je n’ai plus de marques et le souvenir de la fouettée commence à s’estomper dans mon esprit, il ne me reste plus que le souvenir de ma jouissance extraordinaire.
Je passe une semaine terne puisque les amis de Pierre ne sont pas venus cette semaine. L’attrait de la nouveauté ayant disparu, ils vont certainement se faire plus rares. Je suis sûre que si Valérie avait encore été disponible ils seraient venus, mais ils ne leur restent que moi et ils me connaissent par cœur, du moins
le croient-ils. Je crois que même François est loin de se rendre compte de ce que je suis capable de faire, je ne le sais pas vraiment moi-même. Pierre en profite pour me faire l’amour comme au début de notre relation, c’est bon, mais j’avoue que cela manque un peu de piquant même s’il me donne du plaisir.
Heureusement, pour briser la monotonie de cette semaine, il y a la visite chez madame Claire. Je me rends chez cette femme le cœur battant, car cette fois, je serai seule puisque Valérie est trop loin pour continuer ses visites et j’espère qu’il
va se passer quelque chose de différent des autres visites de contrôle. Les périodes de calmes commencent à se raccourcir sérieusement. Au début, un mois entre deux visites chez monsieur Jean me comblait, mais maintenant, après une semaine je suis comme une droguée en manque et je
tourne comme une lionne en cage, prête à me foutre à poil sur un simple claquement de doigt, pour être violentée et tronchée, par tout être humain, homme ou femme, j arrive même à penser me rendre dans les quartier glauque de la ville, où une femme seule, ne pourrais rentrée chez elle qu'après de nombreuses heure de viols en tournante !
Pourtant, je suis déçue de ma visite, car elle est non seulement courte, mais calme et terne. C’est à peine si la femme médecin regarde mon sexe. J’ai l’impression d’être une vache qui passe sa visite avant d’aller à l’abattoir ou au champ. Apparemment, je suis bonne pour le service et mon épilation est presque
totale. Je rentre à la maison un peu frustrée et je n’ai plus que le mercredi suivant pour me mettre un peu de plaisir au ventre.
Je me suis connectée sur Internet et j’y ai trouvé une femme qui me fait faire des choses, mais virtuellement. J’ai passé deux bonnes heures avec des pinces sur les tétons, je me suis mise à genoux devant l’écran, mais nous n’avons pas de Webcam alors, cela à manquer de saveur et j’ai très vite fermé ma session. Il
faut que je trouve autre chose pour assouvir ma soif de soumission et violence sexuelle.
Enfin, on est mercredi matin et je suis impatiente de retrouver monsieur Jean. Impossible de rester au lit ce matin, j’étais debout avant Pierre et il a été surpris de me voir lui servir son café. Il ne se rend pas compte que j’aimerais qu’il m’impose d’être chaque matin debout avant lui et que son petit déjeuner soit prêt quand il arrive dans la cuisine.
À onze heures et quart, je suis au volant de ma voiture et je prends la direction de la périphérie de la ville où se trouve l’immeuble de monsieur Jean. J’entre dans le parking, il me reste encore une bonne demi-heure à attendre. Je fais les
cent pas au sous-sol à attendre que l’heure de mon rendez-vous arrive enfin. J’ai l’impression que les aiguilles de ma montre n’avancent pas, tant pis, il reste un quart d’heure, mais je ne sais plus attendre. Je sors de mon véhicule et
j’enlève ma robe avant d’ouvrir le coffre pour y mettre mes affaires. Après avoir caché la clé, je me tiens debout face à la caméra et commence à me masturbée, il y a des année, que je n'avait plus eu recourt à cette attouchement solo,j’attends que monsieur Jean arrive. Il me fait attendre une demi-heure avant de venir me chercher.
- Tourne-toi, me dit-il en guise de bonjour.
Je m’exécute immédiatement et il me met des menottes aux poignets. Il prend la laisse et m’entraîne vers les escaliers, mon cœur s’emballe, car il m’avait bien dit que ce serait ailleurs que chez lui et, sottement, je m’étais imaginé que ce serait
dans un autre bâtiment. Cette fois, il est inutile que je fasse attention aux bruits dans les escaliers, je suppose qu’il ne s’arrêtera pas. Et c’est le cas quand nous croisons la concierge de l’immeuble. Je suis mortifiée, car la jeune femme est de
mon âge et nous avons été à l’école communale ensemble. Elle fait la moue en me voyant et me regarde comme une traînée, heureusement elle ne semble pas me reconnaître.
- Vous pourriez emmener vos salopes ailleurs que dans cet immeuble, dit elle à monsieur Jean avec un air pincé.
Monsieur jean ne paraît pas se démonter pour si peu et lui répond sèchement.
- Chère madame, vous êtes mon employée, cet immeuble m’appartient et j’y fais ce qu’il me plaît, le jour où vous n'aurez plus ce travail, vous aussi viendrais à poil, ouvrir vos cuisses pour être baisée contre un billet, Retirez-vous et laissez-moi passer, j’ai des choses à faire et je crois que vous aussi. Les escaliers étaient sales la semaine passée.
La femme rougit et s’écarte pour nous laisser passer. Je baisse les yeux et je me sens devenir aussi rouge qu’une pivoine au printemps. Mes joues sont en feux quand je passe devant elle tenue en laisse et totalement nue.
- Pouffiasse ! me dit-elle.
