Les premiers jeux sexuels de Julie
Récit érotique écrit par Anonyme [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-06-2003 dans la catégorie Pour la première fois
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Les premiers jeux sexuels de Julie
Cette histoire est celle qui m’est arrivée, il y a 20 ans. Même si elle m’excite encore maintenant que j’y repense. J’ai essayé dans ce texte de vous révéler le déroulement du récit le plus fidèlement possible.
J’avais 18 ans et j’étais encore vierge et sage à l’époque. Cette première expérience sexuelle est pour moi la meilleure découverte possible du plaisir sexuel. Cette nuit là, une des plus torride que j’ai connu, m’a complètement aux jeux de l’amour.
Cet été là il faisait très chaud. La ferme de mes parents est située dans le sud de la France. Mes parents, en vacance pour une semaine, m’avait laissée seule avec ma cousine Marie. Marie, de deux ans mon aînée, était déjà très pulpeuse. Sa poitrine bien développée, ses longs cheveux blonds, son petit cul ne me laissait pas indifférente. Elle était arrivée 2 ou trois jours avant le départ de mes parents pour y apprendre les tâches de la ferme.
Au début nos rapports se limitaient à des relations de cousines. Malgré ces deux ans de plus, elle prenait beaucoup de plaisirs à me consacrer du temps parce que nous avions beaucoup de points communs dans nos hobbys. Nous faisions tous les deux de la gym et elle était dans sa dernière année d’étude également. Par contre, elle était beaucoup ouverte et dévergondée, alors que j’étais timide. Quand nous nous sommes retrouvées seules, nos conversations se sont portées sur les garçons et nos premières expériences.
La dernière journée qu’elle devait passer avec moi se révélât la plus intéressante. Nous étions toutes les deux assises en lotus sur le lit de ma chambre mansardée. Le soir tombant, la lumière tamisée de ma lampe de chevet était des plus propices aux confidences les plus chaudes. Elle m’avait raconté sa première expérience sexuelle avec un garçon, dans tous les détails. Elle m’expliquait comment elle lui avait fait une fellation, les sensations qu’elle avait ressenties quand il l’avait pénétrée. Elle savait pour ma part j’étais encore vierge. Et elle n’essait pas de mettre mal à l’aise, mais plutôt de m’apprendre le jeu de l’amour.
Je débordais de questions. Et elle me répondait à toute. Ma difficulté à m’exprimer était néanmoins flagrante.
Tous ces détails m’avaient hautement troublée. Mon cœur battait bien sur aussi fort qu’un tambour. Mais mon sexe ! Pour la première fois de ma vie, je mouillais. Ma petite culotte était toute mouillée et ma robe de nuit laissait entrevoir quelques tâches. Mes seins naissants pointaient et donnaient des formes à ma robe qui n’aurait pas laissée un garçon indifférent. Marie l’avait remarquée et voulu s’enquérir de mes connaissances.
Tu t’es déjà carressée ? M’a-t-elle demandé tout en relevant la tête pour observer ma réaction.
Déconcertée, je ne savais que répondre,
Bein, oui quand même mais je ne prends pas beaucoup de plaisirs et toi ?
Evidemment, j’adore cela tu vois ça me fait du bien.
Elle s’est alors avancée vers moi. J’avais compris ce qui allait se passer. J’étais superbement excitée et je craignais également ce qu’elle allait me faire. Elle me parlait longuement tout en s’installant derrière moi, moi je ne répondais pas.
Laisse toi faire, détends-toi, tu ne le regretteras pas, me dit-elle d’une voie doucereuseElle avait réussi à me détendre et j’allais me laisser aller dans ses mains douces. Avec une tendresse infinie elle continuait à me parler doucement dans le creux de l’oreille. J’étais assise sur le lit, les jambes allongées. Elle était assise dans la même position derrière moi et s’appuyait contre le mur. Je me laissais portér par elle. Elle me faisait des petits bisous dans le cou. Ses 2 lèvres pulpeuses pressant langoureusement ma peau claire. Elle me caressait mes cheveux chatins clairs. Elle me susurrait des mots à l’oreille :
Tu vas prendre ton pied. Tu te laisses faire, tu comprends tu ne fais rien. Je vais te donner tout le plaisir qu’une jeune femme comme toi peut avoir pendant l’amour. Après quand tu seras seule, tu pourras te masturber toute seule, autant de fois que tu le veux. Tu verras, c’est très bon et c’est dommage que tu n’aie pas encore connu le vrai plaisir.
