Les deux frères ne valent pas le père ...
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-11-2014 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Les deux frères ne valent pas le père ...
A dix sept ans et demi j’étais encore vierge et je me posais beaucoup de questions, j’avais déjà embrassé, maladroitement, certes, mais quels effets les mains d’un garçon produiraient sur les parties les plus intimes de mon corps ?
Mes sens me travaillent de plus en plus, ma culotte s’humidifie lorsque j’évoque des scènes coquines, comment font un homme et une femme pour s’accoupler, cela fait-il autant de bien que je l’entends dire ?
A force de me toucher moi-même je ne ressentais plus grand-chose d’excitant, c’est pour cela que j’ai eu envie d’essayer avec un petit voisin de mon âge
Pourquoi lui ? Je ne l’ai jamais vu avec une fille, donc dans ma tête, il n’est pas intrépide, pas le genre qui va me sauter dessus a la première entrevue
Je lui ai proposé d’aller nous balader dans les champs, il a accepté en rougissant, une fois hors de vue des curieux, je lui ai pris la main, il ne disait rien mais je m’en foutais, c’est un cobaye que j’entraînais a l’abri des regards, arrivés parmi des bottes de pailles, j’ai pris le taureau par les cornes !
- As-tu déjà embrassé une fille Antoine ?
- Oui, une fois …
- Et ça t’a plu ?
- Bofff…j’ai un mauvais souvenir
- Elle a ouvert la bouche ?
- Oui, et elle m’a refilé son chewing-gum
- C’est plutôt mignon
- J’ai faillit lui vomir dessus
- Bon, et a part ça ? as-tu touché ses seins ?
- Oui par-dessus le pull
- Jamais a pleines mains ? veux-tu essayer ?
- Beeeennn, j’sais pas ….
- Regarde ….
Je soulève mon top et fait passer les bonnets par-dessus ma poitrine pointue qui se dresse fièrement sous ses yeux ébahis
- Alors ?
- C’est chouette, plus jolis que ceux de maman, je les aperçois quelquefois
- Pose tes mains dessus, ça ne mord pas
- C’est dur…c’est doux, ça me fait des choses…
- Tu bandes ? Tu me la montres ? Si tu veux je te montre ma minette en échange
- D’accord, ont le fait en même temps
Timidement, il baisse son pantalon tandis que, la jupe coincée a la ceinture, je fais glisser ma culotte de coton, effectivement il bande, mais je suis déçue, ça ne ressemble pas a ce que je pensais voir … c’est de la grosseur de mon pouce, ça sursaute a intervalles réguliers, il a le regard fixé sur ma motte peu poilue
- Tu me touche et je te touche ?
- Pas la peine …. Je vais … décharger…oohhh merde ! c’est fait !
- Zut alors !
Deux longs filaments blancs giclent devant lui, aussitôt la quéquette se rabougris, je suis dépitée, moi qui croyais m’amuser avec un moment.
- Hé ben ! T’as un problème toi !
- Ça me fait ça à chaque fois que je veux me caresser, je jouis dés que je pose ma main dessus .
- Mince alors dommage, j’espérais que tu me fasses des choses avec.
- Tu voulais que je la mette dans ta fente ?
- Ben oui !
- Ça, mon frère pourrait te le faire, il en a une grosse, je l’ai vu se masturber
- Il serait d’accord tu crois ? il a plus de vingt ans, il va me trouver jeune ?
- Si tu savais toutes les nanas qu’il s’envoie !
- Tu lui demandes quand ?
- Ce soir
Ça n’a pas traîné, j’avais rendez-vous le lendemain après midi dans une grange abandonnée, le garçon m’attendait sûr de lui, en mâchouillant un brin de paille.
- Alors gamine ? On veut connaître le grand frisson ?
- Vous n’allez pas me violer hein ? !
- C’est toi qui me supplieras de te la mettre, approche que je tâte tes nichons… huuuuummmm pas mal relève ton Sweet-shirt pour voir ? Les bonnets sont bien pleins, dégrafe ton sousting… wooouuuuaaaah, belle paire de miches, met toi torse nu
- Je vous fais de l’effet ?
- Tu veux dire bander ? Touches moi cette bosse…
Il m’attrape la main et la pose sur sa braguette déformée, sous mes doigts je découvre un rondin dur comme du bois, impossible de retirer ma main il la maintient dessus, alors je ferme les doigts sur ce manche qui bouge tel un serpent lorsque je serre .
