Les cinq doigts de la main 9

- Par l'auteur HDS Charlotte-la-salope -
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Récit libertin : Les cinq doigts de la main 9 Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2024 dans la catégorie Fétichisme
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Les cinq doigts de la main 9
Chap. IX — Céline et le voisin.

Elle est là, dehors près de la porte d’entrée qui nous attend. Elle me tend la
perruque que j’avais en arrivant en souriant.
- Je voulais te dire merci pour tout.
- De rien !
Je ne sais pas quoi dire d’autre et je me dirige vers la voiture de monsieur Jean
qui est déjà au volant.
- N’oublie pas mardi à huit heures précises.
Elle n’attend pas de réponse et monte dans sa voiture et démarre en trombe.
Quand je monte dans la voiture, je commence par gémir, je vais encore devoir rester debout une nuit avec mon corps brûlant.
- Tu vas y aller, me demande monsieur Jean ?
- Aller où ?
- Chez la fille d’Adrien ? Je te préviens, c’est une vicieuse.
- Je sais ! La réponse est oui, j’irai à son rendez-vous. Je sais que c’est de la
folie, mais c’est plus fort que moi. Nous roulons depuis cinq minutes quand je me tourne vers monsieur Jean.
- Vous pouvez donner mon téléphone à Mamadou, il va certainement vous le demander.
Il s’arrête au bord de la route et me regarde intensément.
- Attention fillette, c’est un danger ce type. La seule chose qui l’intéresse
avec les femmes, c’est d’en faire des putains qui travaillent pour lui.
- Je n’ai pas l’intention de devenir une de ses putes, il veut que je vienne
un soir pour me faire fouetter devant ses clients.
- Et tu vas accepter ?
- J’ai bien accepté pour vous, pourquoi pas pour Mamadou.
- Moi, je serais de toi, j’attendrais de voir ce que mon rendez-vous avec Céline va donner.
- Qui vivra verra ! Mais n’oubliez pas de donner mon numéro à Mamadou
quand il le demandera.
- Comme tu veux, ma belle.
Arrivé au parking de son immeuble, il me dépose devant ma voiture.
Je vais sortir quand il me retient.
- Au fait, j’oubliais ! Cela te revient.
Il me tend une grosse enveloppe.
- Qu’est-ce que c’est ?
- Ce que tu as gagné cet après-midi.
Je reste un moment sans voix. Il veut me payer, je n’en reviens pas.
- Mais, je ne suis pas une pute.
- Je sais, mais je ne peux pas prendre ce fric que tu as gagné par ta
souffrance, il est à toi fais en ce que tu veux.
J’hésite un moment avant de tendre la main et prendre l’enveloppe.
- Merci, dis-je en montrant l’enveloppe.
- De rien ma belle. N’oublie pas le premier mercredi du mois, tu en as
encore quatre à faire, après tu seras tranquille avec moi.
- Je n’oublie pas croyez moi. Au revoir.
La voiture démarre et je me retrouve seule près de ma voiture.
les jeune pres de leur endroit de rassemblement me siffle
-humm une femmelle en chaleur ont dirait
- se balader à moitié à poil ici, c'est qu elle veut de la bite cette pute!
j'ouvre ma voiture, allume mes phares, et viens me positionnée devant le capot, je pose mes fesse, sur cette tôle bien froide, mes pieds sur le pare-choc,écarte les cuisses, et leur lance, les mots , c'est très bien, mais faut agir à un moment.
le groupe se sépare, c est donc vrai ce que l'on m'avait,dis, ne montre pas ta peur, agis comme si c'était toi le prédateur,et les hommes perdront leur assurance,car se ne sont plus eux qui dirigent.
un seul des garçon reste là, figé sur place, je le distingue asser mal, et lui fait signe d'approcher, il me parais très jeune, pas du tout le style gangtsa, je prend ses mains et les posent sur ma poitrine, il se met a me la malaxer comme un mort de faim, me faisant asser mal, je descend du capot et m'accrouppie devant lui, d'un geste brusque, je fait tomber son sur-vêtement de sport,entrenant aussi son caleçon à ses pieds, sa queue tendue vient se plaquer sur son ventre.