Sa main droite commençait à relever ma robe. J’étais parcourue d’un frisson sur tout mon corps. Elle m’avait convaincue, j’allais prendre ce plaisir et le boire jusqu’à la lie. Marie s’était alors levée. Doucement elle avait enlevé sa robe bleu ciel. Elle retirait son soutien et me montrait ses seins très gros comme deux mamelons. Elle retirait sa culotte, sa chatte blonde ne cachait pas ses 2 lèvres inférieures, et dévoilait son corps de déesse d’un bronzage complet. Elle s’est alors remise derrière moi. Sa peau était douce, et ses seins pointaient fermement dans mon dos m’ont beaucoup troublée. Son parfum fleuri dégageait une odeur enivrante. Mon dos pressait légèrement sa chatte ouverte. Je sentais une chaleur qui émanait de son bas ventre. Elle devait également être incroyablement excitée.
J’étais en petite culotte. Je fermais les yeux et m’allongeais contre elle ; lui faisant maintenant une confiance totale. Elle me caressait mes seins petits seins tout blanc, puis mon bas ventre, le centre de toute mon attention. Une heure s’était déjà écoulée depuis qu’elle avait commencé à me prendre en main et de faire une bonne éducation sexuelle. Seule la lune éclairait la chambre. Quand sa main tremblante était rentrée pour la première fois dans mon slip, elle avait vu que je lui étais offerte. Je gémissais pour lui montrer que j’aimais cette expérience homosexuelle. Ses doigts glissaient entre ma jambe et mon sexe humide afin de m’exciter sans me donner de plaisir. Et le désir montait en moi jusqu’à me rendre folle. Marie a alors mit sa main sur l’entièreté de mon sexe et l’a malaxé pendant que mon sexe mouillait mes draps.
Vas-y, continue. Lui ai-le confié Ca va ?
Oui, c’est bonDe son majeur elle m’a titillé le clitoris. Quel bonheur ! A l’époque je me suis demandée si je n’étais pas lesbienne.
Elle imprimait à son doigt des mouvements rythmés sur toute la longueur de mon clitoris. Ma lubrification naturelle rendait ses petits coups délicieux. Chaque va-et-vient m’emplissait de petite vague qui me rapprochait du bonheur ;
- Hmmmmmmm ! Heeeeeiiiiin ! C’est bon ! Continue !
Non, je vais te sucer tu verras.
Oh oui, suce-moi, lui dis-je complètement abandonnée J’enlève d’abord ta petite culotte. Elle est bien mouillée. Tu as une jolie chatte, me dis Julie.
Toi aussi.
Elle avait ensuite décidé de me lécher les seins, puis mon ventre en s’attardant sur mon nombril, sa langue contournait mon sexe pour atteindre mon anus. La sensation de chaleur humide, de cette langue attentive sur l’entrée de mon anus me procurait un plaisir encore inconnu. J’écartais les jambes découvrant totalement mon sexe et mon trou du cul. Elle avait relevé la tête.
Tu aime ça ?
OuiElle l’a léché pendant un quart d’heure. Même si j’aimais ça j’aurai préféré qu’elle revienne plus rapidement à mon clitoris. Mais lorsqu’elle l’a fait, c’était divin. Une vague de chaleur envahissait tout mon bas ventre. D’abord du bout de la langue, elle a titillé mon petit haricot. Puis elle l’a embrassé totalement, j’ai senti sa bouche qui le recouvrait totalement. Son majeur s’enfonçant dans mon anus puis en ressortant totalement, je montais vers le 7ème ciel et elle l’a vite comprit. Elle souriait, elle était ivre de bonheur de pouvoir m’apporter ce que j’avais longuement recherché auparavant, moi aussi. Puis elle s’est retirée et a sollicité l’entrée de mon vagin avec 2 doigts.
Cette sensation du premier corps étranger dans mon ventre,
Ces doigts qui me caressaient gentiment la surface supérieure du vagin,
Cette femme entièrement dévolue à mon plaisir,
Que c’était bon !
Je gémissais.
Mon corps se tortillait. Je bougeais les fesses pour qu’elle imprime un bon rythme.
Elle m’a amené ainsi au bonheur total, en me léchant avidement le clitoris et en me bourrant le cul avec un doigt. Elle s’est alors retirée et m’a dit qu’elle était contente de ce moment qu'on avait partagé. Elle m’a aussi dit de ne pas être gênée de ce qu’elles avaient fait et que la jouissance est la meilleure chose de la vie.