- C’est bien ! tâte la marchandise !
- Vous n’allez pas gicler aussi vite que votre frère ?
- SI ! bien sûr que je vais décharger mais pas tout de suite, avant "ils" vont faire connaissance
- Qui ça "ils" ?
- Ta chatte et ma queue pardi, enlève tout que je vois comment t’es gaulée
- Même ma culotte ?
- Surtout ta culotte ! tiens, je fais pareil, ainsi nous serons a égalité .
- Vous ne voulez pas l’ôter vous-même ma culotte ? j’aimerais savoir ce que ça fait les mains d’un homme sur moi .
- Je vois, allonge toi sur cette couverture et laisse toi faire .
Ses doigts passent sous l’élastique, le slip glisse, ça fait drôle se sentir l’air frais entre mes cuisses et ses mains brûlantes qui me touchent, il envoie balader ma culotte sur le sol, ceci fait, il se met à passer sa queue sur mes seins, mon cou, mes joues… mes lèvres …
- Ouvre la bouche
- Pourquoi ?
- Pour me sucer, l’apprentissage de la vie commence par-là, ouvre bien grand, je ne veux pas sentir tes dents.
Un peu déboussolée j’obéis, moi qui croyais me faire caresser, me voilà avec une bite dans la bouche, il fait coulisser son membre toujours plus loin dans ma gorge, sa main branle la partie restante
Brusquement, il me l’enfonce jusqu’aux amygdales, un liquide poisseux et acre déferle par saccades, impossible de refuser cette injection forcée et soudaine, le sourire aux lèvres il daigne se retirer une fois les jets taris.
- Toi, t’es pucelle non ?
- Oui … je pensais justement que ça vous ferez plaisir ?
- Tu pensais mal, ras le cul de ces jouvencelles inexpérimentées, trouves toi quelqu’un de patient pour les préliminaires.
- Mais qui ?
- Quelqu’un de plus âgé, a qui la joie de dépuceler reste un lointain souvenir
- Plus âgé ?
- Ouais, quelqu’un comme mon père, justement, depuis son divorce il est en manque, tu veux que je lui parle de toi ?
- Oui mais ?…
- Ce sera ici demain, il ne saura pas qui l’envoie et qui il va rencontrer, a toi de jouer, salut et merci pour la pipe !
Pensive, je me rhabille… me donner à un homme qui pourrait être mon père ? Ses gestes seraient doux et précis … il ne demanderait qu’a me faire plaisir …a quoi peut bien ressembler son membre ? Il doit être gigantesque …la mouille coule de mes lèvres excitées et désappointées, c’est décidé, je viendrais demain !
Lorsque je suis arrivée un homme fait les cent pas devant la grange, il marque un temps d’arrêt en me voyant, je rassemble tout mon courage et met mes préjugés aux vestiaires
- Que fais-tu ici petite ?
- C’est moi qui vous ai donné rendez-vous
- Que veux-tu ?
- Je veux sentir vos mains sur moi, partout !
- Holà ! doucement je ne suis pas un pédophile !
- Je suis consentante et majeure sexuellement, je jure que personne n’en saura jamais rien
Sans attendre sa décision je m’allonge sur la paille, mes cuisses découvertes, légèrement séparées attirent son attention
Il s’agenouille prés de moi, ses mains tremblantes se posent sur ma poitrine, et mes cuisses, je prends une longue respiration, mes seins se gonflent, mes genoux se séparent en forme de parenthèse
- Petite perverse …ferme les yeux je vais te donner du bonheur …
Les mains se mettent en mouvement en haut et en bas, c’est un festival de caresses innocentes qui se transforment en caresses sensuelles puis franchement sexuelles
Une main est passée sous mon pull, et l’autre sous ma jupe, les bonnets sont malaxés et mon slip trituré, je geins de plaisir, pour ne pas passer pour une gourde ma main glisse sur sa cuisse encore revêtue du pantalon, la braguette est gonflée à bloc, rien à voir avec celle du fils aîné qui me paraissait pourtant énorme.
- Va-y, masse moi bien, dans un moment tu va la câliner et l’embrasser
- Oui je veux tout faire
- Je vais te dévêtir …tu es prête ?