-hum, tu bande bien dur, grosse envie? et j enfourne son engin de taille respectable, honnête son être démesurer, j'ai le nez contre son pubis, et je sors la langue pour venir lécher le bas de ses couilles.
même si cette pratique est redoutable pour les hommes, je ne m'attendais pas à se qu'il jute en un seul vas et vient.
je ressort sa bite,le regarde dans ses yeux qui me semble dire;"désoler" et lui dis
- Puceau?
il me fait signe oui de la tête, je me releve, et l entraine à l arrière de mon véhicule, j ouvre le coffre, les banquette de break sont déjà rabattu, m'assoie dans le coffre et redonne de la superbe à cette queue, qui n'as pas vraiment perdu de sa régiditer, je m enfonce ensuite plus à l intérieur de ma voiture, arrache la culotte que j avais réussi à rattacher par un noeud de chaque coté, voilà, je suis à poil une fois de plus, j'invite ce jeune homme entre mes cuisse, à planter son baton de chair dans la chaleur de ma fente, qui n'attend que plusieur visite de gland bien profondement,et de plus en plus souvent depuis le debut de mon mariage, en position missionnaire, je le guide
-plante ta queue dans ma chatte, pilonne moi, vide tes couilles je suis une salope, j attend et ne suis bonne qu'a ça, être à poil, ouvrir les cuisses, et vidanger les couilles de mâle!il me baise à couilles rabattus, avec une énergie et une vitesse folle, bien-sur, pour sa première fois, il ne tiens pas la distance et se vide bien au fond, encore ce regard remplis d'excuse, et il s'assied a coté de moi dans le coffre
-tu sais ce qui as de bien avec vous les jeunes? c'est que vous repartez très vite, je je me retrouve une fois de plus avec sa queue dans le gosier.
une fois redevenu opérationnel, je me place en levrette, et lui annonce qu il a le choix chatte ou cul.
-oh oui vas-y c'est bon je te sais bien là, défonce le ce cul de pute, il reprend sa même vitesse incroyable, en s accrochant à mes épaule, quelque contraction involontaire de ma part, et je recoit une nouvelle dose de sperme, mais dans le cul cette fois, je le sens prés à déculer, el le retient par ses mains sur mes épaules
-reste, je veux te sentir débander dans mon cul (car j ai mon idée en tête) et je sent sa bite dégonler dans mon cul, nous restons dix bonne minute dans cette position , moi avec sa queue flasque planter dans le cul, surtout ne plus bouger, molle comme elle est, si elle ressort, elle ne rentrera plus.
-madame il faut vraiment que...
c'est bien cela que j'attendais
-je sais,on est tous pareil après la jouissance, vas-y ouvre les vannes, pisse moi dans le cul.
----------------------------------------------
Je rentre chez moi et Pierre est déjà rentré. Naturellement ça le fait sourire
quand il voit mon corps balafré. Pour une fois, il est excité par mon récit et me
prend contre le mur de la cuisine sans se préoccuper qu’il me fasse mal. Je me
prends à espérer que mon mari prenne enfin conscience de mes besoins. Cette
fois, il prend son plaisir sans se préoccuper du mien.
- Tu sais que tu es belle comme ça avec des marques de fouet.
- Tu aimes ?
Il hésite une seconde avant de répondre.
- Oui, beaucoup.
- Tu n’as pas envie d’essayer une fois ?
- Si, je le ferai certainement un jour puisque tu sembles aimer ça, mais pas
tout de suite, soigne-toi. On en reparlera plus tard.
Il s’apprête à sortir de la cuisine quand il se retourne.
- J’aimerais assister une fois juste pour voir comment c’est.
- Tu connais Mamadou ?
- Oui, c’est le plus grand maquereau de la ville, il a une grosse boîte de nuit
à la sortie de la ville,et un bordel rue........ les filles doivent à poil de 6h du mat à 2h le lendemain, les nouvelles, sont prise à la chaine, sans capote, car il aime mettre sur le marché, des nanas au ventre bien rond, et les nichons plein de lait.
- Aujourd’hui, c’était chez lui en privé pour son anniversaire. Il veut que je
le fasse une fois devant ses clients, tu viendras ?
- OK ! J’y serai si tu me préviens.
- Dès que je sais quand, je te le dis.
Il sort de la pièce et je commence à préparer le repas du soir.
Comme la première fois, il me faut deux jours pour ne plus rien ressentir des
coups de fouet et quatre pour faire partir la majorité des balafres. Chaque jour
Pierre me passe de la pommade et me baise comme une chienne à chaque fois
tant ça l’excite. C’est le lundi matin que je me rends compte que je ne connais pas l’adresse de
Céline. J’ai un moment de panique parce qu’en plus je n’ai pas son numéro de téléphone.