Aujourd’hui, quand je rencontre Julie nous parlons pas de ce qui s’est passé ce soir là. Mais si elle lit un jour ce texte elle se reconnaîtra. Je veux donc lui dire merci, car je sais prendre du plaisir autant avec un homme qu’avec une femme.
J’avais 18 ans et j’étais encore vierge et sage à l’époque. Cette première expérience sexuelle est pour moi la meilleure découverte possible du plaisir sexuel. Cette nuit là, une des plus torride que j’ai connu, m’a complètement aux jeux de l’amour.
Cet été là il faisait très chaud. La ferme de mes parents est située dans le sud de la France. Mes parents, en vacance pour une semaine, m’avait laissée seule avec ma cousine Marie. Marie, de deux ans mon aînée, était déjà très pulpeuse. Sa poitrine bien développée, ses longs cheveux blonds, son petit cul ne me laissait pas indifférente. Elle était arrivée 2 ou trois jours avant le départ de mes parents pour y apprendre les tâches de la ferme.
Au début nos rapports se limitaient à des relations de cousines. Malgré ces deux ans de plus, elle prenait beaucoup de plaisirs à me consacrer du temps parce que nous avions beaucoup de points communs dans nos hobbys. Nous faisions tous les deux de la gym et elle était dans sa dernière année d’étude également. Par contre, elle était beaucoup ouverte et dévergondée, alors que j’étais timide. Quand nous nous sommes retrouvées seules, nos conversations se sont portées sur les garçons et nos premières expériences.
La dernière journée qu’elle devait passer avec moi se révélât la plus intéressante. Nous étions toutes les deux assises en lotus sur le lit de ma chambre mansardée. Le soir tombant, la lumière tamisée de ma lampe de chevet était des plus propices aux confidences les plus chaudes. Elle m’avait raconté sa première expérience sexuelle avec un garçon, dans tous les détails. Elle m’expliquait comment elle lui avait fait une fellation, les sensations qu’elle avait ressenties quand il l’avait pénétrée. Elle savait pour ma part j’étais encore vierge. Et elle n’essait pas de mettre mal à l’aise, mais plutôt de m’apprendre le jeu de l’amour.
Je débordais de questions. Et elle me répondait à toute. Ma difficulté à m’exprimer était néanmoins flagrante.
Tous ces détails m’avaient hautement troublée. Mon cœur battait bien sur aussi fort qu’un tambour. Mais mon sexe ! Pour la première fois de ma vie, je mouillais. Ma petite culotte était toute mouillée et ma robe de nuit laissait entrevoir quelques tâches. Mes seins naissants pointaient et donnaient des formes à ma robe qui n’aurait pas laissée un garçon indifférent. Marie l’avait remarquée et voulu s’enquérir de mes connaissances.
Tu t’es déjà carressée ? M’a-t-elle demandé tout en relevant la tête pour observer ma réaction.
Déconcertée, je ne savais que répondre,
Bein, oui quand même mais je ne prends pas beaucoup de plaisirs et toi ?
Evidemment, j’adore cela tu vois ça me fait du bien.
Elle s’est alors avancée vers moi. J’avais compris ce qui allait se passer. J’étais superbement excitée et je craignais également ce qu’elle allait me faire. Elle me parlait longuement tout en s’installant derrière moi, moi je ne répondais pas.
Laisse toi faire, détends-toi, tu ne le regretteras pas, me dit-elle d’une voie doucereuseElle avait réussi à me détendre et j’allais me laisser aller dans ses mains douces. Avec une tendresse infinie elle continuait à me parler doucement dans le creux de l’oreille. J’étais assise sur le lit, les jambes allongées. Elle était assise dans la même position derrière moi et s’appuyait contre le mur. Je me laissais portér par elle. Elle me faisait des petits bisous dans le cou. Ses 2 lèvres pulpeuses pressant langoureusement ma peau claire. Elle me caressait mes cheveux chatins clairs. Elle me susurrait des mots à l’oreille :
Tu vas prendre ton pied. Tu te laisses faire, tu comprends tu ne fais rien. Je vais te donner tout le plaisir qu’une jeune femme comme toi peut avoir pendant l’amour. Après quand tu seras seule, tu pourras te masturber toute seule, autant de fois que tu le veux. Tu verras, c’est très bon et c’est dommage que tu n’aie pas encore connu le vrai plaisir.