- Je n’attends que ça …
- Soulève-toi afin que je retire ton pull et ton soutien gorge…. OOOOOHHHH c’est trop beau ……tes bouts sont bien ressortis, je vais les aspirer
- Remettez votre main entre mes cuisses
- Ta culotte est tachée …
Les lèvres lippues tirent sur mes bouts comme le ferait un bébé pour téter, des irradiations traversent tout mon corps, ses doigts font rouler mes lèvres l’une sur l’autre sans chercher à s’introduire sous le tissu, exactement comme je le désire : repousser le moment fatidique, mais le désir de baiser est le plus fort, je me tortille sous la caresse qui devient fade
- Tu es pressée petite pucelle …écarte tes jambes …
Enfin le moment que je désire le plus au monde arrive, l’instant ou ses doigts franchissent la barrière interdite de mon slip, les doigts qui effleurent ma peau provoquent chez moi de délicieux frissons, je gigote au point qu’il doit me maintenir.
- Ça te chatouille ? Bientôt ça te fera chavirer l’esprit, à présent apprend toi à ouvrir une braguette, sort ma queue qui souffre d’être recroquevillée
J’en retire avec peine un gourdin long et large, zébré de grosses veines, poilu jusqu’en moitié, un bout fendu encore à demi recouvert de peau, d’où suinte une sève épaisse
- Vous allez me faire mal avec ça
- Tu en redemanderas petite ! maintenant joue avec, frotte le sur tes joues et tes lèvres, embrasse le, ouvre la bouche … je vais t’en enfoncer quelques centimètres dans le palais
Docile et désireuse de découvrir la sensation de lécher une queue, je referme mes lèvres sur ce manche en évitant de le frotter avec mes dents, je l’entoure d’une main pour refouler loin la peau, c’est lui qui va et vient d’abord lentement puis de plus en plus vite , la grosse paluche posée sur ma tête empêche tous désirs de recracher le membre, la mâchoire ouverte a fond, tantôt il repousse ma joue , tantôt il s’enfonce jusqu’à ma luette, l’homme me baise la bouche, il n’y a pas d’autres mots, et j’aime ça …
- Tu es douée, ne cherche pas a te retirer, lorsque ‘ça va arriver’ avale tout
- MMMUUUMMMMMUUUUUUUMMMMMMM !!!
- Biiiieeeeennn ! essore là jusqu’à la dernière goutte avec tes mains, a présent c’est a moi de te bouffer le berlingot, allonge toi et passe tes jambes sur mes épaules pour que je colle ma langue sur ta figue
L’homme, en expert, plaque sa bouche ouverte sur ma vulve avalant carrément mes lèvres, ils les absorbe et les mâchouille avant de se consacrer uniquement a mon clito prêt a éclater, je frétille de façon incontrôlable tant le plaisir est fort, je lâche prise … ma vessie aussi, par réflexe je serre mes cuisses sur ses oreilles risquant de l’étouffer
- Lâche-moi bordel ! Je ne peux plus respirer ! Ça suffit les préliminaires, je vais t’enfiler, écarte les cuisses et remonte-les
Il baisse son pantalon et ôte sa chemise, qu’il est beau ce torse poilu, et ce manche dressé qui se balance comme un cobra, vite ! Qu’il me l’enfonce ! Ma chatte fait une bulle sonore lorsqu’il entre son gland, les mains posées dans le creux de mes aines il va forcer …c’est gros, c’est chaud c’est boooooonnnnnnnnnnnnnn
- NNNOOOOOOONNNNNOOOOOUUUUUUUIIIIIIIIIIII !
- Moins fort, tu va faire fuir les lapins ! muuuuuummmm, quelle bonne petite chatte, dire que mes cons de fils n’ont pas sût en profiter !
- Baisez moi, vous êtes fort vous !, je sens votre queue tout au fond !
- Je vais même t’étirer le vagin, Tiennnnnnns ! avale tout
- Wooooouuuuuaaaaaaaah ! encore ! encore !
Sa sueur tombe à grosses gouttes sur mon visage, ma matrice accuse les coups de reins terribles qu’il m’inflige, je ne compte plus les orgasmes, ma chatte se vide de toute sa sève, c’est au bout de dix minutes qu’il hurle, enfoncée de toute sa longueur dans mon ventre sa seringue gicle par saccades interminables
Lorsque j’ai ouvert les yeux, encore engourdie de bonheur, il était habillé, prêt à repartir
- Demain même heure si tu veux essayer la sodomie …..