Trouver son adresse est une obsession, j’ai beau me raisonner et me dire que
c’est tant mieux, je tourne comme une lionne en cage en me traitant d’idiote de ne pas avoir demandé son adresse.
Il est près de seize heures quand j’ai une lueur d’intelligence, comment ai-je pu
oublier que Adrien est son père, lui connaît certainement son adresse.
Je saute dans ma voiture et me dirige vers l’immeuble de monsieur Jean.
La sonnette d’Adrien fonctionne, car je l’entends bien à chaque fois que je pousse sur le bouton. Apparemment il n’est pas chez lui. Je suis en train de descendre les escaliers quand je croise monsieur Jean.
- Tu es venue rendre une petite visite à François ? Il n’est pas là aujourd’hui.
- Non, je cherche Adrien, je voudrais avoir l’adresse de Céline.
- Pas de chance, Adrien est en vacances pour trois semaines à la mer, mais…
- Quoi, mais ?
Il sourit et prend son air carnassier.
- Peut-être que si tu me fais une petite pipe ici dans les escaliers, je
pourrai te donner l’adresse de Céline. À toi de voir.
- Vous êtes un beau salaud.
- Possible, mais c’est toi qui as besoin de moi. De toute façon, je suis sûr
que ta culotte est trempée, si tu en as mis une. On vérifie ?
Je crois qu’il est inutile d’insister, j’ai besoin de cette adresse et, comme il le dit,
je suis trempée rien que de penser que je vais lui faire une fellation dans les
escaliers au risque de me faire surprendre la queue en bouche.
Je me laisse tomber à genoux et je commence à défaire sa braguette. Je sors sa
queue déjà raide et bien dure que je prends en bouche. Heureusement, il est
aussi pressé que moi et cela va très vite. Il se vide les bourses dans ma bouche
et je lui nettoie la queue avant de la remettre dans son pantalon.
Dès que je me suis redressée, il me tend une petite carte de visite.
- Comme elle ne t’a pas donné son adresse, elle m’a chargée de te remettre
cette carte.
- Vous voyez que vous êtes un salaud.
- Et oui, mais j’ai profité des circonstances. Salut, ma belle, à bientôt.
En sortant, je me dirige vers l’adresse indiquée sur la carte, juste pour me faire
une idée de l’endroit. C’est une petite maison un peu à l’écart avec un jardin
entouré de hauts sapins qui empêche les voisins de voir ce qui se passe sur la
propriété de Céline. Je suis impatiente d’être demain.
Pour être à l’heure à mon rendez-vous avec Céline, je dois me lever tôt et,
encore une fois, Pierre a le plaisir de me voir lui préparer son petit déjeuner.
Comme je ne lui cache rien de mes expériences, il sait que je vais chez Céline. Je
crois qu’il espère secrètement que la situation sera la même qu’avec Valérie et
qu’il nous trouvera toutes les deux ce soir, mais cette fois, je suis certaine qu’il
se fait des illusions, ce n’est pas le genre de Céline. Je ne sais pas comment je dois m’habiller, elle ne m’a donné aucune instruction
à ce sujet, mais je me doute que je ne vais pas chez elle pour jouer au gin-rami
donc, je décide de me préparer en chienne avec le collier, la laisse et la chaînette
aux seins en dessous d’une petite robe d’été. J’hésite encore à me déshabiller
avant de sonner. De toute façon, les voisins ne peuvent rien voir alors, cela n’a
pas le même sel que chez monsieur Jean.
Il fait beau et je suis heureuse en me rendant chez Céline. J’espère que je ne
vais pas me retrouver avec une lesbienne qui ne veut que coucher avec moi. Elle
ne donne pas ce genre-là, mais sait-on jamais avec les femmes ?
À peine la porte est-elle ouverte que je suis fixée sur ce qui m’attend, Céline ne
me laisse même pas entrer.
- À poil!
Je n’ai pas la moindre hésitation et ma robe passe par-dessus ma tête et je me
retrouve nue devant elle. Je fais une boule avec la robe que je voudrais glisser dans mon
sac, mais Céline me l arrache des mains, et la jette au milieu de la rue.
Céline prend la laisse et tire dessus pour me faire entrer. Je la suis dans son entrée. Elle me désigne un grand panier en osier.
- Mets ton affaires là-dedans, me dit-elle sèchement.
Je jette mon sac dans le panier et j’attends ses ordres.
- À quatre pattes !
Sa voix est sèche et autoritaire. Je sens que je ne vais pas perdre mon temps
avec elle.