Je devrais me sentir humiliée et plus bas que terre, mais paradoxalement cette insulte me donne du courage et je la regarde fixement dans les yeux. C’est elle qui baisse les yeux la première, je me sens fière de moi et c’est le cœur plus
léger que je suis monsieur Jean jusqu’à son appartement.
Dès que nous sommes dans son antre, monsieur jean me détache et m’enlève la chaînette, le collier et la laisse.
- Tu trouveras de quoi t’habiller et te maquiller dans la chambre, me dit-il en me désignant une porte.
Il me faut quelques secondes pour réaliser ce qui se passe. Je préfère ne pas faire de commentaires et je pousse la porte de la chambre. J’ai malgré tout un peu peur de passer le seuil, car je m’attends à me retrouver face à un ou plusieurs hommes, mais il n’y a personne. Sur le lit, une superbe robe rouge vif et des sous-vêtements comme je rêvais d’en avoir quelques mois plutôt. C’est manifestement une chambre pour une femme et j’aimerais bien fouiller la garde-robe, mais je préfère me concentrer sur mon maquillage. Je ne sais pas vraiment ce que veut monsieur Jean et je n’ose pas me montrer outrancière. Je me mets juste un peu de fond de teins et un soupçon de mascara et du rouge à lèvres. Je passe les sous-vêtements qui
me vont à merveille et, enfin, j’enfile la robe qui est d’une coupe à faire rêver n’importe quelle femme de goût. La robe me colle à la peau, comme si elle avait été faite pour moi, j’ai un peu peur que les sous-vêtements se voient trop, mais ce n’est pas le cas et j’en suis soulagée. Je suis prête à sortir quand je remarque
une perruque noire sur la coiffeuse. Je me décide à la mettre et là aussi, elle est parfaite et me donne un petit air de Louise Brooks. Je ne sais si cela plaira à l’homme qui m’attend de l’autre côté de la porte, mais tant pis, je sors ainsi. Monsieur Jean est admiratif et applaudit mon entrée dans son salon.
- Parfaite, tu es parfaite.
Il prend un grand sac de sport noir et me fait signe de le suivre. Nous redescendons au parking, toujours par les escaliers. J’aurais bien aimé croiser la concierge encore une fois, mais je n’ai pas cette chance.
Je suis ébahie de voir la voiture de monsieur Jean, une superbe Audi A6 gris argent. Je ne suis jamais montée dans une telle voiture et je me sens un peu intimidée. J’attends une bonne dizaine de minutes avant d’oser poser une question.
- Je peux savoir où on va ?
- Nous allons de l’autre côté de la ville, presque à la campagne puisque c’est dans une ferme.
- Une ferme ? Au milieu des cochons ?
- Ha ! Ha ! Ha ! Rassure-toi, il y a longtemps qu’il n’y a plus de cochon dans cette ferme. Je crois que je vais faire rire Mamadou en lui racontant.
- Mamadou ? Qui est-ce ? Celui qui veut voir une femme f…
- Fouettée, tu peux le dire, mais non ce n’est pas lui, il en voit souvent, tu vas t’en rendre compte. Tu vas avoir l’honneur et le plaisir d’être fouettée pour quelques personnes de mes amis.
- Ils sont nombreux ?
- Trois hommes et trois femmes, dont deux lesbiennes. Il est fort possible que tu te fasses lécher la moule par une gouine cet après-midi.
Ma curiosité satisfaite, je préfère me taire et savourer le voyage qui ne sera pas très long.
Peu de temps après, la voiture se gare dans une grande cour de ferme. La ferme a été transformée en une sorte de boîte de nuit, car il y a des néons multicolores un peu partout.
La grande porte d’entrée est gardée par deux géants noirs. J’ai l’impression que s’ils ne veulent pas que quelqu’un entre, ils sauront se montrer persuasifs. Il y a d’autres voitures garées et je me demande si ce sont celles des gens qui vont me voir fouettée tout à l’heure ? Avant de descendre de la voiture, je me
tourne vers monsieur Jean.
- Vous avez prévu une sorte de scénario ?
- Non ! Mais si tu préfères, on peut en mettre un au point maintenant ?
- Heu ! Non je crois que je préfère vous laisser décider comment cela va se passer.
- Tu as peur ?
- Oui! Terriblement, mais j’en ai envie en même temps. C’est difficile à comprendre et à vivre croyez-moi.
- Ce ne sera pas pire que la dernière fois. Maintenant, il faut qu’on mette au point un système pour que tu me fasses comprendre que tu es d’accord ou non pour que les spectateurs participent au petit spectacle que nous allons leur donner.
- Vous n’avez qu’à me poser la question et je vous répondrai par oui ou non.
Je crois que c’est le plus simple non ?
- En effet, c’est plus simple comme ça.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Chacun ses goûts, moi je préfère être bisoutée et caressée par un homme délicat et attentionné plutôt qu'être humiliée et fouettée par un gros macho du genre lecteur de cette histoire en quête d'une fille soumise
Merci beaucoup pour cette histoire, j'aime particulièrement l'exhibition et l'humiliation cela m'a fait pensé à quelques femmes que j'ai connues par le passé notamment le collier et la laisse.
J'ai très envie de m'essayé au fouet mais j'ai déménagé et je n'ai pas encore retrouvé de soumise
J'ai très envie de m'essayé au fouet mais j'ai déménagé et je n'ai pas encore retrouvé de soumise
Très excitante ! J'ai particulièrement aimé la partie exhib! Vivement la suite !
Le nouvel admirateur
Le nouvel admirateur