Mes sens me travaillent de plus en plus, ma culotte s’humidifie lorsque j’évoque des scènes coquines, comment font un homme et une femme pour s’accoupler, cela fait-il autant de bien que je l’entends dire ?
A force de me toucher moi-même je ne ressentais plus grand-chose d’excitant, c’est pour cela que j’ai eu envie d’essayer avec un petit voisin de mon âge
Pourquoi lui ? Je ne l’ai jamais vu avec une fille, donc dans ma tête, il n’est pas intrépide, pas le genre qui va me sauter dessus a la première entrevue
Je lui ai proposé d’aller nous balader dans les champs, il a accepté en rougissant, une fois hors de vue des curieux, je lui ai pris la main, il ne disait rien mais je m’en foutais, c’est un cobaye que j’entraînais a l’abri des regards, arrivés parmi des bottes de pailles, j’ai pris le taureau par les cornes !
- As-tu déjà embrassé une fille Antoine ?
- Oui, une fois …
- Et ça t’a plu ?
- Bofff…j’ai un mauvais souvenir
- Elle a ouvert la bouche ?
- Oui, et elle m’a refilé son chewing-gum
- C’est plutôt mignon
- J’ai faillit lui vomir dessus
- Bon, et a part ça ? as-tu touché ses seins ?
- Oui par-dessus le pull
- Jamais a pleines mains ? veux-tu essayer ?
- Beeeennn, j’sais pas ….
- Regarde ….
Je soulève mon top et fait passer les bonnets par-dessus ma poitrine pointue qui se dresse fièrement sous ses yeux ébahis
- Alors ?
- C’est chouette, plus jolis que ceux de maman, je les aperçois quelquefois
- Pose tes mains dessus, ça ne mord pas
- C’est dur…c’est doux, ça me fait des choses…
- Tu bandes ? Tu me la montres ? Si tu veux je te montre ma minette en échange
- D’accord, ont le fait en même temps
Timidement, il baisse son pantalon tandis que, la jupe coincée a la ceinture, je fais glisser ma culotte de coton, effectivement il bande, mais je suis déçue, ça ne ressemble pas a ce que je pensais voir … c’est de la grosseur de mon pouce, ça sursaute a intervalles réguliers, il a le regard fixé sur ma motte peu poilue
- Tu me touche et je te touche ?
- Pas la peine …. Je vais … décharger…oohhh merde ! c’est fait !
- Zut alors !
Deux longs filaments blancs giclent devant lui, aussitôt la quéquette se rabougris, je suis dépitée, moi qui croyais m’amuser avec un moment.
- Hé ben ! T’as un problème toi !
- Ça me fait ça à chaque fois que je veux me caresser, je jouis dés que je pose ma main dessus .
- Mince alors dommage, j’espérais que tu me fasses des choses avec.
- Tu voulais que je la mette dans ta fente ?
- Ben oui !
- Ça, mon frère pourrait te le faire, il en a une grosse, je l’ai vu se masturber
- Il serait d’accord tu crois ? il a plus de vingt ans, il va me trouver jeune ?
- Si tu savais toutes les nanas qu’il s’envoie !
- Tu lui demandes quand ?
- Ce soir
Ça n’a pas traîné, j’avais rendez-vous le lendemain après midi dans une grange abandonnée, le garçon m’attendait sûr de lui, en mâchouillant un brin de paille.
- Alors gamine ? On veut connaître le grand frisson ?
- Vous n’allez pas me violer hein ? !
- C’est toi qui me supplieras de te la mettre, approche que je tâte tes nichons… huuuuummmm pas mal relève ton Sweet-shirt pour voir ? Les bonnets sont bien pleins, dégrafe ton sousting… wooouuuuaaaah, belle paire de miches, met toi torse nu
- Je vous fais de l’effet ?
- Tu veux dire bander ? Touches moi cette bosse…
Il m’attrape la main et la pose sur sa braguette déformée, sous mes doigts je découvre un rondin dur comme du bois, impossible de retirer ma main il la maintient dessus, alors je ferme les doigts sur ce manche qui bouge tel un serpent lorsque je serre .