Tenant la laisse, elle se dirige vers la cuisine où elle me fait mettre à genoux à
ses pieds tandis qu’elle s’assied sur une chaise. Elle se sert un café qu’elle boit
tranquillement avant de s’occuper de moi.
Elle commence par jouer avec la chaînette qui relie mes nichons. Elle ouvre et
referme plusieurs fois les pinces. Cela fait mal, mais c’est très supportable, car
les pinces n’écrasent pas mes chairs, je pourrais les porter des heures sans le
moindre danger.
- Tu sais pourquoi je t’ai fait venir ici ?
- En réalité, je n’en sais trop rien. Je suis venue parce que j’aime vivre de
nouvelles expériences et que je suppose que vous allez vous servir de moi
pour votre plaisir et, je l’espère, le mien.
Elle se lève et prend la laisse.
- Suis-moi, je vais te montrer pourquoi tu es là.
Céline m’ouvre une porte et me fait descendre des marches, on va dans ses
caves. Je frissonne de froid, car, même si le soleil brille à l’extérieur, ici, il fait
drôlement frais. Je sens ma peau se couvrir de chair de poule.
Elle ouvre une nouvelle porte et là, surprise, il faut encore descendre quelques
marches pour accéder à une grande pièce. Il y a des cordes qui pendent un peu
partout au plafond. Sur le sol, des accessoires en bois qui traîne par ci par là,
certains sont posés et d’autre boulonnés dans le béton. Sur les murs, de gros anneaux sont fixés à des hauteurs différentes entre le sol et le plafond, il y en a une bonne vingtaine sur le pourtour de la cave. Par terre, des paquets de corde en tout genre, de toutes grosseurs et de trois couleurs, blanches, brunes et grises. Étrangement, il ne fait pas froid dans cette pièce. Céline se rend compte que je m’interroge sur l’agencement de la cave.
- Tu as déjà entendu parler de bondage ?
- Heu ! Non, enfin, si vaguement. C’est un jeu avec des cordes.
- C’est à peu près ça. Les anglophones appellent ça du bondage et les japonais, le Shibari.
Elle va vers une petite armoire qui se trouve dans un coin sombre de la pièce et
en revient avec quelques photos qu’elle étale sur une table. Je suis ébahie par les
postures qu’on fait prendre aux femmes attachées. Certaines sont même suspendues dans des poses incroyables, les poignets et les chevilles attachés
ensemble ou séparément en donnant l’impression d’être un oiseau.
- La différence entre le Shibari et le bondage, c’est que le Shibari est
considéré comme un art et qu’il faut le prendre comme tel. Tandis que le
bondage à une connotation sexuelle évidente, il est là pour humilier et
contraindre la victime.
- Vous allez m’attacher comme ces femmes ?
- Oui! Mais je ne sais pas encore ce que je vais faire. Viens t’asseoir sur
cette table et croise tes bras dans le dos.
Avec une certaine crainte, je vais m’asseoir, mais je ne comprends pas ce qu’elle veut concernant mes bras et je me contente de croiser mes poignets.
- Non, me dit-elle, croise tes bras comme ça…
Elle se tourne pour me montrer ses bras croisés dans son dos. Le coude droit
repose dans la main gauche et inversement. Je suis un peu septique quant à mes
chances d’y arriver, mais je constate que cela ne fait pas mal et qu’on y arrive
très bien.
Céline se place derrière moi avec un rouleau de corde d’un peu moins d’un
centimètre de diamètre. Je sens qu’elle passe un bout de la corde entre les bras
et le dos. Elle fait plusieurs tours, mes bras sont immobilisés.
Puis, elle passe la corde par-dessus mon épaule droite et passe devant moi.
Céline enroule la corde autour de mon sein droit et mon sein gauche. La corde
repasse par-dessus mon épaule gauche et revient faire un tour autour de mes
bras. Trois fois la jeune femme refait le même parcours et je vois mes mamelles
devenir de petites boules comme avec les élastiques de monsieur Jean.
Au troisième passage autour de mes seins, la corde repart sur le côté et Céline
fait passer la corde par-dessus la corde dans mon dos. Elle reprend la corde sur
le devant et refait un nouveau tour autour de mes seins qui deviennent de plus
en plus petits. La corde repasse derrière et cette fois, Céline me demande de me mettre debout
face à la table. Dès que je suis en place, elle me couche sur la table et replie mes
jambes sur mes cuisses après avoir fait passer une corde à hauteur de mes
genoux.