Sa main droite commençait à relever ma robe. J’étais parcourue d’un frisson sur tout mon corps. Elle m’avait convaincue, j’allais prendre ce plaisir et le boire jusqu’à la lie. Marie s’était alors levée. Doucement elle avait enlevé sa robe bleu ciel. Elle retirait son soutien et me montrait ses seins très gros comme deux mamelons. Elle retirait sa culotte, sa chatte blonde ne cachait pas ses 2 lèvres inférieures, et dévoilait son corps de déesse d’un bronzage complet. Elle s’est alors remise derrière moi. Sa peau était douce, et ses seins pointaient fermement dans mon dos m’ont beaucoup troublée. Son parfum fleuri dégageait une odeur enivrante. Mon dos pressait légèrement sa chatte ouverte. Je sentais une chaleur qui émanait de son bas ventre. Elle devait également être incroyablement excitée.
J’étais en petite culotte. Je fermais les yeux et m’allongeais contre elle ; lui faisant maintenant une confiance totale. Elle me caressait mes seins petits seins tout blanc, puis mon bas ventre, le centre de toute mon attention. Une heure s’était déjà écoulée depuis qu’elle avait commencé à me prendre en main et de faire une bonne éducation sexuelle. Seule la lune éclairait la chambre. Quand sa main tremblante était rentrée pour la première fois dans mon slip, elle avait vu que je lui étais offerte. Je gémissais pour lui montrer que j’aimais cette expérience homosexuelle. Ses doigts glissaient entre ma jambe et mon sexe humide afin de m’exciter sans me donner de plaisir. Et le désir montait en moi jusqu’à me rendre folle. Marie a alors mit sa main sur l’entièreté de mon sexe et l’a malaxé pendant que mon sexe mouillait mes draps.
Vas-y, continue. Lui ai-le confié Ca va ?
Oui, c’est bonDe son majeur elle m’a titillé le clitoris. Quel bonheur ! A l’époque je me suis demandée si je n’étais pas lesbienne.
Elle imprimait à son doigt des mouvements rythmés sur toute la longueur de mon clitoris. Ma lubrification naturelle rendait ses petits coups délicieux. Chaque va-et-vient m’emplissait de petite vague qui me rapprochait du bonheur ;
- Hmmmmmmm ! Heeeeeiiiiin ! C’est bon ! Continue !
Non, je vais te sucer tu verras.
Oh oui, suce-moi, lui dis-je complètement abandonnée J’enlève d’abord ta petite culotte. Elle est bien mouillée. Tu as une jolie chatte, me dis Julie.
Toi aussi.
Elle avait ensuite décidé de me lécher les seins, puis mon ventre en s’attardant sur mon nombril, sa langue contournait mon sexe pour atteindre mon anus. La sensation de chaleur humide, de cette langue attentive sur l’entrée de mon anus me procurait un plaisir encore inconnu. J’écartais les jambes découvrant totalement mon sexe et mon trou du cul. Elle avait relevé la tête.
Tu aime ça ?
OuiElle l’a léché pendant un quart d’heure. Même si j’aimais ça j’aurai préféré qu’elle revienne plus rapidement à mon clitoris. Mais lorsqu’elle l’a fait, c’était divin. Une vague de chaleur envahissait tout mon bas ventre. D’abord du bout de la langue, elle a titillé mon petit haricot. Puis elle l’a embrassé totalement, j’ai senti sa bouche qui le recouvrait totalement. Son majeur s’enfonçant dans mon anus puis en ressortant totalement, je montais vers le 7ème ciel et elle l’a vite comprit. Elle souriait, elle était ivre de bonheur de pouvoir m’apporter ce que j’avais longuement recherché auparavant, moi aussi. Puis elle s’est retirée et a sollicité l’entrée de mon vagin avec 2 doigts.
Cette sensation du premier corps étranger dans mon ventre,
Ces doigts qui me caressaient gentiment la surface supérieure du vagin,
Cette femme entièrement dévolue à mon plaisir,
Que c’était bon !
Je gémissais.
Mon corps se tortillait. Je bougeais les fesses pour qu’elle imprime un bon rythme.
Elle m’a amené ainsi au bonheur total, en me léchant avidement le clitoris et en me bourrant le cul avec un doigt. Elle s’est alors retirée et m’a dit qu’elle était contente de ce moment qu'on avait partagé. Elle m’a aussi dit de ne pas être gênée de ce qu’elles avaient fait et que la jouissance est la meilleure chose de la vie.
Aujourd’hui, quand je rencontre Julie nous parlons pas de ce qui s’est passé ce soir là. Mais si elle lit un jour ce texte elle se reconnaîtra. Je veux donc lui dire merci, car je sais prendre du plaisir autant avec un homme qu’avec une femme.
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