- C’est bien ! tâte la marchandise !
- Vous n’allez pas gicler aussi vite que votre frère ?
- SI ! bien sûr que je vais décharger mais pas tout de suite, avant "ils" vont faire connaissance
- Qui ça "ils" ?
- Ta chatte et ma queue pardi, enlève tout que je vois comment t’es gaulée
- Même ma culotte ?
- Surtout ta culotte ! tiens, je fais pareil, ainsi nous serons a égalité .
- Vous ne voulez pas l’ôter vous-même ma culotte ? j’aimerais savoir ce que ça fait les mains d’un homme sur moi .
- Je vois, allonge toi sur cette couverture et laisse toi faire .
Ses doigts passent sous l’élastique, le slip glisse, ça fait drôle se sentir l’air frais entre mes cuisses et ses mains brûlantes qui me touchent, il envoie balader ma culotte sur le sol, ceci fait, il se met à passer sa queue sur mes seins, mon cou, mes joues… mes lèvres …
- Ouvre la bouche
- Pourquoi ?
- Pour me sucer, l’apprentissage de la vie commence par-là, ouvre bien grand, je ne veux pas sentir tes dents.
Un peu déboussolée j’obéis, moi qui croyais me faire caresser, me voilà avec une bite dans la bouche, il fait coulisser son membre toujours plus loin dans ma gorge, sa main branle la partie restante
Brusquement, il me l’enfonce jusqu’aux amygdales, un liquide poisseux et acre déferle par saccades, impossible de refuser cette injection forcée et soudaine, le sourire aux lèvres il daigne se retirer une fois les jets taris.
- Toi, t’es pucelle non ?
- Oui … je pensais justement que ça vous ferez plaisir ?
- Tu pensais mal, ras le cul de ces jouvencelles inexpérimentées, trouves toi quelqu’un de patient pour les préliminaires.
- Mais qui ?
- Quelqu’un de plus âgé, a qui la joie de dépuceler reste un lointain souvenir
- Plus âgé ?
- Ouais, quelqu’un comme mon père, justement, depuis son divorce il est en manque, tu veux que je lui parle de toi ?
- Oui mais ?…
- Ce sera ici demain, il ne saura pas qui l’envoie et qui il va rencontrer, a toi de jouer, salut et merci pour la pipe !
Pensive, je me rhabille… me donner à un homme qui pourrait être mon père ? Ses gestes seraient doux et précis … il ne demanderait qu’a me faire plaisir …a quoi peut bien ressembler son membre ? Il doit être gigantesque …la mouille coule de mes lèvres excitées et désappointées, c’est décidé, je viendrais demain !
Lorsque je suis arrivée un homme fait les cent pas devant la grange, il marque un temps d’arrêt en me voyant, je rassemble tout mon courage et met mes préjugés aux vestiaires
- Que fais-tu ici petite ?
- C’est moi qui vous ai donné rendez-vous
- Que veux-tu ?
- Je veux sentir vos mains sur moi, partout !
- Holà ! doucement je ne suis pas un pédophile !
- Je suis consentante et majeure sexuellement, je jure que personne n’en saura jamais rien
Sans attendre sa décision je m’allonge sur la paille, mes cuisses découvertes, légèrement séparées attirent son attention
Il s’agenouille prés de moi, ses mains tremblantes se posent sur ma poitrine, et mes cuisses, je prends une longue respiration, mes seins se gonflent, mes genoux se séparent en forme de parenthèse
- Petite perverse …ferme les yeux je vais te donner du bonheur …
Les mains se mettent en mouvement en haut et en bas, c’est un festival de caresses innocentes qui se transforment en caresses sensuelles puis franchement sexuelles
Une main est passée sous mon pull, et l’autre sous ma jupe, les bonnets sont malaxés et mon slip trituré, je geins de plaisir, pour ne pas passer pour une gourde ma main glisse sur sa cuisse encore revêtue du pantalon, la braguette est gonflée à bloc, rien à voir avec celle du fils aîné qui me paraissait pourtant énorme.
- Va-y, masse moi bien, dans un moment tu va la câliner et l’embrasser
- Oui je veux tout faire
- Je vais te dévêtir …tu es prête ?