Je ne vois rien de ce qu’elle fait, mais je sens qu’elle passe plusieurs fois la corde
sur mes cuisses et mes chevilles. J’ai un peu peur d’avoir une crampe.
Quand les chevilles sont littéralement soudées aux cuisses, elle relie les chevilles
aux bras. Je me retrouve tendue comme un arc, les cuisses grandes ouvertes.
Céline fait descendre une corde du plafond et elle passe un crochet dans la corde
qui relie les chevilles aux bras puis lentement elle fait remonter la corde jusqu’à
ce que je sois suspendue à quelques centimètres de la table. Je ne vais pas
pouvoir tenir dans cette position longtemps, car cela tire sur mes cuisses et mes
bras. Elle se munit d’un appareil photo et tire quelques clichés de ma position
sous tous les angles avant de me faire descendre et de me détacher.
Les cordes n’étaient pas serrées, mais malgré tout j’ai plusieurs marques aux
chevilles, aux seins et aux épaules. Je crois en avoir fini pour cette première
séance, mais ce n’est pas l’avis de Céline qui me demande de me coucher sur un
demi-tonneau fixé dans le sol. Pendant près de trois heures, Céline m’attache
dans des poses incroyables et chaque fois elle fait des photos avant de me
détacher. Je ne prends aucun plaisir à être réduite à l’état de saucisson, je ne
crois pas que je renouvellerai cette expérience, c’est trop pénible et cela ne
m’apporte rien si ce n’est des courbatures que je garderai quelques jours, j’en
suis sûre. De toute façon, je crois que je n’intéresse plus Céline, elle a eu ce
qu’elle voulait, elle revient avec son gode ceinture monstueux, caresse ma chatte, qui malgrés tout est trempée
-t'est vraiment une salope, tu mouilles dés qu on te fout à poil, pour ta punition, tu va prendre ce gode dans le cul, sans préparation, à sec
Il est près de quinze heures quand nous remontons à la cuisine. J’ai mal partout
et pas la moindre étincelle de désir, je n’aspire qu’à deux choses ; manger et
prendre un bon bain parfumé. Je refuse la tasse de café que m’offre Céline et je
rentre chez moi un peu frustrée de ma journée,j'éspére ne pas tomber sur un contrôl routier, car, bien-sur en sortant de chez Céline, ma robe avait disparue, je dois donc faire les cinquante kilométre qui me sépare de chez Céline à chez moi, au volant, et à poil.
Je rentre la voiture au garage et en allant vers la porte d’entrée, je vois que
Gérard est à sa fenêtre. Je me demande comment il réagirait si j’allais lui dire
bonjour nue. Il verrait le collier et la laisse, peut-être que cela le rendrait fou de désir
et qu’il me sauterait dessus ? Il n’en aurait pas besoin, je m’ouvrirais à lui
comme aux autres. J’ai la main sur la clenche de la porte, il me suffit de tourner
la clé dans la serrure et je suis chez moi. Je sens toujours les yeux de Gérard
dans mon dos. Flûte avec un peu de chance, il me fera jouir.
Je fais demi-tour et me dirige vers la porte de mon voisin. Je n’ai pas le temps
d’appuyer sur le bouton de sonnette que la porte s’ouvre devant Gérard qui est
rouge de plaisir de me voir chez lui. Il doit être plus près de cinquante que de
quarante. Ses tempes sont grisonnantes, mais il ne semble pas avoir de graisse
superflue, il est bien musclé. Il ne me reste plus qu’à vérifier quand il sera nu.
- Entrez chère voisine, je suis très heureux de vous accueillir chez moi.
Je le suis jusqu’à son salon où il me fait asseoir dans un fauteuil.
- Que puis-je vous offrir à boire ? Un café, un thé, une liqueur, un alcool
fort ? Lentement, je me lève et le débraquette,je lui met la bite à l air et le masturbe doucement. Je n’ai jamais vu d’yeux aussi grands.
Il reste là, la bouche ouverte. Je lui tends la poignée de la laisse.
- Pour la boisson, je n’est besoin que de votre liqueur d'homme, mais j’ai besoin de sentir la poigne d’un homme, un vrai.
Machinalement, il prend la poignée de la laisse et je me laisse tomber à quatre
pattes à ses pieds. Il hésite une bonne minute avant de se décider enfin à
bouger. Il tire sur la laisse pour me faire avancer vers une autre pièce de la
maison. C’est tout bêtement sa chambre à coucher. Il me jette sur le lit et se déshabille.
Comme je le pensais, c’est un sportif avec une belle tablette de chocolat comme
abdominaux. Entre ses jambes son membre est correct et bien dressé.
Il se couche à mes côtés et m’enlève le collier qu’il jette sur sa descente de lit.
- Je ne suis pas très porté pour ces petits jeux sadiques, me dit-il en posant
ses mains sur mes seins.
- Tant que vous me donnez du plaisir, c’est le principal.
Ses mains parcourent mon corps et je ressens très vite du désir quand ses doigts
trouvent mon clitoris. Il est un peu surpris de la réceptivité de celui-ci, mais se
reprend très vite.
-ouvre bien grand tes cuisses.
Quand il vient mettre son sexe à l’entrée de mon vagin, je suis prête et trempée.
Longuement il se fait aller en moi et je sens le plaisir monter. Il est endurant et
habile avec son corps. Nous passons deux heures à faire l’amour et il me fait jouir trois fois. Il se sert de toutes les parties de mon corps et finit par me jouir dans la bouche.
Il est épuisé et s’endort comme un bien heureux dès que j’ai fini de lui lécher la bite.
Je ramasse mes affaires et retourne chez moi où Pierre m’attend depuis une
demi-heure. C’est lui qui me prépare le bain pendant que je lui raconte ma
journée. Tandis que je me prélasse dans l’eau bienfaisante, il va à la cuisine et
revient avec quelques sandwiches que je dévore tellement j’ai faim.
Pierre s’assied sur le bord de la baignoire et me regarde intensément.
- Ma chérie, j’ai pris une décision importante te concernant.
- Ha oui et laquelle mon amour ?
- J’ai décidé qu’à partir du premier du mois prochain, je m’occupe de toi.
- Tu vas t’occuper de moi ? Et comment ?
Il hésite un moment puis se penche vers moi et prend un téton entre ses doigts.
Il joue un moment avec le petit bouton qui se dresse immédiatement puis il
commence à serrer la chair du mamelon entre ses doigts jusqu’à ce que je me
morde les lèvres pour ne pas crier.
- Comme ça, me dit-il en serrant encore plus ses doigts. Tu cherches
partout quelque chose que je crois pouvoir te donner, mais je voulais
savoir comment procéder, les règles d’usage dans ce milieu et je crois que
j’ai trouvé ce qu’il me fallait comme guide, c’est pourquoi je vais te
prendre en main. Tu ne devras plus courir à droite et à gauche pour avoir
ce que tu cherches.
Je sens mon clitoris se réveiller, si je n’étais pas dans le bain, je crois que ma
chatte serait trempée à la perspective de voir mon cher et tendre époux enfin
prendre part à la partie obscure de ma vie. Tandis qu’il continue de maltraiter
mon bout de nichon, je l’attire à moi et je l’embrasse. Nos langues se mélangent en
un baiser passionné, mais Pierre perd l’équilibre et il tombe dans la baignoire.
L’eau se répand sur le sol. Mon mari sort de la baignoire où l’eau a sérieusement
diminué. Je suis moi aussi obligée de sortir de l’eau. J’aide Pierre à se défaire de
ses vêtements trempés et nous nous retrouvons sous la douche à faire l’amour.

le récit touche doucement à sa fin, il ne restera qu un recit, bien que je pense faire un chapitre bonus, il serait en quelque sorte le chapitre 11/10

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Bonjour,
Je lis vos histoires depuis le début! Très bonnes histoires et très bien détaillées ! La suite est attendue avec impatience !
Je suis curieux de savoir combien de temps ça vous prend d'écrire chaque histoire!

Histoire Erotique
Bonjour Charlotte, l'excitation atteind son paroxysme !!! Quand on pense qu'au premier chapitre, ton personnage osait à peine se mettre nue devant une porte d'entrée! Et qu'aujourd'hui c'est sans réfléchir qu'elle reste à poil en public et cherche à se faire "sauter" par tout les hommes qu'elle croise!!!! J'aurais bien aimé être ce garçon dans le parking !!! Bravo pour tes histoires ! Vivement la suite !
LNA

Histoire Erotique
Bien, excellente suite!

Histoire Erotique
Bonjour,
J'ai lu vos histoires avec avidité . Ont-elles une part de vérité ou ne sont-elles que Fictions ? Toujours est-il que c'est bien écrit assez réaliste et très pervers. Charlotte est-tu aussi déluré que les récits le montre ?
A bientôt peut-être
Marcello



Texte coquin : Les cinq doigts de la main 9
Histoire sexe : Une rose rouge
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