- Je n’attends que ça …
- Soulève-toi afin que je retire ton pull et ton soutien gorge…. OOOOOHHHH c’est trop beau ……tes bouts sont bien ressortis, je vais les aspirer
- Remettez votre main entre mes cuisses
- Ta culotte est tachée …
Les lèvres lippues tirent sur mes bouts comme le ferait un bébé pour téter, des irradiations traversent tout mon corps, ses doigts font rouler mes lèvres l’une sur l’autre sans chercher à s’introduire sous le tissu, exactement comme je le désire : repousser le moment fatidique, mais le désir de baiser est le plus fort, je me tortille sous la caresse qui devient fade
- Tu es pressée petite pucelle …écarte tes jambes …
Enfin le moment que je désire le plus au monde arrive, l’instant ou ses doigts franchissent la barrière interdite de mon slip, les doigts qui effleurent ma peau provoquent chez moi de délicieux frissons, je gigote au point qu’il doit me maintenir.
- Ça te chatouille ? Bientôt ça te fera chavirer l’esprit, à présent apprend toi à ouvrir une braguette, sort ma queue qui souffre d’être recroquevillée
J’en retire avec peine un gourdin long et large, zébré de grosses veines, poilu jusqu’en moitié, un bout fendu encore à demi recouvert de peau, d’où suinte une sève épaisse
- Vous allez me faire mal avec ça
- Tu en redemanderas petite ! maintenant joue avec, frotte le sur tes joues et tes lèvres, embrasse le, ouvre la bouche … je vais t’en enfoncer quelques centimètres dans le palais
Docile et désireuse de découvrir la sensation de lécher une queue, je referme mes lèvres sur ce manche en évitant de le frotter avec mes dents, je l’entoure d’une main pour refouler loin la peau, c’est lui qui va et vient d’abord lentement puis de plus en plus vite , la grosse paluche posée sur ma tête empêche tous désirs de recracher le membre, la mâchoire ouverte a fond, tantôt il repousse ma joue , tantôt il s’enfonce jusqu’à ma luette, l’homme me baise la bouche, il n’y a pas d’autres mots, et j’aime ça …
- Tu es douée, ne cherche pas a te retirer, lorsque ‘ça va arriver’ avale tout
- MMMUUUMMMMMUUUUUUUMMMMMMM !!!
- Biiiieeeeennn ! essore là jusqu’à la dernière goutte avec tes mains, a présent c’est a moi de te bouffer le berlingot, allonge toi et passe tes jambes sur mes épaules pour que je colle ma langue sur ta figue
L’homme, en expert, plaque sa bouche ouverte sur ma vulve avalant carrément mes lèvres, ils les absorbe et les mâchouille avant de se consacrer uniquement a mon clito prêt a éclater, je frétille de façon incontrôlable tant le plaisir est fort, je lâche prise … ma vessie aussi, par réflexe je serre mes cuisses sur ses oreilles risquant de l’étouffer
- Lâche-moi bordel ! Je ne peux plus respirer ! Ça suffit les préliminaires, je vais t’enfiler, écarte les cuisses et remonte-les
Il baisse son pantalon et ôte sa chemise, qu’il est beau ce torse poilu, et ce manche dressé qui se balance comme un cobra, vite ! Qu’il me l’enfonce ! Ma chatte fait une bulle sonore lorsqu’il entre son gland, les mains posées dans le creux de mes aines il va forcer …c’est gros, c’est chaud c’est boooooonnnnnnnnnnnnnn
- NNNOOOOOOONNNNNOOOOOUUUUUUUIIIIIIIIIIII !
- Moins fort, tu va faire fuir les lapins ! muuuuuummmm, quelle bonne petite chatte, dire que mes cons de fils n’ont pas sût en profiter !
- Baisez moi, vous êtes fort vous !, je sens votre queue tout au fond !
- Je vais même t’étirer le vagin, Tiennnnnnns ! avale tout
- Wooooouuuuuaaaaaaaah ! encore ! encore !
Sa sueur tombe à grosses gouttes sur mon visage, ma matrice accuse les coups de reins terribles qu’il m’inflige, je ne compte plus les orgasmes, ma chatte se vide de toute sa sève, c’est au bout de dix minutes qu’il hurle, enfoncée de toute sa longueur dans mon ventre sa seringue gicle par saccades interminables
Lorsque j’ai ouvert les yeux, encore engourdie de bonheur, il était habillé, prêt à repartir
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